République Algérienne Démocratique
et
Populaire
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de L'
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upérieur
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Recherche
cientifique
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Communication
DE
COMMUNICATION
ETALEMEN'FDE BANDE
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par
MrMohamed Lakhdar
Bouchareb
outenue
le 07
Juin
1997
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jUry.
1l1r M
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Président
Mc
U.
Constantme
r,,1r. A.
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Rapporteur
Pr.
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Mr K.
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dExaminateur
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Sétif
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Dédicaces
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I
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mémoire
de
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grands-parents défunts,
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grand-père,
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mère et
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tante
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tantes,
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Illes amis,
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cette modeste
thèse.
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I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
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Remerciements
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réalisation
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bien
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remerciements
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I
I
Sommaire
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
SOMMAIRE
- Dédicaces ' -Remerciements
ii - Sommaire iii ý boles et Dé . -oJym 0 I!S et esïgnanons \ - :\vant -propos 1 - Introduction 2-l'hapitre l: Notion de la
communication
a étalement de bande -41- Structure des systèmes de communication -l
I.1·(' onstitution de l'émetteur ý
I.2-Constitution du récepteur 7
I.3-Canal de Lransmission X
Il-Système de
communication
à étalement de bande xIl. l-Configurations du systeme :..;
Il.Z-Formcs de modulation ()
Il 3-t\iodes de modulations \0
Il.ë-Propnétés
du SIgnal a bande étalée 11Ill-
Générateurs
de séquencespseudo-aléatoires
12Ill.I-Introduction
1ýIll.ê-Sourcc de la séquence pseudo-aléatoire 12
Ill.J-Gcnératcur
:)contre-reaction
lineaire i::'Ill.a-Générateur à contre-reaction non linéaire lf)
ill.5-Conclusion
1(J-Chapitre ý: Principe de la
communication
;1 Sc!qUI!RCC directe 1 X1- Configuratiou ft Idý1cncc emmagasinee 1r; il- Définition ) X ill- Modulation , 1X m. I-Signal de donnée . , 1ý Ill.Z-Séquencc d'étalement 2 ý 1ll.3-1\lodý de modulation :? , m.4-Gain du processus 31 IV -
Démodulation
3 ý IV .I-Bruits 3..'. 1\"'0' . du s l érnis "._- etecnon U signa enus .
v-
Multiplexaged'étalernent
de bande 37V.I-Systt:mc;: synchrone 37 V. 2-Sys(èmý asynchrone ,7 \'1-
Synchronisation
3x Vl.l-Introduction 3S Vl.â-Synchronisaticn rude 3xVl.J-Svnchrorusation
line 4u VI.4-Conclusion
4.\- Chapitre 3: Calcul de la probabilité d'erreur .4ý
1-
Critère
de décision ,I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
,..., '. 4 S' " o' .1 t' ., d' l .; "'T- l napllfc : unWJllOn uU sys c:mt: a st:quenct: u·t:c t: .
1-
Introduction
57II- Simulation de l'émetteur :;,7
Il.J-Signal de donnée 57
Il.Z-Signal
d'etalement
5XII.3-Signal émis 5x
II.4-Prncipales
démarches du programme (),ill- Simulation du canal de transmission (,ý
m.l-Bruit
n(t) .()xm.2-Signal
Y(l) hXm.3-Prim.:ipaks démarches du programme Î I
TV - Simulation du
récepteur
71IV.I-Signal
zef) . 71(V.2-Signa) r(t) 71
1\' o3-Signal a(t) 71
rý.4--Prülcipales démarches
duprogramme
7(,- Conclusion 77
"
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
Symboles et
Désignations
I
I
I
aCt) a .. JI
A A(a)I
B. c(t) CI
1& CD cl(l)I
<ï li)e( ý) erfcI
fc fdI
fF ThI
F D(n) g(t)I
G(l) Gp 110I
HIJI
net) n'(t) NI
NRZ PePta/do)
I
P(a/dl)
p.I
Ps Pn p'sI
p'n PoI
PI qSYMBOLES
ET
DESIGNATIONS
Signal à la sortie du moyenneur
Coefficients du registre à décalage simple
Seuil de décision
Amplitude du signal de donnée d(t) Rapport de vraisemblance
Bande de transmission
Signal
pseudo-aléatoire
ou signai d' étalement Séquence pseudo-aléatoire de niveau;", 0 et 1Séquence
pseudo-aléatoire
de niveaux +1 et -1Signal de donnee ou signal NRZ
Signai de donnée restitué
Tension de correction
Fonction d'erreur
complémentaire
Fréquence d'un bit du signal c(t)
Fréquence d'un bit du signal d(t)
Densité
de probabilité du bruit net)Fonction de répartition
Facteur de bruit
Fonction de répartition du bruit n(t) Réponse impulsionuclle Ju lIlÛ)'CIUICLU
Transformée de Fourrier de gel) Gain du processus
Hypothèse
Hypothèse
Jacobien ou
déterminant fonctionnel
de latransformation
Signal de bruit dans le canal de transmission Signal de bruit a la sortie du moyenneur Longueur de la séquence pseudo-aléatoire
Non Retour à Zéro
Probabilité d' t:1Tt:ur
Probabilité conditionnelle Je a sachant que d \J esr rýýlhsý
Probabilite condiuonncllc de a
sachant
que dl I.:sl "ý;IhsýPuissance du signal d(l)
Puissance du signal avant la réception Puissance du bruit avant 1;1 réception
Puissance
du signal ., la sortie du moyenneur Puissance du bruit à la sortie du moyenneur Probabilitéd'apparition
du signal doProbabilité d' apparition du signal d 1
Nombre
de cellules par bit de laséquence
pseudo-aléatoire:-I
r , ,
Signal
produit
de y(l) t:l dý laporteuse
lo<.:a!t:I
rll)
s(t) Signal produit de d(t) et c(t)
10 Temps
d'intégration
I
TýTd Durée d'un bitDurée d'un bit dudu signal c(t)signai d(t)I
vTension
de détection vl Tension dt: seuill'
we Pulsation de la porteuse x(l) Signal émisy(t) Signal somme de x(t) ct net)
I
z(t) Signal produit de yet) el c(t)
ý Temps
d'erreur
q> Phase aléatoire
1
$.: (f) Densité spectrale du signal cü)
$<1 (f) Densité spectrale du signal d(t)
I
<Pd(0
Densité
spectrale du signal set)4>x(f)
Densité spectrale du signal x(t)I
$n(f)
Densité spectrale du bruit net)
IJ.. Valeur moyenne du bruit net)
,
I
ýlll Valeur moyenne du bruit n'Ct)
an Ecart type du bruit n(t)
,
I
On Ecart type du bruit n' (t)
, 0-
Variance
du bruit n(t) u ,,I
on Variance du bruit n' (t) t Temps de décalage(SIN) Rapport signal sur bruit
I
(S/N)e(SlN)s Rapport signalRapport signal sursur bruitbruit ded'entréesortieI
I
I
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I
I
I
I
rI
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I IAvant-Propos
I I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
.-\"ANT
-PROI"'OS
La présente thèse donne une idée plus au moms générale sur les systèmes d,
communication il étalement de bande en se basant essentiellement sur l'étude d'un système .1
référence emmagasinée utilisant la technique de modulation J séquence directe.
