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Conclusions du séminaire

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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Submitted on 3 Jun 2020

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Conclusions du séminaire

Eric Vall, Nadine Andrieu, Eduardo Chia, Hassan B. Nacro, Patrick Dugué,

Mélanie Blanchard

To cite this version:

Eric Vall, Nadine Andrieu, Eduardo Chia, Hassan B. Nacro, Patrick Dugué, et al.. Conclusions du séminaire : L’agriculture intensive et écologique : une utopie à réaliser en Afrique de l’Ouest. Partenariat, modélisation, expérimentations : quelles leçons pour la conception de l’innovation et l’intensification écologique ?, Labo/service de l’auteur, Ville service, Pays service., Nov 2011, Bobo-Dioulasso, Burkina Faso. �hal-02749916�

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Vall E., Andrieu N., Chia E., Nacro H. B. (éditeurs scientifiques), 2012. Partenariat, Modélisation, Expérimentation : Quelles leçons pour la conception de l’innovation & l’intensification écologique. Actes du séminaire ASAP, novembre 2011, Bobo-Dioulasso, Burkina Faso, Cédérom.

Conclusions du séminaire

L’Agriculture intensive et écologique : une utopie à réaliser

en Afrique de l’Ouest

Eric VALL*, Nadine ANDRIEU**, Eduardo CHIA**, Hassan B. NACRO***, Mélanie BLANCHARD*, Patrick DUGUE**

*CIRAD, UMR SELMET, F-34398, Montpellier, France

**CIRAD, UMR INNOVATION, F-34398, Montpellier, France **IDR, UPB, Bobo-Dioulasso, Burkina Faso

Préambule

L’intensification écologique peut se définir comme l’obtention d’une production plus élevée par unité de biosphère (surface cultivée, troupeau, exploitation agricole, territoire villageois) en mobilisant des processus écologiques présents dans les agrosystèmes, tout en maintenant les fonctionnalités des écosystèmes, sans néanmoins s’interdire le recours aux intrants de synthèse, lorsque cet usage ne compromet pas la viabilité de l’ensemble1

. L’agriculture intensive et écologique (AIE) est-elle une utopie réalisable en Afrique de l’Ouest ? Telle était la question centrale de ce séminaire.

Les pistes explorées pendant cette rencontre ont permis de formuler quatre objectifs de travail visant à mettre en application le concept d’AIE en Afrique de l’Ouest :

– explorer la diversité des options techniques pour une AIE ; – explorer les conditions nécessaires pour l’adoption d’une AIE ; – préciser les enjeux de recherche pour la co-construction d’une AIE ;

– adapter les politiques publiques pour accompagner le développement de l’AIE.

Explorer la diversité des options techniques pour une AIE

Les travaux du séminaire suggèrent que, dans cette région du monde, le concept d’AIE est une « utopie envisageable » car il existe de nombreuses possibilités pour intensifier écologiquement la production dans les exploitations et dans les territoires agro-sylvopastoraux :

– par substitution partielle ou totale des intrants de synthèses par des processus biologiques (exemple : remplacer une partie de l’énergie fossile consommée par de l’énergie animale ; remplacer des insecticides par des OGM…) ;

– par l’amélioration des synergies entre les composantes du système de production (exemple : association agriculture-élevage, agroforesterie…) ;

– par hybridation des pratiques conventionnelles avec des processus biologiques et des savoirs locaux (exemple : engrais minéraux + légumineuses ; droit foncier moderne + pratiques locales de gouvernance territoriale).

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Dans les systèmes de production et les territoires agro-sylvo-pastoraux de l’Afrique de l’Ouest, les processus biologiques disponibles, les savoirs locaux et les techniques de l’ingénierie biologique disponibles pour la co-constuction d’une AIE sont nombreux. Nous renvoyons le lecteur au tableau 1 de la communication intitulée « L’intensification écologique : réflexions pour la mise en pratique de ce concept dans les zones de savane d’Afrique de l’Ouest (Dugué et al.) » présentée dans le thème 1 du séminaire pour plus de précisions sur les processus mobilisables visant à : améliorer la structuration des sols et leur protection contre l’érosion, améliorer la fertilisation des cultures et la fertilité organique des sols, contrôler plus efficacement les adventices et les ravageurs, gérer plus rationnellement le peuplement végétal cultivé, réduire les pertes de biomasses, gérer plus efficacement l’eau et à intensifier plus rationnellement l’élevage.

