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ÉCONOMIE Le Mouchoir Français redonne des couleurs à la filière textile. TERRITOIRE Défi pour l Environnement prépare son opération nettoyage

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Academic year: 2022

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N°11 — 13 MARS 2021 — 1,40 €

AGRICULTURE DIVERSIFIÉE :

QUAND LES FERMES DEVIENNENT AMBASSADRICES

ÉCONOMIE

Le Mouchoir Français redonne des couleurs à la filière textile

© DR © DR

TERRITOIRE

“Défi pour l’Environnement”

prépare son opération

nettoyage

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Au service des professionnels depuis 1818

10e rencontres annelles Cyberlex : quel secret

sur la toile ? Journal hebdomadaire d’information juridique et d’annonces légales

15 février 2019n°7 - 1,40 

DROIT

© A.P. © A.P.

ENTREPRISE

Les avocats s'immisce nt

sur le marché du conse il

aux entrepreuneurs

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EUROPE

Brexit : “No Deal, No Hope ?”

L'incertitude et les contradictions britaniques

© D.R.

Confronter son projet aux regards des autres,

la clé du succès

SALON DES ENTREPREUNEURS 2019

Journal hebdomadaire d’information juridique et d’annonces légales 19 avril 2019 • n°16 - 1,40 €

Popsquare, des bureaux

“nouvelle génération”

à Aubervilliers

© Hadel-Lebihan

Métiers d’art : les territoires font dans la dentelle

© D.R.

L'IFEC examine la Loi de financement de la Sécurité sociale (LFSS) 2019

© D.R.

EUROPE

CHIFFRE IMMOBILIER

Les directeurs juridiques misent sur l'éthique et la pédagogie

© A.P.

DÉBATS DU CERCLE MONTESQUIEU 2019

Ancrage local fort Légitimité historique Sentiment d’appartenance

Outil d'information microéconomique du territoire Pertinence et crédibilité des contenus

Une offre multicanal pour toucher les décideurs et acteurs économiques

www.affiches-parisiennes.com

e 90 100 lecteurs I 450 000 visiteurs I 650 000 pages vues/ an

@AffichesParisiennes

Votre contact publicité commerciale :

Philippe BESSON 06 63 80 63 72 – p.besson

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N° 11 — 13 mars 2021

Hebdomadaire d’annonces légales, judiciaires et administratives agréé pour la Seine-et-Marne

SOCIETE DES EDITIONS DE PRESSE AFFICHES PARISIENNES

S.A. au capital de 576 000 euros RCS PARIS 572 227 593 Siège social : 3, rue de Pondichéry

75015 Paris

Tél. : 0 142 603 678/Fax : 0 142 612 784 site : www.lemoniteur77.com

Président-directeur général : Éric Berthod

Directeur de la publication : Éric Berthod

Directeur juridique et directeur de la rédaction : Boris Stoykov

Éditeur : Fabrice Audouard

Rédaction :

15 place de la Porte de Paris, 77000 Melun

Tél. : 0164370564/Fax : 0164374263 redaction@lemoniteur77.com Rédacteur en chef : Jean-Paul Viart

Journalistes rédacteurs : Anne Moreaux, Quentin Clauzon,

Farid Zouaoui Secrétaire de rédaction

maquettiste : Philippe Charresson

Publicité commerciale : Aurélie Versini Tél. : 0678061737

mail : a.versini@lemoniteur77.com

Impression : Imprimerie de l’Avesnois, rue Pierre Charpy

59440 Avesnes-sur-Helpe Numéro de commission paritaire :

1022 I 82204 ISSN : 1144-4037

Abonnement Tarifs TTC 1 an : 32 €

2 ans : 60 La présentation des annonces est soumise aux règles définies par l’arrêté du mi-

nistre de l’Économie et des Finances et de la ministre de la Culture et de la Communi- cation du 21/12/2012 modifié par l’arrêté du 07/12/2020 (NOR : MICE2027093A).

Le prix d’une ligne d’annonce s’entend pour une ligne de référence de 40 signes, espaces inclus, composée en corps 6,5 exprimé en points pica, soit une hauteur de ligne de 2,288 mm. Pour la nécessaire visibilité de l’annonce, une ligne du texte de l’annonce, hors titre et sous-titres, doit comprendre au moins 34 signes. Le blanc compris entre chaque ligne n’excédera pas 2,288 mm. Le prix de l’annonce est éta- bli au millimètre-colonne du filet supérieur au filet inférieur de l’annonce sur la base du prix de la ligne de 2,288 mm compte tenu du nombre de signes par ligne s’il est différent de celui de la ligne de référence de 40 signes. Le tarif d’insertion d’une annonce judiciaire et légale ne peut faire l’objet d’aucune remise ou ristourne.

Annonces légales.....5,14 €ht Extraits et avis simplifiés...17,00 €ht Petites annonces et avis divers...17,00 €ht La ligne de 40 signes corps 6 + TVA 20 %.

