• Aucun résultat trouvé

Niveau : 2

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Niveau : 2"

Copied!
9
0
0

Texte intégral

(1)

Niveau : 2ème A.B

Module : III Le père Goriot Activité : Langue

Intitulé du cours : Soutien et consolidation II

Exercice I.

Identifiez les figures de style employées dans les phrases suivantes.

-La vie de l’homme est un combat.

-Ce même bon et tendre frère, qui veille sur moi comme un ange gardien.

-Quoi ! Pour son châtiment, vous ne donnez qu’un jour, qu’une heure, qu’un moment ! -Je sais que c’est la coutume d’adorer ces nains géants.

-Celui qui met un frein à la fureur des flots sait aussi des méchants arrêter les complots.

-Le crépuscule ami s’endort dans la vallée.

-Paris est tout petit, c’est là sa vraie grandeur.

-Nous avons vu un très beau Picasso la semaine dernière au musée.

Exercice II.

Transformez les phrases suivantes au discours indirect.

1- Il répondit à son interlocuteur : « Je peux venir sur place et examiner les plans »

2- « C’est le patron qui dirige l’entreprise, affirma-t-elle à son collègue et c’est lui qui en tirera les bénéfices ».

3- « Hier, il y avait beaucoup de monde sur la plage mais dimanche dernier, il n’y avait personne, songeait –il ».

4- « Tes idées sont meilleures que les miennes », m’avoua mon collègue.

5- Il m’a demandé : « Quand viens-tu me voir ? ».

Exercice III.

Quel est le point de vue narratif adopté dans les extraits suivants?

1- « Il y avait en Westphalie, dans le château de M. le baron de Thunder-ten-tronckh, un jeune garçon à qui la nature avait donné les moeurs les plus douces. Sa physionomie annonçait son âme. Il avait le jugement le plus droit, avec l’esprit le plus simple ; c’est, je crois, pour cette raison qu’on le nommait Candide. Les anciens domestiques de la maison soupçonnaient qu’il était fils de la soeur de monsieur le baron […]. » (Voltaire, Candide)

2- « J’avais dix-sept ans, et j’achevais mes études de philosophie à Amiens, où mes parents, qui sont d’une des meilleures maisons de P., m’avaient envoyé. Je menais une vie si sage et si réglée, que mes maîtres me proposaient pour l’exemple du collège. Non que je fisse des efforts extraordinaires pour mériter cet éloge, mais j’ai l’humeur naturellement douce et tranquille. » (Prévost, Manon Lescaut)

3- « Deux hommes parurent. L’un venait de la Bastille, l’autre du Jardin des Plantes. Le plus grand, vêtu de toile, marchait le chapeau en arrière, le gilet déboutonné et sa cravate à la main. Le plus petit, dont le corps disparaissait dans une redingote marron, baissait la tête sous une casquette à visière pointue. Quand ils furent arrivés au milieu du boulevard, ils s’assirent à la même minute, sur le même banc. » (Flaubert, Bouvard et Pécuchet)

(2)

Exercice IV.

Quel point de vue narratif (point de vue omniscient, point de vue interne, point de vue externe) permet de...

…décrire ce qui se passe d’un point de vue objectif, comme si la scène était filmée par une caméra ? Point de vue ………

…connaître les pensées de tous les personnages d’un récit ? Point de vue ………

…suivre l’évolution physique et psychologique d’un personnage en même temps que celui-ci la vit ? Point de vue ………..

…passer d’un lieu à un autre ou d’une temporalité à une autre à l’intérieur du récit ? Point de vue ………..

…éveiller chez le lecteur l’attente de savoir ce qu’il va se passer ? Point de vue ……….

…éveiller plus facilement chez le lecteur un sentiment d’identification avec le héros ? Point de vue ……….

(3)

04/05/2020 Niveau : 2ème A.B

Module : III Le père Goriot Activité : Langue

Intitulé du cours : Soutien et consolidation I.

Exercice I.

Les mots en italique appartiennent au niveau soutenu. Trouvez les termes courants qui leur correspondent d’après le contexte.

1- Je vous sais gré d’être venus. À présent, il est des jours où je ne me sens guère bien. Maintes fois, je répète les mêmes lexies. J’ai à vous dire que cela ne va point de soi.

2- J’ai prié ma mère de m’accorder des fonds pour acquérir des mocassins.

Les mots en italique appartiennent au niveau familier. Trouvez les termes courants qui leur correspondent d’après le contexte.

1- Pauvre gars ! À cause de sa nana qui est toujours un peu speedée, il s’est cessé sans nous dire bonjour. J’ai rien pigé de ce machin-là.

2- Pas cool ! On m’a piqué tout mon pognon…chez ces gars ? Ça m’étonnerait, ils foutent jamais que dalle, ces mecs !

