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TAUX D OBTENTION D UN DIPLÔME DE FIN D ÉTUDES SECONDAIRES. Points clés INDICATEUR A2

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Regards sur l’éducation   © OCDE 2006

44 INDICATEUR

A

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StatLink : http://dx.doi.org/10.1787/081086033000

TAUX D’OBTENTION D’UN DIPLÔME DE FIN D’ÉTUDES SECONDAIRES

Cet indicateur montre les performances des systèmes éducatifs en mesurant le taux d’obtention d’un diplôme à l’issue du deuxième cycle du secondaire dans la population qui a l’âge typique d’acquérir ce diplôme.

Points clés

100 90 80 70 60 50 40 30 20 10 0

%

Graphique A2.1. Taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études secondaires (2004)

Ce graphique montre la proportion d’individus qui obtiennent pour la première fois un diplôme à l’issue du deuxième cycle du secondaire, parmi ceux qui sont normalement en âge de terminer ces études. Cet indicateur permet d’évaluer le nombre de jeunes qui arrivent aujourd’hui au

terme de leurs études secondaires, bien que tous n’appartiennent pas à cette classe d’âge.

1. Année de référence : 2003.

Les pays sont classés par ordre décroissant des taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études secondaires.

Source : OCDE. Tableau A2.1. Voir les notes à l’annexe 3 (www.oecd.org/edu/eag2006).

Norvège Allemagne Corée Israël Irlande Japon Danemark1 Finlande1 Suisse Fédération de Russie République tchèque Hongrie Islande République slovaque Italie France1 Pologne Suède États-Unis Nouvelle-Zélande Luxembourg Chili Espagne Brésil Turquie Mexique

Moyenne de l’OCDE

Dans 18 des 22 pays de l’OCDE et dans deux des quatre pays partenaires pour lesquels des données comparables sont disponibles, la proportion de diplômés du deuxième cycle de l’enseignement secondaire dans la population ayant l’âge typique d’obtention de ce diplôme dépasse les 70 %. En Allemagne, en Corée, au Danemark, en Finlande, en Irlande, au Japon et en Norvège, ainsi que pour le pays partenaire Israël, cette proportion est égale ou supérieure à 90 %. À présent, le défi consiste à éviter que les 10 % restants soient laissés pour compte, avec des perspectives professionnelles amoindries.

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Autres faits marquants

• Dans la quasi-totalité des pays de l’OCDE, les femmes sont désormais plus susceptibles que les hommes d’arriver au terme de leurs études secondaires : la tendance historique s’est donc inversée. Le taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études secondaires des femmes ne reste inférieur à celui des hommes qu’en Turquie.

• La grande majorité de ceux qui obtiennent un diplôme à l’issue du deuxième cycle de l’enseignement secondaire ont suivi des programmes dont la finalité est l’accès à des études tertiaires.

• La plupart des titulaires d’un diplôme de fin d’études secondaires peuvent entamer des études tertiaires (CITE 5A), mais les proportions de ceux qui les entreprennent effectivement varient sensiblement selon les pays.

• Dans de nombreux pays, les programmes à vocation professionnelle sont majoritairement suivis par des hommes. Toutefois, dans près de la moitié des pays, soit il n’existe pas de différence entre les sexes, soit les femmes sont plus nombreuses dans ces filières.

• Dans certains pays, une proportion significative d’individus entament une formation post-secondaire non tertiaire suite à l’obtention de leur diplôme de fin d’études secondaires. Cette proportion représente au moins 20 % en Hongrie, en Irlande et en République tchèque.

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2 Contexte

Sous l’effet de l’élévation du niveau de qualification dans les pays de l’OCDE, le diplôme de fin d’études secondaires est devenu le bagage minimum pour réussir l’entrée dans la vie active. Le deuxième cycle de l’enseignement secondaire ouvre l’accès à des études plus poussées et prépare également à entrer directement sur le marché du travail. Dans de nombreux pays de l’OCDE, la loi autorise les élèves à arrêter leurs études au terme du premier cycle du secondaire, mais les jeunes qui quittent le système d’éducation sans diplôme de fin d’études secondaires ont en général beaucoup de peine à trouver un emploi (voir les indicateurs A8, A9 et A10).

Les taux élevés de réussite en fin d’études secondaires ne garantissent pas que les systèmes d’éducation soient parvenus à inculquer aux jeunes les connaissances et compétences de base dont ils ont besoin pour entrer dans la vie active, car la qualité des acquis n’est pas prise en compte dans cet indicateur. Ils n’en donnent pas moins une idée de l’efficacité avec laquelle les systèmes d’éducation préparent les jeunes à répondre à la demande de qualifications minimales sur le marché du travail.

Observations et explications

Le diplôme de fin d’études secondaires devient la norme dans la plupart des pays de l’OCDE.

Dans 18 des 22 pays de l’OCDE et dans deux des quatre pays partenaires pour lesquels des données comparables sont disponibles, le taux d’obtention d’un diplôme à l’issue du deuxième cycle de l’enseignement secondaire dépasse les 70 % (voir le graphique A2.1). Ce taux est même égal ou supérieur à 90 % en Allemagne, en Corée, au Danemark, en Finlande, en Irlande, au Japon, en Norvège et, dans les pays partenaires, en Israël.

