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Évaporation du séléniure de zinc en tube ouvert sous
flux d’argon et d’hydrogène
Joël Chevrier, D. Etienne, G. Bougnot
To cite this version:
ÉVAPORATION
DU
SÉLÉNIURE
DE ZINC EN
TUBE OUVERT
SOUS
FLUX
D’ARGON ET
D’HYDROGÈNE
J.
CHEVRIER,
D. ETIENNE et G. BOUGNOT Centre d’Etudesd’Electronique
des Solides(Associé CNRS)
Université des Sciences et
Techniques
duLanguedoc
place
E.-Bataillon,
34060Montpellier,
France(Reçu
le 22juin
1973)
Résumé. 2014 Nous nous sommes intéressés au
phénomène d’évaporation
d’un solide sous fluxgazeux dans les domaines de
simple
diffusion et de diffusion-convection. Le transport enphase
vapeur du séléniure de
zinc,
sous fluxd’argon
oud’hydrogène,
a été ainsi décrit et l’on montre que,dans le domaine de vitesse
étudié,
lerégime d’équilibre thermodynamique,
associé à la loi de Fick suffit à rendre compte des résultatsexpérimentaux.
Abstract. 2014 We have been interested in
thermodynamical equilibria describing
the transport in vaporphase
of a zinc selenide sourceexposed
to an argon orhydrogen flow,
athigh
temperature. We have studied theevaporation
of thatcompound
in the low linearvelocity
range.Then,
we haveshown the influence of
hydrogen
with respect to the inert gas and confirmed the use of the most recent thermochemical data forSeH2(g)
which account well for ourexperimental
results. Fick’sdiffusion law has been
successfully applied
to these results. ClassificationPhysics Abstracts 9.210
1. Introduction. - Le
transport
dans un tubeouvert d’un
composé
solide,
d’une source chaude vers une sourcefroide,
par l’intermédiaire d’unephase
vapeur, s’effectue
généralement
dans les conditionspratiques
suivantes : dans une enceintecylindrique,
onimpose
lelong
de l’axe unprofil
thermique
schématisé sur lafigure
1. Une sourceplane, placée
dans la zonechaude,
à unetempérature
Tl,
estbalayée
par unmélange
gazeux,chimiquement
neutre ouactif,
dontla vitesse linéaire est
définie,
àl’entrée,
paroù
do
est le débit gazeux mesuré à l’entrée encm3 .
s-1,
S la section de l’enceinte en
cm’.
A une distance L où est
imposée
unetempérature
Fi,
est, en
général, positionné
un substrat monocristallinfavorisant une croissance
épitaxiale
ducomposé
pro-venant de la source ; les taux de
croissance,
dans cetype
defabrication,
sont limitésgénéralement
par le transfert de masse enphase
vapeur, à la source,plutôt
que par lescinétiques
d’interface : Klosse etUllersma
[1]
ont abordéthéoriquement
cetaspect ;
nous nous limiterons
quant
à nous auphénomène
detransfert
lui-même,
dans le cas du séléniure de zinc.Expérimentalement,
on détermine laperte
depoids
FIG. 1. - Profil thermique
type d’une manipulation de transport
en tube ouvert.
Q(t)
de la sourceaprès
une durée t detransport
et l’onen tire un taux
d’évaporation massique
enrégime
permanent
« G » tel que :où
JE
est le fluxd’évaporation massique
en g.cm- 2 . h-1
A la surface
d’évaporation
encm2.
316
D’une
façon
générale,
on considère[2],
[3]
que letaux
d’évaporation
réactive,
dans le cas d’une réactionchimique superficielle,
irréversible et dupremier
ordre,
entre le milieu gazeux et le
solide,
varie avec la vitesselinéaire du courant gazeux suivant la courbe de la
figure
2.FIG. 2. - Variation du taux d’évaporation réactive en fonction
de la vitesse linéaire vo du gaz vecteur.
On
distingue
ainsiquatre
régimes
detransport :
- dans lesrégimes
1 etII,
la vitesse d’entraînementest assez faible pour que
l’équilibre thermodynamique
ait letemps
de s’établir en touspoints
de laphase
vapeur ; lacomposition
de celle-ci est donc uniformeen zone
chaude,
constante au cours dutemps
etégale
à lacomposition d’équilibre
à latempérature
Tl :
a)
dans la zoneI,
letransport
de la vapeur vers lazone froide est entièrement contrôlé par la diffusion due à la différence de
température
Tl - T2
=DT,
et à la rétrodiffusion due à la différence de
température
Tl -
T’2
=DT’ ;
b)
dans la zoneII,
l’entraînement dumélange
gazeux est
purement
convectif ;
c)
dans lesrégimes
III etIV,
la vitessed’entraîne-ment est
trop
élevée pour quel’équilibre
thermody-namique
soit réalisé en touspoints
de laphase
vapeur.C’est le domaine de formation d’une couche limite
(zone III) puis
d’untransport
contrôlé par les réac-tions en surface(zone
IV).
