ORGANE DES UNIONS CHRÉTIENNES DE ST BLAISE
`1 .
- ANN II DONC, MON COEUR! LES JOU C1 CAR .1.
TA DOULEUR T'AßUJE;
1111, APRES `T''Aý/O 1R D01-1 NË sON F-I LJ awTNý
---, -ý\
r- rý .
1 : 11, º; t. sr cc QUý uIEU REFU. lE
IpýA Joiy ENý= AryT -- LE VÊTE ME N7ý
' !i LE «-OiT
, LE PAiN, LA VÎE ?
ýý CRAINJ-TU .. QU'IL NE T'OUSLIE2 {(ýiý .
Iii MaFhiof Engel
. 18o4-
ýiilý
l`i ;
QUE Vd1 I. ýMPES ýýMEUýýNT , qýtUN1ÉES i
i. t ý..
1L
l', _
lý ()
II
ý ý ý II i
i i±
Il
lfý
!;
1
PiOGRAý: T, w LT. C. J. G,
Saïa, di ý, ju, nvie. r : ýý , "IL EST TESCEUDU AUX E_FERS" ... ýý; lzbUlA c; es 11
il
18
25
ta
1!
Apôtres ). Ftucle de Feorýes uPnin,
. Cuý1--te de l'All. i. ancP o~ý; zLrieý: pcb=
l'Union, rý, Ut Scbi. le de, paroisse de l1flif;... ise iâl(LEi""
pendante. 11ous ç. li, interonti
Sýýînce acln: inistr,. tive ann-ae1lA. : ýrdre du jour
sta, tutairP. 11ous cor. _ptonb sur la présente cie cik&-- cun :
Z'ASTPOIJO `: 1', (lère cwucerie) par , °.. Senft, pasteu-
£L , ontr: iriLi1. Ildus avons encore tous en riéiroire les prA, cédentes conférences de M. renft. IIous le rer. ier. -
ciuns vive.: -nt Je bien vouloir, une fois encore), noue apporter i r6sult, tt de ses Ptades
ýRCCTRAIý: ^ U. C. J. F.
o,. ci, urw 1ieu ciu
oi
j,. nvier au 2 f ývrie r. Aprèscieux
ansu'
i. il ter -ruption,
-i- -reprAnu vit:: Sou pru"-, réu_i: ie est i.. ciQ-IliflCiue. ! loua
noue
y rendrons noi.. braux, afin u. e :., win "- terii: r 1, reput4ition que nous noue
SG. i... eS fclt, e.
LES CULTES DE L'ALLIA: '', ICFI.
.., auront lieu du lun(li 6 jar: r_F: r au dirýwnc.. e 12 jan-%Ti. er, tou`3 le.;
soirs. - C(ý*ttA éLnnr'-A, ilo
de nov. v'eau un effort
tion de 1,: L pýir t (le nos
éccl, ýsi
ý-vst:. ques. Amin, : -E; se-von:;les coirs de ce ý ýe £ie!. "ý, irlp ýLf ]. n (te
pouvoir répondrA ý l':. mritýLtion qui nous est ý:, (1Me 5af? P, ,
Les unicanistes dont les noz: s suivent sourïtitPnt un sincère bon : loPl et font des voeux pour une anncP :., eillPUre à tous leurs aria. A cet ; F; cýc "
casion, ils paieroiit fr. 1, -"- en faveur du Gov_veri-,;.,, il,
W. Arsaré - J. A. t3ýc: rii;. u1 a- F. Bel jeý.. n ý",, Bon Doldsr
" C1ï. iw. erv
-, .,
J. -J. ý.. Ary - R. ýHxýwxi -- P. I'lac,
leý - J. G{-t.. ý ýirer A. ýic. us: 3Pi1Hr
A. F.
l: ýuaýer, er
-J.
ïieiu J. P. t-.. 'iAic - G. I+u; us21i. I1
- H. JýýýTet
R. J. LiïluE; r
- J. u. e ..: euron - P. ýtcbZiýïP. ý
ýû.
ýurltwiïuvn
- B. G. Perret-P F1. E3_rH. rL'
A. Iýos. ýeý -- R. SCýaleiuHý - S. ScýýrýHýcýer
- tÉ. Scýlu, iÎýGHï - A. Scï1:. uPy - F. Sc"lluep - F. Seilei - r7.1ý, . riasý, - F. i_c, i;. Ht - G, Ver: "ozý -
J. P
zt; ýL, ýlen.v ce Miontmclsin ý v-ablen
Voeux
ciu
CýLzicon de Vau(!. (Prix 2 fï.)l. "wurice André,
._, _ ý". __ ý. (ý,,;.. ý --- ý . _. .__
I, ti
C1P. GUL"1 (iJl %£.: 1A 41ï. ). Y.. 1'
. _7. p Pa lrcLn(ýe
î.
du VU 1 de Fuz. (Prix 2 fr. ): 1Prnc ;, rcý :: c, rlljieElc r.
---
--
AS--TU FAXE TES CCTISATIC, IS POUF 1 4O ?
1
Numérisé par BPUN
MESSAGE DE NbýCL
soyeux Nôel Une fois de plus; ce soupait ancien e': toujours nouveau va reteni- sur la terre. Pourtant rien dans nos circonstances
présentes, ne nous incline à la joie', Au contraire. Tout nous prédispose à l'inquiétude, au mécontentement, au pessimisme. L'avenir nous apparaît chargé de menaces. Il est vrai que les fabricants de plaisirs abondent
et trouvent encore une clientèle nombreuse. D'autant plus nombreuse que beaucoup se disent :" Mangeons, buvons, dansons, amusons-nous. Qui sait
si demain nous le pourrons encore ?" Mais de tout cela ne jaillit pas la joie vraie, durable, dont le flamme résiste aux vents hostiles. Ce
ne sont que feux d'artifices après lesquels la nuit redevient plus noire
Aussi; quand nous disons : Joyeux Nàël souhaitons-nous au- tre chose qu'une joie éphémère comme les bougies des sapins. Si ces
mots sont autre chose qu'une formule banale, ils signifient que nous formons pour nos amis le voeu que Noël soit pour eux l'occasion d'une
joie réelle dont il restera quelque chose quand la fête sera passée,
dont il rejaillira une clarté sur leur vie entière, même et surtout si elle est faite de soucis et cache quelque peine profonde.
1
ESPOIR QUAND MEME
Bientôt, malgré le vent de haine qui souffle sur le monde, la voix des cloches de Noël traversera nos villes et nos campagnes à grandes enjambées sonores.
Peut-être les hommes feront-ils trêve un jour et une nuit
pour ne pas insulter au message divin 1 Peut-être tiendront-ils quand même à respecter les chants des anges, et n'y mêleront-ils pas le
sourd vrombissement des grands oiseaux de métal qui sous leurs ailes portent la mort ' Peut-être que partout, à Noël, far un reste de pu-
deur, on laissera les églises tranquilles . Peut-etre que, pendant la longue nuit sacrée, les petits enfants pourront dormir en paix, ceux dont Notre Seigneur a dit qu'il fallait les laisser venir à lui ;
...
