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Graffiti de la Domus Aurea

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Academic year: 2022

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N . D A C O S

Chargé de recherches du Fonds National de la Recherche Scientifique

Graffiti de la Domus Aurea

E x t r a i t d u

Bulletin de l'Institut Historique Belge de Rome Fascicule X X X V I I I , 1967

0 s-i

B R U X E L L E S

A L E R ΠR A V E N S T E I N

1967

R O M E

A C A D E M I A B E L G I C A 8 , V I A OMERO

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Graffiti de la Domus Aurea

par

N i c o l e DACOS

Chargé de recherches du Fonds National de la Recherche Scientifique

Le succès énorme que connurent les ruines de la Domus Aurea de Néron, avec les peintures qu'elles renferment, trouve un écho en- core aujourd'hui dans les graffiti dont les voûtes sont criblées depuis la fin du xv^ siècle*. Il va de soi que la tendance à éterniser son n o m e n le traçant sur le monument visité n'y constitue pas une nouveauté.

Les Égyptiens ont couvert b o n nombre de leurs monuments d'in- scriptions en hiéroglyphes et e n hiératique et, après eux, les voya- geiurs grecs à leur tour ont laissé trace de leur passage (^). Le thème n'a d'ailleurs pas perdu de son actualité, puisque, des prisons au métro, les graffiti d'aujourd'hui suscitent déjà de nombreuses étu-

(*) Le présent article fait partie d ' u n e étude pliu large sur la découverte de la D o m u s Aurea et la formation des grotesques, qui sera publiée très prochainement à l ' U n i - versité de Londres, dans la collection ,du Warburg Insdtute. L'étude des graffiti a été rendue possible grâce à la c a m p a g n e photographique entreprise par le Gabinetto foto- grafico nazionale. J e remercie très v i v e m e n t son directeur, M . C. Bertelli, qui a réussi à l a mener à bien, e n dépit de tous les obstacles dus a u m a n q u e de lumière, à la forte h u - midité et aux conditions d u terrain.

(1) Sur les graffiti égyptiens, encore e n bonne partie inédits, voir W. HEIXX, Die Be- deutung der àgyptischen Besucherinschriften, dans Zeitschrift der deutschen Morgenlàndischen Ge- sellschaft, 102 (1952), p p . 39-46. L a référence m'a été fournie aimablement par M . C . D e Wit. Voir aussi J . CERNY, Graffiti hiéroglyphiques et hiératiques de la nécropole thébaine.

Documents de fouilles de l'Instilut français d'archéologie orientale, 9, Le Caire, 1956.

(2) Voir, en dernier lieu, le v o l u m e récent de R . FREEUAN, Graj(]fi>/J (Londres, 1966), a v e c u n e série de photos et u n relevé d e toute espèce de graffiti dans l'Angleterre d'au- jourd'hui. Voir aussi l'ouvrage qui s'y trouve cité de J . LINOSAY, The writing on the Wall.

des (*).

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(2) Dans la R o m e de la Renaissance, le procédé est également fré-

quent. Les vedutisti, surtout les Flamands, qui s'installaient au haut d e la colonne Trajane ou de l'arc de Constantin pour camper leurs paysages, y ont gravé laborieusement leur nom. La Villa d'Hadrien conserve aussi le souvenir de visiteurs depuis le xv^ siècle, et m ê m e les peintures des Loges de Raphaël et du château Saint-Ange sont envahies en plus d'un point par les graffiti (i). Mais à la Domus Aurea le phénomène atteint une ampleur tout à fait exceptionnelle, et la tradition s'est poursuivie jusqu'au x i x ^ siècle (^). Il est cer- tain que le climat de l'exploration favorisait cette tendance ; s'en- fonçant dans l'obscurité à la lumière des torches et des chandelles, les hommes avaient conscience de leur exploit. A la manière des pionniers anxieux de planter leur drapeau sur la terre conquise, ces espèces de spéléologues-antiquaires tenaient à ce que le souve- nir de leur expédition fût perpétué et, c o m m e ce « Filippo Grispini

(che) scrisse a pansa per aria li I I I 1852» (*), ils noircissaient les voûtes d'inscriptions, sans que les effleurât le moins du monde le souci de respecter ces décorations antiques, qu'ils venaient voir à si grand-peine.

A première vue, le déchiffrement de ces noms, tantôt griffonnés à la hâte, tant-t incisés avec le soin d'un lapicide, semblerait rele- ver d'une simple curiosité d'amateur. Mais de la masse d'inscrip- tions parfois superposées, dont l'analyse peut se révéler plus ar- d u e que celle d'un palimpseste, parmi les noms illisibles ou incon- nus, se dégagent ceux d'artistes et d'amateurs célèbres, dont l'his- toire est liée intimement à celle de la D o m u s Aurea et des grotes- ques ; dans certains cas la présencede la date permet même d'attester o u de préciser leur séjour à R o m e .

(1) Les graffiti de l'arc de Constantin et de la colonne Trajane, que j'ai partiellement déchiffrés, sont inédits, de même que ceux des Loges et du château Saint-Ange. Sm' ceux de la Villa d'Hadrien, voir N. DACOS, Vùitatori di Villa Adriana, dans Palatim, 9, 1-3 (1965), pp. 9 - 1 2 .

(2) U n premier recensement de ces inscriptions est dû à Fr. WEEGE, DOS Goldene Haus des Nero, dans Jahrbuch des deutschen archâobgischen Instituts, 28 (1913), pp. 140-151. Mais la liste qu'il donne, hmitée aux trois salles qu'il a étudiées, la Volta degli stucchi, la Volta dorata et le cryptoportique, est très incomplète, même pour les voûtes en question. En outre, l'A. donne les graffiti par ordre alphabétique, sans fournir aucune indication sur leur localisation. Ce premier relevé présente néanmoins un grand intérêt, dans la mesure où Weege a pu lire plusieiuï graffiti qui ont maintenant disparu ; ils sont intégrés à la fin de cette étude, dans l'index des noms.

( 3 ) F r . W E E O E , op. cit., p . 1 4 4 .

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GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA

147 Le recensement n'en reste pas moins très incomplet. Souvent l'en- duit s'est détaché ou les graffiti sont effacés et, après tout, les artistes qui pénétraient dans les grottes n'étaient pas tenus à y décliner leur identité c o m m e dans un registre. Mais la découverte de noms fa- miliers fait oublier le temps qui nous en sépare et fait prendre cons- cience un moment, avec une étonnante intensité, de la continuité de l'histoire.

Il est certain que la désinvolture avec laquelle les visiteurs ont endommagé les peintures a contribué au délabrement des salles accessibles depuis la Renaissance, et la présence des graffiti suffit toujours à les distinguer de celles qui ont été fouillées pendant ce siècle. Aucune surface n'a été épargnée ; souvent même, les graffiti se superposent en couches chronologiques diverses et s'enchevê- trent de manière confuse, rendant toute lecture impossible.

Dès les premières explorations dans les galeries, ceux qui s'y aven- turaient utilisaient le noir de fumée pour tracer sur les voûtes de grandes lettres qui masquent la décoration ; cette méthode ne four- nit pourtant aucun critère chronologique, car elle était toujours en usage au x i x « siècle. La technique la plus ancienne semble être celle de l'incision. D e la fin du xv« siècle et du xvi<^ datent la plu- part des inscriptions gravées dans l'intonaco, souvent en capitales, mais dans le courant duxvi** siècle l'usage de la cursivetend progres- sivement à se généraliser. Vers la fin du siècle se diffuse celui de la sanguine ; les taches rougeâtres qu'elle forme sont facilement re- connaissables et attestent que les visiteurs étaient des artistes, munis de leur matériel. A u XYIII^' siècle apparaissent les premières inscrip- tions à la mine de plomb, écrites souvent en caractères calligraphi- ques et beaucoup plus petits, et empanachées parfois de boucles grandiloquentes.

Ces quelques indications « épigraphiques » ne suffisent pas à évoquer les différents courants de visiteurs que l'on peut distinguer.

Tous les noms ne peuvent être lus ou identifiés, et aux artistes de- vaient se mêler de simples curieux, qui sont rarement sortis de l'a- nonymat.

Les signatures les plus anciennes sont aussi les plus abîmées et

quand elles ont résisté au temps, elles disparaissent sous des inscrip-

tions plus récentes. L'on retrouve pourtant le souvenir d'une foule

de visiteurs qui partaient à la découverte des grottes. « Domenico

Bighordi » est sans doute la signature laissée à la Volta degli stucchi

par Ghirlandaio. A la Volta gialla, dans une sorte de pasquinade

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(4) où l'artiste est traité de « sodomito », se lit nettement le nom de

Pinturicchio, très probablement celui de Bernardino di Betto.

« Filipino » atteste-t-il, à la Volta dorata, la présence de Lippi ? L'hypothèse est séduisante, mais rien ne permet de la contrôler.

