• Aucun résultat trouvé

Les modes de déformations des alliages de cuivre sous indenteur

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Les modes de déformations des alliages de cuivre sous indenteur"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

* Corresponding author. Tel.: +213771693309.

E-mail address: habibismr@univ-mascara.dz

Recueil De Mécanique © 2019

Research Paper DOI : 10.5281/zenodo.3447012 Open access

The deformation modes of copper alloys under indenter

Les modes de déformations des alliages de cuivre sous indenteur

Samir HABIBI

a,

*, Ali

BELHOCINE

b

, Mokhtar KHALDI

a

, Djamel Eddine SEMSOUM

a

, Abdelnour MEZOUGH

a

, Hassene MERZOUK

a

, Soufiane BENAISSA

a

a Département de génie mécanique, Faculté des sciences et Technologie, Université Mustapha Stambouli, 29000 Mascara

bDépartement de génie mécanique, Université des Sciences et de la Technologie d'Oran (USTO), 31000 Oran

ARTICLE INFO

Article history :

Received 09 July 19 Accepted 19 September 19

Keywords:

Instrumented indentation; Sink-in; Pile- up; Deformation energy

Mots clés:

Indentation instrumentée; Déflection des faces; Formation d’un bourrelet;

Energie de déformation

ABSTRACT

The instrumented indentation test has been widely used and studied because of the ease it provides for estimating the mechanical properties of materials from the force- displacement curve for miniature material volumes. During an indentation test, the material tends to deform under the indenter in two ways; either a sink-in or pile-up according to its mechanical behavior. The intention of this paper is to describe the procedures for this indentation technique to determine the local properties of these nanoscale copper alloys and estimate the variation of their deformation energies according to the transition criterion of the deformation mode to affirm the modal coexistence.

RÉSUMÉ

L’essai d’indentation instrumentée a été largement utilisé et étudié en raison de la facilité qu’il procure pour estimer les propriétés mécaniques des matériaux à partir de la courbe force-déplacement sur des volumes de matière en miniature. Au cours d’un essai d’indentation, la matière à tendance à se déformer sous l’indenteur de deux manières ; soit une déflection des faces de l’empreinte ou par la formation d’un bourrelet à la surface du matériau selon son comportement mécanique. L'intention de ce document consiste à décrire les modes opératoires propres à cette technique d’indentation à déterminer les propriétés locales de ces alliages du cuivre à l’échelle nanomètrique et d’estimer la variation de leurs énergies de déformation en fonction du critère de transition du mode de déformation pour affirmer la coexistence modale.

1 Introduction

L’écoulement de la matière sous indenteur est traduite physiquement soit par une déflexion des faces de l’empreinte à savoir le mode sink-in, lorsque la matière est tirée vers le bas par la pointe de l’indenteur, soit la formation d’un bourrelet de déformation à savoir le mode pile up, lorsque le matériau est refoulé vers le haut. Selon le mode de déformation et la nature du matériau indenté, l’aire de contact peut varier dans des proportions relativement conséquentes [1]. L’estimation de l’aire de contact est un facteur déterminant dans le calcul de la dureté et le module de Young [2-4]. Alcala et al. [5]

identifient quant à eux le mode de déformation à l’aide d’un facteur qu’ils introduisent dans le rapport entre l’aire de

(2)

contact et la profondeur de pénétration. Lorsque ce facteur est supérieur à 1, il y a pile-up et sink-in lorsqu’il est inférieur.

Grace à la simulation par éléments finis, Giannakopoulos et Suresh [6] proposent d’utiliser le rapport entre la profondeur résiduelle, hf, et la profondeur maximale hmax. Les modes pile-up et sink-in apparaissent respectivement lorsque le rapport hf/hmax est supérieur ou inférieur à 0,875. Ensuite, il suffit d’utiliser la méthodologie proposée par Oliver et Pharr [7] pour le mode sink-in et celle proposée par Loubet et al. [8] pour le mode pile-up pour déterminer les propriétés mécaniques.

Pour valider le critère d’identification du mode de déformation M. Y. N’jock et al. [9] ont mis en œuvre un critère susceptible d’identifier l’un ou l’autre des modes de déformation. Les objectifs de la présente recherche consistent à estimer l’évolution de l’énergie de déformation des matériaux étudiés en fonction de la profondeur de contact de l’indenteur, et le mode de déformation exprimé par le critère de M. Y. N’jock et al., respectivement.