TARIF HT DES ANNONCES ET MODALITÉS DE PUBLICATION

NOS BUREAUX EN SEINE-ET-MARNE : 15, place de la Porte de Paris - 77000 Melun Tél. 01 64 37 05 64 - Fax. 01 64 37 42 63 E-mail : annonces-melun@lemoniteur77.com

Le MSM est habilité à publier des annonces légales et judiciares par arrêté prefectoral n°2020/PJI/298

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L'incertitude et les contradictions britaniques

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“nouvelle génération”

à Aubervilliers

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Métiers d’art : les territoires font dans la dentelle

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AGRICULTURE DIVERSIFIÉE :

QUAND LES FERMES DEVIENNENT

AMBASSADRICES

Art. 2-1. – Par dérogation aux dispositions de l’article 1er, le tarif des annonces légales relatives à la constitution de sociétés commerciales prévues par l’article R. 210-3 du code de commerce et à la constitution de sociétés civiles prévues par l’article 22 du décret no 78-704 du 3 juillet 1978 relatif à l’application de la loi no 78-9 du 4 janvier 1978 modifiant le titre IX du livre III du code civil est déterminé de manière forfaitaire, selon les modalités fixées à l’annexe VIII. Le tarif des annonces légales relatives à la constitution de sociétés dont la forme n’est pas mentionnée à cette même annexe VIII demeure déterminé conformément aux dispositions de l’article 1er.

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COMMERCE

SOLIDARITÉ

NUMÉRIQUE

Aldi France poursuit la rénovation et l’in- tégration des magasins Leader Price avec dix magasins transformés en Île- de-France d’ici la fin de ce mois. Aldi, qui possède 886 enseignes et qui emploie plus de 10 000 personnes, a racheté ces magasins au groupe Casino dans le cadre de sa stratégie de développement.

Parmi les dix enseignes rachetées figure celle de Lieusaint située dans le parc d’activités du centre commercial régional Westfield Carré Sénart.

L’inventeur du discount, implanté en France depuis 1988, souhaite continuer de donner accès aux meilleurs produits au meilleur prix pour tous. L’ensemble des salariés des dix magasins Leader Price seront formés avant de rejoindre leurs nouveaux collègues d’Aldi.

Ouverte en 2016 pour accueillir 148 réfugiés soudanais, érythréens et so- maliens, l’ancienne caserne militaire Damesme de Fontainebleau avait été transformée en centre d’accueil d’ur- gence pour migrants. Prévue pour un an maximum, cette structure sera finale- ment restée ouverte durant un peu plus de quatre ans et aura fonctionné grâce

au travail des bénévoles de la Croix- Rouge et d’autres associations locales.

Au total, ce sont 624 personnes qui ont été hébergées et accompagnées durant cette période. Ce centre vient de fer- mer ses portes pour laisser la place au chantier du futur campus universitaire.

À terme, ce sont entre 3 000 et 4 000 étudiants qui fréquenteront ce site.

Le label national “Territoires, Villes et Villages Internet” récompense, chaque année, les collectivités (aussi bien les villages que les grandes villes), qui s’en- gagent en faveur d’un numérique citoyen et urbain. Cette année, la 22e édition, qui s’est déroulée par visioconférence, a dis- tingué 219 villes. Parmi celles-ci, figurent cinq communes seine-et-marnaises : Melun, Montereau, Saint-Thibault-des-

Vignes, Serris et Trilport. C’est cette der- nière, qui a obtenu la plus haute distinc- tion. Au plus proche de ses habitants en matière d’inclusion numérique, la muni- cipalité de Trilport a, en effet, conservé son Label 5 @ des Villes Internet reçu en 2020. Serris a obtenu le Label 4 @, Mon- tereau et Saint-Thibault-des-Vignes le La- bel 3 @ et Melun le Label 2 @.

LE MAGASIN LEADER PRICE DE LIEUSAINT RACHETÉ PAR ALDI

FONTAINEBLEAU : LE CENTRE

D’ACCUEIL DES MIGRANTS A FERMÉ

LABEL INTERNET : TRILPORT REÇUE CINQ SUR CINQ

ACTUALITÉ

4

PATRIMOINE

Vieillissant et impacté par le réchauffe- ment climatique, le système hydraulique de l’édifice bellifontain prend l’eau ! Il y a urgence, car le réseau qui alimente notamment les bassins et les fontaines n’est plus étanche. Les fuites et les in- filtrations sont devenues récurrentes et le site royal pourrait manquer d’eau d’ici à quelques années. Un scénario ca- tastrophe auquel va tenter de remédier la direction des bâtiments et jardins du château via un vaste plan de rénovation.

Celui-ci aura pour principales missions de garantir l’étanchéité des bassins et de sécuriser les approvisionnements en eau. Un vaste chantier évalué à 10 mil- lions d’euros et qui s’étalera sur cinq ans.

