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Ferme des Bordes : optimiser le pâturage

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Academic year: 2022

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optimiser le pâturage

EnCentre-Val de Loire, la Ferme expérimentale des Bordes gère un élevage bio de près de 25 mères Limousines. Tous les animaux, près de 62 UGB au total, sont finis, entre 36 et 38 mois. Gagner en précocité est un objectif en cours. "

faut aussi faire face aux sécheresses et à une baisse de fertilité des sols.

S

ituée àJeu-les-Boisdansl'Indre, la Ferme expé- rimentale des Bordes, en place depuis 1975, associe l'organisme inter-établissement de réseau (OIER) des chambres d'agriculture de quatre départements (36, 18,23 et 87) et Arvalis-Institut duvégétal.Parmi sesdeux systèmes d'éle- vage allaitant, l'un est bio depuis 1998. ''Nous favorisons lesperformances lors duretour au pâturage pour maîtriser les coûts sur lapériode hivernale, c'est essentie!",résume Nicolas Dagorn (Arvalis), ingénieur régional Fourrages, respon- sable de la partie engraissement et finition. Le système bio est en place sur 63,5 ha, dont 51,5 ha de prairies et 12 hadecultures demélanges céréales-protéagineux assu- rant leconcentré. Les animaux évoluent sur des parcelles éloignées entre 6 et8km dusite d'hivernage. Les derniers moisdefinition ont lieuen bâtiment. Les femelles sortent àpartir de 36 mois,lesbœufs à 38mois. "On vise unpoids decarcasse de470 kg",précise Nicolas Dagorn.

Tous les mâles sont engraissés

Les animaux naissent entre février et début mars.Àpartir d'avril, les veaux sont avec leur mère au pâturage. 'Ils se nourrissent aulaitetà l'herbepâturée selon leur avancement en âge, mais on neles complémente pas,préciseThierry Foussier, technicien Fourrages pour l'OIER. Lesevragea lieu courant septembre enfonction dela disponibilité en herbeet l'état des mères." À partir de fin novembre àl'âge de 9mois, tous lesmâles sont castrés à la pince. "On nefait pas de tri, nous engraissons tous nos mâles, assure Nicolas Dagorn. Cela induit plus d'hétérogénéité dans nosperformances, mais on ne vend aucunanimal en broutard dans lecircuit conventionnel. »

Chaque année, 12 mâles en moyenne sont engraissés. Les femelles, hormis 5 à 7génisses pour le renouvellement,

Les mélanges testés sur la ferme

• Triticale/seigle/avoine/pois fourrager/féverole

• Triticale/pois fourrager

• Triticale/féverole

• Triticale/pois fourrager/féverole

• Triticale/avoine/pois fourrager/féverole

•.• Excellents rendements 2019 mais part de protéagi- neux faible et hétérogène (5à20 %).

Nicolas Dagorn (Arvalis), ingénieur régional Fourrages et Thierry Foussier technicien Fourrages à l'OIER.

et les vaches de réforme le sont également. Après trois hivers, alieul'abattage, ladate moyenne se situant autour du 20 mars. Les animaux sont commercialisés auprès de Sicaba via Sicarev Coop. Les carcasses sont plutôt bien classées: un état d'engraissement majoritaire de "3" et

"U-"pour la conformation (1).

Trois hivers à passer

Après le sevrage, les animaux sont en ration hivernale en stabulation. "On leur donne notre meilleur foin et un complément d'un mélange céréales-protéagineux pour parvenir à 500 g de croissance par jour", détaille Thierry Foussier. Ce mélange autoproduit à base de triticale varie selon les années et les parcelles (voir encadré). Le

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BIOFIL·N°126· NOV./DÉC.2019

C

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pâturage reprend fin mars, dès que la portance des sols est suffisante. Ildure le plus longtemps possible jusqu'en novembre, voire décembre. "On va surtout chercher la croissance au pâturage", rappelle Nicolas Dagorn. Ce principe de "croissancecompensatrice" se poursuit entre le second hiver et le printemps suivant. Les génisses en phase de reproduction sont, elles, soutenues. Après le troisième hiver, les mâles ressortent dès que possible (ce peut être en déprimage), puis après mi-août, chacun reçoit au champ un complément de 2,5 kg du méteil et plus après mi-octobre. "Le pâturage peut durer si les conditions sont réunies", complète Thierry Foussier. Après le 20 novembre, la finition se poursuit en bâtiment. Un enrubanné de première coupe compose 60%delaration, complétée de4à5kg du mélange céréalier. Les abattages démarrent en début d'année au fur et à mesure des états de finition et des besoins.