2 Échantillon et protocole expérimental

Les essais expérimentaux d’indentation ont été réalisés sur des films des matériaux à usage courant extraits de barres commerciales: le laiton (C22000), le cuivre (99 % de pureté) et le Bronze déposés sur des lames de verre à l’aide d’un nanoindenteur instrumenté MHT S/N: 02-0107. Pour chaque échantillon, au moins 23 essais ont été réalisés dans l’intervalle de charge (20-3000) mN. La charge et décharge sont appliquées avec un indenteur Vickers à une vitesse de 60 mN/s. Les matériaux ont été usinés pour avoir des surfaces planes, polies avec des papiers abrasifs de grades 80 jusqu’à 4000, puis avec une suspension d’alumine pour obtenir un polissage miroir. La matière utilisée pour les indenteurs est le diamant (E=1141GPa et = 0,07). Dans un essai d’indentation instrumentée, la pointe en diamant est enfoncée à la surface de l’échantillon jusqu’à une valeur de charge maximale donnée comme en indentation conventionnelle. On enregistre simultanément la charge ainsi que le déplacement de l’indenteur comme le montre l’illustration schématique de la Figure 1.

3 Méthodologie de caractérisation mécanique par indentation

L’analyse des données pour obtenir les propriétés mécaniques est similaire pour les trois échelles, la principale différence résidant dans le choix de la fonction utilisée pour estimer l’aire de contact. La Figure 1 représente une courbe caractéristique typique force-déplacement d’un essai d’indentation instrumentée classique, où sont identifiés les paramètres importants pour l’analyse car elle visualise en des endroits clés la position de l’indenteur dans le matériau selon la méthode d’Oliver et Pharr [7].

: Force maximale, ℎ = ℎ : déplacement maximum, ℎ: profondeur résiduelle, ℎ: profondeur plastique, S: raideur, et ℎ: profondeur de contact.

La profondeur de contact utilisée, ℎ, change selon le mode de déformation prédominant dans le matériau, comme la montre la figure ci-dessus :

Fig. 1- Courbe force-déplacement d’un essai d’indentation

instrumentée classique

Fig. 2- Les types de déformation sous indenteur

(3)

dureté (sink

4 Détermination de

dureté

le module d’élasticité du matériau se calcule

leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

des défor

dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

Fig.

constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est de coordonnées (3299

La méthode d’Oliver et Pharr [ dureté (sink

4 Détermination de

L’énergie de déformation de ces dureté

le module d’élasticité du matériau se calcule

où E

leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte des défor

dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

1,

Fig. 3

On constate

constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est de coordonnées (3299

La méthode d’Oliver et Pharr [ dureté (sink

4 Détermination de

L’énergie de déformation de ces dureté. Les méthodes de calcul

le module d’élasticité du matériau se calcule

où Ei

leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte des défor

dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

,33163

3- Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

On constate

constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est de coordonnées (3299

La méthode d’Oliver et Pharr [ dureté (sink-

4 Détermination de

L’énergie de déformation de ces . Les méthodes de calcul

le module d’élasticité du matériau se calcule

i et E

leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte des déformations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

33163*

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

On constate

constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est de coordonnées (3299

H3/E2(GPa)

La méthode d’Oliver et Pharr [

-in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

4 Détermination de

L’énergie de déformation de ces . Les méthodes de calcul

le module d’élasticité du matériau se calcule

et Em sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

*10-

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

On constate

constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est de coordonnées (3299

0,00012 0,00024

H3/E2(GPa)

La méthode d’Oliver et Pharr [

in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

4 Détermination de

L’énergie de déformation de ces . Les méthodes de calcul

le module d’élasticité du matériau se calcule

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

-5<

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

On constate l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est de coordonnées (3299

0 00012 00024

La méthode d’Oliver et Pharr [

in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

4 Détermination de

L’énergie de déformation de ces . Les méthodes de calcul

le module d’élasticité du matériau se calcule

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

(

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est de coordonnées (3299,

0 00012 00024

0

La méthode d’Oliver et Pharr [

in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

4 Détermination de l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

L’énergie de déformation de ces . Les méthodes de calcul

le module d’élasticité du matériau se calcule

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

, 11

2500

La méthode d’Oliver et Pharr [

in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

L’énergie de déformation de ces . Les méthodes de calcul

le module d’élasticité du matériau se calcule

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

)<23

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

11,7*10

2500

La méthode d’Oliver et Pharr [

in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

L’énergie de déformation de ces

. Les méthodes de calcul de ces deux facteurs le module d’élasticité du matériau se calcule

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

<23,5814

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

7*10-5

5000

La méthode d’Oliver et Pharr [

in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

L’énergie de déformation de ces

de ces deux facteurs le module d’élasticité du matériau se calcule

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

5814

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

5) [nm,

5000 7500 h

La méthode d’Oliver et Pharr [7] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

L’énergie de déformation de ces trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la de ces deux facteurs

le module d’élasticité du matériau se calcule

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

5814*10 (a)

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

) [nm,

7500 10000 hc(nm)

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la de ces deux facteurs

le module d’élasticité du matériau se calcule

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

10-5 avec une a

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

GPa].

Tels que

10000 (nm)

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la de ces deux facteurs

le module d’élasticité du matériau se calcule selon l’expression

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4.1 Energie de déformation du Laiton

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

avec une a

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

GPa].

Tels que

12500

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

ℎ ℎ

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la de ces deux facteurs

selon l’expression

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

avec une a

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

Tels que

12500 15000

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la de ces deux facteurs sont

selon l’expression

= (1

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que leurs coefficients de Poisson. Le module élastique d

propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

=

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

avec une a

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

15000 17500

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la sont

selon l’expression

= (1-

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

leurs coefficients de Poisson. Le module élastique du matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des propriétés élastiques du diamant constituant l’indenteur.

Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

=

,

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

avec une amplitude de 222

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de déformation

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

>

<

17500

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de in) (Eq. (1)), et la méthode de Loubet et al. [8] quand le bourrelet (pile

=

=

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la sont élaborées

selon l’expression

-

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

,

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

mplitude de 222

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de déformation

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

11, 11,

17500 20000

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de ] quand le bourrelet (pile

=ℎ

=

1,2

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la élaborées

selon l’expression

)[

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

mplitude de 222

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de déformation

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

,7 ∗ ,7 ∗

20000

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de ] quand le bourrelet (pile

2

(ℎ

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la élaborées

selon l’expression suivante

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

L’énergie de déformation varie dans l’intervalle suivant:

mplitude de 222

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de déformation

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

10 10

H3/E2(GPa)

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de ] quand le bourrelet (pile

− ℎ

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la élaborées dans

suivante

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

mplitude de 222,

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de déformation

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

0,00012 0,00024

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de ] quand le bourrelet (pile

,

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la dans des

suivante (Eq. (3))

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

,4977KPa.

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

0 00012 00024

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de ] quand le bourrelet (pile

,

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la des publication

(Eq. (3))

-

((

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4977KPa.

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

0 00012 00024

0

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de ] quand le bourrelet (pile

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la publication

(Eq. (3)) (

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4977KPa.

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

ℎ ℎ

0 0,

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de ] quand le bourrelet (pile-

) l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la publication

(Eq. (3)):

)

]

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

4977KPa.

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

< 3299

> 3299

,1 0

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de -up) est prédomi

) l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la publication

]

-1

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

3299 3299

0,2 0

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de up) est prédomi

) l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la publications précédente

1

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

(b)

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

3299 3299

0,3hmin/h

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de up) est prédomi

l’énergie de déformation des trois matériaux étudiés

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la précédente

1

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

(b)

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

/h0,4max

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de up) est prédomi

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la précédente

1

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

0,5

max(/)

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de up) est prédominant (Eq. (2)).

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la précédentes

1

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

5 0,6 (/)

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de nant (Eq. (2)).

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la s [10

1

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

6 0,

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de nant (Eq. (2)).

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la 10-11

1

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

,7 0

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de nant (Eq. (2)).

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la 11].

1

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

0,8

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de nant (Eq. (2)).

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la À savoir que

1

sont respectivement les modules de Young de la pointe d’indentation et du matériau, tandis que νi

u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

0,9

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de nant (Eq. (2)).

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la savoir que

1

i et ν u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

1

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la savoir que

1

et νm sont u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette dureté tient compte de l’aire de contact projeté d’où le coefficient plus faible de 24,5 au lieu de 26,43, selon l’équation 4:

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de

(1)

(2)

trois nuances de cuivre est calculée sur la base des valeurs du module de Young et la savoir que

1

(3) sont u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette

4:

(4)

Représentation de l’énergie de déformation du Laiton vs (a) la profondeur de contact d’indentation. (b) le mode de

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

(5) ] est utilisée quand le matériau présente une déflection des faces de l’empreinte de

(1) (2)

(3) sont u matériau est ensuite déduit du module réduit en tenant compte des Concernant la dureté est calculée selon la méthode d’Oliver et Pharr : est aussi appelée dureté de contact, tient compte mations de l’empreinte car elle se calcule avec la profondeur de contact. La relation qui permet de calculer cette

(4)

l’existence d’un point critique qui délimite les contours de deux zones différentes. Chaque zone est constituée d’un nuage d’une dizaine de points caractéristique qui montre un comportement diffèrent. Ce point critique C est

)

(4)

Donc, la profondeur de contact par indentation est plus faible pour une énergie de déformation très importante, soit ℎ [1169,3012] nm pour [13,9*10-5- 23,6*10-5] GPa tels que la valeur de 23,6*10-5GPa représente le summum. Pour une valeur de ℎ = 1843 correspond à =9,7*10-5 GPa. D’où, la profondeur de contact par indentation est presque sept fois plus importante pour une énergie de déformation égale à la moitié de la précédente, soit ℎ [3586,19970] nm pour [1,33*10-5−9,44*10-5] GPa. Soit une amplitude de pénétration d’indentation ℎ = 16384 correspond à une amplitude d’énergie de déformation de = 8,1*10-5GPa.

Par conséquent, l’énergie de déformation du Laiton est estimée, selon le point critique suivant : =116,68KPa pour h = 3299nm

P = 359,2mN (6) À partir de ce point de référence, de notre analyse, le comportement du laiton est subdivisé en deux tendances

distinctes, comme suit :

a) Sachant que ϵ [13,9*10-5− 23,6*10-5] GPa ;

> 11,7 ∗ 10 si h < 3299

P < 359,2 d’où h ϵ [1169,3012]nm P ϵ[58,35 − 308,92]mN

b) Sachant que ϵ [1,33*10-5− 9,44*10-5] GPa ; < 11,7 ∗ 10 si h > 3299

P > 359,2 d’où h ϵ [3586,19970]nm P ϵ [409,47 − 10028,23]mN Pour le présent matériau, deux zones distinguées sont montrées:

> 11,7 ∗ 10 ∶ L’énergie de déformation de dix points caractéristiques existe à partir de =0,419, si

>0,40.

Mais, cette zone est subdivisée en deux: 0,419< <0,797 (six points caractéristiques) et entre 0,885< <0,928 (quatre points également).

< 11,7 ∗ 10 : L’énergie de déformation de dix points caractéristiques existe à partir de >0,86299.

4.2 Energie de déformation du Bronze

L’expression de l’énergie de déformation du Bronze est exprimée en fonction de la profondeur de pénétration, comme le montre la figure ci-dessous :

(a)

0 0,0005 0,001 0,0015 0,002 0,0025 0,003 0,0035

0 5000 10000 15000

H3/E2 (GPa)

hc(nm)

BRONZE

Références

Documents relatifs

La dureté d’une eau se détermine grâce à un titrage complexométrique par l’EDTA (acide EthylèneDiamineTétraAcétique) en présence d’un indicateur coloré de fin

Après avoir fait son choix sur la nature des fils électriques à utiliser, Alain réalise son installation électrique mais après un certain temps, les dominos et le fil

L’objectif de cet essai a été d’étudier les effets de la finesse de broyage et de la taille des granulés sur la dynamique post-prandiale des fermentations ruminales pour des

1) Donner le principe d’un titrage colorimétrique. 2) Quel est l’intérêt de contrôler la teneur en ions calcium et magnésium ? 3) Faire un schéma légendé complet du

Avant de s’attaquer à la carafe filtrante, Chloé décide de réaliser un contrôle de qualité en procédant à un dosage colorimétrique des ions calcium et magnésium de l’eau

QP51_A13 Final Toutes les réponses doivent être justifiées 1.. Calculatrice et documents personnels autorisés Téléphones portables interdits

un cartouche ● ● Image d'une bande dessinée délimitée par un cadre.. (Aussi appelée

Les différences entre rayures sont plus grandes que celles entre mesures, un test F nous permet de voir si la variabilité entre rayures est plus grande que celle