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Une soirée avec Forsythe

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Academic year: 2022

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DOSSIER DE PRESSE

COMPAÑÍA NACIONAL DE DANZA DE ESPAÑA

Direction José Carlos Mart

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Une soirée avec Forsythe

The Vertiginous Thrill of Exactitude / Artifact Suite / Enemy in the Figure

Sam. 30 juin & Dim. 1er juillet 20:00 Opéra Berlioz / Le Corum

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FESTIVAL

MONTPELLIER DANSE 2 2 J U I N

0 7 J U I L L E T 2 0 1 8

DI R E C T ION

J E A N - PAU L MON TA NA R I

Couverture :

Le visuel de couverture a été créé à partir de la photo de Rahi Rezvani. Nederlands Dans Theater,  Safe as Houses (2001) de Sol León & Paul Lightfoot, danseurs : Sarah Reynolds, Marne van Opstal

Design graphique : Les Produits de l’épicerie (Lille)

Contacts presse : —

Presse régionale et internationale

Maïwenn Rebours : T : +33 4 67 60 06 12, mr@montpellierdanse.com assistée de Clara Kahané : T : +33 4 67 60 06 10, presse@montpellierdanse.com

Presse nationale

Dominique Berolatti : T : +33 6 14 09 19 00, dominiqueberolatti@gmail.com Patrica Lopez : T : +33 6 11 36 16 03, patricialopezpresse@gmail.com

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The Vertiginous Thrill of Exactitude

Chorégraphie : William Forsythe / Musique : Franz Schubert / Scénographie et lumière : William Forsythe / Costumes : Stephen Galloway / Mise en scène : Noah Gelber Le 30 juin avec Helena Balla, Kayoko Everhart, YaeGee Park, Anthony Pina, Alessandro Riga

Le 1er juillet avec Aída Badía, Kayoko Everhart, Haruhi Otani, Erez Ilan, Esteban Berlanga Production : Compañía Nacional de Danza de España

Première mondiale par le Ballet de Francfort le 20 Janvier 1996, Operahouse Francfort, Francfort (Allemagne) Première par la Compañía Nacional de Danza de España le 4 Mars 2016, au Gran Teatre del Liceu, Barcelona (Espagne)

Sam. 30 juin &

Dim. 1 er juillet 20:00

Opéra Berlioz / Le Corum

Agora 1ère série 25/ 2e série 20 / Réduit 1ère série 28/ 2e série 22 Plein 1ère série 35 / 2e série 28 / 3e série 16 / 4e série 10

COMPAÑÍA NACIONAL DE DANZA DE ESPAÑA

Direction José Carlos Martínez

Une soirée avec Forsythe

The Vertiginous Thrill of Exactitude / Artifact Suite / Enemy in the Figure

Artifact Suite

Chorégraphie : William Forsythe / Musique : Part I J.S. Bach : Chaconne from Partita Nr.2 BWV 1004 in D-Minor, joué par Nathan Milstein // Part II Eva Crossman-Hecht, joué par Margot Kazimirska / Décor, lumière, costumes : William Forsythe / Mise en scène : Agnes Noltenius, Maurice Causey

Le 30 juin avec Lucie Barthélémy, Toby William Mallitt, Aída Badía, Isaac Montllor Le 1er juillet avec Kayoko Everhart, Esteban Berlanga, Cristina Casa, Alessandro Riga

La Femme d’argile Elisabet Biosca (le 30 juin) et Mar Aguiló (le 1er juillet)

Kayoko Everhart, Aída Badía, Lucie Barthélémy, Cristina Casa, Natalia Muñoz, YaeGee Park, Mar Aguiló, Helena Balla, Rebecca Connor, Sara Fernández López, Sara Khatiboun, Agnès López, Sara Lorés, Clara Maroto, María Muñoz, Haruhi Otani, Giulia Paris, Laura Pérez Hierro, Ana Pérez-Nievas, Shani Peretz, Giada Rossi, Tamara

Juárez, Leona Sivôs, Irene Ureña, Daniella Oropesa

Alessandro Riga, Esteban Berlanga, Anthony Pina, Yanier Gómez, Toby William Mallitt, Cristian Lardiez, Miquel Lozano, Ion Agirretxe, Niccolò Balossini, Juan José Carazo, Erez Ilan, Jesse Inglis, Rodrigo Sanz, Álvaro Madrigal, Marcos Montes, Benjamin Poirier, Iván Sánchez, Roberto Sánchez

Production : Compañía Nacional de Danza de España

Première mondiale : 15 septembre 2004, Scottish National Ballet, Theater Royal, Glasgow

