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Fiche technique Supports pour revêtements muraux en céramique, en pierre naturelle et en pierre artificielle (carreaux et dalles) à l intérieur

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Association suisse des entrepreneurs plâtriers peintres ASEPP Association suisse du carrelage ASC

Association des Poêliers-Fumistes, Carreleurs et Conduits de fumée feu Association suisse des fabricants de mortiers à sec VTH

Association de l’industrie du plâtre et des plaques en plâtre SVGG

Fiche technique

Supports pour revêtements muraux en céramique, en pierre naturelle et en

pierre artificielle (carreaux et dalles) à l’intérieur

Traduction de la fiche technique en allemand

« Merkblatt : Untergründe für Wandbeläge aus Keramik, Natur- und Kunststein (Fliesen und Platten) im Innenbereich »

En cas de doute ou de litige, la fiche en allemand fait foi.

Introduction

La présente fiche technique fait fonction d’intermédiaire entre l’entreprise en plâtrerie ou en construction à sec ainsi que l’entreprise de carrelage, d’une part, et le planificateur/maître d’ouvrage, d’autre part. Pour les catégories de travaux citées, elle contient les informations les plus importantes pour l’exécution des supports ainsi que des revêtements muraux correspondants. Elle doit servir et aider aussi bien à la sécurité de planification et d’exécution qu’à éviter des dégâts.

Cette fiche technique ne prétend toutefois pas à l’exhaustivité ni à un caractère général universel; il ne peut donc en résulter d’actions légales contre les auteurs ou l’éditrice.

(Fiche technique, état octobre 2009, copyright ASEPP) ASEPP Association suisse des entrepreneurs plâtriers-peintres

Grindelstrasse 2, Postfach, 8304 Wallisellen, www.malergipser.com

(2)

2 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

Sommaire

A Partie générale 3

________ A 1 Domaine d’application et responsabilité 3

A 2 Principes 3

A 3 Précisions 3

A 4 Locaux secs et humides

(y c. définitions des zones d’éclaboussure selon CSH) 4 A 5 Obligations et responsabilités des parties concernées 4 A 5.1 Obligations générales (entreprises de planification, de plâtrerie

et de construction à sec, entreprise de carrelage, entreprise sanitaire,

maître d’ouvrage) 4

A 5.2 Planificateur (ingénieur, architecte, direction des travaux) 5

A 5.3 Entreprise de plâtrerie et de construction à sec 5

A 5.4 Entreprise de carrelage 6

A 5.5 Entreprise d’installations sanitaires 6

A 5.6 Maître d’ouvrage 6

B Pose de carrelage : exécution et matériaux 7

B 1 Pose de carrelage : tolérances 7

B 2 Pose de carrelage : matériaux 7

B 2.1 Couche de fond (primaire) 7

B 2.2 Imperméabilisation des surfaces 7

B 2.3 Mortiers-colles 7

B 2.4 Mortiers de jointoiement 7

C Exécution, crépis de support et crépis pour revêtements muraux 8

C 1 Tolérances lors de travaux de crépissage 8

C 2 Supports pour travaux de crépissage 8

C 3 Matériaux pour crépis et leurs domaines d’application 9

C 3.1 Couches adhésives 9

C 3.2 Crépis 9

C 3.3 Exigences spécifiques pour des crépis de fond pour carreaux grand format 9 Tableau 1: Supports et crépis ainsi que mortiers-colles, adhésifs et

imperméabilisation pour revêtement de carrelage 10

D Construction à sec comme support pour revêtements muraux 11

D 1 Tolérances lors de travaux de construction à sec 11

D 2 Matériau pour travaux de construction à sec 11

D 3 Réalisation de travaux de constructions à sec en fonction des matériaux

et des systèmes 12

Tableau 2: Supports en panneaux de construction ainsi que mortiers-colles,

adhésifs et imperméabilisation pour revêtements de carrelage 14

Publications 15

(3)

3 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

A Partie générale

________

A 1 Domaine d’application et responsabilité

La présente fiche technique vaut pour l’ensemble des supports présentés dans les tableaux et pour toute la Suisse.

Elle remplace l’intégralité de la fiche technique 2001 traitant de ce sujet et correspond à l’état actuel de la technique. Aucune responsabilité ne peut découler de ces recommandations.

A 2 Principes

● Norme SIA 118 « Conditions générales pour l’exécution des travaux de construction ».

● Recommandation SIA V 242/1 « Travaux de crépissage et de plâtrerie », 1994.

● Recommandation SIA V 242/2 « Travaux de plâtrerie – montage à sec ».

● Norme SIA 118/244 « Conditions générales relatives à la pierre artificielle ».

● Norme SIA 244 « Pierre artificielle - Dallages, revêtements, pierres de taille », 2006.

● Norme SIA 118/246 « Conditions générales relatives à la pierre naturelle ».

● Norme SIA 246 « Pierre naturelle - Dallages, revêtements, pierres de taille », 2006.

● Norme SIA 118/248 « Conditions générales relatives aux carrelages ».

● Norme SIA 248 « Carrelages - Revêtements en carreaux de céramique, verre et asphalte », 2006.