En tait, il est impossible de traiter tous les détails d'où notre étude se limite oj présenter, j définir cl
j simuler un système de communication à étalement de bande l séquence directe.
C'dk thý'iý t:st destinée également ;'1 \'ulgariser b notion dýs systemes de commurucauon :I
etalement Jý bande c'est-a-dire 1.1 rendre accessible au grand public.
LI lh-.;ýe S'I.)U\lý par une introduction ou nous dctirusxons ces types de S) sternes er leurs domaine,
d'application.
i.cs deux premiers chapitres lr:111ý[1( les
nouons
théoriques (il; lacommunication
:1 cralcmcnr ckbande j Sý4UC1Kt: directe.
Le premier chapitre pone sur la notion de 1;1 communication ýI etalement dý bande ou
nou-decrivons la structure des systèmes de communication puis celle des svstèmes ;'1 etalement d...
bande ..:I enfin nous donnons un ap..:rçu sur la generation des sequences pseudo-aleatoires.
L; deuxième chapitre porte sur l étude d' un syslým..: ;,
référence
emmaga ..,in':..: utilisant 1.1technique de modulation à sequence directe en donnant une vue
d'ensemble
SUl le problème d, synchronisation.Lý troisième chapitre est destiné j définir d' abord l'organe de decision appliqué d ensuite .1
calculer les rapports signal sur bruit .avant ct après démodulation, et la probabilité d'crn:ur.
L:
quatrième
chapitre présente une simulation complète del'émission
èl de I.. reception du sign..!mCSSJg.; ý1<Z
(non-retour
à zéro).Enfin .nous donnons une conclusion générale sur l'étude faire.
:\üus avons essayé de
présenter
WIe thèse utilisable en espérant qu'elle aidera tout lecteur .1"
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
Introduction
I
I
I
I
I
I
I
INTRODUCTION
Le système de communication à étalement de bande, comme tous les autres systèmes de
communication, a pour but de transmettre des
informations
d'un endroit à un autre. Cependant ildiffère des autres par ses
techniques
de modulation qui servent à étaler d'avantage la bande du signal de donnée à transmettre.Le système de communication à étalement de bande a été développé au début des années cinquante. Sa première apparition a été dans le secteur militaire] 1]. L'histoire de ce type dt:
système de communication reste largement inconnue aux ingénieurs de la communication
modernej l ].
A présent la transmission à étalement de bande devient une technique très populaire utilisée dans
des différents secteurs notamment le secteur civil.
Lç5 applications de ce type de
communication
s'étendent du système d'antibrouillage, au systèmede multiplexage, au système de guidage; bien que les applications, les plus
courantes,
sont dans lesecteur militaire, le réseau radio-mobile (
radio-téléphonie, radio-amateur,
..) ainsi que les satellitesde communication [1].
La communication à étalement de bande peut être définie comme suit:"La communication à
étalement de bande est un moyen de transmission dans lequel le signal message occupe une largeur
de bande supérieure au minimwn nécessaire pour la transmission de l'information, la bande est
étendue au moyen d'une séquence
pseudo-aléatoire.qui
forme le signal d'étalement, servant de: cléde codage
indépendante
de L1 donnée àtransmettre.
Une réception synchronisée avec cette clé de;: codage est utilisée pour lacompression
et lerétablissement
de Ladonnée.
"[2].Sous cette définition, les modulations classiques comme la modulation d'amplitude et la
modulation de fréquence, qui étalent aussi la bande du signal de donnée, ne sont pas
considérées
comme des modulations à étalement de bande.
Mais la question qui se pose est la suivante :" le système à étalement de bande est-il meilleur ou
mauvais que celui utilisant ies méthodes de modulations classiques et
qu'apportait-il
de mieux".La
réponse
n'est pas évidente, mais ce quiapparaît
clair est que le système à étalement de bande fournit un avantage en puissance au signal désiré sur plusieurs types de bruits (2).Les caractéristiques de base d'un système de communication à étalement de bande sont les
suivantes [1]:
1- Le signal d'étalement.servant de clé de codage.est un signal de large bande imprédictible
ou
pseudo-aléatoire;
2- La largeur de bande du signal d'étalement est plus large que celle du signal de donnée;
3- la réception est accomplie par
intercorrélation
du signal de large bande reçu avec le signal d'étalement réplique de large bande synchronisé.I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
Enfin. le système de commWlication à
étalement
de bande cat dcatin6 à pcnucUre Wletransrniuion
d'informanon
maJaré des perturbationa intcnaca ct lOll efficacité CIt d'autant plua arandc que laI
I
I
I
I
I
I
I
Chapitre
1
I
Notion
de
la
communication
à
étalement
de
bande
I
I
I
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I
I
I
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I
I
I
I
I
I
I
I
CHAPITRE
1:
NOTION
DE
LACOMMUMCATION
AETALEMENT
DE
BANDE
l-Structure
des systèmes
dt
communication:
Un système de
communication
permet le transfert d'un message de sa source localisée enun point de l'espace à sa destitution localisée en un autre point. La description de la structure d'un
système de
communication.représentée
sur la figure LI, est comme swt [31:- l'émetteur :
l'ensemble
des appareils localisés près dé La source; sa fonction principale est dé modifier le signal message en une formeappropriée
pour la transmission à travers le canal detransmission;
- le récepteur : I;ensemble des appareils proches de l'utilisateur, sa fonction principale est d'extraire
le signal message du signal reçu;
- le canal de
transmission:
le système assurant la liaison entre l'émetteur et lerécepteur.
Lt-Constitution
de
l'émetteur:
I.1.1-Sûurce d'information
et sa
traduction
sous forme
électrique:
la source fownit l'information sous une forme physique déterminée, généralement non
électrique. Ainsi. un message sonore est constitué d'une variation de pression de l'air
atmosphérique.
Un système de
communication
comporte, avant toute chose, un organe de traduction qui convertit l'mfornnation sousforme
électrique,L'organe
detraduction
fournit un signal de sortie appelé signalinformatif
primaire. Le message émis par la source peut être numérique ou analogique.a-Message numérique:
La source émet une information distincte en chacun des instants d'une suite temporelle. L'information est
représentée,
à chaque émission, par le choix d'un message dans un ensemblefini.
