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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Anticiper le changement pour faire face à l'inattendu

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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AMtCtPER LE CHANQEHENT

POliR FAfRE FACE

À

L'tNATTENDll

Revue GEOPOLITIQUE

1

Synthèse M LETOURNEAU

GEOPOLffiQUE, est une revue trimestrielle, à thèmes, de l'Institut International de Géopolitique,

éditée par PUF (108 Bd St Germain, 75006 Paris).

Pour ce N°71 de Sept 2000, un titre, un thème « Puissance, science et technologie » qui touche à toutes

les composantes du monde à venir« Les chances de la France et de l'Europe demeurent immenses, à condition de savoir exploiter bien et rapidement toutes les potentialités que les nouvelles technologies procurent. Mais il faut être bien conscient que le temps est devenu le pire ennemi. Saurons-nous tirer profit des chances qui nous sont offertes ? »

Ci-dessous des extraits d'un propos recueillis par le De R. Wampler, chercheur, lors d'un entretien avec le De Bruce Don, Directeur de l'Institut politique de Science et technologie, Rand Corporation

Robert A Wampler: Vous avez, au cours de vo-tre carrière, eu des activités directement liées à la dé-fense, mais vous avez aussi été en charge de projets concernant la politique technologique ayant des impli-cations tant civiles que de sécurité. Cela me conduit na-turellement à vous poser la question ; comment perce-vez-vous l'évolution des relations entre le pouvoir et la technologie.

Bruce Don : C'est une question fascinante. Je pense que ses aspects les plus intéressants concernent la rapidité des changements dans le domaine de la science et de la technologie ainsi que la nature incer-taine de ces changements. D'où un perpétuel défi: être toujours à jour et s'assurer de ne jamais être surpris.

Or, l'essence de l'innovation comporte plusieurs aspects très importants et directement liés. Lorsque l'on observe, par exemple, la progression rapide d'une in-novation qui va sans doute affecter la société, il est très difficile pour les gouvernements, dont la tendance est souvent quelque peu conservatrice, qui se veulent pru-dents ou qui sont dotés d'une lourde administration, de s'adapter à cette évolution et donc de faire des choix, notamment politiques, révolution technologique peut aussi changer notre vision du monde, comme l'a fait l'avènement des armes nucléaires qui a fondamentale-ment remodelé nos stratégies au cours du dernier demi-siècle.

La nature des changements affecte de nombreux domaines. La puissance technologique peut modifier l'importance des acteurs, qui ont un rôle sur la scène internationale, ainsi que cette scène elle-même. Elle peut également modifier les relations des États-nations entre eux et leurs rapports avec les autres acteurs de la

scène internationale, transformant de fond en comble les objectifs qui sont les nôtres, la nature du commerce et celle des conflits. Le plus difficile est de parvenir à comprendre dans quelle direction nous allons nous di-riger alors que se présente une grande diversité de pos-sibilités très intéressantes, mais paifois dangereuses, dont dépendra le futur.

C'est l'une des questions centrales.

Si vous observez les acteurs sur la scène inter-nationale, vous pouvez imaginer combien le progrès des biotechnologies pourra affecter la taille des popu-lations, mais aussi leur vieillissement. Il pourra même entraîner l'opportunité de décisions individuelles nou-velles - dans un certain environnement culturel - telle que le choix du sexe des enfants. Ces décisions pour-ront remodeler le type de populations qui pèsent le plus sur les États-nations car, évidemment, des populations plus vieilles, plus actives et en meilleure santé, auront, vis-à-vis de leurs gouvernements, des exigences socia-les bien différentes de celsocia-les d'aujourd'hui.

D'une manière générale, et surtout en Europe et aux États-Unis, ces populations sont, sauf quelques ex-ceptions, plus riches, mieux éduquées, mieux structu-rées politiquement, simplement parce qu'elles ont ac-quis leur richesse, construit leurs réseaux politiques, pratiqué le commerce et se sont dotées de plus d'in-fluence sur leur gouvernement que d'autres groupes de la société.

La donne entre les États-nations et, à l'intérieur de ceux-ci, va-t-elle être changée et comment ? Cela reste à voir, comme reste à voir le changement radical qui résulterait du choix du sexe des enfants

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qui pourrait bien arriver.