Mais les souffrances du monde, dont nous n'avons eu jusqu'
ici quune très modeste part - rien, en comparaison des autres - ne sont pas finies,,
Il ya partout la guerre, des ruines, la misère, le sang,
l'angoisse et la faim. A vues humaines, hélas ö il ne parait pas que ce ces choses approchent de leur terme.
Nos soldats veillent. Nos coeurs sont prêts,, Notre pays attend, Et les espoirs ne sont pas morts, Non 7c)
L"espoir que le monde sortira bientôt du cauchemar où il se 'l
débat.
L'espoir que nos enfants ne connaýtront pas les horreurs de cette laide époque.
L'espoir que la doctrine chrétienne, faite d'amour, de com- préhension, de sacrifice= de bonté lumineuse et d'entr'aide agissante,
retrouvera le chemin des coeurs et des esprits humains.
S'il ya une patrie où ces espoirs doivent encore palpiter, ciest la nôtre, qui a reçu tant de bienfaits et qui fut jusqu'aujour- d'hui si miraculeusement épargnée ô
et)o 1941
Voici la nouvelle année qui est de nouveau à la porte. Bientot 194o sera dans le passé et s'éloignera de nous. C"est le moment de récapitmler ce que fût cette année de 194o. Que de résolutions prises dans le secret de nos consciences, en communion de Dieu; et... que de manquements ô
C'est aussi le moment de s+armer pour une nouvelle année. Luttons, prionso'
Numérisé par BPUN
A/oFre
`. 0
/)ii9-,urle JbeFcfe
1C'itde
/lloé'l ýcýr sc>s ýýýýiý1GrPr
e[` ýErirýfai77r/1PJ ý lle se
dérCU/eiaýL .
. 54iýýpdý , 2<Y
-De, - .
0ý
chez
Tovs cPUx 9u/ " inf dývier
de ta cordiale J-1127plzclt'e. ' avgc
/701 a/77iJ kloufjemer nov r crccve77tP17t , je iéidvi r-ý
Ser1/' rar avaiý<e de cet. Joýreé iin- à 7f4e// e_'
/9oUJ JPi ý/ýJ I)Puý'Cc-/x G% Pi1fP/ýdi e, aG/ PIý uCJ ýOCiPý , Jý'OCýUC1`7vnj c/c l0 ýJOrf` f/2 Cý'uX clac 1/Utý'Cxi-Di7C` 6iP/7
P/ý CIýJýJOrter ,
Le ýýi P rýdeýzf Àr%o/ e. 1e cye /9ý 9 u1 ýoovrra
1,9/'PJPnfe 0 Cý1ýe p<e-oJ/o/7
,
pour j"c11î 17ovveau ,
E! é
vom - iýourcrudeiJVS dPý 1. 'ýaux tP1'l'PSfiPf <v/ýs - /ýou. l
avdPJfvý
c1ýPJ 12? lJ e! 'eJ de Ce 1ý'7Q/7de ; ýo/77i/7O/71 leJ GýJJý.1, lýJ ýU/ýýq//7Qi
Pý fPs /wfi'e ýý/ %rPf ý' Pýa/7co/ýf -/ýovt ý/P/ ý ýFJ Jviný7ýets eist olec((eS
où i, 0/97e- ta IiecPJSal/'e-
cr`Jo v/e ,' ov ée coevr
r21ýcvýýlre ýej Jou fflPj dwiiýr qui All' réveýPnC` ýPJ /770éheur, r
de j, 1T41/770/21fe
, c/PJ aJýý/rafionJ /ýýviýýa/ne t eF te i-en7 -
ýý! J 1P/? f
de 0'
1, Pya/d de C'ou. rýPs
TUUT HfJ LO/vç' DE L'AN/Ve` LýJ f0%`1MýRýý1/VTJ 0/-, '/ J(/NL'/VT NUUJ JNT S041*
TENUJ
. _P_ýOý
/ rUNý ýL Cý TTý Dý/ýNiL= l, ýL ý^ýN/n/ýQ FYX/ý{7 [. C-, j' rA VORI. f ER
.
DE F ET Ef
r-l\ Î~ (
/-'` A -. \ f- /, Î1`/ r-, ýr1i r- t1
ý CADEAU>'
ýJý ý\
MODE 5('ES'.
vous ti-ovvC-z
CoVLd lCt
/_YýC)u- e/ýGPi P'1A 17
ýos coý; BUý 7"ýýLL. S CCýI`ýýU1 ý1 ý3L. ý.. 1
ý ý/-ýiýl
.1 ýoý`ý ý s, iý ,
i NT_ 3L/-\ 1Sl!
AC/ý a
voi Alýl '
del7uzilzdPiXi Ze4 %/ieccaýýra ý..
de" ý2 ýCPi
dý , GCt C_ý'ýJýý? /ýG PJ -t-
REPAU DE FETEJ ?
REfTRfCTlONI ?
U/? e
solut. oilovo1la6le
vous estl {vu iýie
ýr !tr
17ler ve(
euxe ala9er
de C4 /79a/1 oH
PRIMEURS
T. 7.52,42
Po',. 1 FZ LE---9
IETE5.,,ÿ/-0/7d ChoiX de
C ! G/aR EJ Pr CiGA RETTE-J
en boi tP. s .
O
@N
mý 1
m
No 2
ýýý--ý, ý ýýýýý`ýýýýý
Il"
Pý
^_
ýýýIIIIIýljýll, l, uu6i1ýý
- uualt ý
_A. --
IK\l
ES UNI. ONS CHRÉTIENNES DE ST BL-AIS
Dixième année Février 1941
Commission du Gouvernail t Arnold Haussener & Henri Tavet, St-Blaise
Looal U. C. J. F.; voir le pro, rarmie ai-dessous. Séances : raeroredi 20 h.
" U. C. J. G.: chez Arnold Haussener. Séances samedi 20 h.
\~rF/i
ýý ýtýý,
, r_ý_ýýa: F ýýxrýnr 0 (n:
ha17. AÄ1e9a riw VA , ]rr1VI ) ýýý
1419rQ1Ellll ý! 1çY11gi . ývýsv. + +. r. +.. w. .. ý.. . +,.. +i
TRAVAUX MANUELS
. LECTURES. CHAIdTS.
amedi 1er et dimanche 2 février : CAPtP DE LA SAGNE.
:. ýýIII`ýiïI
8 février "IL EST DESCENDU AUX EIIFERS" . Etude de Geor ee Huguenin.
15 L'ASTRONOMIE. Cofférence de M. Senft, de 1fontrni-- rail (II).
22 PRL'ARATION DE LA SOIREE D'ART POPULAIRE (qui aura
lieu le 16 raro). CHANTS. (D'une xatxist participa-
tion nombreuse à cette séance dépend le succès de notre soirée. )
12 Il ; (ohez Mlle Guý ýer )
WILLIAM BOOTH, FONDATEUR DE L'ARMEE DU SALUT.