2.
Appareillage
utilisé. - Nousavons décrit dans un
précédent
article[4]
letype
d’appareillage
utilisé.La source est
positionnée
dans une enceinte enquartz
cylindrique,
de 30 mm dediamètre,
enposition
laplus
bassepossible.
LeZnSe,
depureté
5N,
estcomprimé
defaçon
àprésenter
au flux gazeux unesurface
plane rectangulaire
de 6cm2.
La source estconservée dans
l’enceinte,
mais en zonefroide,
pen-dant la mise entempérature
du four et ce n’estqu’après
stabilisation
qu’elle
est introduite lentementgrâce
àun
système
étanche detranslation ;
on élimine ainsi lerégime
transitoire. Par cetteméthode,
l’erreur commise sur la mesure des tauxd’évaporation,
compte
tenu de la mise entempérature
de la sourcedepuis
l’ambiante,
a été évaluée à moins de 2%
pourdes
manipulations
deplusieurs
heures.Deux
thermocouples
derégulation (TCI
etTC’)
imposent
la différenceTl -
T’1
définieprécédemment.
3. Résultats
expérimentaux.
- Les résultatsexpé-rimentaux concernant les taux
d’évaporation,
pour des vitesses d’entraînement de 0 à 1cm . s-1,
sont donnés sur lesfigures
3 et 4 pour diversestempératures
de source. On ydistingue
effectivement lesrégimes
de
transport
I,
II etIII ;
cependant
larégion
II estpratiquement
inexistante pour ZnSetransporté
àl’argon.
Nous nous sommes limités ici à l’étude desrégimes
diffusifs et convectifs. C’est en effet ce domainequi
seprête
le mieux à lacomparaison
avec la théorie comme l’ont montré les études effectuées sur GaAs et GaP[5].
FIG. 3. - Variation expérimentale des taux
d’évaporation du ZnSe en fonction de vo, dans le cas du transport à l’hydrogène
pour AT = 50 (OT = Ti -
Tl).
Il est
indispensable,
dans unpremier
temps,
dedéter-miner les
pressions partielles d’équilibre
desespèces
gazeuses
comportant
Zn ou Se. Cespressions partielles
fixent les concentrations en zone chaude et en zone
FIG. 4. - Variation expérimentale des taux d’évaporation du
ZnSe en fonction de vo, dans le cas du transport à l’argon.
4. Détermination des
pressions partielles d’équilibre
desespèces chimiques
intervenant dans letransport.
-Cette détermination est fondée sur leprincipe
de calculproposé
par Hurle et Mullin[6].
4.1 TRANSPORT A L’ARGON. - La sublimation du
ZnSe,
ainsi que la mesure despressions partielles
enrésultant ont fait
l’objet
de nombreusespublications
et ont
permis
d’établir certaines donnéesthermo-chimiques
de base :enthalpie
standard(H’98),
entropie
standard
(So298),
chaleurspécifique
àpression
constante(cp).
Pour cetype
decomposé,
onpeut
admettre unedissociation à haute
température
basée surl’équilibre :
Il est
possible
d’introduire d’autresespèces,
issuesessentiellement du
sélénium ;
eneffet,
la vapeur desélénium
comporterait
enquantité
nonnégligeable
des molécules de
Se6
etSes [7], [8].
Nous avons considéré seulement un
équilibre
supplé-mentaire,
à savoir :En admettant la stoechiométrie
respectée
tant enphase
vapeurqu’en phase
solide,
il vient :où les « pi »
correspondent
auxpressions
partielles
d’équilibre.
Les donnéesthermodynamiques
du ZnSesont rassemblées dans le tableau I. La seule
valeur,
couramment
admise,
de la chaleurspécifique
cp, pour leZnSe,
est due àGoldfinger-Jeunehomme [9].
TABLEAU 1
Selon la méthode de Hurle et
Mullin,
onpeut
tracerun réseau de courbes
représentant
les variations despressions partielles
dechaque espèce
avec latempé-rature
(Fig. 5). L’ambiguïté
portant
essentiellementFIG. 5. - Variations des pressions partielles d’équilibre des espèces gazeuses, intervenant dans le transport du ZnSe sous
argon, en fonction de la température :
- - - d’après Korneeva
- - - d’après Wôsten-Geers
2013 nos calculs, d’après Sedwick-Agule
318
sur les données du
ZnSe,
nous avonsreprésenté
unréseau calculé à
partir
desenthalpie
etentropie
stan-dards deGoldfinger
et un autre issu de celles deSed-wick-Agule
[10].