Première par la Compañia Nacional de Danza de España le 22 Avril 2017, au Palacio de Festivales de Cantabria, Santander (Espagne) Enemy in the Figure

Chorégraphie : William Forsythe / Musique : Thom Willems / Scénographie, lumière et costumes : William Forsythe / Mise en scène : Ana Catalina Román Le 30 juin avec Mar Aguiló, Aída Badía, Elisabet Biosca, Sara Fernández López, Agnès López, Shani Peretz, Esteban Berlanga, Erez Ilan, Niccolò Balossini, Alessandro Riga

Daan Vervoort

Le 1er juillet avec Kayoko Everhart, Irene Ureña, YaeGee Park, Sara Lorés, Rebecca Connor, Cristina Casa, Isaac Montllor, Ion Agirretxe, Juan José Carazo, Anthony Pina, Álvaro Madrigal

Production : Compañía Nacional de Danza de España

Première mondiale par le Ballet de Francfort le 13 Mai 1989 à l’Opéra de Francfort (Allemagne) Première par la Compañia Nacional de Danza de España le 18 mai 2001 au Teatro Real de Madrid (Espagne)

The Vertiginous Thrill of Exactitude

Sur le mouvement final de la Symphonie n°9 de Schubert, The Vertiginous thrill of Exactitude reprend l’ensemble de l’arsenal technique de la danse classique : le tutu, les pointes, la virtuosité, le lyrisme et un rapport amical aux mœurs entre les genres.

Le pas de cinq offre une démonstration de la technique classique qui sert à illustrer la manière dont William Forsythe voit le vocabulaire du ballet, en tant qu’élément d’une gamme de possibilités chorégraphiques. Hommage affectueux à Petipa et à Balanchine dans les rapports à leurs codes, à leurs structures compositionnelles (soli réglés parmi des pas de deux, pas de trois et sections d’ensemble), à leur travail d’allegro prompt et précis, The Vertiginous Thrill of Exactitude appartient néanmoins à notre temps dans sa célébration manifeste du danseur et de sa capacité à transformer la difficulté technique en triomphe de la maîtrise physique et dans l’incarnation d’une tradition entière de la danse.

Roslyn Sulcas The New York Times

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Artifact Suite

Version condensée et totalement dansée d’Artifact, le ballet intégral de William Forsythe crée en 1984, Artifact Suite a été présenté pour la première fois le 15 septembre 2004 par le Scottish National Ballet. Composée de trois parties du ballet original, cette œuvre est devenue par la suite une production à part entière inscrivant les protocoles et principes du ballet classique dans un contexte théâtral envoûtant. Elle débute par un double pas de deux, porté par le corps de ballet et par la Chaconne de Bach dans Partita n°2 pour violon solo en ré mineur.

Émergeant soudainement des parfaites rangées corporelles symétriques formées sur les côtés et à l’arrière de la scène par les danseurs, deux couples entament simultanément une danse faite de mouvements anachroniques et de portés.

Ces pas de deux aux accents dramatiques glorifient et accentuent les élans et positions du ballet classique. La deuxième partie d’Artifact Suite est portée par une partition au piano d’Eva Crossman-Hecht. Les touches sonores rapides et répétitives mettent en exergue l’image du corps de ballet, présenté comme une machine complexe, quasi-martiale ayant le ballet lui-même pour point d’ancrage. Ce dernier est une véritable performance entre spectacle et tradition même lorsqu’il remet en question ou modifie les usages du ballet et l’idée que le spectateur peut s’en faire.

Roslyn Sulcas The New York Times

Enemy in the Figure

Un écran ondulé traverse la scène en diagonale ; une corde sur le sol activée en moniteur d’énergie ou de messages codés ; les danseurs manipulent un projecteur roulant posé au sol ; le tout dansé sur le tic-tac distrayant de la musique signée Thom Willems. Enemy in the Figure est un sombre poème envoûtant sur la vision, la perception, la forme et le chaos. La lumière joue un rôle aussi important que le mouvement, qui filtre à travers la scène en traits irréguliers et passagers, s’éclatant ou se contractant dans l’espace ; les danseurs submergés d’ombres de plus en plus profondes, amplifiant ainsi la beauté éphémère des mouvements. Portant des vêtements à franges superposées par-dessus leur collants noir et blanc, les danseurs surgissent de la pénombre ou y disparaissent comme des éruptions de l’inconscient, leurs corps étant des instruments polyphoniques qui génèrent le mouvement de n’importe où. Les membres voués à la danse classique se muent en formes anguleuses et décousues inscrivant leurs géométries convulsives en tournant, devant leurs ombres cinétiques ou génèrent des successions sans fin de mouvements sur une scène soudainement vide, la musique jouant doucement une mélodie rythmique et répétitive. Dans un univers à la fois frénétique et calme, Enemy in the Figure, une pièce non-narrative de mystère et d’urgence, d’isolement et de rapport, confronte l’automatisme et l’humain : la danse agissant comme intermédiaire à d’infinies possibles.

