HAL Id: jpa-00238181
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Submitted on 1 Jan 1883
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G. DELSAULX. - Sur la théorie de l’arc-en-ciel ; Annales de la Société scientifique de Bruxelles, 1882
G. Martin
To cite this version:
G. Martin. G. DELSAULX. - Sur la théorie de l’arc-en-ciel ; Annales de la Société scientifique de Bruxelles, 1882. J. Phys. Theor. Appl., 1883, 2 (1), pp.95-96. �10.1051/jphystap:01883002009502�.
�jpa-00238181�
95 contient du mercure
du’on peut
introduire par le bas au moven d’un robinet et d’un tube flexible. Les branches verticales sont ca-pillaires
dans leurpartie supérieure
etplus larges
vers lebas,
pour diminuer le frottement du mercure. Une échelle estadaptée
à lapartie capillaire
et fait connaître la différence destempératures
des deux boules. Au-dessous des deux boules est
disposée
unetable de i
pied
carré de surface solidement fixée au sol. Cette table estpeinte
au blanc de zinc. On retire le mercure pour trans-porter
l’instrument. Les résultatsqu’on
obtient avec cetappareil
sont d’accord avec les différences que donnent deux thermomètres
séparés,
consultés dans des conditions convenables.FOUSSEREAU.
TH. GRAY. 2014 On the variation of the electric conductivity of glass with tempera- ture, density and chemical composition (Variation de la conductibilité électri- que du verre avec sa température, sa densité et sa composition chimique) ; Proceedings, t. XXXIII, p. 256 ; 1882.
M.
Gray
trouve que,parmi
les verres à base dechaux,
les moinsconducteurs sont ceux
qui présentent
lacomposition
laplus
rap-prochée
d’un trisilicate depotasse
et dechaux,
ou de soude et dechaux,
ou des deuxmélanges.
Il trouve aussi que,parmi plu-
sieurs échantillons de verre à base de
plomb,
le moins conduc-teur off’~.~e une
composition
voisine de celle d’un trisilicate de po-tasse et de
plomb.
D’autrepart,
ces derniers verres isoleraient d’autantplus qu’ils
sontplus denses,
cequi
n’aurait pas lieu pour les verres à base de chaux. FOUSSEREAU.G. DELSAULX. 2014 Sur la théorie de l’arc-en-ciel ; Annales de la Société
scientifique de Bruxelles, 1882.
Cette Note a pour but de donner une forme
plus didactique
à lathéorie
d’Airy.
L’auteurindique
une construction parpoints
dela
caustique
des rayonsémergents
de la goutte d’eau. Ladévelop-
pante de cette
caustique
est la méridienne de l’onde des rayonsArticle published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01883002009502
96
émergents.
Elleprésente
unpoint
d’inflexioncorrespondant
aurayon
qui
a subi le minimum de déviation. Ce rayon et ceuxqui
l’avoisinent
portent
le nom de ra)/onsefficaces:
onpeut approxi-
mativement ne pas tenir
compte
des autres rayons’, et, parsuite,
limiter l’onde
d’émergence
à larégion,
sensiblementplane, qui comprend
lepoint
d’inflexion.En évaluant la vitesse vibratoire
envoyée
à l’oeil par cetteonde,
l’au teur montre que ses résultats concordent avec ceux
d’Airy.
G. MARTIN.
NATURE.
Tomes XXIV, XXV. - Mai i88i-mai 1883.
YOUNG et FORBES. - Détermination expérimentale de la vitesse de la lumière blanche et colorée, t. XXIV, p. 303. - LORD RAYLEIGH. - Id., t. XXIV, p. 382, et t. XXV, p. 52. - -1~IAC-AULAY. - Id., t. XXIV, p. 556.
La méthode de 8Il%1.
Young
et Forbes estanalogue
à celle deM.
Cornu,
saufl’emploi
de deux réflecteursplacés à ~
de mille l’un del’autre, qui
donnent dans la lunette deuxpoints lumineux,
telsque l’éclat de l’un
augmente pendant
que celui de l’autrediminue,
quand
on fait varier la vitesse de rotation de la roue dentée.On note la vitesse
qui
donnel’égalité
d’éclat et l’on trouve avecla
lampe électrique, après
réduction auvide,
3oi 382km.Les auteurs,
ayant remarqué
que les rayons de diverses couleurs semblent se propager avec des vitessesdifférentes,
ontdécomposé
la lumière avec un
prisme
de sulfure decarbone;
ils ont trouvé que la vitesse est d’autantplus grande
que les rayons sontplus réfrangibles
la vitesse de la lumière bleuel’emporterait de 1,8
pour 10o sur celle de la lumière rouge.
A propos de ces
expériences,
lordRayleigh
fait remarquer que lesexpériences
ordinaires donnent la vitesse depropagation
U d’unemodification
particulière
de la lumière ou d’un groupe d’ondeset non la vitesse V d’une onde
déterminée ;
entre ces deux quan- tités il a établi la relationthéorique
U =dk (k
est inversementc