CHÂTEAU DE

FONTAINEBLEAU : 10 MILLIONS

D’EUROS POUR RÉNOVER

LE RÉSEAU HYDRAULIQUE

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© Adobe Stock

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13 mars 2021

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ACTUALITÉ

CULTURE ÉCONOMIE

Spécialisée dans la fabrication de cla- viers, de digicodes et de pavés nu- mériques notamment, l’entreprise de Limoges-Fourches, créée en 2011, innove. Elle s’est lancée dans la lutte contre la Covid-19 en élaborant un nouveau produit lié à la crise sanitaire : un système de désinfection automa- tique par ultraviolet intégré dans les claviers. Un véritable choix stratégique

décidé au tout début de la pandémie, au printemps 2020. Un an plus tard, le produit d’EOZ, surnommé “clavier germicide”, en est au stade du pro- totype avec une finalisation prévue dans les prochaines semaines. Pour favoriser sa fabrication industrielle, EOZ envisage de recruter, d’ici 2022, une douzaine de personnes. Un déve- loppement rendu possible par la sub- vention de 500 000 euros reçue dans le cadre du plan de relance national.

Cette somme va permettre de conso- lider le financement de ce produit (1,8 millions d’euros). Un investisse- ment conséquent pour EOZ, dont le chiffre d’affaires annuel est de 4 mil- lions d’euros.

Une entreprise européenne, spécialisée dans le commerce digital (préférant res- ter anonyme) et présente dans 17 pays, va installer sa plateforme logistique (140 000 m2) au cœur de la ZAC du Tertre, tout près de Colissimo, l’entrepôt de La Poste (26 000 m2). Ce projet de- vrait se traduire par la création de 2 000 emplois. Une belle opportunité écono- mique pour le village de Montereau-sur- le-Jard (510 habitants). En revanche, les opposants au projet estiment que cette implantation va générer un flux de circu- lation important (de 130 à 150 camions par jour) néfaste pour l’environnement.

Une enquête publique va être lancée, afin de modifier le plan local d’urbanisme (PLU).

LIMOGES-FOURCHES : LA PME EOZ COMBAT LE CORONAVIRUS

DES ATELIERS INFORMATIQUES AU MÉE-SUR-SEINE

2 000 EMPLOIS À MONTEREAU-SUR- LE-JARD

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ÉVÉNEMENT/AGRICULTURE

AGRICULTURE DIVERSIFIÉE :

QUAND LES FERMES DEVIENNENT AMBASSADRICES

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ÉVÉNEMENT/AGRICULTURE

La crise sanitaire confirme l’appétence des Français pour les produits frais et locaux.

Les fermes seine-et-marnaises s’adaptent à cette évolution et n’hésitent pas à en faire la promotion.

“Mangez et vivez fermier !” Le slogan du réseau “Bienvenue à la ferme” ne manque pas de punch. Créé en 1988 et réunissant près de 8 000 agricul- teurs, c’est le premier réseau français de vente directe et d’accueil à la ferme.

A sa façon, il participe activement au développement d’une agriculture diver- sifiée de plus en plus prisée. Une nou- velle façon de produire et de consom- mer que la crise liée à la Covid-19 a mise en lumière.

Aujourd’hui, 130 fermes d’Île-de-France sont labellisées “Bienvenue à la ferme”

et ce réseau poursuit sa croissance, s’évertuant à faire découvrir les pro- duits de ses adhérents et à promouvoir leurs divers métiers. Producteurs de lé- gumes et de fruits, de fleurs, éleveurs

de vaches pour le lait ou la viande, pro- ducteurs de volailles, fermes décou- verte ou loueurs de chambres d’hôtes : les profils sont, en effet, différents, mais la volonté affichée de participer à la reconnaissance d’une agriculture rai- sonnée est la même.

Le goût des bons produits

Derrière chacun des produits vantés par

“Bienvenue à la ferme”, il y a, en effet, un agriculteur engagé et passionné, tou- jours prêt à proposer à ses visiteurs de pénétrer dans les coulisses de sa ferme et à faire partager son savoir-faire. Ces hommes et ces femmes ont à cœur de faire redécouvrir à tous le goût et le plaisir des bons produits de la ferme, en toute transparence.

Parmi les fermes franciliennes adhé- rentes au réseau, cinq exploitations seine-et-marnaises se sont engagées à en être les ambassadrices auprès des consommateurs et des autres pro- ducteurs locaux. Active depuis main- tenant 30 ans, la ferme de la Recette, à Echouboulains, fait même figure de

pionnière. Leur objectif ? Faire rayonner l’agriculture diversifiée et raisonnée en région parisienne. Incarnant parfaite- ment les valeurs du réseau, elles par- ticipent à son développement avec le soutien de la Chambre d’agriculture de la région Île-de-France. Communiquant sur les réseaux sociaux notamment, ces fermes affichent la marque « Bienvenue à la ferme » et valorisent leur identité sur leurs fermes. Elles sont également proactives dans l’organisation de ren- dez-vous inédits comme des portes ouvertes thématiques, des marchés collectifs ou des ateliers pédagogiques.

Ces exploitations locales sont aussi les premières à conseiller leurs pairs sur toute question concernant l’accueil à la ferme, les outils clés en main ou les par- tenariats, afin de mettre en avant leur boutique et leur offre.

Des relais privilégiés

A ce titre, ces “fermes ambassadrices”

deviennent des relais privilégiés auprès des consommateurs, mais aussi auprès d’autres producteurs intéressés par

ÉVÉNEMENT AGRICULTURE

13 mars 2021

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ÉVÉNEMENT AGRICULTURE

les bienfaits de la diversification agri- cole. Auprès d’elles, ces producteurs peuvent ainsi en apprendre davantage sur la mise en place de nouveaux pro- jets en circuit court, ou sur la manière de gagner en visibilité avec le soutien du réseau.