● Norme SIA 248.515 (EN 12004: 2007) « Colles à carrelage - Exigences, évaluation de la conformité, classification et désignation ».

● Norme SIA 118/271 « Conditions générales pour l’étanchéité des bâtiments ».

● Norme SIA 271 « Etanchéité des bâtiments ».

● Norme SIA 118/274 « Conditions générales relatives à l’étanchéité des joints des bâtiments».

● Norme SIA 274 « Etanchéité des joints dans la construction ».

● Recommandation SIA V 414/10 « Tolérances dimensionnelles dans le bâtiment », 1987.

● CAN 671 « Plâtrerie: Enduits et staff », 2010.

● CAN 643 « Construction à sec : Cloisons, doublages, revêtements», 1999.

● CAN 645 « Carrelages », 2005.

● BAKT (Bundesarbeitskreis Trockenbau) Info Technik: « Bäder im Trockenbau », disponible en allemand seulement, 1993.

● Fiche technique « Hinweise für die Ausführung von Verbundabdichtungen mit Bekleidungen und Belägen aus Fliesen und Platten für den Innen- und Aussenbereich », de l’association allemande Zentralverband Deutsches Baugewerbe, disponible en allemand seulement.

A 3 Précisions

➜ Les revêtements muraux en céramique, en pierre naturelle et en pierre artificielle ont un poids non négligeable. Il convient d’y rendre attentif l’entrepreneur chargé de réaliser le support.

➜ Le support doit avoir une capacité porteuse suffisante pour le revêtement mural. La recommandation SIA V 242/1, art. 5 22 s’applique pour évaluer l’humidité maximale admissible.

(4)

4 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

Cette fiche technique vaut pour les revêtements muraux standards en céramique, en pierre naturelle ou en pierre artificielle posés sur des crépis de fond existants ou sur des structures et panneaux de construction. Pour les carreaux muraux plus lourds, il est nécessaire de déterminer au préalable – avec les parties concernées – le type de crépis de fond ou, lors de construction à sec, de définir la construction et les carreaux adéquats.

Il est nécessaire de tenir compte du taux d’humidité, déterminant le comportement en matière de retrait et de fluage ainsi que les variations de longueurs thermiques des différents supports, en particulier du béton et des revêtements et de compenser par des mesures appropriées, comme le fractionnement des surfaces ainsi que les types et dispositions de joints (par ex. fractionnement des surfaces maximales sur du béton ≤ 6 m).

A 4 Locaux secs et humides

Cette fiche technique définit comme locaux secs les surfaces murales énumérées ci- dessous:

● W.-C. invités (sans baignoire ni douche).

● Buanderies.

● Cuisines à usage domestique normal.

● Murs à proximité d’équipements sanitaires, par ex. lavabos, W.-C. muraux et autres, pour autant qu’ils ne se trouvent pas dans une salle de bain.

Les pièces humides sont réparties dans les trois classes de sollicitation à l’humidité (CSH) suivantes et définies selon les croquis (colonne de droite):

CSH Sollicitations Exemples d’application Définitions des zones d’éclaboussures des classes de sollicitation à l’humidité (CSH)

0 Surfaces de parois qui ne sont exposées aux éclaboussures que par intermittence, brièvement et de manière insignifiante

Parois dans des salles de bains d’utilisation domestique courante avec baignoire et receveur de douche, sans évacuation au sol

Zones d’éclaboussures définies dans les CSH 0

A 01 Surfaces de parois qui ne sont exposées aux éclaboussures que par intermittence et brièvement, mais de manière modérée

Parois soumises aux

éclaboussures dans les salles de bains d’utilisation domestique courante avec évacuation au sol A 1 Surfaces de parois qui sont

hautement sollicitées par des eaux d’usage et des eaux de nettoyage

Parois de douches publiques ainsi que du domaine artisanal et industriel

A 5 Obligations et responsabilités des parties concernées

A 5.1 Obligations générales (entreprise de planification, de plâtrerie et de construction à sec, entreprise de carrelage, entreprise sanitaire, maître d’ouvrage)

La surveillance que le maître d’ouvrage peut faire exercer par la direction des travaux n’exonère pas l’entrepreneur de l’obligation légale de signaler sans délai à la direction des travaux, les situations pouvant compromettre l’exécution appropriée ou en temps voulu de l’ouvrage. Le manquement à cette obligation peut être lourd de conséquences, à moins que la direction des travaux ait eu connaissance des situations en question même sans en avoir été avertie. Les avis doivent être donnés par écrit; s’ils sont donnés oralement, ils doivent être consignés dans un procès-verbal (norme SIA 118, art. 25, al. 1 + 2).

Zones d’éclaboussures définies dans les CSH A01 et A1

(5)

5 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

A 5.2 Planificateur (ingénieur, architecte, direction des travaux) Il est notamment responsable:

● d’apporter les indications nécessaires dans le cahier des charges, telles que les exigences en matière de construction, y compris la définition du niveau de qualité des matériaux à employer, la sollicitation de la paroi, l’usage prévu de la pièce et si des plinthes sont prévues ou pas.

● de respecter un temps de séchage suffisant (en fonction des matériaux utilisés) ou, si ce n’est pas possible, de planifier des structures murales alternatives.