Causerie de ILýe cie Meuron.
(chez Mlle Schneider)
LA HONGRIE. Causerie de Mlle E. Schneider.
Numérisé par BPUN
C APJMP DE T gV NNTES 1J)41
Culte du dimanche matin Présidé par Monsieur'Courvoisier, professeur de théologie à Genève. Texte:
; 'Sur cette pierre je bâtirai mon Eglise; et les protes de l'en- fer ne prévaudront point contre elle. " Les seules Pierres avec les, quelles le Christ peut édifier son Eglise. ce sont les hommes qui
l'ont reconnu comme le Fils de Pieu venu cour sauver l'humanité.
L'Eglise véritable ne peut pas ètre en paix avec le monde. Si elle ne passe pas à l'attaque, si elle n'est pas militante, elle n'est
tout simplement pas une Eglise véritable. L'Eglise ne peut pas col- laborer avec l'ennemi, elle ne peut admettre aucun compromis avec
le diable. La guerre qu'elle doit livrer doit être une guerre tota- le dans le sens le plus absolu du terme. Le. monde, lui, n'attaque
jamais l'Eglise directement. Il lui demande simplement de taire le message qu'elle détient du Christ'. Mais une Eglise quise tait et
qui ne se mêle que de ses propres affaires sans se mêler de celles du monde est une Eglise du diable. Satan profite toujours des-mo-
ments de somnolence des chrétiens pour faire triompher le mal dans le monde. Quand l°Eglise reprend consience de sa mission et qu'elle
se réveille, elle at-aque et le diable doit licher prise. Ce que Chrit reproche le plus sévèrement à l'Eglise, c'est d'être tiède alors qu'
il faut être bouillant ou simplement ne pas occuper la terre inutile:
ment.
Ne craignez pas ceux qui peuvent tuer le corps sans pouvoir
tuer l'âme, mais craignez ceux qui peuvent tuer le corps et l'âme.
Le compte-rendu du Camp de la Sagne dans le prochain numéro. ) Nouvelle recrue pour l'Union cadette... Au début de janvier, Georges Perret eut la joie de souha. ter la-bienvenue à une petite Françoise. Nos félicitations aux heureux parents.
Echos de l'assemblée administrative.
Sur proposition du cgmité, les lzni. on sto, s ont à l'unanimité nommé membres honoraires de l'Union : iI&x Daiber, ancien et premier Prési-
dent. Paul Vaucher, animateur des premières années. Fred Dubois, gai et dévoué compagnon, au crayon duquel nous devons l'entête si carac-
téristique du Gouvernail. Ernest Juillerat soliste regretté et orga-_
nisateur émérite des soirées d'art populaire. Jean-Louis Zwahlen, ancien membre fidèle et défenseur de la cause cadette.
Témoignage de reconnaissance envers ces amis dont le souvenir est encore vivant parmi nous.
Aucun changement dans la composition du comité. On y est... on
y reste... la place est bonne I Pour mémoire : Président, Willy André, homme de lettres. Vice-président, Walter Dolder, diplomé de l'Union
Suisse des Paysans et président du groupe - Vieux garçons - Caissier,
Georges Perret, (P On dit qu'il faut trois Juifs pour rouler un Sagnard) Secrétaire, Fritz Seiler représentant pour Saint-Blaise du pouvoir
législatif, démissionnaire: du groupe - Vieux garçons - Archiviste,
Willy Bon, serviteur zélé de la Patrie, En campagne. Assesseur, Jean- Paul Held, représentant de la presse. Délégué cadet, Georges Huguenin directeur et S' mômard"
Numérisé par BPUN
... ý ý . ý. ý, xr
ýJit'Elýi LC Vf: iý. lýlïïý". '"
. rJ
n t-.
r*cw `# _, % ýe
ý L
-U
r--% ( ý1- ;;
l*---lýd;ii! r` 17 ý. li' ý af %e
1, ý`,
_°5 ýý 1(... k ý !w 'ýý i 1ý 1--2,1 U
FWl?: IER : ý941
B'ýýLE; T1iýT MEIT UEü D1 iý'! {J""^f CADEPfE Di: JEUNES GENS DE SAID: f6B'LAISE I,. e ww"éion : Sapin et Eilrehe
Chers cadets, au. eoaii dune nou : ve_Lle année, à il oooasion de cet aniversaire
Le rlâiron Bleu. es, 'ý h6 4reuý. de -tous souhaiter ses vooux sincères. Chaque ann6e vous reo evez un mo"t d- ordre, et su. r" cs sujet-i, que nous vous parlerons av. j ouxd i hv. i .
POUR R: ONSfRUIR. E - RIEN S. ANS DIEU
Gesrrçuelques mots ssxnlEnt a notre poque un peu. déplaoé?. En effet partout autour de nous, nous ne voyons que dcno'_ition sv. r démolition. Seulement arrivera bien vn
un jcur '"ù tou: tss ces abc ýinatioýýs oesseront, alors une grande are de reoonstru., tion
, ndf. tra. Il en va de mèms pour notre Union Cadette. Nous venons d'avoir une année p6-
nible; nos ef'foutifs one", diminués : notre Union Cadette a risqué elle aussi de s-ef- fondrer. Mainisna. n nous devons nous efforces d'amélioré notresitvation. Cadets,
l'année 194: 4 doit ère pour vous ur. e année de reconstruction, Cadets, afin que notre Union devier. ne ±orte, vous dcvez lui appor'cer toute votre aide, si petite soit elle.
Mai s notre oeuvre de rooonstru. otion sombre'a rapidement, si vous ne vous appuyez su. r Dieu. qui est no-cre force. Rien sans Dieu. ; l1Union Cadette de Saint-Blaise perd sa
raison dletr"e si sue oublie ce mot dordre. Car avec Dieu nous iront lo(n, Il sera notre soutien e`c notre protcctsur, et I'. ne nous laissera point sombrer. 1 4Union
Cadette a donc main. en. ant u. ii but bien arrêté. Elle doit affirmer sa foi absolue en Dieu. notre père, e cade ; n' est pas un itôn ier; 7, c'est le doldat d'une noble cause
qu'il s'agit de faire trionner. La -victoire est sure et certaine. Cadets, le moment est venu. de travailley po-? r notre aouvement, loin des préjugés ridicules q. e cha-
cun acccmp fisse sa mission, ! attirons à notre cause dtau: txes oazarades afin de leur apprérdre notre gre. nd mot dordre ý Rieii sans Dieu..
S.
ErN CIUýýi: lýSSiý
Ncus tenons à té*noignor toute notre reconnaissance à 1' egliae irdépebdante pour 1'amabili; é avso . '.
