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1573 TribuneSpitalambulante Kinder- und Jugendmedizin: Nichtärztlicher Personalaufwand

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(1)

Bulletin des

médecins suisses

BMS – SÄZ Schweizerische Ärztezeitung – Bollettino dei medici svizzeri – Gasetta dals medis svizzers

Offizielles Organ der FMH und der FMH Services www.saez.ch Organe officiel de la FMH et de FMH Services www.bullmed.ch

45 9 . 1 1. 2 01 6

1549 Editorial

Charte qualité: transparence, responsabilité et durabilité

1550 DDQ / ASQM Adhésion commune aux démarches qualité en médecine

1584 «Et encore…»

par Samia Hurst Nos enfants

1573 Tribune

Spitalambulante Kinder- und

Jugendmedizin: Nichtärztlicher

Personalaufwand

(2)

SOMMAIRE 1547

Rédaction

Dr med. et lic. phil. Bruno Kesseli, membre de la FMH (Rédacteur en chef); Dipl.-Biol. Tanja Kühnle (Managing Editor);

Isabel Zwyssig, M.A. (Rédactrice coordinatrice);

Dr med. Werner Bauer, membre de la FMH; Prof. Dr med. Samia Hurst;

Dr med. Jean Martin, membre de la FMH; lic. oec. publ. Anna Sax, MHA;

Dr med. Jürg Schlup, président de la FMH; Prof. Dr med. Hans Stalder, membre de la FMH;

Dr med. Erhard Taverna, membre de la FMH;

lic. phil. Jacqueline Wettstein, cheffe de la communication de la FMH

Rédaction Ethique

Dr theol. Christina Aus der Au, p.-d.; Prof. Dr med. Lazare Benaroyo, membre de la FMH;

Dr phil., dipl. biol. Rouven Porz, p.-d.

Rédaction Histoire de la médecine

Prof. Dr med. et lic. phil. Iris Ritzmann; Dr ès sc. soc. Eberhard Wolff, p.-d.

Rédaction Economie lic. oec. publ. Anna Sax, MHA Rédaction Droit

Me Hanspeter Kuhn, chef du Service juridique de la FMH

FMH

ÉDITORIAL: Christoph Bosshard

1549 Charte qualité: transparence, responsabilité et durabilité

DDQ/ASQM: Roxane Kübler, Esther Kraft

1550 Adhésion commune aux démarches qualité en médecine La charte qualité dont l’objectif est de développer des démarches qualité transparentes et obligatoires a été élaborée pendant deux ans par le Forum Qualité de l’ASQM. Après une consultation largement suivie au sein du corps médical, elle a été finalisée et signée par 57 organisations médicales.

1553 Nouvelles du corps médical

Autres groupements et institutions

SSAR: Marco Zalunardo, Sebastian Krayer, Bernhard Walder, Thomas Brunner, Peter Bauerfeind, Stefan Hartmeier et al.

1554 La genèse d’une collaboration multidisciplinaire fructueuse: «Comment surmonter ses réticences et autres obstacles»

Courrier / Communications

1556 Courrier au BMS

FMH Services

1558 Praxiscomputer-Workshop

1562 Emplois et cabinets médicaux (version imprimée uniquement)

Tribune

POINT DE VUE: Agnes Genewein, Stephan Hänsenberger

1573 Spitalambulante Kinder- und Jugendmedizin: Nichtärztlicher Personalaufwand

Les hôpitaux pédiatriques de Suisse affichent des pertes importantes dans le secteur ambulatoire. Plus de 30% de recettes manquent pour pouvoir fournir aux enfants des prestations ambulatoires couvrant les coûts. Cela s’explique par l’investissement plus impor- tant du personnel pour la prise en charge des enfants et les prestations de base fixes plus élevées. Ces pertes financières sont compensées par les cantons ou par le biais de la médecine pour adulte, deux situations qui ne sont pas prévues par la loi.

(3)

HUGUENIN

SOMMAIRE 1548

Impressum

Bulletin des médecins suisses Organe officiel de la FMH et de FMH Services

Adresse de la rédaction: Elisa Jaun, Assistante de rédaction BMS, EMH Editions médicales suisses SA, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 72,

fax +41 (0)61 467 85 56,

redaktion.saez@emh.ch, www.saez.ch Editeur: EMH Editions médicales suisses SA, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 55, fax +41 (0)61 467 85 56, www.emh.ch Marketing EMH / Annonces:

Dr phil. II Karin Würz, responsable marketing et communication, tél. +41 (0)61 467 85 49, fax +41 (0)61 467 85 56, kwuerz@emh.ch

personne de contact, tél. +41 (0)61 467 86 08, fax +41 (0)61 467 85 56, stellenmarkt@emh.ch

«Office de placement»: FMH Consul- ting Services, Office de placement, Case postale 246, 6208 Oberkirch, tél. +41 (0)41 925 00 77,

fax +41 (0)41 921 05 86, mail@fmhjob.ch, www.fmhjob.ch Abonnements membres de la FMH:

FMH Fédération des médecins suisses, Elfenstrasse 18, 3000 Berne 15, tél. +41 (0)31 359 11 11,

fax +41 (0)31 359 11 12, dlm@fmh.ch Autres abonnements: EMH Editions médicales suisses SA, Abonnements, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 75, fax +41

Prix de l’abonnement: abonnement annuel CHF 320.–, port en sus.

ISSN: version imprimée: 0036-7486 / version en ligne: 1424-4004 Paraît le mercredi

© EMH Editions médicales suisses SA (EMH), 2016. Le Bulletin des médecins suisses est une publication «open- access» de EMH. Sur la base de la licence Creative Commons «Attribu- tion – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 4.0 International», EMH accorde à tous les utilisateurs le droit, illimité dans le temps, de repro- duire, distribuer et communiquer cette création au public, selon les conditions suivantes: (1) citer le nom de l’auteur;

(2) ne pas utiliser cette création à des fins commerciales; (3) ne pas modifier, transformer ou adapter cette création.

obtention explicite de l’autorisation de EMH et sur la base d’un accord écrit.

Note: Toutes les données publiées dans ce journal ont été vérifiées avec le plus grand soin. Les publications signées du nom des auteurs reflètent avant tout l’opinion de ces derniers, pas forcément celle de la rédaction du [BMS]. Les doses, indications et formes d’application mentionnées doivent en tous les cas être comparées aux notices des médicaments utilisés, en particulier pour les médicaments récemment autorisés.

Production: Schwabe SA, Muttenz, www.schwabe.ch

Tribune

POINT DE VUE: Johannes Spalinger

1577 Kommentar zum Beitrag «Nichtärztlicher Personalaufwand»: Es braucht neue Vergütungsmodelle

POINT DE VUE: Christine Schliesser

1578 Bauch zu vermieten – Leihmutterschaft aus theologisch-ethischer Perspektive

Horizons

ÉTHIQUE: Lazare Benaroyo 1581 L’éthique et l’art du soin

Et encore…

Samia Hurst

1584 Nos enfants Que veut dire être l’enfant de quelqu’un, ou le parent de quelqu’un? Habituellement, la réponse a trois composantes: la filiation génétique, gestationnelle et sociale. Dans la plupart des cas, ces formes de filiation coexistent dans les mêmes personnes. Dès que ce n’est pas le cas, comme dans la gestation pour autrui, nous devenons perplexes… Dans son «Et encore…», notre auteur se réfère à l’article «Bauch zu vermieten» («Ventre à louer») de la Dre Christine Schliesser, également publié dans ce numéro (page 1578).