● de définir les surfaces maximales et les types de joints en fonction des déformations prévisibles.

● de fractionner les surfaces sur les supports en béton où il ne faut pas dépasser une longueur max. de ≤ 6.00 m.

● de fractionner et d’indiquer les dimensions des joints de dilatation et de construction à respecter dans le bâtiment et ses structures.

● de fractionner des joints de dilatation en tenant compte des variations de dimensions du support ou du revêtement de carrelage.

● de mettre en place des solutions d’imperméabilisation et des mesures de protection contre l’humidité nécessaire.

● de planifier et réaliser des pré-maçonneries ou des doublages dans le cas de supports pas entièrement secs ou susceptibles de se déformer.

● d’utiliser un crépis de fond à base de ciment avec une résistance à la compression de

≥ 6 N/mm2, pour autant que des carreaux de grands formats (≥ 1600 cm2) soient posés en lit moyen.

A 5.3 Entreprise de plâtrerie et de construction à sec Elle est notamment responsable :

● d’informer la direction des travaux, à l’attention du carreleur, d’épaisseurs de crépis plus importantes, du type de crépis de fond (écarts éventuels par rapport au contrat de travail) et de son âge.

● de contrôler le support brut existant quant à sa capacité de charge, ses tolérances (précision), sa stabilité, son état de surface et son taux de séchage (mesure d’humidité selon C2).

● d’utiliser des matériaux appropriés, respectant la classe de sollicitation à l’humidité.

● d’appliquer un revêtement/pont d’adhérence sur le béton et les pierres de ciment lisses.

● de respecter les épaisseurs théoriques prescrites pour les crépis de fond (intérieur 10 mm).

● de réaliser un crépis d’une résistance homogène et d’une surface rugueuse et antidérapante.

● de la stabilité et de la capacité de charge des constructions réalisées par son entreprise, comme les cloisons, doublages et revêtements.

● de reprendre tous les joints de dilatation du support lors de l’exécution des travaux par l’entreprise.

● d’exécuter le crépis de fond et toutes les constructions à sec conformes au niveau de qualité commandé (selon fiche technique ad doc).

● de réaliser un jointoiement conforme aux règles d’art (Q1 Base du jointoiement).

Important lors de travaux exécutés en hiver

Veiller tout particulièrement aux températures et à l’isolation thermique pendant le déroulement des travaux!

Règle de base pour la durée de séchage des crépis

Séchage nécessaires = 2 jours par mm d’épaisseur de couche Cette règle est seulement valable en cas de ventilation transversale efficace et régulière du chantier ainsi que pour des températures des locaux de ≥10 C.

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6 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

A 5.4 Entreprise de carrelage

Elle est notamment responsable :

● de vérifier le support quant à son adhérence/son effritement, sa précision, son taux de séchage et ses défauts visibles.

● de déterminer le type de crépis de fond (voir colonne ci-contre, à droite).

● de contrôler les dimensions définies des surfaces ainsi que les types et dispositions des joints indiqués.

● de vérifier si un profilé d’étanchéité a été posé (cf. description en pages 12/13).

● d’utiliser des mortiers-colles, mortiers de jointoiement et primaires appropriés au support ainsi qu’à la classe de sollicitation à l’humidité exigée.

● de réaliser des d’enduits, bandes et garnitures d’imperméabilisation selon les instructions du fabricant.

● de vérifier la compatibilité des carreaux muraux prévus.

● de réaliser les joints entre les plaques de plâtre, à moins que le plâtrier ou le plaquiste s’en soient chargés selon le système de construction choisi.

● de respecter les épaisseurs des couches prescrites de mortier-colle.

● de reprendre tous les joints de dilatation du support lors de l’exécution des travaux par l’entreprise.

● de réaliser des joints de dilatation flexibles.

● d’informer sur les conseils de nettoyage.

A 5.5 Entreprise d’installations sanitaires

Elle est notamment responsable :

● d’installer obligatoirement des profilés d’étanchéité (cf. description en pages 12/13).

● de contrôler les garnitures d’étanchéité des passages de tuyaux.

● de rendre étanches les passages de tuyaux avant le montage des rosaces sanitaires.

● d’appliquer des joints pour rendre étanche tout trou percé au travers de surfaces imperméable (porte-savon, supports de douche, cloisons, etc.).

A 5.6 Maître d’ouvrage

Il est notamment responsable :

● de contrôler et entretenir annuellement tous les joints en cas de dommages visibles (par ex. détachement des bords, vides dans les joints ciment du carrelage, etc.).

● d’effectuer des contrôles d’entretien des surfaces des revêtements (dommages visibles, fissures, etc.).

● de garder libre les écoulements d’eau (saleté, cheveux, etc.).

Clarifications nécessaires à faire par le carreleur:

1. Demande des précisions sur l’âge du crépis de fond

S’assurer que le crépi de fond a été réalisé au moins 20 jours auparavant et que le développement de la résistance soit ainsi en grande partie achevé.