_aclue'.. la et so a bien voul ha salle, à lf occasion de notre fë-
oë`C'ri p
te de Ni;
L'Ur.: on C de . te ramcroie encore bien sincèrement les parents qui nous ont donné pour ngrc;; ientex cctbe eha- mante soirée quelques ', douceurs" qui ont été, ajou-
tons-le fort appréciées:
N oUs'7 SUS : nf. orm. or_s que quelques muÿati ons slétant produites parmi nos ins- tru. cteur, Jez. n Picý re Lýva. iý'_en a. repris -"équipe équipe di Haucerive et Georges Huguenin
-les équipes du Bjuq; no°,; in et des I: 'TeyT' uriers,. (2 irýtru. ateu_rs étant en dong6)
J
Nos vouo ravne-,! ons -De ootisations
rt mý i nie»a. r_t C Rr ; 'ý. iýtS
.., 4
le cha-G et les souris Voici ïýn
problème qui es-, cä'une
simplicité enfantine, il faut dong essayer de
trouver la so"Lu: cion sans crayon ni papier, mais je vous avertis qu. 'il renferme tan piège.
Si 5 ahans m<. _igent 5 sov. ý^ s eu 5 minutes, combien faut-il de chats pourmanger
103 s 'vris en 1v0 mw-. utcs ?
Avant de lire plus P.. vant, essayez d'en trouver la solution, au besoin si vous sen- tez qu vous ný s', es p^. s maître de votro curiosité prenez une feuille de papier et oa-
ch©z ce oui penda: _t Gu. e vous cherchez à r6sovdre ce petit problème.
iveL--vous trua. v6 ? Cu. i ? Alors lisez la solution qui suit et comparez. Non?
vous donnez votre langue aJz 5 chats " Ils n'ont plus faim, je vous avertis. Eh! bien ? Il faut 5 chüts0 En effet, un chat mange une souris en 5minutes, donc pour man-
ger 100 so ris en l00 ninu: '0es, il fuadra 5 chats en mangeant chacun vingt.
Numérisé par BPUN
cý,, v
... e el
. C-S ectô/? de Coyf f
ci'asseýý7ý1pé a. ýýýue«c au cowr. r ct/e ýoýcieClý
. re---a ée,
t
, JAveC
, Cy r4/7d 'fit/¬.1.3
, oCEais/ô'e'? t coi2vogver4
Quel quos ýensées dý
Chades Wp9t-ter.
---ý-
Les
cri'jef,
il 17e faýf
tbas
le. r`brovo9uer
il r* eh
FrO/j
%U'rler . ZQCSdo/91aux proýhe=
tP, i de nia/heur ieJ
oi nde s/iaa/er
sam1' .r ôaýoiýcPlleýt` ef d2 cerfe le. r nu©9e. r 9411
C'`2/rnrirer f$,! L7H? eJ
tbOr le,
pé/! ent`rP"vut et iej co t`ajfrof, hP. i , bo, rir'b ler . 7rý4/te o1
r/ý om»iQr, /Y faut
,; or`fendre
a` ce 9ý ert hurrtatrý ai neý5As de
/Oi1 -see vivre-
qý ôn
PJCa` f QGri' ýour
éovJ©u/ý1et , ýür du len dý/ýýain ,
çraire.cýu ôiý t/ér/c` ie
, 6a/2 cýie/7ý/ýr et 9u e fý/v" rie» ja/ý7a r.,
ne fbOUrrp 1ýpUJe/i eýrteý ; un e teile
atturonce-
? Ou,, ra/f avc/r feiiYXý
4 eýrorrq' ecueý L
deest qu 'cite
ýrýrývea' selo(, ýer de ý4 Vie
rr
"ý
Pour ýa Cnilf ure
soýnee
}e 5 01011 So+ýne
ý ý
A
ý S I\ C t iýp
Co
1
ý
yy ry "
w'1 m
Q 1
\ ý1 de 1C ý1
ý
E Pl C ER 1E DAMES
eMESSIEuRS
ý. v EP (D N
GVC V VG
- PR L ig nat.
r. de Io Direcl'e zDes Tisanes
, ; CORNE D,. (ýýE F'
Des Siro S,
ffTTOUTES
° ,. De s Bonbons . (ýONSERVES
. VIANDE
DROGUERIE
"'P ), ýý
Ttýt ýý
ý.
rý
(ý 1'
MEURS
ý
I}PICERIE FINE.
ORGANE
1Y ýv
D E S
ý
ýl ; Mww -
ý! ýuüj; ýýl11111
=s- FDu0r3
UNIONS CHRÉTIENNES DE ST BLAI
Dixisne année
SE
Mars-avril 1941
Oc-rLy issio. l du Gcut"ernail ý Arnold Haussener & Henri Javet, Saint-Blaiea
LýDea1 U. C. J. F, : voir le programme ci. -dd. ssous. Séances : mercredi 20 h.
" U. C. J. G.: Vieax-Oo1i e. Séances : samedi 20 h.
j.;.. z-.: r. cýr-: a. -ý--ýa.: r_-ý: -ý.. ý--_-. ý. "_"--. --"--ý. "__.. __r-_
U. C. J. G. PROGRAMME
e ---r---
Sa. Fdi 22 mars : LE CINEMA. Donfé::: enge du Plt Robert.
29 " NITRE POT, NOTRE ACTION. Etude par Arnold H ussener.
?'5a, ril: REPETITION de Notre soiréée d'art populaire.
" 12 " :" VEND"R. EDI SAINT ? PA. QUES ? Etude biblique de M. E.
Terrisse.
" 1. s ': FE ET TTI CN GENE--LUE DE NOTRE S OIP$E D'ART POPULAIRE.
Dimanche 20' avril : (au Temple) SOIREE D ART POPULAIRE.
Samedi 26 avril CE QU'EST LA D. A. P.. causerie de Henri Javet.
. I`T '
ýAý'ý ,
ý,
U. 'Ilo J. : P. 1 PROGRAMME ; '' LE)
w
... . __.... 4 ý,. \_Uc'fAV% . ýi
{ Me,,; rodi 19 : aar6 : pas de séance. Conférence Gabus kl'a Salle de la Cure
1 ndépendante.
26 ", : (chez Mlle Held) Etude biblique de M. Schneider,
pasteur.
2 avril: (chez Mme de Mouron) ETUDE DE CHANTS.
Semaine de Pâques: Les unionistes sont invitées à assister aux cultes qui auront lieu au Temple.
Meroredi 16 avril: CAUSERIE DE Mlle Guýer (chez elle).
" 23 ": (chez Mlle Held) Entretien sur LE PARDON.
" 30 ": (chez Mme de Ptieuron) DIVFIRS.
N'OUBLIONS PAS que nous portons le nom du Christ. Sujet de moque- --je autrefois, il l'est redevenu de nos jours. Souvenons-nous que les
insignes de la royauté de J'éeus étaient une couronne d'épines, u7j man- teau écarlate et un roseau dans la main, et que son titre royal figu-
rait sur un écriteau attache à la e; aix. Mais Son nom, dans la gloire du Père, est pour , ^eluS qui 11invoque avec foi, la clé qui lui ouvre la pléniturle de la vie éternelle,
Archimandrite Cassian Beaobraeov.