Explorer les conditions nécessaires pour l’adoption d’une AIE

Les travaux du séminaire ont permis d’explorer les conditions à satisfaire pour qu’en Afrique de l’Ouest, l’AIE soit une « utopie réalisable ». Tout d’abord, il est essentiel que les producteurs et les décideurs politiques soient déjà convaincus que l’AIE est une piste sérieuse pour contribuer à la résolution de l’insécurité alimentaire et à l’augmentation des revenus des producteurs. Il appartient donc aux chercheurs de le prouver. Il s’agit donc de montrer que l’AIE est plus productive, plus durable, plus flexible face aux aléas et aux effets des changements globaux, mais aussi plus efficiente (c’est à dire plus économe en intrants, en eau, en énergie fossile et moins consommatrice d’espaces) que l’agriculture telle que pratiquée actuellement en Afrique de l’Ouest et que l’on peut qualifier d’agriculture en voie d’intensification classique. Il s’agira donc aussi de tirer toutes les leçons négatives et positives de plusieurs décennies de vulgarisation d’un modèle de production agricole issu de la révolution verte pour réfléchir aux alternatives possibles et efficaces.

Préciser les enjeux de recherche pour la co-construction d’une AIE

Les travaux du séminaire ont permis de dégager trois principes fondateurs de la mise en action de l’AIE en Afrique de l’Ouest, que l’on peut considérer comme des postulats :

— le principe de l’hybridation. L’AIE se fonde sur l’hybridation des connaissances agronomiques et écologiques d’une part, et sur l’hybridation de techniques proposées par la recherche et des pratiques paysannes d’autre part ;

– le principe de pluralité des objectifs. L’AIE poursuit de nouveaux objectifs, produire plus, produire mieux, mais aussi produire des biens et des services… et par conséquent elle suppose un nouveau rapport à la nature, ce qui constitue pour la recherche comme pour les producteurs un changement de paradigme ;

– le principe de responsabilité dans l’action. Sans renoncer aux fondements de l’AIE, ce principe de prudence vise à ce que l’on se préoccupe tant des conséquences prévisibles (positives et négatives) de la mise en action de l’AIE que du prima de la satisfaction des objectif des décideurs politiques et des producteurs à savoir la résolution de l’insécurité alimentaire et l’augmentation des revenus agricoles. En s’appuyant sur ces principes fondateurs, trois types d’enjeux de recherche ont été précisés : (1) les conditions pour élaborer des dispositifs partenariaux opérationnels dans les processus de co-construction de l’AIE ; (2) les rôles et les usages des modèles biophysiques ou agro-économiques dans le processus de co-construction et d’évaluation d’une AIE ; (3) les conditions et modalités d’expérimentation permettant de définir le périmètre de mise en œuvre d’une AIE dans les systèmes de production et les territoires.

Conditions pour élaborer des dispositifs partenariaux opérationnels dans les processus

de co-construction de l’AIE

Comment impliquer, enrôler, intéresser les acteurs de terrain dans les processus de co-construction de l’AIE ? Les éléments de réponses apportés par le séminaire s’ordonnent autour des points suivants.

• Le processus de co-construction de l’AIE s’appuie sur un partenariat étroit et formalisé entre les producteurs et les chercheurs pour créer des liens permanents favorisant les échanges mutuels de connaissances. Ainsi, les producteurs sont mieux impliqués dans l’analyse des situations, dans

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l’identification des options possibles, dans la mise en pratique et l’évaluation des impacts de l’AIE. Cette approche permet de construire un cadre socio-technique de l’AIE en produisant des nouveaux référentiels avec les acteurs.

• La recherche en partenariat se fonde sur des dispositifs multi-acteurs impliquant les producteurs, leur représentation (organisations paysannes), et les acteurs de l’environnement amont de l’exploitation (services financiers, conseils, fournisseurs d’intrants et de matériels) et aval (commerçants, transformateurs…) et les chercheurs. L’élaboration d’un cadre éthique négocié (principes et valeurs, cf notamment les 3 principes énoncés ci-dessus) et d’un objectif déterminé collectivement sont des dispositions efficaces pour que chaque acteur du dispositif soit assuré que ses préoccupations, ses valeurs, ses idées ses actions seront bien pris en compte. L’efficacité du fonctionnement de ces dispositifs dépend aussi de la capacité des conseillers et des leaders paysans à les animer en traduisant les messages, dans un langage compréhensible par tous, entre la sphère des chercheurs et celle des producteurs.

• Les travaux présentés ont montré qu’il existait plusieurs formes de dispositifs de recherche en partenariat possibles, avec différentes configurations d’acteurs. Certains dispositifs étaient transitoires (constitués pour la période de la recherche), alors que d’autres étaient constitués pour durer (au delà du terme de la recherche). Dans certaines recherches, les dispositifs évoluaient en passant d’un statut transitoire à un statut institué (exemple : élaboration d’un dispositif de gouvernance territoriale). Ils ont également montré que les dispositifs partenariaux expérimentés, étaient trop souvent circonscrits aux groupements paysans villageois, ce qui ne permettait pas de résoudre les problèmes d’accès aux intrants et services et les questions d’écoulement des produits qui impliquent le plus souvent des acteurs de l’amont et de l’aval de la production. Pour éviter cette difficulté, les recherches pourraient donc être orientées sur la constitution de plateformes d’innovations multi-acteurs intégrant les acteurs des chaines de valeurs.