Exercice II.

Conjuguez les verbes entre parenthèses au temps du récit qui convient.

C’ (être)………. Le meilleur moment de la journée. Le petit coin de nature devant la maison (être)………

encore endormi, et les fleurs (exhaler)……… les subtiles senteurs de la rosée, dont les gouttes (être)……….

Encore visibles comme des loupes miniatures sur les pétales engourdis, roses, blancs ou jaunes. Le soleil (commencer)…

………. A peine son ascension dans le bleu encore pale du ciel. Il (promettre)……….. d’être chaud.

L’homme (ouvrir)………. son journal, la Provence, et (lire)………. Les titres de la première page. Pas beaucoup de nouvelles, en cette fin août. Encore un incendie de forêt, rapidement maitrisé par les pompiers de Marseille après l’intervention des Canadair. Sûrement un pyromane, (penser)-il……….., ou quelques touristes inconscients qui font des pique-niques dans la nature malgré l’interdiction. Un article (faire)……… le point sur la

fréquentation en hausse des festivals de l’été, dont les recettes ne (couvrir)……… pourtant toujours pas les dépenses. C’est encore nous qui allons payer les concerts des parisiens avec nos impôts locaux, se dit-il.

Il (boire)………. une gorgée de café et (déplier)……….. le journal pour lire les pages intérieurs.

Exercice III.

Relevez puis précisez les différents procédés de caractérisation utilisés dans les phrases ci-dessous.

-La profondeur de cette maison comporte deux croisées qui, au rez-de-chaussée, ont pour ornement des barreaux en fer.

-La maison où s’exploite la pension bourgeoise appartient à madame Vauquer. Elle est située dans le bas de la rue Neuve- Sainte-Geneviève, à l’endroit où le terrain s’abaisse vers la rue de l’Arbalète par une pente si brusque et si rude.

-L’homme le plus insouciant s’y attriste comme tous les passants, le bruit d’une voiture y devient un événement, les maisons y sont mornes, les murailles y sentent la prison.

(4)

Niveau : 2 ème A.B Module : III Le père Goriot Activité : Langue

Intitulé du cours : Soutien et consolidation III.

Exercice I.

Accordez correctement les participes passés des verbes entre parenthèses.

1. L’étude de la grammaire est-elle aussi difficile que vous l’aviez ( croire ) ? 2. Ces femmes se sont ( plaindre) du mauvais service de notre compagnie.

3. Une pile de livres que j’avais maladroitement ( dresser ) dans un coin s’écroula tout à coup.

4. Ma passion de la lecture est plus forte encore que vous ne l’aviez ( penser ) :voyez, dans le coin de ma chambre, cette pile de livres que j’ai ( lire ) en quelques semaines.

5. Autant de résolutions nous avons ( prendre ), autant de victoires nous avons (remporter ) sur notre apathie.

6. Il n’a pas obtenu la place qu’il avait ( annoncer ) qu’il obtiendrait.

7. Le grand nombre de fautes que vous avez ( faire ) dans votre dictée me donne à penser que vous n’avez pas eu, en écrivant, toute l’attention que j’aurais ( croire ).

8. Les promesses qu’ils se sont (faire) n’étaient pas sincères.

9. Il est impossible de trouver de la main-d’œuvre dans cette ville, à cause du peu d’habitants que les bombardements y ont ( laisser ) .

10. Les messages que je vous ai (envoyer) demandaient une réponse. Les avez-vous (lire)?

11. C’est le peu d’efforts que vous avez ( faire) qui expliquent votre succès.

12. Voici deux livres qu’on m’a ( assurer ) qui vous plairaient.

Exercice II.

Relevez des phrases suivantes les liens logiques qu’elles contiennent et précisez leurs valeurs.

1- Méfiez-vous de lui, même s’il reste courtois.

2- Il m’a fallu du temps pour me réhabituer à la ville.

3- Du moment qu’il voit suffisamment, il n’a pas besoin de lunettes.

4- Malgré l’approche de l’été, il continue à pleuvoir.

5- S’il neige, ils seront bloqués à la maison.

6- En dépit de son chagrin, elle continue à sourire et à être serviable.

7- On a élargi l’autoroute de façon que la circulation soit plus fluide.

Exercice III.

Relevez des passages suivants le champ lexical dominant et nommez-le

Texte I

Je me souviens de cette solitude vaste comme les immenses étendues des planètes mortes, de cette solitude où le son court sans écho, où les ombres se prolongent dans des profondeurs d'angoisse etde mort. Et le cœur qui saigne! Source

intarissable de peine, torrent surchauffé par les feux de mes chagrins et de mes douleurs; cri de ma chair écrasée sous le poids de ta malédiction.

