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Etude du système écologique urbain dans la ville algérienne

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

République algérienne démocratique et populaire

Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique

Université Mentouri Constantine

Faculté des sciences économiques et sciences de gestion

Département de la post-graduation

Post-graduation spécialisée

Spécialité: gestion des collectivités locales et développement

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Cas de la ville de Sétif

Membres de jury

Charabi Abdelazize Professeur de l'enseignement supérieur

Université de Constantine………Président.

Cherrade Salaheddine Professeur de l'enseignement supérieur

Université de Constantine………Examinateur.

Larouk Mohamed Lamine Professeur de l'enseignement supérieur

Lhadi Université de Constantine………Membre

Réalisée par: encadrée par:

Mis en forme : Centré, Retrait : Gauche : -2,22 cm

Mis en forme : Première page différente

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Table des matières

Introduction………..………1

Qu'est ce l'écologie……..………...………...1

Les ressources environnementales……...………1

Système écologique………...………..2

Urbanisation………...…3

Première partie : problèmes liés à l'urbanisation 1-Déchets urbains...10

2-Problèmes liés à l'eau : 2.a) Défis de l'eau……….15

2.b) Les barrages………....………....19

3-Les nuisances de l'automobile...20

4-les espaces verts...23

Deuxième partie : Étude statistique du PNAE-DD de SETIF ………..26

Objectifs du PROGDEM...27

Mise en œuvre du PROGDEM...28

Financement du PROGDEM...45

Conclusion:...47

Glossaire :………...48

BIBLIOGRAPHIE………...49

Mis en forme : Centré, Interligne : 1,5 ligne, Taquets de tabulation : 3,67 cm,Gauche + 7,78 cm, Centré

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INTRODUCTION

1: QU’EST CE L’ECOLOGIE :

L’écologie se définite comme étant l’étude des êtres vivants dans leurs environnements vitaux, elle est en effet le synonyme de la relation cohésive entre un milieu naturel et l’être vivant qui s’y trouve.

L’écologie est une science contemporaine, elle est nouvellement exploitée par rapport à d’autres sciences.

2DIFFERENTES: DIFFERENTES BRANCHES DE L’ECOLOGIE :

.GEOGRAPHIE ECOLOGIQUE : étude les besoins d’un être vivant précis dans sa zone

géographique et la relation avec les éléments environnementaux (température, humidité, sécheresse, vents,….)

.ECO-PHYSIOLOIGIQUE : se base éventuellement sur les expériences laborantines et spatiales pour expliquer la relation entre les éléments environnementaux limités et lae

riposte de l’être vivant selon la duré de vie de ces éléments.

.L’AUTO ECOLOGIE : étude les besoins dans un environnement précis.

.LA SYNECIOLOGIE : c’est plus général, elle prend la société vivante complète en considération.

On peut considérer l’écologie comme étant le relais entre plusieurs sciences de nature entre autres:taxonomie systématique, climatologie, pédologie et physiologie, biologie, sciences de la terre (géologie), statistiques ….

3: LES RESSOURCES ENVIRONNEMENTALES :

3.1: Définition : l’ensemble de matériaux existant dans l’environnement que l’homme en a

besoins.

L’homme peut être aussibien influanter sur ces ressources que influé par, ou les deux cas ensemble (l’eau, les forets, le charbon, l’énergie solaire,…..).

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3.2 CLASSIFICATION: CLASSIFICATION DES RESSOURCES HUMAINNATURELLES :

Selon sa durée d’existence et sa continuité de son utilité à savoir :

.Ressources durables : eau, air, énergie solaire ; elles restent toujours disponibles selon les

prévisions scientifiques.

.Ressources renouvelables : ressources ayant la possibilité d’être renouvelées

continuellement ainsi, (forets, sol, êtres vivants,…).

.Ressources non renouvelables : ressources expirables, car la moyenne de sa production est moins que celle de sa consommation (charbon, gaz naturel, pétrole, …).

4: SYSTEME ECOLOGIQUE :

C’est l’existence de rassemblements vivants dans un environnement naturel non vivant ( air, eau, sol, énergie,…) ; ainsi, c’est un ensemble intégré et équilibré ; construit d’êtres vivants, éléments non vivants, énergie solaire et de réactions interactifs comme l’illustre le schéma

suivantsuivant :

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5MODELE: MODELE D’UN SYSTEME ECOLOGIQUE EQUILIBREE :

Le foret et ses êtres vivants constituent un système écologique équilibré. Le désert, la mer, la rivière et la montagne le sont aussi.

On peut distinguer deux formes de système écologique suivant l’intervention de l’homme :

.système écologique naturel :

Où l’intervention de l’homme est minuscules telles les montagnes, les rivières, les fleuves, les plateaux, ….

.système écologique urbain :

Oùu l’homme intervient d’une manière remarquable et massive, donc il a amélioré ou a créé des changements essentielles telles les villes qui a construit, les firmes, les ponts, les entreprises induistruielles, les tunellestunnels,…etc.

Eléments atmosphériques

Végétaux Animaux

Eléments terrestres

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URBANISATION:

Les espaces verts.

L'espace urbain est relatif à la ville. La notion d'espace urbain ne peut pas être définie par la manière traditionnelle qui considère n'importe quel vide entouré de plein. C'est un espace qui possède des caractéristiques géométriques et esthétiques extrêmement lisibles. Il ouvert à des mouvements à l'aire libre, un espace d'ambiances, privilégié de la vie sociale des citadins. L'espace urbain regroupe les espaces verts et les espaces minéraux. Les éléments des espaces extérieurs urbains minéraux sont la rue pour assurer la circulation et la place, nœud

d'échange et de communication. Et sous le titre d'espace urbain rentrent l'espace collectif et l'espace public.

L'espace publique est une découverte récente, également; espace vert, mobilier urbain, rue piétonne, aires de jeux, lieux de rencontre.

Les espaces collectifs urbains appelés encore espaces publics ou espaces extérieurs sont constitués par l'ensemble des lieux ouverts à tous. Ils sont souvent en plein air, ce sont à la fois :

* des espaces formels, en creux, définis par les bâtiments qui les bornent.

* des espaces de vie et de socialisation où se déroulent les activités propres à la vie collective d'une ville.

Les excès du phénomène urbain ont donné l'apparition des espaces verts dans la ville. Devant l'absence de contre poids et freins de la part du pouvoir public. Le phénomène urbain qui résulte de la spéculation foncière, se manifeste par un double processus d'attraction puis de diffusion. On fuit la compagne pour gagner la ville et on fuit la ville pour gagner la compagne.