À présent, le défi consiste à éviter que les restants soient laissés pour compte, avec des perspectives professionnelles amoindries.

Différences entre les taux féminins et masculins

Dans la plupart des pays de l’OCDE, le niveau de formation de la population adulte est réparti de façon inégale entre les hommes et les femmes. Par le passé, les femmes n’étaient pas suffisamment incitées à atteindre le même niveau de formation que les hommes ou n’en avaient pas la possibilité. En général, elles étaient surreprésentées parmi les individus sans diplôme de fin d’études secondaires et sous-représentées aux niveaux d’enseignement les plus élevés. Ainsi, ces écarts sont essentiellement imputables aux fortes différences de niveaux de formation entre les sexes dans les générations plus âgées et ils se sont sensiblement réduits, voire inversés, dans les groupes d’âge plus jeunes (voir l’indicateur A1).

À présent, dans pratiquement tous les pays de l’OCDE, les taux féminins d’obtention d’un diplôme de fin d’études secondaires dépassent ceux des hommes (voir le tableau A2.1) ; ils sont supérieurs aux taux masculins dans 19 des 22 pays de l’OCDE et dans les trois pays partenaires pour lesquels la comparaison est possible. La Turquie échappe à ce constat : le taux de réussite est plus élevé chez les hommes que chez les femmes. En Corée et en Suisse, hommes et femmes affichent des taux équivalents, les écarts représentant moins de 1 point de pourcentage. Enfin, les écarts les plus sensibles s’observent au Danemark, en Espagne, en Finlande, en Irlande, en Islande, en Nouvelle-Zélande, en Norvège, en Pologne et, dans les pays partenaires, au Brésil, où ils représentent au moins 10 points de pourcentage en faveur des femmes.

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Taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études secondairesINDICATEUR A2 chapitre a

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L’orientation future des élèves selon le contenu des programmes d’enseignement

Le diplôme de fin d’études secondaires devient la norme dans la plupart des pays de l’OCDE et des pays partenaires, mais les programmes varient en termes de contenu selon qu’ils préparent les élèves à poursuivre des études ou à entrer dans la vie active. La plupart des programmes du deuxième cycle du secondaire qui sont proposés dans les pays de l’OCDE ont pour but de préparer les élèves à suivre des études tertiaires. Toutefois, ils peuvent relever de filières différentes, à savoir les filières générales, préprofessionnelles et professionnelles.

Dans le deuxième cycle de l’enseignement secondaire, la majorité des diplômes sont délivrés à l’issue de programmes dont la finalité est de donner accès à des études tertiaires (CITE 3A et 3B). Les programmes conçus pour faciliter l’accès direct à des études tertiaires de type A sont privilégiés par les élèves dans tous les pays, sauf en Allemagne et en Suisse, où les taux féminins et masculins d’obtention d’un diplôme sont plus élevés dans les programmes du deuxième cycle du secondaire qui donnent accès à des études tertiaires de type B (voir le tableau A2.1).

Les taux d’obtention d’un diplôme à l’issue de programmes (longs) de niveau CITE 3C s’établissent à 20 % en moyenne, tous pays de l’OCDE confondus.

100 90 80 70 60 50 40 3020 10 0

%

Graphique A2.2. Accès des diplômés du secondaire à des études tertiaires de type A (2004) Comparaison des taux d'obtention de diplômes de programmes du deuxième cycle du secondaire permettant

l'accès au tertiaire de type A avec les taux réels d'accès aux programmes tertiaires de type A

Taux d’obtention d’un diplôme de l’enseignement secondaire préparant à des études tertiaires de type A

1. Nouveaux inscrits à temps plein uniquement.

2. Année de référence : 2003.

3. Les taux d’accès aux programmes tertiaires de type A sont des taux d’accès bruts.

4. Les programmes tertiaires de type B sont compris dans les programmes tertiaires de type A.

5. La Communauté germanophone de Belgique est exclue.

Les pays sont classés par ordre décroissant des taux d’obtention d’un diplôme de l’enseignement secondaire préparant à des études tertiaires de type A.

Source : OCDE. Tableaux A2.1 et C2.1. Voir les notes à l’annexe 3 (www.oecd.org/edu/eag2006).

Irlande1 Isrl Finlande2 Pologne3 Suède États-Unis4 Italie3 Hongrie Australie Chili3 Japon3 République slovaque Brésil Corée3 Norge Belgique5 Islande Gce Pays-Bas Danemark2 République tcque ration de Russie Turquie Epagne Allemagne Mexique Suisse

Taux d’accès à des études tertiaires de type A

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2 Il est intéressant de comparer la proportion d’individus qui obtiennent un diplôme à l’issue de programmes conçus pour les préparer à suivre une formation tertiaire de type A et la proportion de ceux qui entament effectivement des études à ce niveau. Comme le montre le graphique A2.2, la comparaison révèle des variations significatives entre les pays. Dans des pays de l’OCDE, en l’occurrence en Belgique, en Grèce, en Irlande, au Japon, en Turquie et, parmi les pays partenaires, au Brésil, au Chili et en Israël, on observe une différence sensible, de plus de 20 points de pourcentage, entre le taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études secondaires à l’issue de programmes préparant à l’accès à des études tertiaires de type A et le taux réel d’accès à ces programmes tertiaires. Cet écart montre que, de fait, de nombreux élèves suivent des programmes pour accéder à l’université mais n’entament pas d’études à ce niveau. Signalons toutefois qu’en Belgique, ces programmes donnent également accès à des formations tertiaires de type B. La situation inverse se présente dans des pays comme l’Allemagne, l’Australie, le Danemark, l’Espagne, la Hongrie, la Norvège, les Pays-Bas et la Suède, où les deux taux sont proches.

