• Aucun résultat trouvé

View of Review: Fabio Gadducci, Notes on the Early Decades of Italian Comic Art

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "View of Review: Fabio Gadducci, Notes on the Early Decades of Italian Comic Art"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

Image & Narrative, Vol 11, No 2 (2010)

198 Marco Pellitteri

Review:

Fabio Gadducci, Notes on the Early Decades of Italian Comic Art, San Giuliano Terme (PI), Felici, 2006. Opuscule en couleurs, 28 pp., cm 17 x 23, € 6,00.

Le problème des origines de la bande dessinée italienne.

Le passage ardu, en Italie, d’une écriture d’essai d’amateurs à un débat scientifique sur l’histoire du médium

La publication de Notes on the Early Decades of Italian Comic Art est un événement jus-qu‟à présent passé sous silence dans l‟univers italien des études, de la critique et de l‟information sur la bande dessinée (BD).1 Ceci à tort. Il s‟agit tout d‟abord d‟un travail de

grand mérite documentaire, parce qu‟il révèle certaines vérités jusqu‟ici peu connues sur les origines du fumetto (BD, en italien) ; de telles vérités étaient longtemps restées inconnues en

raison d‟une négligence des chercheurs concernés : c‟est à dire non pas principalement les ex-perts en histoire des littératures populaires et de l‟industrie éditoriale, mais plutôt les spécia-listes de BD et notamment ceux qui s‟intéressent de façon particulière, et ouvertement, à

l‟histoire de ce médium. J‟y reviendrai par la suite.

Notes on the Early Decades of Italian Comic Art est un livret qui, en 28 pages tout juste,

il-lustre et commente avec finesse et sur la base d‟une recherche biblio-iconographique attenti-ve, les premières années où le fumetto et, avant lui, ses prédécesseurs directs firent leur appa-rition en Italie. L‟ouvrage délimite une période comprise entre la moitié du XIXième siècle et

les années 1930, mais souligne aussi que des « ancêtres » directs de la BD italienne firent leur

apparition dès le XVIIième siècle. Les questions que le travail de Gadducci soulève sont si

nom-breuses qu‟il faut les articuler en différents points, dont l‟importance dépasse abondamment la publication du livre en lui-même.

1. La vulgarisation en livret

Une première question, préalable au contenu intrinsèque de l‟essai de Gadducci, est la question de la vulgarisation de certaines notions dans un petit livret. La première des notes de bas de pages (très documentées et complètes) de l‟ouvrage signale au lecteur que Notes est une édition revue et élargie d‟une première version publiée dans le renommé International

Journal of Comic Art américain. Le fait que Gadducci ait voulu publier l‟essai en couleurs,

dans un opuscule autonome et non comme partie d‟un volume plus important, est un choix tout à fait louable car en isolant les contenus sur un support matériellement indépendant, il a voulu en souligner concrètement l‟importance ; et le choix de maintenir la langue anglaise sert une internationalisation des contenus eux-mêmes, en favorisant la connaissance au-delà de l‟Italie d‟une histoire spécifiquement italienne.2

2. La question éditoriale

La deuxième question que Notes soulève, je crois, est la question éditoriale-rédactionnelle. Même si la publication paraît très soignée tant au niveau graphique que technique et

1 Dans le domaine de la

BD la distinction entre l‟information d‟un côté et la critique et l‟étude de l‟autre est assez facilement reconnaissable. Celle entre critique et étude est moins évidente pour la plupart des gens. En laissant le discours et nombreu-ses implications de côté pour cette fois, on signale juste au lecteur que cette différence s‟est dernièrement amplifiée, sur la base d‟une hybridation progressive de la critique avec l‟information (accompagnée d‟une perte de la rigueur que la caracté-risait dans le passé) et grâce à un développement rapide – théorique, méthodologique et en relation avec de nouvelles don-nées empiriques – des études de ce secteur disciplinaire.