Le phénomène d'attraction

La centralisation des infrastructures administratives, culturelles et commerciales fait de la ville un pole d'attraction ou toutes les activités sociales se pratiquent, sauf celles de la

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Mis en forme : Retrait : Première ligne : 1,25 cm, Interligne : 1,5 ligne Mis en forme : Police :12 pt, Gras Mis en forme : Interligne : 1,5 ligne, Taquets de tabulation : 6,88 cm,Gauche

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détente et des loisirs. Ils deviennent des espaces rares et marginalisés. La ville est animée d'activités culturelles, de théâtre et de fêtes populaires. Elle est le siège du pouvoir économique et financier par le commerce qui marque le premier trait de caractère de cette ville depuis l'antiquité.

L'industrie entraîne l'implantation des usines et des banlieues ouvrières en périphérie. Elle connaît une croissance qui se fait davantage par les constructions au centre et dans les limites. Elle croit donc en cercles concentriques ce qui lui donne une structure déséquilibrée car elle est dépourvue de l'élément vital "l'espace naturel" qui peut participer à l'aération de cette ville. Le phénomène de croissance par attraction se développe et donne ainsi, naissance aux conurbations.

Le phénomène de diffusion

Certaines fonctions urbaines vont être rejetées hors du périmètre urbain. La ville, centre d'affaires, expulse les industries, estimées polluantes. Les carrières qui fournissent les matériaux de construction. Et également la nature et les fonctions de loisirs tels que les parcs et tous les espaces verts périurbains. La priorité est donnée à l'habitat dont la densité s'accroît sans cesse (sur le compte des espaces verts urbains) qui sont jugés en tant qu'équipements non rentables.

Ce même phénomène pousse les citadins à fuir la ville asphyxiante et inhumaine, dépourvue de lieux de rencontre, de détente, pour aller vers les villes satellites dépourvues elles aussi de lieux de rencontres, de jardins mais aérés sur le plan spatial.

Dans ce processus de diffusion, nous trouvons les habitants de la ville qui ont de tout temps possédé des terrains de culture situés à l'extérieur des murs, même s'ils ne les cultivaient pas eux-mêmes. Ils gouttaient le plaisir d'y trouver un lieu de repos. Ce plaisir fut dés, l'origine, réservé à la classe la plus aisée. Il est de mode que les citadins qui ont les moyens aillent résider sur le pourtour de la ville. Dans des villas spacieuses et confortables, avec des jardins, pour jouir des prérogatives qui étaient autrefois le seul privilège du roi. Une résidence suburbaine est un lieu de repos, tout près de la ville. Cette tendance centripète est parfois recommandée par une prescription médicale conseillant l'éloignement de la ville. Les conséquences du phénomène urbain

Chaque année, des portions importantes de terre, à vocation agricole, sont utilisées pour les besoins de l'extension des villes et pour la réalisation de travaux d'infrastructures rendus nécessaires par cette extension.

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Cette transformation peut engendrer de lourdes conséquences, dans le sens ou des espaces d'une grande valeur agricole sont minéralisés et ne jouent plus leur rôle écologique et économique mais ils servent de support pour des matériaux qui ne s'adaptent ni au site ni au bien fait de la population.

Le phénomène urbain a changé de dimension par le biais du processus d'attraction et de diffusion. Aujourd'hui un autre phénomène fait surface, c'est celui de la rareté de l'espace naturel en ville.

Du milieu urbain vers le milieu rural environnant, il existe différentes catégories d'espaces verts qui appartiennent tous aux "espaces ouverts" et jouent, suivant le cas, un rôle économique, social ou paysager. Ainsi sous le titre d'espace vert, rentrent les locutions suivantes : Espaces boisés-Espaces agricoles-espaces verts publics suburbains-espaces verts urbains.

Le Le monde monde compte plus de 326 villes de plus d’un million d’habitants et plus de

trois3 milliards d’humains vivent en zones urbaines.

En 1998 déjà 6 algériens sur 10 vivaient en villes (58,3% de la populationpopulation, soient environ 19 millions habitants).

L’Algérie est passée de 95 villes et un taux d’urbanisation de 29% en 1966, à 579 villes et un taux d’urbanisation de 60% en 19988.

Sur ces 579 villes ; 32 avaient plus de 100000 habitants.

La population urbaine établie sur la bande littorale représentait à la même période 37,8% de la population totale.

Les villes algériennes ont souffert de l’exode rural qui a déversdéversée par vagues successives, la dernière était celle des années 1990. Des populations attirées par les “facilités“ urbaines, puis celles qui ont fuit la misère et l'ine sécuritéterrorisme. Résultat : la ville s’est ruralisée par de nombreux biaisaspects.

La caompagne a étouffé la ville et parfois, on n’arrive pas à distinguer,ou faire la la

différence entre l’une et l’autre et ni l’une ni l’autre ne bénéficient d’interventions dans le sens du développement durable.

Les experts algériens soutiennent que “le développement“ et l’extension de beaucoup de grandes villes algériennes se sont souvent traduits par une forte consommation de terres agricoles et l’accaparement de l’environnement naturel qui était verdoyant, par de tristes bâtisses de béton en ville comme en caompagne.

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Densification des tissus anciens, prolifération de l’habitat non réglementé qui continue, mais aussi étalement périphérique considérable“.

Ils soulignent l’augmentation de la population et la réduction des zones vertes.

A ce propos, ils révèlent que “la superficie consacrée actuellement aux espaces verts en Algérie, est de 1,5 m2 par habitant contre 20 m2par habitant selon les normes

internationales, lorsque l’on considère les populations rurales et urbaines“.

Pour l’instant, la vie quotidienne dans les villes de l’Algérie est en butte à un stress urbain fait de toute sorte de pollutions et nuisances, en plus des soucis matériels dominants, dans une ambiance ou oü tout est marchandé et appelle au culte de l’argent et l’arrivisme. Presque toutes les villes algériennes connaissent le schéma séquentiel classique : une urbanisation rapide et non-conforme à la loi, croissance démographique aggravée par l’exode rural massif et imprévision des pouvoirs publics aux plans sanitairess et socialux. La forte densité de population et le brusque changement des modes de consommation engendrent une dégradation constante du cadre de vie et exposent l’environnement à des risques de pollution permanente tout en portant atteinte à la salubrité et la santé publique. Les villes algériennes se présentent comme une mosaïque socio spatiale sans harmonie dans laquelle s’y côtoient le noyau colonial, occupé à l’indépendance par les ruraux puis plus tard par des familles plus aisées, les médinas souvent en ruines, les lotissements en bordures de quartiers anciens, les grands ensembles construits par l’Algérie indépendante, et enfin l’habitat spontané, auto construits ou bidonvilles.

Ces paysages urbains que l’on retrouve à l’échelle nationale témoignent à l’évidence des mutations de la société, mais aussi de ses conflits et de ses contradictions.

