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Sociologie de l entreprise : Fiche Identité L3 Sciences Sociales 12 Mai 2014

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Sociologie de l’entreprise : Fiche Identité AKSIL Fadila

L3 Sciences Sociales 12 Mai 2014

1) Création et Développement

Avec plus de 275 millions de visites depuis son inauguration le 12 avril 1992, Disneyland Paris est le plus grand pôle touristique d’Europe, qui comprend : deux parcs à thèmes (le parc Disneyland et le parc Walt Disney studios), sept hôtels à thèmes, sept hôtels partenaires, un terrain de golf, un centre de divertissement (Disney village), trois gares ferroviaires, deux centres commerciaux (Val d’Europe, la vallée village).

Ce complexe de 2230 hectares cumulés, est installé à Chessy-Marne-la-Vallée à 32 km à l’est de Paris. Son siège social est également situé dans la banlieue de Paris, dans la Seine et Marne au 1 rue de la Galmy, 77700 Chessy, France.

Le complexe est exploité par la société Euro Disney SCA détenue à 39% par The Walt Disney Compagny mais la structure financière autour de la gestion et de l’exploitation de Disneyland Paris est très ambigüe. Euro Disney SCA a développé à l’image du complexe de Walt Disney world resort de nombreuses activités autour de ses deux parcs à thèmes. On peut noter le centre commercial Val d’Europe, le centre d’affaires Airlington business square et le projet village nature. The Walt Disney Compagny est évidemment la maison mère de la société Euro Disney. Cette dernière est une société en commandite par action qui exploite au travers de ses filiales le complexe de loisir Disneyland Paris et ses dépendances et développe, en partenariat avec l’Etat et les collectivités territoriales, le secteur IV de la nouvelle ville de Marne-la- Vallée, Val d’Europe.

Tout a débuté en 1987 par un accord entre les autorités françaises et The Walt Disney Compagny avec le souhait d’apporter la magie Disney au cœur de l’Europe. De ce fait, des travaux spectaculaires ont du être envisagé pour relier le domaine à la capitale. La ligne du RER A a du être prolongé jusqu’au resort pour faciliter l’accès aux touristes soif de magie. La station du RER Marne la vallée Chessy est inaugurée le 31 mars 1992, soit quelques jours avant l’ouverture du parc.

Création en 1992

Propriétaire Euro Disney, société en commandite par action (SCA)

Exploitation touristique et urbaine situé dans la Seine-et-Marne

Chiffre d’affaire de 1309,4 millions d’euros 14500 salariés

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Disneyland Paris en quelques dates…

18 décembre 1985 : Michael Eisner pour The Walt Disney Company et Laurent Fabius, alors Premier Ministre français, signent une lettre d’intention. Cette lettre avait pour objet

d’officialiser le choix de Marne-la-Vallée comme site d’Euro Disneyland.

24 mars 1987 : La Convention pour la création du Projet Euro Disneyland est signée à Paris par Michael Eisner pour The Walt Disney Company et par les pouvoirs publics français, dont Jacques Chirac, Premier Ministre. Le projet prévoit le développement sur 30 ans d’une destination touristique d’ampleur européenne et de la nouvelle ville de Val d’Europe.

Février 1989 : La société devient une société en commandite par actions Concession par TWDC à la Société d’une licence d’utilisation des droits de propriété intellectuelle et industrielle de Disney : EURO DISNEYLAND SA -> EURO DISNEYLAND SCA.

12 avril 1991 : Cérémonie "Un an avant" révèle la date d’ouverture officielle d’Euro

Disneyland : le 12 Avril 1992. Sabine Marcon devient la 1ère ambassadrice pour 1991-1992.

20 juin 1994 : Déjeuner entre François Mitterrand et Georges Bush à l’Auberge de

Cendrillon. Augmentation de capital, 595 028 994 actions nouvelles (10 Frs). Le prince Al- Waleed possède 24% du capital.

1er octobre 1994 : Euro Disneyland devient Disneyland Paris. Euro Disney S.C.A. demeure la société opératrice de la destination touristique.

Novembre 1995 : Création du Club Actionnaire.

29 juin 1996 : Mise en service d'Eurostar qui relie directement la gare anglaise de Londres Waterloo à Marne-la-Vallée/Chessy.

24 septembre 1999 : Euro Disney annonce l’ouverture en 2002 d’un deuxième Parc à Thèmes dédié à la magie du cinéma pour les 10 ans du Parc Disneyland.

Mars 2000 : La société annonce la signature de plusieurs accords avec Arlington Securities PLC, Pierre & Vacances et Etoiles d’Europe SAS pour le développement d’immobilier d’entreprise et d’une résidence de tourisme à Val d’Europe.

