• Aucun résultat trouvé

Remarque à propos d'une méthode de calcul des champs magnétiques

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Remarque à propos d'une méthode de calcul des champs magnétiques"

Copied!
2
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00235991

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00235991

Submitted on 1 Jan 1959

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Remarque à propos d’une méthode de calcul des champs magnétiques

Pierre Gautier

To cite this version:

Pierre Gautier. Remarque à propos d’une méthode de calcul des champs magnétiques. J. Phys.

Radium, 1959, 20 (1), pp.61-61. �10.1051/jphysrad:0195900200106101�. �jpa-00235991�

(2)

61 admettant que le rayonnement y de 46,50 keV est un

dipôle magnétique pur. En supposant qu’avec le Mi,

un rayonnement E2 serait mélangé dans la proportion

en photons de 1/1 000 seulement, les rapports LIILI,

et Lu/Lin deviendraient, d’après les tables de Sliv et

Band, respectivement 9,2 et 11,2, en parfait accord

avec l’expérience.

Lettre reçue le 20 octobre 1958.

Note ajoutée à la correction.

-

Nous venons de recevoir des tables de M. E. RosE (" Internal Conversion Coeffi- cients ", éditées par Ñorth-Holland Publishing Company, Amsterdam, 1958), les coefficients de conversion ont donnés pour Z

=

83 et calculés directement pour les trois niveaux L.

On peut en déduire les rapports : LIILI,

=

10,5 et LIIILII,

=

10,4, plus proches des valeurs expérimentales

que les résultats antérieurs de RosE.

BIBLIOGRAPHIE

[1] FRILLEY et VALADARES, J. Physique Rad., 1957, 18,

468.

[2] ROSE et GOERTZEL, dans Beta and Gamma-ray Spectro-

scopy, par K. Siegbahn, Amsterdam, 1955.

[3] ROSE, Communication privée.

[4] SLIV et BAND, Tables publiées par l’Académie des Sciences d’U. R. S. S., Moscou, 1958.

REMARQUE A PROPOS D’UNE MÉTHODE

DE CALCUL DES CHAMPS MAGNÉTIQUES

Par Pierre GAUTIER,

Laboratoire de Physique, Faculté des Sciences, Toulouse.

M. Laudet a proposé [1] une méthode intéressante pour calculer l’induction et des dérivées en tout point

de l’axe d’une lentille électronique magnétique de révo- lution, lorsqu’on connaît la valeur du flux 0 à travers

un cercle de même axe que la lentille. Cette méthode

se prête particulièrement bien au calcul avec des

machines électroniques arithmétique. Llle est utilisée

au Laboratoire d’Uptique’ Électronique du Centre

National de la Recherche Scientifique et donne des

résultats très satisfaisants. Le flux 1> est mesuré au

moyen d’un montage électrodynamique réalisé par M. burandeau [2] et les calculs sont effectués sur la

machine élecrtonique arithmétique de l’Institut de Calcul Numérique de la Faculté.

D’après le titre donné à l’article [1] on .pourrait

penser que ce mode de calcul, très pratique pour les

champs de révolution, n’est valable que dans ce cas.

Nous voudrions attirer l’attention des utilisateurs

sur le détail suivant : la méthode est tout à fait générale.

Elle peut être employée sans aucune modification

chaque fois que l’on veut connaître la répartition, le long d’une droite donnée, de la composante sur cette droite d’un champ magnétique quelconque. C’est le cas

en particulier dans les lentilles cylindriques, dans les

groupes quadrupolaires... Il suffit de placer la bobine

de révolution qui sert à la mesure du ffux, de façon que

son axe soit confondu avec la droite en question. Il n’y a pas à modifier le montage expérimental. Quant

au programme de la machine à calculer, il est établi

une fois pour toutes et peut servir pour calculer

n’importe quel champ magnétique.

En effet, la méthode proposée repose uniquement

sur l’équation :

à laquelle obéit la fonction flux. Or, cette équation

n’est pas, comme on le croit souvent, une caracté-

ristique des systèmes de révolution. Quelles que soient les symétries du champ, le flux

à travers ’un cercle d’axe Oz et de rayon r, satisfait à (1).. Cela est un corollaire d’un résultat que nous avons établi ailleurs [3]. La vérification directe en est

simple. Le calcul des derivées successives de 1> et leur substitution dans (1) conduit à :

On tient compte ensuite du fait que B satisfait à

l’équation de Laplace en remplaçant, dans (3),

2 Bz />z2 par.son expression tirée de

et on obtient après intégrations

ce qui est bien une identité, puisque 3Bz /ôç reprend

la même valeur pour cp = U et p = 27r, quel que soit r.

Lettre reçue le 23 octobre 1958.

BIBLIOGRAPHIE

[1] LAUDET (M.), Calcul de l’induction et de ses dérivées

sur l’axe d’une lentille électronique magnétique de

révolution. J. Physique Rad., 1957, 18, 73 A.

[2] DURANDEAU (P.), C. R. Acad. Sc., 26 janvier 1953, 236, 366-368 ; Thèse, Toulouse, 1957.

[3] GAUTIER (P.), C. R. Acad. Sc., 10 octobre 1955, 241, 930-932 ; Thèse, Toulouse, 1957.

ÉTUDE DU HO165 Par L. GRENACS et A. MEESSEN,

Centre de Physique Nucléaire

de l’Université de Louvain, Belgique.

Nous avons étudié les rayons gamma du 6,8t)y’65 se

transformant en 67fIGl:. Le ny fut irradie a la pile

de Mol sous forme a’oxyde et étudié sous forme solide ainsi que sous forme liquide.

Dans le 1Jy165 de 2,3 heures, uous avons trouvé, en

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:0195900200106101

Références

Documents relatifs

Ses matrices bien connues sont intro- duites pour décomposer l’équation de Gordon, mais.. nullement en substitution de la transformation

Une image peut être déclarée comme image d'arrière-plan : il ne devient alors plus possible de la sélectionner depuis la vue Graphique, ni même de la déplacer (sauf si un

[r]

Pour que le coût du capital puisse être utilisé comme taux d’actualisation, le risque du projet d’investissement ne doit pas être différent du risque de l’entreprise..

exemple de création d'une nouvelle classe (car c'est tout l'intérêt de la programmation orientée objet, le programmeur définissant lui même ses propres classes avec ses méthodes et

Compléter le code en rajoutant les primitives longueurListe qui, comme son nom l'indique, renvoie la longueur de la liste ; et listeElements , qui, comme son nom l'indique

Ecrire une fonction donnant la taille de l'arbre, et une autre fonction donnant la hauteur de l'arbre (on peut faire une méthode, c'est un peu plus

Donner alors la représentation en escalier de la suite u , en indiquant au moins les quatre premiers