• Aucun résultat trouvé

La pratique du droit international des droits humains

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "La pratique du droit international des droits humains"

Copied!
2
0
0

Texte intégral

(1)

Aix-Marseille Université (AMU) et l’Université du Québec à Montréal (UQAM) organisent conjointement la première édition de l'école d’été sur La pratique du droit international des droits humains, qui se tiendra à la Faculté de droit d’Aix-en-Provence du 20 au 30 juin 2016.

Cette formation intensive et pratique, assurée par des experts et des universitaires, et soutenue par A*MIDEX, est une initiative de la Clinique doctorale de droit international des droits de l’homme de l’AMU (CERIC / UMR DICE 7318) et de la Clinique international de défense des droits humains de l’UQAM, sous la direction scientifique des Profs. Bernard Duhaime (UQAM) & Ludovic Hennebel (AMU). Toutes les informations relatives à cette école d’été, ainsi que le formulaire et les conditions d’inscriptions, sont disponibles sur le site Internet www.humanrightstraining.org

L’Ecole d’été en quelques mots :

Pour qui ? Ce programme intensif de formation à la pratique des droits humains s'adresse aux étudiants de 3ème cycle, aux doctorants, aux professionnels du droit, aux avocats et aux membres des ONGs.

Quoi ? Formation sur la pratique des droits humains, dans une dimension internationale, autour d'une série de questions concrètes :

- Comment saisir la Cour européenne ou la Cour interaméricaine des droits de l'homme ? - Organiser une campagne de dénonciation de violation des droits humains !

- Comment plaider devant un juge international ? - Enquêter sur les violations des droits humains !

- Comment protéger les victimes dans les situations d'urgence ? - Organiser une enquête de terrain !

- Comment monter un projet de promotion ou de défense des droits humains ? Quand ? Du lundi 20 juin au jeudi 30 juin 2016 - Deux semaines intensives.

Où ? La formation se tient sur le site de la Faculté de droit d'Aix-en-Provence, dans le Sud- Est de la France.

Méthode ? Organisée conjointement par deux Cliniques juridiques, la formation est assurée par des professeurs, des experts et des praticiens sur la base de leçons, d'ateliers pratiques et de mises en situation.

Des séances de coaching sont organisées, en marge de la formation, à destination des participants pour les accompagner dans la réalisation de leurs projets (doctorats, campagnes, montages de projets etc.).

(2)

Langues ? Les deux langues de travail sont le français à titre principal, et l'anglais. Une maîtrise suffisante de ces deux langues est souhaitée de la part de tous les participants.

Enseignants (liste partielle) :

- Prof. Ludovic Hennebel (Aix-Marseille Université) - Prof. Hélène Tigroudja (Aix-Marseille Université)

- Prof. Bernard Duhaime (Université du Québec à Montréal)

- Olger Gonzalez Spinoza (Cour interaméricaine des droits de l’homme) - Paulo Pinto de Albuquerque (Cour européenne des droits de l'homme) - Prof. Mindy Roseman (Harvard Law School)

- Prof. Mirja Trilsch (Université du Québec à Montréal)

- Prof. Rick Wilson (American University, Washington College of Law) Principaux sujets de cours (liste non-exhaustive) :

- Education aux droits humains ;

- Elaborer une stratégie d'intervention et de défense des droits humains ;

- Préparation d'une mission : documentation de violations et réalisation d'enquêtes ; - Entrevues de victimes et planifications des demandes de réparation ;

- Comment persuader un juge international des droits de l'homme ; - Planifier une stratégie contentieuse ;

- Comprendre le rôle des acteurs : le juge, l'organisation internationale, les autorités nationales, les médias ;

- La saisine d'un organe de protection des droits humains ;

- Le fonctionnement et les outils d'une ONG de défense des droits humains.

Prix ? Inscription avant le 10 mai 2016 : 380 euros pour les étudiants ; 550 euros pour les professionnels.

Inscription après le 10 mai 2016 : 420 euros pour les étudiants ; 600 euros pour les professionnels.

Logement et repas ? Les frais de voyage, de logement et de repas ne sont pas compris dans les frais d'inscription. Des logements étudiants sur Aix-en-Provence peuvent être réservés pour les participants, sous réserve de manifester sans délai son intérêt pour ce type d'hébergement.

Inscriptions ? Au plus tard, le 10 juin 2016. Attention, les places sont limitées et les inscriptions seront clôturées dès que le nombre maximal d'inscrits est atteint. L'inscription est garantie dès acceptation de la candidature et paiement intégral des frais d'inscription.

Les doctorants participant à l'école d'été pourront comptabiliser un total de cinquante heures au titre de la formation doctorale.

Direction scientifique : Prof. Ludovic Hennebel (AMU) et Prof. Bernard Duhaime (UQAM).

Coordination : Caroline Teuma (AMU) et Elise Hansbury (UQAM).

Pour toute information complémentaire relative à l'école d'été, vous êtes invités à envoyer un mail à l'adresse suivante : caroline.teuma@etu.univ-amu.fr

Références

Documents relatifs

l'humanité pour le droit humanitaire et la justice pour les droits de l'homme. a) Les institutions internationales prévues pour la mise en œuvre du droit humanitaire, en

Même s’il n’existe pas encore une parfaite corrélation entre les droits et les obligations internationales des individus et que leur capacité reste soumise

385 « On trouvera d’autres indices de l’opinio juris dans le fait que les Etats reconnaissent une règle de manière très généralisée, par exemple lors d’une

Face au relativisme culturel et face à un droit international des droits de l’Homme de portée universelle mais dit élaboré principalement par des pays occidentaux, comment les Etats

- Dossier attestant de connaissances dans les branches spéciales du droit international (notamment : droit international humanitaire/pénal, droit international économique,

traitements, qu’il s’agisse de son Etat d’origine, de résidence ou de tout autre Etat. 24 Ce principe met en présence des enjeux importants : une décision incorrecte,

] mais cette pratique ne signifie pas et ne saurait signifier que l'Etat auquel une telle demande de sauf-conduit est adressée soit juridiquement tenu d'y faire

cette discipline à part entière, que serait la protection des droits de l'homme - alors même que, à mon avis, les problèmes posés par les réserves en matière de droits de