(4)

Charte qualité: transparence, responsabilité et durabilité

Christoph Bosshard

Dr méd., vice-président de la FMH, responsable du département Données, démographie et qualité

L’activité médicale est basée sur la responsabilité du médecin face à ses patients, et la qualité de sa presta- tion fait naturellement partie de son travail. Souhai- tant regrouper les activités des médecins en faveur de la qualité et les rendre plus visibles, la FMH a fondé en novembre 2012 l’Académie suisse pour la qualité en mé- decine (ASQM). Les évolutions politiques et sociales ac- tuelles en matière de santé exigent quant à elles de plus en plus fréquemment que l’évaluation des prestations médicales repose sur des critères axés sur la qualité.

Dans le domaine de l’admission des médecins, la FMH a également souligné à de nombreuses reprises l’im- portance de critères de qualité nationaux pour les médecins souhaitant exercer en Suisse: pour elle, des compétences linguistiques obligatoires dans la langue du lieu de travail assorties d’au moins trois ans d’activité dans un établissement de formation post graduée suisse reconnu dans la discipline visée pour l’admission et d’au moins 5500 heures d’études de médecine sont décisifs pour assurer la sécurité des patients.

La qualité fait partie intégrante du quotidien des méde- cins, et c’est pourquoi les sociétés de discipline, les organisations cantonales de médecine et les sociétés faîtières sont appelées à développer et à garantir des stratégies qualité et à élaborer une attestation transpa- rente de la qualité fournie. La charte qualité de l’ASQM leur offre une précieuse vue d’ensemble à cet égard et garantit le transfert de connaissances. Par leur signa- ture, les organisations médicales suisses s’engagent à respecter les principes fondamentaux de la qualité en matière de transparence, d’obligation, de durabilité, de compétences et de ressources, tout en formulant des exigences communes envers le monde politique, l’ad- ministration et d’autres organisations médicales.

Comme évoqué plus haut, la qualité des prestations est une dimension incontestée du travail des médecins.

Les exigences croissantes envers le corps médical de documenter et d’attester séparément cette qualité requièrent toutefois clairement des ressources supplé- mentaires. Nous ne pouvons pas nous permettre de consacrer encore davantage de temps à des tâches ad- ministratives au détriment du temps – déjà rare – passé avec nos patients. Il s’agit donc de trouver les moyens pour soutenir les médecins dans cette tâche avec l’ap- pui financier des donneurs de mandat de l’administra- tion et du monde politique.

Pendant deux ans, les délégués du Forum Qualité de l’ASQM ont élaboré une charte qualité qui a ensuite été

mise en consultation auprès de toutes organisations représentées à la Chambre médicale; plus de la moitié a répondu à cette invitation avec un écho majoritaire- ment positif. En juin 2016, le Forum Qualité a approuvé la version finalisée de la charte. Après l’aval du Comité central de la FMH et la présentation de la charte à l’Assemblée des délégués, toutes les organisations représentées à la Chambre médicale ont été invitées à la signer.

La première signature symbolique a eu lieu le 27 octobre 2016 lors de la Chambre médicale. La signature de la charte qualité reste facultative et il est possible de la signer à tout moment. C’est précisément ce caractère facultatif qui constitue la base d’une culture de la confiance empreinte d’ouverture et de loyauté. Cette culture place la motivation et la conviction avant l’obli- gation et le contrôle. Elle représente par ailleurs la condition sine qua non de la réussite d’un système quel qu’il soit, à l’instar du Critical Incident Reporting System.

J’encourage toutes les personnes impliquées à faire preuve de toute la diligence nécessaire dans ce domaine pour que nous puissions continuer de développer notre engagement en faveur de la charte qualité de l’ASQM.

Une adhésion claire du corps médical et des exigences communes envers le monde politique, l’administration et les organisations médicales.

Le caractère facultatif ouvre la voie à une culture de la confiance qui place la motivation et la conviction avant l’obligation et le contrôle.

FMH Editorial 1549

(5)

Charte qualité de l’Académie suisse pour la qualité en médecine (ASQM)

Adhésion commune aux

démarches qualité en médecine

Roxane Küblera, Esther Kraftb

a Responsable opérationnelle de l’Académie suisse pour la qualité en médecine (ASQM) de la FMH

b Cheffe de la division Données, démographie et qualité (DDQ) de la FMH

La charte qualité dont l’objectif est de développer des démarches qualité transpa- rentes et obligatoires a été élaborée pendant deux ans par le Forum Qualité de l’ASQM.

Après une consultation largement suivie au sein du corps médical, elle a été finali- sée et signée par 57 organisations médicales.

Contexte

L’activité médicale est basée sur la responsabilité du médecin face à ses patients. La qualité de sa prestation fait naturellement partie de son travail et bénéficie aussi bien au patient et à ses proches qu’au médecin.

De ce fait, il faut garantir et encourager les démarches qualité sous tous leurs aspects. C’est un point fonda- mental de l’identité médico-éthique de tout médecin, du Code de déontologie de la FMH et du droit suisse1. Les évolutions politiques et sociales actuelles en ma- tière de santé exigent que l’évaluation des prestations médicales se base sur des critères axés sur la qualité.

S’agissant des critères de qualité nationaux pour l’ad- mission des médecins, la FMH a exigé de manière claire et répétée des compétences linguistiques obligatoires

de niveau B2 minimum assorties d’au moins trois ans d’activité dans un établissement de formation post- graduée suisse reconnu dans la discipline visée pour l’admission et d’au moins 5500 heures d’études de médecine. Les sociétés de discipline, les organisations cantonales de médecine et les sociétés faîtières sont appelées à développer et à garantir des stratégies qua- lité et à élaborer une attestation transparente de la qualité fournie.

Elaboration

Pendant deux ans, les délégués et les délégués sup- pléants du Forum Qualité de l’Académie suisse pour la qualité en médecine (ASQM) ont élaboré une charte qui, de janvier à avril 2016, a été mise en consultation auprès des organisations représentées à la Chambre médicale. En juin 2016, le Forum Qualité a approuvé la version finalisée de la charte qualité de l’ASQM que le Comité central de la FMH a ensuite adoptée. L’Assem- blée des délégués de la FMH a été informée en sep- tembre 2016 avant que toutes les organisations repré- sentées à la Chambre médicale soient invitées à la signer. La signature symbolique de la charte a eu lieu dans le cadre de la Chambre médicale en octobre 2016.

Objectifs

La charte qualité de l’ASQM poursuit les objectifs sui- vants: les organisations médicales suisses

– rappellent conjointement leur adhésion aux prin- cipes fondamentaux de la qualité en matière de transparence, d’obligation, de durabilité/exactitude, de compétences et de ressources;

– acceptent des obligations claires, mais aussi trans- fèrent à l’externe des exigences communes envers

1 Cf. art. 58, 59 et 59a LAMal et art. 77 OAMal.

Signature solennelle lors de la Chambre médicale du 27 octobre 2016: les représentants des organisations signataires de la charte qualité de l’ASQM (source: Frederike Asael).

FMH DDQ /ASQM 1550

(6)

le monde politique, l’administration, et d’autres or- ganisations médicales;

– introduisent une obligation notamment en ce qui concerne la transparence en matière de qualité des prestations médicales.