Dans les filières préprofessionnelles et professionnelles, le taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études secondaires est plus élevé chez les hommes que chez les femmes dans 14 des 25 pays de l’OCDE pour lesquels des données comparables sont disponibles. Les taux féminins sont plus élevés dans sept pays – en Belgique, au Danemark, en Espagne, en Finlande, en Irlande, en Norvège et aux Pays-Bas – et équivalents aux taux masculins dans les quatre pays restants.

Taux d’obtention d’un diplôme à l’issue de formations post-secondaires non tertiaires

Proposés dans 26 pays de l’OCDE, les programmes d’enseignement post-secondaire non tertiaire se situent entre le deuxième cycle du secondaire et le post-secondaire dans une optique comparative internationale, même s’ils relèvent, selon les pays, tantôt du deuxième cycle du secondaire, tantôt du post-secondaire. Certes, les programmes post-secondaires non tertiaires ne sont pas nécessairement d’un niveau beaucoup plus élevé que ceux dispensés dans le deuxième cycle du secondaire, mais ils servent à élargir les connaissances de ceux qui sont déjà titulaires d’un diplôme à ce niveau. Les élèves y sont en général plus âgés que ceux qui sont scolarisés dans le deuxième cycle du secondaire.

Parmi les formations typiques de ce niveau, citons celles qui sont sanctionnées par un diplôme commercial ou d’aptitude professionnelle au Canada et aux États-Unis, les études de puériculture en Autriche et en Suisse, ou encore la formation en alternance accessible aux diplômés des filières générales du deuxième cycle du secondaire en Allemagne. Dans presque tous les pays, les programmes post-secondaires non tertiaires présentent une orientation professionnelle.

Dans 12 des 19 pays de l’OCDE pour lesquels des données sont disponibles, la majorité, sinon la totalité, des élèves inscrits dans l’enseignement post-secondaire non tertiaire obtiennent une qualification de niveau CITE 4C à l’issue d’un programme essentiellement conçu pour les préparer à entrer directement dans la vie active.

Les formations en apprentissage destinées aux élèves ayant déjà obtenu un diplôme de fin d’études secondaires relèvent également de cette catégorie. Pourtant, dans sept des 20 pays de l’OCDE considérés, la majorité des diplômés de l’enseignement post-secondaire non tertiaire a suivi un programme dont la finalité est d’offrir un accès direct à l’enseignement tertiaire de type A ou B.

En Suisse, 72 % obtiennent un diplôme au terme de programmes de niveau CITE 4B.

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Taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études secondairesINDICATEUR A2 chapitre a

Regards sur l’éducation   © OCDE 2006 49 Définitions et méthodologies

Les données portent sur l’année scolaire 2003-2004 et proviennent de l’exercice UOE de collecte de données statistiques sur l’éducation réalisé chaque année par l’OCDE.

Dans le tableau A2.1, les titulaires d’un diplôme de fin d’études secondaires sont les personnes qui, quel que soit leur âge, obtiennent pour la première fois un diplôme à l’issue d’un programme du deuxième cycle de l’enseignement secondaire. Suivant les pays, la délivrance de ce diplôme est soumise ou non à un examen final (voir l’annexe 1).

Le taux d’obtention d’un diplôme du deuxième cycle de l’enseignement secondaire se calcule en divisant le nombre de personnes qui, quel que soit leur âge, obtiennent pour la première fois un diplôme de fin d’études secondaires par le nombre de personnes ayant l’âge typique d’obtention de ce diplôme (voir l’annexe 1). Ce taux reflète non seulement la réussite des élèves ayant l’âge typique (ou modal) d’obtention du diplôme de fin d’études secondaires, mais aussi celle d’élèves plus âgés (par exemple, ceux qui ont suivi des programmes dits de « seconde chance »).

Pour calculer le nombre total de diplômés sans double comptage, il suffit de soustraire ceux qui étaient déjà titulaires d’un premier diplôme de fin d’études secondaires.

Les chiffres relatifs aux programmes de niveau 3A, 3B et 3C de la CITE ne tiennent pas compte du double comptage. Il est impossible d’additionner les taux bruts de réussite, car les personnes titulaires de plus d’un diplôme de fin d’études secondaires seraient comptabilisées plus d’une fois. Cette remarque s’applique aussi aux taux de réussite selon l’orientation du programme (filière générale ou professionnelle).

Les programmes à vocation préprofessionnelle et professionnelle comprennent les programmes organisés à l’école et en alternance (école/entreprise) qui sont reconnus par le système d’éducation. Les formations dispensées entièrement en entreprise sans la supervision d’une autorité scolaire compétente ne sont pas prises en considération.

Dans le tableau A2.2, les titulaires d’un diplôme de fin d’études post-secondaires non tertiaires sont les personnes qui, quel que soit leur âge, terminent avec succès une formation de ce niveau.