La
comparaison
des valeurs que nous trouvons avecd’autres citées dans la littérature
[11],
[12]
estbonne,
compte
tenu des incertitudes de base. Nous retiendrons donc les donnéesthermodynamiques
deSedgwick-Agule,
comme l’ont fait récemment encore, Yim et Stofko[13]
dans une étudeanalogue.
4.2. TRANSPORT A L’HYDROGÈNE. - La
comparaison
desfigures
3 et 4 montre que le tauxd’évaporation
sous flux
d’hydrogène
est nettementsupérieur
au tauxd’évaporation
sous fluxd’argon,
dans les mêmes condi-tions degéométrie
et degradient. L’hydrogène
nesert donc pas
uniquement
de gaz vecteur, il doitpré-senter une réactivité
chimique
nonnégligeable
avecla source de ZnSe solide. Notons que
Lilley,
Jones etLitting
ont fait des constatations semblables dansle
transport
du sulfure de zinc sous fluxd’argon [16]
oud’hydrogène [17].
Les
équilibres chimiques
que l’on considère ici sont alors les suivants :2
ZnSe(s)
2Zn(g)
+Se2(g)
(1)
3Se2(g) Se6(g)
(2)
H2(g)
+2
Se2(g)
SeH2(g)
(3)
correspondant
àl’équilibre principal
ZnSe(s)
+H2(g)
Zn(g)
+SeH2(g)
dont tiennent
compte
lesquelques
auteurs s’intéressantau même genre de
problème.
Nous supposerons là encore que la stoechiométrie estrespectée,
cequi
setraduit par
l’équation :
les ni étant les nombres d’atomes de
l’espèce
i par unité de volume : lapression
totale sera considéréeici comme une variable
indépendante :
Les données
thermodynamiques
del’hydrogène
étant bien connues, le tableau II donne les diverses valeurs concernantSeH2(g)
trouvées dans la littérature.La
figure
6 montre les trois réseaux de courbesdécrivant les variations des
pressions partielles
avecla
température
obtenue avec lescouples
de donnéesA,
B et C du tableau II.
TABLEAU II
FIG. 6. - Variations des pressions partielles d’équilibre des espèces gazeuses, intervenant dans le transport du ZnSe sous
hydrogène, en fonction de la température, pour trois couples
de données
(Ho298, So298)
du SeH2(g)- - - données
A
données
B
(tableau II).--- données C
Dans le cas
A,
letransport
du sélénium estessen-tiellement assuré par
l’espèce Se2, l’espèce SeH2
n’in-tervenantqu’à
bassetempérature ;
lespressions
par-tielles trouvées sont du même ordre degrandeur
quecelles obtenues avec
l’argon :
celacorrespondrait
à une faible réactivité del’hydrogène.
Dans les deuxautres cas, ce
transport
est assuré parSeH2
dont lapression
est nettementsupérieure
à celle duSe2.
L’imprécision
sur les données de base est donc trèsgrande,
mais nous pourrons fixer notre choix sur lesdonnées B
qui,
sontplus
récentes que les donnéesC,
bien que toutes deux rendent biencompte
de la réac-tivité del’hydrogène
parrapport
au gaz neutre enfaisant
apparaître l’espèce SeH2.
Cet effet aurait pu être attribué à l’existencepossible
d’unhydrure
dezinc,
orl’espèce
ZnH2(g)
sedécompose
dès 90 °C[25]
et ses donnéesthermochimiques
ont été peu étudiées. Seules existent pourl’espèce
ZnH(g)
les valeurs recommandées parKelley [19], [20].
L’introductiond’un
équilibre supplémentaire
H 2(g)
+Zn(g) = ZnH(g)
ne modifie pas les
pressions
déjà
trouvées dans
lesTABLEAU III
elles sont effectivement
négligeables
dans le domaine detempérature
étudié et nepourraient
pasjustifier
l’utilisation des données A.
5. Taux
d’évaporation. Comparaison
avec la théorie. - Aux faibles vitesses(régions
1 etII),
l’évacuationdu
mélange
gazeux, enéquilibre
avec la source dans lazone
chaude,
s’effectue par diffusion convective depart
et d’autre de la source. Enrégime
permanent,
le fluxmassique
dans le sens du courant gazeux estdonné par
et le flux de rétrodiffusion par
v est la vitesse linéaire d’entraînement définie à la
tem-pérature
T par
1 et l’ sont les
longueurs
de diffusion que nous avonsassimilées aux distances entre les extrémités de la
source et les
positions
desdépôts
en zones froides sur,les
parois
de l’enceinte(voir Fig. 1) ;
D et D’ sont lescoefficients de diffusion moyen entre la source et les
zones de
dépôts
où cl, c2 et
C2
sont les concentrationsd’équilibre
auxtempératures
Tl, T2
etT’2
d’uneespèce
gazeuse fictiveZnSe.