2 Par ailleurs, le choix de la langue anglaise nous rappelle la vieille question centre-phéripherie dans le champs de la

production, connaissance et circulation des savoirs, spécialement dans le domaine académique, où les personnes de langue maternelle anglaise ne connaissent que rarement d‟autres idiomes, alors que les académiques d‟autres pays sont pratique-ment obligés de connaître l‟anglais et même d‟autres langues.

(2)

Image & Narrative, Vol 11, No 2 (2010)

199 tionnel, j‟ai remarqué une série de défauts dans l‟argumentation – sur le plan méthodologique – qui amènent à considérer cette publication comme une sorte de version beta d‟un essai qui, on l‟espère, verra le jour dans un futur prochain et dans une version encore plus détaillée – l‟idéal consisterait, je le crois personnellement, en une anthologie des spécialistes de l‟histoire de la bande dessinée. Bien que le produit fini en général, au niveau esthétique et surtout pour ses contenus, soit déjà à considérer comme optimal et comme une leçon pour tous les savants et vulgarisateurs de la BD – moi y compris, bien sûr – qui depuis des décennies basent leurs

contributions sur certaines données et dates souvent sujettes à caution, on remarque la fragilité d‟une structure méthodologique approfondie. Par méthodologie, on entend d‟abord une défi-nition théorique et aussi opérationnelle de son objet d‟analyse: dans les deux premières lignes de l‟essai, les termes « comics » et « fumetti » sont cités sans qu‟ils soient jamais expliqués au lecteur. Dans un ouvrage qui prétend illustrer et montrer quelles sont les origines réelles du fumetto en Italie, omettre de définir avec clarté ce que l‟on entend par « fumetto » est à mon avis une faute : en quoi les fumetti sont-ils reconnaissables? Quels sont les éléments mini-maux et irréductibles (langages, papier et encre, images, etc.) qui font d‟une BD une BD? C‟est

ici que l‟on trouve le noyau central du débat international sur la BD en tant que forme

expres-sive: « ancêtres », « prédécesseurs » et «proto-fumetti » peuvent être séparés en plusieurs époques et, rien que pour l‟époque “moderne”, histoires illustrées et vignettes humoristiques commentées et mises en séquences peuvent être trouvées en abondance. Ainsi, le fait que l‟on n‟établisse pas ce qui définit le fumetto proprement dit et ce qui ne lui est pas spécifique, est un problème qui non seulement n‟est pas résolu par Gadducci mais qui me paraît même souli-gné par l‟omission pure et simple de la question.

3. Le problème « disciplinaire »

Fabio Gadducci est un brillant professeur associé du département d‟Informatique à la Fa-culté des Sciences Mathématiques, Physiques et Naturelles de l‟université de Pise : l‟ensemble de ses publications internationales dans le domaine est conséquent et de qualité. En outre, depuis la fin des années 1980, il s‟occupe de bandes dessinées : pour son plaisir et comme une sorte de « deuxième profession ». Il est passé des fanzines à l‟organisation d‟événements sur le sujet, à la publication d‟articles et de livres ainsi qu‟à la fondation – pour le même éditeur que celui qui a publié ses Notes – d‟un journal qui, en très peu de temps, est devenu une des références internationales dans l‟étude de l‟histoire de la BD, SIGNs (ce journal

aussi, opportunément, en anglais).

Gadducci n‟est certainement pas un nouveau venu dans l‟univers du fumetto : c‟est une fi-gure d‟excellence et de talent comme il en faudrait plus en Italie. Bref, il n‟est pas comme ce professeur de philosophie théorique, Franco Restaino, qui publia en 2004 avec UTET de Turin

un tome intitulé Storia del fumetto. Da Yellow Kid ai manga („ Histoire de la bande dessinée. De Yellow Kid aux manga ‟) dont les effets négatifs subsistent encore, en raison de ses in-formations incomplètes et incorrectes et de l‟absence d‟un vraie méthodologie de recherche et d‟analyse à laquelle le texte aurait du se référer.

