• Aucun résultat trouvé

Sensibilisation des cathodes semi-transparentes

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Sensibilisation des cathodes semi-transparentes"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00205937

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205937

Submitted on 1 Jan 1965

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Sensibilisation des cathodes semi-transparentes

Brigitte Martin-Le Masne de Chermont, François Lenouvel

To cite this version:

Brigitte Martin-Le Masne de Chermont, François Lenouvel. Sensibilisation des cathodes semi- transparentes. Journal de Physique, 1965, 26 (3), pp.121-126. �10.1051/jphys:01965002603012100�.

�jpa-00205937�

(2)

121.

SENSIBILISATION DES CATHODES SEMI-TRANSPARENTES (1)

Par BRIGITTE MARTIN-LE MASNE DE CHERMONT Ingénieur E. S. O.

et FRANÇOIS LENOUVEL,

Docteur ès Sciences F. Inst. P., Commissariat à l’Énergie Atomique.

Résumé. 2014 Action des variations de l’équilibre cathode-environnement par l’intermédiaire des

pressions thermonucléaires sur la sensibilité photoélectrique spectrale des cathodes semi-transpa-

rentes.

Abstract.

2014

Effect of variations of the cathode-environment equilibrium through thermo-

molecular pressure on the spectral photoelectric sensitivity of semi-transparent cathodes.

PHYSIQUE 25, 1965,

En 1960, nous avons voulu ddtecter un signal

lumineux en presence de I’eclairement solaire per-

manent. Les cathodes photoelectriques ne r6sis-

tent pas a ce dur traitement sous leur tension de saturation (500 volts) ; mais en regime de charge d’espace (20 volts sous le meme flux), la couche ne

se fatigue plus et augmente de sensibilite.

Cette curieuse constatation nous a conduit à

appliquer ce traitement aux cathodes semi-trans- parentes de telescope electronique.

L’étude suivante decrit les résultats et en donne

une theorie provisoire.

I. Dispositif expdrimental.

-

Les cellules 6tu-

di6es sont constituees par un depot semi-trans-

parent de SbCs3 sur un disque plan concave de

verre recouvert de SnO. La cathode est suspendue

dans une ampoule brisable, l’anode est un petit

ruban de platine (fig. 1).

,

FiG. 1.

Les caractéristiques photoelectriques et spec-

trales sont mesur6es sur une surface centrale circu- laire de diam6tre 1 cm, au moyen d’une petite lampe etalon de surface : 0,057 cm2.

La temperature de couleur du filament est :

2 854 0 K, son intensite est de 37,4 cd.

(1) Travail presente lors du Colloque de photoélectricité

tenu h Dijon les 30 avril, 1er et 2 mai 1964,

Des filtres interférentiels, a double bande limi- tent un 6troit domaine spectral. Le tableau I en

donne les caractéristiques. Le tableau II donne les

puissances reques sur la cathode en ergs s-1 et

en nombre de photons par seconde dans les condi- tions expérimentales.

TABLEAU I

CARACTERISTIQUES DES FILTRES SCHOTT

TABLEAU II PUISSANCES ENERGETIQUES

ET NOMBRE DE PHOTONS PAR SECONDE

T de couleur : 2 854 0 K ; T de brillance : 2 500 OK.

S’ : surface de la source : 0,057 cml.

as’

=

1,55 X 10-2 cm4 ster.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01965002603012100

(3)

122

La cellule est aliment6e sous 128 volts pour les

mesures spectrales. La courbe de saturation est obtenue pour des tensions appliqu6es en progres- sion g6om6trique

Un galvanometre de haute sensibilite (10-10 Amp.) mesure le courant anode. Tous les courants

indiqu6s ci-apr6s tiennent du courant compte d’obscurit6 sous la tension correspondante.

Dispositif de sensibilisation.