Giovanni Maria da Milano, qui a signé à la Volta dorata, pourrait être l'artiste qui a décoré de grotesques la Villa Trivulzi, à Salone, et que l'on identifie parfois avec Falconetto. Dans le cryptoportique,

« Antonio da Feltro » et « Antonio Morto » évoquent peut-être le peintre Morto da Feltre,dont le mystère n'est pas encore dévoilé. A la Volta gialla, le n o m « Amicus » pourrait rappeler le séjour à R o m e , dans les premières du xvi^ siècle, d'Aspertini, qui semble d'ailleurs avoir signé aussi à la Volta dorata. Dans le cryptoporti- que, Andréa di Cosimo Feltrini trace de grandes lettres au noir d e fumée et, u n peu plus loin, Weege pouvait déchiffrer encore

clairement le nom du graveur Nicoletto da Modena, avec la date 1507, qui permet de préciser la chronologie de l'artiste. «Eusebio d a V e r - c e l l i » s e m b l e attester la présence d'Eusebio Ferrari, le peintre du milieu de Gaudenzio Ferrari, qui pourrait bien être venu à Rome, c o m m e son maître.

Les grottes attiraient aussi des artistes plus modestes, et même de simples artisans, c o m m e Ambrogio da Milano, le sculpteur d'Ur- bin, Bastiano di Francesco, sculpteur florentin, ou Zaccaria da Parma, peintre et doreur qui travailla notamment à Spello. U n

« Sarafino vasaro», potier, date son passage de 1520. D e u x autres céramistes, inconnus par ailleurs, visitent les ruines peut-être en- semble, le 21 décembre de la même année.

Des inscriptions surgissent aussi des noms qui laissent perplexe,

tels que celui de « L u d o v i c o Mazoli». S'agirait-il de Mazzolino,

dont la présence à R o m e n'est pas attestée, mais qui pourrait bien

avoir fait le voyage, au m ê m e titre que son compatriote Aspertim ?

L'inscription Mazola reparaît dans le cryptoportique. L'on serait

tenté de lire Francesco, d'autant plus que l'intérêt du Parmesan

pour les grotesques ne serait pas inattendu ; mais les artistes du

n o m de Mazola sont plusieurs, et rien n'autorise à un telle interpré-

tation. « Zuan da U d e n e », inscrit dans une arabesque, sans rien

couvrir de la décoration, à la voûte du cryptoportique, vient con-

firmer la présence de l'artiste dans les grottes, où Vasari précise qu'il

fit venir Raphaël. « Perino Fiorentino», écrit u n peu plus loin,

rappelle peut-être le passage de Perin del Vaga, émule de J e a n

d ' U d i n e dans le genre ornemental. Peut-être déchiffre-t-on encore

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GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA

149 le nom de Polidoro da Caravaggio, dont l'œuvre trahit une con-

naissance profonde de la peinture antique.

Parmi les maniéristes de la génération suivante, l'on reconnaît très probablement le nom de Gaspare Becerra, l'Espagnol qui tra- vaillait avec Vasari au Palais de la Chancellerie,

Plus sûre est l'identification de B. Naldino, qui apparaît en carac- tères très petits à la Volta gialla, et désigne sans doute l'élève de Pontormo, qui fit à R o m e de nombreux séjours, et collabora avec Vasari à la décoration du Palazzo Vecchio.

Dès le début se mêlent aux Italiens des voyageurs étrangers. O n reconnaît des noms français et espagnols, comme celui d'Agustin, le juriste et antiquaire de Saragosse, ami de Pirro Ligorio, qui vécut à R o m e de 1544 à 1555, réunissant autour de lui les meilleurs érudits du moment.

Les plus nombreux sont originaires des Pays-Bas. Ils venaient peut-être voir les ruines par groupes, car à côté de leurs noms se retrouvent souvent les mêmes dates. Très naturellement, ils aimaient apposer leur signature près de celle de leurs compatriotes. A la Volta nera, parmi d'autres noms hollandais, apparaît nettement celui de «Hemskerc», qui rappelle sans doute le séjour à Rome de Martin, venu dessiner les antiquités de 1532 à 1536. A la Volta dorata, l'on déchiffre, semble-t-il, le monogramme de Frans Floris.

Weege avait lu aussi, semblc-t-il, le nom de Giovanni Stradano, qui travailla à R o m e dans les années 1550, avant d'aller faire carrière à Florence. Peu après apparaît, à deux reprises pour le moins, l'auto- graphe d'Hubert Goltzius, le numismate et antiquaire anversois, parent d'Henri, avec lequel o n l'a souvent confondu.

Sur le mur opposé se lit le n o m de Willem van Nieulandt, le pay- sagiste Guglielmo Terranova, actif à R o m e à la fin du xvi« siècle, et, à peu de distance, celui d'un Anversois qui visita les grottes en 1574 en compagnie de Cornelis Floris, fils du célèbre architecte et décorateur. La m ê m e année y vint Carel van Mander, qui signa à plusieurs reprises et à la Volta degli stucchi traça une longue in- scription à la sanguine, peut-être avec trois amis, dont les noms sont devenus illisibles. L'on déchiffre aussi celui de Barthel Spranger, qui fréquentait les milieux romains pendant les mêmes années, et, dans le cryptoportique, Weege a pu lire encore celui de son compa- briote J a n Mont, l'élève de Giambologna qui partit plus tard à la cour de V i e n n e avec Spranger.

Vers l'extrême fin du Cinquecento, il est symptomatique d'obser-

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(6) ver l'absence presque complète de signatures. Au xvii^ siècle, elles sont rarissimes. Peut-être « Cappetelli » correspond-il au nom de Bernardino Cappitelli, qui se mit en 1626 à graver des reliefs pour le compte de Cassiano dal Pozzo, mais il s'agit d'un cas unique, et qui ne sort guère du domaine des conjectures. A ce moment la D o m u s Aurea semble complètement délaissée, et cet abandon du- rera plus d'un siècle. Avec l'épuisement des grotesques en Italie, les modèles néroniens semblent tomber dans l'oubli. En France, les Berain, qui donnent au style une nouvelle vitalité, par le truche- ment des gravures et des tapisseries, ne remontent plus aux sources et s'inspirent surtout des modèles peints et gravés du Cinquecento.

Les grotesques antiques ont perdu tout intérêt pour les artistes ; quant aux archéologues, ils sont probablement attirés davantage par la découverte de nouvelles salles : on sait qu'une aile des «Terme di T i t o » — aujourd'hui tout à fait délabrée — fut découverte dans la deuxième moitié d u siècle et que la décoration en fut gravée par P. S. Bartoli (^). L'analyse de l'énorme matériel que celui-ci avait réuni sur les fresques antiques est d'ailleurs révélatrice des préoccu- pations du Seicento : l'artiste est attiré par les scènes figurées, qu'il traduit dans un style nettement classicisant, et qui peuvent donner lieu à de longues dissertations iconographiques et érudites ou parfois servir de modèles aux artistes. Mais les simples décorations, faites de motifs sans histoire, ont perdu leur charme, et il est très probable que Bartoli ne se soit jamais risqué dans les galeries incommodes qui faisaient les délices des artistes du Cinquecento (^).

(1) Dans l'édition de 1750 (P. S. BARTOLI-G. P. BELLORI, Picturae aniiquae cryptarum romanarum et sepulcri Nasonum), complétée par M. A. de la Chausse, sont publiées certai- nes des peintures mises à jour dans la Domus Aurea au xvii* siècle. Mais elles sont reprises de manière plus complète et avec un commentaire plus précis dans la belle édi- tion française qu'en a donné Mariette en 1783 (P. S. BARTOLI, Recueil de peintures antiques trouvées à Rome). Les figures 1 à 6 illustrent un complexe de bâtiments qui aurait été découvert en 1688, et qui correspond peut-être au corridor 5-14 et aux salles 13 et sui- vantes sur le plan de Weege. Les figures 7 à 11 illustrent im autre groupe de peintures qui auraient été découvertes en 1683 dans la région des Sette sale.

(2) En effet, les peintures de la Volta degli stucchi et de la Volta dorata reproduites par Bartoli dépendent toujours de documents antérieurs et sont accompagnées de légendes inexactes, qui semblent prouver que non seulement Pietro Santé travaillait de seconde main, mais que souvent il ne connaissait même pas les lieux.

A première vue, un texte de Dominici semblerait attester à Naples, en plein x v i i "

siècle, un intérêt pour les peintures des catacombes de Saint-Janvier. D'après le bio- graphe, « meritarono esser lodate dal nostro célèbre Luca Giordano, allorche spinto

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GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA

151 Avec le renouveau d'intérêt que suscitent les peintures romaines, surtout à la suite de la découverte de Pompéi et d'Herculanum, les visiteurs reparaissent vers le milieu du x v i i i « siècle. Ce serait sortir du sujet que de s'étendre ici sur la différence de vision qui les carac- térise dans leur intérêt pour les peintures romaines et sur le goût de la grâce alexandrine, calme et raffiné, qui se substitue à la pas- sion avide des hommes de la Renaissance, toujours prêts à enrichir leur vocabulaire figuratif et à épanouir leur fantaisie. Mais il va de soi que cette mutation correspond à un changement dans la com- position du public et m ê m e des artistes, très apparente à la lecture des signatures, plus nombreuses et mieux conservées pour cette épo- que.

