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Design et illustration de couverture : LuLu Inthesky

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Academic year: 2022

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RIEN NE VA PLUS !

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Copyright

Sophie Henrionnet a quatre enfants, une imagination débordante et une légère tendance à l’hyperactivité. Elle aime lire et inventer des histoires. Tout est sous contrôle : Le tumultueux quotidien d’Olympe McQueen est son troisième roman. Retrouvez Sophie sur son blog : http://

sixinthecity.eklablog.fr/

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Maquette : Patrick Leleux PAO

Design et illustration de couverture : © LuLu Inthesky

© 2016 Éditions Charleston (ISBN : 978-2-36812-098-9) édition numérique de l’édition imprimée

© 2016 Éditions Charleston (ISBN : 978-2-36812-092-7).

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Celle dont la vie allait changer

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omble de l’ironie, ce jour-là, j’avais quitté l’apparte- ment pour me rendre à la salle de sport. Aglaé, sept ans et déjà beaucoup plus de bon sens et de maturité que sa mère, me demanda :

— Tu as pensé à prendre tes affaires ?

Je désignai la banquette arrière sur laquelle gisait un sac à dos.— De l’eau ?

— J’ai ! dis-je en remuant sous son nez une petite bouteille.

Elle réfléchit quelques instants.

— Ta carte d’adhérent ? Bingo.

— Je l’ai encore laissée sur le frigo, maugréai-je.

Chaque semaine depuis trois mois, je m’astreignais à deux séances quotidiennes de gym en salle pour tenter de lutter contre la tyrannie de la loi de la pesanteur, et torturais de fait mon corps à grands coups d’abdos et de squats en tous genres.

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— Zut ! Nous sommes quasiment arrivées chez Hugo. Je te dépose d’abord, puis je retournerai chercher ma carte.

Mon meilleur ami passa la tête par la fenêtre pour m’indiquer qu’il descendait récupérer sa filleule. Je me garai en double file sous les klaxons et la lui confiai.

— Et prends les escaliers pour aller récupérer ta carte, sinon je ne vois pas l’intérêt de faire du sport, conclut Aglaé en calant Jean-Luc, son doudou pelé, sous son bras.

Je levai discrètement les yeux au ciel tandis que Hugo se retenait de rire. Je les embrassai tous les deux en remontant dans ma Clio.

— Merci encore ! Je passe la récupérer en fin de journée ?

— Prends tout ton temps, Natacha avait dans l’idée d’emmener Aglaé voir le dernier Disney. Dépense-toi bien, mais attention au claquage !

— J’ai le sport dans le sang, Hugo, tu plaisantes ?

— Mais une très mauvaise circulation, alors…, conclut-il en me poussant vers la voiture.

En remontant dans mon véhicule, je savourai la chance que j’avais d’être si bien entourée… Par le passé, et pour être plus précise jusqu’à ce que je rencontre Bertrand et tombe enceinte dans la foulée, j’exerçais la profession de photographe free-lance. Je sillonnais alors, et à longueur d’année, les quatre coins du globe, écumant les plages et les hôtels de luxe autant que les boîtes de nuit. Je m’étais finalement et définitivement rangée des voitures sur les conseils insistants de mon mari, lequel estimait qu’une vie professionnelle aussi instable ne convenait pas à une mère de famille, et arguant qu’il rêvait de subvenir aux besoins de sa petite tribu.

Au volant de ma voiture, je me refaisais le film des premières années d’Aglaé, et du temps que j’avais ainsi pu passer à ses

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côtés avant qu’elle n’aille user ses fonds de leggings sur les bancs de l’école maternelle.

En passant la seconde, je visualisais notre intérieur, à la décoration si joliment soignée et aux murs fraîchement repeints, sur les conseils de notre décoratrice d’intérieur scandinave Greta.

Le temps de m’arrêter à un feu rouge, mon esprit divagua quelques secondes encore. Je me remémorai les dernières plaidoiries que Bertrand avait répétées dans la cuisine avec force conviction, lui qui aimait tant son métier.

En redémarrant, je savourai l’idée de revoir très bientôt mes amies de toujours, Rachel, Daphné et Alix, d’écouter leurs déboires sentimentaux et leurs aventures d’un ou deux soirs, tout en me réjouissant intérieurement d’avoir une situation stable.