24 octobre 2000 : Ouverture du Centre Commercial International Val d’Europe avec la Ségécé, Auchan, et Value Retail. Ce centre comprend un village d’enseignes haut de gamme à prix réduits, La Vallée Shopping Village.

1er janvier 2002 : Disneyland Paris devient Disneyland Resort Paris. Avec bientôt deux Parcs à Thèmes, ses 7 Hôtels Disney et un golf de 27 trous, sans compter les opportunités de shopping à Val d’Europe, Disneyland Resort Paris devient une destination familiale de plusieurs jours et la première destination touristique européenne.

Juillet 2004 : Disneyland Resort Paris reçoit le Label « Tourisme et Handicap » délivré par l’association Tourisme et Handicap. Les deux Parcs à Thèmes sont les seuls en France à avoir reçu ce label avec les quatre pictogrammes certifiant une accessibilité optimale pour les quatre handicaps physique, visuel, auditif et mental. La quasi-totalité des 60 attractions du site est ainsi accessible à tous.

24 mars 2010 : Création des pages Youtube, Twitter et Facebook officielles de Disneyland Paris.

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Depuis son ouverture, le parc Disneyland Paris ne cesse d’investir dans divers domaines pour garder son attractivité.

La société a connu une valse de présidents-directeurs général (PDG) depuis son ouverture en 1992 (sept en 22 ans). Depuis septembre 2008, c’est Philippe Gas qui a pris ses fonctions en tant que président.

Etant le plus gros pôle touristique d’Europe, le chiffre d’affaire généré par les parcs à thèmes (activité touristique) pour l’année 2013 s’élevais à 1289,0 millions d’euros.

Au titre de l’Exercice, le résultat net de l’ensemble consolidé s’établit à 78,2 millions d’euros, contre un résultat net de 100,2 millions d’euros au titre de l’exercice précédent. Le résultat net part du Groupe s’élève à 64,4 millions d’euros et le résultat net part des minoritaires s’établit à 13,8 millions d’euros.

La TVA est une taxe générale calculée en fonction de la valeur ajoutée aux produits ou services. Au 30 septembre 2013, les créances de TVA s’élevaient à 31,3 millions d’euros.

Les créances de TVA sont réglées généralement dans un délai d’un mois.

Les immobilisations corporelles et incorporelles sont initialement évaluées et enregistrées à leur coût d’acquisition, comprenant tous les coûts directement attribuables à la préparation de leur mise en service ainsi que les coûts d’emprunts relatifs à leur financement. Les immobilisations sont amorties sur leur durée d’utilité estimée. Ces durées d’utilité sont revues et, le cas échéant, ajustées à la fin de chaque Exercice.

Le total des capitaux propres et passifs au 30 septembre 2013 s’élève à 2159,4 millions d’euros. Pour voir le détail des finances de la société, un tableau explicatif se trouve en annexe (1 : état de la situation financière).

2) Commerce

En 1987, The Walt Disney Company lance en France les travaux de construction de la destination touristique qui deviendra Disneyland Paris. Le bureau de représentation alors présent sur le site accueille les visiteurs pour les informer et leur présenter Mickey. Vient alors l'idée à certains de solliciter le fameux personnage pour divertir les enfants malades des hôpitaux d'Ile-de-France. C'est ainsi que les premières actions de solidarité ont vues le jour et se poursuivent depuis plus de 20 ans.

Les secteurs d’activités du Groupe sont les suivants :

• Le secteur activités touristiques qui regroupe les activités des Parcs à Thèmes, des Hôtels et du Disney Village, ainsi que l’ensemble des services proposés aux visiteurs de Disneyland Paris

• Le secteur activités de développement immobilier qui comprend les activités de conception et de suivi de la construction de nouvelles installations pour le secteur activités touristiques, le suivi de la réalisation des améliorations apportées aux installations existantes, ainsi que

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d’autres projets immobiliers d’entreprise, commerciaux et résidentiels financés par le Groupe ou par des tiers partenaires.

L’activité des Parcs à Thèmes comprend l’exploitation du Parc Disneyland et du Parc Walt Disney Studios, y compris les ventes de marchandises, la restauration, les évènements spéciaux et l’ensemble des autres services proposés aux visiteurs des Parcs à Thèmes et des alentours. Le chiffre d’affaires de l’activité des Parcs à Thèmes dépend principalement de deux facteurs : le nombre de visiteurs et la dépense totale moyenne par visiteur (incluant principalement le prix d’entrée, les dépenses en restauration et en marchandises). Les Parcs à Thèmes sont ouverts toute l’année. Du fait de la nature du marché, l’activité est sujette à des variations saisonnières avec une haute saison correspondant principalement à la période estivale, ainsi qu’aux jours fériés et aux périodes de vacances scolaires dans les marchés clés du Groupe. De même, des variations significatives de l’activité peuvent se produire entre les jours de semaine et les week-ends, particulièrement en période de basse saison.