Si la ville est effectivement à la base de développement économique et social, et de la création des richesses, ses mutations ont été très rapides pour pouvoir être contrôlées. Elle se trouve aujourd’hui confrontée à une série de problèmes tels que la dégradation du cadre de vie et des équipements, la défaillance des services publicques, l’exclusion sociale etl la violence urbaine.

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6 .1L’ORGANISATION: L’ORGANISATION TERRITORIALE DU TISSU URBAIN

ALGERIEN :

Si l’urbanisation coloniale avait concerné la frange tellienne, l’urbanisation actuelle a gagné à l’identique pratiquement tout le pays.

Le résultat a été que les agglomérations urbaines, de leurs nombreux dysfonctionnements, offrent un cadre bâti dans un espace urbain en plein désordre que ni les instruments juridiques, réglementaires et techniques, ni les mesures d’aménagement n’ont pu contenir. Les réorganisations territoriales se sont succédées depuis l’indépendance, avec à chaque fois, la promotion de nouveaux chefs-lieux, sans prise en compte de la différence réelle des activités urbaines productives.

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Le principal facteur de la différenciation est fonction du rang dans la hiérarchie administrative du pays pays,; il détermine le volume et la nature des équipements programmés par chaque plan.

Les différentes découpages qui avaient pour objectif le rapprochement de l’administration au citoyen, et l’équilibre régional, étaient également censés atténuer les mouvements migratoires interrégionaux, et stimuler les migrations locales.

De nombreuses villes ont vu ainsi leurs superficies se multiplier par 5 en moins de 30 ans. Cette ruipture avec les centres anciens, a été accentuée par une architecture répétitive, monotone, mettant en évidence l’existence de deux2 formes urbaines qui coexistent non complémentaires, celle des anciens tissus et celle des nouvelles urbanisations.

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*UNE TENDANCE LOURDE LA LITTORALISATION

La disponibilité d’infrastructures de transports (rouentières, ferroviaires, portuaires,

aéroportuaires aéroportuaireset d’énergies) a favorisé l’implantation et le développement des activités productives, mais aussi leur forte concentration; l’espace littorale abrite ainsi 91%

d1es industries sidérurgiques, mécaniques, métallurgiques et électroniques, 90% des industries des matériaux de construction, 85% des industries chimiques, 65% des industries de cuir et 56%des industries de textiles.

L’espace littoral algérien dispose de grandess potentialités : eau, sol, (37% du potentiel national)

, fForestières (32% de la superficie du littoral), halieutiques minières et touristiques, et enfin espace d’intérêt écologique (parc national d’EL KALAl kala, DEde TAZAaza, deDE

GOURAYAouraya, deDE CHREIYAhreia…..).

Ces ressources sont menacées par une démographie intolérable et une urbanisation anarchique, cause de dégradables sérieuses de l’environnement.

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6. 3 : *UNE URBANISATION INCONTROLEEE :

En Algérie, le contraste est grand entre les villes importantes dues pays qui concentrent les

activités,main-d’œuvre, infrastructures et équipements structurants, d’une part, et les villes de l'urs arrières pays, qui restentnt dévitaliséess et pauvress d’autres part.

Ce contraste s’est amplifié ces dernières années, sous la double contrainte de l’insécurité et de la paupérisation généralisées des coampagnes.

Le sud due pays a un réseau tout a fait particulier en relation étroite avec ses axes de communicabletion.

La politique de lutte contre les disparités régionales initiées dans le cadre des différents plans de développement n’aà pas juguléer le phénomène, et encore moins le restreindre laà la

pression sur les terres agricoles qui vient amplifier celle déjà enregistrée autour des zones urbaines.

Aussi ,ilAussi, il est urgent d’arrêter la fragilisation des villages et des centres ruraux par l’expansion peu réfléchie de l’habitat peri-urbainpéri urbain, mouvaement qui, ; au lieu d’impulser et de stimuler un développement de la vie rurale ,arurale, a renforcé les dualités zones rurales zones urbaines.

6 .4 : *DES CONSEQUENCES DE L'URBANISATION SUR LE CITOYEN :

La violence urbaine difficilement contrôlable, l’indifférence et l’individualisme ont fait leur apparition traduisant par une dégradation de bâti bâti. -cours écologie urbaine-

Au fils des années, certains quartiers se sont transformés en véritables ghettos oüu

s’accumulent les facteurs aggravantdéfavorables : systèmes d’assainissement insuffisant avec amoncellement de déchets et on ures d’eaux usées qui dégradeant la petite voirie déjà sans harmonie et sans entretien, trottoirs sales et souvent défoncés, pas d’espaces pour les

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Le bruit n’est pas la moindre des nuisances urbaines : il risque d’entraîner la surdité en cas d’exposition prolongées, il perturbe le sommeil, augmente la tension actuelleartérielle, le taux d d’‘adrénaline et l’irrigation sanguine de la peau et du tube digestifdigestif.

On mesure le bruit en décibels (ddBB) àa l’aide d’un sonomètre : entre 0 (c’est le plus faible bruit perceptible à une oreille) et 120 (sensation dextrementextrêmement douloureuse). Entre 70 et 90dBb, c’est la zone de présomption de danger pour l’audition.

Entre 60 et70dBb, l’intensité de bruit est reconnue fatigante pour l’organisme.

Le bruit fait par un véhicule peut atteindre les 80dBb et celui d’un marteau piqueur,100dBb. Les autorités locales semblent ignorer les nuisances du bruit, t

AlorsAlors qu’au lendemain de l’indépendance, il suffisait de ce plaindre au commissariat le plus proche pour que les agents de l’ordre public viennent, au nom de la loi, réduire au silence lea voisin fautif.

En 1980, un guide des collectivités locales, élaborés par le ministère de l’intérieur, donnait aux responsables locaux, un modèle d’arrêtée communal concernant le bruit.

En 2004, il n’y a pas de loi relative au bruit, mais paour autant, il n’y a pas de vide juridiques

autoeur de cette nuisance.unUn décret, signé en 1993 et entreer en vigueur depuis 1995, toujours valable, fixe les seuils d’intensité de bruit à 70dBb et 45dBb, respectivement entre 6 heures et 22 heures de brnuit, avec une réduction de ces seuils à 45dBb et 40dBb aux alentours des hôpitaux.

Ces dispositions ne sont généralement pas respectées même quand il s’agit de l’émission de bruit sanous nécessité ou par manque de prétencaution.

Les riverains des chantaiiers urbains sont souvent les arrachés du sommeil par la centaine de décibels envoyés dans leurs oureilles par le bruit d’un marteau piqueur, les fenêtres à doubles vitrages vont avoir un bel avenirêtre indispensables si la sous estimation de bruit persiste.