-

La sensibili- sation est obtenue en soumettant la cathode a un

fort éclairement (environ 11 000 lux). Une lampe

de 150 watts est alors la source lumineuse. Une

glace Saint-Gobain verticale de 5 mm d’épaisseur

et un filtre Schott K G 3 de 3 mm d’6paisseur

éliminent la majeure partie du rayonnement infra-

rouge. La cellule et la lampe sont dans un mame plan horizontal, ce qui élimine le chauffage de 1’enveloppe de la cellule par Rapport convectif de

Fair.

La cellule est aliment6e par une tension de 20 volts et, dans ce regime de charge d’espace, le

courant se situe entre 15 et 30 microamperes. La

dur6e d’exposition peut atteindre 2 heures.

C’est parce que les cathodes opaques s’activaient

sous l’effet combine d’un fort éclairement et d’une tension de 20 volts que nous avons adopt6 ce pro-

cede. Duchesne utilise un eclairement lumineux

equivalent sans debit.

La figure 2 est un schema de montage :

FIG. 2.

II. Sensibilisation.

-

Nous avons 6tudi6 les crit6res photoelectriques suivants, sur une dizaine

de couche semi-transparentes pripardes à f roid, au

cours de la sensibilisation : gain commercial et rendement quantique, stabilite des performances acquises, saturation, comparaison avee la m6thode

Duchesne.

Les résultats sont identiques, seul l’ordre de

grandeur varie un peu d’une cellule a l’autre.

La r6ponse 6nerg6tique spectrale sous 128 volts

est d6termin6e avec la petite lampe etalon avant la sensibilisation, puis a diff6rents instants de celle-ci.

A ces moments, l’ampoule de 150 watts est 6teinte.

Les résultats d’une des cellules sont consignés dans

le faisceau de courbes (fig. 3) ou nous portons :

en abscisses la dur6e de sensibilisation ; en ordon-

n6es : le rapport it/io du courant it a l’instant t de sensibilisation, au courant io avant la sensibi- lisation, pour un meme flux monochromatique.

Chaque courbe correspond a une longueur d’onde.

FIG. 3.

Le tableau III donne les rendements quantiques

initiaux et finaux pour les diverses longueurs

d’onde utilis6es. Le rendement commercial (micro- amp6re par Lumen) n’a pas ete mesure ; il croit

d’un facteur 2 environ, par suite de la temperature

TABLEAU III

RENDEMENT QUANTIQUE D’UNE CELLULE

des sources habituelles (T = 3 000 OK). Cette

etude am6ne les conclusions suivantes :

A) GAIN COMMERCIAL ET RENDÈMENT QUAN-

TIQUE;

-

Toutes les courbes ont une allure hyper-

(4)

bolique a asymptote horizontale. Le gain apport6

par la sensibilisation croit avec la longueur d’onde.

II semble de la forme

FIG. 4.

11 est remarquable de constater que le gain

atteint un paliqr et que l’effet reste nul au voisi- nage de 3 000 A. Cette longueur d’onde correspond étrangement au potentiel d’ionisation du cesium

3,89 volts. Le gain limite est fonction croissante du flux sensibilisateur jusqu’h 1’6clairement maximum

que nous avons realise (11 000 lux).

B) STABILITÉ DES PERFORMANCES. - Le gain apport6 par la sensibilisation est pratiquement

atteint en 1 heure sous 11 000 lux ; il se maintient longtemps apr6s 1’extinction du flux intense sensi- bilisateur. La d6croissance est sensiblement expo- nentielle. Toutes les caractéristiques reprennent

leurs valeurs a quelques pour cent pres. L’expo-

sant de l’exponentielle varie avec la longueur

d’onde. La figure 5 repr6sente en coordonn6es

semi-logarithmiques la courbe it

-

io

=

f(t) qui

est une droite ; la sensibilite st, t heures apr6s la

fin de la sensibilisation, est donc de la forme :

FIG. 5.

La sensibilisation par un fort eclairement est donc un phénomène reversible ; nous avons pu le

rep6ter 5 fois de suite avec les memes caract6res.

C) VARIATIONS DE PRE SSION- SAT U RATION. - Un

rep6rage grossier de la pression résiduelle est fourni par la pente de la courbe de saturation. La figure 6

montre les différentes courbes de saturation obte-

nues au cours de la sensibilisation.