L'une des plus anciennes semble être celle de J o h n Parker, peintre anglais qui vint étudier à R o m e dans l'atelier de Benefial et péné- tra dans les grottes en 1739, si Weege a bien lu. Ce n'est certes pas sous l'influence du«néocarrachisme» de son maître qu'il fut attiré par les ruines, mais plus probablement poussé par la curiosité du nouveau venu à Rome, désireux de parfaire son éducation classicisante. Ce m ê m e mobile explique sans doute la présence, dans toute la deuxième moitié du siècle, de nombreux membres de l'Académie de France, le fils de Nattier le jeune. Briard, élève de Natoire, Guyard, Peyre, Lagrenée, Renard, Vaudoyer, dont on a conservé aussi la signature à la Villa Adriana, Michallon, ou les élèves de David tels que Péquignot et Léonor Mérimée {^). T o u t le monde défile dans la

dalle laudi di esse.voile con tutti i suoi Discepoli portarsi in quelle grotte per osservarle, siccome fece più volte prendendo in sue mani la fiaccola accesa, e quelle mirando disse a'mentovati Discepoli : che giammai egli avrebbe potuto immaginarsi, che pitture in que' primi secoli operate fussero cosl buone, e ben disegnate». (B. DE DOMINICI, Vite' de' pit- tori, scultori ed architetti napoUtani, Naples.. 1742-43, Proemio, sans pagination). Le texte, sur lequel mon attention a été attirée par M . C. Bertelli, est cité par F. BOLOGNA, La pitiura italiana dtlle origini, Rome, 1962, p. 6, comme une étape importante de la redécou-

verte des primitifs. Je crois au contraire qu'il s'agit d'une invention de Dominici qui, vers le milieu du xv:ii« siècle, s'insère dans le courant d'intérêt suscité par la pein- ture antique et médiévale. En imaginant que les peintures des catacombes étaient étudiées par le plus grand peintre baroque de sa région, il fait valoir doublement les traditions picturales de Naples, alors que rien ne permet de croire aux intérêts archéo- logiques de Luca Giordano.

(1) Sur les membres de l'Académie de France, voir l'ouvrage très complet de H . LAPAUZE, Histoire de l'Académie de France à Rome (Paris, 1924) et, éventuellement, J. ALAUX, Académie de France à Rome (Paris. 1933), avec une liste chronologique du séjour des prix d e R o m e à la fin du second volume. Pour la signature de Vaudoyer à la Villa d'Ha- drien, voir N . DACOS, op. cit., p. 10.

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(8) demeure de Néron ; le sculpteur Kisling, ami de Canova, le Bru-

geois Suvée, directeur de l'Académie de France, le peintre Millier, appartenant au groupe des Allemands de la Villa Malta, les frères H o p e , célèbres marchands d'antiquités. Les visiteurs ne compren- nent pas nécessairement les passionnés d'archéologie, comme l'an- tiquaire Mirri, qui fit faire les premières fouilles dans la D o m u s Aurea, le graveur Brenna, qui travailla avec lui (^), Cameron, qui reproduisit en gravure les décorations des thermes romains, l'archi- tecte Quarenghi, qui a signé aussi à la Villa d'Hadrien (2), Piroli, l'auteur d'une édition réduite des Antichità d'Herculanum, ou en- core Casanova, ce collaborateur de Mengs et de Winckelmann, qui ne dédaignait pas, à se moments perdus, de composer des pastiches des fresques romaines.

Alors qu'au xvi« siècle il ne semble pas que les membres des gran- des familles se soient hasardés dans les galeries — si l'on excepte Tiberio Ceuli, le banquier de la via Giulia, qui a signé au crypto- portique, au xviii® siècle elles sont prétexte à une promenade élé- gante. Le roi de Suède ne manque pas d'écrire son nom sur la Volta degli stucchi, et, non loin, se déchiffrent les signatures d'aristocra- tes polonais. Plus qu'ils n'observent les peintures, ces visiteurs de marque saisissent certainement l'occasion d'éterniser leur nom au- près de ceux d'artistes célèbres. L'architecte de Cassel, du Ry, écrit à son père l'émotion qu'il a éprouvée en retrouvant sa signature et il ajoute qu'il s'est empressé d'y joindre la sienne : effectivement celles du père et du fils voisinent, sur la voûte du cryptoportique.

R e n o u a n t avec une tradition qui remonte au Cinquecento (^), les

(1) L'inscription «Brenna aperuit et delineavit» se lit au centre de la voûte de la salle 34, l'une de celles qui étaient encore inaccessibles à la Renaissance et qui fit partie du programme de fouilles de Mirri. De toutes celles qu'il fit dégager, la salle 34 est l'iuie des mieux conservées. A la lumière des projecteurs l'on décèle encore nombre de motifs, putti, guirlandes, mascarons, qui se détachent sur le fond rouge vif. Grâce aux nombreuses planches qui, dans le recueil de Mirri (L. MIRRI-G. GARLETTI Le antiche camere délie Terme di Tito e le loro pilture, Rome, 1776), illustrent la décoration de la salle, on peut reconsti- tuer le système d'ensemble de la voûte et des parois. U n e telle analyse ne manquerait peut-être pas d'intérêt dans ses rapports avec les grotesques néoclassiques, pour lesquels elle dut très probablement servir d'inspiration.

(2) N. DACOS, op. cit., p. 10, avec illustration.

(3) G. P. LoMAzzo, Trattato detl'arte délia pittura, scultura ed architettura (Milan, 1584), II, pp. 354-355 : « egli è parère di molti dotti ed esperti nelle lettere, che queste grottesche non solo siano cosi dette dalle grotte, perché gli antichi vi solessero talvolta ricovcrarsi nascostamente per piacere e diletto con qualche sua amata...».(ed. Rome, 1844).

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GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA 1 5 3 a m o u r e u x se d o n n e n t é g a l e m e n t r e n d e z - v o u s d a n s les g a l e r i e s n é r o - n i e n n e s , m a i s i c i e n c o r e l e t o n a c h a n g é . A u x i n s c r i p t i o n s s c a b r e u s e s q u e l ' o n d é c h i f f r e q u e l q u e f o i s p a r m i les n o m s d u x v i ^ s i è c l e , f o n t p l a c e d e s p r é n o m s e n l a c é s , s e m b l a b l e s à c e u x q u e l ' o n r e n c o n t r e a u j o u r d ' h u i . L e s c o u p l e s é l é g a n t s p r e n n e n t u n p l a i s i r d é j à r o m a n - t i q u e à s ' e n f o n c e r d a n s les « T e r m e d i T i t o », c o m m e d a n s l a V i l l a d ' H a d r i e n ( i ) .

A u m o m e n t d e l ' e m p i r e , n o u v e l l e a c c a l m i e , q u i a p e r s i s t é j u s q u ' à n o s j o u r s . L e d e r n i e r a r t i s t e d o n t o n p u i s s e l i r e l e n o m e s t L u c i l i o C a r t o c c i , h u m b l e d e s s i n a t e u r q u i c o l l a b o r a a v e c W e e g e a u r e l e v é d e s p e i n t u r e s . D e p u i s q u e les g a l e r i e s s o n t d é g a g é e s d e l a t e r r e q u i les c o m b l a i t e t q u e l ' o n se p r o m è n e a u n i v e a u o r i g i n a l d e l a M a i s o n d e N é r o n , les v o û t e s i s o l é e s c o n s e r v e n t l e u r l i v r e d ' o r , q u i p â l i t p e u à p e u , t a n d i s q u e s u r l e s p a r o i s m i s e s à j o u r s ' a c c u m u l e n t les n o m s r é c e n t s , écrits à l a h â t e p a r l e s « v a n d a l e s » q u i é c h a p p e n t à l a s u r - v e i l l a n c e d e g a r d i e n s t r o p c l a i r s e m é s .

L i s t e d e s g r a f f i t i

N.B. L e relevé des graffiti est d o n n é salle p a r salle. O n p e u t se référer a u p l a n d e W e e g e , m i s à p e u p r è s à j c u r d ' a p r è s les découvertes récentes, q u i est r e p r o d u i t d a n s G. LUGLI, Roma antica. Il centra monumentale ( R o m e , 1946), p p . 358-359. S u r c h a q u e v o û t e , la l e c t u r e se tait d e g a u c h e à droite. P o u r la V o l t a degli stucchi, les lettres et les chiffres r e n v o i e n t a u p l a n p u b l i é p a r F r . WEEGE, d a n s Antike Denkmàler, I I I , I (1912-1913) pl. 13 ; p o u r la V o l t a d o r a t a , le p l a n est tiré d e F r . WEEGE, Das Goldene Haus, op. cit., p . 176, fig. 23, m a i s il est re- p r o d u i t ci-dessous c a r des divisions s u p p l é m e n t a i r e s y o n t été indiquées.

D a n s le c r y p t o p o r t i q u e 70, l'on a t e n u c o m p t e d e la division en compositions, d ' E s t e n O u e s t , c ' e s t - à - d i r e d e d r o i t e à g a u c h e ; m a i s c h a c u n e des composi- tions est a n a l y s é e n o r m a l e m e n t d e g a u c h e à droite.

C e r t a i n e s salles très e n d o m m a g é e s , où l ' e n d u i t d e base t e n d à d i s p a r a î t r e c o m p l è t e m e n t , p o r t e n t des t r a c e s d ' i n s c r i p t i o n s illisibles, q u ' i l n e valait p a s la p e i n e d e p h o t o g r a p h i e r . C ' e s t le cas d e la salle 41, d e la salle 4 3 , oîi l ' o n décèle les initiales V M a u n o i r d e f u m é e et d e la l o n g u e salle 48, o ù l'on p e u t lire encore, p a r t e m p s d e pluie, la d a t e 1795, t r a c é e a u n o i r d e f u m é e . Il s e m b l e aussi q u ' i l y a i t q u e l q u e s restes d e noir d e f u m é e d a n s la salle 47, d a n s le petit couloir q u i m è n e à la salle 4 0 et d a n s la salle 46.