Chargée de mission à la Chambre d’agriculture de région Île-de-France et spécialiste de l’agritourisme, Claire Masson se félicite de cet engagement collectif : « L’accueil à la ferme et les quelque 80 points de vente de pro- duits fermiers contribuent activement à l’image positive de l’agriculture franci- lienne. Ces fermes ambassadrices, en tant que porte-paroles de la marque

“Bienvenue à la ferme’’, jouent un rôle incontournable, en ligne directe avec les consommateurs, mais aussi avec les producteurs voisins en circuit court et en agritourisme. Nous avons, de- puis toujours, la conviction que c’est ainsi que la confiance se tisse et que se renforcent la production comme la consommation locale. »

En Île-de-France, on recense, au total, huit fermes ambassadrices, dont cinq, comme on l’a déjà dit, sont situées en Seine-et-Marne. En 2020, ces fermes

ont proposé plus de dix événements d’accueil. Il est vrai qu’entre les exploi- tations de vergers, les élevages d’ani- maux, les spécialisations bio ou rai- sonnée, les boutiques, les distributeurs automatiques et les marchés hebdo- madaires ou événementiels, elles dis-

posent d’une large palette. Les clients ont donc l’embarras du choix pour trou- ver leur bonheur dans le pré.

Farid Zouaoui

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ÉVÉNEMENT AGRICULTURE

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Les Pommes d’Abit Beton-Bazoches

Ce beau corps de ferme a été aménagé pour accueillir une boutique, ainsi qu’un système de casiers automatiques pro- posant 17 variétés de pommes bio issues du verger de 6 000 arbres. Un large choix de produits locaux, sélec- tionnés auprès d’autres agriculteurs franciliens, est également disponible.

Offre fermière et gourmande 24h/24 ! Activités : production de pommes, transformation en jus et compotes.

Ancienneté réseau : 5 ans

Valentin Abit : « J’ai fait le pari de plan- ter un verger en agriculture biologique tout en développant une boutique complète. Avec ‘’Bienvenue à la ferme’’, je peux valoriser ma production et celle des producteurs avec qui je travaille. » Ferme de la Recette

Echouboulains

Cet élevage de vaches (Blondes d’Aqui- taine), choyées dans les prés comme à l’étable participe à de nombreux mar- chés événementiels.

Activités : ferme découverte, chambres d’hôtes, élevage bovin et grandes cultures.

Ancienneté réseau : 30 ans.

Pascale Dufour : « Nos marchés, comme les chambres d’hôtes, sont des occasions de riches rencontres, qui nous permettent de communiquer positivement sur notre métier et notre passion. ‘’Bienvenue à la ferme’’ nous rassemble tous dans notre singularité. » Ferme de la Nozaie

Nonville

Depuis trois générations, cette ferme familiale élève tous les animaux sur la ferme en plein air et avec passion.

Activités : élevage bio d’agneaux, de volailles, de porcs, de moutons et grandes cultures.

Ancienneté réseau : 1 an

Romain Plouvier : « Nous travaillons en famille et c’est notre force ! ’’Bienvenue à la ferme’’ nous permet de valoriser nos produits dans notre nouvelle bou- tique. »

Brie’zon la glace Montdauphin

Cette ferme privilégie le bien-être des vaches laitières et possède un véritable savoir-faire glacier. Un soin particulier est apporté à chaque ingrédient sélec- tionné auprès de producteurs et d’arti- sans locaux.

Activités : élevage de vaches (Prim’Holstein) et grandes cultures.

Transformation du lait en glaces.

Ancienneté réseau : 2 ans.

Emilie Gryspeerdt : « Dans leur étable en bois, nos vaches sont bichonnées avec brosses de massage à volonté et ambiance musicale feutrée. Il nous semble vital de partager leur bien-être et nous sommes particulièrement fiers de le faire au nom de ’’Bienvenue à la ferme’’. »

La Chaillotine Chailly-en-Bière

Cette ferme propose une offre com- plète allant des produits fermiers (lé- gumes d’été, cueillette de fruits rouges, verger de fruits...) jusqu’aux gîtes pour des séjours nature.

Activités : maraîchage, arboriculture bio, gîtes.

Ancienneté réseau : 4 ans.

Camille Allard : « Je modèle le paysage avec le soin apporté à nos cueillettes, cultures, vergers et mares et je modèle mon offre en choisissant les produc- teurs partenaires dans notre boutique.

Chacun d’eux a droit à son affichette de présentation ! »

Farid Zouaoui Appartenant au réseau “Bienvenue à la ferme”, cinq exploitations seine-et-marnaises ont reçu le label de

“fermes ambassadrices”. Présentation.

“BIENVENUE À LA FERME”

ferme de la Recette

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ÉCONOMIE

Dédié à la consommation responsable et éthique, ce nouveau magasin propo- sera des produits bios de qualité répon- dant aux critères d’exigence du réseau.