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La loi sur l’environnement ende juillet 2003, sommetsoumet l’activités bruyantes au

régionme très struicturé des installations classésclassées, une sorte de reconnaissance du droit au silence. Mais il n’y a pas de taxe sur le bruit et oen ne sait pas ce que dépense le pays pour lutter contre le bruit , alors que les sommes allouées aux domaines des déchets et des eaux – assisusées par exemple figurent dans les rapports officiels.

PREMIERE PARTIE:

Problèmes liés à l'urbanisation

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I.

1

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Les déchets urbains

:

Les déchets fsont partie du décor urbain en Algérie .on finit par trouver normal que dles ordures ménagères, et les animaux errants autour, ou des gravats restent éparpillées dans les ruesà la vue

De Tous ,;unun peu partout, y compris autour des marchés, écoles, hôpitaux, crèches et autres établissements qui reçoivent le public sans que personne ne se soucie de leur enlèvement et leur acheminement vers les lieux de décharges.

Selon les données du MATE, la quantité de déchets urbains produits en Algérie s’élevélèveé àa 8,5 millionsde tonnes par ans .elles est évaluée sur la base de la quantité produite par habésitant et par jour, estimée actuellement à 0,75 kg.

La libéralisation du commerce extérieure a mis sur le marché une quantité impressionnante de produits qui encouragent la consommation effrénée et gérergénèrent des déchets dont on ne sait ouoü les jeterés .les emballages prennent une part de plus en plus grande dans ce volume. les pertes dues à l’absence due politique de gestion des déchets urbains sont évaluées à 0,32% du PIB réparties entre impacts sur la santé et le cadre de vie (0,19%du PIB) et pertes économiques (potentiel des recyclages nonm réaliséses ,0,13%du PIB) . La gestion des déchets est le problème (casse de tête) des pouvoirs publics algérienns., Mmaintenir les villes propres relève des travaux d’hercule. C’est une tache qui accapare l’essentiel des effeorts des autorités.

Les collectivités locales ont faits de la lutte contre la prolifération des décdécharges sauvages, harges sauvages, leurs priorités absolues. Seulement l’expérience a montré que les opérations « coup de poing »

N ne donnent pas de résultas résultat.

Tous les constats soulignent les mêmes faits :

Les villes croulent sous le poids des immondices et les rues et places sont jonchée

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l’amoncellement des délais de construction issus des travaux d’aménagements effectues par des particulières et jetés sur la voie publique puis oublies pendant des mois, si ce n’est pas des années.

Les services de l’environnement reconnaissent quei les déchets sont un des facteurs du « malaise » vécu par les citoyens en milieu urbain.

L’installation d’une décharge doit prendre en compte les nappes d’eau, terres agricoles, l’esthétique des paysages et surtout l’hygiène et la salubrité publiques.

Les décharges qui sont improvisées prés des cités d’habitation empoisonnent la vie des riveraines qui gardent les volets clos en permanence et ne se hasardent plus , en été, à sortir prendre le frais , le soir , dans leurs quartiers, à cause des odeurs et des fumées.

Les centres de santé les plus proches enregistrent un nombre croissant de personnes

souffrantsouffrantes d’affections respiratoires ou cutanées.

Les rapports accablants se succèdent sur les bureaux des autorités locales mais les échos sont plutôt silencieux ce qui a pour effet de décourager les écologistes les plus obstinés.

Dans ces rapports, un nouveau terme, "ZOONOSEzzoonose", est souvent mentionné pour attirer l’attention sur les animaux qui errent au milieu des ordures, à la recherche de nourriture, et qui portent le risque de transmettre à l’homme des maladies infectieuses ou parasitaires.

Quand les premiers camions arrivent à la décharge pour déverser leur chargement

quotidienne, les chiffonniers, par dizaines, dont beaucoup sont des enfants, passent au peigne fin les ordures pour y prendre tout ce qui pourrait se monnayer. Pendant des heures, ils rampent dans des tonnes de déchets, au milieu des rats, des souris, des mouches, des cafards , ce qu’ils cherchent : boites de conserve, matières plastiques, matières organiques, et tout ce quie peut être revendu aux marchands de déchets. Ils sont parfois pieds nus et ne craignent pas d’être infjectées en marchants sur une seringue ou autre objet coupant, les revenus gagnés par cette activitésestsont souvent dépensés dans l’achat de la drogue.

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Ainsi, les spécialistes de la santé publique vont rencontrer le paludisme, les maladies,

parasitaires et les maladies de la peau.

L’enquête effectuéeer par des experts de l’INSP et de l’OMS a confirméer que des négligences en matière de ramassage d’ordonnurees sont à l’origine de la peste bubonique survenue en décembre 2003 à Oran.

On sait que le code communal promulongué le 7 avril 1990, a confiée la gestion des déchets produits par la consommation des ménages et par les activités industrielles et des services, aux APC.

La loi relative à la gestion, au contrôle et à la l’élimination des déchets, promulguée le 12 décembre 2001, confirme la responsabilité desu communes. Mais les APC sont dépassées par cette mission mission. Lla collecte n’est pas assurée dans les meilleurs conditions et son rendement est faible du fait de la sous – qualifications des 20.000 agents affectés à la gestion des déchets au niveau national.

Cette gestion relève traditionnellement de la fonction sociale de l’état, mais comme la tendance est plutôt à l’économie de marché,et à la marchandisage les privés attendent d’y Décelerdéceler le profit rapide qui motive, pour s'y consacrer.

s

a encore été trouvée alors que le ' n roblème p et durable à ce ble na conve solution e ucun A A

constats de ses multiples impacts négatifs est parfaitement connue depuis longtemps par les transfert de la décharge vers un

x qui consiste au s a solution de facilité l L . s pouvoirs public

autres site apparaît comme une sortez de chantage que tout le monde rejette.

de

s'opposent s' opposent

ulations ignore les risques encourus et les pop

n' né Plus personne de décharges d'habitation, d'habitation ,

toutes leurs forces à l'installation prés de leurs lieux

s

s de toute

arge et

sont jetés des déch

u ü

qui ne sont rien d’autre que des terrains vagues o la matière.

en du

me , en dehors de toute nor

s

nature

La recherche de sites pour les décharges est devenue une sources de tension et de les gens , le savoir certainement Sans communes. dans plusieurs urs ctualiser sie t confli veulent bien Ils ils . moi" "pas chez appliquent le principe universel du NYMBI qui signifie

consommer et utiliser tout les produits qui se présentent mais se mettrent en colère s'ils

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(22)

prés de chez eux. Les exemples qui leur

atterrir atterrer

apprennent que les déchets vont

donnent raison ne manquent pas. Il y a 3500 décharges non contrôlées sur tout le territoire

On en trouve toutes sortes de déchets : papiers, plastiques, boites de conserve, produits chimiques et hospitaliers, et même les voitures accidentes, on peut même constater des espaces envahis par la volaille avariée, des carcasses d'animaux, d'énormes Amos ferraille, des pneus, des gravats, des sacs de ciments éventrés et des objets hétéroclites, ramenés par des camions qui viennent déposer tout cela la nuit.