Première signature

Lors de la Chambre médicale du 27 octobre 2016, le Dr Christoph Bosshard a fait le point sur la charte qualité de l’ASQM. Il en a profité pour souligner l’im- portance pour les organisations médicales de rappeler ensemble leur adhésion au caractère obligatoire et à la transparence des démarches qualité en médecine. Il a lu le nom des organisations signataires et remercié les présidentes et présidents pour leur engagement avant de les inviter à la signature symbolique de la charte.

Les 57 organisations suivantes ont déjà signé la charte qualité de l’ASQM (liste au 27 octobre 2016):

– ASMAC

– Association suisse des médecins indépendants tra- vaillant en cliniques privées et hôpitaux

– Collège de médecine de premier recours – FMCH

– FMP – FMPP

– Médecins de famille et de l’enfance Suisse – Ordine dei Medici del Cantone Ticino – SFSM

– Société de médecine du canton d’Unterwald – Société de médecine du canton de Bâle-Campagne – Société de médecine du canton de Lucerne – Société de médecine du canton de Saint-Gall – Société de médecine du canton de Schwytz – Société de médecine du canton de Soleure – Société de médecine du canton de Thurgovie – Société de médecine du canton de Zurich – Société médicale du Valais

– Société neuchâteloise de médecine

– Société suisse d’allergologie et d’immunologie – Société suisse d’infectiologie

– Société suisse d’oncologie médicale – Société suisse d’ophtalmologie

– Société suisse d’oto-rhino-laryngologie et de chirur- gie cervico-faciale

– Société suisse d’urologie

– Société suisse d’anesthésiologie et de réanimation – Société suisse de cardiologie

Figure 1: Les 15 principes fondamentaux de la charte qualité de l’ASQM (source: DDQ/ASQM).

FMH DDQ /ASQM 1551

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– Société suisse de chirurgie

– Société suisse de chirurgie cardiaque et vasculaire thoracique

– Société suisse de chirurgie de la main

– Société suisse de chirurgie plastique, reconstructive et esthétique

– Société suisse de chirurgie thoracique – Société suisse de chirurgie vasculaire

– Société suisse de dermatologie et vénéréologie – Société suisse de gastroentérologie

– Société suisse de génétique médicale

– Société suisse de gynécologie et d’obstétrique – Société suisse de médecine du travail

– Société suisse de médecine d’urgence et de sauve- tage

– Société suisse de médecine interne générale – Société suisse de médecine légale

– Société suisse de médecine manuelle – Société suisse de médecine nucléaire

– Société suisse de médecine tropicale et de médecine des voyages

– Société suisse de neurochirurgie – Société suisse de neurologie – Société suisse de pathologie

– Société suisse de pédiatrie

– Société suisse de pharmacologie et de toxicologie clinique

– Société suisse de pneumologie

– Société suisse de psychiatrie et psychothérapie de l’enfant et de l’adolescent

– Société suisse de psychiatrie et psychothérapie – Société suisse de radiologie

– Société suisse de radio-oncologie

– Société suisse des médecins-conseils et médecins d’assurances

– Swiss Orthopaedics

– Union des sociétés suisses de médecine complé- mentaire

La signature de la charte qualité reste facultative et il est toujours possible de la signer à tout moment après la Chambre médicale. Si vous le souhaitez, n’hésitez pas à nous contacter, le mieux par courriel à asqm[at]fmh.ch.

Correspondance:

Fédération des médecins suisses (FMH) Division DDQ Elfenstrasse 18 Case postale 300 CH-3000 Berne 15 roxane.kuebler[at]fmh.ch Tél. 031 359 11 11

Sur le site www.asqm.ch → Charte qualité, vous trouverez de plus amples informations concernant la charte qualité de l’ASQM mais aussi des modèles de stratégie qualité et de rapport qualité, ainsi qu’une galerie photos de la signature de la charte lors de la Chambre médicale.

La Société suisse d’oncologie médicale a été la première organisation médicale à avoir signé la charte qualité de l’ASQM. Trois questions à son président, le Prof. Markus Maximilian Borner:

Quelle a été la motivation principale de votre société à signer la charte qualité de l’ASQM?

La qualité des soins oncologiques en Suisse est très élevée, comme le montrent les comparaisons avec l’étranger – nous le devons aux conditions de notre formation postgraduée et continue structurée. De nos jours, la tendance va cependant vers une institution- nalisation de la qualité, ce à quoi contribue la charte qualité. Une question aussi importante que celle-ci devrait être abordée de manière centralisée égale- ment pour des raisons économiques au lieu d’être reléguée au maillon le plus faible de la chaîne de soins.

Pour votre société, quel est l’enjeu principal des démarches qualité?

La qualité peut être évaluée de la manière la plus fiable possible à condition de disposer de données

nationales sur le résultat. Je veux parler ici de re- cherche sur les soins, qu’il s’agit de mettre en lien avec les questions de qualité, ce qui représente un énorme défi mais également une grande opportunité.

Où voyez-vous les chances de la charte qualité de l’ASQM?

Si la FMH parvient à mettre en place des instruments simples et fondés dans le domaine des registres, nous disposerons ainsi des outils nécessaires pour améliorer continuellement les soins avec les para- mètres de notre choix. Un point particulièrement important à relever est le fait que les auteurs de la charte abordent également la question de la charge de travail supplémentaire et de sa rétribution – c’est là une condition sine qua non pour les fournisseurs de prestations dans toutes les disciplines.

FMH DDQ /ASQM 1552

(8)

Todesfälle / Décès / Decessi Regula Witzig (1944), † 24.9.2016,

Fachärztin für Psychiatrie und Psychotherapie, 8008 Zürich

Praxiseröffnung / Nouveaux cabinets médicaux / Nuovi studi medici BE

Irina Bleuel, Fachärztin für Ophthalmologie, Marktgasse 36, 3011 Bern

Ärztegesellschaft des Kantons Bern Ärztlicher Bezirksverein Bern Regio Zur Aufnahme als ordentliches Mitglied haben sich angemeldet:

Veronika Müller, Fachärztin für Allgemeine Innere Medizin, FMH, Tellstrasse 32, 3014 Bern

Acif Kafexholli, Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, Sportmedizinisches Zentrum Bern, Bümplizstrasse 101, 3018 Bern

Joachim Stephan Klenk, Facharzt für Ortho­

pädie und Traumatologie des Bewegungs­

apparates, FMH, Worbstrasse 316, 3073 Güm­

ligen

Katayun Hojat Wüthrich, Fachärztin für Pädiatrie und Intensivmedizin, Park ­ terrasse 10, 3012 Bern

Regula Salzgeber, Fachärztin für Ophthal­

mologe, FMH, Augencentrum Zytglogge, Zytglogge 1, 3011 Bern

Einsprachen gegen diese Vorhaben müssen innerhalb 14 Tagen seit der Veröffentlichung schriftlich und begründet beim Präsidenten des Ärztlichen Bezirksvereins Bern Regio eingereicht werden. Nach Ablauf der Frist entscheidet der Vorstand über die Aufnahme der Gesuche und über die allfälligen Einsprachen.