Le Parc Disneyland se compose de cinq “pays thématiques” : Main Street U.S.A., qui transporte le visiteur dans une rue d’une ville américaine à l’aube du 20e siècle ; Frontierland, qui emmène le visiteur à la conquête de l’Ouest, sur les traces des pionniers du Far West ; Adventureland, où le visiteur est plongé dans un monde d’exotisme et de mystère en revivant les plus extraordinaires légendes et les plus beaux films d’aventure de Disney ; Fantasyland, le pays magique où se retrouvent tous les héros des contes de fées des dessins animés de Disney ; et Discoveryland, qui invite le visiteur à la découverte du futur en rendant hommage aux visionnaires, inventeurs, savants et auteurs de science-fiction de tous les temps. En plus des attractions, des parades et des spectacles permanents du Parc Disneyland, la présence des personnages Disney et leurs échanges avec les visiteurs constituent un aspect important de l’offre de divertissement. La Rencontre avec Mickey dans Fantasyland est notamment un lieu permettant aux familles de profiter d’un moment privilégié avec la star dans sa loge du Théâtre de la Fantaisie. Ces lieux dédiés permettent aux visiteurs de rencontrer et partager des moments inoubliables avec les personnages mythiques de certains des films Disney les plus populaires. Enfin, des évènements saisonniers sont organisés tout au long de l’année, tels que Le Festival Halloween Disney en octobre ou Noël Enchanté en décembre et début janvier.

Le Parc Disneyland compte 26 restaurants ainsi que de nombreux chariots et kiosques sur l’ensemble du parc. La thematisation du décor et du menu de ces restaurants varie en fonction de leur localisation et certains restaurants proposent des interactions avec les personnages. Par exemple, à l’Auberge de Cendrillon, dans Fantasyland, les visiteurs sont accueillis par les princesses Disney alors que le célèbre pirate Jack Sparrow vient à leur rencontre au Blue Lagoon Restaurant, dans Adventureland. Le Parc Disneyland offre une large variété de modes de restauration, tels que la restauration rapide, le libre-service type cafétéria, le service à table et la cuisine française traditionnelle. Les chariots et kiosques proposent une restauration rapide à emporter, des friandises et des boissons.

Dans le Parc Disneyland, 35 boutiques et de nombreux chariots ambulants proposent une large gamme d’articles portant sur les thèmes Disney. La gamme des produits offerts est continuellement renouvelée afin de répondre au mieux aux attentes des visiteurs. Les assortiments de produits mettent l’accent sur des articles exclusifs à l’effigie des personnages

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Disney et Disney Pixar les plus emblématiques, tels que Mickey et ses amis ou les Princesses Disney.

Le Parc Walt Disney Studios a ouvert ses portes le 16 mars 2002. Les visiteurs y découvrent le monde du divertissement audiovisuel. Le Parc Walt Disney Studios propose un large choix d’expériences en termes d’attractions et de spectacles à sensations. Ceux-ci emmènent les visiteurs sous le feu des projecteurs et devant les caméras, ou dans les secrets des coulisses de tournage, sur grand ou petit écran, ou encore dans l’univers de la musique. Le Parc Walt Disney Studios comprend quatre zones à thèmes : Back lot, Front Lot, Production Court yard et Toon Studios.

Les deux parcs cumulent à eux deux 75 hectares de jeux et 59 attractions exceptionnelles en tout genre. Le groupe gère également 7 hôtels à thèmes comprenant jusqu’à 5800 chambres.

Le Groupe distribue ses produits soit séparément, soit sous forme de forfaits. Les forfaits peuvent comprendre le transport, l’hébergement, les repas et les billets d’entrée aux Parcs à Thèmes. Les billets d’entrée des Parcs à Thèmes sont vendus à l’entrée des Parcs à Thèmes et sont également distribués par l’intermédiaire des centres d’appel du Groupe, du site internet commercial du Groupe et de divers autres canaux de distribution.

Le Groupe est en concurrence toute l’année avec les autres destinations de voyage européennes et internationales ainsi qu’avec les autres activités de loisirs et de divertissement de la Région Parisienne. Les parcs à thèmes exploités par le Groupe sont aussi en concurrence avec d’autres parcs à thèmes européens. L’activité de tourisme d’affaires du Groupe est également une activité où la concurrence est forte. Une partie des revenus du Groupe dépend de cette activité qui permet aussi de maintenir un taux d’occupation des hôtels du Site satisfaisant en période creuse. Sa première concurrence en terme local, reste néanmoins le parc Astérix.