Sur le périmètre de 10 à 20 km de ces décharges non contrôlées, tout est complètement déchets.

par les

nvahit mpoisonné

e

tours, elles sont impropres à la consommation et l'eau est

m n

S'il y a des cultures dans les ale tout à fait non potable.

de

les

,

érable La combustion permanente des déchets dégage un taux de dioxine consid

d'environnement roblème p ment un ale e paradox nt

non contrôlées constitue

charges dé pc

avec la quantité indéterminée de déchets non compostables et notamment

. d'environnement,

des produits chimiques qui s'y sont accumulés.

au contrôle et à l'élimination des

,

loi relative à la gestion

2001, la 1 ,la 200

Depuis décembre

déchets, a introduit le principe de la collecte sélective reposant sur la valorisation et le t le

i n

recyclage et institué le schéma communal de gestion des déchets tout en consacra

. pollueur payeur . pollueur du principe – r payeu au municipaux, mis national de gestion des déchets

, programme

ROGDEM DEM

ROG

Le P

point par le MATE affiche l'ambition d'en finir avec les problèmes des déchets en Algérie. 2002, pour mai en , crée ) déchets agence nationales des (

l'AND Son instrument principal est

promouvoir les activités de tri, de collecte, de transport, de traitement, de valorisation et d'élimination des déchets, en fournissant une assistance technique aux communes sur la base d'une banque de données.

n'est pas suffisant : il faut aussi des moyens financiers techniques et

ci Mais ce ge des n r celles en cha locales, notamment

organisationnelles dont manquent les collectivités

grandes villes pour définir et conduire leur politique de gestion environnementale.

que savoir savoir le

les techniciens des bureaux d'hygiène sont bien placés pour terrain,

Sur le

toute leur bonne volonté ne suffit pas à pallier l'insuffisance de moyens. Certes un dispositif

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1992 de

s

fiscal, introduit par la loi de finance

le et ordures ménagère dont le montant a été relevé par la loi de finances enlèvement des des ec ue c'est n puisq ordures même recouvré , 2002 l'année finances pou par la loi de puis

2000 puis par la loi de s

relevé par la loi de finance été

dont le montant a TEOM

ménagères

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(23)

Même Mais son taux de recouvrement reste bas, 20 à 30%. pour l'année 2002.

s finance

s

couvrirait pas le coût du traitement des déchets ménagers estimé

re elle ne , % 100 e à recouvré

soit pour toute la production de , s tonne la inars d dollars 5 00 0 2 -1200 15 annuellement à s. inar ollar 0 millions de d 1760 22 0 et 1120 14 entre déchets, destinés à 22 DA de 5,505 milliards ;

Le PROG DEM compte sur les investissement publics

7,475 ; , (PSRE) la relance économique de soutien à 2001 titre du programme villes, au

au profit des 4 grandes villes du pays tes i bru , inscri opérations pour les DA de milliards pour les DA de 1,560 milliards et ) et Annaba , Constantine e Constantin , Alger, Oran (

opérations nouvelles prévues dans plan annuel 2003 pour 9 villes.

. villes 9 pour 2003 plan annuel milliards de DA. : 14,54 total le dans nouvelles prévues Au milliards de DA. total : 14,54 Au pas en général pas

déchets recyclables ne font Algérie. Les

Le tri est quasiment inconnu en

2003

s

récupération et de recyclage .la loi de finance

e d tri, organisée de n o ti ac l'objet d'une x

de la taxe d'enlèvement des ordures au 15%

comporte une incitation au tri en réservant

e installations d

x

tables ou recyclables au ront leurs déchets compos

ménages qui remett traitement prévues. de s tonnes par an 385000 : comme suit es e

La quantité de déchets recyclables est évalué

000 , métaux, 50 de s par an tonnes 000 , , 100 s s plastique de s par an tonnes 000 , , 130 s s papier soit un potentiel de , es divers s e tièr ma de s par an 95000 tonnes , s s verre de s par an tonnes . s an par DA de milliards 3.5 5 0 3 estimées à 000 tonnes , 760 recyclables de s e matièr

Ces chiffres doivent être considérés comme approximatifs, reconnaissent les auteurs de l'en

inventaire réalisé par le MATE. En amont des décharges une activité de récupération non et alimente un marché parallèle non négligeable.

e toléré réglementaire est lage, embal salage , 'une ' d aux déchets au déchets relatif 2002, 11 novembre Le décret du reprise de " cojem COJEM E " appelé nal, natio national ,

prévoit la mise en place d'un système

doit permettre la

déchets, qui déchets ,qui

recyclage et de valorisation de ces

reprise, de ,de

prise en charge d'une partie importante des déchets

plastiques et de les s e matièr trier les préalable, de condition au A . Recyclables recyclables

débarrasser des composés indéniable.

et la environnement fond pour l' ( FEDEP FEDEP

est financé par le

cojem COGEM

E

par kg sur les 10,50 Da

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qui reçoit une

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(24)

ment

la stratégie d'action pour une gestion écologique , 2004 en e ' On peut dire qu

dans le cadre du plan national

œuvre tionnelle des déchets solides urbains était mise en

ra no , et l'état budget de . Le DD -PNAE durable développement d'action pour l'environnement et le

la fiscalité locale et la générosité des bouilleurs de fonds offrent le financement. Encore il l'environnement. c'est nécessaire une police de

si puisque

faut la bonne gouvernance locale et

partie de cette recherche. deuxième

précisément dans la Cette stratégie sera détaillée

.

Mis en forme : Police :Non Gras

Mis en forme : Interligne : 1,5 ligne

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Mis en forme : Gauche, Espace Avant : 0 pt, Interligne : simple, Taquets de tabulation : Pas à 9,24 cm Mis en forme : Police :12 pt

(25)

2

. Problèmes liés à l'eau :

2

. a) Le défi de l'eau :

Ce défi n'est pas spécifique à l'Algérie.

La difficulté à évaluer les ressources en eau, par exemple, existe dans beaucoup de pays qu'elle a mérité une mention spéciale dans l'agenda 21.

Ainsi 1.4 milliard d'individus, dont la plupart vivent en Asie et en Afrique, n'ont pas accès à une eau potable de qualité et la moitié de la population du globe ne dispose pas

d'infrastructures d'assainissement. Et d'ici l'an 2030, un pays sur cinq souffrira du manque d'eau.