A cet ensemble fini de messages, l'organe de traduction fait
correspondre
de façon bijective unensemble de signaux.
Par exemple lorsqu'un ordinateur transmet des résultats à un
périphérique,
il peut être considérécomme une source de messages
numériques.
Comme l'ordinateur utilise la numération à base 2,l'ensemble fini est ici l'alphabet binaire {O,1} .Les deux signaux correspondants peuvent être par
exemple des impulsions de même front de montée. de même durées et hauteurs
différentes.
.
...
. .o-message
anasogique:
Ce message exprime l'information apportée par l'observation d'une grandeur physique.
Pour élaborer
le signalinformatif
primaire, letraducteur
doitconvertir
lagrandeur
physique enTraitement
Utilisateur
Traduction
Démodulation
Rýur
"...ý _--_ . + ; __ __ a·1 , . : : ,- Figure 1.1 :
Schéma général d'un système
decommunication.
SOW'CCTraitement
Modulation
Traduction
... 1 Canal de tl'antaniMionI
I
I
I
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I
I
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I
I
I
I
I
"I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
IPar exemple une
information sonore
èst matérialisée au départ par une pression de l'air fonction dutemps, La traduction, qui
s'effectuera
dans unmicrophone,
consistera simplement ilfournir
unýjg.Jl.11 electrique proportionnel :. cette fonction du temps.
1.1.2-T.·aitl"llu.·nts
du
signal
informatif:
LI.' signal
informatif
primaire peut subir destransformations
avant (It: passa à 1\;I;'p\:suivante qui cxl la modulation. Le signal
obtenu
à l'issue de cestransformations
est appelé sl:_'.n:!1informatif secondaire. Nous rencontrons les traitements suivants:
a-Codage
du
signal
ntiJilýrit.luý;
Il revient à rcmpl,u..cr chaque message par UOt: suite finie de: symboles. L' ensemble de...
-vmboles, appelé alphabet, comporte moins
d'éléments
'Iut!l'ensemble
de messages.l'Il codage, employé judicieusement, permet une transmission rapide de J'information a\'I!C une
..:\:rtaulI: immunité vis-à-vis des signaux parasites.
b-Truiremcnts
analogiques
du
signal
analogique:
Ce sonl des traitements qui conservent au signal
informatif
son caractère dt: fonctioncontinue du temps. il pýUI s'agir d' une simple amplification ne
changeant
pas la forme du sipnal vu d'un lilll.1gÇ lU1':.1ll c.c-Echanrillonnage
du
signal
analogique:
Cctte
opération
consiste ýIsélectionner
les valeurs prises par le signal analogique en unesuite d'instants
régulièrement
espacés.Les echantillons ainsi
obtenus
sontencore
analogiques. Parcontre
lecaractère
"fonctioncontinue"
du signal
informatif
a disparupuisque
sondomaine
dl! définition a été réduit à une suite temporelle.d-Quanrificurion d'échantillons analogiques:
Dans ce traitement .les échantillons sont rapportés à une unité convenable et leurs mesures sont
arrondies
..I lavaleur enuère
la plusproche.
L'ensemble d'un échantillonnage et d'une:
quantification constitue
ce quenous
appelons une conversion"analogique.numérique".
Lorsqu'un
signalinformatif
analogique J été soumis à une telleconversion,
il peut être transmis lUIun systeme de type numérique.
l.Lâ-Modulatlon:
La
modulation
a poureffet
de reporter le spectre du signal irûonnatif au voisinaged'une
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
IC'est un
procédé
dans lequel un sianal primaire, appelé sianalmodulant.
modifie un.iýal
auxiliaire, appelé signal porteur ou simplement porteuse, pour créer un signal secondaire, ou signal
modulé, dont les
caractéristiques
sont mieux adaptées aux conditions désirées dýutilisation [.. ].
Le signal modulé ainsi obtenu à un spectre centré à la fréquence de la porteuse.
Nous faisons appel
principalement
à 1.1modulation
pour:- transposer sans perte d'information le spectre d'un signal dans un autre domaine de
fréquences
pour s'adapter aux contraintes d'émission-réception;
- assurer le partage du canal de
communication
entre plusieurs signaux transmissimultanément;
-
modifier
le spectre du signal émis afind'améliorer
les conditions de détection (radar) ou derendre la
communication
plus confidentielle et ditlicile à brouiller (système à étalement de bande).Les
méthodes
demodulation
sontsouvent
classees en deux categories: la modulation numérique etla modulation analogique.
a-Modulation nwnérique:
Elle est utilisée en
télécommunications
pour désigner les différents procédés dereprésentation
codée d'informations analogique".b-Modularion analogique:
Pour la
modulation
analogique, je signal porteur est soit sinusoïdal(modulation
à porteusesinusoïdale), soit une suite périodique d'impulsions (modulation à porteuse impulsionneUe). Enfin, IOfý4ue le signal modulant est
numérique,
nous parlons d'une modulation discrète [oJ].I.2-Constitution
durécepteur:
Le récepteur a pour fonction de restituer l'information sous sa forme primitive. Nous y
rencontrons,
dans l'ordre inverse, les fonctionsréciproques
de celles constituant le processus d'émission.La
démodulation
estl'opération
inverse de la modulation. C'estl'opération
qui, à partir du signaltransmis par le canal, reconstitue le signal modulant, c'est-à-dire le signal informatif secondaire.
Un
traitement réciproque conduira
au signalinformatif
primaires'il
y a eu un traitement Jl'émission. Enfin, une traduction remet
l'information
SOllS la forme physique qui lui est propre. L'addition éventuelle de bruit,d'interférences
et de distorsions limite la fidélité de lareconstruction.
Deux types différents dt: traitements sont destinés à récupérer le signal messagedirectement (détection
synchrone) ouindirectement (détection d'enveloppe):
a-Détection synchrone:
Elle
consiste
à multiplier le signalmodulé
par un signal auxiliairepériodique
de même"
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
Ib-Détection d'enveloppe:
Ce type de
détection
est applicable à des lianaux modulés dont l'CDYCloppc cst aignitica1IVc du signaimodulant
donc aux seuis signauxmodulés
en amplitude avec porteuse (elle ne nécessiteaucun signal de
référence
auxiliaire).1.3-Canal
de
transmission:
Nous
pouvons
distinguer deux liaisons entrel'émetteur
et lerécepteur:
- communication par ondes guidées:
l'émetteur
et lerécepteur
sont reliés, soit par une ligne à deuxconducteurs,
soit par un guide d'onde;- communication par ondes libres: la sortie de
l'émetteur
et l'entrée durécepteur
sontconstituées
par des antennes.