Numérisé par BPUN
CHEZ les JEUNES
Les présidents du Faisceau de Lausanne des U, C. J, G,, membres de l'Église du Christ, ont décidé le 9 janvier 1941 d'exprimer leur foi en ce qui concerne l'avenir de leur patire et de préciser quel-
ques-unes des directives qui doivent inspirer leur action civique en cette nouvelle année. Nous en donnons ici les idées princi)ales.
NOTRE FOI.
Nous croyons que l'avenir de la Suisse est entre les mains
de Dieu, et c'est justement pourquoi, en nous soumettant à Dieu, nous nous déclarons prêts à défendre le pays, par les armes s'il le faut,
et jusqu'à la perte de nos biens et de notre vie.
Nous croyons que notre Dieu établira, quand Il le voudra et
comme Il le voudra, son règne de justice, de paix et d'amour, et cet- re foi meme met en nous la volonté de lutter ici-bas pour qu'il y ait plus de justice, de chercher passionnément la vérité, de désirer déjà
sur la terre et dans notre Patrie en premier lieu, que l'amour fra- ternel inspire les relations humaines. C'est pourquoi nous voulons
rester libres; libres d'être justes, libres de vivre dans la vérité, libres d'être fraternels et charitables. Nous le voulons pour que notre conscience et celle des enfants que Dieu nous confie puisse
s'épanouir librement à l'influence de l'Evangile.
NOTRE ACTION.
La Suisse, notre Patrie, demande
Une jeunesse soumise à Dieu. La connaissance de Dieu par l'étude de sa Parole, par la prière, par les entretiens fraternels,
par le témoignage fidèle doit rester au premier plan de nos préoc- cupations.
Une jeunesse robuste. S'il est #rai que notre fidé-
lité à Dieu s'exprime aussi par notre volonté de défendre le pays,
il faut que nous nous préparions à mieux accomplir ce devoir en as- souplissant et en fortifiant notre corps.
Une jeunesse qui travaille, Nous devons chercher à déve-
lopper chez nos membres la notion du travail qui est une valeur so- ciale et, pour tous, un devoir civique de premier plan. Nous ne tra- vaillons pas pour gagner l'argent qui nous permettra de faire du
sport et nous amuser : nous faisons du sport et nous nous reposons pour pouvoir mieux travailler,
Une jeunesse qui accepte les responsabilités familiales. Nos membres ont des responsabilités dans leur propre famille. Ils-sont
responsables vis-à-vis. des parents âgés ou malades; responsables vis- à-vis des frères et soeurs plus jeunes ou incapables de gagner leur
vie; responsables de l'esprit de la maison qui doit être un foyer et non une banale pension alimentaire; responsables, par leur attitude
à l'égard des tentations sexuelles, du foyer qu'ils fonderont.
Une jeunesse sobre, on a beaucoup parlé de la
préparation sportive des soldats finlandais, pas assez de leur sobré- été : l'alcool leur est interdit, La lutte contre l'alcoolisme dans
notre pays est aussi un devoir civique urgent de premier plan.
Une jeunesse qui chante. Une jeunesse soumise à Dieu, une jeunesse robuste, une jeunesse qui travaille et qui aime son
foyer, une jeunesse sobre est, tout' naturellement, une jeunesse heureuse,
". une jeunesse qui chante. Et par des psaumes et des chorals
entonnés à pleine voix, elle chante sa foi, son espérance, son amour.
Unionistes de Saint-Blaise, pensez à cette page, ce sera le sujet de
notre soirée du 29 mars. A Haussener
Ils étaient trois cent mille.
Trois cent aille électeurs ont vote en faveur de l'initiative i? e-- Val, Trois cent r. iile qui n'étaient pas tous fabýricants de sciuiape, bouiil-- leurs de cru ou si. rlpleg aL. ateurs cd'e,. u de--vie. Trois cent mille qui n'ont
respectés en rien les ncts d'ordre des partis, des , --ouper. ients E; conorýi. queL
et de ?E ; 11 Se . 3. Trois cent r: iý le que no. 3 Confédérés aprellenz des ''Jý, saý; A. ""
A non des "i3ei11su Pis"
Alors
Si l'on est superficiel, on se cira : "L'initiative F'eval a été
repouss4e i O, OO0 voix de r. ajorité. Tou', est bien". i't l'on 3e 1"Ando: "-- mi ra.
"3i s si l'on r4fléchit, on t'oIL-ettra. L que notre peuple cioi. t Âtre perp°tuellerent rééduqué dès qu'on veut qu'il soit pénétré de la valeur
de l'intérêt public ; de plus on sera moins porté flatter l'F: lecteu-^
qui se croit un maitre et qui souvent est un jouet, ne serait--ce que cde
son propre esprit frondeur On tiendra con. pte aussi de l'averti. sser. _ent re""
çu, que les citoyens subissent difficiler.. e, tt la contrainte bu, e,, Lu, cratique,
et l'on aura la sa ; es ;e de ne pas les tenir en bride plus qu'il n'est né""
oe , aire. Surtout, l'on de, inera, sans parcirsonie aux F lises des r_oyene d'action effectifs, e; le pays s'en trouvera bien.
(G. B.
, La Vie
protestante.1 Ecoutons M. ý: a-rc 13oe , i1e-r
pre, jiuent
ue
1. PeLerýtioi, protestwnte de Frdnc qui donne a, ctuAlle . enz a
iarc io frwnçaise
Les pï u1c dons de cd. MÂL. eport4nt
aur iesu. -
jet énéru, i . "Les icLuies nouveaux`.
Lernit; ree
CdL'. se ies : , e'3 VAn(. iredja21,28
ruuxs
e-c 4 avril,tee 17
î. 5o a 18 r.. 25.---
Q, ui nous roulera la pierre ? Marc 16; 3.
Aujourd'hui, ils sont nombreux ceux qui ont une pierre écrasante
sur le coeur, l'empêchant de selivrer à la joie de Paques. Les cloches ne leur disent plus rien. Le tombeau est bien fermé et garde sa proie.
Qui leur roulera la pierre ?
Il ya d'abord ceux que rongent les soucis de la vie métérielle.
Une angoisse les étreint. Leurs chants et leur prières ne peuvent s'élever.
Il y aussi ceux qui sont écrasés par le souvenir de leurs fautes.
Leur âme alourdie par le péché ne peut prendre son envol vers le ciel.
Il ya enfin ceux qui s'agenouillent sur la froide pierre des
cimetières, pleurant le départ d'un être cher. 1Omort oü est ton aiguillon? "
ii Tout sombre chemin a une issue ou l'on retrouve les clartés du
ciellI(Lamenais) Dieu a fait éclater sa puissance, Jésus est vivant. Levons les yeux et croyons i
A Walter Dolder, Président du club des vieux garçons.
Mon cher
Les événements se précipitent et si tu veux m'en croire, tu ferais bien de proposer sans plus tarder la dissolution du -'Club des vieux garçons.