L ' o n d i s t i n g u e e n c o r e des restes d e graffiti à la v o û t e d ' u n e salle voisine d e celle d o n t le p l a f o n d est m o s a ï q u é (21). Ces q u e l q u e s vestiges s e m b l e n t t o u j o u r s e n r a p p o r t a v e c la c a m p a g n e d e fouilles organisée p a r M i r r i d a n s la s e c o n d e m o i t i é d u x v i i i " siècle. Ils n e p r é s e n t e r a i e n t d o n c p a s d ' i n t é r ê t p o u r l ' é t u d e des g r o t e s q u e s à l a R e n a i s s a n c e .

(1) Voir notamment les gravures de A. PENNA, Viaggiopittorico dellaVilla Adriana (Rome, 1830).

(11)

154

N. DACOS

(10)

L e s inscriptions s o n t r e p r o d u i t e s e n minuscules o u e n m a j u s c u l e s , d ' a p r è s les c a r a c t è r e s e m p l o y é s . Les b a r r e s obliques i n d i q u e n t le p a s s a g e à la ligne.

U n p o i n t sous la l e t t r e c o r r e s p o n d à u n e lecture d o u t e u s e .

L a t r a n s c r i p t i o n des graffiti est a c c o m p a g n é e d ' u n e l a r g e d o c u m e n t a t i o n p h o t o g r a p h i q u e , q u i p e r m e t , d a n s la p l u p a r t des cas, d e se r é f é r e r a u x ori- g i n a u x et o f f r i r a , j ' e s p è r e , la possibilité d ' e n r i c h i r la Uste des n o m s o u d e c o m p l é t e r c e u x d o n t j e n ' a i p u d o n n e r q u ' u n e l e c t u r e partielle. M e s vifs r e m e r c i e m e n t s v o n t à M . C h . V e r l i n d e n , q u i a b i e n v o u l u accueillir cet a r - ticle d a n s le Bulletin e t a mis à m a disposition l e j n o m b r e d e planches[|qui était s o u h a i t é .

^r~inr~^nr^[i]

V o l t a d e g l i s t u c c h i ( s a l l e 80).

C o t é d r o i t FiG. 1 A ) Egloffstein

T a r a d e l 1792 S t e p h a n i

B o n a t r i P e r e s q / le 19 j u i n / 1791 B) F l e u r i a n d e / Bellevue

L e C t e S...

V I S C O N T I / M E L C H I O R R I / V I E S T E C o n t e D o s . . .

(12)

( 1 1 ) GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA 1 5 5 P a s q u a l / Contesi / 1788 1) C o n t i

E ) orefice A Gellini a d i ... d i e ...

T a r d i e u / 1790 M é r i m é e R o g a t t i 2) Paybylski

R a d w . . . s k i H e n D ) P M a r c h i

G t e R e z o n i c o P a y r o n . . . u s k i 178.

F ) ...heyne 1787 1791 ...chghele ... 1581

3) F r a n c h e s c o C a g n o l i / 1755 f r a n c o i s 1795 1782

FiG. 2 G ) G u s t a v u s I I I R E X / 2 3 A p p i l 1784 J o h n H o p e

L e P r i n c e ... / J a b l o . . . s k i / polonais 1777 Ba...sky / 1791

P E Y R E . L . G U Y A R D / V a r o n 792 H ) F e r d i n a n d o / S a v e n n e / Liégeois

M i c h i e l ... / fecit 1574 ...nckel

8)

... 1721

1574 / Carlo van der Mandere van Muilebeke 1721

4)

L e G t e d e ... 1792 H a n s / v a n M e c h g e l e S a x o n 2 a p r i l 1761 / I n g l e s e I) L U G A R E L L I / 1955 / M A R I U G G I

S c h a v i n c k ... 1794 J ) ... 1789

O l i v i e r H o p e s / o l a n d e s e 1576 / 23 a u g u s t u s ... d e Fonville 179.

C o m t e s s e d e / C z e r n i c h e w l ' a n / 1792 le 19 X b r e 5) L e C o m t e C h a r o z e w s k i / Polonais / 1792

K ) F o r a n n i ... 1758 M a y 1759 6) C a s a n o v a 1788 L a G u a r . . . 7) O . H O P E / 1796

1788

(13)

1 5 6 N. DACOS ( 1 2 )

C ô t é g a u c h e

FiG. 3 B) B O V E / P I E T R O / 1955 G) 1781 / 29 X b r e

m a s s o n / 1776

C ) R a l p h P a y n e / m a r c h 13 . 1788 2) R H a n s / V a n d e n . . .

l O H A . . .

FiG.

4

B A R T O L O [ M E ] U S / S P R A N G H E R S / S G H I L D E R V o l t a d o r a t a ( s a l l e 6 0 ) .

B) F I L I / ...EA 1500 D O M . . .

F R A N C E S C H O A M A D ... E S P A N ...

A n t o n i o M E / . . . P A R O FiG.

5

F) B A L D I S A

c a p e

p i e t r o e s p a n o l o P E T R U S D E B A S T I A N O A N T . . . 1575 L U / D O / V I / G O FiG. 6 F bis) A M I

D A P A U . . . / T U V O L O / F R A N . . . / C H A R O / D E . . . / . . . P I E N I 14... / T I T O T I T . . .

D o m e n i c o / d o m e n i c o / B I G H O R D I U R S U S

Z E N M A R I P P E S P A N C E ... D E M I L A N O / 1496 B A C I O 1495

1500

F R A N C E S C H O A M A D B P . F 1557

3) B R I S S O

FiG. 7 C bis) Z a c a r i a d a P a r m a

Z A C A R I / D A P A R M A A s p e r . i n i

A M A . . . O A l i c a t r o D o n i FiG. 8 C) D o m e n i c o

Z À M A R I A / D A M I L A N O F R A B I G

A n t o . . . A n t o n i o

M E O D I P I E T R O

(14)

(13)

GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA

4)

Abis)

l E R O / . . . M O B A P T / I S T A m a s s i n A N G H U / 1520 F I L O / B A L

1500

E U S E B I O L E O E S P A . . . D O M

A N T O N I O / . P A D . . . D ) . . . O M A

7) F E L I C E

M A T U / M L U N O FiG. 9 G b i s ) C A Z O A R D O

P E R I N A

A I A G O M O D I N . E L C E C H O N E . . . N O F F F

E') L A T M A N O FiG. 10 5) F I L I / P I N O

6) S T E F A N O L u n e t t e

G . C a n i l l i 1811 G a s p e r o n i G i o C e c c a r e l l i P a d r e F i a n i T o m a s o 1895

V i n c e n z o M e l a r o t t a / f e b b r a i 4 / 1 1 / 1 8 9 5 G i a n n i n i

C i a t t o C e c c a r e l l i

C r y p t o p o r t i q u e ( s a l l e 7 0 ) . D e u x i è m e c o m p o s i t i o n E s t F i o . 11 G I O V A N I N O / 1519 p i t o r e

L U C I A N O g i o u l i o d a n d i o u l i o

D A N I E L / G I R A L D O / D E T U R I N O / P I T O R E F R I E U L O

E D O V A R D O

M I C E L A N G O L O d a L U C A C a p p i t t e l l i

L e n t i n i T r o v i s a n i

dessin o b s c è n e

(15)

158

N. DACOS

z a k a r i a m a z o l o da p ( a n n a ) ioulio d e la

Alavise C a r h e n a C h e r c h i e r p i e t r o

T r o i s i è m e c o m p o s i t i o n E s t

N I C H O L E T O D A M O D E N A / F E R A R A 1507 FiG. 12 Z U A N D A U D E N E / F I R L A N O

B A L D I S E R A P A D O / V A N O . . . T O R E

p h i l i p

B e n e d e t t o N o b i l i g i u s e p p e a s p e G I L I A N O D A N D A n t o n i o T a r t a g l i a

G a b r i e l u s A n t o ( n i e v a n ) Zierixzee M i c h i e l d e p...

F R A N G E S G O B R A M . . . . . . R I O / A N T I O . . .

Q u a t r i è m e c o m p o s i t i o n E s t FiG. 13 V I T T O R I O / F A U S T O / 24-4-1964

P i e r a n t o ... d a G...

C F . cap>e

1786

P I E R E D E L A G R A V E 1843

FiG. 14 h u b r e c h t / g h o l t z s c h i l d e r / t a n t w e r p e n 155.

H a n s v a n m e c h e l e n 1560 H a n s d a H a s s e l t 1560

A G O S T I N O D A F... / V A S I . . . N I G O L . . .

N . S . 1 8 1 8

FiG. 15 P I E R I N O F I O R E N T I N O G O R N E L I S L O O T S p r o s p e r o ...

c h a r l o . . . / 1 5 4 6 m a . . . / m o n . . .