Ces deux types de liaisons ont une chose en commun c'est que le signal transmis subit des distorsions qui sont dues à la non linéarité du canal, du bruit et des
interférences
des signaux nun désirés,D'une manière générale, Wl canal est Wl dispositif assurant une liaison entre Wl émetteur et Wl
récepteur
ii-Système
de
communication
àétalement
de
bande:
Il.I-Configurations
du
système:
Le système de
communication
àétalement
de band, possède troisconfigurations
[5] quiillustrent les k,:JRLÎquçý de; D.Î.'!lC: què le;
concepteur
peut utiliser pour assurer quel'émetteur
ct lerécepteur
opèrent en synchronisation avec la mêmeséquence pseudo-aléatoire.
11.1.1- Système
àréférence
enuna gasinée:
il nécessite
séparément
la génération, à lal'émission
et à la réception, dumême
signal pseudo-aléatoire à large bande.Au
récepteur,
legénérateur
du signalpseudo-aléatoire
est ajustéautomatiquement
pour tenir sasorne en
synchronisation
avec le signal reçu.La
détection
du signal de dOIU1ýe est accomplie par l'intcrcorrélation.II.1.2-
Système
àréférence transmise:
n accomplit
l'opération d'étalement
de bande par latransmission
de deux versions deporteuses
impredictibles à larges bandes, lunemodulée
par le signal de donnée et l'autre nonmodulée.
Les deux signaux séparément récupérés par le récepteur (par
exemple
l'un peut êtredéplacé
enfréquence
par rapport à l'autre) sont lesentrées
d'un détecteur decorrélation
qui sert àreconstruire
Ici, la
séquence
de sortie [Cn},générée
par ungénérateur, est
moduléelinéairement
il uneséquence de pulsation
dont
chaque pulsation a une durée T c appelée durée d'un bit.II.2.1-1\'1odulation
àséquence directe:
Les
concepteurs
des systèmes decommunication
à étalement de bande nomment le signal:( 1.3) ( 1.2) ( 1.1 )
C(t)
=
LCnP(t-nTc)
n a C(t)
=
L P(t - (n + _n)T.)
nMT
C(t)
= LeJ(ld,.h.a> PCt -nTh)
nest appelé
modulation
à saut defréquence.
forme:
II.2.3-Modulation
àsaut
temporel:
Supposons
que le signal de pulsation p(t) a wac dur6c 'J'.IMT'
le Iianal typique de Nut temporel pcut être écrit ROUA la forme AUÏV&nto:II.2.2-ýfodulation
àsaut
de
fréquence:
Supposons
que p(l) est un signai depulsation binaire
de durée Th' le signal écrit sous IdIl.1.3-Système
alfiltre
adapté:
n génère: un signal de large bande transmis par les pulsations d'lm filtre
adapté
ayant unelongue largeur de
bande.
Au
récepteur,
ladétection
du signal de donnée est accomplie par un filtre adapté identique à celuiutilisé à
l'émission.
Il.2-Formes
de
moduiation:
Pour un système à référence emmagasinée, les générateurs du signal
d'étalement
de bande emploient les formes de modulation suivantes [5]:La largeur de bande de la porteuse dans le système à référence transmise peut être vraiment aléatoire, la largeur de bande de la source de bruit. inconnue par l'émetteur et le récepteur
jusqu'au
moment où elle est générée pour l'utilisation encommunication,
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
"Dans cet exemple, le temps a été
segmenté
en intervaûes de T,secondes,
où chaque intervallecontient
unepulsation pseudo-aléatoire
localisée à l'un des Mtlocations
àl'intériew- del'intervalk
Trois manières semblent prévaloir, dans le système à
référence
emmagasinée, pow- lacombinaison
du signal de donnée d(t) avec le signalpseudo-aléatoire d'étalement
c(t) pour produire le signal à étalement de bande transmis x(t) (5).II.3.2-Modulation
àretard:
Elle était utilisée dana
plusieurs
systèmcs; cette techoique trllWl\Ct le signal sous laforme
suivante: ( 1.6) ( 1.7 ) ( I.S ) ( 1.4 )
C(t)
=
ý
Wet
-nTp)
n x( t) == Re( d( t)c( t)ej(Wctýcp) )x(t)
=
Re(e(t
-d(t)ej(WcltCP))
C(t)
=nc(i)
(t)
III.3-J\.lodes
demodulation:
II.2.5-l\1odulation hybride:
Chaque technique,
citée au dessus,possède
certainsavantages
ctinconvénients dépendan
t des objectifs du systèmeconçu.
Un IIldangc: de
tecluuques
demodulation
peutprouver
de: meilleura performances au prix Jeplusieurs difficultés. Par exemple le choix de:
peut
avoircapturer
les avantages decertaines techniques
citées ci-dessus.II.3.1-I\iodulation multiplicative:
Elie est utilisée dans piusieurs
systèmes modernes.
Le signaltransmis
par lamodulation
mulriplicative est de la
forme:
Il.2.4-Modulation enregistrée:
Pour la
modulation
enregistrée, le signal s'écrit sous la forme suivante:où w(t) est un signal de
durée
Tp .
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
"-I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
II.3.3-ý1odulation indépendante:
Cette technique était aussi utilisée auparavant. Le liaN) transmis. par IJ modulau. dl
indépendante,
est de la forme:( 1. X )
ki, le signal de donnée, quantifié à M niveaux, détermine laquelle: des
modulations
di"rillch.''dl
c\ (t),
d-l,2,
...M, est transmise.II.J-P;·opl'iétés
dusignal
ilbande étalée:
J "étalement de bande est un procédé de protection des communications radioélcctriqu.:-.
conln; les indiscrétions et les brouillages [61,
L'operation d'étaiement de bande munit le signal des propriétés qui suivent:
I l
'1
Di
..
11 .... -
iscrènon
:En choisissant la
bande
\1..:frequence
assez grande (donc la durée de la sequence ""iS\. /petite ), nous pouvons rendre la densité spectrale du signal reçu aussi petite que nous la voulons,
Dans un contexte de guerre, cela signifie non seulement que l'ennemi ne pourra 'lU": Ir .... ,
rnal.nsément intercepter les communications radioélectriques, mais 'lut! l'existence meme J'UIl_
émission sera rendue pratiquement indécelable ct donc sa localisation impossible.
i i. ..
L2-Rl,uucÎiull
ue
iapullutiun
radioèlvctriquc:
1..1 même
propriété
ýI pUUI ýl)IISýl(UI.:Ilý1.: une réduction du brouillage éventuellement t,;;ILlSÇ .:un recepteur à bande etroit-par l'erni-e-ion d'un signal ;i bande (talée.