Ärztegesellschaft des Kantons Luzern Zur Aufnahme in unsere Gesellschaft Sektion Stadt hat sich gemeldet:

Daniela Müller, Fachärztin für Kinder­ und Jugendmedizin, Spez. Kindernotfallmedizin, FMH, Praxistätigkeit ab Dezember 2016:

Swiss Medi Kids, Kinder Permanence Luzern, Seidenhofstrasse 9, 6003 Luzern

Einsprachen sind innert 20 Tagen nach der Publikation schriftlich und begründet zu richten an: Ärztegesellschaft des Kantons Luzern, Schwanenplatz 7, 6004 Luzern

Ärztegesellschaft des Kantons Schwyz Zur Aufnahme in die Ärztegesellschaft des Kantons Schwyz hat sich angemeldet:

Svenja Carolina Kälin, Fachärztin für Kinder­ und Jugendmedizin, FMH, Praxis MedicoPlus AG in 6418 Rothenthurm und Belegärztin Spital Einsiedeln

Einsprachen gegen diese Aufnahme richten Sie schriftlich innert 20 Tagen an Dr. med.

Hugo Brunner, Dorfstrasse 14, 6417 Sattel.

Gesellschaft der Ärztinnen und Ärzte des Kantons Solothurn

Zur Aufnahme als ordentliche Mitglieder per 20. Oktober 2016 haben sich angemeldet:

Andreas Baumann, Facharzt für Neurologie, FMH, ÄrzteHaus Balsthal AG, Bahnhofstr. 1, 4710 Balsthal

Adrian Baumgartner, Facharzt für Gynäkologie und Geburtshilfe, FMH, Bürgerspital Solothurn, Schöngrünstr. 42, 4500 Solothurn

Miran Adriana Chasampi Diaz, Praktische Ärztin, FMH, Praxis MyLife, Solothurnerstr. 32, 2540 Grenchen

Alexander Fischer, Facharzt für Ortho­

pädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, FMH, Leopoldstr. 1, 4500 Solothurn

Thorsten Graewe, Praktischer Arzt, FMH, Laufenstr. 4, 4226 Breitenbach

James Habicht, Facharzt für Thoraxchirurgie, Herz­ und thorakale Gefässchirurgie, FMH, Chirurgie, Kantonsspital Olten, Baslerstr. 150, 4600 Olten

Leila Hadjadj, Fachärztin für Anästhesie, FMH, Bürgerspital Solothurn, Schöngrün ­ str. 42, 4500 Solothurn

Gerrit Hellige, Facharzt für Kardiologie, FMH, Kantonsspital Olten, Baslerstr. 150, 4600 Olten

Marion Kritikos, Fachärztin für Chirurgie, FMH, Pallas­Kliniken AG, Louis Giroud­

Strasse 26, 4600 Olten

Martin Schrumpf, Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie, FMH, Forensische Psychiatrie, Solothurnerstr. 121, 4600 Olten

Markus Timo Steinmann, Facharzt für Kinder­

und Jugendmedizin, FMH, Gruppenpraxis für Kinder und Jugendliche, Schöngrünstr. 42, 4500 Solothurn

Maximilian Thau, Praktischer Arzt, FMH, Kirchstr. 1, 2540 Grenchen

Letizia Nena von Laer Tschudin, Fachärztin für Kinder­ und Jugendmedizin, ZKSK Solothurn, Werkhofstr. 17, 4502 Solothurn

Einsprachen gegen diese Aufnahmen sind mit Begründung innert 14 Tagen seit Pu bli ­ kation beim Co­Präsidenten der Gesellschaft der Ärztinnen und Ärzte des Kantons Solothurn einzureichen.

FMH Nouvelles du corps médical 1553

Nouvelles du corps médical

(9)

La genèse d’une collaboration multidisciplinaire fructueuse

«Comment surmonter ses

réticences et autres obstacles»

Marco Zalunardoa, Sebastian Krayerb, Bernhard Walderc, Thomas Brunnerc, Peter Bauerfeindd, Stefan Hartmeierd, Daniel Franzene, Ludwig Jacobf, Peter Ammanng, Daniel Weilenmanng

a président de la SSAR; b membre du comité de la SSAR; c délégué de la SSAR; d membre du comité de la SSG; e délégué de la SSP;

f membre du comité de la SSVIR; g délégué de la SSC

Des gastro-entérologues ont publié en 2011 dans le Swiss Medical Forum un article optimiste intitulé «La sédation au propofol en endoscopie gastro-intesti- nale – Une histoire à succès suisse» [1]. Le sujet de l’ar- ticle, qui reflétait la pratique quotidienne en gastro-en- térologie, avait déjà suscité auparavant de vifs débats à l’échelle européenne, des débats qui ont abouti à ce que certains anesthésistes et leurs sociétés nationales nient complètement aux gastro-entérologues la com- pétence à administrer le propofol [2]. Aucun consensus n’a pas pu être atteint à l’échelle européenne. Une réaction correspondante ne se fit pas attendre en Suisse. Certains anesthésistes ont, dans une lettre aux éditeurs, réagi de façon similaire à l’article sus- mentionné à l’encontre des gastro-entérologues [3].

La petite guerre était donc déclarée au sein de la profes- sion et les positions prises. Une coopération fonda- mentale de l’anesthésie et de la gastro-entérologie dans ce domaine semblait à l’époque difficile à beau- coup d’endroits et même impossible au niveau de la profession.

C’est grâce à l’initiative et à la force de persuasion de différents membres des comités des deux sociétés de discipline que les comités professionnels de la SSAR et

de la SSG se sont réunis pour débattre sur ce sujet mal- gré des circonstances défavorables. Ils se sont rencon- trés pour la première fois en août 2012. L’atmosphère était tendue, les deux côtés s’attendant à une résis- tance ou même à une escalade. Rien de tel ne s’est pro- duit. Une discussion ouverte avec des concessions des deux côtés: la condition d’une collaboration fruc- tueuse. Chacun semblait disposé à surmonter ses réti- cences. Cette réunion a donné le coup d’envoi d’une coopération continue et fructueuse.

L’objectif premier du groupe de travail constitué à par- tir de la SSG et de la SSAR était la sécurité du patient. Un papier de consensus avec des recommandations et des directives sur la sédation au propofol par les gastro- entérologues a finalement pu être rédigé à l’issue de multiples séances. Le papier a, en dépit de la résistance, été approuvé et adopté comme directive gastro-entéro- logique 2013 à l’assemblée générale de la SSG. La res- ponsabilité, les conséquences juridiques et le bien-être

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L’objectif premier du groupe de travail constitué à partir de la SSG et de la SSAR était la sécurité du patient.

AUTRES GROUPEMENTS ET INSTITUTIONS SSAR 1554

(10)

et la sécurité du patient ont en définitive été détermi- nants pour son adoption par les membres de la SSG présents.