Après la démission de Fritz Seiler, une nouvelle sensationnelle va
réduire une fois de plus l'effectif de ta société. Jean Held qui semblait invulnérable vous lache avec joie. Il a si souvent visité le Temple du
Landeron et admiré ce beau village qu'il a désiré en conserver un souvenir ''doux et impérissable".
Philippe Kuhn, lui, n 'a pas seulement eu le temps de demander son, entrée; il brûle les étapes. C'est du moins ce qu'ont remarqué quelques
unionistes en voyant notre ami parcourir les rue du village tendrement accompagné et sans observer les distances ".
Peu donc te restent fidèles et tu expérimenteras une fois de plus la constance des amis du célibat. Me permets-tu de te donner un conseil ?
Ouvre l'oeil, le bonnet f ai3 comme eux. Arnold.
AT TENî100 Ve/? dredir7
.. _ ... ý ,..
aýýO /. fi e. r prPU. reý chez ti. . 7011et, ÿid ýfýue 13., avec i'oedte du Jovr 1ýnfiýfcreý ef éýo%orofiôrý cýu ýoyramýýýe ýyý1 ., Le coi. uéeý- eh coijjPro ýý cot`ýfal`iôh 4hnu ýlýe ýfr,
D'une re'éPiif e cýý"ýu/o/ic. dc/ C C. de /4 /-; /1. l/. R. /ývui eýfrayonJ /eJ Poinh sulva/7tr ; iler ,. r/ a éée' ýiýpoffý. ôle de / él, v/; ro9er.
f1 ster»//ee del dP'Ieq4lpJ eý
CouriG .ý
7olllende.
d'e! i :ze C/u6 RonlGert o r»oýnte -
nv
1017 oýfi'ede
/PJorqoJ7ýler /o
dntce/l
pJf fiXeeaux 144 cF /S ý7uin rrvthnýn
eF CQ
cou/'JG pcJrn /iýu 9ue/9ueýýorrý/ý ', etere.
/tü9a/7(PJ : Lei cor»ott`er /939 -4-0 Go4Ic/e17f `ior um /jýQr ljoný . .
21-Ilds f1u ý`u6de
elýcourr Je n, o r au 3/ . DFC
. o` Fý"ý. 4-SJJ; 4o
," aucune, dpn2onde dt
5ecour. r n'Q ét'Q /oi'iii/e.
,
-/-? /ý/{-U
.
/, ' jý ' /" `'.
/h, r/ý . Noc/1 PJ
tron! yuvvi/" /yýa/ýi. tPr ýr/ýouveau
cPftý2 orrneeUATP EA LD RC- s g:, E--- Eý, q,.. UI_. SE COMPLETCNT:
POUR ET RE BIEN SE PVI, JE VAI5
chez
E7- VERRON
EPIC E PIE-
SA 1 Jr- 1E3 LAI SE
Jý
'N%'ADF? ESSE
Au
.ý
ALON DE COIFFURE
ý. ý/
POUR DAMES eMEjSIEURS
(` r-- en n /- r_' G\/ I-- 11`/ [Z
-
r-, Dr-
-: -- 1r3, i i1 -7t-
`
ýý %a L. vn vý_, yJ v w,. VV t_.. "` I- C 11 ý, i ! -i H1i. \
ýPOU R- rTPEE r3i EN saIGNP,
ý 1
N_E DES UNIONS CHRÉTIENNES DE ST BLAISE
. (-(
,7e(, (7
PROGRANIDTE
J. G. : ßâtinent ua 1, t COT130Lü:: utiUT1, Suint-Bïr4isA ý
léancPS U. c. J. F. : r:: ercrF)cii. 20 h.
Lt .ýý4
5
!ý
ý
re ri sý :
par 1,22. W.
Octobre 1941.
And. rs T2. ýie 1Q lnion vivante
ý_ _- , aod
U `'`V &a , aratiluii -, - E, iArr1f38H
i ýý
--
ý- -
J
ýýý- .! ýý
. Volle du , éressunts
sera sv. ivi , d'un entretien)
'aL,: ilière U. C. J. F.
J'. -P. lield G. Verran
G. Huguenin.
it la Cure
W. Zwahlen
FRIERE' DES U. C. J. G.
, ry & S. Schneider. Collecte reur du Coziite univer. 3el.
La question (les ýýriagHS mixtes) 3se .
No 1; JEATJ-SEBASTIEl BACH.
1le S. Gigger.
elles
les révolutions, si s libè""
R5ne {-Faisan. Qu
- elles sont nece5: 3aaireS et
v- -11P; j eclairPr_L, . 9-L
`ýuý1zP
ý;
il vaut Pieux en pren r. lainý liées.
t9 de
airPr_t, SI +o^1' P ni, se lc1i: i: iPr LleyH1' 1..
C.
la va. v., . y... -. --
V.
ý C
'ý'ý! Îllillllllýlilý wI ýýýý
ý_ -F 2w844
ORGANE DES UNIONS
1 1; o 5
N
CHRÉTIENNES
Dixi èr.. e urinée,
.. w. - ý": Ri-a%. 'ýýi'Z"'ý+. ZY'.:. +c-ýV'-ý4}dYCa^ý'ýsý
RP, CLaCte, UTS ciu Gouvernail : ArnolLL iii us. ýener,
D E S B LAI SE
Octobre 1941.
1\ý_ -- -'
. -. n.. 1_..
... C1... 4. "D".
.1-
"', Local U. C. J. U. : bâtimenL uF: -La S°ancPs U. C. J. G.: Sanie cli 20 h.
ý... a<x'ý+týe. sý+. nrt*yºý
Sý; ances U. C. J, F. : rercrE)cli. 20 h.
U. C. J. G. PR OGRAIJIlIiF
-'---t
incîépendantP .
entretien)
Samedi 1 nov.: Pas da séance. Soirée far:. ilière U. C. J. F.
pur
tiii. W. Antire
1. Comment rendre l'Union vivante T2. Held
2. Le rôle et la pré aration des
Etud. e s bibliques E. Terri nse
v6 Une conception nouvelle du
Gouvernail J. -P. Held
4. Des progrumsaes intéressants G. Verron
(Chaque introduction, très courte, sera, suivie d'un G. Huguenin.
SaiLeji 25 octobre; Importante séance de, reprise Introduction biblique
introductions sur :
fi 6" MI1 METIER. Causerie cie W. Zwan]. en
il 15 il
it la Curg
Etude par IM-1. J. -J. EL. ery L S. Sc11neider. Collecte très recoL. I:: cLndée en faveur du Cox. ité universel.
11
il
22 " GERTRUDE ET LES SIE7. dS ( L. question des niuxiugE; s mixtes)
29 u
SEMAINE UNIVERSELLE DE PRIERE' DES U. C.
Exposé par M. E. Terrisse.
Le musicien protest,.,, iit No 1; JEATN-SEBASTIEIT BACH.
Causerie-audition par Mlle S. Gugge: r.
Une ene e de RYné isn. Quiimportent les révolutions, si elles libè-"
rent', si Alles eciairPnt, si elles an. eliorent ; elles sont neces aaires et inévitables ; il vaut mieux en prendre la tête que se lai33er tirer a la remorque lei mains liée 3.