I
L.,1,3-Pï·uiêctiûn Cüni,'ê
ll."shrouilleurs
àbande étroite:
Un brouilleur à bande etroite est supposé ajouté au signal à l'entrée du recepteur. \! ultipl.,
par le signal à large bande généré localement, il subit donc un étalement de bande pal l'upýIJlÎt ,I
meme qui sert il restituer it: signal utile. Cc qUI signifie 'IUt: sa puissance sera réduite.
ILý.ý-ý1ültiplexage d'étalement
de
bande:
Les paires
émetteurs-récepteurs
qui utilisent des signauxpseudo-aléatoires
independant-peuvent opérer dans la même largeur de bande avec des interférences de canal minimales.C'est-à-dire plusieurs communications distinctes peuvent utiWoc:r la même largeur de bande sans ý.:
III-Générateurs
de
séquences pseudo-aléatoires
III.l-Introduction:
( 1.9 )
pour tout n
III.3-ýnêrateur
:lcontre réaction linéaire:
La séquence générée par le registre à décalage à
contre-réaction
linéaire [10] possède lespropriétés
1 et 3,plus encore lapropriété
2, mais non pas lapropriété
4.Une forme
canonique
L2J d'un tel registre est legénérateur
à registre à décalage simplereprésenté
IW' la tigw'c 1.2
ci-contre.
Dans notre étude nous nous intéressons à cene deuxième sone de
séquence pseudo-aléatoire
OUl' WIt: t:si
generee
par WIgenerateur
àcontre-réaction
linéaire et l'autre estgénérée
par ungénérateur
àcontre-réaction
non linéaire.Les
séquences pseudo-aléatoires
sont en fait des grandeursparfaitement
déterministes, m. 1" dont lecomportement
paraît aléatoire. Cesséquences
sont utilisées en particulier pour la simulation(sur
ordinateur
ou ýn labûi.:.iuuc) Jç iJl,ýÙUI"'Iýf1cS aléatoires [7] ou lagénération
de Sig)131lX .1fonction
d'autocorrélation
très pointue applicables au codage et à lasynchronisation
d'inforrnatione en
télécommunications
pq
ou à la détectiond'échos
radar [9].LèS séquences
pseudo-aléatoires
sont utilisées pour étaler la hande du signal lors de laconception
du système de
communication
à étalement de bande àséquence
directe.L'étalement
de la bande du SIgnal necessite la génération d'uneséquence pseudo-aléatoire
aJ'émission. Pour
restituer
le signal initial, it:récepteur
a besoin aussi d'une copie de la sequence générée à J'émission.En pratique, la
séquence pseudo-aléatoire
doi.t satisfaire les propriétés suivantes [2]:1- facile à générer;
2- avoir les
propriétés
d'un signal aléatoire;3- de longue période;
4- difficile à
reconstruire
à partir d'un segment court.iii.2-Source
de ia
séquence pseudo-aléatoire:
La
séquence pseudo-aléatoire,
qui sert àétaler
la bande du signal informatif, peut être dedeux natures [5]:
- Aléatoire: Si la
séquence
formant le signal d'étah:m\)nt c(t) est uneséquence
de variablesaléatoires
indépendantes
etuniformément
distribuées. Chaque variable prend également la valeur + 1 ou -1.- Périodique: Si la
séquence
formant le signald'étalement
c(t) estgénérée
par ungénérateur
àregistre à décalage. La séquence générée peut être périodique de longueur N d'ou:
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
II
I
I
I
I
I
Q
-
Figure
1.1:Générateur
àregistre
àdécalage simple.
Cu 1 C.l -1 Ca.)c.,
2 3ý----_
..__..__.. r al al 3,-1 a,Sortie
Lmodl
I I II
I
I
I I INombre de Ca8CI Numéro de la case à relier à l'entree
(en plus de la
dcýýre
caý __OS OJ 06 OS -07 04 - ---08 04 - OS - 06 09 OS 10 07 11 09 13
09-10-12
--15 14 17 16 - 14 - 13 20 17 22 21 ---25 22 28 25 29 27 31 28 33 30Cc registre à décalage est composé d'éléments de mémoires binaires qui tranaÎCrentleW"8 contenus vers l'élément de droite après chaque impulsion d'horloge. Le contenu du registre est
linéairement
combiné avec des coefficients binaires ak et la
contre-réaction
linéaire résultante de cettecombinaison est affectée au premier élément du registre.
La séquence binaire satisfait à la récursion suivante:
(1.11) ( l.10 ) a = 1 r
c·
=1- 2C
n nqui est équivalente à la séquence
en
LlO J.T.a quatrième propriété citée dans
l'introduction
CRt très importante lluiRqu'iI CRt nécessaire que l'adversaire ne peuts'introduire
dans le système.La période du cycle dépend de l'état initial du registre et des coefficients ak. (Les
coefficients
a k lJýuwnt prendre seulement lavaleur 0 ou 1).Pour étaler d'avantage la bande, nous cherchons un registre de longueur maximale dont la période
est 2r - I: ce type de registre est appelé registre à décalage à
contre-réaction
linéaire à longueurmaximale.
il est toujours possible de choisir les
coefficients
decontre-réaction
de façon à réaliser un cycle delongueur maximale. Le tableau l .l donne les numéros d'éléments de mémoires à relier selon les
dimensions des registres [11].
Oc telles séquences sont facilement produites
électroniquement
à l'aide d'un registre à décalage comportant r bascules en sériecomplété
par un circuit decontre-réaction réinjectant
dans tapremière bascule 11 somme module-Z des états de certaines bascules.
1-'ensemble est 3CtiVý par un signal d'horloge auxiliaire de cadence fc = 1 i
Tc.
Les séquences binaires à longeur maximale ont les propriétés suivantes [4]:
- ia sequence
générée
est périodique, de: période (2r - 1) T c .;
- sur une periode. nous comptons toujours 2r-J digits 1 et (2 r-l -I) digits 0 ;
- en comparant terme à terme une
période
de la séquence avec n'importe
quellepermutation
circulaire Je celle-ci, nous obtenons une distance de Hamming égale à 2
r-l
: en d' autres termes, It:
nombre
de symbolescoïncidant
deux à deux estinférieur d'une
unité au nombre de ceux quidincrent.