2. Teneur en humidité du crépi de fond La valeur limite maximale d’humidité admissible est de:

Crépis de fond en:

ciment ≤ 4,0 %

ciment-chaux ≤ 3,0 %

ciment-plâtre ≤ 3,0 %

plâtre ou en chaux/plâtre ≤ 2,0 %

Autres types selon

instructions

du fabricant

De simples appareils électroniques de mesure de résistance suffisent pour un premier résultat rapide quant à la teneur en humidité du crépis de fond.

(7)

7 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

B Pose de carrelage : exécution et matériaux

________

B 1 Pose de carrelage : tolérances

Selon la norme SIA 248 « Travaux de carrelage », la tolérance de la couche (alignement et aplomb) pour une application à la spatule ou à la spatule dentée est en fonction de celle du support. La tolérance de la planéité des surfaces pour des revêtements muraux est de +/-3 mm pour une distance de 2,0 m de longueur.

B 2 Pose de carrelage : matériaux

B 2.1 Couche de fond (primaire)

En fonction du type de support, utiliser des matériaux selon les instructions des fabricants de mortiers-colles ou de mortiers joints.

B 2.2 Imperméabilisation des surfaces

Adapter les imperméabilisations de surface à la classe de sollicitation à l’humidité correspondante. Il convient de remplir les exigences de la fiche technique suivante:

● Fiche technique « Imperméabilisation collée sous des revêtements en céramique ou en pierre naturelle à l’intérieur » de l’Association Suisse du Carrelage ASC.

B 2.3 Mortiers-colles

Mortiers-colles et adhésifs sont à mettre en œuvre selon la norme SIA 248.515 (EN 12004: 2007) « Colles à carrelage - Exigences, évaluation de la conformité, classification et désignation ». Il est nécessaire de distinguer entre:

● le mortier à liant ciment (C).

● les adhésifs à dispersion (D).

● les adhésifs à base de résine composite (R).

Le choix du mortier-colle ou de l’adhésif découle des tableaux 1 et 2 de cette fiche technique ainsi que du support et du type de carreau.

B 2.4 Mortiers de jointoiement Il est nécessaire de distinguer entre :

● le mortier de jointoiement à base de ciment

● le mortier de jointoiement à base de ciment ajouté de matières synthétiques

● le mortier de jointoiement à base de résine composite réactive.

Lors du choix du mortier de jointoiement, il y a lieu de tenir compte du type de carreaux, des sollicitations futures et du domaine d’utilisation.

(8)

8 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

C Exécution, crépis de support et crépis pour revêtements muraux

________

C 1 Tolérances lors de travaux de crépissage

Selon la recommandation SIA 242/1 V « Travaux de crépissage et de plâtrerie », les écarts maxima pour les crépis de fond sont les suivants:

Tolérances dimensionnelles pour l’alignement et l’aplomb

Distances de mesures en mètres et écarts tolérables en mm

Points de mesures liés * 0.4 m 1 m 2 m 4 m 10 m 20 m

Exigences standards 4 mm 4 mm 6 mm 8 mm 12 mm 16 mm

Tolérances dimensionnelles pour la planéité des surfaces

Distances de mesures en mètres et écarts tolérables en mm

Points de mesures libres * 0.4 m 1 m 2 m 4 m 10 m 20 m

Exigences standards 2 mm 3 mm 5 mm 8 mm 12 mm 16 mm

En cas de plus grande exigence en termes de précision d’exécution du crépis, la recommandation SIA 242/1 V, art. 7 12 conseille de la décrire particulièrement dans le cahier des charges.

En outre, il y a lieu de respecter les niveaux de qualité convenus pour des crépis tirés à la taloche.

C 2 Supports pour travaux de crépissage

Béton et pierre de ciment

Ceux-ci requièrent – avant l’application d’un crépi de fond pour revêtements muraux en céramique, en pierre naturelle ou en pierre artificielle – une évaluation ad hoc de la teneur en humidité, du degré de salissure, de la présence de résidus de produits de séparation, du pouvoir d’absorption etc.

Sur le béton et les pierres de ciment lisses, il est nécessaire de prévoir un pont ou un revêtement d’adhérence avant l’application du crépi de fond. Les longs murs en béton représentent un risque, raison pour laquelle les supports de béton ne peuvent être crépis sur une longueur de plus de 6 m. au maximum sans joint de dilatation.

Briques terre-cuite/ciment et briques silico-calcaires

Ce sont normalement de bons supports pour les crépis de fond destinés aux revêtements muraux en céramique, en pierre naturelle et en pierre artificielle. Il y a lieu de procéder aux examens nécessaires quant à la résistance et aux impuretés du support.

Pour certains supports, il faut également déterminer au préalable la nécessité ou non d’une couche ou d’un pont d’adhérence (par ex. sur les murs en briques silico-calcaires).

Béton cellulaire et briques légères

Utiliser notamment des crépis de fond légers.

* Une définition des « points de mesure liés » et

« points de mesure libres » avec croquis correspondant se trouve dans la fiche technique ASEPP « Qualité des surfaces de plaques et tolérance de dimensions de la construction à sec », page 11.

Teneur en humidité maximale admissible dans le support selon la recommandation SIA 242/1 V, article 5, al. 22 (en % de la masse):

Béton 3,0

Brique 4,0

Brique silico-calcaire 3,0

Pierre de ciment 3,0

Béton cellulaire 17,0

Calculé à partir d’une profondeur d’au moins 30 mm par la méthode Darr.