La gestion de l'herbe: un point clé

Les 28 ha de prairies permanentes et 23,5 ha de tem- poraires sont gérés en pâturage tournant. "Pourfaire un maximum deperformances, nous optimisons l'herbe aussi bien en quantité qu'en qualité", assure Thierry Foussier.

Un pâturage tournant est réalisé dans des paddocks de 1 à2 hectares, et en période de finition, des parcelles de repousses après fauche offrent justement la meilleure qualité. La méthode Herbo- Lis,mise au point par Arvalis, est utilisée pour valoriser l'herbe en conjuguant système de calcul et herbomètre. "On difinit un nombre dejours de pousse sur chaque parcelle identifiée pour essayer de faire correspondre labiomasse disponible avec lesbesoins des ani- maux", explique Nicolas Dagorn. La méthode s'appuie sur des abaques particuliers, transformant les bœufs en équivalent vache-veau (EVV) pour définir un nombre d'ares adéquat par animal, prenant en compte leur poids vif. "Cela nous permet d'affecter des parcelles au pâturage ou àlafauche etfixer un cadresurlepremier cycledeprintemps", ajoute Thierry Foussier. De très bonnes valeurs alimen- taires sont recherchées pour l'enrubannée. Les premières fauches ont lieu versle 10-15 mai. "C'estune descléspour engraisser", précisent les spécialistes.

S'adapter face aux aléas

À l'été 2019, cette gestion arendu possible le pâturage jusqu'à fin juillet etune partie sur août malgré laséche-

resse. Faire pâturer les animaux dans les chaumes en les affourageant préserve aussi des surfaces fragilisées.

"C'est une règlegénérale quel'on s'estfixée pour conserver les ressourcesfourragères desprairies, précise Thierry Foussier.

Valeurs alimentaires obtenues en 2018 (enrubannage)

• Prèsde 0,8UFV,69PDIN,70PDIE,1,20UEB

•Herbe produite en prairies temporaires

• Pâture: Fétuque, RGA, dactyle + trèfle blanc, lotier ou fauche: trèfle violet, luzerne

n

BIOFIL· N° 126.NOV. / DËC.2019

Des bœufs Limousin à30mois en début de période de finition, qui se terminera en bâtiment.

Et s'il n'y a pas dechaumes à disposition, on limite le dépla- cement des animaux sur une prairie." Cependant la séche- resse aeu raison d'une bonne partie des stocks prévus pour l'hiver, du foin notamment. Sur les trois dernières années, près de 90 t de fourrages ont dû être achetées.

Car la problématique de fertilité des sols (2) pénalise aujourd'hui laproduction d'herbe. Un manque de phos- phore et de potasse est identifié. Diverses solutions et modalités sont testées mais restent coûteuses. L'enjeu est aussi d'améliorer l'autonomie en concentré autoproduit pour lafinition desbovins, même si des achats pourraient être envisagés localement. Cinq mélanges de céréales- protéagineux sont produits sur la ferme pour définir ceux qui s'en sortent le mieux et donnent les meilleurs rapports énergie-azote.

Finir des animaux plus jeunes

En 2014, la ferme desBordes avait déjà testé une finition précoce. Les animaux étaient complémentés plus tôt et plus fortement pour être finis à30 mois avec despoids de carcasses de 320 kg.L'expérience ne futpasconcluante, car lesanimaux abattus, malgré les poids attendus, n'étaient pas finis. "Deplus, nous avions travaillé avec nosanimaux dits "tardifs'", précise Thierry Foussier. Les travaux se sont enchaînés sur un rajeunissement par la génétique.

Si la ferme de Thorigné teste le croisement Limousine/

Angus, celle des Bordes a choisi de maintenir un schéma en race pure Limousine, "un travail de longue haleine".

"Nous utilisons des taureaux d'Irl, Cameos,Jensuis, Ozeus, poursuit Thierry Foussier. On vise laprécocité avec moins de gabarit mais toujours des qualités maternelles etlaitières.

Et c'est un enjeu car souvent la précocité est carreleeavecdes valeurs laitières négatives. »Après cinq ans, "lepari defaire des bœufs à30-32 moisn'estpas encoregagné"car il reste dans le troupeau des vaches très tardives nécessitant d'attendre au moins deux générations avant d'avoir des résultats palpables .•

l'rédériclZ~oche (1)Conformation: classement Europ. État d'engraissement: 1à5.

(2) Solsdits "bordure deBrenne", hydromorphes l'hiver, séchants l'été.