Par exemple, pour r = 100 alors la
longueur
de laséquence
est 2;,,,
- 1 A;$lO .... Nous
pouvons
reconstruire
laséquence,
en observant 199 bits, par la résolution Jý 19Méquations
linéaire.. (moll:n
U ýx.iSIý des algorithmes dýSIUlýS [l Z J,[13J à la résolution de ces
équauons
(( il la svnthcse desregistres ýI
contre-ré
aclion linéaire à partir d'une séquence delongueur
2r - 1.Pour ..:.:11..: raison, plu...iýIUS modifications importantes ont ýtý ;lpporl":l.!s au génér.ucur ;i r..;e.js1fl.! ;'1
contre-reaction
lineaire.111.-I-Gt:·nératt-ur
Ùcontre-réaction
non
linèuire:
I a Iouction de
contre-reaction
lineaire du contenu du registre csl rcrnpl.rccc P;11 unetoncnon booleenne arbitraire (.\:IIc fonction booléenne csl realisee soit par une }{( )\ 1 soit par U1iý
logIque aleatoire d'ou les regi-arcs po...scdaru cc type ue 10nCIIon sont appck,,; reg,...ncs a
contre-rc.rcuon non lineaire.
,
rHun hl": d.: tun":liolls booléenne. 1.:,( 2ý' .Ln outre ccrt.nus (ýjh;S de I,;ýS
regislrc,
;l decalage ne,I
peuvent avoir aucun cycle
parnu
les .ýètoncuons booléennes
possibles. 11 ý. ;1 exactement 2ý'-I r
Ionctions booléennes
11-'J quigenerent
seulement un cycle delongueur
.vl.rlhcurcuscmcnt leurs proprietes aleatoires ne sont p<JS bren connues Cl font
actuellement
l'ub.!.:l ý1.: r':l.h":l.:h..:,>
approfondies
lýJ.l'II": ;Ippl lh:he pius dirigeable .:si li'utiliser un registre ;1 (k.:;Ii;lg.: ýI contre rý"I.IJOIl line aire J longueur maxuualc J\'ýC une SOI1ic logique non lineaire
rn
l'I-r'
1 .:'I-\. olle l'uSlOn:(\ muuc conuneru.ure linal ýIU' la gcnér.uion dë"li ...équcnce ... pscudo-alèroircs. il n'c..l p,i, du
tout nccc-x.iirc quç les registres ýl décalage simple soient utilises.
Il)UI..: technique qui PèU[ generer de
"bonnes' sequences pseudo-aléatoires
Ll;j,L16j peul erreUlllis':..:.
l.n dTd, pour une communication ýi étalement de bande, nous exigeons que l'adversaire ne puisse
reproduire
1ý1sequence
avec l'intention de s'introduire dans le système ou brouiller lacommunication
..Ainsi. la
génération
dl!"bonnes" séquences pseudo-aléatoires
estfondamentale
en particulier pourXl
XzXl
1---- ...."... Xr
I"""-Fonction Booleene
b(x" Xl, """", x,) ý SortieChapitre
2
CHAPITRE
2:
PINCIPE
DE
lACOMMUNICATION
ASEQUENCE
DIRECTE
I-Configuration
alréférence enunagasinéc:
La configuration du système de communication,
représentée
sur la figure 2.1, illustre latechnique de base que le concepteur peut utiliser pour assurer WIt: communication à étalement de
bande.
Ce modèle de
configuration
est appelée "système à référence emmagasinée" qui nécessite lagénération indépendante,
à l'émission et à la réception, de deux signauxpseudo-alétoires
identiques [5J.A la réception, it: signal du
générateur
est ajustéautomatiquement
de façon à Lenir sa sortie ensynchronisation avec le signal reçu.
II-Définition:
Dans un système de communication à étalement de bande, la pui.."ance du signal ,,(t) est
dispersée sur une très large bande en multipliant le signal message d(t) par Wl signal auxiliaire c(t)
indépendant,
à très large bande, servant de clé de codage.Le produit des deux signaux possèdent
approximativement
la mêmelargeur
de bande que celle dusignal ý(I). Au récepteur, la somme du signal émis x(l) el ùes
perturbations
n(i) eýl également multipliée par le même signal auxiliaire c(t), ce quiprésuppose
unesynchronisation adéquate.
Seulle recepteur disposant du même clé de décodage peut restituer l'information.
Il
I-Modulation:
l l
l.I-Signal
de
donnée:
1l1.1.1-Naturc particulière
du
siýal:
Le signal se présente sous la forme d'une
succession
temporelle de niveaux discrets; cene suite de niveaux discrets estobtenue
par codage d'un certainnombre
de valeursmémorisées
oubien par échantillonnage,
quantification
et codage d'un signal analogique.D'Wlý manière générale le codage consiste à
représenter
les valeurs discrètes par des suites finiesde symboles appartenant à un alphabet binaire à deux symboles qui sont notés 0 et 1.
Chaque suite représentant une valeur constitue ce que nous appelons un mot. Le choix d'un code
est dicté par des
considérations
sur les difficultés de transmissionoccasionnées
par le bruit [17].III.l.2-Code
de
transmission:
a-Dans la
transmission
d'un message numérique, Ies motsperdent totalement
leur importance en-
Figure 1.1
:Système'
référenceellUlUlluinée
.Source
de d(t)Modulateur
donn" t-tt--Générateur
cCt) de laséquence
pseudo-aléatoire
x(t)Démodulateur
d(t)Utilisateur
-
de donnée c(t) Générateur I de la séquence Ipseudo-aléatoire
i( 2.7 ) ( 2.G ) ( 2.S ) ( 2.5 ) ( 2.ý ) ( 2.3 ) ( 2.l ( 2.ý ) ., '"
I-ld = 1!..J (Ao
I-:\!)-'" ., Pd ;::; 1/2 (A ý + Aï) Probï A 0 ) _'" Probï A 1 ) " l '2 ., ., a- = Pd = A-d ., ., crd = V4 (A 0 -.'\ 1 )
-Etant dOMý que lý signal d(l) est aruipolaire,
représenté
sur la figure 2.2,c'ýsl<l-d"ý
A I) =. -A ...:1.\
1 .:;. i:\, nous
aw'ODS:
:';ous
constatons
que:- le code ýý est
continue
ct S'IDS raie:- la puissance du code NRZ èst
concentrée
dans le premier lobe de largeur 11 T d ; - le code ýT<Z nécessite detransmettre
lacomposante continue
(f = 0);LJ densité spectrale de
puissance
du signal message,représentée
sur la figure 2.3 . est:alors:
b-Code
binaire
de
transmission
NRZ:
Lý signal
d'informarion
d(I)joue
un rôlefondamental,
enparticulier
entélécommunication-l171, LaI' il tl'.tJuil s0Uý ýJ forme 1.1 plus simple \J1lý
information codée
en binau c telle llUC ýéU..;Iounuc p.u un systeme inrormatiquc.