(9)

9 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

C 3 Matériaux pour crépis et leurs domaines d’application

C 3.1 Couches adhésives

Sur du béton et des pierres lisses en ciment, il y lieu de mettre une couche ou un pont d’adhérence avant l’application du crépis de fond.

Un pré-giclage à la chaux-ciment ne doit se faire uniquement sur des supports bruts et rugueux.

C 3.2 Crépis – Crépis de fond

Dans le tableau 1, vous trouverez quels crépis conviennent aux différents supports et classes de sollicitation à l’humidité. L’épaisseur théorique du crépi de fond mural à l’intérieur est de 10 mm. Le crépi de fond doit présenter une résistance homogène.

Avant l’application de revêtements muraux en céramique, en pierre naturelle ou en pierre artificielle, le crépi de fond doit avoir durci et être totalement sec. La surface doit être plane, rugueuse et adhérente.

– Crépis de finition synthétique et crépis de lissage contenant du plâtre

Les crépis de finition et de lissage contenant du plâtre ne conviennent pas comme supports pour des revêtements muraux et plinthe en céramique, en pierre naturelle ou en pierre artificielle.

C 3.3 Exigences spécifiques pour des crépis de fond pour carreaux grands formats

– Exigences plus élevées quant à la résistance à la compression du crépi de fond Lors de l’utilisation de carreaux de grands formats ≥ 1600 cm2 posés en lit moyen, il est nécessaire, afin de réaliser un support solide, d’appliquer un crépi de fond avec une résistance à la compression de ≥ 6 N/mm2 .

(10)

10 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

Tableau 1: Supports et crépis ainsi que mortiers-colles, adhésifs et imperméabilisation pour revêtements de carreaux

Types de crépis Supports

Classes de sollicitation à l’humidité, choix de mortiers- colles et de produits

d’imperméabilisation adaptés

Béton avec pont d’adhérence Béton avec revêtement adhésif Brique silico-calcaire, pierre de ciment Brique terre-cuite Brique légère Bloc de béton cellulaire Locaux secs Par ex. w.-c. invités, buanderies, cuisines familia- les courantes, murs à proximité d’équipements sanitaires comme lavabos et autres Classe de sollicitation à l’humidité 0 Par ex. parois dans des salles de bains familiales courantes avec baignoire, resp. receveur de douche, sans évacuation au sol. Classe de sollicitation à l’humidité A01 Par ex. parois soumises aux éclaboussures dans des salles de bains familiales courantes avec évacuation ausol Classe de sollicitation à l’humidité A1 Par exemple parois dans des douches publiques

- Crépi de fond à base de ciment

- Crépi de fond pour socle

! ✓ ✓ ✓

CD AC ACR ACR

- Crépi de fond à base de ciment-chaux

- Crépi de fond à base de chaux-ciment

✓ ✓ ✓ ✓

CD AC ACR ACR

- Crépi de fond à base de chaux hydraulique-ciment-

avec agrégats légers

✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓

CD AC ACR ACR

- Crépi de fond à base de ciment-plâtre

! ✓ ✓ ✓ ✓ ✓

GCD GAC GACR

- Crépi de fond à base de plâtre

! ✓ ✓ ✓ ✓ ✓

GCD GAC GACR

- Crépi de fond à base de chaux et plâtre

! ✓ ✓ ✓ ✓ ✓

GCD GAC GACR

- Crépi de fond d’assainissement Ne convient pas comme support pour revêtements muraux!

Légende

Convient comme support.

!

Convient comme support sous certaines conditions; se référer aux instructions du fabricant.

Ne convient pas.

A Imperméabilisation de surface obligatoires dans les zones d’éclaboussures directement concernées, y c. bandes et garnitures d’étanchéité

C Mortiers-colles, liés au ciment

D Colles à dispersion.

G Primaires (régulateur de fond)*.

R Adhésifs époxydiques bi-composant.

* De manière générale, il convient de respecter les instructions des fabricants de mortiers-colles et de produits d’imperméabilisation en ce qui concerne les couches de fond (primaires).

➜ Remarque

Respecter impérativement les taux d’humidité maxima lors de la construction!

Pour les produits à fixation rapide et asséchants, seules les indications des fabricants font foi.

(11)

11 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

D Construction à sec comme support pour revêtements muraux

________

D 1 Tolérances lors de travaux de construction à sec

Les tolérances pour les travaux de construction à sec avec des plaques en plâtre sont définies par la recommandation SIA V 414/10 « Tolérances dimensionnelles dans les bâtiments » (1988) et dans la fiche technique ASEPP « Qualité des surfaces de plaques et tolérance de dimensions de la construction à sec ».

