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I II - Zéros de fonctions polynomiales. Application à la détermination de l’in- térieur de Rac(A)

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(1)

SESSION 2005

CONCOURS COMMUN POLYTECHNIQUE (ENSI) FILIERE MP

MATHEMATIQUES 2

I - Détermination de Rac (A) dans quelques exemples

Exemple 1 : Cas oùApossède nvaleurs propres distinctes

1. Le polynôme caractéristique de Aest scindé sur Rà racines simples. On sait alors que Aest diagonalisable dans R. Par suite, il existeP∈GLn(R)telle queA=PDP−1oùD=diag(λ1, . . . , λn).

SoientR∈Mn(R)puisS=P−1RPde sorte queR=PSP−1. Puisque les matricesPetP−1sont inversibles, les matrices PetP−1 sont simplifiables à gauche et à droite et on a

R∈Rac(A)⇔R2=A⇔(PSP−1)2=PDP−1⇔PS2P−1=PDP−1⇔S2=D⇔S∈Rac(D).

∀R∈Mn(R), R∈Rac(A)⇔P−1RP∈Rac(D).

2. a.SoitSune racine carrée deD.

SD=S×S2=S3=S2×S=DS.

b. PosonsS = (si,j)1≤i,j≤n. Le coefficient lignei colonne j de la matriceSD vautsi,jλj et celui de la matriceDS vaut λisi,j. Puisque SD = DS, pour tout couple (i, j), on a si,jλj = λisi,j ou encore si,jj−λi) = 0. Quand i 6= j, on a λj−λi6=0et doncsi,j=0.

Ainsi, siS est une racine carrée de D, alors :∀(i, j)∈ J1, nK2, (i 6=j ⇒si,j = 0. Ceci montre que la matriceS est une matrice diagonale.

∀S∈Mn(R), S2=D⇒S∈Dn(R).

c.L’égalitéS2=D se traduit par∀i∈J1, nK, s2ii.

d. Soiti∈J1, nK tel que λi< 0. L’équation s2i d’inconnuesi n’a pas de solution dans Ret donc l’équationS2=D n’a pas de solution dansDn(R)ou finalement l’équationR2=An’a pas de solution dansMn(R). Dans ce cas, Rac(A) =∅. e.S2=D⇔∀i∈J1, nK, s2ii⇔∃(εi)1≤i≤n∈{−1, 1}n/∀i∈J1, nK, sii

√λi.

Les racines carrées deDsont les matrices de la forme S=diag(εi

√λi)1≤i≤n où(εi)1≤i≤n ∈{−1, 1}n.

3.D’après ce qui précède, si λ1< 0(de sorte que∃i∈J1, nK/ λi< 0), Rac(A)est vide.

Siλ1≥0 (de sorte que∀i∈J1, nK/ λi≥0),

les racines carrées de Asont les matrices de la formeR=PSP−1oùS=diag(εi

√λi)1≤i≤n,(εi)1≤i≤n ∈{−1, 1}n.

Il y a au plus2n telles matrices.

Notons alors que si S et S sont deux matrices diagonales, PSP−1 = PSP−1 ⇔ S = S ce qui montre déjà que card(Rac(A)) =card(Rac(D)). Ensuite, pour((εi)1≤i≤n,(εi)1≤i≤n)∈({−1, 1}n)2,

diag(εi

i)1≤i≤n =diag(εip

λi)1≤i≤n⇔∀i∈J1, nK, εi

iip λi

⇔p

λ11−ε1) =0et∀i≥2, εii (car∀i≥2, p λi6=0).

http ://www.maths-france.fr 1 c Jean-Louis Rouget, 2007. Tous droits réservés.

(2)

Siλ1> 0, l’égalité√

λ11−ε1) =0est équivalente àε11. Dans ce cas,S=S⇔(εi)1≤i≤n= (εi)1≤i≤n. Dans ce cas, il y a2n matrices deux à deux distinctes de la forme diag(εi

√λi)1≤i≤n et donc2n racines carrées deux à deux distinctes deAdansMn(R).

Siλ1=0, les racines carrées deDsont les matrices de la forme diag(0, ε2

√λ2, . . . , εn

√λn),(εi)2≤i≤n. Deux telles matrices SetS sont égales si et seulement si(εi)2≤i≤n = (εi)2≤i≤n. Dans ce cas, il y a2n−1telles matrices deux à deux distinctes et donc2n−1racines carrées deux à deux distinctes deAdansMn(R).

• Siλ1< 0, card(Rac(A)) =0.

• Siλ1=0, card(Rac(A)) =2n−1.