Texte II

Dès notre arrivée nous grimpâmes sur une vaste estrade couverte de nattes. Après avoir payé soixante-quinze centimes à la caissière nous commençâmes notre déshabillage dans un tumulte de voix aiguës, un va-et-vient continu de femmes à moitié habillées, déballant de leurs énormes baluchons des caftans et des mansourias, des chemises et des pantalons, des haïks à glands de soie d'une éblouissante blancheur. Toutes ces femmes parlaient fort, gesticulaient avec passion, poussaient des hurlements inexplicables et injustifiés. Je retirai mes vêtements et je restai tout bête, les mains sur le ventre, devant ma mère lancée dans une explication avec une amie de rencontre. Il y avait bien d'autres enfants, mais ils paraissaient à leur aise, couraient entre les cuisses humides, les mamelles pendantes, les montagnes de baluchons, fiers de montrer leurs ventres ballonnés(…).

(5)
(6)

19/05/2020

Niveau : 2 ème A.B Module : III Le père Goriot Activité : Langue

Intitulé du cours : Soutien et consolidation IV.

Exercice I.

Identifiez les registres littéraires dominants dans les textes suivants. (Polémique / satirique / ironique / pathétique)

Texte 1

Vous pensez que Dieu oubliera votre homicide, si vous vous baignez dans un fleuve, si vous immolez une brebis noire, si on prononce sur vous des paroles. Un second homicide vous sera donc pardonné au même prix, ainsi un troisième, cent meurtres ne vous coûteront que cent brebis noires cent ablutions ! Faites mieux, misérables humains, point de meurtre &

point de brebis noires.

Texte 2

En approchant de la ville, ils rencontrèrent un nègre étendu par terre, n’ayant plus que la moitié de son habit, c’est-à-dire d’un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. « Eh ! Mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais-tu là, mon ami, dans l’état horrible où je te vois ? — J’attends mon maître, M.

Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. — Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t’a traité ainsi ? — Oui, monsieur, dit le nègre, c’est l’usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l’année. Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe : je me suis trouvé dans les deux cas. C’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe.

Texte 3

Monsieur le baron était un des plus puissants seigneurs de la Westphalie, car son château avait une porte et des fenêtres.

Sa grande salle même était ornée d'une tapisserie. Tous les chiens de ses basses-cours composaient une meute dans le besoin ; ses palefreniers étaient ses piqueurs ; le vicaire du village était son grand aumônier. Ils l'appelaient tous monseigneur, et ils riaient quand il faisait des contes.

Madame la baronne, qui pesait environ trois cent cinquante livres, s'attirait par là une très grande considération, et faisait les honneurs de la maison avec une dignité qui la rendait encore plus respectable. Sa fille Cunégonde, âgée de dix-sept ans, était haute en couleur, fraîche, grasse, appétissante. Le fils du baron paraissait en tout digne de son père. Le précepteur Pangloss était l'oracle de la maison, et le petit Candide écoutait ses leçons avec toute la bonne foi de son âge et de son caractère.

Pangloss enseignait la métaphysico-théologo-cosmolonigologie. Il prouvait admirablement qu'il n'y a point d'effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes possibles, le château de monseigneur le baron était le plus beau des châteaux et madame la meilleure des baronnes possibles.

Texte 4

La guerre a pour elle l'antiquité ; elle a été dans tous les siècles : on l'a toujours vue remplir le monde de veuves et d'orphelins, épuiser les familles d'héritiers, et faire périr les frères à une même bataille. Jeune Soyecour[1] ! je regrette ta vertu, ta pudeur, ton esprit déjà mûr, pénétrant, élevé, sociable, je plains cette mort prématurée qui te joint à ton intrépide frère, et t'enlève à une cour où tu n'as fait que te montrer : malheur déplorable, mais ordinaire ! De tout temps les hommes, pour quelque morceau de terre de plus ou de moins, sont convenus entre eux de se dépouiller, se brûler, se tuer, s'égorger les uns les autres ; et pour le faire plus ingénieusement et avec plus de sûreté, ils ont inventé de belles règles qu'on appelle l'art militaire ; ils ont attaché à la pratique de ces règles la gloire ou la plus solide réputation ; et ils ont depuis renchéri de siècle en siècle sur la manière de se détruire réciproquement. De l'injustice des premiers hommes, comme de son unique source, est venue la guerre, ainsi que la nécessité où ils se sont trouvés de se donner des maîtres qui fixassent leurs droits et leurs prétentions. Si, content du sien, on eût pu s'abstenir du bien de ses voisins, on avait pour toujours la paix et la liberté.

(7)
(8)

Niveau : 2 ème A.B Module : III Le père Goriot Activité : Langue

Intitulé du cours : Soutien et consolidation V.

Exercice 1.

Complétez avec les mots manquants.

