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(J.L.)Les Flyers de Wellington Construction ont finale de la Ligue communautaire de hockey,

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(1)

r la de riomphent,

année consécu

.J (J.L.)Les Flyers de Wellington Construction ont triomphé e n finale de la Ligue communautaire de hockey, de leurs adversaires, les Drug Maris de Tyne Valley. dimanche après-midi au Centre récréatif Évangéline d’Abram-Village. Sur la photo, on voit le capitaine de l'équipe M. Jean-Paul Gallant, qui tient fièrement le trophée remis un peu plus tôt pur le président de la ligue, M. Urbain Poirier. On voit aussi M. Alphonse Arsenault de Wellington Construction: commanditaire de l'équipe et les entraîneurs qui, visiblement, font de l’excellent travail.

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IA VOIX ACADIENNE/ LE MERCREDI 27 MARS 1991

tiinistère des Transx>orts et des Tryaux publics Province de l’Ile-du-Prince-Edouard

Limitations de poids

MARS 1991, les limitations de poids suivantes sont entrées en vigueur :

ssieu et les poids enregistres, P~&US en vertu de l’article 2 des règlements de poids des vehicules t n s tolérance.

llers Rest

l s f # 1 8 A oad

Rte 243 est)

on Route 112 q u e

+ ir. Lot 16 : 1,4 k m _

ve

i

de Darnley Road ount Stewart

il 7

rer Road

& Summerside t l,o km à Lyle Road

Route 312 - - . la Route 2, distance de 1,0 km

: 2 à la Route 178 2

2; 1,0 km à l’ouest R o a d

East Unve, St-Elcanors, de la Route 2 à South Drive Avenue Dalton, Tignish, de la Route 14 à la Route 12 Sleepy Hollow Road, de la Route 236; 1.5 km à l’ouest Red Head Wharf Road, de la Route 2 au quai

Route 145 Route 150 Route 152 ,Route 153 Route 152 Route 155 Route 156 Route 177 Route 2 10 Route 223 Route 224 Route 225 Route 226 Route 231 Route 235 Route 236 Route 248 Route 254 Route 258

Route 267 Route 268 Route 270 Route 270 Route 301 Route 301 Route 308 Route 311 Route 315 Route 321 Route 340 Route 140 Route 14

Smallman Road de la Route 142; 1.27 km au nord

%artlett Road de la Route 142 à la Route 140 Leckie Road de la Route 14 à la Route 140 Mill River East Road de la Route 2; 5,7 k m à l’est Elmsdale à Albcrton

Alberton a Montrose Montrose à Tignish Route 2 à M iminegash De la Route 152 a la Route 156 De la Route 159; 2,25 km au nord De Wellington; 5,6 km au sud De Montague à Victoria Cross De la Route 2 à la Route 250 De la Route 7 à Bungay Road De la Route 1A à la Route 248

De la Route 2 à Johnston Road, Route 227 D e Ia Route 2 à Breadalbane

De la Route 248 à la Route 244

Lower Malpeque Road, Transcanadienne à la Route 2 De la Transcanadienne à la Route 225

De la Route 2; 1,25 km au nord New Glasgow à Anglo Rustico

Sherwood Road, de la Route 15 à la Route 2

Mt. Edward Road, de Sherwood Road à St. Peters Road Avenue Belvedere de la Route 2 à Charlottetown Promenade Riverside, de la Route 2 a Charlottetown Upton Road de la ‘Danscanadienne au Parc industriel West Royalty

Rue Granville, de la Route 2 à Summerside Pope Road de la rue Central à Green Road Crapaud Back Road

McEwen Road de la rue Water est à la rue Green Rue Water est de Reads Corner à McEwen Road Green Road de Pope Road à Summerside De la Route 270 à la fin de l’asphalte De la Route 270 à la Route 270 en passant par China Point

De la Transcanadienne à la Route 267 De la Route 268 à Mclnnis Point De la Route 16; 2,4 km au nord De la Route 16; 1,94 km au sud De la Route 2 à Sheehan Road

De la Route 4 à l’intersection de M o n t & Road De Wood Islands à la Route 4

De la Route 2 à Bangor De la Route 2 à la Route 3 10 De Bartlett Road à Leckie Road De la Route 145; 3,0 km au sud

De St. Peters au dépotoir de St. Peters

3 dans l’article 1 de cette notice, le poids maximum permis sur un essieu de direction est de 10 000 lbs, et sieu est de 12 000 lbs, sans tolérance.

taximum permis pour les vehicules servant au transport de bétail, d’aliments de bétail, de lait, de poisson par essieu et le poids enregistre tel que permis dans l’article 2 des règlements sur le poids des véhicules tolérance.

servant au transport d’aliments du bétail, de lait, de pommes de terre et de poisson sont tenus à rance et à destination des routes praticables en tout temps. Il est interdit d’utiliser les routes non praticables lurte distance et pour des raisons pratiques pendant cette période.

s servant au transport du lait en vrac doivent suivre un plan p&isant les routes pour camions qu’ils bation du ministre.

iu pave se produit sur n’importe quelle route, celle-ci pourrait porter des enseignes de poids permissible ae est affichée sur une route, le poids maximum permis sur cette route sera celui inscrit sur l’enseigne, lliquées.

trticle 7 de la Loi sur les routes, r&glements du poids des véhicules ( R o a d s Act. Vehicle Weight Regulations) Gordon MacInnis Ministre

Nouveau comité consultatif

sur les coopératives

Le ministre fédéral responsable des coopératives, Charles Mayer, a annoncé récemment la formation du nouveau comité consultatif sur les coopératives. Ce comité doit aider le gouvernement fédéral à répondre aux besoins du secteur des coopératives, selon un commu- niqué.

«Les membres du comité sont issus d’un large éventail de coopé- ratives de tous les coins du pays. Ils pourront donner au gouvernement fédéral des conseils éclairés sur des questions touchant leur secteur, a déclaré M. Mayer. Je me réjouis d’être appelé à travailler, au cours des deux prochaines années, avec chacun des membres.»

Le comité réunit 15 représen- tants d’organismes coopératifs des dix provinces. Le comité consultatif doit renseigner le ministre respon- sable des coopératives sur les opinions du secteur envers les politiques et les programmes gou- vernementaux. Les membres sont n o m m é s p o u r u n m a n d a t d e deux ans. Il s’agit du second comité consultatif sur les coopératives nommé par le gouvernement fédé- ral.

Le comité rencontrera le mi- nistre tous les deux mois. La pre- mière réunion a eu lieu à Ottawa les 12 et 14 mars. Pour l’Île-du- Prince-Édouard le représentant est M. Frank Driscoll du service d'expansion des coopératives de l’Île.*

1 ç a se montre.

S O L I l & . Vos dons de charité vous donnent des crédits d’impôt.

Recueillez les reçus, et le jour de votre déclaration, vous sourirez d’aise, car tout en faisant du bien aux autres, vous vous en serez fait à vous. C h a r k bien ordonnée commence par...un super grand coeur.

La générosité

réinventée

!

(3)

Est-ce que les érables coulent en hiver?