Dans certains pays, la délivrance de ce diplôme est soumise à un examen final, dans d’autres non.

Le taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études post-secondaires non tertiaires se calcule en divisant le nombre de personnes qui, quel que soit leur âge, obtiennent pour la première fois un diplôme de fin d’études post-secondaires non tertiaires par le nombre de personnes ayant l’âge typique d’obtention de ce diplôme (voir l’annexe 1). Ce taux reflète non seulement la réussite des élèves ayant l’âge typique (ou modal) d’obtention de ce diplôme, mais aussi celle d’élèves plus âgés.

Pour calculer le nombre total de diplômés sans double comptage, il suffit de soustraire ceux qui étaient déjà titulaires d’un premier diplôme de fin d’études post-secondaires non tertiaires.

Dans certains pays, les taux d’obtention d’un diplôme post-secondaire non tertiaire ne sont pas disponibles sans double comptage. De plus, les taux peuvent être surestimés, car des individus peuvent obtenir plusieurs diplômes à l’issue de différents programmes de même niveau. Ces pays sont signalés par une note de bas de page dans le tableau A2.2.

Les chiffres relatifs aux programmes de niveau 4A, 4B et 4C de la CITE ne tiennent pas compte du double comptage. Il est impossible d’additionner les taux bruts de réussite, car les personnes titulaires de plus d’un diplôme de fin d’études secondaires seraient comptabilisées plus d’une fois.

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chapitre a LesrésuLtatsdesétabLissementsdenseignementetLimpactdeLapprentissage

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2 Tableau A2.1.

Taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études secondaires (2004)

Pourcentage de diplômés de l’enseignement secondaire dans la population ayant l’âge typique d’obtention de ce diplôme, selon la finalité et l’orientation des programmes et le sexe

Total (sans double comptage)

CITE 3A (programmes

préparant à l’accès direct

à des études tertiaires de type A)

CITE 3B (programmes

préparant à l’accès direct

à des études tertiaires de type B)

CITE 3C long (programmes d’une durée

analogue à celle des programmes de niveau 3A

ou 3B)

CITE 3C court (programmes d’une durée

inférieure à celle des programmes de niveau 3A

ou 3B)

Programmes à orientation générale

Programmes à orientation

pré- professionnelle professionnelleou

H + F Hommes Femmes H + F Femmes H + F Femmes H + F Femmes H + F Femmes H + F Femmes H + F Femmes

(1) (2) (3) (4) (5) (6) (7) (8) (9) (10) (11) (12) (13) (14) (15)

Pays membres de l’OCDE

Australie m m m 70 75 x(8) x(9) 54 51 x(8) x(9) 70 75 54 51

Autriche m m m m m m m m m m m m m m m

Belgique1 m m m 62 67 a a 20 18 17 22 37 43 62 65

Canada m m m m m m m m m m m m m m m

Rép. tchèque 87 85 88 55 64 n n 31 23 n n 18 23 69 65 Danemark2 90 81 100 58 70 a a 56 63 a a 58 70 56 63 Finlande2 90 84 96 90 96 a a a a a a 52 62 75 83 France2 81 78 84 51 60 11 10 38 33 3 2 33 40 70 65 Allemagne 99 97 101 37 40 61 60 a a 1 1 36 40 62 61 Grèce m m m 59 68 a a 37 36 x(8) x(9) 59 68 39 38 Hongrie 86 82 90 71 80 a a 19 15 x(8) x(9) 71 80 21 15 Islande 84 72 96 61 75 1 2 37 30 15 17 61 75 52 48 Irlande 92 86 99 91 97 a a 6 6 a a 66 69 34 38 Italie 81 80 83 75 78 3 4 a a 19 18 29 38 67 60 Japon 91 90 92 68 71 1 n 23 21 x(8) x(9) 68 71 24 21 Corée 96 96 96 66 66 a a 30 30 a a 66 66 30 30 Luxembourg 69 66 73 42 49 7 7 18 15 2 1 28 31 42 42 Mexique 38 34 41 34 37 a a 4 4 a a 34 37 4 4 Pays-Bas m m m 58 65 a a 20 22 22 18 34 38 66 68 Nouvelle-Zélande 75 65 85 x(1) x(3) x(1) x(3) x(1) x(3) x(1) x(3) x(1) x(3) x(1) x(3) Norvège 100 86 114 66 80 a a 45 46 m m 66 80 45 46 Pologne 79 70 89 82 87 a a a a 7 7 43 52 45 42 Portugal m m m 53 62 x(4) x(5) x(4) x(5) x(4) x(5) 40 48 14 14 Rép. slovaque 83 81 85 66 74 a a 22 15 1 2 22 26 68 62 Espagne 66 58 75 45 54 a a 18 19 7 8 45 54 25 27 Suède 78 75 81 77 81 a a 1 n a a 37 44 41 37 Suisse 89 89 90 27 30 61 55 12 16 m m 29 35 70 66 Turquie 53 57 49 53 49 a a m m a a 34 33 19 15

Royaume-Uni m m m m m m m m m m m m m m m

États-Unis 75 72 79 75 79 a a a a a a 75 79 a a

Moyenne de l’OCDE 81 77 86 61 67 6 6 20 19 5 5 47 53 44 43

Moyenne de l’UE-19 83 79 88 63 70 5 5 18 17 6 6 42 49 50 50

Pays partenaires

Brésil 65 57 75 66 76 a a a a a a 65 74 1 2 Chili 68 64 72 68 72 a a a a a a 37 41 32 32 Israël 93 89 96 90 95 a a 3 1 a a 59 66 34 30 Féd. de Russie 87 x(1) x(1) 55 x(4) 11 x(6) 18 x(8) 4 x(10) 55 x(12) 33 x(14) Remarque : les différences entre la couverture des données démographiques et celle des données relatives aux élèves/diplômés signifient que les taux de participation/d’obtention de diplômes peuvent être sous-estimés pour les pays exportateurs nets d’étudiants (par exemple le Luxembourg) et surestimés pour les pays importateurs nets d’étudiants.