La concurrence limite la capacité du Groupe à augmenter ses prix et peut lui imposer la réalisation de nouveaux investissements significatifs pour ne pas perdre de clients au profit de ses concurrents.

En 2013, 51% de nos visiteurs venaient de France, 14% du Royaume-Uni, 6% du Benelux (Belgique et Luxembourg), 6% des Pays-Bas, 8% d'Espagne, 3% d'Italie, 3% d'Allemagne et 9% du reste du monde.

Le rêve de Walt Disney était fondé sur un désir de partage. Le partage de moments de bonheur en famille, où parents et enfants peuvent s'amuser ensemble. Pour offrir cette même chance à tous, il a lui-même engagé les premières actions solidaires. C'est cet héritage que perpétue le mécénat de Disneyland Paris en faisant de chaque jour une fête pour l'Enfance et la Famille en difficulté. Pour une entreprise, le mécénat consiste à s'engager durablement au service de causes d'intérêt général, sans recherche d'impact sur ses activités marchandes. Au sein de Disneyland Paris, le mécénat prend une forme très humaine et opérationnelle :

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 Le mécénat de compétence : l'entreprise permet gracieusement à ses Cast Members (employés de Disneyland) de consacrer du temps, sur leurs heures de travail, aux actions du service mécénat et ainsi apporter aux associations leurs compétences professionnelles.

 Le mécénat en nature : le mécénat de Disneyland Paris réalise ponctuellement des dons de jouets et cadeaux en faveur des associations partenaires.

Nous pouvons dire que Disneyland Paris est devenu un formidable succès commercial.

3) Production

L’exercice social de la Société commence le 1er octobre d’une année donnée et se termine le 30 septembre de l’année suivante.

Le Groupe adhère au programme de déontologie sociale (International Labor Standards ou

“ILS”) établi par The Walt Disney Compagny. Ce programme concerne la fabrication de tous les produits incorporant ou utilisant tous droits de propriété intellectuelle de The Walt Disney Compagny. Ce programme a également pour but de promouvoir la sécurité, l’intégration et le respect des employés dans tous les sites qui fabriquent des produits Disney. Dans le cadre de ses activités touristiques, le Groupe commercialise d’importantes quantités de nourriture et boissons qu’il propose à ses visiteurs dans le cadre de ses services de restauration. Le référencement des fournisseurs de nourriture et boissons est géré par la société Convergence Achats S.A.R.L., une centrale de référencement créée conjointement par le Groupe et groupe Flo. Au cours de l’Exercice, un portail informatique collaboratif avec ses fournisseurs a été lancé afin de renforcer la traçabilité des produits alimentaires. Cet outil, en cours de déploiement auprès de plus de 300 fournisseurs, renforce le suivi des produits en termes de qualité, de sécurité alimentaire, de composition ou de provenance. Il permet également d’identifier les fournisseurs qui respectent une charte environnementale.

Dans le cadre de ses activités touristiques, le Groupe commercialise également de nombreuses marchandises Disney (par exemple des jouets, vêtements et articles décoratifs). Le Groupe adhère aux standards fixés par TWDC à ses fournisseurs. Ainsi, tout fournisseur souhaitant utiliser la marque Disney s’engage à autoriser l’accès à ses usines de production, afin que leur conformité avec le programme ILS soit évaluée. Lorsque des non-conformités sont identifiées, le fournisseur doit les corriger, sous peine de ne plus pouvoir produire pour le Groupe. Le Groupe adhère également au code de conduite des fabricants de produits Disney établi par TWDC. Tous les sites de production participant à la fabrication des produits Disney (conception, impression, production, finition ou conditionnement) doivent respecter ce code ou toute autre norme de travail préalablement approuvée.

Les flux de trésorerie générés par l’exploitation s’élèvent à 95,0 millions d’euros au titre de l’Exercice. Cette baisse s’explique par un besoin en fonds de roulement plus élevé ainsi que par la diminution du résultat d’exploitation.

Les flux de trésorerie utilisés pour les opérations d’investissement s’élèvent à 126,1 millions d’euros au cours de l’Exercice. Cette baisse reflète les investissements réalisés au cours de l’exercice précédent pour la boutique World of Disney ainsi que pour le spectacle nocturne Disney Dreams!

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Les flux de trésorerie utilisés par les opérations de financement s’élèvent à 5,2 millions d’euros au cours de l’Exercice. Cette baisse s’explique principalement par les remboursements d’emprunts bancaires réalisés au cours de l’exercice précédent aux échéances prévues jusqu’au Refinancement de 2012, ainsi que par les impacts du Refinancement de 2012 sur la trésorerie.

Les stocks sont comptabilisés au plus bas du coût d’acquisition ou de la valeur nette de réalisation. Les coûts d’acquisition sont déterminés selon la méthode du coût unitaire moyen pondéré et comprennent le prix d’achat, les droits de douane et autres coûts directement attribuables à l’acquisition. Les stocks peuvent ne pas être recouvrables s’ils ont été endommagés, s’ils sont devenus complètement ou partiellement obsolètes ou si leur prix de vente a subi une baisse. Les stocks sont alors dépréciés pour les ramener à leur valeur nette de réalisation.

Les stocks comprennent principalement des marchandises, des pièces détachées utilisées pour la maintenance des actifs immobilisés ainsi que des produits alimentaires. Ces montants tiennent compte d’une provision pour dépréciation pour stocks obsolètes ou à rotation lente.

Cette provision s’élève à 2,9 millions d’euros au 30 septembre 2013.

En terme de développement, Disneyland Paris a connu beaucoup de changements et propose encore de nombreux projets. Une quatrième phase de développement est actuellement en cours de finalisation. Cette nouvelle phase devrait permettre au Groupe d’initier de nouveaux projets tels que :

• le développement de nouveaux équipements publics tels que des écoles supplémentaires, une nouvelle extension du pôle universitaire, des équipements culturels et sportifs ;

• le développement des infrastructures desservant Val d’Europe et le Site, notamment la gare routière et les accès au RER ;

• le développement de nouveaux programmes résidentiels à Chessy, Serris et Coupvray ;

• une nouvelle extension du centre commercial ;

• de nouveaux programmes de bureaux et d’activités commerciales en centre ville et dans le parc international d’entreprises ;

• l’extension des Parcs à Thèmes et des Hôtels.

En terme d’innovation, en 2010, le Groupe a lancé une application pour iPhone, qui a remporté le prix E-Marketing de la meilleure application mobile en janvier 2011. En 2011, le Groupe a lancé une application similaire sous Android. Ces applications gratuites fournissent aux visiteurs des informations leur permettant d’optimiser leur visite du Site, telles que les temps d’attente estimés aux attractions, une carte interactive avec option de géolocalisation et de nombreux autres services. Depuis leur lancement, ces applications ont été téléchargées plus de deux millions de fois.

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4) Travail

Le resort étant ouvert 365 jours par an, tous les jours de la semaine, les salariés peuvent être amenés à travailler de nuit, le matin, l’après-midi, le soir, le weekend et les jours fériés.

Du fait de la nature saisonnière de l’activité, le besoin de main-d’œuvre est également saisonnier. Un système d’optimisation de la planification et de la mobilité des employés entre les parcs à thèmes et les hôtels a donc été mis en place. Ce système permet d’améliorer l’efficacité de l’organisation via l’automatisation de la planification et des systèmes de rémunération correspondants. En adéquation avec ce système, des contrats à horaires flexibles ont été négociés avec les représentants du personnel. Des contrats spécifiques à temps partiel tels que des semaines de quatre jours ou des contrats personnalisés ont aussi été mis en place.

Cette flexibilité a permis de mieux adapter le nombre d’employés aux besoins de l’activité.

Avec un effectif moyen annuel de plus de 14 000 employés, le Groupe est aujourd’hui l’employeur le plus important de Seine-et-Marne. Disneyland a embauché au titre de l’exercice 2013, 6454 salariés et licenciés 223 personnes.

Au sein du groupe, nous comptons 46% de femmes contre 54% d’hommes.

75% des employés sont âgés entre 26 et 55 ans.

87% des salariés sont en contrat à durée indéterminé avec une ancienneté en moyenne de 7 ans. 10% des salariés sont là depuis l’ouverture du resort.

Disneyland engendre plus de 5600 emplois (directs ou indirects).

Dans le but de permettre à l’ensemble des organisations syndicales d’exercer leurs missions, le Groupe met à leur disposition des moyens matériels (locaux équipés), immatériels (adresses e-mails et site intranet) et financiers (0,02 % de la masse salariale de l’année précédente à répartir entre organisations syndicales). Cette contribution volontaire a pour vocation d’aider au fonctionnement des organisations syndicales dans leur objectif d’information des employés et de défense de leurs intérêts.

Au cours de l’Exercice, les 296 délégués du personnel du Groupe ont tenu 195 réunions. Le Groupe compte également 17 Comités d’Hygiène et de Sécurité des Conditions de Travail (“CHSCT”), un CHSCT Central et un comité d’entreprise qui a été réuni 21 fois durant l’Exercice.