Souffrez-vous du nez de skieur?

La réponse est oui si votre nez coule lorsque vous sortez au froid. Dans certains cas, les gens ont l'impres-imprcs- sion d’avoir un rhume éternel. Mais il ne s ’agit pas d ’un rhume. Ni d ’une allergie.

Cela peut sembler insignifiant de se plaindre d ’un nez qui coule, mais le Dr Allan Knight, chef du dépar- tement d ’i m m u n o l o g i e d u Sunnybrook Health Science Centre de Toronto, affirme que «un Canadien sur 10 souffre d ’écoulement nasal chronique ou incontrôlable. Il s’agit d ’un pro- blème désagréable et souvent très gênant.»

Si le total dépasse 20 mouchoirs, vous souffrez probablement de rhinite vasomotrice. Certaines personnes se mouchent plus de 300 fois par jour! Cette affection peut toucher les hommes et les femmes de tout âge. Elle se mani- feste en présence d ’un déséquilibre des systèmes nerveux dans le nez, ce qui entraîne une production excessive d’acétylcholine,ac&ylcholin ~ substance chimique sécrétée par le système nerveux.

Traitement

effectué une étude sur un nouvel aérosol nasal qui réduit l’écoulement Jusqu’ à récemmentànZcemment , le traitement nasal causé par la rhinite vasomotrice de cette affection n'était pas satis - en bloquant l'acétylcholine. Cet faisant Mais il existe maintenan t aérosol est maintenant disponible un nouveau traitement permettan tauprès des médecins et permet de de soulager certains symptômes de traiter l'écoulement t n a s a l rhinite vasomotrice. Le Dr Knight a problématique.*

(4)

. . - - _ _ _ _ _ _ __ _ _ _ _ _ - . P - - . - - -

r - ,

Des jeunes de l'Ouest à la 12e Finale des Jeux

La Société des Jeux de l’Acadie inc. est fière d’annoncer la venue d’une délégation en provenance de l'Ouest canadien lors de la 12e Finale des Jeux de l’Acadie de Dalhousie, selon un com-

muniqué.

Le groupe invite sera forme d’une trentaine de jeunes francophones een provenance des quatre provinces de l’Ouest canadien. Ces jeunes athlètes, qui seront accompangés d’une quinzaine de personnes bénévoles, participeront sur une base hors-concours aux compétitions d’athlétisme prévues pour le dimanche 30 juin.

En plus de permettre à de jeunes francophones de l’Ouest canadien de vivre, en français, un événement d’envergure, la venue de ce groupe extérieur offrira la chance aux principaux intervenants de l’Ouest canadien d’étudier attentivement la structure organisationnelle des Jeux de l’Acadie.

Dans cette partie du pays, on parle depuis un certain temps de mettre sur pied un événement à caratère sportif et culturel pour les jeunes francophones.

La présidente de la Société des Jeux de l’Acadie inc., Fernande Paulin, s’est dite très heureuse de la venue de la délégation de l’Ouest canadien.

«Il nous fera grandement plaisir d’acceuillir en Acadie, en juin prochain, cette jeunesse de l’Ouest canadien. Compte tenu de la situation qui prévaut à l’heure actuelle au niveau national, nous sommes heureux et fiers de pouvoir ainsi contribuer à l'avan-

cernent de la francophonie canadienne» de dire la présidente de la Société des Jeux de l’Acadie Inc.

Les membres de la délégation invitée compétitionneront avec des chandails blancs lors de la rencontre d'athlétisme.*

(5)

Ligue communautaire de hockey Prince centre

Les Flyerss remportent la finale

e n cinq matches

Les Flyers de Wellington Cons- truction ont remporté la finale 6 à 4 contre les Drug Marts de Tyne Valley, dimanche après-midi devant leurs nombreux fans, au Centre de récréation d'Abram-Village. C,était le cinquième match d’une série 4 de7.

Claude Gallant et Keith Green des Flyers ont été nommés étoiles du match,avec respectivement deux buts et deux passes. et deux buts et une passe. A la fm de la première période, l e pointage était égal, 1 à 1, m a i s à la fin de la deuxième période, les Flyers avaient l’avance 4 à 2, avance qu’ils ont maintenue durant tout le match.

Les autres buts ont été marqués par Duke Cormier (l-l) et Ronald Arsenault (l-l). Kendall Bassett, Michel Arsenault, Dick Arsenault e t J e a n - P a u l . G a l l a n t o n t assisd chacun une fois: Le banquet de la Ligue aura lieu au mois d’avril.

C ’est la deuxième année consécutive que les Flyers remportent les finales de la ligue. Ils

ont vaincu Alberton l'année der- nière. L’année avant, ils avaient dû s’incliner devant Tyne Valley e n finale.

Tournoi intermédiaire « B » des Maritimes

Les Flyers de Wellington Construction participeront les 4,5,6 et 7 avril au Tournoi annuel intermédiaire « B » , qui réunira quatre équipes à Tyne Valley.

En plus des Flyers et des Drug Marts de Tyne Valley, il y aura une équipe de la Nouvelle-Écosse et une du Nouveau-Brunswick.

Les Flyers joueront contre Tyne Valley le jeudi 4 avril à 20 h, puis,

ils joueront une autre partie à 8 h le samedi, contre le Nouveau- Brunswick, avant d’affronter la Nouvelle-Ecosse à 16 h 30 cette même journée. Le dimanche, il y aura la partie de consolation et la finale.

M. Wayne Gallant, entraîneur de l’équipe depuis deux ans, croit que son équipe après s’être bien prati- quée durant les finales de la ligue communautaire, a des bonnes chances de remporter ce tournoi.

Il faut noter que la patinoire d e Tyne Valley est plus petite que celle d’Abram-Village et qu’elle permet moins de mouvement sur la glace.

Cela promet d’être un événement intéressant.*

(6)

Jo & C O de Summerside gagne un prix à Toronto

La compagnie de vêtement pour Jo & CO, dont Mme Joséphine enfants, Jo & CO de Summerside, Edge de Summerside est proprié- vient de mériter le prix pour le taire, offre des vêtements pour kiosque le plus original, à l’exposi- enfants âgés de. 1 à 10 ans, dans tion commerciale internationale des imprimes de ‘coton frais et Kidstyle, qui a eu lieu récemment à colore, et elle a aussi une ligne de Toronto, selon un communiqué. vêtement pour garçons.

En recevant le prix, Mme Edge a dit croire que les organisateurs

reconnaissaient non seulement l'originalité de son kiosque mais aussi l'originalité dans les vêtements que sa compagnie fabrique. Chaque.

morceau, selon elle, contient une touche unique, que ce soit un ruban ou une différent motif peint à la main. Son kiosque était recouvert d’un motif floral vert et les

contours du kiosque étaient soulignes d’une guirlande de fleurs séchées.

Maigré que la plupart des quel- que 200 participants à l’exposition ont semble subir les contrecoups de la récession économique, Mme Edge a vu ses commandes ‘se multiplier.

Ses produits seront dorénavant ven-

dus de Terre-Neuve jusqu’en Alberta. Les vêtements Jo & Co sont également en vente à Summerside.