Roslyn Sulcas The New York Times

Compañía Nacional de Danza de España

Dirigée depuis septembre 2011 par José Carlos Martínez, Étoile du Ballet de l’Opéra de Paris, la formation espagnole est devenue une référence de versatilité, de force et de jeunesse.

Ses danseurs dégagent énergie et envie sur la scène et sont capables d’aborder avec succès un classique de Petipa ou une pièce de Balanchine, en passant par la difficulté technique de Forsythe, l’élégance de Kylián, l’émotivité de Mats Ek ou la capacité interprétative du langage d’Ohad Naharin.

Son histoire récente est marquée par vingt années de direction de Nacho Duato, qui a réussi à doter la compagnie d’un prestige international basé sur ses chorégraphies personnelles. Avec l’arrivée de José Carlos Martínez, la CND emprunte un chemin qui la ramène à la tradition et à l’usage des pointes, en

William Forsythe à Montpellier Danse

-1988 In the middle, somewhat elevated, Same old Story, Artifact III, Bongo Bongo Nageela, France / Dance, Steptext, Love Songs 1992 Limb’s Theorem, Ennemy in the figure

1995 The loss of small detail 2000 Workwithinwork, Quartette 2005 Kammer / Kammer

2006 Impressing the Czar par le Ballet Royal de Flandres 2008 Heterotopia

2010 Installations - City of Absract - White Bouncy Castle

2011 Artifact par le Ballet Royal de Flandres

2012 Yes, we can’t

— COMPAÑÍA NACIONAL DE DANZA DE ESPAÑA AU FESTIVAL 2018 —

GRANDE LEÇON DE DANSE donnée par Agnès López, danseuse, en présence de José Carlos Martínez Sam. 30 juin 10:00 à 11:00 Place Dionysos / Montpellier Entrée libre

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cessant d’être une compagnie d’auteur pour offrir un éventail infini de possibilités quant aux styles et formats, comme l’ont fait au cours des premières années de la compagnie, des directeurs tels que Víctor Ullate, Maya Plisetskaya, Ray Barra ou María de Ávila.

Récupérant un répertoire oublié depuis vingt ans, ils utilisent et s’accrochent à la tradition pour regarder vers le futur et se risquer également avec des pièces avant-gardistes et contemporaines, qui mélangent sur la scène, la danse, la vidéo-création, la mode, la musique originale et la poésie. De cette manière, en à peine sept ans, la CND s’est transformée en une compagnie du XXIe siècle qui aborde des titres classiques, sans laisser de côté les grands chorégraphes du XXe siècle, qui continuent à avoir une place de choix dans sa programmation.

Dans la CND, la création espagnole est également présente et peu à peu, beaucoup des jeunes chorégraphes qui triomphent déjà dans le monde entier avec leurs propositions artistiques, tels que Marcos Morau, Goyo Montero, Alejandro Cerrudo, Iván Pérez, Altea Núñez, Iratxe Ansa ou Mario Bermúdez créent de nouvelles pièces pour enrichir le répertoire et donner une identité avec un caractère espagnol.

José Carlos Martínez

José Carlos Martínez a commencé ses études de ballet à Cartagena, sous la direction de Pilar Molina, puis continua en 1984 au Centre de Danse International Rosella Hightower à Cannes. En 1987, il remporte le Prix de Lausanne et rejoint l’Ecole du Ballet de l’Opéra de Paris. En 1988, il a été sélectionné par Rudolf Noureev pour rejoindre le Ballet de l’Opéra de Paris en tant que danseur. En 1992, il a été promu premier danseur et a remporté la médaille d’or au Concours international de Varna. Le 27 mai 1997, il est nommé Étoile du Ballet de l’Opéra de Paris, catégorie la plus élevée qu’un danseur puisse atteindre. Au cours de sa carrière, José Carlos Martínez a reçu de nombreux prix, dont : le Prix de l’AROP;

le Prix Carpeaux; le Premio Danza & D.

Il est Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres. En dehors de cela, il a travaillé avec la plupart des chorégraphes importants du XXe siècle tels que Maurice Béjart, Pina Bausch, Mats Ek, William Forsythe, dont certains ont créé des pièces spécialement pour lui.