• Siλ1> 0, card(Rac(A)) =2n.

4.Déterminons le polynôme caractéristique deA.

χA=

11−X −5 5

−5 3−X −3

5 −3 3−X

= (11−X)

3−X −3

−3 3−X

+5

−5 5

−3 3−X

+5

−5 5 3−X −3

= (11−X)(X2−6X) +5(5X) +5(5X) =X[(11−X)(X−6) +50] =X(−X2+17X−16)

= −X(X−1)(X−16)

χA= −X(X−1)(X−16).

La matrice Aadmet3 valeurs propres réelles deux à deux distinctes à savoir0, 1 et 16. D’après la question précédente, Aadmet exactement 4racines carrées à savoir les matrices de la forme Pdiag(0,±1,±4)P−1 oùPest une matrice carrée inversible telle queP−1SP soit une matrice diagonale.

Déterminons une matriceP. SoitX=

 x y z

∈M3,1(R).

X∈Ker(A)⇔



11x−5y+5z=0

−5x+3y−3z=0 5x−3y+3z=0

11x−5y+5z=0 5x−3y+3z=0





y−z= 11x 5 y−z= 5x 3





y−z= 11x 11x 5

5 = 5x 3

x=0 y−z=0 .

Ker(A)est la droite vectorielle Vect(e1)oùe1=

 0 1 1

X∈Ker(A−I)⇔



10x−5y+5z=0

−5x+2y−3z=0 5x−3y+2z=0



z= −2x+y

−5x+2y−3(−2x+y) =0 5x−3y+2(−2x+y) =0

z= −2x+y x−y=0 ⇔

y=x z= −x .

Ker(A−I3)est la droite vectorielle Vect(e2)oùe2=

 1 1

−1

La matriceA est symétrique réelle et on sait en particulier que les sous-espaces propres deA sont orthogonaux. Ainsi, Ker(A−16I3)est la droite vectorielle Vect(e3)où

 0 

1  

−2 

(3)

Une matricePconvenable est la matrice

P=

0 1 −2

1 1 1

1 −1 −1

.

Exemple 2 : Cas oùAest la matrice nulle de Mn(R) 5. a.

R2=0n ⇒f◦f=0⇒Im(f)⊂Ker(f)⇒dim(Im(f))≤dim(Ker(f))⇒r≤n−r⇒r≤ n 2. Im(f)⊂Ker(f)etr≤n

2. b.Soit(λ1, . . . , λn−r, µ1, . . . , µr)∈Rn.

λ1e1+. . .+λn−ren−r1u1+. . .+µrur=0⇒f(λ1e1+. . .+λn−ren−r1u1+. . .+µrur) =0

⇒µ1e1+. . .+µrer=0

⇒µ1=. . .=µr=0(car la famille(e1, . . . , er)est libre).

Il resteλ1e1+. . .+λn−ren−r=0 ce qui imposeλ1=. . .=λn−r=0 car la famille(e1, . . . , en−r)est libre.

Ainsi, la famille(e1, . . . , en−r, u1, . . . , ur)est libre. De plus card(e1, . . . , en−r, u1, . . . , ur) =n=dim(Rn)<+∞et donc la famille(e1, . . . , en−r, u1, . . . , ur)est une base deRn.

On a alors immédiatement

Mr=

0r,n−r Ir

0n−r,n−r 0n−r,r

,

où0p,q désigne la matrice nulle àplignes etqcolonnes.

6. a.Réciproquement, pouri∈J1, n−rK,f(f(ei)) =f(0) =0et pouri∈J1, rKf(f(ui)) =f(ei) =0. Ainsi l’endomorphisme f2s’annule sur une base de Rn et doncf2=0ou encore M2r =0.

Ainsi,Aest une racine carrée de0dans Mn(R)si et seulement si il existe une base deRn dans laquelle la matrice def est une matriceMrou encore

Aest une racine carrée de0dansMn(R)si et seulement siAest semblable à une matrice de la forme

0r,n−r Ir

0n−r,n−r 0n−r,r

,0≤r≤ n 2.

b.Les racines carrées de la matrice nulle dansM4(R)sont0et les matrices semblables à l’une des deux matrices

0 0 1 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0

 ou

0 0 0 1

0 0 0 0

0 0 0 0

0 0 0 0

 .