Jo & Co est l’une des compagnies qui a profité de l’assistance finan- cière et technique du Projet pilote du développement de l'artisanat dans le comte de Prince.*

(7)

LA VOIX ACADIENNEfE MERCREDI 27

de la correspondance par mentetàl’expéditiondu otocopies et d’impression

en son absence

urs de secrétariat serait ordinateurs et du logiciel areils d e bureau

i

faire parvenir leur lettre urriculum vitae avant le

!

rois PRO-KENT

un journaliste ri3@xUlaE&

le lGlphlion

R hebdomadaire Blih~Gon

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le damine journdis?ique.

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Programme d’érucjication du virus de la pomme de terre

Agriculture Canada et les agen- Prince-Édouard se sont entendus sur ces de la pomme de terre du

Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-

la mise au point d’un programme d’&adication du virus PYVn de la

OFFRE D’EMPLOI Le

C e n t r e p r é s c o l a i r e d u C a r r e f o u r d e I % l e - S a i n t - J e a n

e s t à l a r e c h e r c h e d ’u n e p e r s o n n e c o m p é t e n t e p o u r c o m b l e r l e p o s t e d ’é d u c a t e u r / t r i c e à l a g a r d e r i e .

F O N C T I O N S :

- r é p o n d r e a u d i r e c t e u r o u a l a d i r e c t r i c e t o u t e n f o r m a n t u n e é q u i p e d e t r a v a i l v e i l l a n t à l a b o n n e m a r c h e d u C e n t r e p r é s c o l a i r e . - p l a n i f i e r , s u p e r v i s e r e t e x p l o i t e r l e p r o g r a m m e é t a b l i a v e c l a

d i r e c t r i c e .

- a s s u r e r u n e b o n n e q u a l i t é d ’ é d u c a t i o n e t m a i n t e n i r d e b o n n e s r e l a t i o n s a v e c l e s p a r e n t s .

- a d a p t e r l e p r o g r a m m e s e l o n l e s b e s o i n s i n d i v i d u e l s .

- r e s p o n s a b l e d e l ’ a r r a n g e m e n t s p a t i a l , l ’ o r d r e , l a p r o p r e t é , l a s é c u r i t é du milieu.

- accepter toutes autres responsabilités relatives au bon fonctionne- ment du Centre.

E X I G E N C E S ;

- c e r t i f i c a t e n t e c h n i q u e d e g a r d e r i e o u r é p o n d r e a u x c r i t è r e s d ’é d u c a t e u r / t r i c e d e * C h i l d C a r e F a c i l i t i e s B o a r d n

- e x p é r i e n c e m i n i m u m d e 1 a n e n m i l i e u d e g a r d e r i e . - t r è s b o n n e c o n n a i s s a n c e d u f r a n ç a i s p a r l é e t é c r i t S A L A I R E :

- A n 6 g o c i e r s e l o n l ’ e x p é r i e n c e e t l e s c o m p & e n c e s . D A T E L I M I T E : l e 1 8 a v r i l 1991.

V e u i l l e z f a i r e p a r v e n i r v o t r e d e m a n d e d ’e m p l o i a c c o m p a g n é e d e v o t r e c u r r i c u l u m v i t a e a :

S e c r é t a r i a t c o m m u n a u t a i r e f r a n c o p h o n e M . É m i l e G a l l a n t

C . P . 2 7 3 7

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L i c e n c e n o : L 9 2 2 7 9 0

q j a @ ? O F F R E D ’ E M P L O I

L’hebdomadalre fransaskois L’Eau vive est A la recher- che d’une rbdacteur.trice en chef. Ce

poste consiste à :

, assurer la publication d’un hebdomadaire;

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. assurer la couverture adbquate des &&nements se rapportant aux Fransaskoises et pouvant les intbreser;

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participant à 10 publication du journal.

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poss6der au moins deux ans d’expérience en rédaction en chef;

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. A n6gocier selon t’expérience.

Entde en foncffon

. Juin 1991. Ce poste est d’une durée d’un an.

Faites parvenir votre curriculum vitae avant le 15 avril à : R o l a n d P i n s o n n e a u l t , p r é s i d e n f , C o o p é r a t i v e d e s p u b l i c a - l i o n s f r a n s a s k o i s e s . 2 6 0 6 r u e C e n t r a l , , R é g i n a , S K S 4 N 2 N 9 T é l . : 3 0 6 - 3 4 7 - 0 4 8 1 F a x : 3 0 6 - 5 6 5 - 3 4 5 0

M A R S 1 9 9 1

pomme de terre, selon un com- muniqué.

Les gouvernements fédéral et provinciaux ainsi que les agences de mise en marché croient que ce plan d’éradication Climinera la maladie et permettra de rétablir les échanges commerciaux dans le secteur.

Le plan prévoit l’élimination de toutes les pommes de terre de semence ,certifiées atteintes ou soupçonnées de l’être. Certaines restrictions au transport intirieur de pommes de terre de semence seront maintenues pour éviter de propager la maladie dans les autres provinces.

Des mesures d’éradication sévèresserontmisesenoeuvreavant et pendant la campagne agricole, y compris des restrictions à l’utili- sation des terres, des inspections sur le terrain, des échantillonnages exhaustifs et la poursuite d’un programme intensif de tests en laboratoire. Au cours de la cam- pagne, tout lot soupçonné d’avoir été atteint par le virus sera immédiatement détruit.

Les États-Unis. ont restreint les importations de pommes de terre canadiennes plus tôt cette année après la décou,verte du virus à l’lledu-Prince-Edouard.

Les n@c@ons en? AgricuI- ture Canada et les Etats-Unis ont déjà conduit à un relâchement notable des restrictions américaines aux importations. La prochaine étape sera de mettre au point un prog ramme de compensation pour les producteurs touchés, dans le ca- dre de la Loi sur la défense des végétaùx.*

j’épelle avec «Moi Larousse»

un enseignant à l'école StoneparkécoleStonepark Junior High de Charlottetown,

‘Sylvain Gendron, s’est rendu en finale au concours «Moi j’épelle avec Larousse» la semaine dernière

a u cours de l’émission BONJOUR

ATLANTIQUE, à la radio de Radio- Canada selon un communiqué.

A ce titre le gagnant de l’Ile-du- Prince-Edouard a reçu le Petit Larousseillusrré, le Mémo Larousse et le Dictionnaire des synonymes, prix attibués également au gagnant du Nouveau-Brunswick, Larry Landry et à la gagnante de la Nouvelle-Ecosse, Claude Desaulniers.

Le concours «Moi d’épelle avec Larousse», qui en est à sa deuxième année, suscite de plus en plus d’intérêt chez les auditrices et les auditeurs de CBAF, et plus particu- lièrement chez les jeunes qui y ont participé en grand nombre cette année.*

(8)

Programme d’éradication du virus de la pomme de terre

Agriculture Cana& et les agen- Prince-Édouardsesontentendussur pomme de terre, selon un com- ces de la pomme de terre du

Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-

la mise au point d ’un programme muniqué.

d’éradication du virus PYVn de la Les gouvernements fédéral et provinciaux ainsi que les agences de mise en marche croient que ce plan d’éradication Climinera la maladie et permettra de rétablir les échanges commerciaux dans le secteur.