L’idée avait été lancée de ne pas se limiter seulement àla gastro-entérologie et au propofol mais de définir des directives et des normes de sécurité valables en général qui étaient applicables indépendamment du spé cialiste interventionnel et de la substance utili- sée. Le groupe de travail a donc été élargi et ce, d’une part avec des anesthésistes spécialisés qui apportaient une grande expérience dans les analgo-sédations pour les interventions, et d’autre part avec d’autres sociétés de discipline effectuant régulièrement et fréquem- ment des analgo-sédations: cardiologie, radiologie in- terventionnelle et pneumologie. Le groupe de tra- vail élargi a démarré en octobre 2014 sous l’égide de la SSAR. Toutes les sociétés de discipline partici- pantes ont envoyé des délégués officiels. Un climat constructif a d’emblée régné dans ce groupe; peut-être aussi parce que certains délégués pouvaient déjà se prévaloir de longues années de collaboration multidis- ciplinaire fructueuse. D’importants thèmes ont été abordés, comme par exemple l’évaluation préalable des patients et de leurs risques, la profondeur de séda- tion «permise» ainsi que la période de jeûne jusqu’à l’intervention / la sédation. Une sédation modérée (sta- des I et II) ne pose pas encore d’exigences particulières au spécialiste interventionnel du point de vue anesthé-

siologique. Dans une sédation profonde (stades III et IV), le patient perd graduellement connaissance. L’alté- ration de la respiration spontanée, des réflexes de dé- fense et de la stabilité hémodynamique qui en résulte exige certaines aptitudes à identifier et traiter une in- suffisance respiratoire et une situation circulatoire. En pratique clinique, l’introduction d’un gastroscope à l’état éveillé (stades de sédation I et II) est souvent mal tolérée par les patients et n’est plus guère acceptée. Les exigences des patients ont fortement augmenté ces dernières années, c’est pourquoi une sédation plus profonde temporaire n’est pas seulement souhaitable pour beaucoup d’interventions, en particulier cardio- logiques, mais fait aussi partie intégrante de la pra- tique quotidienne depuis des années.

Le groupe de travail en a intensivement discuté. Le résultat de la discussion a été reproduit sous forme de papier de consensus et finalement accepté par toutes les sociétés de discipline, même par l’assemblée géné- rale de la SSAR, où l’on pouvait sentir un vent contraire.

On a assisté dans l’immédiat et à l’assemblée générale à des attaques et à des activités inédites pour la SSAR. La peur de perdre de l’influence, du contrôle, de la sécu- rité, de la qualité et naturellement aussi des sources de revenus primait. La responsabilité et d’éventuelles consé quences juridiques étaient également à l’ordre du jour. Une majorité des membres présents a cependant pu être convaincue de reconnaître les signes du temps et de soutenir cette collaboration multidisciplinaire.

Ce document, qui est publié dans le Swiss Medical Forum parallèlement à cet article, est la première démarche commune. [4] Des révisions et des adaptations seront nécessaires pour continuer à répondre aux besoins cli- niques changeants. La prochaine étape est la mise en œuvre pratique dans les différentes sociétés de disci- pline. La SSAR soutiendra et accompagnera activement ici les autres disciplines en vue de l’instruction et de la formation continue durables de leurs membres sur la base du papier de consensus.

Cette «histoire à succès» montre une fois de plus que la conviction, la ténacité et surtout la volonté de consen- sus peuvent surmonter des obstacles apparemment insurmontables. L’aboutissement dépend dans une proportion non négligeable des individus impliqués. Si l’on met en avant des intérêts propres et le désir de se profiler aux dépens de la cause ou, plus précisément, du patient, il est alors improbable que l’on trouve un consensus.

Références

1 Inauen W, Külling D, Heuss LT, Bauerfeind P. La sédation au propo- fol en endoscopie gastro-intestinale – Une histoire à succès suisse.

Forum Médical Suisse. 2011;11(51–52):961–2.

2 Perel A. Non-anaesthesiologists should not be allowed to adminis- ter propofol for procedural sedation: a Consensus Statement of 21 European National Societies of Anaesthesia. Eur J Anaesthesiol.

2011;28(8):580–4.

3 Knüsel R, Meister B, Schnider T. Propofolsedation in der gas- trointestinalen Endoskopie: eine gefährliche Erfolgsgeschichte.

Forum Médical Suisse 2012;12(25):519–21.

4 Zalunardo M, Krayer S, Brunner T, Walder B, Bauerfeind P, Hart- meier S, Ammann P, Weilenmann D, Jacob AL, Franzen D. Docu- ment de consensus de la SSAR, la SSG, la SSC, la SSCIR et la SSP: Re- commandations et standards pour l’analgo-sédation administrée par un non-anesthésiste. Forum Med Suisse. 2016;16(45):969–72.

L’idée avait été lancée de ne pas se limiter seulement à la gastro-entérologie et au propo- fol mais de définir des directives et des normes de sécurité valables en général.

L’aboutissement dépend dans une proportion non négligeable des individus impliqués.

Correspondance:

Prof. Dr méd.

Marco Piero Zalunardo Président de la SSAR Société Suisse d’Anesthésio- logie et de Réanimation SSAR

Stellvertretender Instituts- direktor

Institut für Anästhesiologie Universitätsspital Zürich Rämistrasse 100 CH-8091 Zurich Tél. 044 255 26 96 Fax 044 255 44 09

AUTRES GROUPEMENTS ET INSTITUTIONS SSAR 1555

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Un prisonnier n’est pas égal à un non prisonnier

Un prisonnier n’est pas un citoyen égal contrairement à ce qui a été exprimé [1]. Dans un Etat de droit, il y a justement des citoyens moins égaux que d’autres: ce sont justement les prisonniers. Ce sont des citoyens à qui une part d’espace humain a été enlevé: c’est un espace de liberté qui leur a été amputé. La notion de liberté est une notion fondamen- tale de l’être humain. Le prisonnier est donc un Homme à qui une notion fondamentale humaine a été enlevée: une part de liberté. Les prisonniers sont donc fondamentalement des

«sous-citoyens».

Ne pas le comprendre, ne pas comprendre cette notion fondamentale «d’amputation de liberté» entraîne une compréhension déviée de ce qu’est ensuite le secret médical d’abord et la notion d’appartenance de ce secret en- suite. Ne pas tenir compte judicieusement de cette logique met la notion de secret médical en danger, en haut danger d’être confondu en dehors des prisons avec ce qui est appelé un secret de fonction. Un secret de fonction est transmissible, interchangeable dans un contrat, un secret médical ne l’est pas, il est affaire de mandat! Dans les deux cas, existe le rapport de confiance.

Deux paradigmes sont discutés [2]:

1. Les médecins intervenants en prison ou man- datés par la justice sont tenus de respecter les mêmes règles fondamentales avec les patients détenus qu’avec les patients en liberté à moins qu’il n’existe des dispositions légales particu- lières qui modifient leurs droits et obligations.

2. Dès lors que la relation médecin-patient en prison ne relève pas du droit privé, le régime des droits des patients et des obligations profes- sionnelles est fondamentalement différent.

L’approche de réflexion est différente entre 1 et 2. Il y a, certes, une même obligation géné- rale de respecter les droits des patients dans le secteur public et privé, mais c’est: 1. une obli- gation générale, 2. une obligation qui touche des patients LIBRES ce qui n’est pas le cas des prisonniers.

Défendre l’équivalence de soins [1, 2] ne signi- fie en aucune manière défendre le même type de relation médecin-patient. C’est un abus de langage. Il y a, de plus, abus de langage mani- feste aussi lorsque l’on discute de secret médi- cal dans: 1. un Mandat demandé à un médecin par la justice, 2. une Thérapie engagée sous un contrat entre un médecin et l’autorité péni- tentiaire et que l’on prétend y voir une diffé- rence fondamentale [2]. Or dans les deux cas, il y a délégation d’une relation privilégiée, dans les deux cas, il n’existe plus, stricto senso, la notion de colloque singulier puisque dans les deux cas intervient un troisième lar- ron: l’Institution et ses règles.