Exemple 3 : Cas oùA=In

7. a. Puisque R2 = In, on a 1 = det(In) = det(R2) = (det(R))2 et en particulier, det(R) 6= 0. Ceci montre que R est inversible.

b.Soitfl’endomorphisme deRn de matriceRdans la base canonique deRn. On sait que

(4)

R2=In ⇔f2=Id

⇔fest une symétrie

⇔il existe une base deRn dans laquelle la matrice defest de la forme diag(1, . . . , 1,−1, . . . ,−1)

⇔Rest semblable à une matrice de la forme diag(1, . . . , 1,−1, . . . ,−1).

8.Rac(In)est l’ensemble des matrices diagonalisables dansRdont le spectre est contenu dans{−1, 1}.

Exemple 4 : Cas oùAest une matrice symétrique réelle

9.La matrice diag(−n,−(n−1), . . . ,−1)est symétrique réelle et n’admet pas de racine carrée dansMn(R)d’après 2.d.

Donc, une matrice symétrique réelle n’admet pas nécessairement de racine carrée dansM(R).

10.SoitAune matrice symétrique réelle positive. PuisqueAest symétrique réelle, il existe une matrice orthogonalePet une matrice diagonale réelleD=diag(λ1, . . . , λn)telle que A=PDP−1.

Montrons alors que les valeurs propres deA, c’est-à-dire lesλi, sont des réels positifs.

Soienti∈J1, nKpuisXun vecteur propre associé à la valeur propreλi.

tXAX=tX(AX) =tX(λiX) =λitXX=λikXk2,

oùkXk désigne la norme euclidienne usuelle du vecteur colonne X. Par hypothèse,tXAX≥0 ou encoreλikXk2 ≥0 (∗).

MaisXest un vecteur propre et est en particulier non nul. On en déduit quekXk2> 0et l’inégalité(∗)fournitλi≥0.

Soit alorsD=diag(√

λi)1≤i≤n puisR=PDP−1=PD′tP(puisquePest orthogonale).

• R2= (PDP−1)2=PD′2P−1=PDP−1=Aet doncRest une racine carrée deAdansMn(R).

• Rest orthogonalement semblable à une matrice diagonale réelle et doncRest une matrice symétrique réelle.

• Vérifions enfin que la matriceR est positive. SoitX∈Mn,1(R)puisX=P−1X=tPX. PosonsX= (xi)1≤i≤n.

tXRX=tXPD′tPX=t(tPX)D(tPX) =tXDX= Xn

i=1

ixi′2≥0.

R=PD′tPest donc une matrice symétrique positive telle que R2=A.

II - Etude topologique de Rac(A)

11. La fonction f : Mn(R) → (Mn(R)2 M 7−→ (M, M)

est linéaire et Mn(R) est de dimension finie. f est donc continue sur Mn(R). La fonction g : (Mn(R))2 → Mn(R)

(M, N) 7−→ MN

est bilinéaire et(Mn(R))2est de dimension finie.gest donc continue sur(Mn(R))2. Mais alors, la fonction g◦f : Mn(R) → Mn(R)

M 7−→ M2

est continue surMn(R). Posonsh=g◦f.

Le singleton{A}est un fermé deMn(R). Par suite, Rac(A) =h−1({A})est un fermé deMn(R)en tant qu’image réciproque d’un fermé par une application continue.

Rac(A)est un fermé deMn(R).

12. a.Soitq∈N.

S2q=

1 0 q −1

1 0

q −1

=

1 0 0 1

=I2.

Ainsi,∀q∈N, Sq∈Rac(I2). Mais, pourq∈N,N(Sq) =q. Par suite,{N(R), R∈Rac(I2)}n’est pas majoré ou encore Rac(I2)n’est pas une partie bornée de M2(R).

(5)

b.Soitq∈N. La matriceSq=

1 0 . . . 0

q −1 . .. ...

0 0 1

... . .. ... ... ...

... . .. ... 0

0 . . . 0 1

est dans Rac(In)et vérifieN(Sq) =q. Donc

Rac(In)n’est pas une partie bornée de Mn(R).

c.Supposons qu’il existe une norme surmultiplicativek ksurGLn(R). PourR∈Rac(In), on a en particulierR∈GLn(R) etkRk × kRk ≤ kR×Rk=kInk. Ainsi

∀R∈Rac(In), kRk ≤p kInk.

On en déduit que Rac(In) est une partie bornéeGLn(R)pour la normek k. MaisMn(R)est un R-espace de dimension finie. On en déduit que la normeN est équivalente à la norme k ket donc que Rac(In) est aussi une partie bornée de Mn(R)pour la normeN(il existe un réelKtel queN≤Kk ket donc,∀R∈Rac(In), N(R)≤Kp

kInk). Ceci n’est pas et donc

il n’existe pas de norme surmultiplicative surGLn(R).