(3)

Finir à l'herbe

malgré la sécheresse

Kevin Redondaud, éleveur de Charolaises

Installé depuis 2013, Kevin Redondaud élève une soixantaine de vaches Charolaises. L'objectif de finir tous ses animaux en bio est atteint cette année.

Mais les sécheresses 2018 et 2019 impliquent de s'adapter sur tous les fronts.

Parmi les solutions, le sorgho.

A

u 18septembre, Kevin Redondaud

dresse un état deslieux. "Pour l'instant, nousn'avons pas de ,-- __

repousse d'herbe, explique- ~---- t-il. Le sorgho nous a

sauvés cette année. Tous lesanimaux sont complémentés depuis le14juil- let." Après un été 2018 sec,l'éleveur a anticipé avec 10,5 ha de sorgho.

Deux coupes ont pu être distribuées envert auchamp durant tout l'été 2019.

Au 15octobre, l'éleveur signale "unepetite repousse".L'objectif habituel de finir les ani- maux à l'herbe reste néanmoins hypothé- tique dans un tel contexte. La finition a été retardée et le poids de carcasse amoindri.

Pour lui,il faut s'ypréparer pour lesannées à venir. Malgré tout, en 2019, ses 60 mères

ont produit 55 animaux, pour moitié mâles et femelles, tous finis en bio entre 30 et36 mois, avec quelques veaux de boucherie. Tous sont valorisés en filière longue avec Unebio.

Autoproduire au maximum l'alimentation

Dans lacommune de Haut- Bocage dans l'Allier, la ferme de Kevin Redondaud compte 155 ha de Sausur, "dessols argileux assez hydromorphes". Près de 70 ha sont en prai- ries permanentes ou assimilées, 45 à 60 ha en prairies

Non issu du milieu agricole, Kevin Redondaud a repris en 2073 une ferme en bio depuis une vingtaine d'années.

temporaires sur une base de luzerne et de trèfle violet et une vingtaine d'hectares

d'un méteil de triticale-pois fourrager.

'--"_..:l. Cette année, 18 ha de sorgho ont été implantés pour pallier le risque sécheresse. Mais seuls 10,5 ha ont réellement donné.

Distribué au champ durant tout l'été, le sorgho est complété avec de la paille. Grâce à ces fourrages, les stocks ont été préservés: 80 t de foin et près de 250 t d'ensilage d'herbe.

"On en a distribué unpeu cetétémais l'ali- ment hivernal devrait être assuré",précise l'éleveur. Cultivés en renfort, 5 ha de maïs ensilage serviront également les vaches et lesjeunes animaux entre un et deuxans cet hiver. "[essaie dans la mesure dupossible d'éviter des achats extérieurs en faisant un maximum de croissance àl'herbe", assure l'éleveur.

Système d'élevage à l'herbe

La monte naturelle est privilégiée. "Lesvaches sont mises autaureau entrejanvier etdébut février, puis lesvêlages ont lieu entre novembre et décembre, étalés jusqu'au début de l'année suivante", précise-t-il. Les animaux sont castrés à l'élastique à 15 jours et 3 semaines. La mise àl'herbe commence début mars. Les veaux consomment lelait des

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BIOFIL .126.NOY. / DËC.2019 ''-1

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Bœufs de30mois en finition au pâturage tournant (juin 2078). Lesprix payés vont de 4,60à5€/kg decarcasse. Celle-ci estenmoyenne de454kg pour les bœufs.

2016 2017 2018

Références technico-économiques

Kévin Bioréférence Kévin Bioréférence Kévin

Kg de concentré/kg vachevive produite 2,08 1,60 1,59 1,52 2,04**

Coût aliment/kg vache vive produite 0,75 € 0,50 € 0,55 € 0,57 € 0,87 €

Production autonome kgvifs/UGB 224 222 230 239 193**

Marge sur coût alimentaire/UGB 534€ 755 €* 571€ 741€* 546 €*

mères, en pâturage tournant suivant un découpage de 4 à5 parcelles, dans lesquels les animaux tournent chaque semaine.Àpartir dejuin, laproduction d'herbe diminuant, chaque veau bénéficie d'un soutien pour la croissance

Christèle Pinaud, aux côtés d'Emmanuel Desilles, référent technique régional Bovins Viande bio àla chambre d'agriculture de l'Allier, partenaire du projet.

