• Aucun résultat trouvé

Réseaux à préférences acycliques

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Réseaux à préférences acycliques"

Copied!
68
0
0

Texte intégral

(1)

Réseaux à préférences acycliques

Fabien Mathieu

1

Shaman Kick-off Meeting, 27/01/2009

(2)

Plan

Motivation Structure

Limite des structures explicites Auto-structure

Réseaux à préférences Le modèle

Grand théorème Classification Convergence

Préférences globales

Autres préférences acycliques La configuration stable

Stratification Petit-mondisation Conclusion et discussion

(3)

Plan

Motivation Structure

Limite des structures explicites Auto-structure

Réseaux à préférences Le modèle

Grand théorème Classification Convergence

Préférences globales

Autres préférences acycliques La configuration stable

Stratification Petit-mondisation Conclusion et discussion

(4)

Qu’est-ce qu’une structure ?

définit comment les constituants d’un système sont reliés les uns aux autres.

souvent représentée par un graphe.

Mais ce n’est pas toujours suffisant.

I Erdös-Rényi

I de de Bruijn I Small World

I Rat (couplage parfait plus topologie spécifique).

(5)

Qu’est-ce qu’une structure ?

définit comment les constituants d’un système sont reliés les uns aux autres.

souvent représentée par un graphe.

Mais ce n’est pas toujours suffisant.

I Erdös-Rényi I de de Bruijn

I Small World

I Rat (couplage parfait plus topologie spécifique).

(6)

Qu’est-ce qu’une structure ?

définit comment les constituants d’un système sont reliés les uns aux autres.

souvent représentée par un graphe.

Mais ce n’est pas toujours suffisant.

I Erdös-Rényi I de de Bruijn I Small World

I Rat (couplage parfait plus topologie spécifique).

(7)

Qu’est-ce qu’une structure ?

définit comment les constituants d’un système sont reliés les uns aux autres.

souvent représentée par un graphe.

Mais ce n’est pas toujours suffisant.

I Erdös-Rényi I de de Bruijn I Small World

I Rat(couplage parfait plus topologie spécifique).

(8)

Structure explicite

La plupart des réseaux dits structurésfonctionnent ainsi :

Les pairs ;

Le graphe ;

Les pairs numérotés ;

La structure.

(9)

Structure explicite

La plupart des réseaux dits structurésfonctionnent ainsi :

Les pairs ;

Le graphe ;

Les pairs numérotés ;

La structure.

1↔2,

3↔4,

. . .

151↔152,

(10)

Structure explicite

La plupart des réseaux dits structurésfonctionnent ainsi :

Les pairs ;

Le graphe ;

Les pairs numérotés ;

La structure.

1 23

4 5

6

7 8

9 1011

12 13

14

15

16 17

18 19

20

21

22 2324

25 26 27 28

29 30 31 32 33

34

35

36 37

38 39 40

414342

44 45

46

4748 49 50

5152 53

54

5655 57585960 61 62

63 64

6665 6768

69707172

7473 7576

78 77 79 80 818283 8485

86 87

88

89 90

91 92

93 94

95 96 97

98 99

100

101 102

103 104

105

106 107

108110109 111112

113 114

115 116

117 118

120119 122 121

123 124 125

126

127 128

129 131130 132

134 133 135

136 137

138 139

140

141 142

143 144

146 145 147 148

149 150151

152

(11)

Structure explicite

La plupart des réseaux dits structurésfonctionnent ainsi :

Les pairs ;

Le graphe ;

Les pairs numérotés ;

La structure.

(12)

Limite des structures explicites

Difficile de garantir que la structure obtenue

respectera la topologie sous-jacente

Solution 1 : imposer des contraintes

supplémentaires (ré-étiqueter) ;

Solution 2 : auto-structure

(13)

Limite des structures explicites

Difficile de garantir que la structure obtenue

respectera la topologie sous-jacente

Solution 1 : imposer des contraintes

supplémentaires (ré-étiqueter) ;

Solution 2 : auto-structure

(14)

Limite des structures explicites

Difficile de garantir que la structure obtenue

respectera la topologie sous-jacente

Solution 1 : imposer des contraintes

supplémentaires (ré-étiqueter) ;