Tolérances dimensionnelles pour l’alignement et l’aplomb

Distances de mesures en mètres et écarts tolérables en mm

Points de mesures liés * 0.4 m 1 m 2 m 4 m 10 m 20 m

Exigences standards 4 mm 4 mm 5 mm 6 mm 9 mm 12mm

Exigences augmentées 2 mm 2 mm 3 mm 4 mm 6 mm 8 mm

Tolérances dimensionnelles pour la planéité des surfaces

Distances de mesures en mètres et écarts tolérables en mm

Points de mesures libres * 0.4 m 1 m 2 m 4 m 10 m

Exigences standards 2 mm 3 mm 5 mm 8 mm 12 mm

Exigences augmentées 1 mm 2 mm 3mm 5 mm 8 mm

D 2 Matériaux pour travaux de construction à sec

Plaques de plâtre

Les plaques de parois en plâtre ainsi que les plaques de plâtre et de plâtre armé de fibres ont une porosité élevée, permettant ainsi d’absorber et de restituer rapidement l’humidité.

Mais un taux d’humidité élevé en permanence aura une influence négative sur les propriétés mécaniques de ces plaques. Dans les locaux de la CSH A01, il est absolument nécessaire d’utiliser des plaques de plâtre hydrophobes, des plaques de plâtre imprégnées dans la masse ou des plaques de plâtre armé de fibres imprégnées en surface.

Panneaux de construction en silicate de calcium

Les panneaux spéciaux en silicate comme support pour les revêtements muraux en céramique, en pierre naturelle et artificielle ne doivent être utilisés qu’à l’intérieur.

Panneaux de construction en béton léger à base de ciment

Les panneaux traités aux liants hydrauliques conviennent à toutes les classes de sollicitation à l’humidité. Ces panneaux sont généralement résistants à l’eau et à la décomposition et donc adaptés à des classes de sollicitation à l’humidité élevées telles que A1.

Panneaux de construction légers en mousse de polystyrène rigide

Ces panneaux conviennent comme supports pour des revêtements muraux en céramique, en pierre naturelle et en pierre artificielle à l’intérieur ainsi que pour des classes de sollicitation à l’humidité élevées telles qu’A1.

Panneaux en béton cellulaire

À l’intérieur, il est possible de poser directement des revêtements muraux en céramique, en pierre naturelle ou en pierre artificielle sur de tels panneaux, à condition d’y avoir appliqué un primaire (régulateur de fond) et qu’ils aient une masse volumique comprise entre 300 à 650 kg/m3. Sur des panneaux en béton cellulaire plus légers (environ 115 kg/m3), il est nécessaire d’appliquer au préalable un treillis chevillé au support.

➜ Précision supérieure de réalisation:

Si une plus grande précision d’exécution des travaux de construction à sec est nécessaire, celle-ci doit être décrite spécialement dans le cahier des charges selon la recommandation SIA V 242/2 « Travaux de plâtrerie – montage à sec », art. 7 12.

* Une définition illustrée par un croquis des

« points de mesures liés » et des « points de mesures libres » se trouve à la page 11 de la fiche technique ASEPP « Qualité des surfaces de plaques et tolérance de dimensions de la construction à sec ».

Explication des termes Ancien: Nouveau:

Panneaux en Plaques en plâtre placoplâtre

Panneaux en Plaques de parois plâtre massif en plâtre

Terme générique pour tous les panneaux de construction à base de plâtre:

Plaques de plâtre

(12)

12 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

D 3 Réalisation de travaux de constructions à sec en fonction des matériaux et des systèmes

Pour les systèmes et matériaux ci-après, il convient de toujours observer les conseils et recommandations des fabricants et des systèmes de construction.

Les cloisons ou doublages non porteurs sur structure avec revêtement, les cloisons et pré- constructions non porteuses en plaques de parois en plâtre ainsi que les revêtements muraux doivent avoir une stabilité propre suffisante et répondre aux exigences statiques en matière de charges verticales et de hauteurs de parois. Lors de la fixation d’appareils sanitaires, il faut installer des éléments de support ou des renforcements appropriés, permettant une reprise de charge sans incidence sur le revêtement mural en céramique, en pierre naturelle ou en pierre artificielle.

Systèmes avec revêtement en plaques de plâtre

Lors de cloisons non porteuses ainsi que de doublages et de revêtements avec des plaques de plâtre de 12,5 mm, il est nécessaire de prévoir deux couches de plaques et de respecter un entraxe des montants de 62,5 cm (distance standard).

Lors de l’utilisation de plaques de plâtre de ≤ 20 mm d’épaisseur et d’une seule couche de plaques, les entraxes sont à placés selon les instructions du fabricant du système.

Les surfaces des plaques de plâtre ne doivent pas être jointoyées. Les joints entre les plaques restent normalement ouverts, sauf si les prescriptions du système exigent leur remplissage. Dans les locaux des classes de sollicitation 0 et A01, il est nécessaire d’imperméabiliser systématiquement les zones directement touchées par des éclaboussures. Les angles intérieurs et les jonctions à d’autres éléments de construction, à des installations sanitaires tels que baignoires ou receveurs de douche, conduites, etc.

doivent également être imperméabilisés dans les règles de l’art, voire munis de garnitures et de profilés d’étanchéité.

Systèmes avec plaques de parois en plâtre

En cas de cloisons et de doublages non porteurs avec un entraxe de 62.5 cm, des plaques de plâtres de ≥ 25 mm peuvent être posées en couche simple. En cas de plaques d’une épaisseur de 40 mm, l’entraxe peut être de ≤ 100 cm.