FIG. 6.

On constate toujours que la pression r6siduelle

croit avec l’augmentation de la sensibilite. Mais l’ionisation tres partielle n’est pas la cause de l’accroissement de la sensibilité. En effet, la varia-

tion de sensibilite existe pour une tension de 16 volts, valeur qui n’engendre pas d’ionisation ;

d’autre part, l’ionisation apporterait un accrois-

sement independant de la longueur d’onde.

D) COMPARAISON AVEC LA MÉTHODE DUCHESNE.

- La cellule no 183 a un net palier de saturation.

Les sensibilisations successives, bihebdomadaires,

sont tres reproductibles. Cette cellule a subi une sensibilisation, sans tension, par le meme eclaire-

ment de 11000 lux (m6thode Duchesne). Les r6sul- tats, pour des temps correspondants, sont absolu-

ment identiques. Ainsi le processus physique res- ponsable est le meme dans les deux m6thodes.

III. Fatigue.

-

Il est ais6 de fatiguer une

couche photoelectrique.

Appliquons simultan6ment un fort eclairement 11 000 lux et une haute tension (1000 volts) ; le

debit de 50 microamperes est maintenu pendant

20 minutes.

Nous avons applique ce dur traitement a une

cathode que nous avions sensibilis6e quelques mi-

nutes auparavant.

Nous mesurons la sensibilite spectrale et la pente du palier de saturation, au cours de la fatigue. Le

tableau IV rassemble les principaux resultats s

ttats initial, sensibilisation, fatigue (fig. 7).

(5)

124

TABLEAU IV

FIG. 7.

Il existe aussi un 6tat de fatigue, ou les propri6t6s photoélectriques de la cellule sont identiques a

celles de Petal initial ( fig. 8).

Comme la sensibilisation, les propri6t6s d’une

cellule f atiguee tendent vers une limite qui est une

fonction unique des param6tres du traitement.

Mais une cellule f atiguee peut encore etre sensi- bilis6e et revenir a son etat premier. Les caract6res photoelectriques de la fatigue sont l’inverse de

ceux de la sensibilisation : Chute importante de

sensibilite dans Ie rouge, baisse de pression r6si-

duelle...

Ainsi le processus physique de la sensibilisation

et de la fatigue est le meme ; cette r6versibilit6 cesse

partiellement pour les couches opaques ou il n’est pas possible de revenir compl6tement a 1’etat

initial.

Théorie provisoire.

-

Analysons attentivement l’intense éclairement qui procure une sensibili- sation. Ce flux lumineux engendre une difference

de température entre la cathode et 1’enveloppe.

FIG. 8.

En effet, la couche photoélectrique absorbe envi-

ron 50 % de la lumiere sans effet photoélectrique,

cette 6nergie est convertie en chaleur et accroit la temperature de la cathode de tlT. Nous avons

mesure 1’eclairement énergétique reçu dans le plan

(6)

de la cathode, au moyen d’une thermopile ; sa

valeur est de : 31 mW/cm2. La moiti6 de cet dclairement (15 mWJcm2) porte la temperature de

la cathode de T A T + AT ; si T est la temp6-

rature de l’enveloppe, c’est-à...dire de 1’ambiance.

La cathode 6change son 6nergie avec 1’enveloppe

par rayonnement ; cette valeur est :

D’oii une elevation de temperature de

AT = 12 °K ; dans les conditions pr6c6dentes, la

mince tige support de la cathode n’entraine que des pertes minimes par conduction.

D’autre part, l’enveloppe reste a la temperature ambiante, car la disposition horizontale du mon-

tage 6vite le chauffage par 1’air chaud qui s’élève

de la lampe de 150 watts et la partie infrarouge de longueur d’onde sup6rieure a 2,5 y qui serait

absorbée par le verre de 1’enveloppe de la cellule

n’existe plus dans le rayonnement car 1’epaisse plaque de verre l’ a absorbée auparavent.