1. La Communauté germanophone de Belgique est exclue.

2. Année de référence : 2003.

Source : OCDE. Voir les notes à l’annexe 3 (www.oecd.org/edu/eag2006).

Les symboles représentant les données manquantes sont présentés dans le Guide du lecteur.

StatLink : http://dx.doi.org/10.1787/081086033000

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Taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études secondairesINDICATEUR A2 chapitre a

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Tableau A2.2.

Taux d’obtention d’un diplôme de l’enseignement post-secondaire non tertiaire (2004)

Pourcentage de diplômés de l’enseignement post-secondaire non tertiaire dans la population ayant l’âge typique d’obtention de ce diplôme, selon la finalité des programmes et le sexe

Total (sans double comptage)

CITE 4A (programmes préparant à l’accès direct à des études tertiaires de type A)

CITE 4B (programmes préparant à l’accès direct à des études tertiaires de type B)

CITE 4C (Programmes préparant à l’entrée sur le marché du travail)

H + F Hommes Femmes H + F Femmes H + F Femmes H + F Femmes

(1) (2) (3) (4) (5) (6) (7) (8) (9)

Pays membres de l’OCDE

Australie m m m a a a a 20.0 23.5

Autriche m m m m m m m m m

Belgique1,2 m m m 7.6 7.6 2.9 3.1 8.6 10.1

Canada m m m x(8) x(9) x(8) x(9) 4.6 5.9

Rép. tchèque 30.4 28.8 32.2 25.2 28.2 a a 5.2 4.0

Danemark1,3 1.0 1.4 0.6 1.0 0.6 a a a a

Finlande3 2.3 2.2 2.4 a a a a 4.5 4.8

France3 1.2 0.8 1.6 0.6 0.8 a a 0.6 0.8

Allemagne 15.4 16.5 14.2 10.3 9.7 5.1 4.5 a a

Grèce 9.9 9.1 10.7 a a a a 9.9 10.7

Hongrie 20.0 18.1 21.9 a a a a 27.0 29.5

Islande 6.9 7.7 6.0 a a a a 6.9 6.1

Irlande 27.7 31.7 23.4 a a a a 27.7 23.4

Italie 6.0 4.6 7.5 a a a a 6.0 7.5

Japon m m m m m m m m m

Corée a a a a a a a a a

Luxembourg 3.6 4.9 2.3 a a a a 3.6 2.3

Mexique a a a a a a a a a

Pays-Bas1 1.2 1.9 0.5 a a a a 1.2 0.5

Nouvelle-Zélande 12.0 7.5 16.7 x(1) x(3) x(1) x(3) x(1) x(3)

Norvège 4.3 7.2 1.3 1.1 0.3 a a 3.9 1.2

Pologne 13.1 9.6 16.8 a a a a 13.1 16.8

Portugal m m m m m m m m m

Rép. slovaque 2.8 2.3 3.4 2.8 3.4 a a a a

Espagne a a a a a a a a a

Suède 0.6 0.6 0.5 m m a a 0.6 0.5

Suisse 14.7 11.4 18.0 4.5 3.7 11.2 15.6 a a

Turquie a a a a a a a a a

Royaume-Uni m m m m m m m m m

États-Unis m m m m m m m m m

Moyenne de l’OCDE 7.9 7.6 8.2 2.4 2.5 0.8 1.0 6.0 6.2

Moyenne de l’UE-19 9.0 8.8 9.2 3.2 3.3 0.5 0.5 6.7 6.9

Pays partenaires

Brésil a a a a a a a a a

Chili a a a a a a a a a

Israël m m m m m a a a a

Féd. de Russie m m m a a a a 7 7

Remarque : les différences entre la couverture des données démographiques et celle des données relatives aux élèves/diplômés signifient que les taux de participation/d’obtention de diplômes peuvent être sous-estimés pour les pays exportateurs nets d’étudiants (par exemple le Luxem- bourg) et surestimés pour les pays importateurs nets d’étudiants.

1. Le taux brut d’obtention d’un diplôme peut inclure des doubles comptages.

2. La Communauté germanophone de Belgique est exclue.

3. Année de référence : 2003.

Source : OCDE. Voir les notes à l’annexe 3 (www.oecd.org/edu/eag2006).

Les symboles représentant les données manquantes sont présentés dans le Guide du lecteur.