Numérisé par BPUN
A=d tr U1i21d'Jul s
C'est le moment de reprendre notre activité. Il faut que celle- ci soit féconde cet hiver. Nous ne devons plus nous permettre un
laisser-aller plein de tiédeur. Notre paroisse e besoin d'hommes
pleins de foi et d'esprit de sacrifice. L'Union peut fournir de tels hommes, A chacun d'entre vous de le montrer parmi nDs pr'-; chains.
L'Union chrétienne nous aidera ày parvenir. Mais pour cela il faut que nous recevions quelque chose de notre groupement. Or, vous le
savez, le meilleur moyen de recevoir est de donner. Si nous voulons recevoir des forces de notre société, il faut que chacun s'en sente responsable et que chacun y apporte le meilleur de lui-même.
Pour reprendre notre a-tivité dans de tels sentiments, nous
avons pensé qu'il serait bon que nous nous réunissions tous en une première séance pour discuter ensemble de tout ce qui intéresse la vie de notre section. Le programme est donné au recto. Les introduc4_
tions seront très courtes, la discussion pourra donc être
abondante et féconde.
Il faut que chaque unioniste se fasse un devoir d'assister à cette séance. Il prouvera par là qu'il se préoccupe de l'avenir de l'Union et de la paroisse.
C'est donc à samedi 25 octobre, à 20 heures précises au local.
P. S. Que chacun apporte des idées pour le programme de cet hiver.
C'est le premier effort qu'on vous demande, mais non le dernier.
DERNIERE HEURE.
Communiqué spécial du Q., G. du Haut-commandement unioniste : Après de nombreuses tentatives et grâce à une ténacité indomptable
et malgré de violentes contre-attaques nous avons réussi à nous em-
parer d'un local de deux pièces au bas de la maison de la Consommation.
' , ue tous viennent l'inaugurer samedi 25 octobre.
Le Comité
---
Tiré d'une lettre de René Guisan.
Ce qui me frappe; c'est notre pauvreté intellectuelle, le petit nombre des hommes compétents, le déclin des préoccupations de prin-
cipes la pauvreté des pasteurs au point df vue de la pensée et du
travail personnel, l'effacement de l'Église, meure dans notre pays où
on ne conteste guère son bon droit, notre routine, la puissance de nos adversaires et la médiocrité de notre puissance de résistance.
---
Pensée
Soyrns des résolus sincères, non des tièdes ! Foin des mots, dos
attitudes, des contemplations et des extases : Foin des fois faites dF redites, des éteignoirs qui rapetissent Dieu et la vie à leur image
mesquine ; Les actes seuls importent. Pratiquer, agir, est tout.
Prêcher n'est rien. La cnscience à l'oeuvre, voilà le grand prédica- teur et l'exemple vivant qui entraîne
Numérisé par BPUN
S:, T_"i'ý_
L_`3
v- t 1ý: 1`'i
¼. ý ; ý, ---oý
Ootýýýbre 1941.
Bulletin périodique de l'Union Cadette de Saint-Blaise.
Red. Fil, )ce.
J ,r
J, ý; chanterai 1VEternel tant que je vivrai, Je célébrerai mon Dieu tant qw^. j'existerai.
Que mes paroles lui soient agréables Je veux me réjouir en l'Eternel.
Que les pêcheurs disparaissent de la terre, Et que les méchants ne soient plus
'Io bé t, l'Eternel
(Psaume lý4 : 33-35. )
Réflexions d'un aîné.
Tranquillisez-vous, ce n'est pas un vieux " gâteux" qui écrit ces quelques lignes, ma, ssimplement un instructeur qui a six anc de pratique. Cela semble peu, majquand je vois
que certains de mes cadets, qui me semblaient tout jeunes,
ont déjà communié, qun d'autres ont déjà fait une année de
service actif et quo d. 'autres mêmo sont fiançés, je comprends quo six ans représentent, déjà, un temps appréciable qui
permet de faire la connaissance de beaucoup de garçons.
Et quelques fois l'idée me prend de consulter m,; u anciennes listes de cadets et de me souvenir de tous c-s "anciens".
Je les vois, plus /zu moins sages, avec leurs bannes "billes", assis autour de la table du l()cal du vieux collège, ou
bien jouant au Pip'let. Et je me demande ce qu'ils sont devenus.
Il y en a qui se sont éloignés du mouvement cadet, d'autres qui lui sont restés fidèles. Peu importe cela, l'essentiel
ce n'est pas d'être fidèle à l'Uni. on cadette, c'est d'être fidèle à Dieu. Certains, font un apprentissage, d'autres-des
études, d'autres ont déjà leur métier. Il y en a qui auront une place en vue ddns la snciéte de demain (peut-être
même aurais-je un grand homme parmi mes cadets : ); d'autres auront de la peine à s'en tirer et à élever leur famille
(car j'espère bien que, tous se marieront t auront des enfants).
Mais, je vous le demande, quel 'Ye importance peut-on trouver
à ces différences de fortune et de rang ? Pour vous, garçons, et sachez-le, p'; ur Dieu non plus, ça n'a aucune valeur.
Ce qui importe ce n'est pas le succès, c'est d'être fidèle à Dieu. L'Union Cadette estimera avoir accompli sa tâche,
si ses anciens membres, même ceux qui l'auront oubliée, comprennent qu'une seule chose est nécessaire : Etre fidèle à D'eu.
P pet.
Numérisé par BPUN
d 11
En marge de l'instruction religieuse.
Acelui_guivaratifier lev-eug de_sçn_bapteme
---
Cher catéchumène,
Tu accomplis actuellement ton instruction religieuse, tu es catéchumène.
Peur cette raison, je te parlerai comme à un jeune homme.
Non pas pour t'en glorifier mais pour bien te faire comprendre qu'une instructi-n religieuse signifie pour chaque jeune le
passage de la vie d'enfance à celle du jeune homme. Jusqu'à présent ton sort était lié à celui de tes camarades. Tous, vous alliez à l'éc.: le. Rien ne semblait pouvoir vous séparer.
Mais, petit à petit, arrivés à l'âge de l'instruction religieuse, l'un apprend un métier l'autre va partir pour la Suisse alle- mande, l'autre encore fera des études. Insensiblement chacun
se sépare, guidé par son destin. Pour une dernière fois au cours de cette "instruc. " vous vous retrouvez, vous fraternisez. Déjà
à ce moment, peut-étre, tu peux te rendre compte des change- ments opérés entre l'un et l'autre.
Après l'instruction tu fera ton entrée dans la catégorie des
aînés. Dans bien des domaines la liberté d'action te sera donnée.
A cette ép^que tu sreas appelé à des responsabilitée. Des
tâches t'attendent, autres que celles incombant à un enfant.