Conformément au modèle de
Fergusson
et GaborLes concentrations s’obtiennent à
partir
des pres-sionspartielles
données sur lesfigures
5 et6,
ensuppo-sant les gaz
parfaits, grâce
à la relation :MZnSe
étant la masse molaire du ZnSe.On suppose ainsi que
l’équilibre thermodynamique
est réalisé en tous
points
de l’enceinte et enparticulier
que la condensation en zones froides y
impose
laconcentration
d’équilibre.
Le taux
d’évaporation massique
est alors donné parCette formule
peut
êtredéveloppée
sous la formela limite de G
lorsque v
tend vers zéro s’écritA
grande
vitesse,
la rétrodiffusion s’annuleet
ce
qui
donne bien une variation linéaire de G avec vcorrespondant
aurégime
II définiprécédemment.
Sur les
figures
3 et4,
onpeut
comparer nos résultatsexpérimentaux
avec lapartie
linéaire del’expression
théorique
de G. Dans la zone derégime
II,
l’accord estexcellent en ce
qui
concernel’évaporation
soushydro-gène.
Cette concordancejustifie a
posteriori
l’utilisa-tion des données B pour le
SeH2(g).
L’inexistence de cette zone, dans le cas del’évaporation
sous argon,permet
seulement de conclure que, pour unesimple
sublimation,
sans réaction avec le gazporteur,
on passe sans transition durégime
purement
diffusionnel aurégime
de couche limite : letransport
doit être alors mieux décrit par des théories dedynamique
des fluidespour
lesquelles
existent des variations de G enVl/2
[26].
Nous avons ici mis en
équation
le seul cas dutrans-port
réactif à faible vitesse.Sur les
figures
7 et 8 ont étéagrandies
les gammes desbasses vitesses. On y a
reporté
les valeurs des flux deexpérimenta-320
FIG. 7. - Taux
d’évaporation du ZnSe sous l’hydrogène dans le domaine des basses vitesses pour Ti = 1 200 K :
a) AT = 50 : 1 = 37 cm, T2 = 1 000
K
l’ = 22 cm, b) AT = 250 : 1 = 5,5 cm, T2 = 1 160K
T2
= 1 000 K. FIG. 8. - Tauxd’évaporation du ZnSe sous hydrogène dans le domaine des basses vitesses pour Ti = 1 300 K :
lement ainsi que des valeurs de
T2 et
T’2
en découlant.Pour une
température
de source(7B)
donnée,
larétro-diffusion
garde
une valeur nedépendant
que de vo,alors que la diffusion
dépend
enplus
d1Jgradient
AT(Ti -
T’1) ;
dans tous les cas, la somme des deuxflux et la courbe
expérimentale correspondante
serecoupent
bien ettendent,
lorsque
voaugmente,
versla limite « convective »
représentée
là encore par ladroite
d’équilibre thermodynamique.
Plusieurs
expressions théoriques
nouspermettaient
de calculer les coefficients de diffusion binaire des
espèces
à base de zinc et de sélénium dansl’hydrogène ;
quelles qu’elles
soient,
elles nous ont montré quel’espèce
SeH2(g)
diffusaitmoins
vite queZn(g) :
nous avons alors admis que c’était cetteespèce qui
contrô-lait letransport
de ZnSe et c’est la valeur de soncoefficient de diffusion en fonction de T
qui
a étéretenue. La formule de calcul des coefficients D et D’
proposée
par Hirschfelder[27]
a étépréférée
àcelle,
plus
élaborée,
de Wilke et Lee[28]
dans
la mesure oùelle nous a
permis
un meilleurajustement
des courbesthéoriques
surl’expérience.
L’accord en résultant a ététrouvé très satisfaisant et
justifie
l’influence de la rétrodiffusion et celle dugradient thermique (Ti -
7"i)
sur le transfert de matière en
phase
vapeur.6. Conclusion. - A
partir
d’expériences
d’évapo-ration en tube ouvert et par
comparaison
avec unmodèle
d’équilibre simple,
nous avonsjustifié
certainesdonnées
thermochimiques
de la littérature ainsi quel’utilisation d’une loi
simple
de diffusion. Cettejustifi-cation,
par une telleméthode,
nepeut
êtrequ’appro-chée mais l’accord obtenu s’est révélé très correct,
surtout pour ce genre de travail dont le but essentiel reste l’obtention de couches
épitaxiées
dans la zonefroide.
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