; 300 millions de personnes, en Afrique, ne sont pas reliées à un système d'assainissement pour l'évacuation des eaux usées, cCe qui explique pourquoi, sur ce continent, prés d'un habitant sur deux, souffre d'une maladie liée à la pénurie ou au manque d'eau assainie; Prés de 6000 enfants meurent chaque jour, dans le monde, de maladies, parce qu'ils n'ont pas accès ni à l'eau potable, ni à un assainissement adéquat, ni à une bonne hygiène.

C'est en référence à cette situation, que 2003 a été décrétée année internationale de l'eau douce.

Au sommet du G8 à Evian, en Juin 2003, les grands de ce monde ont inscrit l'eau parmi les points essentiels de leurs travaux, les nations unies se sont fixées comme objectif de diviser par deux, en 2015, le nombre de personnes dans le monde qui n'ont pas accès à l'eau potable et à des installations sanitaires.

C'est en référence à cette situation, que 2003 a été décrétée année internationale de l'eau douce.

Les experts avaient proclamé sur tous les tons que le 21éme siècle sera celui de " l'or bleu ", appellation consacrée aux marchés de l'eau.

Mis en forme : Soulignement

Mis en forme : Gauche, Interligne : 1,5 ligne

(26)

En Algérie, les premières années 2000 ont été celles de l'eau, comme ressource, elle a rempli les discours officiels et les colonnes de la presse qui ne lui a jamais consacré autant

d'espaces, dans tout les genres journalistiques (articles d'informations ou d'analyses, dossiers, enquêtes, interviews, reportages,…).

On a pu, ainsi, apprendre que le ratio entre les ressources renouvelables en eau et la

consommation est, pour l'Algérie, de 500 m 3∕ hab. ∕ an,; c'est l'indicateur de la pénurie d'eau. Pour les spécialistes, si la ressource naturelle en eau tombe à mois de 1000 m 3∕ hab. en année moyenne, elle devient une ressource rare.

En 1962, à l'indépendance, ce ratio était de 1500 m 3∕ hab. ∕ an. Sa baisse est significative: 720 m 3∕ hab. ∕ an en 1990;

680 m 3∕ hab. ∕ an en 1995;

630 m 3∕ hab. ∕ an en 1998 et 500 m 3∕ hab. ∕ an en 2002.

En 2020, on prévoit qu'il descendra à 420 m 3∕ hab. ∕ an et en 2025, à 300 m 3∕ hab. ∕ an (si on ne compte qu'avec les eaux de surface, ce ratio sera de 200 m 3∕ hab. ∕ an)

Parmi les pays du Maghreb (Algérie, Tunisie, Maroc), c'est en Algérie que les niveaux de mobilisation des ressources sont les plus faibles (moins de 31% des eaux de surface; et 32% des eaux souterraines);

En Tunisie (450 m 3∕ hab. ∕ an) presque l'ensemble des ressources mobilisables est déjà mobilisé (90% des eaux souterraines et de 70% des eaux de surface);

Le Maroc se trouve dans une situation intermédiaire (presque 70% des eaux de surface et souterraines mobilisées).

La situation hydrique de l'Algérie n'est pas une surprise pour un pays semi-aride qui connaît des épisodes de sécheresse – une donnée inéluctable- et des phases humides.

Sur les 100 Milliards de m3 de précipitations totales, la pluie efficace, répartie en écoulement et alimentation des eaux souterraines, en constitue 15%.

(27)

Les oueds ont un régime irrégulier allant du filet d'eau, qui désespère à la crue, qui inonde. Les experts ont eu à souligner la forte variation spatiale de la pluviométrie qui passe de 2000 mm sur les hauts reliefs côtiers à moins de 100 mm au Sahara, avec des écarts notables entre les régions Oranaise, moins arrosée, et Constantinoise.

Mais, il n'y a pas que cela. La croissance démographique et le développement économique combinés à l'aspiration au mieux-être qui se traduit par une forte poussée de l'urbanisation, concentrée sur le littoral, ont entraîné de plus grands besoins en eau. Or, les ressources disponibles sont compromises par des conditions climatiques défavorables, des défaillances dans la gestion de cette ressource et une pollution urbaine, industrielle et agricole qui dégrade la qualité de lL'eau.

Le PNAE-DD a résumé en trois points les tares du système de gestion de l'eau en Algérie:

1- les ressources sont limitées et de faible qualité, parce que c'est l'offre qui domine et la gestion de la demande n'est pas favorisée par une tarification adaptée.

2- La gestion irrationnelle des infrastructures engendre d'importantes déperditions de ressources (taux de fuite atteignant 50%).

3- Des quantités abondantes d'eaux sont rejetées non traitées.

La conclusion du PNAE-DD est pessimiste: le problème de l'allocation des ressources aggravé par celui de leur qualité (taux d'épuration quasiment nul), laisse envisager une grave crise de l'eau.

En Janvier 2002, un rapport présenté auxen conseil des ministres autorités centrales, a confirmé ce tableau alarmant. Les potentialités en eaux ont été évaluées à 16 Milliards de m3 par an (9Milliards en eaux de surface, 7 Milliards en eaux souterraines dont 5 Milliards au Sud).

Les volumes mobilisables à long terme sont estimés à 12 Milliards de m3 par an et les volumes mobilisés à 5,9 Milliards de m3: 2,2 Milliards de m3 à l'aide des barrages et 3,7 Milliards de m3 à partir des nappes dont 2 Milliards au Nord et 1,7 Milliards au Sud.

(28)

Mais du fait de la sécheresse qui a duré quelque 25 ans, on dit que les potentialités globales ont été réduites de 50% et le potentiel des ressources mobilisables de 25%.

Que faire ? Une seule vraie solution : économiser l'eau, cela signifie : résorption des fuites dans les villes, réduction de la demande par les consommateurs, éco efficacité dans l'industrie, efficacité de l'irrigation.

Aucune norme n'impose l'installation d'équipements sanitaires: -robinets, chasse, douche ou d'appareils ménagers, à faible consommation d'eau, qui répondent aux critères d'efficacité et d'économie et il est très rare que les programmes d'habitat intègrent la contrainte de la rareté de l'eau en prévoyant, de façon volontaire ce type d'équipement.

Dans l'agriculture, la pratique de cultures et l'utilisation de techniques d'irrigation qui consomment peu d'eau ne sont pas entrées dans les habitudes.

Le prix du m3 d'eau distribuée aux agriculteurs, 1 DA de 1998 à 2005, n'incite pas à l'économie de cette ressource.

Dans l'industrie, enfin, le recyclage des eaux n'est pas généralisé. Les projets de

développement ne prennent pas en compte les risques de pollution des réserves d'eau, en particulier dans les zones de champs captant.

Pour faire un terme à la pénurie d'eau, les autorités à la tête de ce secteurpubliques centrales

ont fixé tous les horizons qui se présentaient à leur vue.