Il n’est souvent pas suffisamment explicité que dans la problématique «secret médical et les prisonniers» il est discuté non pas d’un devoir généralisé d’information mais d’un devoir d’information obligatoire en cas de dangerosité. Les médecins de prisons ou d’ins- titution sont des auxiliaires de leur institu- tion et sont à ce titre soumis aux règlements de ces institutions. Un médecin mandaté par un patient dans une relation de colloque sin- gulier n’est pas soumis à un règlement d’insti- tution.

En médecine, il n’y a pas qu’une seule vérité [2]. Et c’est bien dans ce sens aussi que le cadre légal identique à tous est parfois difficile à res- pecter. Et c’est bien dans ce sens aussi que le médecin reste médecin: astreint à la respon- sabilité du bien de son patient et des consé- quences y découlant.

Dr Fabienne Gay-Crosier, Carouge/Genève

1 Gauthey M. Et toujours le secret médical. Bull Méd Suisses. 2015;96(44):1591.

2 Sprumont D, Ducor P. Le secret médical en prison:

une fausse polémique. Bull Méd Suisses.

2015;96(44):1592–3.

Réplique à la contribution

«Un prisonnier n’est pas égal à un non prisonnier»

Chère Fabienne, chère collègue,

C’est avec plaisir que je vois que tu relances ce débat dans notre journal, car c’est encore aujourd’hui un sujet qui n’est pas sorti de l’agenda politique en particulier dans les can- tons romands, même si les articles que tu cites ne sont pas récents. Pourtant, rien ne justifie des atteintes «supplémentaires» au secret médical, dont les limites sont depuis longtemps clairement indiquées. Ce secret est notre outil de travail, en particulier en prison, et rendre les médecins moins efficaces n’est

Wir brauchen eine neue Lösung und ein neues Gesetz

Kommentar zu: Stalder H. Werden wir einst gegen unseren Willen behandelt? Schweiz Ärztezeitung. 2016;97(42):1474.

Ich interpretiere die Frage von Herrn Prof.

Hans Stalder «… ob jemand eine Lösung habe für den unlösbaren Konflikt im Zusammen- hang mit assistiertem Suizid und Demenz?»

als Aufruf zur Suche nach einer besseren zu- künftigen Lösung in der Schweiz betreffend passive und aktive Sterbehilfe.

Diese Diskussion wird immer lauter werden.

Wir brauchen eine neue Lösung und ein neues Gesetz, in dem ein Patienten-Testament einem normalen Testament gleichgestellt wird. Da- mit kann der Patient sicher sein, dass sein Wille juristisch legitimiert umgesetzt wird.

Jeder Mensch kann am Ende seines Lebens in eine sehr schwierige Situation geraten, gefangen in den aktuellen juristischen und ethischen Regeln, die nicht einmal Experten auflösen können!

Verschiedene Situationen können untragbar und entwürdigend sein. Ebenso unwürdig sind die aktuellen Massnahmen bei einem geplan- ten, assistierten Suizid, wie Notarzt, Polizei- Einsatz und alle Begleit-Formalitäten.

Ich kenne Beispiele von verzweifelten Men- schen, die sich in einer «unlösbaren» Situation am Lebensende mit einer Pistole das Leben genommen haben, weil sie im aktuellen Sys- tem keinen anderen Ausweg mehr finden konnten.

Dies gilt es zu verhindern. Diese Menschen haben einen würdigen und von der Gesell- schaft akzeptierten Tod nach ihren eigenen Vorstellungen verdient.

Ein assistierter Suizid oder eine testamenta- risch gewünschte aktive Sterbehilfe für den persönlich festgelegten Fall X würde dies er- möglichen. Dies ist auch für das Umfeld viel weniger traumatisierend.

Wenn sich jeder Mensch ein Leben lang jeder- zeit selbst töten kann, dann sollte auch sein Sterbe-Wunsch am Lebensende wie gewünscht umsetzbar sein.

Ich habe grosses Verständnis für Menschen, die sagen, dass ihr Tod de facto eingetreten ist, falls sie bei fortgeschrittener Demenz pourtant pas dans l’intérêt des Etats.  L’ex- cellent article de Philippe Ducor et Domi- nique Sprumont, que tu cites aussi, mérite d’être relu et décrit bien le cadre légal et ses nuances.

Dr Monique Gauthey, Genève

Lettres de lecteurs

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Courrier au BMS

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ihren Lebenspartner nicht mehr kennen. Und so gibt es noch sehr viele andere berechtigte Gründe, sein Leben beenden zu wollen.

Ich plädiere für grösstmögliche Selbstbestim- mung und Selbstverantwortung in dieser Frage und ich wünsche mir, dass alle Men- schen für ihren Tod am Lebensende volle Selbstverantwortung übernehmen können.

Auch für den Fall, dass die Urteilsfähigkeit zum gewünschten Todeszeitpunkt nicht mehr gegeben ist.

Mündige Menschen mit Lebenserfahrung ändern ihre Meinung nicht mehr. Sie sind es gewohnt, die Konsequenzen ihres Handelns selber zu tragen.

Ich befürworte passive und aktive Sterbehilfe im vom Patienten für sich selbst festgelegten Fall X. Eine neue Regelung sollte im Interesse des leidenden Menschen rasch und einfach umsetzbar sein. Menschen haben ein Recht auf den eigenen Tod.

Im besten und natürlichsten Fall in Absprache und im Einverständnis mit dem eigenen Haus- arzt. Hier werden die Hausärzte mehr gefor- dert sein, ihre Patienten bis zum Tod in deren Interesse zu unterstützen.

Dann werden auch Notarzt, Polizei und die heutigen Formalitäten unnötig.

Dr. med. Paul Steinmann, Worb

Passive Sterbehilfe

Brief zu: Stalder H. Werden wir einst gegen unseren Willen behandelt? Schweiz Ärztezeitung. 2016;97(42):1474.

Sehr geehrter Herr Professor Stalder

In Ihrem Artikel akzeptieren Sie den Wunsch,

«nicht zur Last fallen», als Grund für aktive Sterbehilfe. Ich vermute, nicht alle werden damit einverstanden sein. Ich gehe noch wei- ter und betrachte den Wunsch, die eigenen finanziellen Mittel nicht für die (sinnlose) Verlängerung des Leidens zu verbrauchen, sondern den Nachkommen zu überlassen, auch als legitim. Selbstverständlich haben wir

«im fortgeschrittenen Alter» eine andere Ein- stellung zu dieser Problematik als die Jünge- ren. Es geht zwar auch um sie, aber vor allem um uns, um unser Recht auf Selbstbestim- mung.

Auf Ihre am Ende des Artikels gestellte Her- ausforderung «… aber vielleicht haben Sie … eine Lösung?» habe ich zwar keine direkte Antwort, aber doch eine für (manche, viele) Betroffene akzeptable Möglichkeit – die passive Sterbehilfe. Man sollte beim ent- sprechenden Wunsch auf alle lebensverlän- gernden Massnahmen wie gewaltsame Ver- abreichung der Nahrung, Sondenernährung, Infusionen wie auch auf alle kurativen ver- zichten und rein palliativ pflegen. Wir haben

Jenseits des Narzissmus

Brief zu: Stalder H. Werden wir einst gegen unseren Willen behandelt? Schweiz Ärztezeitung. 2016;97(42):1474.