A D I ... 1549 / A N T O N I D i o n i g i

G h " d e G h a u . . . e n 1792 E x L o m a x

... 1784/26

(16)

(15)

GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA

159

G i o v a n i d e

h u b r e c h t gholtz / schilder 1559 FiG. 16 D o m e n i c o f r e d i n o

1730 L U M E N

A m b r o g i o / M i l a n e s e / v o l a n t e . . . / R e s i n i B O R G I A N I / A L E A S L U T E O a r m a n d / n i n e t t e

1799 B E N E D E T O N I N E T T E P A N Z A N O

L u c i e n G h o r c e / D a r r a s 1576 Movilinier 1786

P e t i t 1786

M A N D R I N / m a n c i n o L U D O V I C H O / P A U L O J O H N P A R K E R / 1739

M a r q u a r d / 1791 C a r o l u s L e m e . . . M I C E L D . . . V I C E O B U G L U

1586 FiG. 17 A n g e b ... 1572

C A Z O

A N T O N I O / A D I 4 ... 1549 D e v e n d e

FiG. 18 R i c h a i r e H a a n 1785 D e L a t r e d e r . . .

M I C H I E L 1554 / D E l O C O E T / T O E . . . d e cosimo a n d r e a

R i c h a i r e / 1736

B A S T I A N O D A S À G I M I À N O / V A S O L A R O P I N T O R E / I N V A S I F A T O A D I / 21 D E D I C E B / 1520

P E S C I A felice f e r d e d . . .

F R A C E S C O G E R A S A 1519

1519 a d i 2 8 n o v e n b r e / f r a ° de / tivoli / j a c ° d e z a r a P R E S E A / c o p e a i r a

a n 1695

C I C O N E D A S À T A N A T O L I A / V A S C I E L A L L A R O / 1520 a d i 21 d d i c e n b r e

F r a n c e s c o C i c o t t i

L O D O V I C O / M A Z O L I ...

A N T O N I D A F E L T R O / <peATpco / TEXCOS F E R N A N N O / q u e s t o d i 2 0 / g i u g n o 1854

(17)

160

N. DACOS

(16)

... ciotti / n e l 18...

... ciotti / 1832

T r o n c h i n Spinola / M e s t r e z a t V i t t i m i o V a c c a r i n i

L u i s C e b r i a n 1788 ...ericq

. . . R I F R A N C O S O

M a r c i e n C h a n t e l o u p / 16 a o u s t 1798 1ère M a / L i b e r t é r o m a i n e C a r l o v a n d e r / M a n d e r e / m u e l e b e k e

B e n e d e t o ...

F R A N C E . . . ... 1567 FiG. 19 G A S P A B E S R A

Revisi

D o m e / n i c o d a /Pisa / el p i s a n o / b i o n d o 1526

p r e a u x p r e a u x 1786 L o m b a r d 1839

M a r c h e s e d i S a t t r i M i l a n e s e / 1 8 0 5 ... N o s t i ...

B A T I S T A R O M A N O / P U T A N I E R O P r e m i è r e c o m p o s i t i o n O u e s t FiG. 20 C a r t o c c i Lucilio / P i t t o r e , m a r z o 1911

b a u t e r / 1754

A n t o n i o S c h o e v h o v e n J e l . . . / 1572

FiG. 21 P . G . M ù U e r aus P r u s l a n d / M a l e r 1796 D e L a g r e n é e

C B... / P i t t o r e / 1796 L u i g i Basiletti P. K a u l f m a n n / 1796 B e y e r S a x o n / 1794 N a t t i e r / 1754 P e t e r P a d

D u R y / a r c h i t e c t e / a l l e m a n d / 1754 P . E . D u R y / a r c h i t e c t e / 1796 ... H o m b y / M a r c h 14 / 1785 E m a n u e l a d r i a e n s e n / a n t w e r p e n M a n d e r e 1574

FiG. 22 p i e r r e / ... / f r a n c o i s 1572 c l é m e n t e 1614

... B A P T I S T A / . . . N A N O M D 6 • ... eni

(18)

(17)

GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA C l a u d e G a l m e t

P i e r r e G... j a d a m o

W B e n i k e r z e / 1668 P i e r r e C r o c h e t / D o r l e a n s M a r q u a r d / J â g e r 1791 P r i l a e t i t i a d é s i g n a . . . FiG. 2 3 C e c h i n o A m a t i Sa...

leggeri A r c h i t e t t i / 1602 T i b e r i o Geuli

L a f a m i l l e d e G é r a n i l

D e u x i è m e c o m p o s i t i o n O u e s t FiG. 2 4 G a b r i e l A n t o n i s / Z i r i x z e e

d e m a n d . . . G i o v a n i A n d . . . A N G E

T r o i s i è m e c o m p o s i t i o n O u e s t . . . h a n

10 o c t o b r e 1799 / ... / F e r r i / ...

. . . R E A ... A O 1517

Q u a t r i è m e c o m p o s i t i o n O u e s t FiG. 2 5 N Blase ...

C i n q u i è m e c o m p o s i t i o n O u e s t H y l b r a t h

... P i e n z a G i u l i o A p r i l e 1792

S i x i è m e c o m p o s i t i o n O u e s t FiG. 26 M A T T E O D E N .

N I C H O L O / D I V I G E / N Z O / C h o r t o n a / A D M D 6 ... 1567

FiG. 27 B A L D I S A R A P A D U A N / C O R N I Z O N E A L I A S N A S O L Z A N T O M A Z O C H A L L A B R E S E

J a c " d a z a r a

P r o l o n g e m e n t d u c r y p t o p o r t i q u e 68-69) G a b r i e l e F i o r i t o

D O N A T O

(19)

162

N. DACOS 6 I b i s ) G i u s e p p e L E R G A

61 ) M i r r i C o t t o G i u l i o S a r a c i M O R I N 58) M I R R I

NucceteUi F i l i p p o

A N T O N I O D A R A V E N A G I O V A N I . . . D A B E R I N I O

A n t o n i o d a b o l o g n a T A I A P D E

j a n i n o d e c a z a m a g n a G i u s e p p e P a r a s o l e C o n t e . . .

P o r a n i c e

A N T O N I O / D E . . . P I E T R O

A M T O M I O P H I L I P S e g a l a r i R E N E 1721 R O S S I N I P I L O S T E R N 1798

B r o n z i t t o / 26 o t t o b r e 1841 L o m b a r d i A n d r é a Prof

C A S A A U R E A D I N E R O N E / C i r o Nispi L a n d i visitô a d i 2 8 o t t o b r e 1898 /

M e d a d o G o b b i c u s t o d e / . . . M a r i a n o . . .

S a l l e 3 2

F R A N C E S / S C O FiG. 2 8 . . . A N D I M . . .

Q u a r e n g h i G i o r g i o

S a l l e 3 4

FiG. 2 9 B R ( E ) N N A D E L I N E A V I T / E T A P E R U I T F i o . 30 Basiletti

A n t . G . R a s p o n i 177.

1837 1779 1798

(20)

(19)

GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA V o l t a g i a l l a ( s a l l e 36)

FiG. 3 1 P r 1800 1790 L i n n é 1779 P a s q u a l ...

Grilli A l e x a n d r e C A R L . . . FiG. 32 T h o m a s 1788

A g u s t i n J o h n ...

L U C I A P I / N O FiG. 3 3 1578

W A U T E R / V A N F L E D I N O G A B R I E L / V A N H O V E V A N S T E N E R . . . Nicolaes Dets a n d r e a R E N A R D 1775 V a u d o y e r 1785 M a s s o n T h o m . . .

. . . R U O N E / ...BOS / . . . E N S / ...BIS V . L D R E

P E Q j Q I G N O T

E U S E B I O D E V E R C E L L I C H A R A

S c o F r a n c e s / c h i P i n c i n e l / l a 1780 P i e r r e L d e C o u r l a n d e

G E R E R T / D U I T S P I E R O M O C E R I C O G A B R I E L

M A Z O L A F r a n c i e C H A R I F I O R E

FiG. 3 4 S E / B A / S T I / A N / O D E C O U L L O N

T E O F I L O / ...E D A S A G I M I A N O B A S T I A N O F R A N C . . .

S E B A S T I A N O A M I C U S B. N a l d i n o

S T E F A N O D U P I E R R E D E L A G R A V A

(21)

164

N. DACOS

(20)

O M G N I P O L T R O G H U A S T A T / P I N T O R I C H I O S O D O M I T O Felice R a p

L a b e l l a

FiG. 35 L e C"= d u T o u . . . / 1791 C A / R A V A G I O D T I R A N O P a r o i F i G . 36 D e V e n l o / ...

W i l l e m v a n N u e l a n d t Cornelis Floris 1574

E M A N U E L A D R I A N S E N / 1574 H A N S V A N B R U S S E L

G A B R I È L I

FiG. 37 S A R A F I N O V A S A R O 1515

V o l t a n e r a ( s a l l e 37) M u r n o i r

FiG. 38 T h o m a s v a n d e r A a

Bars v a n esdt a / G o r c u m 1576 1547

1547 1517

D I O N I S I / N A R M I E N

P I E T R O D A T O . . . / P A U L O D A V I T E . . . / M D X X I A E R T

G a r e l C A FiG. 39 M u r b l a n c

B A T I S T A / D A M I L A N O B D F C / P O P

T i n a d e L a q u i l a A s t r u d e P e t a r e d a n i a l e d e p a e s a ... R o p a n i o D A / B O L O G N A P E T R U S J A C O B I D o m e n i c o d a Bo...