Dans les années 1990, c'était 2000.cette échéance est passée et oubliée mais le problème persiste : pour une grande partie de la population, la distribution d'eau a connu des coupures, organisées par le plan ORSEC ou fortuites pour diverses raisons. Alors, de nouveaux horizons ont été ciblés, l'un proche, très proche même, à 2005, l'autre pas très lointain, à 2020, et un troisième intermédiaire, à 2013, qui pourrait être le bon puisqu'il correspond au plan décennal (2004-2013) qui découle d'une stratégie nationale de développement économique et social envisagée par les autorités centrales.

(29)

2.

b) Les barrages :

Les responsableschiffres de l'ANB récapitulent, plutôt, tout ce qu'il faut savoir sur les ressources en eaux superficielles (12.4 milliards de m3) concentrées au Nord du pays. La plupart des bassins du Nord tellien se débouchent sur la mer et collectent près de 90% des eaux qui ne sont pas toutes mobilisables à cause des limites dans les disponibilités de sites de barrages techniquement et économiquement faisables et du fait de l'érosion des sols et du phénomène de l'envasement.

Ces eaux sont caractérisées par leur irrégularité et une répartition spatiale qui impose des transferts importants pour satisfaire les régions les moins pourvues. Or, le coût du transfert est parfois la principale contrainte de la mobilisation des eaux.

L'ANB exploite 52 barrages d'une capacité totale de 6.207 milliards de m3. Ils mobilisent 2.2 milliards de m3 auxquels s'ajoutent environ 70 millions de m3 mobilisés par 400 retenues collinaires.

En 2020, les besoins seront d'au moins 11 milliards de m3. Il faudrait alors non seulement construire au minimum une cinquantaine de barrages, mais aussi une vingtaine d'unités de dessalement d'eau de mer de capacité de 50 000 à 100 000 m3 par /jour, et surtout, rénover une dizaine de milliers de km de conduites d'eau, pour réduire les pertes qui sont

actuellement de 30 à 50%.

En Janvier 2003, le taux de remplissage des barrages dépassait 47%, alors qu'à la même période, en Janvier 2002, il était de 38%.

On a constaté même des barrages fonctionnant à 100% de ses capacités et se voient contraints de lâcher le trop plein dans la nature.

Dans ces situations de "trop plein", la solution est la même partout : alléger la charge sur le barrage en donnant de l'eau à la population. Seulement, à chacune de ces distributions

Mis en forme : Police :20 pt Mis en forme : Non souligné Mis en forme : Soulignement Mis en forme : Soulignement

(30)

exceptionnelles, les rues des villes sont inondées, et pure perte, en raison de la multitude de fuites sur le réseau vétuste.

Autre problème, la pluie apporte aussi de quoi envaser les barrages, y compris des déchets toxiques, de la boue, des branches d'arbres, des débris métalliques,des animaux morts,… Au niveau national, l'envasement des barrages est de 11% de leur capacité totale soit environ 500 millions de m33, équivalent à la capacité de 5 grands barrages

Les

3

) Les

nuisances de l’automobile

:

laLa pollution de l’air classée parmi les plus fortes préoccupations de la santé publique dans les villes du fait de sa relation immédiate avec la mortalité respiratoire et cardio –vasculaire. enEn Europe, les agglomérations sont de plus en plus nombreuses à organiser des « jours saons voitures » avec gratuité des transports en commun pour encourager les gens à ne pas utiliser leurs véhicules sans être obligéser d’enfourcher un vélo ,toutvélo. Tout cela est fondée évidemment sur les résultats fournis par les stations de surveillance de la qualité de l’air et les conclusions qu’un'en tienrent les scientifiques.

En Algérie , le manque d’études épidémiologiques ne permet pas d’établir ,avec suffisamment de données, le lienu entre les problèmes de santé ( malaises , maladies , mortalités ) et la pollution atmosphérique, en particuliers celle d’une à la circulation automobile, il n’y a pas d’indicateurs santé-pollution et oen ne sait pas grand- chose sur les coûts directs (hospitalisation et soins ) et indirects (pertes productives ) entraînées par les crises d’asthme , les bronchites et les cancers du poumon.

Un réseau appelé SAMASAFIA , installé par le MATE, à Alger, en juin 2002 et àa

Annaba en 2003, pour surveiller en continu la qualité de l’air à travers la mesure des principaux polluants urbains : oxydes d’azote, dioxyde de soufre, oxyde de carbone, hydrocarbures, poussières fines et ozone.

Le réseau comprend plusieurs stations réparties sur un nombre déterminé d’agglomérations, reliées à un poste central. (Situé dans les locaux du MATE).

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Un bulletin quotidien, diffusé par quelques journalux donne les indices de qualité de l’air relevé sur ces sites, selon une échelle de 1 à 10 qui va du très bon à l’exécrable. Une procédure d’information et une procédure d’alerte au public sont préeuvues pour mettre en vigilance les organismes et services concernées et prendre les mesures d’urgences nécessaires.

Pour répondre aux besoins quotidiens de déplacements et de mobilité des personnes ainsi que des échanges de marchandises , les centres urbains , en Algérie , n’échappent pas à la règle valable dans les pays développés , qui donnes au véhicule une place prépondérante , quelques soient les performances du transport public.

La circulation à pieds en ville accroît la congestion de la circulation automobile déjà aggravée par l’inadéquation du plan de circulation aux dimensions du trafic et au degré de pollution qu’il émet.

Les transports publics urbains offrent un choix qui ne répond pas aux besoins des usagés (horaires irréguliers et destinations limitées) et tout le monde ne peut pas s’acheter un véhicule, même si la possession et l’utilisation d’une voiture sont une tendance qui se confirme en Algérie

Marcher dans les rues des grandes villes d’Algérie aux heures de pointe, qui correspondent à une tranche horaire très étendue, est un véritable souciecalvaire pour les piétons, surtout les vieilles personnes ouet les enfants. Un grand nombre de véhicules sont dans un état défectueux, duû à leurs ages très avancés, .et roulent avec une sur consommation de carburant qui entraîne un accroissement de la pollution. Ces véhicules anciens bénéficieant d’une véritable prime à la pollution grâce au monde de détermination du trafic de la vignette auxvignette auto qui prend comme référence l’année de mise en circulation. En votant la loi de finances pour 2004

L’APN a rejète la proposition du gouvernement d’introduire une déposition qui supprime la possibilité d’importer des véhicules usages de mois de trois ans d’age. (en 2003, Algérie a importé 170183 véhicules dont 80281 à travers le réseau des concessionnaire donc neufs, et 89902 par les particuliers, ce qui suppose une certaine proposition de véhicules anciens).