Rôles des modèles dans le processus de co-construction et d’évaluation d’une AIE

Dans le processus de co-construction d’une AIE, la modélisation du fonctionnement des systèmes de production et des territoires dans un contexte de changement global, doit permettre d’explorer des options d’AIE et de simuler les impacts économiques, environnementaux et sociaux des options retenues. Pour autant que nous puissions le prévoir, la modélisation doit être un outil permettant d’évaluer ex-ante et ex-post les conséquences de la mise en action de l’AIE (principe de responsabilité). Les travaux du séminaire ont permis d’apporter des précisions sur les points suivants.

• La co-construction d’une AIE requiert une approche globale du système productif local (exploitation, territoire), prenant en compte les interactions complexes des composantes du système et les effets possibles de l’environnement climatique, économique ou institutionnel. La modélisation rend possible une telle approche globale et permet une analyse ex-ante des dynamiques du système productif sous différents scénarios d’introduction d’AIE et d’évolution de l’environnement de production.

• La modélisation est comprise comme une représentation simplifiée des interactions entre des composantes de l’exploitation ou des territoires permettant de calculer en fonction de données d’entrées (caractéristiques structurelles, scénario pluviométrique, règles de décision, scénarios technico-économiques testés) des sorties sous forme de bilans techniques (céréaliers, fourragers, minéraux) et économiques (revenus..).

• Dans le processus de co-construction d’une AIE, la modélisation est vue comme un objet intermédiaire formalisé entre les producteurs, les décideurs politiques et les chercheurs, permettant d’explorer la faisabilité des options innovantes, d’évaluer les performances de scénarios d’évolution des exploitations ou des territoires, d’éclairer ou de faciliter les processus de négociation entre acteurs, d’évaluer leur impact sur le fonctionnement de l’exploitation et des territoires et d’en dégager les critères de durabilité.

• Des modèles ont d’ores et déjà été élaborés par des membres du dispositifs ASAP pour simuler le fonctionnement de l’exploitation de polyculture-élevage de l’Afrique de l’Ouest dans un contexte de changement global (Cikeda, Simflex) ou pour évaluer la productivité du cheptel (Dynmod). Un modèle de simulation des flux de biomasse à l’échelle territoriale est en cours de construction.

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• Dans la perspective de co-construction d’une AIE dans le contexte de l’Afrique de l’Ouest, ces travaux ont montré l’intérêt : i) de la prise en compte des interactions entre agriculture et élevage par les modèles ; ii) du développement de modèles nécessitant une quantité de données d’entrée raisonnable ; iii) de la prise en compte des principaux risques auxquels sont confrontés les systèmes productifs ; iv) de l’implication des producteurs et des décideurs politiques dans la construction des modèles pour qu’ils en comprennent les principes de fonctionnement et valident les sorties ; v) de leur caractère parfois transitoire pour répondre à des questions définies avec les acteurs et disparaitre une fois ces questions résolues.

• Certains modèles, comme Cikeda, ont commencé à être utilisés pour l’aide à la réflexion stratégique et tactique et ont été dotés d’interfaces pour rendre leur utilisation plus conviviale. Une perspective de recherche proposée concerne le couplage de la modélisation et de l’expérimentation. La modélisation permettrait de présélectionner les options innovantes (en analysant ex-ante leurs impacts sur le fonctionnement de l’exploitation) qui seront par la suite expérimentées en vraie grandeur.

Conditions d’expérimentation permettant de définir les limites et les conditions de

mise en œuvre d’une AIE dans les systèmes de production et les territoires

Dans le processus de co-construction d’une AIE, l’expérimentation est une activité qui doit permettre de passer du concept d’AIE à sa mise en action dans les conditions réelles des exploitations et des territoires. Le caractère complexe de l’AIE nous a conduit à énoncer une série de propositions visant à adapter l’expérimentation aux enjeux de l’AIE.

¾ Privilégier l’expérimentation chez et par le paysan plutôt que l’expérimentation en milieu paysan. L’expérimentation chez et par le paysan permet de prendre en compte les contraintes et les atouts de l’exploitation et partant de réaliser des bilans techniques et économique proches de la réalité. Dès lors, si tôt que des options innovantes ont été validées en milieu contrôlé, c'est-à-dire jugées réalisables et techniquement intéressantes, l’expérimentation chez et par le paysan permet de les contextualiser. Par ailleurs, ce type de démarche permet d’associer savoir locaux et connaissances scientifiques.