Il faut aussi noter, même si cela est moins net, que, dans ces populations on demande de plus en plus à " monsieur tout le monde " d'exercer, dans ses déci-sions quotidiennes, des facultés d'analyse technique su-périeures, ce qui n'était pas le cas dans le passé. On peut d'ailleurs soutenir par là que certaines parties de la population mondiale deviennent de plus en plus ap-tes à connaître et à comprendre les implications de la science et de la technologie, à poser des questions, et même à demander que l'on fasse preuve de retenue dans le développement de ces matières. Ces hommes et ces femmes deviendraient ainsi des consommateurs plus sophistiqués quant à ce que peuvent offrir la science et la technologie, soit sur le marché, soit par l'action gouvernementale. Tout ceci demeure flou mais

il est évident que nous sommes en présence de change-ments profonds.

A titre d'exemple, il vaut la peine de songer que

si la sélection des sexes nous paraît quelque chose d'un peu effrayant, point n'est besoin que les biotechnolo-gies parviennent à des bouleversements aussi extrêmes pour que la réalité des choix politiques soit transfor-mée d'une manière significative. Dans de nombreux pays, la possibilité pour les femmes de choisir le mo-ment de leur grossesse a déjà beaucoup fait évoluer les choses avec, en retour, des conséquences réelles en biotechnologie. Cela a modifié le rôle des femmes dans l'arène politique, non pas partout dans le monde, mais dans beaucoup de nos pays.

Le fait que le public réfléchisse à la science et à la technologie pourrait finir aussi par modifier la confiance en ce que j'appellerais la "théologie politi-que ", l'attrait qu'exercent les différents groupes et par-tis politiques sur leurs supporters, que ce soit directe-ment dans les démocraties ou· indirectedirecte-ment dans d'au-tres sortes de gouvernements. Le comportement des di-rigeants politiques s' en trouverait profondément modi-fié.

Aux États-Unis, l'administration actuelle tire une certaine fierté d' être compétente dans le domaine de la technologie et politiquement professionnelle. Mais s'agit.:il d'un changement de fond ou d'un carac-tère propre à cette administration ? La question reste ouverte.

Un autre aspect des choses doit être souligné : il

se pourrait que la stratégie de base des États-nations soit modifiée en fonction des opportunités offertes. Par exemple, il est clair que la Chine n'a pas la même conception en matière de propriété intellectuelle que l'Europe, le Japon ou les États-Unis. Mais on peut sou-tenir que plus le droit de la propriété intellectuelle, no-tamment dans le domaine des biens et services techno-logiques, deviendra une partie importante de

l'écono-mie, plus les dirigeants de ces États se rapprocheront des positions qui sont celles des pays technologique-ment plus développés. Dans vingt ans peut-être verra-t-on la Chine devenir un ardent supporter des droits

jacques Stem

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jacques Bouttes 69 SOCIÉTÉS CIVILES ET TECHNOLOGIES NOUVELLES

d'auteur et des brevets ... ce qui n'est certes pas le cas aujourd'hui. Là encore des changements stratégiques liés à des mécanismes profonds sont possibles.

J'ai beaucoup employé le terme " État-nation". Constater qu'avec le développement des communica-tions et des médias, le rôle des États-nacommunica-tions sur la scène internationale est en train de changer n'est pas une idée originale. Nombreux sont ceux qui ont évoqué

le développement des organisations

non-gouvernementales. Je pense qu'elles sont utiles car en faisant passer leurs messages celles-ci permettent aux citoyens des États-nations de découvrir des perspecti-ves plus attrayantes que le cadre strictement national. Il se crée, en quelque sorte, un processus plus

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plexe d'interactions et de relations que ce que nous avons connu dans le passé. D'aucuns ont ainsi annoncé la fin des États-nations et c'est une éventualité qui mé-rite réflexion, car si les organisations internationales et non-gouvernementales acquièrent davantage d'in-fluence et si vous admettez qu'il s'agit « d'un jeu à somme nulle», ailleurs quelque chose doit céder. Mais que cela produise un système plus prospère ou non reste à démontrer.

Robert A Wampler : Est-ce que les moyens d'action d'un gouvernement pour conduire et contrôler la technologie sont en train de changer et de modifier l'équilibre entre secteur public et secteur privé ?

Roger Fauroux 14

La fonnation et l'enseignement supérieur français:

FORCES ET FAIBLESSES

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I.E NUCliAIRE CIVIL EST·IL DÉPASSÉ ?