Den assistierten Suizid empfehlen, wenn ein mild cognitive impairment festgestellt wird, mag Kollege Stalder nun auch nicht gerade. Es könnte ja eventuell wieder besser werden.

Doch was, wenn sich daraus eine Demenz ent- wickelt und man den Zeitpunkt verpasst, im urteilsfähigen Zustand einen assistierten Suizid zu organisieren? – Dann würde man bis zum natürlichen Ableben «gegen seinen Wil- len» behandelt, so seine Befürchtung. Wirk- lich? Von aussen gesehen, sind Demente

«blöd». Verblödung, hiess es jedenfalls zu Be- ginn meines Studiums noch, wenn man von Alzheimer sprach. Doch in diesem Zustand ändern sich die Werte und die Wahrnehmun- gen. Vielleicht sind Demente gar einer für uns

«So-gar-nicht-Blöde» unverständlichen und als lächerlich empfundenen unsichtbaren Welt näher. Fälle von terminaler Geistesklar- heit oder Sterbebettvisionen sprechen jeden- falls dafür. Vielleicht dient die Demenz sogar dazu, den Narzissmus zu überwinden. Für die- sen nämlich ist die Vorstellung, hilflos zu wer- den und «den Angehörigen und Pflegenden zur Last zu fallen», ganz und gar unerträglich.

Der Demente lebt in einer anderen Welt. Zu denken, «wenn ich dement bin, möchte ich auf keinen Fall am Leben erhalten werden», ist ein problematischer Vorentscheid. Denn «un- würdig» ist dement und auf Hilfe angewiesen sein nur aus der Sicht eines überheblichen Denkens, das dann nicht mehr ist.

Dr. med. Walter Meili, Basel

Sortie du nucléaire: dire oui

MAINTENANT, par bon sens médical!

La sortie du nucléaire en tant que telle n’est plus guère contestée en Suisse. Après la catastrophe de Fukushima, le Conseil fédéral, le Parlement et la population n’ont pas tardé à reconnaître que cette technologie, même en mains ex- pertes, comportait de gros risques écono- miques et sanitaires. A l’instar de Tchernobyl en 1986, la catastrophe japonaise à démontré

qu’il n’était pas possible de maîtriser une énergie dont la puissance dépasse toutes les capacités de l’homme. Les risques ne se limi- tent pas à un seul pays, mais dépassent les continents. Ce sont des dizaines et des dizaines de générations qui porteront le fardeau, pour un temps incalculable.

En médecine, nous connaissons bien les dan- gers du rayonnement ionisant, que celui-ci soit puissant ou de faible intensité. Même une centrale nucléaire fonctionnant normalement irradie les populations avoisinantes. Pensons aux populations contaminées par l’exploita- tion de l’uranium, aux ouvriers du nucléaire, et aux enfants et aux bébés, particulièrement sensibles, qui vivent à proximité des installa- tions nucléaires: tous portent le fardeau d’un risque accru de cancer.

Dans l’optique médicale, les dangers liés au nucléaire l’emportent sur les bénéfices. La seule question est de savoir selon quel rythme le parc nucléaire suisse sera démantelé. Il faut une échéance contraignante. Sans échéance, la sortie sera repoussée à la «Saint-Glinglin»

comme le démonte le triste exemple de la Suède qui attend la sortie depuis 1980.

Comme médecins, nous avons l’habitude de réfléchir aux sanctions thérapeutiques qui doivent raisonnablement découler d’un diag- nostic. Comment conseiller un fumeur en pleine poussée de bronchite chronique? Nous lui disons: il faut arrêter MAINTENANT, pas dans quelques années. Que faire d’un patient qui présente des troubles circulatoires céré- braux sur une hypertension artérielle d’appa- rition récente? Instaurer IMMÉDIATEMENT un traitement hypotenseur.

Si, en tant que médecins, nous voulons assu- mer une responsabilité dans le domaine so- cial – comme nous le faisons au quotidien avec nos patients – nous devons approuver la sortie programmée du nucléaire soumise à la votation du 27 novembre 2016.

Nous savons qu’en Suisse, en combinant les économies d’énergie dans les bâtiments avec une utilisation intelligente des énergies hy- draulique, solaire et éolienne, nous pouvons arrêter le nucléaire sans que personne ne se retrouve dans l’obscurité, ni ne gèle de froid.

Pour le Comité PSR/IPPNW Suisse

Médecins pour une Responsabilité Sociale / pour la Prévention de la Guerre Nucléaire

Dr Jean-Jacques Fasnacht, Président Dr Claudio Knüsli Dr Martin Walter Dresse Bettina Wölnerhanssen es bei unseren betagten Eltern bereits vor

Jahrzehnten praktiziert, nur eine Person da- von war dement. Zwei weilten in Heimen, zwei bei uns zu Hause. So wünschen wir es auch für uns. Es steht in unseren Verfügun- gen und die Kinder sind darüber informiert.

Mit besten Grüssen

Dr. med. Peter Marko, St. Gallen

COURRIER redaction.bms@emh.ch 1557

(13)

Praxiscomputer-Workshop

Der Workshop richtet sich an Ärztinnen und Ärzte, die vor einer Praxiseröffnung oder Pra­

xisübernahme stehen oder bereits praxistätig sind.

Themen

– Anforderungen an ein Praxisinformations­

system (Einführung)

– Evaluationsprozess (projektorientiertes Vorgehen in der Evaluation eines Praxis­

informationssystems)

– Präsentation von sechs führenden Praxis- informationssystemen (Leistungserfas­

sung, elektronisches Abrechnen unter Ein­

bezug der TrustCenter, Agendaführung, Statistiken, Laborgeräteeinbindung, elektro­

nische Krankengeschichte, Finanzbuchhal­

tungslösungen usw.) Kosten

Für FMH­Services­Mitglieder kostenlos.

Daten

K15 Donnerstag, Olten 24. November 2016 Stadttheater 13.30–18.00 Uhr

Folgende Softwareanbieter können Sie im Workshop kennenlernen:

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kengeschichte auf dem Tablet, welche sich bei jeder Gelegenheit mit der Basis synchronisiert, oder Kartenleser, welche die Daten einwandfrei in das System übertragen, sind zwei einfache und pragmatische Lösungen der Ärztekasse. In­

tegrierte elektronische Terminvereinbarung, Krankengeschichte, Laborschnittstellen, Inter­

aktionsprüfung, Bonitätschecks sind weitere Möglichkeiten. Die Ärztekasse stellt diese und weitere eHealth­Bausteine für ihre Mitglieder oft ohne Zusatzkosten bereit. Viele dieser Zusatz module sind für Ärztekasse­Mitglieder kostenlos. Softwarevorteile: Keine Investitions­

kosten, alle Module wie z.B. Agenda und elek­

tronische Krankengeschichte sind inte griert und ohne Zusatzkosten erhältlich. Vollständige und umfangreiche Palette an Funktionen und Onlinediensten. Alle Programmupdates und Tarifanpassungen, Medikamentenupdates bis hin zu neuen, aktuellen Versionen der Software sind in den Lizenzkosten bereits inbegriffen.

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lich, Schnittstelle Apotheken, Röntgen, inte­

grierte Perzentilen, automatische Laborschnitt­

stelle und vieles mehr.

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tions­, Dienstleistungs­ und Produktionsunter­

nehmen in der medizinischen Labordiagnostik tätig ist. Darum kennen wir die Prozesse und Be­

dürfnisse in Ihrer Arztpraxis von Grund auf. Als Anbieter von Labordiagnostik, Entwickler von Software und Lieferant von dazugehörender Hardware bringen wir ein umfassendes Ver­

ständnis für das Arztgeschäft mit. Die Software Achilles wird in enger Zusammenarbeit mit Kunden konsequent und innovativ weiterentwi­

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patibel gemäss eHealth­Strategie des Bundes. Die wesentlichen Vorteile dieser webbasierten Lösung sind: massiv tiefere IT­Gesamtinfrastruk­

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Welt nach IHE. Die eKG ist auf die besonderen Bedürf nisse des jeweiligen Fachgebietes zuge­

schnitten und von führenden Schweizer Fach­

ärzten mitentwickelt. Die Integration des «Medi­

calConnectors®» und des «PACS IN THE CLOUD®»

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möglicht den Datenaustausch innerhalb des ge­

samten eHealth­Verbundes. Neu ab 2016 ist in Partnerschaft mit T­Systems (100%­Tochter der Deutschen Telekom) docdok.health® für E­Medi­

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managements sowie klinischer Studien unter Einbezug von Real­World­Daten. Die internatio­

nal verfügbare Lösung umfasst ebenfalls ein Coachingportal für Ärzte für Konsultationen zwischen den Sprechstunden sowie eine iOS®­

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gerechte Softwarelösung zu entsprechen, wird triaMED® stetig weiterentwickelt.

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Med® ist ein vollständiges, äusserst einfach zu bedienendes Arztpraxisinformationssystem mit integrierter Kommunikationsplattform, Bild­

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Spitalambulante Kinder- und Jugendmedizin

Nichtärztlicher Personalaufwand

Agnes Geneweina, Stephan Hänsenbergerb

a Dr. med., Allianz Kinderspitäler der Schweiz (AllKidS), Mitglied FMH; b abso – Beratungen im Gesundheitswesen, Oberdiessbach

Einleitung

Die Kinderspitäler*der Schweiz schreiben im ambu­

lanten Bereich tief rote Zahlen. Um ambulante Leistun­

gen an Kindern kostendeckend erbringen zu können, fehlen über 30% Erträge. Dies beruht auf dem perso­

nellen Mehraufwand in der Betreuung von Kindern und auf den grösseren Vorhalteleistungen. Diese finan­

ziellen Löcher werden von den Kantonen ausgeglichen [2] oder über die Erwachsenenmedizin querfinanziert.

Beides ist gesetzlich so nicht vorgesehen [3]. Pflichtleis­

tungen werden in den Notfallstationen und den Spital­

ambulatorien der Kinderspitäler daher zu einem be­

achtlichen Teil nicht von den Krankenversicherern getragen, sondern vom Staat oder durch überhöhte Taxen in anderen Leistungsbereichen.

Das ambulante Tarifsystem setzt sich aus ärztlichen und technischen Leistungen (AL, TL) zusammen und soll alle anfallenden Kosten der Behandlung vergüten.

Die TL umfasst die Kosten des nichtärztlichen Personals und die Infrastruktur. Die AL ist mit einer quantitativen Dignität verknüpft, die die längere Ausbildungszeit be­

rücksichtigen sollte und bestimmten Facharzttiteln zugeordnet ist. Die Leistungen werden mit Handlungs­

leistungen (Durchschnittswert über alle Patienten) und Zeitleistungen pro 5 min abgebildet, welche z.T. mit Limitationen versehen sind.

Die Versorgung von Kindern im Spital unterliegt heute hohen Standards (EACH Charta [4, 5]). Diese haben zum Ziel, eine angepasste Behandlung zu sichern und ein psychisches Trauma zu verhindern.

Die folgende Datenerhebung wurde in sechs Kinder­

spitälern durchgeführt.

Methode

Dank der normativen Sicht des Tarifes kann mit der Er­

hebung der tätigen Personen und der effektiven Leis­

tungszeit die Differenz zwischen TARMED­Annahmen und der Realität ermittelt werden. Von Oktober 2014 bis Januar 2015 wurden in Polikliniken und Notfallsta­

tionen von 6 Kinderspitälern die Zeiten des nichtärzt­

lichen Personals von Pflegeberatungen, Kleineingriffe mit und ohne Anästhesie untersucht. Typische Beispiele sind Wundbehandlung, härtende Verbände, Punktio­

nen usw. Es wurden nur Leistungen in Anwesenheit des Patienten erhoben. Erbringungsorte dieser Leis­

tungen sind Behandlungsräume, Gipszimmer, Klein­

OP­Saal, Sprechzimmer, Notfallstationen usw.

Das zu messende Zeitfenster der Intervention wurde definiert (siehe Tab. 1).

Die Daten wurden durch die am Patienten hauptver­

antwortliche Pflegefachperson (PFP) mittels Datenblät­

tern, spezifiziert nach Leistungsgruppen, unmittelbar nach Intervention am Patienten erhoben. Die Zeitmes­

sung erfolgte in Minuten mit handelsüblichen Uhren.

Die Auswertung, nach Leistungsspektren und Erbrin­

gungsort sortiert, basiert auf den abgegebenen Papier­

dokumenten; in Ausnahmefällen gab es eine Excel­Ver­

sion. Der Zusammenzug und die Auswertung wurden mit Microsoft Excel realisiert.

Resultate

Pflegeberatung

Es wurden 2581 Datensätze von 2596 beteiligten Perso­

nen in einer Gesamtzeit von 56 264 min erhoben. Die Leistungszeiten gehen von 2 bis 480 min. Die Erfassung

* Mit «Kinderspital» sind eigenständige und integrierte Kinderspitäler gemeint.

Résumé

C’est un fait que la pédiatrie coûte davantage que les soins pour les adultes [1]. Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte: les charges personnelles sont plus élevées et les spécialistes doivent couvrir 24/24 tous les jours pour relativement peu de cas. L’étude réalisée analyse les charges et le temps supplémentaire à mettre à disposition pour les traitements ambu- latoires chez l’enfant. Réalisée dans des hôpitaux pédiatriques et dans quelques services pédiatriques des hôpitaux, l’étude a recensé les conseils et traitements faits uniquement par les soignants et les interventions ambu- latoires avec ou sans sédation. Les charges sont en moyenne 20% plus éle- vées que le tarif ambulatoire actuel ne le prévoit.

Tabelle 1: Tätigkeiten im Prozess (Kontaktaufnahme bis Kontaktende).

Phase 1 Ankunft: Kontaktaufnahme mit dem Kind und Begleitperson(en)

Phase 2 Präsenz zeigen, Vertrauen aufbauen, Ablenkungen suchen

Phase 3 Vorbereitung zum «Eingriff»: Erklärungen und Instruktionen, Ablenkung

Phase 4 Kleineingriff: rasche und sichere Handlung am Kind, Ablenkung/Betreuung der Begleit- person(en)

Phase 5 Ende: Zeit zum Verarbeiten und Begleitung, Erklärungen/Instruktion, schrittweises Aufheben des Kontakts

TRIBUNE Point de vue 1573

Références

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