Les surfaces des plaques de plâtre ne doivent pas être jointoyées. Les plaques de plâtre hydrophobes nécessitent une imperméabilisation complémentaire de toute la surface.

Toutes les jonctions à des pièces d’encastrement comme les baignoires et receveurs de douche, à des conduites et à toute autre partie de construction doivent être imperméabilisés, voire munies de garnitures et de profilés d’étanchéité (cf. tableau p. 14 et locaux avec CSH 0 et A01).

Les cloisons non porteuses sur lesquelles seront fixés des appareils sanitaires doivent être réalisées avec des plaques de plâtre d’une épaisseur minimale de 80 mm, voire de

≥ 100 mm en cas de W.-C. suspendus.

Qu’est-ce qu’un profilé d’étanchéité?

[Photo: www.gabag.com]

 Les profilés d’étanchéité s’adaptent à tous les types de baignoires et receveurs de douche qu’ils soient en acier, en matière synthétique ou en céramique, de forme carrée ou ronde;

ils sont compatibles avec tous les types de matières synthétiques et ne colorent pas les joints souples.

 Ils forment une étanchéité secondaire fiable.

 Les profilés d’étanchéité absorbent particulièrement bien de grands mouvements et ne génèrent aucune pression sur les carrelages, même en cas de retrait du support; ils s’adaptent aux parois qui ne sont pas d’équerre, voire inégales et ne doivent pas être fixées aux parois.

 Ils remplacent les profilés de baignoires ou receveurs, sont solides, résistants aux fissures, peu sujets à l’usure et selon la situation d’encastrement, ils peuvent être fixés avec précision à la baignoire ou au receveur et n’entravent ainsi pas la pose du carrelage.

.

[Photo: www.gabag.com]

 Ne pas découper les jonctions d’angle. (Voir également colonne de droite à la page 13 suivante).

(13)

13 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

Systèmes avec plaques de plâtre armé de fibres

Lors de l’utilisation de plaques de plâtre armé de fibres d’une épaisseur de ≤ 18 en une seule couche, il est nécessaire d’adapter l’entraxe des montants aux instructions du fabricant du système.

La surface des plaques de plâtre armé de fibres est imprégnée en surface; les joints sont à réaliser avec de la colle ou du mastic; la surface des plaques n’est pas à mastiquer.

Dans les locaux de classes de sollicitation 0 et A01, il est nécessaire d’imperméabiliser systématiquement les zones directement touchées par des éclaboussures. Les jonctions à d’autres éléments de construction, à des installations sanitaires tels que baignoires ou receveurs de douche, conduites, etc. doivent également être d’imperméabiliser dans les règles de l’art, et munies de garnitures et de profilés d’étanchéité.

Système avec plaques de silicate de calcium

En cas de cloisons ou doublages sur structure à profilés métalliques, réalisés avec des plaques d’une épaisseur de 15 mm, l’entraxe max. ne doit pas dépasser 62,5 cm ; pour des plaques de 6 mm l’entraxe max, est de 40 cm.

Système avec plaques de construction en béton léger à base de ciment

En cas de cloisons ou doublages sur structure à profilés métalliques, réalisés avec des plaques d’une épaisseur de 12.5 mm, l’entraxe doit se situer entre 31,25 et 62,5 cm en fonction des sollicitations statiques. En cas d’utilisation dans les CSH 0 et A01, il est uniquement nécessaire d’imperméabiliser les raccords. Dans la classe A1, l’application d’une imperméabilisation de surface est nécessaire.

Possibilités de montage d’un profilé d’étanchéité (plan)

[Illustration : www.gabag.com]

Possibilité de montage avec pli

Pour des rayons d’angles de baignoires de plus de 15 mm, le lit de mortier-colle est de 2 à 3 mm selon l’épaisseur des carreaux.

[Illustration : www.gabag.com]

Possibilité de montage sans pli

Pour des rayons d’angles de baignoires jusqu’à 15 mm, le lit de mortier-colle est de 3 à 4 mm selon l’épaisseur des carreaux. Chanfreiner éventuellement le carreau (par ponçage ou coupe). En cas de rayon d’angle supérieur, il est nécessaire de piquer la baignoire.

[Illustration : www.gabag.com]

Coupe verticale sans plaque de support

[Illustration : www.gabag.com]

Coupe verticale avec plaque de support

(14)

14 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

Tableau 2:

Supports en panneaux de construction, mortiers-colles, adhésifs et imperméabilisations pour revêtements de carrelage

Types de

panneaux/plaques

Classes de sollicitation à l’humidité, choix de mortiers-colles adaptés et de produits d’imperméabilisation

Indications

Locaux secs Par ex. w.-c. invités, buanderies, cuisines familiales courantes, murs à proximité d’équipements sanitaires comme lavabos et autres Classe de sollicitation à l’humidité 0 Par ex. parois dans des salles de bains familiales courantes avec baignoire, resp. receveur de douche, sans évacuation au sol. Classe de sollicitation à l’humidité A01 Par ex. parois soumises aux éclaboussures dans des salles de bains familiales courantes avec évacuation ausol. Classe de sollicitation à l’humidité A1 Par exemple parois dans des douches publiques.