Au cours de l’Exercice, le Groupe a poursuivi ses campagnes de recrutement à travers toute l’Europe et a reçu plus de 57 600 candidatures spontanées.

En 2012, le Groupe a lancé une enquête pour évaluer son attractivité en tant qu’employeur et identifier ses atouts pour attirer les talents de toute l’Europe. Les résultats ont montré que le Groupe a de puissants atouts qui seront mis en avant lors de ses prochaines campagnes de recrutement, notamment les services d’hébergement proposés aux employés.

Avec plus de 100 nationalités, 500 types d’emplois différents et environ 20 différentes langues parlées sur le Site, la diversité et le multiculturalisme que soutient le Groupe constituent des atouts essentiels, au même titre que la compétence de ses employés.

Le montant de la masse salariale s’élève à 971 615 euros. De plus, il faut savoir que 419 604 euros sont versé au titre des avantages sociaux (sécurité sociale, œuvre sociale).

Le Groupe procure à son personnel des avantages liés à la retraite en utilisant des plans à cotisations définies et des plans à prestations définies.

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Tous les employés du Groupe cotisent à des caisses de retraite conformément à la réglementation française, ainsi qu’à une caisse de retraite complémentaire. Les salariés cadres cotisent également à une caisse de retraite par capitalisation. Les cotisations sont versées aux caisses de retraite par le Groupe et les employés. La part patronale de ces cotisations est constatée en charges lorsqu’elle est encourue. Le Groupe n’a pas d’engagement futur portant sur ces avantages.

Au titre de l’exercice 2013, la répartition interne du resort se répartit en deux classes.

L’effectif moyen compte 1898 cadres et 12 346 non cadres.

Afin de développer les compétences de ses employés et d’améliorer la qualité des services proposés aux visiteurs, le Groupe propose à ses employés de nombreuses formations ciblées.

Le centre de formation interne du Groupe, l’Université Disney, propose des formations sur le développement des compétences managériales et le leadership, la culture et l’héritage de l’entreprise, les langues, les techniques administratives et l’informatique. L’Université Disney a structuré son offre de façon ciblée afin de prendre en compte la grande variété des métiers et les différents niveaux d’expérience. Le développement des compétences managériales et du leadership, ainsi que la création et la mise en place de supports de formation innovants sont des objectifs clés de l’Université Disney.

Conjointement à l’Université Disney, l’équipe de formation des Ressources Humaines propose des formations professionnelles à tous les employés visant à garantir la sécurité des visiteurs et des employés, à améliorer l’efficacité des opérations, à suivre les évolutions techniques et à renforcer la qualité de service. Pour chaque poste et chaque équipe, les équipes de formation conçoivent des programmes et des sessions sous différentes formes (formations en salle de cours, outils en ligne, forums et autres outils). Cela permet aux employés d’acquérir des compétences pratiques et concrètes. Certains programmes offrent aux employés la possibilité de valider un diplôme professionnel ou d’accéder à des postes d’encadrement. Les programmes de formation soutiennent les activités du Groupe et prennent en compte la diversité des employés, dès leur premier jour et tout au long de leur carrière au sein du Groupe.

Disneyland Parispossède la cinquième plus grande infrastructure de conventions en France et accueille environ 1 000 évènements par an tels que des séminaires, des conférences ou des expositions.

5) Finances

Disneyland Paris est une société détenu à 100% par l’entreprise The Walt Disney Compagny.

Ces droits de propriété intellectuelle et industrielle sont enregistrés au nom de TWDC qui est responsable du contrôle de leur protection en France. TWDC dispose de droits importants en vertu du Contrat de Licence et notamment du droit d’approuver, de contrôler et de faire utiliser ses droits de propriété intellectuelle au sein du Site.

Le Groupe compte sept marchés cibles : la France, le Royaume-Uni, l’Espagne, la Belgique, les Pays-Bas, l’Italie et l’Allemagne. Les autres marchés du Groupe sont regroupés dans

“Reste du monde”. Sur l’ensemble de ces marchés, les familles ayant des enfants âgés de 3 à

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15 ans constituent le marché primaire. Les marchés secondaires comprennent les groupes, les jeunes et les organisateurs de congrès. Chaque année, le succès de la politique de marketing dans des pays et sur des segments de marchés spécifiques dépend d’une série de décisions stratégiques reposant sur l’identification de ceux qui offrent le meilleur potentiel, ou de ceux qui répondront au mieux aux stratégies de marketing et de ventes, ainsi que sur la politique de prix et d’offres de forfaits qui tient compte du calendrier des congés et jours fériés spécifiques à chaque marché.

Les capitaux propres de la Société sont en baisse et s’établissent à 615,8 millions d’euros au 30 septembre 2013 contre un montant de 617,4 millions d’euros au 30 septembre 2012, reflétant le résultat de l’Exercice.

Au cours de l’Exercice, la dette du Groupe a diminué de 1,6 million d’euros pour s’établir à 1709,4 millions d’euros au 30 septembre 2013 contre 1 711,0 millions d’euros au 30 septembre 2012. Cette baisse est liée au remboursement de principal de la dette The Walt Disney Company.

Au 30 septembre 2013, les dettes fournisseurs s’élèvent à 107,3 millions d’euros dont 37,2 millions d’euros étaient facturées et 70,1 millions d’euros de factures à recevoir. Au 30 septembre 2013, 83 % des dettes fournisseurs facturées étaient dues dans un délai de 30 jours et 17 % étaient dues à plus de 30 jours.

Entre l’Ouverture et le 30 septembre 1994, le Groupe a enregistré des pertes substantielles.

Ainsi, les pertes d’exploitation (avant l’impact cumulé d’un changement de méthode

comptable) se sont élevées à environ 625,0 millions d’euros pour la période comprise entre la fin du premier semestre de l’Exercice 1992 et le 30 septembre 1994. De plus, le Groupe a rencontré des difficultés de trésorerie significatives au cours de l’Exercice 1993. En mars 1994, le Groupe a conclu un protocole d’accord avec ses principaux partenaires, dont The Walt Disney Compagny, précisant les modalités d’une restructuration majeure de ses engagements (la “Restructuration financière de 1994”), ainsi que ceux de la Société de Financement. La Restructuration financière de 1994 comprenait principalement des

concessions et des financements de la part de chacun des Prêteurs et de TWDC, ainsi que le remboursement anticipé de certains emprunts contractés par le Groupe et les Sociétés de Financement grâce aux fonds provenant d’une augmentation de capital de la Société d’un montant de 907,0 millions d’euros.

Grâce au Refinancement de 2012, le taux d’intérêt moyen de la dette du Groupe s’est réduit de façon sensible et le Groupe bénéficie désormais d’une plus grande flexibilité opérationnelle grâce à la suppression des contraintes financières imposées par les précédents accords de financement, notamment celles relatives aux restrictions sur les dépenses d’investissements. Au 30 septembre 2013, la part des emprunts à taux variables du Groupe est d’environ 28 % avec des paiements d’intérêts à régler à TWDC au cours des exercices où ils sont encourus. Le taux d’intérêt moyen pondéré s’élève à 3,1 % sur un montant d’emprunt total de 1,7 milliard d’euros. Au 30 septembre 2013, le Groupe n’a pas mis en place de couverture pour réduire son exposition aux variations des taux d’intérêt.

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6) Politique Générale

La stratégie de croissance du Groupe vise à améliorer le chiffre d’affaires et la profitabilité grâce à une progression équilibrée des volumes dans les Parcs et les Hôtels et de la dépense moyenne par visiteur sur l’ensemble du Site. Afin d’atteindre cet objectif, le Groupe concentre ses efforts sur les investissements destinés à accroître la qualité de l’expérience proposée aux visiteurs et sur le renforcement de ses fondamentaux en prévision d’un environnement économique plus stable. La relation créée avec les visiteurs est essentielle au développement à long terme de Disneyland Paris et demeure la priorité du Groupe. Une expérience visiteur plus satisfaisante génère des revisites et un bouche-à-oreille positif. Le Groupe est persuadé que cette relation doit se fonder sur la confiance et sur la promesse d’expériences inoubliables. Ces dernières années, le Groupe a réalisé d’importants investissements pour améliorer ses actifs existants, pour développer des contenus attractifs et de nouvelles expériences immersives, ainsi que pour susciter l’engagement de ses employés.

Ces investissements ont pour but de continuer à renforcer la qualité de l’expérience Disneyland Paris et la satisfaction des visiteurs. Les Exercices 2012 et 2013 ont confirmé l’attachement du Groupe à cette stratégie : les investissements humains et financiers réalisés pour la réussite du 20e anniversaire de Disneyland Paris et son extension, la poursuite du programme de rénovation des Hôtels, ainsi que le refinancement de la dette en 2012, ont permis de renforcer les fondamentaux du Groupe.

Les principaux éléments de cette stratégie de développement sont les suivants :

Demeurer la référence des parcs à thèmes en Europe

Renforcer encore l’expérience des hôtels disney

Attirer les visiteurs grâce à une stratégie marketing et commerciale pertinente et des offres adaptées

Maximiser le retour sur investissements des activités de marketing et des ventes du Groupe

Développer les marchés locaux et les marchés du tourisme parisien et des destinations Disney

Poursuivre et renforcer l’excellence, le développement et le bien-être du personnel

Le Site peut connaître des variations importantes de la fréquentation et de la dépense moyenne par visiteur en fonction des saisons et du contexte économique et climatique. Bien que le Groupe ait pris et continue de prendre des mesures pour réduire l’impact de telles fluctuations, il ne peut être certain que celles-ci les compenseront suffisamment et qu’elles permettront d’éviter une diminution significative de la rentabilité. Par ailleurs, le degré d’efficacité des campagnes commerciales et leur fréquence peuvent affecter de façon importante le niveau de la fréquentation des parcs à thèmes et de la dépense moyenne par visiteur.

Comme pour l’ensemble de l’industrie du tourisme en Europe, le Groupe a été affecté par les conditions économiques difficiles au cours de l’Exercice, et leurs conséquences sur le

comportement et les dépenses des consommateurs. Les budgets des entreprises en matière d’évènements internes ont également diminué. Ces changements ont eu un impact et

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pourraient avoir un impact dans le futur sur la composition de la clientèle et sur les activités de tourisme d’affaires.

Un certain nombre de procédures ont été mises en place pour atteindre les objectifs du Groupe en matière de contrôle interne.

Le Groupe a également formalisé un code de déontologie professionnelle (le “Code”), mis à la disposition de tous les employés depuis le 1er octobre 20072. Ce Code s’inspire des valeurs fondamentales du Groupe comme l’intégrité, l’honnêteté, la confiance, le respect, le savoir vivre et le travail en équipe. Ce Code constitue pour chaque employé un référentiel pour la conduite des affaires. Il comporte une liste de valeurs d’éthique professionnelle et un rappel de la réglementation applicable en France. Il formalise un certain nombre de principes fondamentaux du Groupe dans le cadre de ses relations avec ses visiteurs, ses employés, ses actionnaires, ses partenaires, ses fournisseurs ou sous-traitants et les communautés au sens large. Ce Code a été élaboré dans le respect des recommandations de la CNIL et du processus habituel de consultation des institutions représentatives du personnel.

Disneyland Paris est un resort qui comporte cinq mondes. Chaque monde raconte sa propre histoire et décline ses propres tenus et attractions.

7) Pérennité et Apports

Le Conseil de surveillance relève que l’affaiblissement économique qui se poursuit en Europe a pesé sur les activités du Groupe et sa performance financière au titre de l’Exercice, mais qu’en définitive la stratégie du Groupe visant à progressivement améliorer l’expérience proposée aux visiteurs et leur satisfaction a permis au Groupe de faire progresser la dépense par visiteur et, par conséquent, de partiellement compenser la baisse de la fréquentation des parcs et du taux d’occupation des hôtels.

Au cours de l’Exercice, le Conseil de surveillance et son Comité d’audit ont porté en particulier leur attention sur les stratégies du Groupe visant à davantage équilibrer la dépense par visiteur qu’à augmenter les volumes, à progressivement réduire les offres promotionnelles et à augmenter les prix afin de préserver l’image de marque de Disneyland® Paris, ainsi que sur les investissements du Groupe à la fois dans ses actifs et dans ses employés. Le Conseil de surveillance et son Comité d’audit ont également suivi étroitement les initiatives du Groupe visant à exploiter les possibilités de gains de productivité et de réduction des coûts.

Le Conseil de surveillance reconnaît les efforts du Groupe visant à faire progresser les prix et les dépenses par visiteur.

Ces efforts et les investissements réalisés pour améliorer la qualité de la destination et poursuivre son développement sont des éléments positifs. Ils ont permis au Groupe de limiter l’impact négatif de cet environnement économique difficile. Le Conseil de surveillance reconnaît également la capacité du Groupe à limiter l’augmentation de ses dépenses opérationnelles liées aux activités touristiques à seulement 0,3 %, bien en deçà de l’inflation.

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Cependant, il est décevant que le Groupe n’ait pas généré, une fois encore, de résultat net consolidé positif pour l’Exercice, avec une perte nette s’élevant à 78,2 millions d’euros.

Par conséquent, compte tenu de la persistance du ralentissement économique et du manque de visibilité sur l’évolution de l’industrie du voyage, du tourisme et des loisirs et la reprise générale de l’activité économique, le Conseil de surveillance incite le Groupe à maintenir une approche vigilante dans l’exécution de ses activités, en poursuivant une gestion prudente de ses coûts et de ses liquidités.

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ANNEXE 1 : Taille de la société en chiffres

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