Reste le fait que Gadducci, bien que plein de talent, cultivé, pointu, expert, n‟est pas certi-fié dans une discipline, ni comme historien, ni comme historien de la littérature, ni comme so-ciologue, ni comme sémiologue, ni comme spécialiste des cultural studies et des processus culturels. Ceci ne veut pas dire que, dans le monde fantastique des études sur la BD, seuls ceux

qui jouissent d‟une formation universitaire en science humaines (sociologues, sémiologues, littéraires) ont le droit de travailler ; on sait bien que beaucoup des études fondamentales des décennies précédentes ont été produites par des vulgarisateurs, des passionnés, des collection-neurs, soit par des prosumers hors d‟un encadrement disciplinaire formalisé. Ces dernières années, le statut d‟“amateurs” des auteurs de la tradition italienne de la critique et de l‟information sur la BD, même si par ailleurs celle-ci a été créée et maintenue en vie par de

tel-les figures passionneltel-les, a connu des problèmes face à la génération suivante de savants posi-tionnés académiquement, lesquels, même en conservant tel un trésor les nombreux matériaux et connaissances fournis par les essayistes amateurs, s‟en sont détachés pour refonder toute

(3)

Image & Narrative, Vol 11, No 2 (2010)

200 une série de savoirs sur la BD jusque-là souvent reproduits de façon imprécise ou fragmentée.

Fabio Gadducci est une figure oscillant entre ces deux « familles »: il appartient au monde académique mais en dehors du monde des études en sciences humaines, langues, sociologie et littérature, selon les paramètres des études sur la BD il serait donc à considérer comme un

«amateur»; mais pour ses expériences passées et pour sa connaissance experte de la littérature de première et seconde main, il est profondément à l‟intérieur du débat sur la bande dessinée. Son être hybride pour certains aspects en renforce l‟impact : sans les connaissances théoriques et les automatismes mentaux de pas mal de chercheurs académiques spécialisés, son regard est frais, vif et va droit aux points d‟intérêt majeur. Mais il faut aussi dire que son éloigne-ment disciplinaire de la théorie et de la méthodologie des domaines fondaéloigne-mentaux pour l‟étude complète du fumetto, comme la sociologie des processus culturels, a produit les pro-blèmes dont j‟ai parlé et qui auraient pu être évités avec un travail réalisé par exemple à qua-tre mains avec une figure capable dans l‟étude sociologique et/ou historico-littéraire.

Mais ceci n‟est pas un problème, parce que l‟importante contribution de Gadducci permet-tra aux experts du secteur de remplir les vides de son ouvrage et par la suite de proposer des définitions et explications plus complètes du problème des origines formelles et culturelles de la bande dessinée en Italie. En ce sens, il faut encore souligner la grande importance de sa re-cherche.

L‟existence d‟un travail soigné et révélateur comme celui de Gadducci, toutefois, a aussi un autre mérite: il a montré une fois de plus, et de façon théâtrale, le retard culturel et la gran-de paresse professionnelle gran-des figures académiques qui techniquement auraient du enquêter sur les thèmes et les matériaux sur lesquels s‟est engagé Gadducci. Gadducci, avant tout par passion, mais également en percevant un vide, s‟est senti le droit et le devoir de faire des re-cherches sur les origines de la BD en Italie, puisque ni les historiens de la littérature ni les

his-toriens des arts populaires, ni ceux de la production éditoriale, ni surtout les experts de BD –

sauf une figure isolée, d‟une culture et d‟un talent exceptionnel, comme Alfredo Castelli3 – ne se sont sentis appelés à approfondir le sujet. Sujet qui est d‟une importance primordiale, vu que la BD se trouve dans le noyau crucial de la tarde modernité où la culture du texte et la

culture des images se rencontrent et se fondent irrémédiablement, en donnant vie à des formes de divulgation des icônes de l‟imaginaire de masse dont les institutions officielles ne semblent pas encore se rendre compte, car ces institutions sont éloignées du pouls réel de la production populaire italienne et focalisées sur les hiérarchisations culturelles détachées de la modernité et de ses produits : estampes, journaux, autocollants, bandes dessinées, romans-photos, sati-res, tous éléments qui ont modifié de façon indélébile les goûts des masses.4