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PLAIDOYER POUR L'AVENIR

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Le programme Galiléo:

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Henri Corize 97 DÉFENSE ET TECHNOLOGIES Henri Martre 1 03 Aéronautique et spatiale: INDUSTRIE DE SOUVERAINETÉ Pierre M. Gallois 108

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jean-René Germain 116

FAUT•IL CRAINDRE UN RENOUVEAU DE LA SCIENCE RUSSE?

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Le calcul à haute perfonnance:

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HenriVan Damme 125

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AndréAmpelas 136

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LE (( PASSE SANS CONTACT>> ET LA RADIOLOCALISATION

Jean-Marie Chauvet 139

Le c:apital risque:

POUR UNE ÉCONOMIE DE L'INNOVATION

Vous avez évoqué les questions de légitimité politique et d'autorité alors que le public a, aujourd'hui un accès plus large aux diverses sources d'information

dans des domaines -il faut le souligner cependant - où les experts sont en désaccord. Vous avez également cité l'exemple des armes nucléaires, ce qui me conduit à

penser

à

l'article de Bill Joy : «Le futur n'a pas besoin de nous », évoquant les risques éventuels liés au déve-loppement de la biotechnologie, de la nanotechnologie, de la technologie d'auto-reproduction, et donc, au be-soin, à réfléchir sur l'éventualité de ces risques dès à présent et non plus tard. Joy soutient que nous devrions peut-être faire marche arrière dans certains domaines en considération de risques trop importants. C'est un problème politique auquel nous devons faire face, tout en étant conscients que ces technologies sont des élé-ments cruciaux pour la croissance économique a la pro-ductivité, ce qui a une incidence directe sur la puis-sance et la sécurité. Il apparaît que nous attendons des gouvernements a du public la recherche d'un équilibre très complexe.

Bruce Don : Oui. Vous avez raison de souligner ce point. Plus les incertitudes surgissent, plus les ex-perts sont en désaccord. La société, que ce soit les indi-vidus ou les organisations, va être de plus en plus solli-citée, beaucoup plus que par le passé, pour prendre des décisions fondées sur des données et des projections scientifiques. Il n'y a rien là de complètement nouveau et nous avons déjà connu des cas de ce genre. Si nous réfléchissons par exemple, à la stratégie de la guerre nucléaire, ce n'était certainement pas un domaine dans lequel quelqu'un désirait démontrer la justesse de ses thèses par l'expérimentation et même le pire agresseur n'était pas prêt à pousser la situation à l'extrême pour vérifier le bien-fondé de son pari.

En tant que société globale, nous avons réagi

à

cette nouvelle situation technologique en réfléchissant à la guerre en termes virtuels, en cherchant à en déter-miner les conséquences éventuelles et, dans certains cas, par des calculs infinis. Il y a eu une grande tenta-tive pour décrypter l'avenir en utilisant des schémas in-tellectuels, fondés sur des projections ou des spécula-tions scientifiques. La discussion sur l'hiver nucléaire, notamment, s'appuyait sur des modèles climatiques très sophistiqués, des débats sur l'état de la science et cela a certainement influencé le débat.

L'article de J oy est principalement centré sur ce type de problème : si l'on attend que les choses arri-vent, il est trop tard pour agir, nous devons donc anti-ciper l'avenir. Ainsi tout le monde, y compris l'électeur moyen aura tendance à s'appuyer de plus en plus sur des projections dans le futur.

Robert A. Wampler :Vous avez soulevé tout à

l'heure, un problème intéressant : les données technolo-giques qui vont influencer le futur vont émerger sur des arrière-plans culturels a historiques trè,s différents. La

plupart des analyses en Europe et aux Etats-Unis se

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tuent dans un contexte occidental. Ce qui va se produire en Asie pourrait être très différent, et donc avoir un au-tre effet sur la réalité stratégique de cette région, selon la détermination des acteurs et les utilisations qu'ils fe-ront de ces nouvelles technologies. Il ne s'agit pas seu-lement de procéder à des études technologiques, mais aussi à des analyses politiques, culturelles et commer-ciales. Les interactions dans les différents domaines sont constantes et il faut déterminer les positions de force qui en résultent.