En pilant à un stop, je me rappelai avec angoisse qu’il ne me fallait pas louper l’anniversaire de ma sœur Marie, que notre mère s’obstinait à organiser une surprise chaque année pour sa fille préférée, et qui n’avait d’étonnant pour tous que sa répétition…

Toujours perdue dans mes pensées, je laissai in extremis traverser un homme vraisemblablement vêtu d’une pièce de la collection printemps-été 1965 sur le passage clouté situé en bas de notre immeuble. Il aurait été merveilleusement assorti à ma grand-mère adorée : Mamie Jeanne, parfait sosie banlieusard bas de gamme de Barbara Cartland, ne jurait que par les tons pastel et les cols surdimensionnés.

Sur le parking, je cherchai à tâtons les clés dans mon sac à main. Je souris en saisissant le porte-clés, un appareil photo miniature, qui m’accompagnait depuis toutes ces années. Il m’avait été offert par Lorenzo, mon ancien agent, lorsque je

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lui avais annoncé que je raccrochais momentanément mon reflex.

— Dangereux, ma chérie, trèèèèèès dangereux  ! avait-il déclaré en me prenant dans ses bras.

— Moins que la vie de débauche que tu mènes, je te signale !

— Je ne vois pas de quoi tu parles, avait-il répondu en cachant un suçon dans son cou.

— Allez… Je reprendrai dans quelques années…

Il avait hoché la tête et soupiré, résigné, mais tout de même persuadé que je regretterai un jour mon choix. Dans le secteur de la photo comme dans tant d’autres, personne ne s’avérait irremplaçable. J’aurais sans doute pu survivre à un court congé maternité, mais pas beaucoup plus : l’ensemble des contacts de mon carnet d’adresses allait très vite se reporter sur les collègues à l’affût du moindre contrat qui se libérait.

En claquant la porte de la Clio, je lâchai un soupir. Certes, certains aspects de la vie professionnelle me manquaient, mais je savourais réellement chaque minute de ma vie de famille et ce qui touchait de près ou de loin à ma fille et mon mari.

Bertrand était aux petits soins pour nous deux  : attentionné, prévenant, joyeux… Tout cela me permettait de passer sur quelques défauts pénibles, mais si dérisoires au regard de l’énergie qu’il dépensait pour s’occuper de nous.

Exemple parmi tant d’autres –  et sans doute pour ne pas être en reste vis-à-vis de mes résolutions sportives : il m’avait récemment annoncé son intention de se reprendre en main, et sa volonté de faire disparaître un ventre naissant, afin, je cite, de toujours plaire « à son chaton », comme il avait coutume de m’appeler, sans que je ne sois en réalité très fan de ce surnom puéril.

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En bas de l’immeuble, j’hésitai à sonner pour indiquer ma présence, puis me ravisai en composant le code de la porte d’entrée.

Faisant tourner les clés autour de mon index, je suivis les conseils d’Aglaé, dénigrai l’ascenseur, et gravis les marches au pas de course. Arrivée sur le palier, j’allais ouvrir notre porte dans un même élan quand je me rappelai que mon mari devait dormir. Le pauvre avait travaillé très tard les jours précédents pour préparer la défense d’un multirécidiviste en harcèlement de célébrités.

— Je te jure, Olympe, je n’en peux plus, de ce type…, m’avait-il dit la veille en rentrant à vingt-deux heures du bureau pour la cinquième fois d’affilée. Je ne sais pas comment je vais pouvoir sortir cet homme des embrouilles dans lesquelles il s’est fourré… Il traîne tellement de casseroles.

J’avais gardé pour moi le fait qu’à ce niveau et à défaut de casseroles, le malheureux se trimballait plutôt une cuisine équipée, et tenté de préparer une omelette avant de finir par commander japonais. À sept ans déjà, Aglaé se débrouillait bien mieux que sa mère en cuisine, mais avait l’outrecuidance de dormir passé vingt-deux heures…

Mais revenons au sujet qui nous intéresse. Il me semble que c’est lorsque, arrivée dans la cuisine sur la pointe des pieds, je m’apprêtais à décrocher ma carte de membre du DreamBodyClub, que j’entendis une succession de sons étranges et saccadés.

Je pensai tout d’abord à un coup de Norbert, notre lapin nain asthmatique et caractériel qui, je peux le jurer, simulait fréquemment des crises d’angoisse pour avoir un surplus de carottes. Seulement, Norbert, à ce moment-là, dormait tranquillement dans sa cage. Allongé sur le dos, il fixait d’un

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air béat les fissures naissantes du plafond tout en agitant frénétiquement son museau.

Je m’inquiétai ensuite pour notre lave-linge, presque en fin de vie, qui n’avait plus pour seul but que de faire disparaître des chaussettes en vibrant de manière aussi impromptue qu’anarchique… Mais, pour une fois, celui-ci tournait de la façon la plus innocente qui soit.

Oui, c’est après avoir épuisé un certain nombre d’hypothèses tordues que je me dirigeai dans le couloir en direction de notre chambre à coucher. Le cas du multirécidiviste avait dû anéantir Bertrand, et, paniquée, je me persuadai qu’il se découvrait un penchant pour la spasmophilie.

Ce n’est qu’au moment où je posai ma main sur la poignée de la porte qu’un vague soupçon me parcourut. Je renvoyai celui-ci dans ses vingt-deux, prête à miser à peu près tout ce que j’avais sur le fait que mon mari était le plus fiable des hommes que la Terre ait jamais eu la chance de porter. La tignasse blonde qui jaillit de la couette vint faire momentanément tanguer mes convictions, l’air hébété de Bertrand ne fit qu’accroître mon trouble, mais j’étais encore alors fermement décidée à ce que la fiction dépasse la réalité.

Tout ça ne pouvait être réel, et quoi qu’il en soit, j’allais nier cette éventualité le plus longtemps possible.

— J’avais oublié ma carte de membre, m’entendis-je dire d’une voix extrêmement détachée.

— …

— Ma carte du DreamBodyClub, ajoutai-je pour m’expliquer.

— …

— Le cours cuisses-abdos-fessiers. Une tuerie.

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— Ok…, murmura mon mari aussi pâle que la couette conseillée par notre décoratrice d’intérieur.

— Bon… Je vais y aller…

La tignasse blonde dépassa un peu plus de la couette, laissant apparaître une tête à laquelle elle était rattachée, par des racines qui avaient le mauvais goût de ne même pas être noires.

Délaissant la pâleur, Bertrand prit ensuite une teinte rose foncé, qui tira rapidement sur le rouge vif, pour s’évanouir à nouveau dans les blancs cassés, lequel camaïeu aurait fait la joie d’un amateur d’impressionnisme. Telle l’allégorie de la mauvaise foi, il se redressa soudain sur ses coudes, dévoilant son torse nu –  et même un peu plus lorsque la blonde tira la couverture à elle. Reprenant le contrôle de sa personne et usant de ses réflexes professionnels, il planta ses yeux dans les miens.

— Je peux tout t’expliquer…

— …

— Olympe…

— …— J’ai conscience que cette situation est un brin… cocasse…

— …

— Chaton…

Ce petit mot pourtant prononcé tant de fois au quotidien sans que je ne me sois jamais permis de lui dire qu’il m’insupportait fit effet de déclencheur. En un quart de seconde, l’autruche que je rêvais de devenir quelques minutes plus tôt se mua en tigresse ascendant psychopathe.

— Chaton ?

— Mais…

— Chaton ? CHATON ? CHATON !!!

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— …

— Tu oses encore m’appeler « chaton » dans un moment pareil ?

— …

— Mais c’est quoi ton problème, Bertrand ?

— Ne t’emporte pas comme ça, Olympe…

— Et elle aussi, tu l’appelles chaton ?

— …

— Alors ? Réponds !

— … bichon, je l’appelle bichon.

À cet instant précis, au moment même où j’avais bien envie d’offrir en guise d’adieu un bouquet de phalanges à Bertrand, il se passa quelque chose de tout à fait incroyable. La blonde émergea tout à fait du lit, se leva dans le plus simple appareil et avança droit sur moi. Elle était incroyablement belle, son visage rayonnait, et, de son sourire, émanait quelque chose d’infiniment bienveillant. Elle me tendit une main que je saisis sans avoir l’idée de choisir une autre possibilité : sa peau était douce et satinée.

— Je m’appelle Kitty, bredouilla-t-elle avec un accent délicieux.

J’avais envie de lui dire que cela me faisait une belle jambe et que je ne manquerai pas de nommer ainsi ma première hémorroïde quand elle se présenterait, mais tout ce que je trouvai à dire fut :

— Enchantée…

Bertrand reprit vie et hocha la tête d’un air entendu :

— J’ai engagé Kitty comme coach sportive. Elle est australienne ! N’est-elle pas incroyable ?

Et elle l’était. Réellement. Cette femme aurait pu obtenir tout ce qu’elle voulait : contraindre les candidates de télé-réalité

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à porter des cols roulés, persuader le grand vainqueur des championnats de mangeurs de hot-dogs de devenir végétarien, et même décider Nadine de Rothschild à manger avec les doigts.

Elle inclina la tête sur le côté et ses longs cheveux vinrent se plaquer sur son sein droit. Je perçus la même émotion qu’en contemplant La Naissance de Vénus de Botticelli.

Kitty s’approcha un peu plus de moi, sourit de toute son âme, puis m’étreignit avec douceur.

— Je suis désolée, murmura-t-elle à mon oreille.

C’est alors que je compris.

Tout allait changer.

À compter de cette minute.

Oui, Bertrand était sous le charme, il allait me quitter et faire sa vie avec cette adorable et exquise Australienne. Et, non seulement il allait partir avec elle, mais j’allais être dans l’impossibilité de la haïr, car il devait être scientifiquement prouvé quelque part qu’il était impossible de détester cette femme. Alors, et aussi vite qu’elle était montée en moi, la colère se dissipa :

— Tu voudrais un petit lait de poule ? reprit-elle.

— …

Elle posa ensuite très délicatement la paume de sa main sur mon sternum.

— Je vais ouvrir tes chakras pour que la douleur ne s’installe pas.

Tout. Tout allait changer.

En un quart de seconde, ma vie avait basculé.

J’allais passer du statut de femme mariée à celui de mère célibataire.

— J’espère que tu me comprendras, chaton… C’était une évidence, lança Bertrand du lit conjugal.

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Oui, je comprenais, et il s’agissait bel et bien d’une évidence.

Aussi dingue que cela puisse paraître, j’étais sous le charme de cette femme et intégrais volontiers le fait que mon mari me quitte pour elle.

C’était ça, je n’en voulais pas à Kitty… qui était clairement adorable, qui avait dû être une licorne ou un koala dans une vie antérieure.

Mais lui… lui ! LUI !!!

— Tu comprends, chaton ? répéta-t-il encore une fois d’un ton suppliant.

Oh oui, je comprenais. Je n’avais rien demandé, mais je comprenais.

J’allais reprendre ma liberté, me remettre sur le marché du travail et demander la garde d’Aglaé. J’avais trop besoin d’elle, déjà pour réussir à faire fonctionner tous les appareils électroménagers.

— Alors, chaton ?

Je comprenais, et tout dans ma tête commençait à s’ordonner et je paniquai soudain : en divorçant, j’allais devoir reprendre mon nom de jeune fille ! Non ! Non ! Tout mais pas ça, j’en avais trop bavé pendant toutes ces années !

Je m’approchai de Bertrand, qui s’enfonça dans le lit à mesure que l’écart entre nous diminuait, craignant visiblement que je le frappe. Je pointai mon index à deux millimètres de son nez.

— Si tu m’obliges à m’appeler à nouveau Posteur, je te jure que ce sera la guerre !

Il hocha la tête, validant mes propos.

S’il y avait une chose sur laquelle j’étais bien décidée à me montrer intraitable, c’était de conserver le droit de m’appeler Olympe McQueen. Terminées, les blagues et remarques qui

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avaient accompagné les années Olympe Posteur ! Au passage, je ferai aussi ajouter une clause sur les papiers du divorce concernant l’interdiction formelle pour mon futur ex-mari de m’appeler « chaton ». J’avais beau être sympa et compréhensive, je n’en étais pas moins une femme trahie.

Tout en suivant Kitty jusqu’à la cuisine, qui m’avait promis des tartines en plus du lait de poule, je fis malencontreusement basculer de la commode l’immonde statuette en verre soufflé qui représentait un clown flippant et que Bertrand vénérait depuis que l’ordre des avocats le lui avait remis.

J’étais déjà loin dans le couloir quand un cri perçant me rattrapa :

— CHATON !!!

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