C’est la nature tres particuli6re du rayonnement

en fonction de la longueur d’onde qui engendre

le AT utile. En effet, sans glace de verre la sensi-

bilisation sous le meme flux est pratiquement nulle.

Nous pouvons alors fournir 1’explication sui-

vante des ph6nom6nes observes :

Au cours de 1’elaboration de la couche photo- 6lectrique, 1’ensemble est baigné de vapeur de cesium. L’6tat permanent normal correspond à l’égalité des pressions thermomoléculaire de la cathode et de 1’environnement. La pression thermo-

moléculaire n’est pas celle du cesium pur, car les

propri6t6s de la couche photoélectrique ne sont pas celles du cesium massique.

Nous supposons en premiere approximation, que le cesium se conduit comme une impureté au sens

de la tonom6trie et que la pression thermomo]6- cualire est proportionnelle a la concentration quasi- superficielle du cesium. L’élévation différentielle de

temperature AT de la cathode par rapport a 1’enve- loppe entraine une augmentation AP de la pression

thermomoléculaire proportionnelle a AT par la for- mule de Clapeyron. 11 s’ensuit une migration de

cesium de la cathode vers 1’environnement jusqu’à

ce que la concentration du cesium depose sur 1’en- veloppe ait engendre l’augmentation identique AP

de la pression thermomoléculaire de 1’environ- nement.

Chiffrons la masse migrante u du cesium pour

un AP de 10-8 Torr (1,33 X 10-5 baryes), qui est

un ordre de grandeur possible.

soit ici :

Or une couche monoatomique de cesium contient

4 X 1014 atomes/cm2 ou 89 X 10-9 gr/cm2 de

cesium. La migration peut donc expliquer le depart

de plusieurs 6paisseurs monoatomiques. Avant la sensibilisation, les concentrations v. de cesium par cm2 susceptibles d’évaporation sont les memes

sur la cathode et sur l’environnement. Soit vo la valeur commune et Po la pression thermomolé- culaire correspondante :

On a par hypothese

a la temperature T commune de 1’ensemble.

Quand la sensibilisation atteint sa valeur limite, appelons :

v la concentration atomes/cm2 6vaporable sur 1’environnement,

v’ ]a concentration atomes/cm2 evaporable sur

la cathode,

AT la difference de temperature cathode-environ- nement. La conservation de la masse entraine :

A 1’equilibre, les pressions thermomoléculaires P et P’ pour des surfaces 6quivalentes sont 6gales :

P

=

kv sur l’environnement.

P’ : pression thermomoléculaire sur la cathode est la somme de deux termes :

la pression thermomoléculaire a T

=

kv’,

l’accroissement de pression correspondant a AT

soit c AT (formule de Clapeyron).

P

=

P’ entraine :

D’ou :

et

La pression r6siduelle a augmente comme l’expé-

rience le montre et la concentration v’ de cesium

quasi superficielle sur la cathode a diminue. Si la concentration initiale est sup6rieure a la concen-

tration de sensibilite maximum (exc6s de cesium à

la fabrication) on comprend que la perte de cesium corresponde a un gain de sensibilite qui varie dans

le meme sens que le AT et 1’eclairement intense.

On voit que la presence d’une tension tres peu ionisante (20 volts) ne modifie en rien les conclu-

sions comme nous 1’avons constate.

Retour a 1’etat d’équilibre.

A l’origine des temps, les temperatures sont les memes, les concentrations de cesium sont : v pour

1’environnement, v’pour la cathode, et les pressions

thermomoléculaires P et P’ a cet instant origine

sont telles que :

(7)

126

Le transfert de mati6re [t par cm2 et par seconde est proportionnelle à P - P’, soit

pour des surfaces 6quivalentes cathodes et environ-

nement.

Pendant un temps dt, le transfert est y dt ; il

introduit une variation de concentration dv’ sur

la cathode telle que :

or

D’ou une equation lin6aire du premier ordre :

et

Si vi est la concentration originale sur la cathode.

Nous ignorons la loi qui regit la sensibilite en

fonction de v’. D’une façon tres approch6e, on peut

supposer :

Si So et st sont les sensibilités initiales (t

=

0)

et a l’instant t, ce qui implique le retour expo- nentiel a Petal initial.