Solution 2 : auto-structure

(15)

Auto-structure : principe

Laisser les pairs faire des choix locaux

Prendre la structure qui résulte de ces choix

Avantage : robustesse intrinsèque

Inconvénient : aucun contrôle direct

I Convergence I Résultat

(16)

Auto-structure : principe

Laisser les pairs faire des choix locaux

Prendre la structure qui résulte de ces choix

Avantage : robustesse intrinsèque

Inconvénient : aucun contrôle direct

I Convergence I Résultat

(17)

Auto-structure : principe

Laisser les pairs faire des choix locaux

Prendre la structure qui résulte de ces choix

Avantage : robustesse intrinsèque

Inconvénient : aucun contrôle direct

I Convergence I Résultat

(18)

Auto-structure : principe

Laisser les pairs faire des choix locaux

Prendre la structure qui résulte de ces choix

Avantage : robustesse intrinsèque

Inconvénient : aucun contrôle direct

I Convergence I Résultat

(19)

Auto-structure : principe

Laisser les pairs faire des choix locaux

Prendre la structure qui résulte de ces choix

Avantage : robustesse intrinsèque

Inconvénient : aucun contrôle direct

I Convergence

I Résultat

(20)

Auto-structure : principe

Laisser les pairs faire des choix locaux

Prendre la structure qui résulte de ces choix

Avantage : robustesse intrinsèque

Inconvénient : aucun contrôle direct

I Convergence I Résultat

(21)

Plan

Motivation Structure

Limite des structures explicites Auto-structure

Réseaux à préférences Le modèle

Grand théorème Classification Convergence

Préférences globales

Autres préférences acycliques La configuration stable

Stratification Petit-mondisation Conclusion et discussion

(22)

Formalisme

Un réseau à préférences, c’est :

Un ensemble denpairs,

Ungraphe d’acceptabilité Gqui indique les interactions possibles,

Un vecteurbde quotas sur les interactions simultanées,

Des préférences : chaque pair classe ses voisins.

(23)

Dynamique

L’ensemble des interactions effectives est appelé configuration,

c’est un sous-graphe acceptable qui respecte les quotas.

Les pairs essaient de trouver de meilleurs voisins, modifiant la configuration :

I L’action élémentaire individuelle est l’initiative, I elle consiste àtesterun voisin.

I Si les deux sont intéressés, une interaction est créée, I des interactions peuvent être rompues à cause des quotas.

(24)

Type d’initiatives

Les initiatives sont définies par leur nature et leur « rythme » :

Nature

I Test aléatoire,

I Cherche le meilleur voisin possible, I Recherche cyclique dans le voisinage, I . . .

Rythme

I Round-Robin, I Poissonnien, I Adversarial, I . . .

(25)

Grand théorème des préférences acycliques

Uncycle de préférencesest un cycle dek ≥3 pairs tel que chaque pair préfére son successeur à son prédécesseur :

I i1préfèrei2àik, I i2préfèrei3ài1, I . . . ,

I ik préfèrei1àik−1.

Théorème : un réseau à préférences acycliques admet une, et une seule, configuration stable. De plus, il est auto-stabilisant par initiatives.

(26)

Interprétation

La configuration réelle va toujours chercher à s’approcher de la configuration stable.

À quelle vitesse ?

Quelles propriétés ?

Configuration

Configuration Stable

Configuration Réelle

Temps

(27)

Préférences usuelles en P2P

Beaucoup demesuresconduisent à des préférences acycliques

Qualités intrinsèques bande passante, stockage, CPU, uptime. . .

Qualités réciproques (symétriques) RTT, distances, co-uptime. . .

Qualités complémentaires complémentarité de contenu, d’uptime,. . .

Combinaisons de qualités précédentes

(28)

Exemple 1 : Tit-for-Tat dans BitTorrent

BitTorrent est un protocole de partage de fichier basé sur une stratégie de typedonnant-donnant:

Graphe d’acceptabilité défini par la connaissance des IPs.

Interaction échanges réciproques de données.

Quotas paramètres clients (historiquement 4, aujourd’hui√ 0.6×Bdw).

Préférences La bande passante fournie.