- Panneaux de parois en plâtre ✓ GCD

GAC Q1 Base du jointoiement

- Panneaux de parois en plâtre hydrophobe GCD

✓ GAC

GAC Q1 Base du jointoiement

- Plaques de plâtre GKB

- Plaques coupe-feu en plâtre GFK

GCD Q1 Base du jointoiement

- Plaques de plâtre imprégné GKBi ✓ GCD

✓ GAC

GAC Q1 Base du jointoiement

- Plaques de plâtre armé de fibres ✓ GCD

✓ GAC

GAC Q1 Base du jointoiement

- Panneaux en béton cellulaire

GCD

✓ GAC

✓ GAC

✓ GAC

Selon la CSH A1, un crépi de fond selon tableau 1 est nécessaire

- Panneaux en silicate de calcium ✓ GCD

✓ GAC

GAC Variante aux plaques de plâtre de la CSH A1

- Panneaux de construction en béton léger à base de ciment

✓ GCD

✓ GAC

✓ GAC

✓ GACR - Panneaux de construction légers en

mousse de polystyrène rigide

✓ GCD

✓ GAC

✓ GAC

✓ GACR

Ne pas utiliser de primaire contenant du solvant

Légendes

Panneaux covenantcomme support.

Ne convient pas.

A Imperméabilisation de surface obligatoires dans les zones d’éclaboussures directement concernées, y c. bandes et garnitures d’imperméabilisation

C Mortiers-colles, liés au ciment

D Colles à dispersion.

G Primaires (régulateur de fond)*.

R Adhésifs époxydique bi-composant.

* De manière générale, il convient de respecter les instructions des fabricants de mortiers-colles et de produits d’imperméabilisation en ce qui concerne les couches de fond (primaires).

(15)

15 Supports pour revêtements muraux à l’intérieur

Publications

________

 Recommandation SIA V 242/1 « Travaux de crépissage et de plâtrerie », édition 1994.

 Recommandation SIA V 242/2 « Travaux de plâtrerie – montage à sec », édition 1994. Norme SIA 118/244 « Conditions générales relatives à la pierre artificielle », édition 2006.

 Norme SIA 244 « Pierre artificielle - Dallages, revêtements, pierres de taille », édition 2006.

 Norme SIA 118/246 « Conditions générales relatives à la pierre naturelle », édition 2006.

 Norme SIA 246 « Pierre naturelle - Dallages, revêtements, pierres de taille », édition 2006.

 Norme SIA 118/248 « Conditions générales relatives aux carrelages », édition 2006.

 Norme SIA 248 « Carrelages - Revêtements en carreaux de céramique, verre et asphalte», édition 2006.

 Norme SIA 248 515 (EN 12004: 2007) « Colles à carrelage - Exigences, évaluation de la conformité, classification et désignation », édition 2007.

Source: sia, Société suisse des ingénieurs et des architectes, 8039 Zurich.

Catalogue des articles normalisés 643 « Construction à sec : Cloisons, doublages, revêtements»

Catalogue des articles normalisés 645 « Carrelages »

Catalogue des articles normalisés 671 « Plâtrerie: Enduits et staff »

Source en allemand : CRB, Zurich.

 Fiche technique « Qualité des surfaces de plaques et tolérance de dimensions de la construction à sec », édition 6.2007 (définitions des niveaux de qualité).

 Fiche technique « Traitement préalable du support de surfaces de construction sèches en plaques de plâtre », édition 6.2007.

 Fiche technique « Surfaces enduites à l’intérieur - niveaux de qualité pour enduits projetés, lisses et polis au feutre », édition 11.2003.

 Fiche technique « Enduit de finition sur plaques en placoplâtre », édition 3.1997. Fiche technique « Propriétés techniques et visuelles de différents types d’enduit de finition », édition 8.2008.

 Fiche technique BFS n° 26, « Traitement de surface des plaques de plâtre et de fibroplâtre ».

 Circulaire aux membres de l’ASEPP n° 355 « Prévention des sinistres en lien avec l’enduit de fond dans les locaux humides », édition 2.10.08.

Source en allemand: Association suisse des entrepreneurs plâtriers peintres ASEPP, 8304 Wallisellen

 Guide pratique « Construction à sec en plâtre – Conception et réalisation », 2005.

Source en allemand : SVGG, Mägenwil (ISBN 3-905172-33-X)

Fiche technique « Imperméabilisation collée sous des revêtements en céramique ou en pierre naturelle à l’intérieur » de l’ASC.

Source: Association suisse du carrelage ASC, 6252 Dagmersellen

 Fiche technique n° 1 « Conditions de chantier pour la construction à sec avec des systèmes de plaques en plâtre », 2003.

 Fiche technique n° 3 « Constructions en plaques de plâtre, joints et raccords », 2004.

 Fiche technique n° 5 « Salles de bain et locaux humides en bois en construction à sec », 2006.

Source en allemand : Bundesverband der Gips- und Gipsbauplattenindustrie eV. D-64295 Darmstadt ou www.gips.de

(Traduction et adaptation : Fédération Romande du Carrelage. 2015)

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