Le plan prévoit l'élimination de toutes les pommes de terre de semence certifiées atteintes ou

soupçonnées de l’être. Certaines restrictions au transport intérieur de pommes de terre de semence seront maintenues pour éviter de propager la maladie dans les autres

provinces.

Des mesures d’éradication sévères seront mises en oeuvre avant et pendant la campagne agricole, y compris des restrictions à l’utili- sation des terres, des inspections sur le terrain, des échantillonnages exhaustifs et la poursuite d ’un programme intensif de tests en laboratoire. Au cours de la cam- pagne, tout lot soupçonné d ’avoir été atteint par le virus sera immédiatement détruit

Les États-Unis. ont restreint les importations de pommes de terre canadiennes plus tôt cette année après la découverte du virus à l’Ile-du-Prince-Édouard.

tre Agricul- tu États-Unis o n t déjà conduit à un relâchement

notable des restrictions américaines aux importations. La prochaine étape sera de mettre au point un prog ramme de compensation pour les producteurs touches, dans le ca- dre de la Loi sur la défense des végétaux.*

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LA VOIX ACADIENNE/ LE MERCREDI 27 MARS 1991

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(Photo fournie)

« C ' a p r i s q u e l q u ’u n a v e c b e a u c o u p d e c o u r a g e e t d e c o n v i c t i o n p o u r c o m m e n c e r l a C o o p é r a t i v e d ’a r t i s a n a t c u l t u r e l » p e n s e s a secrétaire-artisane M m e E v a R i c h a r d d e W ellington.

E l l e a d m i r e b e a u c o u p l e s f o n d a t e u r s d e c e t t e c o o p é r a t i v e , d e s g e n s c o m m e G i l l e s M ichaud, A n n e Mcisaac et M a r y B o y d , car ils l’o n t m i s e s u r p i e d e n 1 9 8 5 ur créer d e s e m

des personnes

f o n d a t e u r s y o n t c o n s a c r e d e s c e n t a i n e s d ’h e u r e s d e b é n é v o l a t p o u r a s s u r e r q u e c e t t e p e t i t e e n t r e p r i s e s a i s o n n i è r e f o n c t i o n n e b i e n . L a c o o p é r a t i v e , officiellem e n t nommée « C u l t u r e C r a f t s Co-op», e s t s i t u é e à c ô t é d e l ’é g l i s e I m m a c u l é e C o n c e p t i o n d e W ellington Centre. A u c o u r s d e s a n n é e s , e l l e a b é n é f i c i é d e p l u s i e u r s o c t r o i s , c o m m e c e u x d e «Plura», q u i l u i o n t p e r m i s d e c o n t i n u e r à vivre.

S a n s c e t t e a i d e , l e p r o j e t a u r a i t p u f a c i l e m e n t échouer.

L e s o c t r o i s d i m i n u e n t c o n t i n u e l l e m e n t m a i s l e s v e n t e s a u m a g a s i n a u g m e n t e n t , d o n c l e f u t u r d e l a c o o p p a r a i t a s s e z p o s i t i f . L ’a n dernier, les ventes ont presque atteint la marque de 18 000 $ . H u i t p e r s o n n e s o n t t r a v a i l l é à la c o o p l’a n p a s s é a f i n d ’y p r o d u i r e de l’a r t i s a n a t e n b o i s , s p é c i a l e m e n t d u s t y l e s c u l p t e . L e s c a n a r d s e n b o i s s o n t p a r t i c u l i è r e m e n t p o p u l a i r e s à la c o o p c e p e n d a n t , d ’a u t r e s a n i m a u x e t p e r s o n n a g e s f i g u r e n t a u répertoire d e l ’entre- prise.

E n p l u s , c e r t a i n s e m p l o y é s o n t d é j à f a i t d e l a p e i n t u r e t a n d i s q u e d ’autres ont fabrique des paniers.

Plusieurs cours ont déjà é t é offerts en vue de perfectionner le travail d e c e s e m p l o y é s .

L a b o u t i q u e d ’artisanat vend également à c o m m i s s i o n d e s p r o d u i t s d ’u n e q u a r a n t a i n e d ’a u t r e s a r t i s a n s l o c a u x . M m e R i c h a r d , e l l e , confectionne des couvertes et fait du tricot et des peintures à l’huile p o u r v e n d r e à l’artisanat.

C e t t e c o o p é r a t i v e d ’artisanat fonctionne différemment de la plupart d e s a u t r e s c o o p é r a t i v e s d e l a région : c ’est une coopérative ouvrière.

C e l a s i g n i f i e q u e s e u l s l e s e m p l o y é s p e u v e n t d e v e n i r m e m b r e s . L e C o n s e i l d ’a d m i n i s t r a t i o n , q u i e s t e n p l a c e p o u r a g i r c o m m e c o m i t é - c o n s e i l , e s t f o r m é d e l a présidente Isabelle M c A r t h u r , d u vice-president Ernerst A rsenault, de la secrétaire E v a R i c h a r d , d u trésorier D a v i d McIsaac e t d u c o n s e i l l e r G i l l e s M i c h a u d .

A n n e M c I s a a c e s t g é r a n t e d e l a coop.

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L e m a g a s i n e s t o u v e r t d e j u i n à l’a u t o m n e , c h a q u e a n n é e , m a i s certains e m p l o y é s s o n t e n f o n c t i o n d è s l e p r i n t e m p s afin d e p r o d u i r e d e s pièces p o u r v e n d r e e n été. *

Cette chronique, fournie par le

Conseil de la coopération de l’Î.-P.-É.,

(10)

)I 27 MARS 1991 PAGE/ 15

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Encore devant les tribunaux

Par Yves LUSIGNAN OTTAWA (APF) : Le conseil de la vie française en Amérique veut faire reconnaître en Cour fédérale le droit d’obtenir de l’aide juridique en langue française.

Selon l’organisme de défense des intérêts des francophones, le gouvernement fédéral a déjà signé des ententes avec les provinces et les territoires, portant sur l’aide juri- dique en matière de droit criminel,

mais ces ententes ne contiennent aucune disposition sur la prestation du service dans les deux langues officielles. Résultat : les franco- phones de la plupart des provinces et des territoires ne peuvent obtenir de l’aide juridique en matière criminelle dans leur langue officielle.

Pour le Conseil, il s’agit là d’une violation de la Charte c a n a d i e n n e d e s d r o i t s e t libertés.*

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Afin d’assurer i tous, sur une base égale, les mêmes chanoes. nous encourageons ta participa- tion équitable des femmes, des autochtones, des membres des minorités visibles et des personnes handicapées.

Les renseignements personnels sont protégés par la Loi sur la p r o t e c t i o n d e s r e n s e i g n e m e n t s p e r s o n n e l s . I l s s e r o n t conservés dans le fichier de renseignements personnels C F P @ P U - 0 4 0 .