KevinRedondaud fait partie de16 éleveurs suivis dansle cadre de BioRéférences (PôleAB Massif Central). Ses résultats sont observés depuis 2016,maisleprojet a débuté en2014. Lorsde Tech&Bio,Christèle Pineau(Idele),référente Bovin viande pour BioRéférences (1) a présenté des éléments de cette étude. Elle apporte ainsi des références technico-économiques en bio,

*avecplus-value desventes directes

**impact fort d'une sécheressetrès longue

de 500 g/jour du méteil aplati. Le sevrage est réalisé en bâtiment autour de mi-septembre, versl'âge de dixmois mais les animaux sortent à lajournée s'ily a de l'herbe au près. Après une semaine, ils sont remis au pâturage

en matière de durabilité ou de capacité d'adaptation face aux aléas climatiques auxéleveurs du Massif Central.

Veau sous la mère,veau rosé ou bœuf sont produits par les éleveurs naisseurs-engraisseurs étudiés. Parmi les moyennes des éleveurs finissant des bœufs, la surface augmente d'un hectare par an atteignant 139ha entre 2014 et 2017,la taille du cheptel passe de 56à 62 vêlages. "Les résultats tech-

niques

s'améliorent

et les animaux sont mieux finis avec des systèmes relativement économes,

explique Christèle Pineau.

En

2077,

l'ensemble des produits atteint

579euros/tût)

kg de viande vive

(vv)

mais n'arrive pas

à

couvrir

le

coût de pro- duction se

situant à605

euros/tût) kg vv.

La rémunération

ainsi permise par

le

produit est de

7,6

smic, mais l'objectif de 2 smic n'est pas atteint."

L'étude se poursuit en 2019."On va

voir comment les systèmes se sont adaptés aux sécheresses, l'objectif étant d'avoir des animaux

bien finis",conclut-elle.

(1)Autres filières concernées (70fermes) :caprin, ovin lait, ovin viande, bovin lait.

En savoir + :bioreferences.bioetclic.org

Source: repères issusde BioRéférences.

o

BIOFll·N°126·NOV/DËC2019

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puis rentrent quand les parcelles ne portent plus, entre novembre et décembre, mais avecun accès permanent à l'extérieur. En mars suivant, ilssont deretour au prés. "Le but est delesavoir le moins possible en bâtiment", précise l'éleveur.Les animaux sont conduits par lots homogènes mais ne sont complémentés qu'entre leur 2e et 3eannée.

Une finition revue en 2019

Au troisième printemps, c'est la dernière étape. "Enprin- cipe, à cettepériode chaque animal enfinition reçoit 1kg de méteilpar jour, mais pas cette année, carje manquais de report de stock à causedelasécheresse2018", indique Kevin. La finition a démarré directement enjuillet. Le méteil est distribué durant 6 semaines jusqu'à 6kg en complément du pâturage. "Lapremière semaine,je donne 1kgpar jour par animal, 2kg en2esemaine, puis 3kg, etc.,jusqu'à 6kg",

précise le producteur. Cette année, le manque d'herbe à pâturer a été remplacé par l'ensilage d'herbe et lapaille. 'Je donne 3à4kg de paille et12à13kgd'herbe ensilée avecle méteil,préParés àlamélangeuse", détaille-t-il. Les abattages, débutant en septembre-octobre, ont dû être retardés à début novembre. "La croissancedes bœufi estimpactée, donc nous avons desdécalages",avoue le producteur. Les sorties sont définies en fonction del'état de chaque animal jusqu'à l'été suivant: les bœufs àl'automne, les génisses durant l'hiver et enfin les vaches dites "improductives", engraissées à l'herbe et abattues en juin-juillet.

Stratégies pour l'avenir

'Je suis en recherche d'amélioration constante surl'autonomie et laperformance du troupeau", confie Kevin. Un moindre développement des carcasses dû au climat cette année - estimé à 20 kg en moins - ne sera pas sans incidence économique. "Et celarisque de se reproduire", estime le producteur. Si lesqualités bouchères de ses animaux sont plutôt bien classées àR+, 3,les améliorer en U permettrait de rééquilibrer. ''Faireplus de viande sansfaire plus depoids passe par la génétique, estime-t-il. D'autant queje veux conserverdes index de qualités maternelles et defocilité de nais- sance."Et cet objectif est atteint avec ses quatre taureaux inscrits en station et génotypés (1).La monte naturelle est priorisée "par simplicité", mais il pourrait envisager de faire plusd'inséminations. Un autre objectif est de ne pas dépasser un chargement de0,8 à 1 UGB/ha. "L'an dernier, j'étais à1,10 UGB/ha. C'est trop pour une mauvaise année", estime-t-il. L'éleveur a repris une dizaine d'hectares de prairies naturelles près de chez lui. Depuis deux ans,il ne fait plus de Baron bio (jeune bovin engraissé) et n'a pas produit de broutard cette année. Ses animaux partent en filière longue. Dans le futur, il pourrait envisager une part de vente directe .•

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