D’autre part, le coefficient k est attach6 a la concentration de cesium responsable de la sensi-

bilit6 dans une longueur d’onde. On comprend

ainsi que k varie avec la longueur d’onde, en cons6-

quence, 1’exposant de 1’exponentielle est fonction

de la longueur d’onde.

Fatigue.

-

Les nombreux electrons 6mis dans

une exposition a un flux intense sous haute tension bombardent et ionisent la vapeur r6siduelle. Les ions Cs+ suivent le champ et viennent tapisser la

cathode. Le milieu s’appauvrit en atomes comme

le tube a rayons X qui durcit pendant son fonc-

tionnement. L’enveloppe compense cette perte jusqu’au moment ou sa pression thermomol6- culaire a suffisamment baisse par suite de la d6crois-

sance de la concentration.

Nous assistons aux consequences de cette expli-

cation :

- La pression r6siduelle d6erdit, c’est-à-dire le

palier de saturation tend vers l’horizontale.

- La sensibilite d6crolt, car la cathode se charge

de cesium et la sensibilite spectrale tend vers celle du metal massique.

11 faut noter que le cesium ainsi introduit sur la cathode peut encore s’6vaporer, ce qui semble du

a la finesse de la couche ( 0,5 u) ; les cathodes opaques ne se comportent pas aussi bien.

Dans le cas d’un fort debit associe a une faible tension (20 V) le coefficient d’ionisation reste faible et les atomes ionises ne peuvent pas traverser la

charge d’espace cathodique sans s’y neutraliser et les atomes ne peuvent plus atteindre la cathode.

Conclusion.

-

L’équilibre cathode-environ- nement par l’intermédiaire de la pression thermo-

moléculaire regit les propri6t6s photoelectriques.

La sensibilisation et la fatigue ne sont qu’un meme aspect de la variation de concentration au voisi- nage de la surface emissive.

La reversibilite est bonne pour les cathodes semi-

transparentes.

Remereiements.

-

Nous remercions M. A. Lalle-

mand, Professeur au College de France, Membre

de l’Institut, de l’intérêt qu’il a port6 a nos tra-

vaux et des conseils 6minents qu’il s nous a prodi- gu6s. M. M. Duchesne a mis a notre disposition

nombre de cellules de convertisseur d’images sans lesquelles cette etude 6talt impossible, qu’il reçoive

ici 1’hommage de notre amicale gratitude.

Nous remercions le Commissariat 4 l’Énergie Atomique d’avoir autorisé la publication de ce

travail.

Manuscrit regu le 13 avril 1964.

Références

Documents relatifs

Si vous êtes en poste en ZR dans l’académie pour l’année 2008-2009 et que vous souhaitez vous maintenir sur votre zone, vous ne participez pas au mouvement intra mais vous

Exercice n°1 : Lorsque cette ampoule fonctionne normalement, la tension appliquée est égale à , l’intensité ainsi mesurée est de.. Calculer la puissance de

Pour mesurer la tension , la borne du voltmètre doit être branchée sur la borne A du dipôle et la borne COM du voltmètre doit être branchée sur la borne B du dipôle..

Dans le cas de matériaux qui présentent des temps d’évaporation inférieurs à la résolution temporelle du détecteur ( < 500 ps), l’hypothèse d’une évaporation assistée

Dans un premier temps, nous nous intéresserons à la caractérisation du phénomène de diaphotie selon les directions pour le pixel 1T75 Version A, puis nous comparerons les

Une observation plus fine des courbes sur la Figure 14b montre tout de même que pour des niveaux de déviateur supérieurs à 600 MPa, les courbes (q, ε x ) des échantillons de

La Figure 16 présente les variations de la tenue en tension en fonction de la largeur de la plaque de champ (W FP ) pour différentes largeurs de tranchée de

La largeur entre deux tranchées d’oxyde étant inférieure à la l’épaisseur de l’épitaxie, la zone de drift est totalement désertée ce qui entraîne un accroissement de