Bruce Don : Oui. Il s'agit d'un système com-plexe. Il me vient souvent à l' esprit une anecdote éton-nante rapportée par J ared Diamond dans son livre "Germs, Guns and Steel". Elle ouvre une perspective très intéressante. L'auteur rapporte que lorsque le monde se préparait aux grandes expéditions, la Chine disposait déjà d'une flotte impressionnante qui avait commencé l'exploration du globe et qui était bien mieux organisée et financée que la plupart des missions européennes. Mais, pour une raison politique demeurée inexpliquée, ces bateaux ont été retirés et les Chinois mirent un terme à leurs projets d'exploration. Le monde d'aujourd'hui serait sans doute bien différent si cette dé-cision politique, portant sur l'utilisation de la technolo-gie, n'était pas intervenue. Des décisions de cette sorte peuvent marquer, en bien ou en mal, la forme du monde dans lequel nous vivons.

Ceci nous conduit à deux changements fonda-mentaux dans ce que j'appellerais la " pratique " de la politique.

Le premier, dont nous avons déjà parlé, résulte de la nécessité de prendre des décisions fondées sur des projections et non sur des faits et des données du monde réel.

Le second, découle de ce qu'il faut accepter l'in-certitude, notre incapacité de savoir où l'on va. Certains soutiennent que le système devient si complexe que l'on ne peut simplement pas savoir, même en étudiant avec acharnement, prédire le cours des choses. Cette consta-tation induit un changement de nos méthodes de ré-flexion.

En tant qu'individus, nous faisons face à ce type de situation d'une manière quasi-quotidienne. Par exemple, même si la météo prévoit un très beau temps, il peut nous arriver de prendre un parapluie ... « pour le cas où ... ».

Dans notre stratégie politique, nous ne devons plus nous demander quel est le meilleur choix dans la plus plausible des situations, mais rechercher quelle est la position la plus solide, la politique qui ne s'effondre-ra pas si la situation attendue ne se développe pas.

Dans un certain sens, le débat actuel sur les mo-difications climatiques reflète, en partie, cet état de choses : tout le monde est actuellement d'accord sur le fait que la température globale augmente, mais il n'y a

pas d'accord sur les causes du phénomène. Est-il natu-rel ou lié à l'activité humaine et à l'utilisation des hy-drocarbures ? Nous ne comprenons pas non plus vrai-ment le lien entre l'augvrai-mentation de la température et les dommages causés à 1 'humanité. Selon certaines pré-visions, la ville de New York sera un jour inondée, mais selon d'autres, des terres aujourd'hui désertiques deviendront verdoyantes et cultivables. Il peut donc y avoir des gagnants et des perdants.

Étant donné la complexité du problème et les difficultés pour prévoir avec exactitude les change-ments, vous pouvez dépenser de l'argent pour faire face à un problème qui ne se posera pas au lieu de l'affecter à des fins plus productives. Mais, si vous attendez et observez ce qui se passe jusqu'au moment où le pro-blème surgit d'une manière incontournable, il sera sans doute trop tard pour entreprendre quelqu'action que ce soit.

Choisir une politique flexible, capable de s'adap-ter tout en étant d'une certaine solidité, qui peut tenir compte des signaux et investir dans la recherche per-mettant d'en déterminer les causes, peut être finalement plus satisfaisant, y compris dans les relations internatio-nales.

[

...

]

Robert A Wampler : Ainsi se pose la question de savoir comment passer de la rechercher fondamental à la matérialisation de l'innovation ?, de la transforma-tion des percées de la recherche et du Développement en biens et services du marché ?

Bruce Don: Oui, et également l'éventail des ac-tions gouvernementales qui peuvent être pratiquées. Alors que la science a tendance à s'internationaliser de plus en plus nous n'avons pas, aux Etats-Unis, claire-ment défini dans ce domaine ce qui convient réelleclaire-ment à notre forme de gouvernement et de société. Nous avançons vers une coopération accrue, vers une en-tente générale en ce qui concerne les meilleures procé-dures. Les. scientifiques souscrivent entièrement à la coopération internationale, mais quand il s'agit de la matérialisation de l'innovation, on entre dans le do- . maine des secrets les mieux gardés des firmes privées.

Alors comment passe-t-on, dans les relations in-ternationales, de la coopération scientifique et techni-que à la compétition entre les biens et les services qui en sont le fruit ? Où se place le face-àjace entre les gouvernements

?

Que est le rôle du partenariat inter-national dans le secteur privé ?

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