StatLink : http://dx.doi.org/10.1787/081086033000

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Regards sur l’éducation   © OCDE 2006 469

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RéféRences

Regards sur l’éducation   © OCDE 2006

470

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Regards sur l’éducation   © OCDE 2006 471

L iste des participants à cette pubLication

De nombreuses personnes ont participé à cette publication. La liste qui suit indique les noms

des représentants nationaux, des chercheurs et des experts qui ont pris une part active aux travaux préparatoires de cette édition de Regards sur l’éducation – Les indicateurs de l’OCDE 2006.

L’OCDE tient à les remercier pour leur précieuse collaboration.

Coordinateurs nationaux

Mme Barbara MEYER-WYK (Allemagne) Mme Evelyn OBELE (Allemagne) M. Brendan O’REILLY (Australie) M. Mark NÉMET (Autriche)

M. Dominique BARTHÉLÉMY (Belgique) Mme Maddy BOLLEN (Belgique) Mme Oroslinda Maria GOULART (Brésil) M. Atilio PIZARRO (Chili)

M. Ken THOMASSEN (Danemark)

Mme Carmen MAESTRO MARTIN (Espagne) Mme Valena White PLISKO (États-Unis) Mme Sylvia KIMMEL (Estonie) M. Matti KYRÖ (Finlande) M. Claude SAUVAGEOT (France) M. Gregory KAFETZOPOULOS (Grèce) Mme Judit KáDáR-FüLÖP (Hongrie) M. Pat MAC SITRIC (Irlande)

Mme Margrét HARÐARDÓTTIR (Islande) M. Yosef GIDANIAN (Israël)

M. Antonio Giunta LA SPADA (Italie) M. Kenji SAKUMA (Japon)

Mme Chun-Ran PARK (Corée) M. Jérôme LEVY (Luxembourg)

M. Rafael FREYRE MARTINEZ (Mexique) M. Kjetil MÅSEIDE (Norvège)

M. David LAMBIE (Nouvelle Zélande)

M. Marcel SMITS VAN WAESBERGHE (Pays-Bas) M. Jerzy WISNIEWSKI (Pologne)

M. João Trocado MATA (Portugal) Mme Janice ROSS (Royaume-Uni)

M. Mark AGRANOVITCH (Fédération de Russie) M. Vladimir POKOJNY (République slovaque) Mme Helga KOCEVAR (Slovénie)

M. Dan ANDERSSON (Suède)

Mme Dominique Simone RYCHEN (Suisse) M. Lubomir MARTINEC (République tchèque) M. Ibrahim Z. KARABIYIK (Turquie)

M. Heinz-Werner HETMEIER (Allemagne) Mme Kirsten OTTO (Allemagne)

M. Alexander RENNER (Allemagne) M. Ingo RUSS (Allemagne)

M. Brendan O’REILLY (Australie) M. Adrian PAWSEY (Australie)

Mme Sabine MARTINSCHITZ (Autriche) M. Wolfgang PAULI (Autriche)

Mme Ann VAN DRIESSCHE (Belgique) M. Philippe DIEU (Belgique)

Mme Nathalie JAUNIAUX (Belgique) M. Liës FEYEN (Belgique)

M. Guy STOFFELEN (Belgique) M. Raymond VAN DE SIJPE (Belgique) M. Johan VERMEIREN (Belgique) Mme Carmilva FLORES (Brésil) M. Jean-Claude BOUSQUET (Canada)

Groupe technique pour les statistiques et les indicateurs de l’enseignement

Mme Lynn BARR-TELFORD (Canada) M. Eduardo CORREA (Chile)

Mr. Cesar MUÑOZ HERNANDEZ (Chile) M. Leo JENSEN (Danemark)

M. Ken THOMASSEN (Danemark) M. Fernando CELESTINO REY (Espagne) M. Eduardo DE LA FUENTE (Espagne) M. Jesus IBANEZ MILLA (Espagne) Mme Catherine FREEMAN (États-Unis) M. Thomas SNYDER (États-Unis) Mme Mary Ann FOX (États-Unis) Mme Birgitta ANDRÉN (EUROSTAT) M. Pascal SCHMIDT (EUROSTAT) M. Timo ERTOLA (Finlande) M. Miikka PAAJAVUORI (Finlande) M. Mika TUONONEN (Finlande) M. Matti VÄISÄNEN (Finlande)

(12)

ParticiPants

Regards sur l’éducation   © OCDE 2006

472

M. Jean-Michel DURR (France) Mme Michèle JACQUOT (France) Mme Christine RAGOUCY (France) Mme Vassilia ANDREADAKI (Grèce) M. Konstantinos STOUKAS (Grèce) M. Angelos KARAGIANNIS (Grèce) Mme Judit KOZMA-LUKáCS (Hongrie) M. László LIMBACHER (Hongrie) Mme Mary DUNNE (Irlande) M. Muiris O’CONNOR (Irlande) Mme ásta URBANCIC (Islande) M. Yosef GIDANIAN (Israël) Mme Dalia SPRINZAK (Israël) Mme Gemma DE SANCTIS (Italie) Mme Giuliana MATTEOCCI (Italie) Mme Maria Pia SORVILLO (Italie) M. Paolo TURCHETTI (Italie) Mme Nozomi HARAGUCHI (Japon) Mme Midori MIYATA (Japon) M. Tokuo OGATA (Japon) M. Jérôme LEVY (Luxembourg) Mme Manon UNSEN (Luxembourg) M. David VALLADO (Luxembourg) Mme Erika VALLE BUTZE (Mexique) Mme Marie ARNEBERG (Norvège) Mme Birgitta BØHN (Norvège) M. Kjetil DIGRE (Norvège) M. Geir NYGARD (Norvège)