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(11)

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LA VOIX ACADIENNE/ LE MERCREDI 27 MARS 1991

SA REPRÉSENTANTE

Madame Angèle Richard de Miscouche siégera au Conseil d’administration de la Fédération canadienne pour l'alphabétisation en français pour l'année 1991- 1992. Ce nouvel organisme, fonde le 3 mars dernier à Ottawa, sera administré par un Conseil de 12 personnes dont trois (3) viennent des provinces de l’Atlantique : Madame Richard de l'Île-du-Prince-Édouard, M. Hugues Chiasson, employé de la Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse et M. Roger Doiron, intervenant du Nouveau-Brunswick.

Angéle est une Acadienne qui tient à coeur la survie de la langue française. Elle démontre son engagement à cette cause dans sa vie de tous les jours. Ses nom- breuses expériences feront qu'Angèle pourra beau- coup contribuer à la Fédération canadienne pour l'alphabétisation en français.

A I M E S - T U C H A N T E R ?

Voici une belle chanson à apprendre si tu ne la connais pas

d é j à .

VIENS VOIR L’ACADIE Reftain

Viens voir /‘Acadie Viens voir le pays Le pays qui m’enchante Je le le dis

Je te le chante Je te le crie Je te le montre.

3.

4.

1. Deux cents ans ont passe On a fait qu’exister Perdu dans le silence Si tu regardes au loin Tu verras qu’on revient On remonte la pente.

Tkouteras des poetes T’entendras des chansons Le matin qui se leve Si les airs du passe Savent encore te charmer Tu seras de ia fête.

5.

2.

Tu verras des pêcheurs Des gars qui ont du coeur Et pleins de courage L’air pur de I’odan L’odeur des coquillages Parfumeront ton visage.

T’écriras sur la greve T’iras boire a la mer Qui a berce nos rêves T’écouteras le vent du large T’raconter des naufrages Dans une nuit trop brève.

Tu trouveras des copains Des amis acadiens Qui panent ta langue Si tu viens sous mon toit Ce sera comme chez-toi On saura te comprendre.

Cette belle chanson, viens voir Z’Acadie, a été écrite par Donat Lacroix, un Acadien du Nouueau-Brunswick.

Toute personne Lis chacune des phrases suivantes phrase, encercle les mots bizarres.

mots-là sur la ligne.

BONNE CHANCE!

r - - - e - e - - s Découper IcT

MOTS BIZARRES

I I I I I I I I 1 I I I I I I I I I I I I I I I I I

I I I I I I I I I

I

1. Chez grand-mere, c’est toujours un deliœ de coi 2. En sa qualite de paire de la ville, il a dû Elever la 3. Autrefois on se servait de chaud pour blanchir le!

4. Lesecologistescroient que les pluies avides caus de nos régions.

5. C’est par hagard que le facteur m’a livre le court 6. J’ai le coût de lire un givre d’histoires.

7. Le fermier pense a germer la carrière pour empC 8. La sauteur a failli se passer une jambe en faisar 9. Pour une prise de sang, I’infirmiere enfonce une 10. Papa meditera une tension de vieillesse à l’âge 11. Le levrier que nous possedons appartient a une 12. Maman branche le râteau au chocolat.

13. J’aime rider papa a enlever les cendres du noyc 14. Ces pedales de fleurs degagent une lenteur agr 15. Grand-papa est tres pieux et marche avec une 1 16. La voisine a prouve la cle dans la ferrure de la 1

Envoie ton exercice complété à l’adresse suiuank

AA-. . I _ -

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Le ministre Bernard est troublé par le

Programme de contrôle à quai

Le ministre des Pêches et de l'Agriculture de l’Î.-P.-É., Léonce Bernard, continue d’être très inquiet quant au Programme de contrôle à quai du gouvernement fédéral suite aux réunions publiques tenues récemment afin d’expliquer les détails du programme aux pêcheurs de l ' Î l e . Il a déclare la semaine dernière que le ministère des Pêches et des Océans force les pêcheurs de l'Île à accepter un programme qu’ils n’appuient aucunement et qu’ils devront, de surcroît, payer, selon un communiqué.

En vertu de ce programme discutable, un certain nombre de flottes de pêche du Golfe du Saint- Laurent devront faire vérifier leurs

prises par des contrôleurs indépen- dants chaque fois qu'ils entreront au port. A l'Î.-P.-É., les navires de crabe des neiges et les navires d’appareillage mobile de poisson de fond qui pêchent le sébaste, la morue et la plie devront se sou- mettre à cette procédure de contrôle.

Malgré les nombreuses discus- sions ayant eu lieu au cours des quatre derniers mois, auxquelles participaient des administrateurs fédéraux et provinciaux et des représentants de l’industrie, M. Bernard croit encore que le concept de base de contrôle à 100 pour 100 est erroné. Une autre solution basée sur des vérifications au hasard de navires, élaborée par

l’industrie de l'Î.-P.-É. au cours de l’hiver, a été rejetée par les admi- nistrateurs fédéraux régionaux.

M. Bernard a identifié d’autres domaines inquiétants tels les coûts aux pêcheurs et le principe de financement par l’usager.

M. Bernard a déclaré que la cause du problème réside avec le ministre fédéral et la façon autoritaire dont il introduit d'importants change- ments à l’industrie des pêches. Une gestion efficace ne peut être ac- complie qu’avec l’appui de l’in- dustrie. Il continue en mentionnant quelamiseenoeuvreduprogramme sera malheureusement difficile pour tous les intéressés en raison du manque de consultation quant à sa structure de base.

La mise en application du Pro- gramme de contrôle à quai doit être terminée au début du mois d’avril afin de permettre le début de la pêche printanière. M. Bernard a terminé en déclarant que ses admi- nistrateurs continueront d’aider l’industrie tout au long de cette période afin de s’accommoder de la situation.*

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L e s

be rceuses

ramassent 2ooo$

(J.L.) Chaque année, au diman- che des rameaux, les dames de la paroisse de Mont-Carmel se réunis- sent pour le traditionnel bercethon au profit de la paroisse. Dimanche après-midi, 18 dames se sont ber- cées, de 13h à 19h, à en attraper mal aux jambes. Parmi elles, on pouvait voir Mme Marie-Rose Gallant, âgée de 94 ans, qui vient fidblement chaque année se bercer avec son tricot (sa brochure). Les berceuses avaient recueilli 1988 $ au moment de la photo et l’argent continuait de rentrer. La principale organisatrice, Mme Léona Poirier, avait confiance qu’elles réussiraient à atteindre les 2 000 $, comme l’année passée.

L’argent sera versé au fonds général de la paroisse.

De gauche à droite au premier rang, on voit Mmes Léona Poirier Alaine Richard, Marte-Rose Gallant, Anita Arsenault, Marguerite Gallant et Joséphine Gallant. Au second rang, on aperçoit Mmes Ciaudette Poirier, Sophie Richard, Yvette Poirier, Cécile Aucoin, Freda Poirier, Rita Gallant.

Léonie Gaiiant, Eunice Gallant, Marguerite Richard, Aline Richard, Hermine Richard et Marguerite Gallant.