Ce nouveau venu, le 700e du groupe Biocoop, sera implanté dans la zone d’activités des Sablons, à Claye-Souilly, afin de toucher un large public. D’une superficie de 380 m2, il aura vocation à offrir à ses futurs clients une gamme de produits frais et gourmands tout en faisant la part belle aux options “vrac” et

“zéro déchet”.

Situé géographiquement en Plaine de France, au nord de la Seine-et-Marne

et non loin du département de la Seine- Saint-Denis (qui est dépourvu d’une offre bio), ainsi que de la plateforme aé- roportuaire de Roissy Charles-de-Gaulle, ce nouveau site bénéficiera également de la proximité de zones pavillonnaires, du trafic routier de la Nationale 3 et de la Francilienne.

« Grâce à l’expérience accumulée, ce nouveau magasin se veut simple, ef- ficace et à dimension humaine pour rendre le bio et le local accessibles à tous, souligne Sylvain Meurot, le gérant.

Notre équipe de neuf salariés est prête pour accueillir et accompagner les

clients dans leur choix de consomma- tion plus responsable. Après une expé- rience salariée de près de trois ans dans le réseau Biocoop au Raincy, à Chelles et à Saint-Thibault-des-Vignes, j’ai sou- haité logiquement concrétiser ce projet qui correspondait à ma quête de sens. » Leader de la distribution alimentaire biologique spécialisée en France de- puis plus de 30 ans, Biocoop repose sur un réseau d’indépendants engagés (consommateurs, producteurs, salariés, commerçants). En 2019, ce modèle coopératif unique regroupait plus de 630 magasins (dont plus de 70 ont été ouverts en 2019) et 3 200 fermes par- tenaires. Précurseur et moteur, Biocoop revendique « l’agriculture biologique pour tous » et inscrit sa démarche au Cœur d’une charte appliquée par l’en- semble des acteurs du réseau. Biocoop compte également trois filiales : STB (Société de Transport Biocoop), Biocoop Restauration et Défibio. Cette dernière accompagne financièrement ses par- tenaires professionnels (producteurs, transformateurs et magasins).

ZAC des Sablons, 9 bis rue Jean Monnet Claye-Souilly.

www.biocoop-clayesouilly.fr.

Tél. : 01 60 94 41 52. Ouverture à partir du 18 mars, du lundi au samedi (10 h -20 h hors période de couvre-feu).

Le premier réseau de magasins bio et équitables en France poursuit son développement a vec une nouvelle ouverture prévue le 18 mars.

UN 700 E MAGASIN BIOCOOP VA OUVRIR À CLAYE-SOUILLY

COMMERCE

© Biocoop

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© Le mouchoir francais © Le mouchoir francais

Économie circulaire, zéro déchet et développement durable : Le Mouchoir Français est tout cela à la fois. En créant sa société il y a six ans, Mathieu Maisonnial, jeune entrepreneur issu du monde de l’informatique, avait trois objectifs : ressusciter une filière tradi- tionnelle disparue en 2003, relancer un produit tombé en désuétude à cause de la concurrence du mouchoir en pa- pier et insuffler de nouvelles valeurs.

« Il était temps de remettre ce produit écoresponsable sur le devant de la scène, explique le dirigeant. Nos mo- des de production et de consommation ont été trop souvent remis en question par une mondialisation à outrance. » Mais lancer une marque textile en France au XXIe siècle a ressemblé à un véritable défi pour Mathieu Maisonnial, contraint de repartir de zéro. En effet, quand lui vient l’idée de remettre les

mouchoirs en tissu au goût du jour, il se met à la recherche de fabricants pour leur proposer de lancer une bou- tique sur Internet. Mais il se rend vite compte qu’à l’exception d’une maison de luxe, il n’en existe plus dans l’Hexa- gone. Sans vraiment trop savoir où il va, Mathieu décide alors de s’atteler à la tâche. Sa persévérance et son au-

dace vont finir par payer et c’est ainsi que Le Mouchoir Français est né.

Une vision écologique et sociale Aujourd’hui, la marque propose 80 mo- dèles de mouchoirs. Certains sont no- tamment fabriqués avec du coton bio possédant la certification internatio- nale Gots (Global organic textile stan- dard) sur toute la chaîne de fabrication.

Si son modèle de production est inno- vant, l’entreprise possède également une vision écologique et sociale. Ainsi, la confection est réalisée dans deux ateliers aux caractéristiques particu- lières. Le premier, à Paris, aide les per- sonnes en situation de handicap à se réinsérer professionnellement et le se- cond, basé dans les Deux-Sèvres, est une société coopérative et participative (Scop) dans laquelle les salariés sont actionnaires majoritaires.

Fier d’avoir réussi à remettre sur pied la première chaîne de production de mouchoirs en tissu en France, l’entre- preneur seine-et-marnais nourrit dé- sormais de nouvelles ambitions : déve- lopper une logistique, afin de réaliser des imprimés textiles à grande échelle, et inviter des artistes à s’exprimer sur ces carrés de coton.

Farid Zouaoui Renseignements :

https://mouchoir-en-tissu.fr.

Tél : 09 72 54 86 47.