Bien entendu, dans les secteurs des études historico-littéraires la recherche est très vaste et approfondie, et Gadducci s‟en est pleinement servi en fournissant aux experts de la BD un

so-lide bagage de ressources bibliographiques peu connues et de grande utilité. Les recherches sur les feuilles populaires, sur les magazines illustrés du XIX siècle, existent et en grand

nom-bre. Toutefois, comme cela apparaît clairement dans mes remarques, de telles études ne trai-tent pas de manière spécifique et soignée le thème de l‟origine de la forme expressive fumetto. Gadducci tente, et dans une certaine mesure réussit, de faire le trait d‟union entre deux do-maines qui, paradoxalement, bien qu‟ils traitent de sujets analogues et homologues, ressem-blent à un couple de divorcés qui ne communiquent même pas par lettre.

Notes pourrait donc contribuer à réveiller les chercheurs académiques du domaine et les

orienter vers des recherche plus originales. Il y a encore beaucoup à découvrir.

4. Les contenus

Je termine cette intervention en venant, très brièvement, aux contenus spécifiques du livre. Très brièvement parce que le livret même, en tant que concentration dense de figures et

3 Alfredo Castelli, Eccoci ancora qui! 1895-1919: i primi 25 anni del fumetto americano per quotidiani, 11 fascc.,

Lucca-Milano, Museo Italiano del Fumetto – IF Edizioni, 2006.

4 Sergio Brancato (sous la direction de), Il secolo del fumetto. Lo spettacolo a strisce nella società italiana 1908-2008,

(4)

Image & Narrative, Vol 11, No 2 (2010)

201 formations, est en effet un opuscule, un essai court; et parce que les discours tenus ci-dessus devraient clairement signifier que l‟ouvrage vaut absolument d‟être acheté et étudié. Notes s‟ouvre sur les année 1840 et, à travers cinq paragraphes – enrichis par beaucoup de notes et références – s‟arrête aux premières années du Corriere dei Piccoli (1908-1995), le magazine à partir duquel, par convention, on fait aujourd‟hui commencer l‟introduction de la BD en Italie.

Les pages les plus intéressantes de Notes sont celles du début, jusqu‟à la p. 16. À partir de la p. 17, on parle de Il Giornalino della Domenica (I série 1806-1911) et du Corriere dei Pic-coli : les matériaux intéressants par rapport aux origines de la BD en Italie sont donc évoqués avant ce passage. Avec les feuilles volantes et les illustrations caricaturales publiées depuis la fin du 18e siècle, qui étaient ou des illustrations seules (les caricatures) ou des feuilles dans le style des célèbres Images d‟Épinal en vigueur en France et des Bilderbogen des milieux ger-manophones, où la succession de séries d‟images présente un signe de séquentialité, on peut dire que nous sommes face à des prédécesseurs directs du fumetto; soit dans un sens formel – illustration et texte cohabitent, bien qu‟il soient encore séparés, et il y a une idée primitive de séquence d‟événements dans l‟espace et dans le temps – soit dans un sens éditorial – pour le sujet comique et la publication en journaux de peu d‟importance littéraire.