V i n c e n c i o B u g l u A E R T

V Y T

H E M S K E R C S T E R D A M

(22)

( 2 1 ) GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA 1 6 5

H E R P O S T M A L A M A M S T E L V R I D

C L A U D E C O V I L O N / D E G T A . . . L O N / F R A N Ç O I S T O M E O / D E P I S A

B R I C I O d a / ...

S P I E . . . M O S . . .

V o l t a d é l i e c i v e t t e ( s a l l e 38) R A M A . . N C A . . O T O

FiG. 4 0 Piroli

S u v é e a n 10 1802

FiG. 41 M A R I O / D A M O R S A R O I D O L I N A •

1778 1781 C A R I L u i g i

I n d e x d e s n o m s

N . B . L ' i n d e x c o m p r e n d , p a r o r d r e a l p h a b é t i q u e , les n o m s r e p r o d u i t s ci- dessus q u e j ' a i p u d é c h i f f r e r en e n t i e r . C e u x q u i p e u v e n t être identifiés s o n t a c c o m p a g n é s d e brèves notices. L e s m e n t i o n s V S , V D , cr, V G , V N , Vciv et s. 34 i n d i q u e n t la localisation : V o l t a degli stucchi, V o l t a d o r a t a , c r y p t o p o r - t i q u e , V o l t a gialla, V o l t a n e r a , V o l t e délia civette et salle 34. O n t été intégrés e n o u t r e d a n s l ' i n d e x les graffiti p u b l i é s p a r W e e g e en 1913 et q u i n e sont p l u s lisibles a u j o u r d ' h u i . C o m m e l ' é r u d i t a l l e m a n d n ' e n a p a s d o n n é la p r o v e - n a n c e ( t o u j o u r s l ' u n e des trois v o û t e s q u ' i l a étudiées, la V o l t a degli stucchi, la V o l t a d o r a t a et celle d u c r y p t o p o r t i q u e ) , ils sont désignés u n i q u e m e n t p a r la l e t t r e W .

Ces graffiti s o n t transcrits i n t é g r a l e m e n t d ' a p r è s la version q u ' e n d o n n e W e e g e , s a n s m o d i f i e r l ' o r d r e des m o t s . C ' e s t p o u r q u o i , p a r souci d ' u n i f i c a - t i o n , tous les n o m s sont repris p r é c é d é s d u p r é n o m , tels q u ' o n les lit p r e s q u e t o u j o u r s s u r les voûtes, et sans e n m o d e r n i s e r l ' o r t h o g r a p h e .

T h o m a s v a n d e r A 1567 : W , V N . E m a n u e l A d r i a e n s e n : cr, V G . A g n o l o d a V e r o n a : W .

A g o s t i n o d a F a n o v a s i l a r o : W . D a n s le c r y p t o p o r t i q u e o n lit e n c o r e p a r t i e l l e m e n t l ' i n s c r i p t i o n .

A g u s t i n : V G . A n t o n i o A g u s t i n , j u r i s t e et historien espagnol. Saragosse 1 5 1 7 - T a r r a g o n e 1586. A R o m e d e 1544 à 1555.

A m b r o g i o M i l a n e s e : cr. P o u r r a i t ê t r e A m b r o g i o d a M i l a n o , s c u l p t e u r actif à U r b i n et aussi à F e r r a r e , V e n i s e , Spolète et T o d i , mais d o n t la p r é s e n c e à R o m e n ' e s t p a s attestée.

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N. DACOS

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B e n e d e t o A m a r o n i : W . Tailleur de bois. Sienne 1525 - actif j u s q u ' e n 1596. L a signature dans la D o m u s Aurea permet d'attester u n voyage à R o m e .

A n d r é a di C o s i m o : cr. Peintre, Florence 1477-1548. Prolongeant le style ornemental de Filippino Lippi, il diffuse surtout les grotesques sur les façades, dans la technique d u sgraffito. Cf. Chr. et G. THIEM, Andréa di Cosimo Feltrini und die Groteskendekoration der florentiner Hoch- renaissance, dans Zeitschrift fur Kunstgeschichte, 24, 1 (1961) pp. 1-39.

A n t o n i o d a C a m p i d o g l i o : W.

A n t o n i o d a F e l t r o : cr. Est identifié p a r W e e g e avec le peintre M o r t o d a Feltre, spécialiste des grotesques à la fin d u Quattrocento, et dont Vasari d o n n e la biographie sans en présiser le n o m . E n effet, dans la D o m u s Aurea, Weege a p u lire aussi « Antonio M o r t o ». L'hypothèse reste néanmoins aléatoire, et il est plus p r o b a b l e que l'artiste désig- n é p a r Vasari s'appelait en réalité Lorenzo Luzzo, da Feltre.

A n t o n i o d a R a v e n n a : W .

A s p e r ( t ) i n i : V D . P r o b a b l e m e n t Amico Aspertini, qui continue et modifie le style des grotesques de Pinturicchio. Bologne, vers 1475-1552.

L a u r e n s B a c h o t d e P a r i s p i n t r e 1571 : W . O n connaît en France, a u

xVT« siècle, u n e famille d e peintres et d e sculpteurs qui porte ce n o m , mais a u c u n L a u r e n t n ' y est attesté.

B a l d i s e r a p a d o v a n o : cr.

B a r s v a n E s d t v a n G o r c u m : V N .

L u i g i B a s i l e t t i : cr, s. 34. Peintre, Brescia 1780-1860. Se forme à Bologne et à R o m e , où il est en r a p p o r t avec Canova.

B a s t i a n o Franc... : V G . P o u r r a i t être Bastiano di Francesco, sculpteur flo- rentin fils de Francesco di Simone Ferrucci, chargé en 1508 de travail- ler au t o m b e a u de Pie I I I , p o u r la chapelle des Saints A n d r é et G r é - goire, à Saint-Pierre de R o m e .

B a s t i a n o d a S a n g i m i a n o : cr.

B a t i s t a d a M i l a n o : V N . Peut-être est-ce la signature d u m ê m e persormage q u e l'on lit dans le cryptoportique : « Battista ...ilano 1506».

B a t i s t a R o m a n o : cr. Peintre chargé en 1563 de dorer l'inscription de la porte d u Peuple à R o m e .

B a u t e r : cr.

L e e t B a w o r o w s k i : W .

G a s p a r e B e c e r r a : voir Gaspabezra.

W. B e n i k e r z e : cr.

B e y e r S a x o n : cr.

B i g a t t i : W . Peut-être le peintre et g r a v e u r Giovanni Bigatti, actif à R o m e a u x environs de 1818.

D o m e n i c o B i g h o r d i : V D . Il s'agit d u n o m de famille de Ghirlandaio, qui d u t visiter la Domus Aurea a u x environs de 1480, et en tirer des croquis de grotesques, p a r m i les premiers. Cf. N . DACOS, Ghirlandaio et rantique, dans Bulletin de l^Institut Historique Belge de Rome, 34 (1962), p p . 421-455.

P i e t r o B i s s o l d a C a r p i : W . Peut-être Francesco Bissolo, souvent appelé Piero. O n ignore le lieu et la d a t e d e sa naissance, mais il a p p a r a î t à

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GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA 1 6 7 V e n i s e en 1492 et y m e u r t e n 1554. U n séjour à R o m e n'est p a s

attesté.

A n t o n i o d e B l a n c i s : W . P e u t - ê t r e A n t o n i o Blanchi, p e i n t r e m i l a n a i s actif vers 1720.

A n t o n i o d a B o l o g n a : cr.

A n t o n i o d a R a v e n a : cr.

B l e r i c h a r d 1791 : W . B o n a t t i : V S .

B o r g i a n i : cr. P o u r r a i t ê t r e le s c u l p t e u r — et p e u t - ê t r e aussi p e i n t r e — Giulio B o r g i a n n i , o r i g i n a i r e d e Florence, et actif à R o m e d a n s la deuxiè- m e moitié d u xvi'^ siècle, p l u t ô t q u e son frère O r a z i o , p e i n t r e et gra- v e u r , m o r t e n 1616.

B o u v r e t 1789 : W . F r a n c e s c o B r a n c a : W .

B r e n n a : s. 34. V i c e n z o Br., a r c h i t e c t e et p e i n t r e (Florence 1745-Saint- P é t e r s b o u r g 1820), actif à R o m e en 1780, é p o q u e à l a q u e l l e il colla- b o r e a ve c M i r r i et S m u g l i e w i c z à la p u b l i c a t i o n des « V e s t i g i a délie T e r m e di T i t o » .

B r i a r d 1754 : W . L e p e i n t r e G a b r i e l B r i a r d , Paris 1729-1777, élève d e N a - toire, à R o m e d e 1750 à 1753 e n v i r o n .

B r o n z i t t o : cr.

B u c h a n 1796 : W . P e u t - ê t r e a p p a r e n t é à H e n r y D a v i d Erskine, Earl of B u c h a n , g r a v e u r a m a t e u r , 1710-1767.

V i c e n c i o B u g l u : V N . P e u t - ê t r e le m ê m e q u e celui q u i a s i g n é d a n s le c r y p t o p o r t i q u e V i c e o B u g l u .

L e B n . d e B u n g e s u é d o i s l e 21 a v r i l 1792 : W . F r a n c h e s c o C a g n o l i : V S .

C a m e r o n : W . C h a r l e s C a m e r o n , a r c h i t e c t e et g r a v e u r écossais, q u i p u b l i a à R o m e e n 1772 u n v o l u m e sur les décorations des t h e r m e s r o m a i n s . C a m i l l o y S i l v e s t r e 1792 : W .

G. C a n i U i : V D . P i e t r o C a p e : V D .

C a p e t t e l l i : W . P e u t - ê t r e le m ê m e q u e le suivant.

C a p p i t t e l l i : cr. P e u t - ê t r e B e r n a r d i n o Capitelli, p e i n t r e et g r a v e u r n é à S i e n n e en 1589 et m o r t e n 1639, actif à S i e n n e et à R o m e où d e p u i s 1626 il f u t e m p l o y é p a r C a s s i a n o d a l Pozzo p o u r g r a v e r des reliefs a n - tiques.

C a r a v a g i o : V G . P o u r r a i t ê t r e A l e s s a n d r o d a C , p e i n t r e actif à Brescia en 1525 o u P o l i d o r o C a l d a r a d a C , l'élève d e R a p h a ë l , a u t e u r d e n o m b r e u x grotesques, et q u i a p p r i t la p e i n t u r e a u x loges d e R a p h a ë l . C a r a v a z o P. : W .

A l a v i s e C a r h e n a : cr.

L u i g i C a r l i : V C i v .

L u c i l i o C a r t o c c i : cr. L e c o l l a b o r a t e u r d e W e e g e , a u t e u r des aquarelles p u - bliées d a n s l ' o u v r a g e d e celui-ci.

C a s a n o v a : V S . G i o v a n n i Battista, p e i n t r e et dessinateur, V e n i s e 1730- D r e s d e 1795. F r è r e d e F r a n c e s c o . C o l l a b o r a t e u r d e W i n c k e l m a n n .

S ' i n s t a l l e à D r e s d e e n 1764, puis revient en Italie a v e c le p r i n c e

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N. DACOS

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Beloselsky e n 1771. L a d a t e d e 1788 i m p l i q u e r a i t u n a u t r e séjour à R o m e , p l u s t a r d .

L u i s C e b r i a n : cr.

C e c c a r e l l i : V D .

C e c c h i n o : W . L a t e n t a t i o n d ' y voir le n o m d e Salviati n'est a p p u y é e p a r a u c u n é l é m e n t .

C e c h o n e : V D .

A C e l l i n i : V S . A u c u n A Cellini n'est attesté. L a l e c t u r e B Cellini, q u i con- v i e n d r a i t p o u r u n orfèvre, s e m b l e i m p r o b a b l e .

F r a n c e s c o C e r a s a : cr.

T i b e r i o C e u l i : cr. L e b a n q u i e r q u i en 1576 a c h e t a le Palais S a n g a l l o , d e v i a G i u l i a , a u c a r d i n a l Ricci. Cf. A. E . REV^fETT, Ancora sul Palazzo Sangallo, d a n s Bollettino d'arte, 5 (1911), p p . 439-440.

M a r c i e n C h a n t e l o u p : cr. U n C h a n t e l o u , f o n d e u r f r a n ç a i s , est attesté dans u n i n v e n t a i r e d e 1791.

C o m t e C h a r c z e w s k i : V S . L e e t . C h e l k o w s k i : W . C h e r c h i e r : cr.

C i c o n e d a S a t a n a t o l i a v a s c i e l l a l a r o p . 1520 a d i 21 d d i c e m b r e : W . P o t i e r i n c o n n u , q u i a visité la D o m u s A u r e a le m ê m e j o u r et p e u t - ê t r e e n m ê m e t e m p s q u e son collègue B a s t i a n o d a S a n G e m i g n a n o . F r a n c e s c o C i c o t t i : cr.

C i o t t i : cr. P r o b a b l e m e n t p r è s d e cette s i g n a t u r e W e e g e a p u déchiffrer

« F e d e r i c o , F r a n c e s c a , E n r i q a C a r o l i n a ».

H i e r o n i m o C o i c h d a B e r g a m o : W . Il p o u r r a i t s ' a g i r d u g r a v e u r a n v e r - sois H i e r o n y m u s Cock (environ 1510-1370), q u i f u t à R o m e d e 1546 à 1548. P e u t - ê t r e venait-il alors d e B e r g a m e .

C l a u d e C o u i l o n : V N . P i e r r e L d e C o u r l a n d e : V G . P i e r r e C r o c h e t d ' O r l é a n s : cr.

C o m t e s s e d e C z e r n i c h e w : V S . D e C a r i s : W .

D o m e n i c o d a B o l o g n a : W . A la V o l t a n e r a , o n lit e n c o r e « D o m e n i c o d a B o . . . » , q u i est p e u t - ê t r e la m ê m e s i g n a t u r e .

D o m e n i c o d a P i s a : cr.

E g l o f f s t e i n : V S . ... e s p a g n o l : W .

E u s e b i o d a V e r c e l l i : V G . Il p o u r r a i t s ' a g i r d ' E u s e b i o F e r r a r i , p e i n t r e d e l'école d e Vercelli, n é a v a n t 1470 à P e z z a n a , m o r t a v a n t 1533, et q u i a p p a r a î t d a n s l ' o r b i t e d e G a u d e n z i o F e r r a r i à p a r t i r d e 1508. Son v o y a g e à R o m e n'est p a s attesté p a r ailleurs, m a i s il est très p r o b a b l e q u e l ' a r t i s t e y soit v e n u , a u m ê m e t i t r e q u e G a u d e n z i o .

F a b i o a n t i q u a r i o 1560 : W .

G i o v a n M a r i a F a l c o n e t t o : voir Z a n M a r i a d a M i l a n o . F e d e r i c o d a B o l o g n a : W .

G i u s e p p e F e o l a d i N... : W .

E u s e b i o F e r r a r i : voir E u s e b i o d e Vercelli.

F e r r i : cr.

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GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA

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F F F : V D . C o r r e s p o n d a u m o n o g r a m m e d e F r a n s Floris (Anvers, vers 1516-

1570) et p o u r r a i t a t t e s t e r le p a s s a g e d a n s la D o m u s A u r e a d u peintre, q u i q u i t t a sa ville n a t a l e p o u r l ' I t a l i e e n 1542 et s é j o u r n a à R o m e . Cf.

N . DACOS, Les peintres belges à Rome au XVI^ siècle (Bruxelles-Rome, 1964) p p . 41-48.

T o m m a s o F i a n i : V D .

F i l i p i n o : V D . P e u t - ê t r e F i l i p p i n o L i p p i ( P r a t o 1457-Florence 1504), q u i f u t l ' u n des p r e m i e r s à utiliser les grotesques, à la c h a p e l l e C a r a f a à S a n t a M a r i a s o p r a M i n e r v a , et à S a n t a M a r i a N o v e l l a .

F l e u r i a n d e B e l l e v u e : V S .

C o r n e l i s F l o r i s : V G . L a s i g n a t u r e é t a n t d a t é e d e 1574, il s ' a g i t d u fils et élève d u g r a n d Cornelis Floris, p e i n t r e et s c u l p t e u r n é à Anvers vers 1551, y m o r t e n 1615. J u s q u ' i c i son séjour e n Italie n ' é t a i t p a s attesté.

F r a n s F l o r i s : V D . V o i r F F F . F o r a n n i : V S .

F r a n c e s c h i P i n c i n e l l a : V G . F r a n c e s c o d e T i v o l i : cr.

F r a n c e s c o d e Z a r a : W . M a u v a i s e lecture p o u r J a c o p o d e Z a r a , dans le c r y p t o p o r t i q u e (voir ce n o m ) .

F r a n c e s c h o d a S i a n o : W . Si S i a n o doit être lu Siena, le n o m p o u r r a i t être i n t e r p r é t é d e d e u x m a n i è r e s : soit F r a n c e s c o d i G i o r g i o M a r t i n i ( S i e n n e 1 4 3 9 - 1 5 0 2 ) , l ' a r c h i t e c t e , s c u l p t e u r , p e i n t r e , i n g é n i e u r et théo- ricien q u i f u t à R o m e en 1491, soit, plus v r a i s e m b l a b l e m e n t , Francesco d a S i e n a , p e i n t r e actif à R o m e a u x e n v i r o n s d e 1550, élève d e Peruzzi.

F r i d i n g : W .

G a b r i e l A n t o n i s Z i r i x z e e : cr. ( d e u x fois).

G a b r i e l V a n H o v e : V G .

G a b r i e l i : V G . Il p o u r r a i t p e u t - ê t r e s ' a g i r d u p e i n t r e O n o f r i o Gabrielli (Gesso, p r è s d e M e s s i n e , 1616-Messine, 1705 o u 1706) q u i v i n t étudier à R o m e a u p r è s d e Nicolas Poussin et ensuite a u p r è s d e P i e r r e de Cor- t o n e .

J a n C a e g v a n V e n l o : W . C l a u d e G a l m e t : cr.

G a s p a b e z r a : cr. P e u t - ê t r e s'agit-il d u p e i n t r e espagnol G a s p a r e Becerra, à R o m e d a n s les a n n é e s 1550, q u i c o l l a b o r a avec V a s a r i à la C h a n c e l - lerie p u i s a v e c D a n i e l e d a V o l t e r r a à la T r i n i t é - d e s - M o n t s , et diffusa plus t a r d e n E s p a g n e la c u l t u r e i t a l i e n n e m a n i é r i s t e d u m i l i e u d u siècle.