¾ Expérimenter en prenant en compte plusieurs critères (application du principe de pluralité des objectifs). L’AIE vise un ensemble d’objectifs de viabilité en termes économique, environnemental et social. Par conséquent, si l’on considère que l’expérimentation vise à provoquer un processus en vue de l’étudier alors ce processus doit être analysé sous différents angles et simultanément par des variables économiques (rendements, charges, produits, marges, travail…), environnementales (biodiversité, services écosystémiques…) et sociales (pénibilité, risques d’exclusions…). Par conséquent, la recherche doit se donner pour objectif de développer des méthodes d’analyses multicritères spécifiques.

¾ Ajuster les options innovantes au fur et à mesure des cycles expérimentaux en hybridant progressivement les savoirs scientifiques et les savoirs locaux (application du principe d’hybridation). Le passage d’une option innovante à une innovation nécessite un long travail d’ajustement des pratiques et de la technique. Par conséquent la démarche expérimentale doit être conçue en cycles d’apprentissage permettant de faire évoluer l’option innovante initiale, simple et unique, à un modèle complexe et multiple. Elle doit disposer de référentiels techniques solides pour trier les différentes propositions. L’organisation du partenariat doit être souple pour prendre en compte les propositions des paysans et s’adapter aux initiatives des acteurs, mais elle doit aussi encadrer leurs engagements avec une contractualisation.

¾ Privilégier l’analyse de la diversité et des conditions de mise en pratiques des options innovantes. En milieu contrôlé, expérimenter « toute chose égale par ailleurs » est parfois possible si l’on s’en donne les moyens. En milieu paysan cette condition est irréalisable et l’on est conduit à expérimenter « toute chose possible par ailleurs ». Dans l’expérimentation chez et par le paysan, le concept de témoin est véritablement problématique, car même si l’on considère qu’il s’agit de la pratique paysanne, le témoin est fatalement pluriel. En revanche, lorsque l’expérimentation chez et par le paysan est renseignée par un suivi minutieux des interventions du producteur-expérimentateur (dates, techniques…), il est facile de repérer des variantes de mise en œuvre des options innovantes en ayant recours à des analyses multifactorielles. En comparant ces variantes à l’option innovante initiale théorique on parvient aisément à identifier les variantes intéressantes. Ce mode d’analyse des données permet de définir les modalités et les conditions de mise en œuvre des innovations.

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¾ Développer le concept d’expérimentation intégrée chez et par le paysan (EICP). L’EICP est comprise comme l’agencement d’un ensemble de thèmes techniques innovants dont on cherche à évaluer la complémentarité et les effets multiples sur le système productif (par exemple l’introduction d’une culture fourragère, valorisée dans des ateliers intensifs lait ou embouche, couplés à des pratiques innovantes de production et d’utilisation de fumure organique). En prenant en compte toutes les composantes de l’exploitation, l’EICP doit permettre de définir les limites et les conditions de mise en œuvre de cet ensemble ordonné de pratiques innovantes qui doit déboucher sur la co-conception de système de production innovant. L’EICP mobiliserait deux types d’outils avec le producteur : des modèles de fonctionnement des systèmes productifs et des expérimentations en vraie grandeur.

Adapter les politiques publiques pour accompagner le développement de l’AIE

En supposant que grâce aux résultats de ces recherches les producteurs et les décideurs politiques soient convaincus de l’intérêt de l’AIE, l’accompagnement de cette « révolution » agricole impliquera la mise en œuvre de politiques publiques visant à :

– protéger un espace de marché pour les agricultures locales ayant intégrées des pratiques plus écologiques, par des subventions et des contrats adaptés et en évitant les importations de produits alimentaires à bas prix, venant concurrencer les productions locales et anéantir les efforts dans ce domaine ;

– mettre en place des marchés financiers (crédits et paiements de services environnementaux) incitatifs pour le financement des investissements nécessaires à la mise en place d’infrastructures et d’aménagement dans les territoires et de pratiques plus écologiques dans les exploitations ;

– soutenir les dispositifs de capitalisation, d’accompagnement et de conseil des exploitations, des organisations paysannes et des collectivités territoriales leur permettant de mieux réfléchir à la situation actuelle et à explorer des options plus productives et plus durables ;

– à réformer la loi foncière pour mieux encadrer et contrôler les mécanismes de colonisation des espaces et limiter les stratégies d’utilisation minières des ressources et d’exclusion des populations les plus vulnérables.

Telles seraient les principales actions politiques à entreprendre pour que l’AIE devienne un jour une utopie réalisée.

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