ILS sýmbolcs binaires 0 d 1 sont gýnàýs ;'1 LI cadence LTd bills ýr correspondent rcspccrivcmcm
.11I\. niveaux A
0
=- -A
dA) r- 1.-\ du ..ignal message.
Li ligure 2.2 dOM\! pour un message
numérique
l'alluré du signal codé en ý'RZ.+A -.4., d(t) t T. 1 0 0 1 0 1 1
-
Figure 2.3: Densité spectrale
dusignal
d(t).f
o
-vr,
-vr,
-;111\':11\'''': (:>.11 ) ( 2.10 ) ( 2.') ) .i-. (
f)
=T.
siIl C ý ( tT. ) 'f' l \. f.. I... ' 1 .,'I' (.
.,['f
('
')]
. .,[l'
( . .)])
(1':\ ( 1 ) = 4 A - c SiIl C -c t + 1.: + SIn c -c t - t.: Il13-
\Iode
dt"modulurion:
"Dans \,;0..; type de modulation. j l'emission, le :-.ig,llal de donnee ù(t) 0..;:-.1 1lI111lIPl.iý par lil I
"1ý'lI,li bipulairc ý(I) gýnýrýo..; par un
générutcur
de séquencepseudo-aléatoire
:ý la rcccpIll" Il'uilonu.uiou
o.:ýtlù..blic en multipliant le signal reçu P"" une copie synchronisée du ..,iýII;lip-cuu«-aleatoire I,;{I)."
Lý-; signaux <1(t) .cu) d s(t) sont
représentés
sur la figure 2.7.Considerons le produit x(t)..:.. s(l).cos(w c t) .en choisissant
correctement
I'originc Jýý temps, L,phase initiale de la porteuse est nulle:
- J'un ..i!:!,n;.al :-.(1) qui a
l'allure
d'un signal binaire codé en mode NlcZ, antipolaire J...: lU\''';.IUX .\..:1 -.\. dý' durée T.: de densité spectrale:
Considerons le svstcme a rclcrcnce emmagasinee utilisant I" modulauon 1111I1Ilplll.;.tli,
'-periodique j sequence directe. reprc ..cnte sur la ligure 2.6. dont IlOU!> J01UHlII" 1.1 ..J..:lilUli.oj,
I,,;plýýo..;nlý\! sur la figure 2.lt
- cr tl' un signal sinusoïdale j
phase
aléatoire nulle defréquence
fc el d' amplitude
l'unité.
LI J-.;n!>ilý spectrale de puissance du signal x(t) est:
L'allure du signal émis \:(1) ýI sa densité spectrale sont
respectivement
représcmc- "ur les ligul""" 2lJ ct 2.10.Proprietes spectrales du signal X(I):
- li; :-,pýýI1\; du signal module ne contient ni li; signal pOJ1ýw'ni k signal modulant:
- le spectre du signal
modulé
est constitué duspectre
du signald'étalement
c(t) decalee de 1 ....(.,
.11lL.:dý du
coefficient
.-\
-I "' ;
- Il;
siý
moduli
ýst nul en l'absence
du signalmodulant
Il
l.â-Séquence d'étalement:
Considérons
I"séquence pseudo-aléatoire, formant
le signald'étalement
dl), rcpréscnt, .... sur b ligure 2A, de niveaux r-l ýt -1, generee par ungénérateur
j registre à d.:\,;ý&1ýlg-.; suuplc .JIUIIgU':UI maximale.
Sa d..:rhilý spectrale <il: puissance,
représentée
sur la figure 2.5, est:I
I
I
+1
-1
c(t)
t
TL
-
Figure
2.5 :Densité
spectrale dusignai
c(t).f
o
-vr,
u
li
"U .!3 ý â 0fi
-88ý
"0 ý u96"1;
"0 u ý I ý "0 .S.S".g
us
ý·l
-
.... ýJ
.i-"
ý ý I: QI ={
..
1
ý ."i-
l: U"
.,Q ý"
..
r= QI S QI -:. -ý .:! S .ý..
Q,Is
.ýi.
fil-s-
IlO N t :::I 81-
fi: ýr
t
-,
- Fi&ure
2.7
:Sipaux d(t),
c(t) et I(t).-
.'---del) r l Ttl A 1-+ +A_
Figure
2.8:
Densités spectrales
dessignaux
d(t) et s(t). f 3ITd fc o -31Td -fý-
Figure
2.8:
Densités spectrales
dessignaux
d(t) et s(t).f
vr,
fco
x(t) +A
1(\
n
ni
ln
n
...n
n
n
...
n
I ; I -AlUI.
L
U
u
L
UL.JU
f
o
1/4 Avre
-fý
( 2.12 )
(2.13
) (2.14 )(2.15
)(2.16
) , CPl=
7t B=2f
m c Acoý
W ct)
= Acoý
W ct
+ <P1)En se
référant
auxfréquences
positives, lespectre
présente deuxdemi-lobes latéraux
situés de part ctd'autre
defc.Ds
sont
symétriquespuisqu'ils résultent
de latranslation
de s(t) qui est symétriquepar rapport à
l'origine.
La
bande
detransmission
est:Si nous ýùll.Sidýrùll.s le signal x(t) = s(t) ýùs(w
c t) qui traduit une
information
binaire, les uns ý1ýt111\;.\1)1 iJllýs Vd! ýùs(w
ct) \;i les ZýIÙS par
-cosïw
ci) àlùfs un tel signalpeut
être interprété scion deuxpoints de
we:
-
c'est
un signalmodulé
enamplitude
car laporteuse
étant exprimée par cosïw, t) ct le signa!
modulant
estconstitué d'impulsion
bipolaire 'N"RZ dont les niveaux sont +A (pour les uns) et -:\(pour les zéros).
- c'est aussi un signal modulé en phase car:
Nous
pouvons
exprimé la bande detransmission
B m eüfoncuon
du gain dtprocessus
Gp :
III.4-Gain
du
processus:
Le gain du
processus
[2] estdéfinie
comme étant le rapport de la durée d'un hit du sienalde donnée d(i) à la durée d'un bit du signal
d'étalement
c(t):Nous remarquons que plus le gain de processus G
Il est très élevé, plus la bande de
transmission
B m est étalée
d'avantage.
a-Bruits externes:
C\; ýlJïlt Jc:o. bruits Ï1.-,Îu...-d.s
(atmosphérique,
etc...) ou artificiels(moteur
électrique, etc ... ).Ils sont difficiles à évaluer
d'une
façon mathématique précise.- domaine énergétique dans le cas de signaux analogiques (densité spectrale de puissance); - domaine des amplitudes dans le cas de signaux numériques (distribution d'amplitude).