Fondée en 2015, l’entreprise de Lorrez-le-Bocage, commune située près de Nemours, réinvente le mouchoir en tissu lavable et défend certaines valeurs.

LE MOUCHOIR FRANÇAIS REDONNE DES COULEURS À LA FILIÈRE TEXTILE

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MADE IN FRANCE

ÉCONOMIE

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La deuxième phase du plan de re- lance du Département a été adoptée le 5 mars. 10 millions d’euros supplé- mentaires vont être investis pour amor- tir les conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire. L’an pas- sé, la collectivité avait déjà investi plus de 45 millions d’euros, ce qui porte son effort à 55 millions.

Restaurateurs. 5 millions d’euros vont être injectés pour soutenir la reprise d’activité dans le secteur de la restau- ration traditionnelle et des cafetiers (2 000 établissements). Les salles de réception, soumises à une interdic- tion administrative depuis le 30 oc- tobre 2020, pourront aussi faire une demande d’aide. Les dossiers devront être complétés et renvoyés au plus tard le 29 mars 2021.

Loisirs et culture. Le dispositif mis en place en juin dernier a été reconduit.

Cette aide représente 200 000 euros financés sur la base du reliquat de

non-consommé des 600 000 euros al- loués en 2020.

Commerces de centre-ville. Une en- veloppe de 200 000 euros est déblo- quée pour la reconduction du fonds départemental d’urgence créé en no- vembre 2020. L’objectif est de contri- buer à la continuité de l’activité com- merciale et au développement de la vente en ligne.

Salles de sport et structures spor- tives privées. Les 70 % d’entreprises indépendantes du secteur sportif souffrent particulièrement en raison de leurs coûts fixes élevés. Le Dépar- tement a approuvé une subvention de 350 000 euros destinée à soutenir les entreprises éligibles dans le paiement de leurs loyers 2021 durant la période de fermeture administrative.

Emplois sportifs. Les emplois sportifs, qui reposent sur des activités dont la part de télétravail reste très faible, sont me- nacés à moyen terme. Le Département

reconduit le fonds d’aide à hauteur de 100 000 euros.

Cinémas. Déblocage d’une enveloppe de plus de 190 000 euros pour le pre- mier trimestre 2021.

Îles de loisirs. Versement anticipé de la subvention départementale (1,1 million d’euros) aux déficits d’exploitation des syndicats de gestion des îles de loisirs.

Structures d’aide à domicile. Garant du maintien à domicile des 16 000 per- sonnes présentant une perte d’autono- mie par leur âge ou par leur handicap, le Département soutient les 150 services d’aide à domicile en leur fournissant du matériel (500 000 masques FFP1 et FFP2, charlottes, sur-chaussures et vi- sières).

Si la crise sanitaire devait persister, le Département envisage la mise en oeuvre de mesures complémentaires comme la mobilisation de crédits im- prévisibles et urgents à hauteur de 2,5 millions d’euros.

Face à la persistance de la crise sanitaire, l’assemblée départementale continue de se mobiliser pour soutenir les acteurs du territoire les plus impactés.

COVID-19 : LE DÉPARTEMENT DÉBLOQUE 10 MILLIONS D’EUROS SUPPLÉMENTAIRES

© Département 77

DÉPARTEMENT

ÉCONOMIE

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La crise sanitaire modifie considérablement le rapport qu’entretiennent les Français à leur santé au travail. Un des plus importants de notre économie, le secteur de la construction a, au cours des 30 dernières années, très nettement réduit le nombre d’accidents du travail.

Mais les risques demeurent (travaux en hauteur, pous- sières, manipulation de produits chimiques et troubles musculosquelettiques) et doivent faire l’objet d’actions préventives répétées.

Le Service interentreprises de santé au travail dans les professions du Bâtiment et des Travaux Publics de Seine-et-Marne (SIST BTP Seine et Marne) fait partie des 28 services de santé du réseau dédiés au BTP. Or- ganisme paritaire, il a pour mission d’assurer le suivi médical de chaque salarié. Sa connaissance des en- jeux du BTP lui assure une parfaite maîtrise de l’envi- ronnement atelier/chantier et lui permet de s’adapter aux contraintes et aux risques liés à la coactivité de chantier.

Nous sommes à l’aube d’une réforme du système fran- çais de santé professionnelle avec un enjeu crucial : garantir la bonne santé au travail de la population active.

Trois axes majeurs sont ciblés :

- Renforcement de la prévention via la création d’un

« passeport prévention » attestant des formations en santé/sécurité réalisées par les salariés. Rôle accru des services de santé au travail dans l’élaboration du do- cument unique d’évaluation des risques (DU) en lien avec le Comité social et économique.

- Elaboration d’une offre de service « socle» à fournir par les Services de prévention et de santé au travail

(SPST) à leurs adhérents.

- Lutte contre la désinsertion professionnelle via une meilleure articulation médecin du travail/médecin trai- tant avec un accès réciproque au dossier médical et la mise en place d’une cellule dédiée.

Nous restons attachés, pour la branche du BTP, au maintien de l’existence d’organismes de prévention spécialisés ainsi qu’à la mise en œuvre de leur action au plus près des entreprises et de leurs salariés. Cette proximité est gage d’adaptation, de connaissance et d’efficacité.