Cf. F. BoLOGNA, Roviale Spagnuolo e la pittura napoletana del Cinquecento (Naples, 1959), passim et n o t . p p . 54-55.

G a s p e r o n i : V D .

L a f a m i l l e d e G é r a n i l : cr.

G e r e r t D u i t s : V G .

D o m e n i c o G h i r l a n d a i o : voir D o m e n i c o Bighordi.

H u b e r t G h o l t z : cr. ( d e u x fois). Il s'agit d u f r è r e d u célèbre H e n d r i k G o l t - zius, q u i f u t é g a l e m e n t p e i n t r e et g r a v e u r , m a i s aussi i m p r i m e u r e t n u m i s m a t e . N é à W u r t z b o u r g ou à V e n l o en 1526, il f u t élève d e

L a m b e r t L o m b a r d à L i è g e p u i s vint e n I t a l i e d e 1558 à 1560. M o r t à B r u g e s e n 1583.

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N. DACOS

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L u c i e n G h o r c e : cr.

G i a n n i n i : V D . Il p o u r r a i t s ' a g i r d e P a o l o G i a n n i n i , o r f è v r e à R o m e , actif a u V a t i c a n e n 1564.

G i a n t o m m a s o C a l a b r e s e : voir Z a n t o m a s o C h a l a b r e s e . G i o v a n i n o p i t o r e : cr.

G i o v a n n i d a U d i n e : voir Z u a n d a U d e n e .

G i o v a n n i M a r i a d a M i l a n o : voir Z a n M a r i a d a M i l a n o . D a n i e l G i r a l d o d e T u r i n o : cr.

M e d a d o G o b b i : cr.

H u b e r t G o l t z i u s : voir H u b e r t Gholtz.

L e c o m t e G r a b o w s k y , P o l l o n a i s l e 21 a v r i l 1792 : W .

D e l a G r e n g e : W . P e u t ê t r e u n e m a u v a i s e l e c t u r e p o u r D e L a g r e n é e (cr.).

G r i U i : V G .

F r a n c e s c o G r i s p i n i s c r i s s e a p a n s a p e r a r i a l i / / / 1 8 5 2 : W . P i e r r e d e l a G r u z : W .

G u s t a v u s I I I R e x : V S . L e roi d e S u è d e n é e n 1746, assassiné en 1792, qui v i n t à R o m e e n 1783, c o n t i n u a vers N a p l e s , et s é j o u r n a d e n o u v e a u à R o m e e n 1784.

G u y a r d : cr. P r o b a b l e m e n t L a u r e n t G u y a r d , s c u l p t e u r f r a n ç a i s à R o m e à p a r t i r d e 1754 (1723-1788). Il a signé en m ê m e t e m p s q u e son col- lègue P e y r e .

H a a n : cr. P r o b a b l e m e n t a u m ê m e e n d r o i t W e e g e a lu « R i c h a r d H a a n 1785 ».

H a n s v a n B r u s s e l : V G . H a n s v a n D e v e n t e r : W . H a n s d a H a s s e l t : cr.

H a n s v a n M e c h e l e n : cr.

H a n s v a n M e c h g e l e : V S .

H a r p e r v o n B e r l i n 1794 : W . L e p e i n t r e d e p a y s a g e s A d o l p h F r i e d r i c h H a r p e r (Berlin 1725-1806), q u i s é j o u r n a à R o m e d e 1752 à 1756. U n v o y a g e successif n ' e s t p a s attesté m a i s n ' e s t p a s impossible, à moins q u e W e e g e n ' a i t lu 1794 p o u r 1754, selon u n e e r r e u r f r é q u e n t e .

H e m s k e r c : V G . T r è s p r o b a b l e m e n t M a r t i n v a n H e e m s k e r c k ( H e e m s - kerck 1 4 9 8 - H a a r l e m 1574), q u i resta à R o m e d e 1532 à 1536.

H o m b y : cr.

J o h n H o p e : V S . P r o b a b l e m e n t J e a n H o p e , m a r c h a n d d ' a n t i q u i t é s d'origi- n e o r i e n t a l e , q u i f u t en r a p p o r t avec le c a r d i n a l A l b a n i . L a présence

d e son f r è r e Olivier est attestée à R o m e en 1769. P e u t - ê t r e y est-il v e n u é g a l e m e n t .

O . H o p e : V S . P r o b a b l e m e n t Olivier H o p e , f r è r e d e J e a n . H y l b r a t h : cr.

P e t r u s J a c o b i : V N . J a c o p o d e Z a r a : cr.

P. K a u f f m a n n : cr. L e s c u l p t e u r P e t e r K . , cousin d ' A n g e l i k a , q u i à la m o r t d e son m a r i la r e j o i g n i t à R o m e et r e s t a f i d è l e m e n t à ses côtés j u s q u ' e n 1817. D ' a p r è s T h i e m e - B e c k e r , il serait a r r i v é à R o m e e n 1797. L a d a t e d e 1796 d a n s la D o m u s A u r e a p e r m e t d ' a n t i c i p e r son séjour d ' u n an.

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GRAFFITI DE LA DOMUS AUREA

171

K i s l i n g 1804 : W . L e s c u l p t e u r L e o p o l d K . ( S c h ô n l e b e n , A u t r i c h e 1770-

V i e n n e 1827) q u i vint à R o m e e n 1801 et e n t r a en r a p p o r t avec C a n o v a . K l e n g e l d e D r e s d e : W . J o h a n n C h r i s t i a n K l . , p e i n t r e d e paysages, n é

près d e D r e s d e en 1751, m o r t à D r e s d e en 1824. Il fit le v o y a g e d ' I t a l i e d e 1790 à 1792.

D e L a g r e n é e : cr. Soit Louis J e a n - F r a n ç o i s (l'aîné) (Paris 1725-1805) q u i f u t d i r e c t e u r d e l ' A c a d é m i e d e F r a n c e d e 1781 à 1787, soit J e a n - J a c q u e s (le j e u n e ) (Paris 1739-1821), q u i f u t m e m b r e d e l ' A c a d é m i e

d e F r a n c e d e 1763 à 1768.

L e n t i n i : cr.

L i n n é : V G .

F i l i p p i n o L i p p i : V o i r Filipino.

A n d r é a L o m b a r d ! : cr.

C o m e l i s L o o t s : cr. W e e g e a lu « C o m e l i s L o o t s v a n M e . . . » . U n p e i n t r e d e ce n o m , originaire d e M a l i n e s , est attesté à R o m e d e 1575 à 1576.

Cf. G . J . HooGEWERFF, Bescheiden in Italie omirent Nederlandsche kunste- naars en geleerden, I I ( L a H a y e , 1913), p p . 307-309. ( P a i e m e n t s p o u r des t r a v a u x d e p e i n t u r e a u C a m p o s a n t o . )

M a c c h i a v e l l i d a B o l o g n a : W . Plusieurs artistes d e ce n o m sont connus.

Il s'agit p r o b a b l e m e n t d e G i a c o m o , g r a v e u r n é à Bologne en 1756, m o r t à R o m e en 1811, q u i f u t actif s u r t o u t à R o m e .

C a r l o v a n d e r M a n d e r e v a n M u i l e b e k e 1574 : V S , cr. D a n s le crypto- p o r t i q u e on lit aussi « d e m a n d . . . » et « M a n d e r e 1574», q u i se r a p - p o r t e n t p r o b a b l e m e n t a u m ê m e artiste, n é à M e u l e b e k e , près d e C o u r - t r a i en 1548, m o r t à A m s t e r d a m en 1616, q u i f u t à R o m e d e 1574 à 1577. V o i r N . DACOS, op. cit., p p . 69-73.

M a n d r i n : cr.

P . M a r c h i : V S . M a r q u a r d J â g e r : cr.

M a s s i n : V D .

M a s s o n : V G . D e n o m b r e u x artistes f r a n ç a i s p o r t e n t ce n o m . P e u t - ê t r e s'agit-il d e François M a s s o n , 1745-1807, s c u l p t e u r élève d e C o u s t o u , q u i travailla à R o m e j u s q u ' e n 1775 e n v i r o n .

M a t t e o d e N. : cr.

M a z o l a : V G . O n songe à F r a n c e s c o M . , d i t le P a r m i g i a n i n o , (Casai M a g g l o r e , P a r m e , 1503-1540) q u i f u t à R o m e d e 1523 à 1527.

Z a c a r i a M a z o l a d a P a r m a : v o i r Z a c a r i a d a P a r m a .

L o d o v i c o M a z o l i : cr. P o u r r a i t d é s i g n e r le F e r r a r a i s M a z z o l i n o (1480-1528), d o n t le séjour à R o m e n ' e s t p a s attesté p a r les d o c u m e n t s .

... v a n M e c h g e l e 1550 : W . ... v a n M e c h e l e 1550 : W . ... a u s M e c h l e n 1558 : W . . . . z a z z i o v a n M e c h g e l e 1501 : W . C h a r l e s M e c h l e n 1558 : W . V i n c e n z o M e l a r o t t a : V D . M e o d i P i e t r o : V D .

M é r i m é e : V S . L e p e i n t r e L é o n o r (Broglie 1757-Paris 1836), p è r e d e Pros- p e r , élève d e D a v i d et d e D o y e n , q u i vint à R o m e en 1790.

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