(2.17
)f2
Pn(fl, f2)
=f
2q,n(f)df
fiavec <fln(f) la
densité
spectrale depuissance
du bruit n(t).b-Bruits internes:
Ct: sont engendrés à l'intérieur même des équipements
(bruit
de ifcnaille. etc ... ). Ilspeuvent être pris en compte et dont les effets peuvent être minimisés.
Tous ces bruits coexistent dans tous les systèmes, mais ils prennent pius ou moms
dimportance suivant leur amplitude et leur répartition spectrale.
a-Densité spectrale
de
puissance:
C'est
la transformée
deFourier
de la fonction d'autocorrélation
du bruit. La puissancemoyenne
du bruit dans unebande
defréquence (fl,f2)
estdonnée
par la relation:IV.1.2-Caractéristi(IUýS
des
bruits:
POW' évaluer les effets d'un bruit sur un signal, il est indispensable de se situer dans un
domaine'
IV.I-Bruits:
IV.I.I-0riýe
des
bruits:
NOU!i distinguons
généralement
deux catégories de bruits:- les bruits externes, indépendants du système étudié et. dans une large mesure, inévitables;
- les bruits mternes, dépendant de la conception et de la réalisation du système étudié.
IV
-Dèmodulanom
Dans la réalité. la présence de bruit
superposé
au sianaJ transmis détériore Je signal délivré a la suite des opérations de démodulation, el ce quelle que soit leurperfection théorique
clJ.a densité
d'amplitude
la plWlfréquemment rencontrée
et laplWl commode CIt celle de GaW\.ý [1 7Jreprésentée
sur la figure2.11.
(1'! sc:
confond
avec lapuissance moyenne
totale du hruit danA le CaR des bruits devaleur
moyenne nulle,cr. ' écart type de la distribution.
mesure
sadispersion autour
de savaleur moyenne,
( 2.19 )
(2.20
) ( 2.18 )f(n)=
dF(n)
dnz(t) =
y(t)c(t)
F(n)
=p(n(t)
<n]
[_(n_...)J]
f(
)
1 2er! n=----e
J2ican
Clý :
variance
du bruit(a!
=
E[(n(t).
fl.)
1] )IV.2-Détection
du
signal
émis:
Soit le sq,w y(t) == x(t) +
n(t)
àl'entrée
derécepteur,
qui est la somme du signal émis X(l)et du signai de bruit n(t).
Supposons
que le signalpseudo-aléatoire généré localement
estsynchronisé
avec le signalreçu
y(t), alors:
avec Jl. :
valeur moyenne
du bruit den(t)
Nuý
utilisons 1.-.l'lut part
du temps l:s d\ilýjtý de probabilité à unwtant
t:b-Distribution d'amplitude:
Dans la loi
temporelle
duprocessus représentant
le bruit. noua nouacontentons
le plussouvent
desfonctions
de répartitions cl;amplitude à un ou deux instants.La
fonction
derépartition
à un instant t est la probabilité pour que iebruit
n(t) soitinférieur
à une-
Figure 1.11
: LoiCauuienne
.dessous: (2.22) ( 2.27 ) ( 2.26 ) ( ") ") -)
i.:»
( 2.2ý ) ( 2.23 ) ( 2.21 ) .,r(t)
=2d(
t jcos"
(w ct) + 2n(t)c(t )cos( wet)
r( t) =
2z(
t)cos(
wet)
z(t)
=
d(t) cosl
w ýt )+
n(t)c(t)
Sa reponse
impulsionnelle
estrectangulaire
(figure 2.13 ). C'est le modèle d'un circuit intégrateurdont l'approximation analogique
est un simple filtrepasse-bas.
Soit ýI(l) le signal à la sortie du
moyenneur:
'I'd
a(l)
ý 1ýf
r(lXII
d 0 TdaCt)
= d(t)
+ .2_f
n(t)c(t)
cos(w
c)dt
Td o T,!a(
l) = 'Iýf
r(
lýl d 0dýIIÛllUIlý
moyenneur temporel parfait (figure 2.12
)dont
lescaractéristiques
[4]sont données
'1-Ensuite, le signal
r(t)
passe it travers unmoyenneur.
J.a moyenne
temporelle
d'horizon T d 'correspond
à la sortie d'une opérationlinéaire:
alors:
Puis ic signai z(t) est multiplié
par une porteuse
sinusoïdale, lamême
que CI.!UC del'émission
"
Figure 2.ll
:Réponse
impulsionneUe du moyenneur.
I I I I r(t)Moycnncur
- Figure 1.11 :Moyenneur.
g(t) 111'41 .__ _ o a(l) t(
2.28
)(2.29
), 0 ý t ý T d est le signal de donnée;
, 0 ý t ý T c est le signal d'étalement.
Xm (
t) =
dm (t)c
rn (t) cos(
wet
+ <Pm )avec
m=1,2,
k.où dm(t) = ±A
cm(t) =
±
1V.I-Système synchrone:
Dans un système à
séquence synchrone.
la durée du bitd'information
T d est choisie pourêtre La période NT c dell séquences pseudo-aléatoires où T c elit la durée: du bit de séquence
pseudo-aléatoire.
En d'autre terme, le nombre de: bits dans WlC période: est égale au proce ""WI du gain du système :
Si k utilisateurs transmettent
simultanement,
chacun d'eux transmet le signal suivant:V.2-Système
asynchrone:
Dans un système à
séquence asynchrone
, la durée du bitd'information
Td est encore
choisie pour être la période NT
c dCH
séquences pseudo-aléatoires.
La seuledifférence
entre ka;deux systèmes est le temps de décalage 't m (temps de décalage compris entre 0 et T d) qui existe
entre
lesdiffýSllb
signaux transmis .Si k utilisateurs
transmettent simultanément,
chacun d'eux transmet le signal suivant:V-Multiplexage
d'étalement
de
bande:
Comme
il est bienconnu
que les deuxtechniques
de multiplexage, ie! piusrépandues,
sontle multiplexage
fréquentiel
et le: multiplcxage temporel,En multiplexage temporel, tous les usagers utilisent la même largeur de
bande,
mais transmettent séqueruiellcment en temps.En multiplexage fréquentiel, tous les usagers transmettent leurs signaux simultanément mais
utilisent des
bandes
defréquences
disjointes.La transmission simultanement en temps ct l'utilisation de la même largeur de bande nécessite l'utilisation d'un autre moyen de
séparation
des signaux à la réception. Seuls lesrécepteurs
disposant dt: la même clé au
décodage peuvent reconstituer l'information.
L'opération d'étalementlk bande fournit Cette possibilité ct consiste en deux types [18J: