• Aucun résultat trouvé

LEGRANDARCHITECTE DEL'UNIVERS, ENCHAIRETENOS. Ne fais pas le fier, ô mon Dieu /

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "LEGRANDARCHITECTE DEL'UNIVERS, ENCHAIRETENOS. Ne fais pas le fier, ô mon Dieu /"

Copied!
22
0
0

Texte intégral

(1)
(2)
(3)

LE GRAND ARCHITECTE DE L'UNIVERS, EN CHAIR ET EN OS

Ne fais pas le fier, ô mon Dieu /

(4)
(5)

Jacques FOLK

LE GRAND ARCHITECTE DE L'UNIVERS,

EN CHAIR ET EN OS

NOUVELLES EDITIONS DEBRESSE PARIS

(6)

© Les Nouvelles Éditions Debresse 1983

(7)

Avertissement

Je n'ai pas l'ambition de présenter un travail typique- ment philosophique. Mon seul désir est de proposer une vision du monde cohérente, susceptible d'intéresser cer- tains lecteurs. Si elle leur convient, je serai heureux de ne pas avoir manqué mon but.

(8)
(9)

INTRODUCTION

Tous les matins, avant de faire ma petite promenade, je passe devant la cage aux lapins pour prendre de leurs nouvelles. Ils m'attendent déjà pour me saluer, pour me souhaiter de passer une agréable journée. Je dois vous avouer qu'ils agissent un peu par égoïsme. En effet, en récompense de leurs bons vœux, je leur tends régulière- ment une petite botte de carottes.

Entre nous, moi aussi j'agis par intérêt. C'est un spec- tacle qui me réjouit. Les lapins mangent d'un si bon appétit que j'éprouve un grand plaisir à voir la nourriture disparaître sous mes yeux. Je sens qu'ils se donnent corps et âme pour réduire en miettes ce mets succulent.

Visiblement, ils dévorent sans se poser de questions, ils n'ont pas de problèmes, leur joie est entière.

Il me semble saisir leur raisonnement : « Pourquoi nous occuper du lendemain ? Ce n'est pas notre affaire s'il y a d'autres lapins, quelque part, qui n'ont rien à se

(10)

mettre sous la dent. L'Insaisissable nous a créés, c'est à lui de se débrouiller pour subvenir aux besoins de nous tous. Quand on est capable de créer des êtres vivants, on doit être en mesure de les nourrir convenablement. Man- geons nos carottes sans soucis. Il y en aura d'autres demain. Nous pouvons faire confiance à l'Insaisissable.

La vie est belle ! » Ce raisonnement, venant de la part de simples petits lapins, me touche profondément. J'ai de l'admiration pour ces gentilles bêtes. A vrai dire, elles ne sont pas si bêtes que ça. Je les aime et je les envie en même temps.

Bref, je suis un peu jaloux de mes mignons pension- naires parce que eux ne cherchent pas un sens à la vie, ne se sentent pas responsables et n'ont donc aucune raison d'être tourmentés.

Tandis que nous, êtres humains, soi-disant intelligents, instruits, cultivés, encore maintenant, deux mille ans après la naissance de Jésus, nous avons des problèmes, nous voudrions comprendre le but de notre existence.

Avouez qu'il y a de quoi être désespéré ! Pendant des siècles philosophes et éducateurs ont tout fait pour nous guider, nous instruire; ils ont essayé de nous mettre sur la « bonne voie » en nous indiquant les règles de conduite à suivre pour atteindre la félicité, la joie de vivre.

Il est évident qu'il y a énormément de personnes qui vivent sans se poser de questions. Elles vivent comme nos lapins, faisant confiance à l'Insaisissable. Elles peuvent souffrir de faim, de soif ou de terribles maladies, elles ne sont pas tourmentées pour autant.

Par contre, nous qui cherchons à définir Dieu, à com- prendre l'âme, à donner un sens à la vie, qui voulons comprendre l'utilité de notre existence, notre devoir vis-à- vis du prochain et vis-à-vis de nous-mêmes, qui voulons savoir d'où nous venons, ce que nous faisons sur cette terre et où nous aboutirons plus tard, nous nous sentons malheureux, désappointés.

(11)

De deux choses l'une, ou bien nous sommes trop bor- nés, trop stupides pour apprendre ou comprendre, ou bien nos maîtres n'ont pas su ni pu nous indiquer la vraie voie, celle qui devrait nous mener au bonheur. Personnel- lement, je préfère admettre la seconde éventualité. La grande question qui se pose maintenant est celle-ci : Comment se fait-il que nos guides aient échoué dans leur entreprise ?

Auraient-ils échoué parce qu'ils ont parlé au nom de principes, parce qu'ils ont prêché au nom de divinités douteuses ? Peut-être ont-ils simplement oublié de parler au nom de l'être humain lui-même, le principal intéressé.

Mais pour parler au nom de l'homme, il faut d'abord le connaître et le bien connaître, et pour le bien connaître, il est indispensable de le prendre tel qu'il est vraiment.

Beaucoup de nos tourments viennent de ce que nous avons peur de regarder les choses en face. Quand on ne connaît pas la réalité, il n'y a aucune chance de la modi- fier. Découvrir la réalité, c'est découvrir la vérité. Pour la trouver, il ne faut pas avoir peur de la découvrir ; mais la réalité est souvent décevante, cruelle. Et pourtant, il vaut mieux accepter de la voir telle qu'elle est que de la défigurer et vivre dans une fausse tranquillité, qui ne saurait être que passagère. Mais l'homme est têtu, coriace, paresseux, il persévère dans les voies tracées par des siècles d'échecs.

Il continue à croire en une âme sans support réel, en un Dieu vague;

Il s'imagine que la justice cosmique doit nécessairement correspondre à la sienne,

que l'homme est libre, c'est-à-dire responsable, et que c'est une honte d'être égoïste.

Avant de vous faire connaître mon avis sur ces sujets, il serait peut-être bon que je me présente d'abord : J'ai 65 ans Déjà. Je suis à la retraite depuis 5 ans. Déjà.

(12)

Moi qui n'avais pas une minute à moi, j'ai du temps à revendre maintenant.

Pendant de longues années, j'ai acheté, j'ai vendu.

On s'intéressait à moi, on avait besoin de moi. J'ai acheté et j'ai vendu, n'importe quoi à n'importe qui. Aujour- d'hui, je ne veux plus vendre. D'ailleurs, je n'ai plus rien à vendre. La marchandise que j'ai, vous l'avez égale- ment : Le temps n'a aucune valeur marchande.

Dès mon réveil, ma pensée s'envole. Elle s'envole vers des régions lointaines. J'ai du mal à la suivre. Que lui ai-je donc fait pour qu'elle me joue des tours pareils ? Elle échappe à mon contrôle, à mon emprise. Elle cher- che la liberté, l'indépendance; elle veut s'instruire à sa guise. Pendant de nombreuses années, cette pensée je l'ai dirigée, je l'ai occupée. Elle vivait dans un monde banal mais captivant. Mon travail quotidien lui fournissait matière à réflexion. Elle se plaisait en ma compagnie.

Ce travail, je ne l'ai plus. Je n'ai pas de soucis, et plus rien à fournir à cette pensée volage pour occuper son

« esprit ». Impuissant, je la laisse s'évader, rêvasser, phi- losopher, s'envoler. Je la sens heureuse ainsi.

Je ne me serais pas plaint de ses caprices, de ses aven- tures, si au moins elle avait la délicatesse de me laisser en paix. Quand je suis couché dans mon lit, désireux de me livrer aux bras de Morphée, elle me secoue doucement, elle me parle tout bas à l'oreille pour ne pas m'effrayer.

Elle prend toutes ces précautions, car au fond, elle m'aime bien. On n'abandonne pas complètement son

« maître » quand il a toujours été compréhensif et indul- gent !

Chaque fois, elle me parle de ses nouvelles trouvailles.

Je ne lui en veux pas, au fond. Au contraire, intrigué, je deviens attentif à ses découvertes.

Hier soir, de retour de sa longue randonnée, elle parais- sait particulièrement gaie, puis s'est mise à me parler du sens de la vie.

(13)

Furieux, j'ai sauté hors de mon lit, je l'ai traitée de tous les noms, de prétentieuse. « Arrête tes balivernes, ma pa- tience est à bout. Assez de banalités ! Tu oserais préten- dre connaître le sens de la vie, quand depuis des siècles les hommes s'escriment en vain à justifier leur existence sur la terre ? »

Sans prendre mon indignation trop au sérieux, ma pen- sée m'a supplié de l'écouter calmement. Son exposé a duré toute la nuit. Je ne l'ai pas souvent interrompue, car tout ce qu'elle disait me réchauffait le cœur. Epuisé mais heureux, je me suis endormi. Maintenant, après un grand repos, je suis en mesure de vous rapporter notre entretien.

(14)
(15)

PREMIER CHAPITRE AME NOUVELLE

DIALOGUE ENTRE LE CORPS ET SA PENSEE La pensée :

— Tu désires connaître l'homme, son utilité sur terre, la nature de son âme, son créateur ? Rien de plus simple.

Quitte les bibliothèques, jette les livres poussiéreux rem- plis de mots compliqués.

Quitte tout cela et va te promener. Ouvre grands tes yeux et regarde autour de toi et en toi. Prête l'oreille et écoute, et surtout arrête de « philosopher ».

Révolté par ces paroles, j'ai riposté.

Le corps :

— Mais tu es folle, tu as perdu la raison. Tu prétends faire de la philosophie, chercher la vérité, le bonheur, comprendre ce que signifie l'âme, Dieu, sans lire les œuvres des grands penseurs, moralistes et professeurs ? Tu me désoles. J'ai eu tort de te rendre la liberté, de te laisser glaner des idées dans des milieux qui me sont étrangers.

(16)

La pensée :

— Calme-toi, mon cher maître, je ne chercherai ni à t'induire en erreur ni à te tromper. Prête seulement l'oreille avec patience. Tu pourras toujours rejeter mes idées si tu ne les trouves pas à ton goût. Mon devoir est de te rapporter ce qui se dit tout bas, ce qu'on chu- chote dans ce « monde d'idées ».

Le langage que j'emploierai sera simple, clair. Les exemples que je citerai au cours de mon exposé seront empruntés à la vie de tous les jours.

Le temps presse, dépêchons-nous.

A mon avis, mon cher maître, mon cher corps, une chose ne peut exister que matériellement ou soutenue par un support réel et non imaginaire. Prenons par exemple une rose. Sa couleur spécifique ne peut exister sans son support véritable. Si je supprime sa substance, sa couleur disparaît également. Mais elle peut continuer à exister dans la mémoire d'un être ayant lui-même une existence effective.

Il en est de même pour moi, ta pensée. Je dois l'en- semble de mes facultés à l'existence de ton corps. Sans la matière qui te compose, mes qualités intellectuelles sont difficilement concevables.

Maintenant, si ce que nous appelons couramment

« âme » existait vraiment, celle-ci devrait également avoir un support.

Il s'ensuit, selon mon raisonnement, que, soit tes facultés intellectuelles et psychiques dépendent unique- ment de la composition matérielle de ton corps, soit elles se manifestent grâce à l'existence de cet intermé- diaire, de ce collaborateur que nous désignons par le mot

« âme ».

Il est évident que tes facultés humaines ne restent pas identiques durant tout le cours de ton existence. Elles varient continuellement, naturellement, insensiblement depuis ta naissance jusqu'à ta mort.

(17)

Si elles varient, c'est parce que la composition ou la disposition matérielle de ton corps varie également, avec le temps, par suite d'une intervention chirurgicale, après l'absorption d'un médicament ou d'un alcool, par la lec- ture ou encore une présence étrangère.

En effet, dois-je te rappeler, mon cher corps, ce qui t'est arrivé dans ta prime jeunesse ? Quand tu avais vingt ans, tu mourais pour ainsi dire de faim. Les quelques leçons que tu donnais suffisaient à peine à te payer un croissant et le café crème de chez « Dupont » au Quartier latin.

Pour te nourrir à bon compte, tout en restant dans la légalité, tu transformais régulièrement ta boisson chaude en sirop. Le sucre se trouvant à la disposition des clients, tu en usais abondamment. La complicité bienveillante du garçon ne faisait aucun doute. Très probablement savait- il ce que c'était que d'avoir faim. Tu vivotais, mais tu étais heureux; je l'étais avec toi. Il t'arrivait d'avoir peur de réintégrer ta chambre d'hôtel, de crainte d'être interpellé par le propriétaire qui te réclamait les trois mois de loyer que tu devais. Tu comptais sur le sommeil profond du veilleur de nuit pour monter l'escalier, nu-pieds, à trois heures du matin.

Avec ton ami, qui ne se trouvait pas dans une meilleure situation pécuniaire, tu avais des entretiens dont la portée m'échappait souvent; je vous admirais car vous étiez naïfs, bons et riches d'espérances. Je me rappelle comme si c'était aujourd'hui la promesse solennelle que tu avais faite à ton fidèle compagnon, tout près du Panthéon :

« Quand je serai riche, je te donnerai la moitié de mon argent. »

Emu par tes paroles, sans doute sincères, ton ami avait versé quelques larmes de reconnaissance. Dix ans après cette scène touchante, tu es devenu fortuné. Par quels moyens ? Cela ne regarde personne. Mais je constate une chose, mon cher corps, mon cher associé : depuis ce moment-là, l'idée ne t'est jamais venue de te défaire de la

(18)

moindre parcelle de ton avoir pour venir en aide à ton ancien ami qui continue, aujourd'hui encore, à végéter.

Quand je t'aurai rappelé un autre événement de notre vie en commun, je tirerai les conclusions auxquelles je désire aboutir.

Cette deuxième histoire s'est passée à peu près vers la même époque. Tu ne m'en voudras pas si je te fais observer que tu avais très peu de chance auprès des jeu- nes filles. Pour être franche avec toi, je me permets de te dire que tu n'as vraiment pas grand-chose pour plaire aux femmes. Ta petite taille n'est pas pour pousser le sexe faible dans tes bras ; ta bouche est peu sensuelle ; aucune virilité ne se dégage de ton corps chétif.

Entre nous, moi, à leur place, je ne t'aurais pas choisi non plus comme amant. Les filles demandent à être bous- culées délicatement, qualité complètement absente chez toi du fait de ta timidité naturelle. Pourtant, débordant de santé, prêt à violer en pensée toute femme se trouvant sur ton passage, je t'entends encore t'écrier : « Je donnerais deux ans de ma vie pour coucher avec une femme. » Tel que je te connais, tu ne sacrifierais même pas, mainte- nant, une journée de ton existence. Des maîtresses, tu en as trop actuellement. Ce n'est pas parce que tu as embelli depuis, loin de là, ne te fais aucune illusion là-dessus.

Tu es devenu plus riche, voilà, et cela suffit.

J'en ai fini avec mes deux petites histoires de jeunesse.

Le jour où tu avais promis à ton ami de lui céder la moitié d'une future fortune hypothétique, ta sincérité ne pouvait pas être mise en doute. Tu parlais selon ta conviction intime du moment. Les dispositions matérielles de ton corps de l'époque étaient telles que tu ne pouvais pas penser et agir différemment.

Le jour où tu es devenu riche, c'est-à-dire dix ans après ta promesse solennelle, ta pensée, ton raisonnement, étaient conditionnés par le nouvel état dans lequel tu te trouvais alors.

(19)

Le même enseignement est à tirer de ta disposition à renoncer à deux ans de ta vie à une époque où tu étais privé de femmes.

Voyons le second aspect que j'ai indiqué plus haut. Pre- nons par exemple cette orange que nous avons devant nous. Elle a un goût précis et dégage un parfum bien défini, bien individualisé.

Ce goût, ce parfum, sont liés à la composition maté- rielle de cette orange. Une petite variation, aussi légère soit-elle, de sa composition matérielle, entraîne automati- quement un changement, peut-être imperceptible mais cer- tain, de son goût et de son parfum.

Selon la composition ou la disposition matérielle des êtres qui entrent en contact avec cette orange, de loin ou de près, ce goût, ce parfum, seront perçus différem- ment. Pour l'un, tel fruit sera excellent, pour l'autre, il sera passable, voire immangeable.

En d'autres termes, de toi, mon corps, lié au reste de l'univers par une relation déterminée, il se dégage une certaine personnalité. Celle-ci est en relation directe avec ta composition matérielle. Tes facultés sont interprétées, jugées différemment, selon la composition et les disposi- tions des êtres se trouvant en contact avec toi.

L'ablation d'une zone, même très partielle, de ton cer- veau entraînerait automatiquement un changement dans ta réaction intellectuelle ou psychique.

De même, nous savons aujourd'hui, grâce aux derniers développements de la microchirurgie et de la génétique, qu'il sera possible dans un avenir très proche d'influer, par certaines opérations minutieuses, sur le cerveau du fœtus, de court-circuiter certaines tendances génétiques, des instincts meurtriers par exemple. Nous savons égale- ment qu'il sera bientôt possible, par le même procédé, de rendre des êtres vivants plus intelligents qu'ils ne de- vraient l'être si on laissait faire la nature.

Pour te montrer à quel point la suppression d'une par-

(20)

tie du corps peut influer sur le comportement des indi- vidus, il suffit de te donner quelques exemples tirés de la réalité de tous les jours.

Enlever un œil ou couper une jambe à un être a pour conséquence un changement de son état psychique. Mal- heureusement, les accidents et les guerres ne sont que trop courants dans ce domaine.

Tu sais bien également que des personnes peuvent re- couvrer ou perdre leur équilibre intellectuel ou psychique par l'absorption d'un médicament ou d'alcool.

Combien de fois n'as-tu pas, mon cher corps, rencon- tré lors de nos promenades nocturnes de ces jeunes qui se droguent. Il est facile de les reconnaître à cause de ce regard perdu qu'ils posent sur les personnes et les choses.

Leur démarche lente et peu sûre ressemble à celle des aveugles qui cherchent le sol à chaque pas, et nous savons à quel point leur comportement change lorsqu'ils sont sous l'effet de la drogue.

Maintenant, regarde cet homme saoul qui tourne au coin de la rue. Il chante à tue-tête et rit tout seul, alors qu'en temps normal, il n'oserait pas faire autant de tapage. En effet, l'alcool est également un puissant agent de changement du comportement. Nous qui avons fait la guerre, nous savons avec quelle générosité notre capitaine nous donnait à boire avant de nous envoyer au combat.

Cependant, drogues ou alcool peuvent, employés avec parcimonie, produire des effets salutaires sur l'être humain.

Enfin, nous connaissons des cas où des paroles bien- faisantes ou irritantes, la compagnie d'animaux ou la vue de plantes, suffisent à provoquer des effets semblables.

Une lecture ou la simple présence d'un être sympathi- que ou abject peut être la cause d'un changement dans le comportement de l'individu.

Ne t'arrive-t-il pas, lorsque tu es de mauvaise humeur, de prendre un recueil d'humour et, après avoir lu une ou

(21)

ACHEVÉ D'IMPRIMER SUR LES PRESSES DE L'IMPRIMERIE S.E.G.

33, RUE BÉRANGER CHATILLON-SOUS-BAGNEUX

Dépôt légal : juin 1983 Numéro d'impression : 2436

(22)

Participant d’une démarche de transmission de fictions ou de savoirs rendus difficiles d’accès par le temps, cette édition numérique redonne vie à une œuvre existant jusqu’alors uniquement

sur un support imprimé, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l’exploitation des Livres Indisponibles du XXe siècle.

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

Elle peut donc reproduire, au-delà du texte lui-même, des éléments propres à l’exemplaire qui a servi à la numérisation.

Cette édition numérique a été fabriquée par la société FeniXX au format PDF.

La couverture reproduit celle du livre original conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

*

La société FeniXX diffuse cette édition numérique en vertu d’une licence confiée par la Sofia

‒ Société Française des Intérêts des Auteurs de l’Écrit ‒ dans le cadre de la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012.

Références

Documents relatifs

L’un des enjeux du numéro est d’éclairer dans quelle mesure les acteurs de l’offre de l’enseignement religieux, les contenus religieux et les trajectoires

À travers une cinquantaine d’œuvres datant du iv e   siècle au xx e  siècle et provenant aussi bien d’Europe que d’autres continents rejoints par l’annonce de

3. Cité par Frank et Fitzie MANUEL, El pensamiento ut6pieo en el mundo occidental.. commise en raison du corps. Le Pece souffre l'affront. Toute la désobéissance hu-

« Certes, si la circoncision a été un signe littéral, aussi bien est le baptême, vu que S.Paul au deuxième chapitre des Colossiens n’en fait pas l’un plus spirituel que

Il s’agit de savoir si, en plus des aires protégées, ces MAE contribuent, elles aussi, à préserver les oiseaux, d’autant que les terres agricoles constituent

Plus tard, il citera son maître Massignon à propos de la foi des chrétiens et des musulmans: « Leur conception de ce Dieu unique est si différente qu'il est difficile de

Dieu, chers frères de foi, entend, voit et parle, mais Son ouïe est sans oreille, Sa vue est sans rétine, Sa parole est sans voix ni lettres, c’est une parole qui est exempte de

Alors, il est plongé dans le désarroi et l’agitation : (57) | … Nous avons placé des voiles épais sur leurs cœurs pour les empêcher de comprendre, et Nous les