En tant que chorégraphe, José Carlos Martínez est à l’origine de nombreuses créations. Pour les étudiants de l’École du Ballet de l’Opéra de Paris, il a créé Mi Favorita (2002), Delibes-Suite (2003) et Scaramouche (2005). Pour le Ballet de l’Opéra de Paris, il a créé Paréntesis 1 (2005), Soli-Ter (2006), El Olor de l’Ausencia (2007), Les Enfants du Paradis (2008) et Scarlatti pas de deux (2009). Pour le Ballet de Shanghai, il a créé Marco Polo et la Dernière Mission (2010). Il a créé Sonatas (2012), Variations Raymonda, Don Quixotte Suite (2015) et La Favorita (2017) pour la Compañía Nacional de Danza de España. Il a également créé Resonance (2014) pour le Boston Ballet.

José Carlos Martínez est également à l’origine du premier long ballet classique de la CND depuis vingt ans : sa propre version de Don Quichotte, créée au Teatro de la Zarzuela de Madrid le 16 décembre 2015 et qui a depuis tourné en Espagne et à l’étranger. En 2018 il va sortir sa version de Casse - Noisette, le pas de deux de l’acte II, présenté en avant première le 14 octobre 2017 au Centre Niemeyer à Aviles.

José Carlos Martínez est directeur artistique de la Compañía Nacional de Danza de España depuis septembre 2011.

William Forsythe

Natif de New York, William Forsythe fait ses classes en Floride aux côtés de Nolan Dingman et Christa Long et danse au Ballet de Stuttgart où il est nommé chorégraphe résident en 1976. Au cours des sept années suivantes, il crée des œuvres pour le Stuttgart Ensemble et autres ballets. Il est à la tête du Ballet de Francfort de 1984 jusqu’à sa dissolution en 2004.

En 2005, il fonde un nouvel ensemble qu’il dirige jusqu’en 2015 et y signe, entre autres, les œuvres Three Atmospheric Studies (2005), Heterotopia (2006) et Sider (2011). Ses créations les plus récentes ont été développées et interprétées exclusivement par la Forsythe Company tandis que ses oeuvres antérieures figurent au répertoire des principaux ballets internationaux dont le Mariinsky Ballet, le New York City Ballet ou le Ballet de l’Opéra de Paris. Il a aussi réalisé des installations et des performances. En collaboration avec des spécialistes des médias et des éducateurs, William Forsythe a développé de nouvelles approches pour la documentation, la recherche et l’éducation dans le domaine de la danse. Son projet « Technologies d’improvisation : outil pour l’œil analytique de la danse », développé en 1994 est utilisé comme outil d’enseignement. Synchronous Objects, partition digitale en ligne (2009) révèle les principes organisationnels de la chorégraphie et démontre la possibilité de leur application à d’autres disciplines.

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Animée par Sonia Schoonejans

Sonia Schoonejans est journaliste, sociologue et historienne de la danse. Elle est l’auteur de plusieurs livres dont Une année avec Fellini (ed. Kliencksieck/ Belles Lettres) et Le Geste de Lacan (ed. Luc Pire).

Elle a écrit et réalisé la série télévisée Un Siècle de danse (Arte) et a dirigé plusieurs années la collection L’Art de la danse aux éditions Actes Sud.

Réécouter la conférence de presse sur montpellierdanse.com

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Paula Pi William Forsythe

Yasmeen Godder / Roy Assaf / Hillel Kogan Maud Le Pladec

Sylvain Bouillet / Mathieu Desseigne-Ravel / Lucien Reynès Anne Teresa De Keersmaeker & Jean-Guihen Queyras

Phia Ménard

Paul Lightfoot & Sol León / Marco Goecke / Crystal Pite Fabrice Ramalingom

Sorour Darabi Sylvain Huc Trisha Brown Akram Khan Michèle Murray

Aurélien Bory & Shantala Shivalingappa Camille Decourtye & Blaï Mateu Trias

Marlene Monteiro Freitas

Contacts presse : —

Presse régionale et internationale

Maïwenn Rebours : T : +33 4 67 60 06 12, mr@montpellierdanse.com assistée de Clara Kahané : T : +33 4 67 60 06 10, presse@montpellierdanse.com

Presse nationale

Dominique Berolatti : T : +33 6 14 09 19 00, dominiqueberolatti@gmail.com Patrica Lopez : T : +33 6 11 36 16 03, patricialopezpresse@gmail.com Toutes les informations sur montpellierdanse.com et au 0800 600 740—

MontpellierDanse montpellier.danse

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