I II - Zéros de fonctions polynomiales. Application à la détermination de l’in- térieur de Rac(A)

13. a.Soitx= (x1, . . . , xp)∈Rp.

x∈B(a, r)⇔kx−ak < r⇔Max{|xi−ai|, i∈J1, pK}< r⇔∀i∈J1, pK, |x−ai|< r⇔∀i∈J1, pK, ai−r < xi< ai+r.

Par suite,

B(a, r) = Yp

k=1

]ai−r, ai+r[.

b.SoientF etG deux parties deRpd’intérieur vide. PuisqueF∩G⊂F, on a

(F∩G)⊂F=∅et donc

(F∩G) =∅. 14. a. Le polynôme nul a une infinité de racines et un polynôme non nul (d’une variable) a un nombre fini de racines.

Donc

∀P∈Γ1, (Z(P)est infini⇔P=0).

b.Z(P)est la droite d’équationx2=2x1−1 etZ(Q)est la parabole d’équationx2=x21.Z(P)et Z(Q)sont infinis.

1 2

−1

−2

1 2 3 4 5

−1 x2

x1

Z(P) Z(Q)

(6)

15. a.Démontrons le résultat par récurrence surp.

• Si p = 1, on sait qu’un polynôme d’une variable qui s’annule sur une partie infinie I1 deR est nécessairement le polynôme nul.

•Soitp∈N. Supposons qu’un polynômeP∈Γpqui s’annule sur une partie deRpde la formeI1×. . .×IpoùI1,. . . , Ipsont des parties infinies deRsoit nécessairement le polynôme nul.

Soit alorsI1,. . . ,Ip,Ip+1,p+1parties infinies deRpuis soitP∈Γp+1un polynôme qui s’annule surI1×. . .×Ip×Ip+1. Le polynômePpeut se décrire sous la forme :

∀(x1, . . . , xp, xp+1)∈Rp+1, P=xqp+1λq(x1, . . . , xp) +xq−1p+1λq−1(x1, . . . , xp) +. . .+xp+1λ1(x1, . . . , xp) +λ0(x1, . . . , xp), oùλ0,. . . ,λq sont des éléments deΓp.

Soit(x1, . . . , xp)un élémentfixédeI1×. . .×Ip. Le polynôme d’une variablexp+17→P(x1, . . . , xp, xp+1)s’annule surIp+1

qui est une partie infinie deR. On en déduit que ces coefficients à savoirλq(x1, . . . , xp),. . . ,λ1(x1, . . . , xp),λ0(x1, . . . , xp) sont nuls.

Ainsi,∀(x1, . . . , xp)∈I1×. . .×Ip, λ0(x1, . . . , xp) =λ1(x1, . . . , xp) =. . .=λq(x1, . . . , xp) =0.λ0,. . . ,λq sont donc q+1 polynômes éléments de Γp qui s’annulent surI1×. . .×IpoùI1,. . . ,Ip sont des parties infinies deR. L’hypothèse de récurrence permet alors d’affirmer que les polynômesλ0,. . . ,λq sont nuls et donc quePest le polynôme nul.

Le résultat est démontré par récurrence.

b.SoitP un élément deΓp s’annulant sur une partie Ade Rd’intérieur non vide.Acontient une bouleB(a, r), r > 0.

D’après la question 13.a., cette boule est de la formeI1×. . .×IpoùI1,. . . ,Ipsont des parties infinies deR. La question précédente montre alors quePest nul.

c.Par contraposition, on a

∀P∈Γp, (P6=0⇒

(Z(P)) =∅).

16. a.PosonsR= (ri,j)1≤i,j≤n et A= (ai,j)1≤i,j≤n.

R2=A⇔∀(i, j)∈J1, nK, Xn

k=1

ri,krk,j−ai,j=0.

Pour(i, j)∈J1, nK, posons

∀(xu,v)1≤u,v≤n ∈Rn2, Pi,j((xu,v)1≤u,v≤n) = Xn

k=1

xi,kxk,j−ai,j. On a alors :

∀R∈Mn(R), R∈Rac(A)⇔∀(i, j)∈J1, nK2, Pi,j(R) =0⇔R∈ \

1≤i,j≤n

Z(Pi,j).

b.Aucun des polynômesPi,j n’est nul et donc, d’après la question 15.c., chaque Z(Pi,j)est d’intérieur vide. La question 13.b. permet alors d’affirmer que \

1≤i,j≤n

Z(Pi,j)et donc Rac(A)est d’intérieur vide.

∀A∈Mn(R),

(Rac(A)) =∅.

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