Toutefois les feuilles volantes n‟avaient pas une nature de proto-BD hormis, précisément,

dans les signes de séquentialité déjà cités, car il s‟agissait malgré tout de produits narratifs avec un message moral, dérivant plus de la fable et de l‟allégorie illustrée que du conte comi-que ou d‟aventure au sens actuel. Les premiers exemples de contes ou commentaires illustrés où illustrations synthétiques et d‟une lecture facile se déroulant en cases que l‟on peut, tout compte fait, considérer comme séquentiels, on peut les trouver, selon la recherche de Gadduc-ci, en 1847 dans Il Mondo Illustrato et en 1848 dans Lo Spirito Folletto. À partir de ce mo-ment, les magazines satiriques et politiques vont abonder d‟images en séquence : Pasquino (1856), L’Arlecchino (1859), Il Lampione (1860) et autres. Dans le numéro 229 de Pasquino daté du 10 juin 1860 notamment, une petite histoire comique illustrée en séquence de Casimi-ro Teja, dont Gadducci indique qu‟elle rappelle Der gewandte, kunstreiche Barbier und sein

kluger Hund de Wilhelm Busch (1865), montre sans équivoque la structure d‟une histoire en

bandes dessinées. Elle est intitulée La rivoluzione in Sicilia – Soliloqui del mio parrucchiere et montre en quatorze cases, accompagnées de textes brefs qui font le contrepoint aux images, un service complet de rasage et coiffure effectué par un coiffeur zélé.

Parmi les nombreux autres exemples donnés et commentés par Gadducci, avec également l‟utilisation d‟une riche série de très bonnes références bibliographiques – toutes bien listées à la fin de l‟ouvrage – on peut signaler l‟hebdomadaire Il Nano Rosso, dont les 50 numéros pu-bliés dès 14 avril 1892 présentent des véritables bandes dessinées (images en séquence super-posées à des dialogues et descriptions rimées, idée évidemment antécédente au Corriere dei

Piccoli) et Novellino (paru dès Noël 1898), qui déjà dans le premier numéro, outre une

pre-mière de couverture avec quatre cases en séquence, présente en quatrième de couverture une petite histoire intitulée Il fonografo et realisée, peut-être, par Yambo (Enrico Novelli). Il

fo-nografo est articulé en six vignettes, les quatre premières sont carrées et disposées dans la

moitié supérieure de la page et les deux dernières de format horizontal « panoramique » : la composition est, de la façon la plus moderne possible, « BD-esque ». Et en outre on peut noter,

probablement pour la première fois dans une vraie publication éditoriale italienne, l‟élément linguistique des ectoplasmes ou bulles : des véritables « fumetti » (bulles de fumée) qui sym-bolisent le souffle et/ou le son qui sort soit des personnages soit du gramophone.

Comme je l‟écrivais plus haut, donc, la limite – mais peut-être aussi l‟utilité – du travail de Gadducci est l‟imprécision dans la définition d‟une frontière entre BD et non-BD. Et c‟est pour

ça que son essai se pose comme un instrument fondamental mis à disposition des autres ex-perts afin d‟arriver à la (re)construction des origines de la bande dessinée en Italie.

Bio: Marco Pelleteri is a collaborator of Tunué. Editori dell‟Immaginario (http://www.tunue.com/). Email address: m.pellitteri@tunue.com

Références

Documents relatifs

The Integrated Circuit Systems Video Graphics Array Clock Generator (ICS90C63) is capable of producing different output frequencies under firmware control.. The

On la retrouve dans plusieurs plantes tropicales : elle est présente dans les grains de café, les feuilles de thé, le cacao (chocolat) ou la noix de kola.. Dans sa forme

Evaluation sur le système métrique Complète en utilisant la bonne unité. * Une fourchette mesure

FEUILLES POUR DESSINER. Feuilles pour dessiner Feuilles

JE DISTRIBUE LES FEUILLES. Je distribue les feuilles Je distribue

« art des marges », et sert le texte en l’éclairant, sous la Monarchie de juillet on assiste à une évolution dans le « livre roman-tique ». L’image se présente comme un

n°2 : structure de la clathrine et du complexe AP-2 des puits

inCertitude persistante La région pourra-teLLe proposer des ConVentions aVeC Les Chambres d’agriCuLture, notamment ConCernant Le sChéma régionaL de déVeLoppement