Cette proximité a fait ses preuves en Seine et Marne où depuis de nombreuses années, le partenariat entre le BTP 77, le SIST BTP Seine et Marne et l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des tra- vaux publics (OPPBTP) couvre un grand nombre d’ac- tions de prévention en faveur des entreprises du BTP.

Ce partenariat met en commun l’expertise de chacun : risque routier, prévention des accidents du travail, risque amiante... Son objectif est d’assurer un accom- pagnement de proximité pour le plus grand nombre d’entreprises, et de jouer sur les complémentarités : à l’OPPBTP l’ingénierie de prévention, aux services de santé la diffusion des bonnes pratiques et au BTP 77 la sensibilisation de ses adhérents.

Cette parfaite coordination porte ses fruits. Bien que les effectifs du secteur augmentent, les accidents sui- vis d’arrêts de travail diminuent en France. En 30 ans, leur nombre a été divisé par trois.

« La prévention dans

le BTP en Seine & Marne : un accompagnement

de proximité pour le plus grand nombre d’entreprises »

Parole d’expert

Nicolas LEGENDRE

Fondateur de La Compagnie des Toits, le réseau expert des toits professionnels. Réseau spécialisé dans la gestion du cycle de vie des toits professionnels.

Président du service de santé de Melun Président de la Commission nationale d’information

et de liaison des 21 services de santé BTP

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81 000 tonnes ! C’est le volume de dé- chets sauvages jetés chaque année dans la nature sur les routes, les au- toroutes, les plages et les montagnes françaises. Pour combattre ce fléau, les membres du Lions Club Internatio- nal invitent toutes les personnes moti- vées et préoccupées par l’avenir de la planète à se joindre à eux pour nettoyer la nature, le week-end des 19, 20 et 21 mars, partout en France métropo- litaine. Ce « nettoyage de printemps », qui va se dérouler dans le cadre de l’opération annuelle « Défi pour l’En- vironnement », précédera celui, mon- dialement connu, du « Woord Clean Up Day », qui a lieu, chaque année, à la mi-septembre.

Cette année, le Lions Clubs Internatio- nal collaborera avec deux nouveaux partenaires : l’Office national des forêts (ONF) et l’Agence des espaces verts d’Île-de-France (AEVIDF). Un partena- riat majeur en matière de préserva- tion de l’environnement et une action de sensibilisation ouverte à tous et à toutes. Scolaires, étudiants, ensei- gnants, collectivités, entreprises, asso- ciations et familles seront, en effet, les bienvenus pour organiser un nettoyage de la nature dans leur propre secteur ou pour participer tout simplement.

Le Département de Seine-et-Marne va

également apporter son soutien par l’intermédiaire de ses services comme la Direction des routes du département (DRD) et la Direction de l’eau, de l’en- vironnement et de l’agriculture (DEEA).

Le conseil départemental prendra aussi en charge une campagne d’affi- chage sur les abris-bus et les réseaux sociaux. Enfin, il va inciter une ving- taine de collèges à participer à cette manifestation en leur fournissant des pinces à déchets des sacs poubelles et des gilets fluorescents.

Parcs, promenades, bords des rivières et des plans d’eau, bords des routes :

avec cette opération propreté, les or- ganisateurs espèrent ratisser le plus largement possible. « Pas besoin de se déplacer très loin de chez soi pour ramasser des déchets pour retrouver la joie et la fierté de déambuler dans des espaces propres et accueillants, peut-on notamment lire dans le com- muniqué publié par le Lions Club Inter- national. Quelles que soient les difficul- tés du moment, nous devons préparer l’avenir et il commence aujourd’hui. » Renseignements :

https://defipourlenvironnement.org.

Organisée par le Lions Club International France, associé à d’autres partenaires, cette 6e édition se déroulera les 19, 20 et 21 mars.

“DÉFI POUR L’ENVIRONNEMENT”

PRÉPARE SON OPÉRATION NETTOYAGE

AMÉNAGEMENT URBAIN

© Adobe Stock

TERRITOIRE

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Immense complexe où quasiment toutes les spécialités médicales sont représentées, le pôle médical de Sénart, situé dans la zone d’activités de Car-

ré-Sénart, a ouvert ses portes au public en septembre 2019. Urologues, gyné- cologues, orthophonistes, cardiologues, ophtalmologues, pneumologues… : au total, 54 praticiens représentant 18 spé- cialités médico-chirurgicales différentes et 8 spécialités paramédicales (infirmier, podologue, sage-femme, kinésithéra- peute, ostéopathe, diététicien, psycho- logue et psychomotricienne) reçoivent avec ou sans rendez-vous.

Un second bâtiment, dont les travaux démarreront au printemps, viendra compléter cette offre de soins. Ce nou- vel édifice comprendra un cabinet den-

taire doté de plusieurs spécialisations (implantologie, orthodontie et chirur- gie dentaire), un cabinet de radiologie (520 m2) équipé d’un scanner et d’une IRM supplémentaires, un cabinet de médecine esthétique, ainsi que de nou- velles spécialités médico-chirurgicales (médecine interne, pédiatrie, gastro- entérologie, neurochirurgie et rhumato- logie).

Enfin, le pôle médical de Sénart devrait également enrichir son offre à l’horizon 2023 avec la création d’un centre de médecines complémentaires et alterna- tives à vocation régionale.

Situé à Lieusaint, le centre de santé complètera son offre de soins d’ici 2023 avec l’ouverture de nouveaux bâtiments.

LE PÔLE MÉDICAL DE SÉNART VA S’AGGRANDIR

© DR

TERRITOIRE ENTREPRISE

13 mars 2021

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L’agglomération Melun Val de Seine va acquérir un terrain qui facilitera l’accueil des gens du voyage d’ici 2023.

VILLIERS-EN-BIÈRE ACCUEILLERA UNE AIRE DE GRAND PASSAGE

C’est l’épilogue d’une polémique qui du- rait depuis quelques années déjà. Plu- sieurs communes de l’agglomération melunaise se montraient, en effet, ré- ticentes à l’idée d’accueillir sur leur sol les migrations saisonnières des gens du voyage. Le récent conseil communau- taire a finalement tranché en votant à l’unanimité l’achat d’un terrain situé juste derrière le centre commercial Carrefour, à Villiers-en-Bière. Une décision qui sera sans doute accueillie avec satisfac- tion par les habitants du hameau voisin d’Orgenoy. Ces dernières années, ceux-ci avaient, en effet, manifesté à plusieurs reprises leur opposition à cette éven- tuelle installation.

Le terrain choisi appartient à la ville d’Ivry- sur-Seine (Val-de-Marne) et s’étend sur 21, 9 hectares, mais 4 hectares seule- ment serviront à la construction de l’aire

de grand passage. Cet équipement de- vrait ainsi mettre fin aux occupations il- légales observées régulièrement sur ce territoire, notamment à Boissettes.

Des aménagements devront être toute- fois réalisés pour que cette aire puisse voir le jour. Il va falloir ainsi créer un es- pace pour les caravanes, un accès rou- tier, une voie de desserte, ainsi que des branchements pour l’eau et l’électrici- té. En matière sanitaire et de sécurité, il faudra également installer des bornes à incendie et assurer la gestion des eaux usées.

Sur un plan financier, cette opération va représenter un investissement total de près de 2, 5 millions d’euros (un peu plus d’un million pour l’acquisition du foncier et 1, 4 millions d’euros pour les équipe- ments). La capacité d’accueil de cette aire, qui sera uniquement accessible de

mai à octobre, sera fixée à 200 cara- vanes maximum.

Il faudra désormais attendre 2023 pour que cette aire de grand passage de- vienne opérationnelle. Pour la commu- nauté d’agglomération Melun Val de Seine, cette future construction va lui permettre de se mettre en conformité avec le schéma départemental actuel- lement en vigueur. Mais il manquera néanmoins encore quelques places pour qu’elle soit définitivement dans les clous.

Jusqu’à maintenant, le territoire melunais comptait trois aires d’accueil à Melun (48 places), Saint-Fargeau-Ponthierry (40 places) et Vaux-le-Pénil (12 places). Le futur équipement de Villiers-en-Bière (qui sera renforcé par la mise à disposition de terrains familiaux locatifs) complètera donc l’offre proposée par l’agglomération melunaise.

SOLIDARITÉ

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13 mars 2021

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TERRITOIRE

Ce nouveau giratoire portera le nom de l’ancien président du conseil départemental disparu en 2018.

LE « ROND-POINT JEAN-JACQUES BARBAUX » INAUGURÉ À BOUTIGNY

C’est un hommage émouvant qui a été rendu, le 5 mars dernier, à Jean-Jacques Barbaux, ancien président du conseil départe- mental de Seine-et-Marne (2015-2018) décédé brutalement le 25 février 2018 à l’âge de 65 ans. Un nouveau giratoire, situé

au croisement de la RD 228 et de la RD 33, a été inauguré à Boutigny et portera, en effet, son nom. C’était une demande de Marc Robin, l’actuel maire de Boutigny. Une plaque au nom de l’ancien maire de Neufmoutiers-en-Brie (1989-2015) a été dé- voilée au cours de cette cérémonie.

De nombreuses personnalités du département ont assis- té à cet hommage. Outre Patrick Septiers, le successeur de Jean-Jacques Barbaux à la tête du Département et Marc Ro- bin (le maire de la ville), on a noté également la présence de Jean-François Copé, maire de Meaux et président de l’agglo- mération du Pays de Meaux, de Patricia Lemoine, députée de la 5e circonscription de Seine-et-Marne, de Jacques de Lamotte (ancien maire de Boutigny) et de Didier Tassin (maire de Ville- mareuil). Laurence Barbaux, veuve de Jean-Jacques Barbaux et actuelle maire adjointe de Neufmoutiers-en-Brie, était égale- ment présente.

© DR

HOMMAGE

NOUS N’AVONS

PAS ATTENDU DEMAIN POUR INVENTER

L’ÉPARGNE DE DEMAIN

LA NOUVELLE GÉNÉRATION D’ÉPARGNE

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