Carte – cité universitaire – inscrite – année – amphis – examens – restaurant universitaire – sujets – agrégée – fac – salles – Bibliothèque universitaire

Cher Fabrice

Ça y est, je suis ……… à la ……….. de lettres. J’ai maintenant ma ……….. d’étudiant. J’ai repéré les ……… de cours et les ……… : cette fac est énorme, je vais faire des kilomètres pour aller d’un cours à l’autre !

Je me suis installée dans ma chambre à la ………. : elle est très petite , mais l’atmosphère est sympa. On va manger ensemble au …………... . Cet après-midi, je dois aller à la ……….. pour prendre quelques livres. Tout cela est très agréable. Par contre, je connais déjà la date des premiers ………. , ça, c’est moins drôle ! J’espère que les ……… ne seront pas trop durs… Tu imagines que mes parents me voient déjà

………. , alors que je n’ai pas encore commencé ma première ……… ! Je te laisse, et je t’embrasse fort !

Delphine.

Exercice II.

Eliminez l’intrus.

1- Découverte-innovation-expérimentation.

2- Utiliser-régler-mettre au point.

3- Exploit-prouesse-essor.

4- Performant-concluant-fiable.

5- Combler-accéder-rattraper.

6- Inventeur-utilisateur-chercheur.

Exercice III

Repérez dans les textes suivants, le point de vue narratif adopté.

Texte 1.

Maître Hauchecorne, de Bréauté, venait d'arriver à Goderville, et il se dirigeait vers la place, quand il aperçut par terre un petit bout de ficelle. Maître Hauchecorne, économe en vrai Normand, pensa que tout était bon à ramasser qui peut servir ; et il se baissa péniblement, car il souffrait de rhumatismes. Il prit par terre le morceau de corde mince, et il se disposait à le rouler avec soin, quand il remarqua, sur le seuil de sa porte, maître Malandain, le bourrelier, qui le regardait. Ils avaient eu des affaires ensemble au sujet d'un licol, autrefois, et ils étaient restés fâchés, étant rancuniers tout deux. Maître Hauchecorne fut pris d'une sorte de honte d'être vu ainsi par son ennemi, cherchant dans la crotte un bout de ficelle. Il cacha brusquement sa trouvaille sous sa blouse, puis dans la poche de sa culotte ; puis il fit semblant de

Guy de Maupassant, La ficelle..

Texte 2

12 mai. – J’ai un peu de fièvre depuis quelques jours ; je me sens souffrant, ou plutôt je me sens triste.

D’où viennent ces influences mystérieuses qui changent en découragement notre bonheur et notre confiance en détresse ? On dirait que l’air, l’air invisible est plein d’inconnaissables Puissances, dont nous subissons les voisinages mystérieux.

Je m’éveille plein de gaieté, avec des envies de chanter dans la gorge. – Pourquoi ? – Je descends le long de l’eau ; et soudain, après une courte promenade, je rentre désolé, comme si quelque malheur m’attendait chez moi. – Pourquoi ? – Est-ce un frisson de froid qui, frôlant ma peau, a ébranlé mes nerfs et assombri mon âme ? Est-ce la forme des nuages, ou la couleur du jour, la couleur des choses, si variable, qui, passant par mes yeux, a troublé ma pensée ? Sait-on ?...

Guy de Maupassant, Le Horla.

Texte 3

Dans les premiers jours du mois d'octobre 1815, une heure environ avant le coucher du soleil, un homme qui voyageait à pied entrait dans la petite ville de Digne Les rares habitants qui se trouvaient en ce moment à leurs fenêtres ou sur le seuil de leurs maisons regardaient ce voyageur avec une sorte d'inquiétude. Il était difficile de rencontrer un passant d'un aspect plus misérable.

Victor Hugo, Les misérables.

(9)

Références

Documents relatifs

Dans un premier temps, sous la forme d'un texte suivi 1 , expliquez cette critique littéraire de sorte qu'elle soit compréhensible pour une personne n'ayant pas lu le roman. Bien

A chaque commande de Staltolight ® , un plan de pose détaillé ainsi qu'un guide de pose vous seront transmis.

J'ai souri et j'ai aim e les r ef erences culturelles ; mais surtout, sous la surface de cette aventure humaine, j'ai trouv e un vrai questionne- ment philosophique.. Luis

Les compromis de Maxime Calligaro et Eric Cardère nous emmène dans un lieu que peu de personnes connaissent : le Parlement europ een. L'enquête sur la mort d'une d

­­ On pense, dans Peines ­­d’amour perdues, aux gentilshommes de Navarre qui font le vœu aussi austère qu’irréaliste ­­ de se ­­consacrer exclusivement à l’étude

Il s'agitde mettre en place des techniques qui vont permettre le plus possible une lecture en situa- tion : la correspondance, le journal scolaire, la fréquentation d'une

[r]

de jongleurs que de