M. Terje RISBERG (Norvège) M. Paul GINI (Nouvelle Zélande)

M. Marcel SMITS VAN WAESBERGHE (Pays-Bas) M. Dick TAKKENBERG (Pays-Bas)

Mme Pauline THOOLEN (Pays-Bas) Mme Alina BARAN (Pologne) Mme Anna NOWOZYNSKA (Pologne) M. Jose PAREDES (Portugal)

M. João PEREIRA DE MATOS (Portugal) M. Steve HEWITT (Royaume-Uni) M. Steve LEMAN (Royaume-Uni)

Mme Natalia KOVALEVA (Fédération de Russie) M. Mark AGRANOVITCH (Fédération de Russie) Mme Alzbeta FERENCICOVÀ (République slovaque) M. Vladimir POKOJNY (République slovaque) Mme Elena REBROSOVA (République slovaque) Mme Helga KOCEVAR (Slovénie)

Mme Tatjana SKRBEC (Slovénie)

Mme Karin ARVEMO-NOTSTRAND (Suède) M. Henrik ENGSTROM (Suède)

Mme Christina SANDSTROM (Suède) Mme Katrin HOLENSTEIN (Suisse) M. Vladimir HULIK (République tchèque) Mme Michaela KLENHOVá (République tchèque) M. Felix KOSCHIN (République tchèque) Mme Nilgün DURAN (Turquie)

Mme Alison KENNEDY (UNESCO)

Réseau A sur les résultats de l’enseignement Pays responsable : États-Unis

Responsable du réseau : M. Eugene OWEN Mme Evelyn OBELE (Allemagne)

Mme Kirsten OTTO (Allemagne) M. Botho PRIEBE (Allemagne) Mme Wendy WHITHAM (Australie) Mme Helene BABEL (Autriche) M. Jürgen HORSCHINEGG (Autriche) Mme Christiane BLONDIN (Belgique) M. Luc VAN DE POELE (Belgique) Mme Oroslinda Maria GOULART (Brésil) M. Don HOIUM (Canada)

Mme Tamara KNIGHTON (Canada) M. Jerry MUSSIO (Canada) Mme Mee-Kyeong LEE (Corée) M. Joern SKOVSGAARD (Danemark) Mme Mar GONZALEZ GARCIA (Espagne) M. Ramon PAJARES BOX (Espagne) Mme Marit GRANHEIM (États-Unis) M. Jay MOSKOWITZ (États-Unis) Mme Elois SCOTT (États-Unis) Mme Maria STEPHENS (États-Unis) Ms Ritta LEHTOMAA (Finlande)

M. Aki TORNBERG (Finlande) M. Thierry ROCHER (France) M. Panyotis KAZANTZIS (Grèce) Mme Zsuzsa HAMORI-VACZY (Hongrie) M. Gerry SHIEL (Irlande)

M. Julius K. BJORNSSON (Islande) Mme Anna Maria CAPUTO (Italie) M. Ryo WATANABE (Japon) Mme Iris BLANKE (Luxembourg) M. Felipe Martinez RIZO (Mexique) Mme Anne-Berit KAVLI (Norvège) Mme Lynne WHITNEY (Nouvelle Zélande) Dr. Jules L. PESCHAR (Pays-Bas)

Dr. Paul VAN OIJEN (Pays-Bas) Mme Glória RAMALHO (Portugal) M. Jason TARSH (Royaume-Uni) M. Vladislav ROSA (République slovaque) Mme Anna BARKLUND (Suède) Mme Anita WESTER (Suède) M. Erich RAMSEIER (Suisse)

M. Lubomir MARTINEC (République tchèque) Mme Pavla ZIELENIECOVA (République tchèque) M. Sevki KARACA (Turquie)

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ParticiPants

Regards sur l’éducation   © OCDE 2006 473

Autres participants à cette publication M. Donald HIRSCH (Consultant)

Mme Clémence LEROY LAFORGE (Éditrice) Mme Fung-Kwan TAM (Mise en page) Pays responsable : Suède

Responsable du réseau : M. Dan ANDERSSON Mme Christiane KRüGER-HEMMER (Allemagne) Mme Oon Ying CHIN (Australie)

M. Brendan O’REILLY (Australie) M. Mark NÉMET (Autriche) Mme Ariane BAYE (Belgique) Mme Isabelle ERAUW (Belgique) Mme Oroslinda Maria GOULART (Brésil) M. Patrice DE BROUCKER (Canada) Mme Shannon DELBRIDGE (Canada) Mme Jihee CHOI (Corée)

M. Steffen BANG (Danemark)

Mme Raquel áLVAREZ-ESTEBAN (Espagne) Mme Lisa HUDSON (États-Unis)

M. Dan SHERMAN (États-Unis) Mme Irja BLOMQVIST (Finlande) Mme Aila REPO (Finlande)

Mme Pascale POULET-COULIBANDO (France) M. Nikolaos BILALIS (Grèce)

M. Evangelos INTZIDIS (Grèce) Mme Éva TÓT (Hongrie) M. Philip O’CONNELL (Irlande)

Mme Asta URBANCIC (Islande) Mme Paola UNGARO (Italie) Mme Ikuko ARIMATSU (Japon) M. Jérôme LEVY (Luxembourg) Mme. Astrid SCHORN (Luxembourg) M. Erik DAHL (Norvège)

Mme Anne-Brit UDAHL (Norvège) M. Terje RISBERG (Norvège)

Mme Cheryl REMINGTON (Nouvelle Zélande) M. Roy TJOA (Pays-Bas)

M. Johan VAN DER VALK (Pays-Bas)

M. Marcel Smits VAN WAESBERGHE (Pays-Bas) Mme Malgorzata CHOJNICKA (Pologne) M. Jorge BARATA (Portugal)

M. David MCPHEE (Royaume-Uni) M. Stephen LEMAN (Royaume-Uni) M. Dan ANDERSSON (Suède) Mme Anna JÖNSSON (Suède) M. Kenny PETERSSON (Suède) M. Russell SCHMIEDER (Suède) Mme Anna BORKOWSKY (Suisse)

Mme Zuzana POLAKOVA (République tchèque) M. Ali PANAL (Turquie)

Réseau B sur les résultats de l’enseignement et les résultats socio-économiques

Réseau C sur les caractéristiques des établissements et des systèmes d’enseignement Pays responsable : Pays-Bas

Responsable du réseau : M. Jaap SCHEERENS M. Gerd MÖLLER (Allemagne)

M. Lars STAHRE (Australie)

M. Christian KRENTHALLER (Autriche) M. Philippe DELOOZ (Belgique) Mme Ann VAN DRIESSCHE (Belgique) M. Peter VAN PETEGEM (Belgique)

Mme Maria Aparecida CHAGAS FERREIRA (Brésil) Mme Oroslinda Maria GOULART (Brésil)

Mme Nelly McEWEN (Canada) Mme Sung Eun KIM (Corée)

Mme Maria HRABINSKA (Commission Européenne) M. Jørgen Balling RASMUSSEN (Danemark) M. Ignacio áLVAREZ PERALTA (Espagne) M. Joel SHERMAN (États-Unis)

Mme Kerry GRUBER (États-Unis)

M. Hannu-Pekka LAPPALAINEN (Finlande) Mme Dominique ALLAIN (France) M. Vassilios CHARISMIADIS (Grèce) Mme Anna IMRE (Hongrie)

M. Pat MAC SITRIC (Irlande) Mme Caterina VEGLIONE (Italie) Mme Astrid SCHORN (Luxembourg) M. Jean-Claude FANDEL (Luxembourg) Mme Erika Valle BUTZE (Mexique) Mme Bodhild BAASLAND (Norvège) M. Paul GINI (Nouvelle Zélande) Mme Maria HENDRIKS (Pays-Bas)

M. Marcel SMITS VAN WAESBERGHE (Pays-Bas) M. Jerzy CHODNICKI (Pologne)

Mme Maria DO CARMO CLIMACO (Portugal) M. Helder GUERREIRO (Portugal)

M. Jason TARSH (Royaume-Uni) Mme Ulla LINDQVIST (Suède) Mme Annika HAGLUND (Suède) M. Eugen STOCKER (Suisse)

Mme Michaela KLENHOVA (République tchèque) M. Lubomir MARTINEC (République tchèque) Mme Pavlina STASTNOVA (République tchèque) Mme Nilgün DURAN (Turquie)

Mme Alison KENNEDY (UNESCO)

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Regards sur l’éducation   © OCDE 2006 475

A utres P ublicAtions de l ’ocde

Where Immigrant Students Succeed: A Comparative Review of Performance and Engagement in PISA 2003 (Disponible uniquement en anglais)

ISBN 92-64-02360-7

Are Students Ready for a Technology-Rich World?: What PISA Studies Tell Us (Disponible uniquement en anglais et en allemand)

ISBN 92-64-03608-3

Apprendre aujourd’hui, réussir demain: Premiers résultats de PISA 2003 (2004) ISBN 92-64-00725-3

Résoudre des problèmes, un atout pour réussir: Premières évaluations des compétences transdisciplinaires issues de PISA 2003 (2004)

ISBN 92-64-00743-1

De l’école à la vie active: Une transition difficile pour les jeunes adultes peu qualifiés (2005) (À paraître)

ISBN 92-64-00978-7

Analyse des politiques d’éducation – Édition 2005 (À paraître)

ISBN 92-64-02271-6

Guide OCDE pour l’établissement de statistiques de l’éducation internationalement comparables (2006) (À paraître)

Completing the Foundation for Lifelong Learning: An OECD Survey of Upper Secondary Schools (2004) (Disponible uniquement en anglais)

ISBN 92-64-10372-4

OECD Survey of Upper Secondary Schools: Technical Report (2004) (Disponible uniquement en anglais)

ISBN 92-64-10572-7

Enseignement supérieur : Internationalisation et commerce (2004) ISBN 92-64-01505-1

Nomenclature des systèmes d’éducation: Guide d’utilisation de la CITE-97 dans les pays de l’OCDE (1999) ISBN 92-64-27037-X

Les publications de l’OCDE sont disponibles sur la Librairie en ligne de l’OCDE (www.oecdbookshop.org).

Références

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