Elles exigeront de toi toute ton intelligence. A toi de te montrer capable. Saches déjà que tDut ton avenir dépendra
de ces actes. Beaucoup d' aînés regrettent amèrement les erreurs de leur jeunesse. Tire bien parti des expériences et des
leç. -: ns de tes prédécesseurs, Une fois que tu auras trouvé
ta vocation, c'ect-à-dire une occupatbon pour laquelle tu te - sens vraiment appelé, travaille$ ferme et ne t'attarde, pas à
^nvier les autres. N'oublie, pac que bien des personnes sont à ta disposition pour t' aider. Mais sache, accepter l'aide
de cilles qui sont compétentes et sérieuses.
Choisis donc la tâche et le chemin que Dieu te propose;
aie, confiance et surtout persévère. Tu le serviras de cette faç, 'n. Je puis t'assurer que servir Dieu là où il nous place
est une joie pr: ifonde que tous ceux qui la connaissent
d ésirent te communiquer.
Bien à t. -)i. Le Retraité.
C 0NÇ0URSD FIND'Av'NEE
Ouvert à tous les cadets et instructeurs de la section le concours prévoit le dessin d'un projet de bannière
pour notre section. Ce projet portera le texte ci-après:
UNION C3DETTE = SAINT=BLAISE, plus le triangle cadet.
tous les projets seront admis. Le texte pourra être modifié, suivant le goût du concurrent, à condition toutefois de rester dans le cadre prévu.
Le choix du jury se porters certainement sur un projet de grandeur assez peu monumentale. Il serait possible
que l'on songe même à un fanion car±é 50$50 cm. environ.
Un prix sera décorné au p')ssesseur du meilleur projet.
Donc au "boulot" et que les projets viennent en nombre,
afin que notre section soit dotée d'un étendard
nous faisant honneur. le délai est prevu pour le 15 décembre prochain.
Tous les projets sont à remettre chez Filoche, i0, rue des PvIoulins.
Numérisé par BPUN -
ý4 2ýL, Týý_LES COULISSES
Le camp du -Pipelet 1941, groupant une quinzaine de cadets a eu lieu du 14 au 23 juillet derniers. le nombre des parti- cipants s'élevait même à 22 pour les journées de samedi et dimanche. Tous en rapportèrent un brillant souvenir, regret-
tant seulement que ces splendides journées ne puissent pas durer.
L'organisation et la direction du camp incombaient à notre chef- instructeur Georges Huguenin dit Pipo, aidé par notre viel ami Roger Amaudruz dit Bigoule, fonctionnant comme
chef- cuistot.
Outre les parties gaies et les corvées accomplies de
joyeuse humeur, le camp avait pour thème général "Rien sans Dieu"
Chaque jour un sous-titre de ce mot d'ordre était développé au culte du matin par un cadet.
Au cours des nuits de mercredi à jeudi et de samedi à
dimanche, une alarme réveillait en sursaut tous les campeurs;
certains déjà profondément endormis se levèrent de fort
mauvaise humeur se demandant s'ils étaient dupes de mauvais rêves ou s'ils avaient affaire à la réalité.
Le dimanche matin, M. J. -P. Barbier, de Boudry, nous fit un culte en plein air fort apprécié.
Mais le plus grand succès de cette semaine réside certes
dans le feu de camp, organisé le dimanche soir. Une centaine de participants, tel en est le résultat. Notons parmi eux
deux Présidents de Commune, M. André Thomet, de Saint-Blaise, et M. Maurice Rossel, de Hauterive. Le feu de camp était
agrémenté par quelques productions amusantes des cadets.
Un classement individuel et par équipes stimulait vivement tous les participants.
Et le camp se terminait bien trop vite le mardi par la cérémonie de clôture au pied du mât.
Que__DiQu 4ou4, accorde la. possi. 'ilitÇ d'en organisp. r un nouveau l'année pr, chainc, afin de jýuvoir jouir pleinement
et sobrement de son incomparable nature.
Nous avons appris avec plaisir les fiançailles de notre
ami 'î'willy Montandon. Toutes nos félicitations et voeux sincères.
Max Held a repris son activité au sein de notre Union cadette Il sera probablement chargé de la responsabilité d'une de
nos patrouilles au cours de cet hiver.
En collaboration avec l'Union chrétienne, nous avons repris comme nouveau local de séances l'ancien foyer du soldat
situé dans l'immeuble de la Consommation, rue des Moulins.
Les séances reprendront au début de novembre dans ce nouveau gîte.
Sachez ýtre pauvre : apprenez à aimer le travail, à respecter celui des autres.
Une institutrice rondillarde se livre, dans sa classe, à des expériences sur l'esprit de ses Élèves. Elle pose des questions et note les réponses.
Elle demande :
- J'ai un canari ; il sait faire uno chose que je ne pm. ais pas faire. Qu'est-ce ?
- Prendre un bain dans une soucoupe, mademoiselle, di t Tcto.
Conýuýaison
Le maître .- Toto, quel est le passé de'je m'éveille" ? Toto :- J'ai dormi
10 41. =--=____-_
Numérisé par BPUN
de la prochaine course d'Alpes, nous ne seron', pas mais beaucoup plus
Course du 1
-ois,
--- --
Le Frésident.
Dimanche 26 Octobre. SORTIE-.? OUSSETTE tracitionnelle. Org.: Les papas.
Rew. voi éventuel â huitaine
, Prochainement : SO BE ESTZJCK
. due tous s1 entraînent.
---
ýUANDP. ý--i?: Irý 2LUS
... T__. _ .., _. .ý.... .... _
--1 ý
.
L-ý_...
i. Jýi.
ý.
ý
. .. '.... .i
Tirez
- en
1 es
ConCIU5iot) 5.4
U, yE CouPE I1"1PECC. /-aBLL Se faºt au
3ALON Dc COIFFURE pour DAME5MEs3EuRs
Georges VEUVE ý PéFýgýýal -5ý3la, se. .
OLJT
se ai L- PAPE i 1`1ais Io Ma i'sun
r----l , -i 1i i-'- -Çi-t 11ýGý1 r [d
ý_il-I U!. I -ý
k9 d- 0+-lrJ'll-4. V. "\. V. \ )
-cnl'ý
L. r_jI'2 171P11 n ctnr{'ioýý iý. ýlý-ý
1
ýaýPyez vos 6/, oncýe, t op-e<- lei 77J/? ., e. I, ýýýýo/a
,5 eC-
gle lcr -. ý,
ýý ; ocu FPE: P. M TH EZ `
Numérisé par BPUN
ti Tu1Li.
t_ mZr,
i .
Course aux Diablerets
Sept, 1941.
Deux journées inou- bliables où nous avons eu le plaisir de gravir
les magnifiques pentes des Diablerets.
Quelle splendeur, ce lever de soleil . et cet-
te vue du sommet; depuis le MIt. Blanc jusqu'aux
Alpes Bernoises. De l'au- tre coté, les Préalpes,
le plateau et même , tout au fond, le Jura, notre
Jura.
Comment ne pas ai-
mer nos Alpes après des moments si beaux ?
Espèrmns que, lors
pas seulement 4 partici-
i