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(32)

Dans cette catégorie, certains véhicules atteignent facilement les dix ans d’âge, mais grâce à une fascisation de papiers, ils rajeunissent à moins de trois ans, pour être confirmes à la loi et sont vendu à des algériens qui les intègrent au par national.

Dans le lot, on peut trouver des tarots sauvés de la casse en Europe pour être expédiés dans notre pays.

C ‘est une des principales sauces de la pollution de l’air dans les villes algériennes.

Pour mesurer les dégâts causés par cette pollution, il n’y a qu’à faire un tour dans les stations

de bus et minibus.leLe groandement incessant des moteurs qui tournent provoquent toutes les nuisances : bruits, vibrations et gaz d’échappement, résultats : ces espaces sont envahist

par des fumées noirâtres dégagées par les tauyauxt d’échappements très nociverses pour la santé des voyageurs, des passants et des riverains. Pourtant, la loi sur la maîtrise de l’énergie impose aux véhicules et engins à moteurss des inspections périodiques sure la base des normes de rendement énergétique et de normes de l’environnement. Ces derniers existent et fixent les seuils limiteés des émissions de fumées de gaz toxiques et de bruits par les véhicules. Les conducteurs de véhicules sources de nuisances sont paossibles de sanctions selon la loi, mais ils ne se sententont pas toujours obligés possibles de sanctions selon la loi

à des réparations coûteuses mais nécessaires pour diminuer les dégagements de gaz et de fumées pour préfèrent économiser en roulant avec des moteurs défectueux qui provoquent une pollution visible et perceptible par tous.

.

Le contrôle technique des véhicules, qui a commencé en février 2003 peut contribuer efficacement à la rééducation de cette pollution. Il était déjà obligatoire, mais les dispositions de la loi du 10/02/1987 qui l’a institué avaient été rendues inopérantes par des contraintes financières. Les choses ont changé,e la nouvelles loi du 19/08/2001 confirme de caractère obligatoire du contrôle technique des véhicules et la loi des finances pour 2002 a dégagé les moyens de sa mise en œuvre. Un établissement spécialisé,er l’ENACTA, chargée de cette mission a été créée en août 1998 par le ministre des transports. En attendaent de toucher tout les véhicules particuliers, le contrôles a concsernvée dans une prmierepremière étapes les véhicules utilitaires, notamment les transports en commun.

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(33)

Pour des raisons économiques. le parc automobiles algérien –3 milliards –3 millions 06 véhicules dont l’age moyens est de 10 ans connaît depuis quelques année une tendance à la « diésélisation « que l’on constate facilement sur les routes et dans les marchés de véhicules

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(34)

environnementaux s’en trouvent aggravés , puisque le diesel contient 10 fois plus de soufre que l’essence et émet 50 fois plus de particules .certes il émet beaucoup moins d’oxyde de carbone et d’hydrocarbures qui sont des polluants atmosphériques importants .

Des études épidémiologique réalisées sur les grandes villes dans le monde , ont fait ressortir que le moteur diesel dégage des gazes d’échappement qui induisent des réactions inflammation des voies aériennes et provoquent des chargements à ces fois dans les cellules et les protéines cellulaires –un rapport de l’union européenne a confirmé il y a quelques années , la corrélation entre l’émission des moteurs diesel et le nombre de décès par affections respiratoires ,déjà démontrée par une étude britannique le même diagnostic a été fait en 1999 , par le gouvernement de Tokyo qui a éliminé les véhicules diesel de la diésélisation du parc automobile et ses conséquences suer les émissions de pollutions et la santé.

Principal accusé : le dioxyde de soufre qui provient du soufre en impuretés dans le gaz oïl .l’inters pour ce gaz s’explique par le fait qu’il est à la fois la polluant majeur de l’atmosphère et le premier à avoir été pris en considération et mesuré de manière continue , depuis que le fumeur smog de 1952 a mis en évidence à l’ondes sa responsabilité directe dans l’augmentation spectaculaire de la mortalité par maladies respiratoire et cardio vasculaire parmi les enfants de moins d’un an et les personnes âgées.

Les alternatives aux carburants polluants existent et ont pour noms : GPL (gaz de pétrole liquidé), GNC (gaz naturel carburant) et essence sans plomb.

Le GPL est un carburant peut polluent ; ni soufre ni plomb, ni produits aromatiques, sa combustion est complété et ses gaz d’échappement referment cinq fois moins d’oxyde d’azote et d’hydrocarbures imbrûlés que n’en dégage l’essence utilisé en Algérie.

De plus la d&pense en carburant par km est nettement à l’avantage du GPL carburant (GPL/C).

L’utilisation du GPL/C a démarré en Algérie en 1983 à travers le réseau de NAFTAL entre prise publique en 1989, cette opération enregistrait un totale 11485 véhicules converties ,69 stations de distribution et 36 centres de conversion sur l’ensemble du territoire.

(35)

A la fin 2002, il y avait une centaine des centres de conversion de véhicule en GPL/C à travers le territoire national et la production de GPL/C avait atteint 265000 tonnes.

En 2003 les chiffres indiquent une progression non négligeable mais encore en déjà des objectifs : 300 stations de distribution de GPL/C. NAFTAL de conversion grande capacité et 60 ateliers privés ,1200000 véhicules circulant au GPL/C.

Mais la part du GPLdans la consommation de carburants ne représente actuellement qu’a peine3, 5%. Curieusement, le GPL/C n’est pas mentionné dans les documents de l ‘ONS Parmi les carburants utilisés en algérie.

En 2010, il est prévu une production de 75000 tonnes GPL/C qui seront distribués à travers 800 stations.

A cette date, grâce aux gisements de Rhourde el Baguel, In Aménas et Gassi Touil, la production algérienne de GPL devrait atteindre les 10.000.000 de tonnes.

Le gaz naturel carburant (GNC) ne connaît pas un meilleur soit. C’est NAFTAL, encore, qui avait été chargée, en 1989, avec ses propres moyens de l’expérimentation du projet conçu en deux phases : une phase pilote suivie éventuellement d’une phase systématisation.

En 2004 3,5 millions de véhicules dans le monde roulaient au GNC. En 2005, 215000 véhicules devraient utiliser en Algérie ce carburant propre avec une consommation estimée à 1,9 milliards de m3 en substitution du Diesel pour 48000 véhicules et de l’essence pour 167000 véhicules.

Ces objectifs ne seront pas atteints. Appelé à remplacer l’essence et le gaz oïl dans le transport public urbains, le GNC avait pourtant tout pour réussir : l’importance des réserves de gaz naturel en Algérie , le nombre de localités alimentées ,plus de160, situées le long des routes et aussi la propreté du gaz par rapport à l’essence.

Et l’essence sans plomb ? Elle n’est pas inconnue en Algérie ou elle est fabriquée depuis longtemps par la raffinerie de Skikda pour être exportée.

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