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IA VOIX ACADIENNE/ LE MERCREDI 27 MARS 199 1

mMllage augmente ses taxes

1 tis hidants du village ont voté

‘nanimement en faveur de cette usse,

1

lors de la réunion annuelle la municipalité, le 18 mars au lub 50. 11 s’agissait de la première busse de taxe depuis l’incorpora- bn du village, en 1974.

j, Selon le président du village,

i o l e

(avtaire 1,. /eLne

: a n s

mne-Mance AnenwN, cant&enci&e sidente des cours communaufaffes , ccwr&nnattke pravinciale des cours gOteau du 25e anniversaire.

pris des cours, soit 113 avant Noël et 107 dans les neuf cours offerts dès le mois de janvier. La trésorière Lucie Gallant a présenté un rapport

&montrant q u e l e s c o u r s communautaires terminaient leur exercice avec un léger surplus de 363,48 $.

Dans son rapport, la présidente, Mme Léona Gallant, a tenu à remercier la direction de l’école Évangéline, pour les locaux.

Les instructeurs des cours communautaires réguliers ont reçu une banque en forme de pièce d’un dollar tandis que les instructeurs des cours d’artisanat de Noël et les 11 membres du comité organisateur ont reçu un certificat.

Durant toute la durée des cours communautaires, des prix de ptisence ont été tir&, grâce aux contribu tions,de 26 commanditaires de la région Evangéline. *

M. Wendell Gallant, cette hausse est devenue nécessaire pour pallier

à u n e réduction de 2 pour 100 dans

les paiements d’égalisation aux municipalités, provenant de la province. En 1989, ce paiement s’élevait à 27 749 $ pour baisser à 27 010 $ en 1990. Cette somme comprenait les 20 000 $ destinés au centre de rkrtktion. En 1991, ce- pendant, la somme destinée au centre-de rkréation a éti reduite à 15 000 $ et le village ne conser- vera plus que 6 870 $, plutôt que le 7 OlO$quirestaiten 1990. Deplus, le coût d’exploitation des lumières le long des rues est continuellement à la hausse et il atteindra 5 200 $ en 1991,alorsqu’ilétaitde4528$en 1990.

Le Village d’Abram-Village as- sume le prix des cotisations au département des pompiers de Wellington. Selon le rappon du

Mme

chef des pompiers, M. Leonard Gallant, il n’y a u r a p a s d’augmenta- tion des cotisations cette année.

Abram-Village a terminé l’année avec un léser déficitde 3 54 1% Une fois ajouté au déficit accumulé, la somme dépasse 13 000 $. Selon M. Ga&nt, cela n’est pas dramati- que étant donné que le système des égoûts est en excellente posture financière, avec un surplus de prés de 40 000 $ pour 1990. Chaque utilisateur du système d’égoût paie une cotisation de 130 $ par année. Il y a aussi les subdivisions qui sont B vendre et qui rapportent

6 000 $ clair chacune.

D’autre part, il semble que les villageois soient aux prises à leur tour avec des chauffards qui sillonnent les rues en faisant crisser les pneus de leur véhicule.

Certaines personnes, demeurant près du centre de récréation, disent

qu’il est dangeureux pour les en- fants de circuler a pied dans les parages et les gardent à la maison.

Ils ont demandé au conseil de s’occuper de cette question et s’il le faut, de faire comme à Wellington, organiser une réunion pour mettre au point une stratégie avec des représentants du détachement de Summerside de la Gendarmerie royale du Canada.

Dans son rapport, M. Wendell Gallant, nommé président à la suite des élections municipales tenues en novembre 1990, a rap- pelé la tenue des Jeux de l’Acadie.

Pour l’année 1991, le comité des égoûts sera formé de M. Elmer Gallant, de M. Claude Gallant et de M. Georges Robichaud. Les membres du comité du char allégoiique seront Georges Robichaud, Eva Arsenault et Yvonne D. Arsenault.*

Basélice Gallant a 106ans

(J.L.) C'était la fête dimanche après-midi alors que la famille de Mme Basélice Gallant de Baie- Egmonl avait organisé une porte-ouverte à l'occasion de son 106e anniversaire. Mme Gallant est à présent la plus vieille personne de l'Île-du-Prince-Edouard.

L'album de famille comprend toutes /es découpures de presses où il est question de Mme Gallant Lors de son centenaire, on lui uvuif compté 299 descendants directs, dont 84 petits-enfants et 182 arrières-petits-enfants. Depuis ce temps, le nombre de ses descendants n'a cessé d’augmenter et elle est plusieurs fois arrière-arrière-grand-mère.

Mme Basélice Gallant est ici à l a place d’honneur qui lui revient, entourée de Mme Irène Arsenault de Baie-Egmont (à gauche) et de Mme R i t a Draper d'Ottawa (à droite). Au second rang, de gauche à droite, on voit Mme Madeleine Richard de Montréal, John Gq//ur? de. Baie-Egmont Norman Gallant et Léo Gallant tous deux de Suint-Jeun.

(16)

PAGE/ 10 IA VOIX AC

Abram-Village augmente ses ta

Par lucinthe LAFOREST tes résidants du village ont voté unanimement en faveur de cette Les tisidants d’Abram-Village hausse, lors de la réunion annuelle verront leurs taxes municipales de la municipalité, le 18 mars au a u g m e n t e r de 12,5 sous à 16 sous du Club 50. Il s’agissait de la première

100 $, ceci afin de garder un budget hausse de taxe depuis l’incorpora- équilibré de 28 270 $ pour tiondu village, en 1974.

l’annee 1991. Selon le président du village,

L’école

communautaire Évangéline

a 25 ans

De gauche à droîte on voit Mme Jeanne-Mance Arsenault conférencière invitée, Mme Léona Gallant présidente des cours communautaries Évangéline et Mme Dianne Doucette coordonnatrice provinciale des cours communautaries. Elles coupent le gâteau du 25e anniversaire.

Par Jacinthe LAFOREST Le banquet de clôture des cours communautaires Evangéline est toujours un événement attendu avec impatience par les participants et leurs invités, particulièrement pour ceux et celles qui y reçoivent leurs diplômes.

Cette année, la fête revêtait un caractère particulier car on y soulignait le 25e Anniversaire de 1’école communautaire Evangéline.

On a invité Mme Jeanne-Mance Arsenault, conférencière invitée ct veuve de M. Euclid Arsenault, qui a été le premier président des cours communautaires, à couper le gâteau de fête, en compagnie de la présidente, M m e Léona Gallant et de Mme Dianne Doucette, coordonnatriceprovincialedescours communautaires.

Un total de 220 personnes ont

pris des cours, soit 113 avant Noël et 107 dans les neuf cours offerts db le mois de janvier. La trésorière Lucie Gallant a présenté un rapport d é m o n t r a n t q u e l e s c o u r s communautaires terminaient leur exercice avec un léger surplus de 363,48 $.

Dans son rapport, la présidente, Mme Léona Gallant, a tenu à remercier la direction de l’école Évangéline pour les locaux.

Les instructeurs des cours communautaires réguliers ont reçu une banque en forme de pièce d’un dollar tandis que les instructeurs des cours d’artisanat de Noël et les 11 membres du comité organisateur ont reçu un certificat

Durant toute la durée des cours communautaires, des prix de présence ont été tirés, grâce aux contributions de26 commanditaires de la région Évangéline. *

M. Wendell Ga&nt, cette hausse est devenue nécessaire pour pallier à une rkiuction de 2 pour 100 dans les paiements d’égalisation aux municipalités, provenant de la province. En 1989, ce paiement s’élevait a 27 749 $ pour baisser à 27 010 $ en 1990. Cette somme comprenait les 20 000 $ destinés au centre de r&r&tion. En 1991, ce- pendant, la somme destinée au cenue-de récréation a été reduite à 15 000 $ et le village ne conser- vera plus que 6 870 $, plutôt que le 7 010 $ qui restait en 1990. De plus, le coût d’exploitation des lumières le long des rues est continuellement à la hausse et il atteindra 5 200 $ en 1991, alors qu’il était de 4 528 $ en 1990.

Le Village d’Abram-Village as- sume le prix des cotisations au dtpartement des pompiers de Wellington. Selon le rapport du

Mme

chef des pompiers, M. Leo Gallant, il n’y aura pas d’augmc tion des cotisations cette année Abram-Village a terminé l’a avec un léger déficitde 3 54 1 $.

fois ajouté au déficit accumul somme dépasse 13 000 $. S M. Ga&nt, cela n’est pas Dray que étant donné que le systèml égoûts est en excellente po financière, avec un surplus de de 40 000 $ pour 1990. Ch utilisateur du système d’é paie une cotisation de 130 : ann6e. Il y a aussi les subdivi qui sont ài vendre et qui rappc

6 000 $ clair chacune.

D’autre part, il semble qu villageois soient aux prises à tour avec des chauffards sillonnent les rues en fa crisser les pneus de leur véh:

Certaines personnes, demé près du centre de récréation, <

Basélice a 106al

Q .1.) C’était lu fête dimanche upfès-midi ulon que lu fur Egmonf uvuif organisé une porte-ouverfe 0 bccusion d est à pksenf lu plus vieile personne de I’jle-du-Prince- L’album de fumile comprend foutes /es découpures de pr Lors de son centenaire, on lui uvuif compté 299 descer 182 urfièfe-pefifs-enfunfs. Depuis ce temps, le nombfe de et elle est plusieun foi3 unfère-urrière-grund-mère.

Mme Buséiice Gu//unf est ici à Iu place d’honneur qui lui fi de Baie-Egmonf (à guuche) et de Mme Rita Druper d’C gauche à droife, on voif Mme Mudefeine Richurd de A Nomun GuNunf ef Léo Gu//unf, fous deux de SuinfJea

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Abram-Village augmente ses taxes

Les

résidants du village ont vote unanimement en faveur de cette Les résidants d’Abram-Village hausse, lors de la réunion annuelle verront leurs taxes municipales de la municipalité, le 18 mars au

augmenter de 12,5 sous à 16 sous du Club 50. Il s’agissait de la première

100 $ ceci afin de garder un budget hausse de taxe depuis l’incorpora- équilibre de 28 270 $ pour tion du village, en 1974.

l'année 1991. Selon le président du village,

M. Wendell Gallant, cette hausse est devenue nécessaire pour pallier

à une réduction de 2 pour 100 dans

les paiements d’égalisation aux municipalités, provenant de la province. En 1989, ce paiement s’élevait à 27 749 $ pour baisser à 27 010 $ en 1990. Cette somme comprenait les 20 000 $ destines au centre de récréation En 1991, ce- pendant, la somme destinée au centre-de récréation a é t é reduite à 15 000 $ et le village ne conser- vera plus que 6 870 $ plutôt que le 7 010 $ qui restait en 1990. De plus, le coût d’exploitation des lumières le long des rues est continuellement à la hausse et il atteindra 5 200 $ en 1991, alors qu’il était de 4528 $ en 1990.

Le Village d’Abram-Village as- sume le prix des cotisations au département des pompiers de Wellington. Selon le rapport du

chef des pompiers, M. Leonard Gallant, il n’y aura pas d’augmenta- tion des cotisations cette année.

Abram-Village a terminé l’année avec un léger déficit de 3 54 1 $ Une fois ajoute au déficit accumulé, la somme dépasse 13 000 $. Selon M. Gallant, cela n’est pas dramati- que étant donné que le système des égoûts est en excellente posture financière, avec un surplus de près de 40 0 0 0 $ pour 1990. Chaque utilisateur du système d’égoût paie une cotisation de 130 $ par année. Il y a aussi les subdivisions qui sont à vendre et qui rapportent

6 000 $ clair chacune.

D’autre part, il semble que les villageois soient aux prises à leur tour avec des chauffards qui sillonnent les rues en faisant crisser les pneus de leur véhicule.

Certaines personnes, demeurant près du centre de récréation, disent

qu’il est dangeureux pour les en- fants de circuler à pied dans les parages et les gardent à la maison.

Ils ont demandé au conseil de s’occuper de cette question et s’il le faut, de faire comme à Wellington, organiser une réunion pour mettre au point une stratégie avec des représentants du détachement de Summerside de la Gendarmerie royale du Canada.

Dans son rapport, M. Wendell Gallant, nommé président à la suite des élections, municipales tenues en novembre 1990, a rap- pelé la tenue des Jeux de l’Acadie.

Pour l’année 1991, le comité des égoûts sera formé de M. Elmer Gallant, de M. Claude Gallant et de M. Georges Robichaud. Les membres du comité du char allégorique seront Georges Robichaud, Eva Arsenault et Yvonne D. Arsenault. *

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IA VOIX ACADIENNE/ LE MERCREDI 27 MARS 1991

Pour les ports et les côtes de l’Atlantique

1 0 millions 1

de dollars L du Plan vert 1

Le ministre fédéral de l’Envi- ronnement, M. Robert R. de Cotret, et M. Gerald Merrithew ont an- noncé récemment qu ’une somme dc

10 millions de dollars du Plan vert servirait à l’élaboration des plans de mesures correctives pour au moins 11 zones portuaires et côtières de l ’Atlantique.

«Au cours des consultations sur le Plan vert, les Canadiens de l'Atlantique ont fait part de leurs préoccupations au sujet de la pol- lution de leurs zones portuaires et côtières, a indiqué M. de Cotret. Ce projet est la réponse du gouvernement ment fédéral à ces préoccupations

En l’occurrence, 11 comités di- recteurs composés de divers intervenants locaux, assureront le succès de cette initiative grâce à une étroite collaboration, à des étu- des et à une planification réalisées conjointement, au partage des frais et à une forte participation locale.

On s ’attend à ce que de nombreux autres partenaires et participants contribuent financièrement aux projets, venant ainsi ajouter aux 10 millions de dollars alloués dans le cadre du Plan vert.

Parmi les 11 premiers sites visés on retrouve l ’estuaire des rivières Wilmot et Dunk à l’Île-du-Prince- Édouard.

Les causes des problèmes dans chacun des sites étant complexes, une évaluation et une planification rigoureuses s’imposent, en collabo- ration avec tous les partenaires et intervenants. Cette première étape s’avère cruciale à l'élaboration de plans de mesures correctives qui soient rentables et réalistes à long terme.

«Nous entamons aujourd’hui un 1 processus unique, a commenté M. Merrithew. Le Plan vert vise à restaurer l ’environnement canadien et, cela, par le biais de consultations avec les Canadiens.»

Une fois que les plans seront terminés et approuvés, le principe du pollueur-payeur s’appliquera, et l’entière responsabilité de l’assai- nissement des 11 zones portuaires et côtières incombera à ceux qui les polluent.

«Conformément au principe du pollueur-payeur, le gouvernement fédéral sera responsable finan- cièrement de mettre de l’ordre dans sa propre cour si l’un des plans de mesures correctives l’identifie comme pollueur» a souligné M. de Cotret.

D’autres zones côtières et por- tuaires viendront s’ajouter à cette initiative. l’un des nombreux grands projets d’assainissement menés par le gouvernement fédé- ral dans les provinces de l'Atlan-

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Apres une tiuction de 15 pour 100 des effectifs et dc 10 pour 100 du budget des dépenses, M. Veilleux estimequeRadio-Canadaaparticipé pleinement à l’effort de rkluction des depenses du gouvernement fedéral, et qu’il est maintenant temps d’assurer son avenir financier.

En fait, Radio-Canada fait place&

un dilemmedetaille. Contrairement à l’entreprise privée, son mandat lui

onde tes emissious 10~~ qu, ells;m produites par les stations franco- phones de l’extérieur du Québec.

avant les coupures du 5 décembre dernier.

Le président de la SRC, M.

Veilleux,areconnudevantleCRTC que la production d’émissions des- tin&s uniquement à un public local ne cadrait plus avec la nouvellephi- losophie de l’entreprise. ,,

I-epoquGIl ~“UICWI..‘... ...._

vateur du premier ministre Richard Hattïeld.

M. Arsenault n’a pas caché sa frustration. «Les organismes vont arriver ici avec un autre fait ac- compli» a-t-il lance à l’endroit du pr6sident Gérard Veilleux, en faisant reférence aux nombreux porte- parole des communautes franco- phones, qui ont éd invités par le

pures annoncées le 5 décembre vont à l’encontre de la nouvelle loi sur la radiodiffusion en vigueur depuis le premier fevrier dernier. Selon cette loi, la programmation de la SRC doit être offerte en anglais et en français «de manière à refléter la situation et les besoins particuliers des deux collectivités de langue of- ficielle, y compris ceux des minori-

le 22inais. A tasune aes feaucuons

annonc&s le 5 décembre, la SJA avait re9u plus de 1 500 lettres l’encourageant à poursuivre ses démarches afin d’assurer une cou- verture télévisée de l’évenement sportif. La SJA est au nombre des quelque 72 groupes et organismes à avoir été invites a témoigner devant le CRTC.

Radio-Canada veut remplacer « un miroir par une fenêtre», mais personne n’y croit

M. René Légère président de ta coalition pour une télévision française en Acadie. M. Léger est aussi sécrétaire général d e la société nationale des Acadiens.

Par

Yves LUSIGNAN OTTAWA (APF) : Comme le légendaire Capitaine Bonhomme, les dirigeants de la Société Radio- Canada devront confondre les sceptiques et prouver que leur nou- velle stratégie de programmation___

Selon L’ICEA, les coupures représentent une perte de contenu hebdomadaire r é g i o n a l 6 heures 45 pour le Québec et de 13 heures 15 pour les francophones vivant à l’extérieur du Québec. Pour l’Ins- titut, la disparition d’émissions à vocation communautaire et cultu- pour les années 1990 répond a u x r e l l e p o u r les f r a n c o p h o n e s

attentes des Canadiens. Et les sceptiques sont légion.

«Ils font face à des compressions budgétaires et ils nous présentent un plan de développement» a déclare à I’APF Mme Lina Trudel, chargée du dossier des communi- cations à l’Institut canadien d’éducation aux adultes (ICEA).

Elle qualifie même les propositions de Radio-Cana& présentées devant le CRTC de «promesses élec- torales».

Comme plusieurs, 1’ICEA a pro- fité des audiences du CRTC sur la réduc tion des services de program- mation régionale de la Société Radio-Canada, pour s’opposer au projet de restructuration, aux coupures de 108 millions et à la fermeture de huit stations régiona- les, dont la station française CBLFT Toronto, annoncées le 5 décembre.

Québecéquivaut «à une mise à mort L’Institut dénonce également la lente de leur culture».

disparité dans les budgets alloues au réseau français et anglais. En 1988-89, le budget moyen par heure de programmation était de 58 0 0 0 $ au réseau anglais et de 34 000 $ au réseau français. D’ailleurs, l’Institut se demande bien com- ment Radio-Canada peut promettre un service de nouvelles continues en français 24 heures par jour du genre de ce que les anglophones ont depuis deux ans avec «Newsworld», alors que la production régionale sera maintenant réduite à un simple bulletin de nouvelles.

Les Acadiens, qui au départ ne disposent que d’une seule station française pour l’ensemble des pro- vinces maritimes, trouvent «odieux»

ladisparitiondelaproductionlocale.

«Cette coupure, dans les circons- tances, remet en question les con- ditions mêmes de notre existence»

va jusqu’à affirmer René Légère, le président de la Coalition pour une télévision de langue française en Acadie.

Pour les Acadiens, Radio-Canada est le seul et unique média qui per-

communautés francophones des quatre provinces maritimes: le seul moyen de maintenir un sentiment d’appartenance à une Acadie qui n’est «ni pays, ni province, ni entité géographique», comme explique M. Légère, et qui n’existe que parce qu’il y a des Acadiens.

Les Acadiens sont très frustrés devant ce qu’ils considèrent comme

«un manque de considération» à leur égard. Disposant d’une seule sta- tion pour toutes les Maritimes, ils n’acceptent pas de se faire couper dans une proportion égale aux autres régions du pays. Et la décision de Radio-Canada de confier des sep- tembre la production de l’émission matinale du matin Premiere Edition à la station française d’Ottawa, présentée par les bonzes de la SRC comme un exemple de collaboration régionale avec les francophones hors Québec, laisse complètement indifférent M. Légère.

«Le décalage horaire d’une heure que nous avons avec le Québec et l’Ontario fera que cette émission d’information prévue entre huit heures et neuf heures sera présentée, chez nous, entre neuf heures et dix heures».

M. Gérard Veilleux, président de la Société Radio-Canada.

en fait de remplacer un miroir par une fenêtre. Les Canadiens passe- raient un peu moins de temps à se regarder eux-mêmes et plus de temps à apprendre à se découvrir et se connaître mutuellement» avait ex- pliqué au CRTC le président de la SRC, Gérard Veilleux, lors de sa comparution devant le CRTC. Le problème c’est qu’ils sont nom- breux à croire que les rideaux ont déjà été tirés sur leur réalité.

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