Initiative tests effectués via une connectiongénéreuse.

(29)

Exemple 2 : construction de la structure Pastry

Pastry est une table de hachage distribuée

→structure explicite ?

Acceptabilité Voisins potentiels dans l’overlayfinal (pairs satisfaisant les besoins structurels – i.e. routage).

Quotas Dépend du protocole.

Préférences Petites latences.

(30)

Plan

Motivation Structure

Limite des structures explicites Auto-structure

Réseaux à préférences Le modèle

Grand théorème Classification Convergence

Préférences globales

Autres préférences acycliques La configuration stable

Stratification Petit-mondisation Conclusion et discussion

(31)

Généralités

Les propriétés de convergence sont très dépendantes des paramètres :

Types de préférences

n, degré d’acceptabilité,b. . .

Nature et rythme des initiatives Énormément de variables à explorer

Simus pour donner la couleur générale

Preuves pour valider des cas particuliers

(32)

Préférences globales

Intuition : ce sont des préférences lentes

atteignent les bornes adversariales

I Linéaire/quadratique en synchrone I Exponentiel en

asynchrone

Initiativebest mate

I O(d)

,O(1)pourb, plusO(log(n))en Poissonnien

I Qualitativement, du meilleur au pire

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent (≈ ×n)

I Plusuniforme

(33)

Préférences globales

Intuition : ce sont des préférences lentes

atteignent les bornes adversariales

I Linéaire/quadratique en synchrone I Exponentiel en

asynchrone

Initiativebest mate

I O(d)

,O(1)pourb, plusO(log(n))en Poissonnien

I Qualitativement, du meilleur au pire

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent (≈ ×n)

I Plusuniforme

(34)

Préférences globales

Intuition : ce sont des préférences lentes

atteignent les bornes adversariales

I Linéaire/quadratique en synchrone I Exponentiel en

asynchrone

Initiativebest mate

I O(d)

,O(1)pourb, plusO(log(n))en Poissonnien I Qualitativement, du

meilleur au pire

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent (≈ ×n)

I Plusuniforme

0 20 40 60 80 100

0 10 20 30 40 50

Average degree d

Convergence time

m=G m=M m=RD m=RS

(35)

Préférences globales

Intuition : ce sont des préférences lentes

atteignent les bornes adversariales

I Linéaire/quadratique en synchrone I Exponentiel en

asynchrone

Initiativebest mate

I O(d),O(1)pourb

, plusO(log(n))en Poissonnien I Qualitativement, du

meilleur au pire

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent (≈ ×n)

I Plusuniforme

0 20 40 60 80 100

0 10 20 30 40 50 60 70 80 90

Quota b

Convergence time m=G

m=M m=RD m=RS

(36)

Préférences globales

Intuition : ce sont des préférences lentes

atteignent les bornes adversariales

I Linéaire/quadratique en synchrone I Exponentiel en

asynchrone

Initiativebest mate

I O(d),O(1)pourb, plusO(log(n))en Poissonnien

I Qualitativement, du meilleur au pire

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent (≈ ×n)

I Plusuniforme

0 50 100 150 200 250 300

0 2 4 6 8 10 12 14 16 18

Number of peers

Convergence time m=Gm=M

m=RD m=RS

(37)

Préférences globales

Intuition : ce sont des préférences lentes

atteignent les bornes adversariales

I Linéaire/quadratique en synchrone I Exponentiel en

asynchrone

Initiativebest mate

I O(d),O(1)pourb, plusO(log(n))en Poissonnien I Qualitativement, du

meilleur au pire

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent (≈ ×n)

I Plusuniforme

(38)

Préférences globales

Intuition : ce sont des préférences lentes

atteignent les bornes adversariales

I Linéaire/quadratique en synchrone I Exponentiel en

asynchrone

Initiativebest mate

I O(d),O(1)pourb, plusO(log(n))en Poissonnien I Qualitativement, du

meilleur au pire

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent (≈ ×n)

I Plusuniforme

(39)

Autres préférences

Intuition : les préférences typiquessont rapides

Initiativebest mate

I O(log(d))

,O(b), plus O(log(n))en

Poissonnien

I Qualitativement, le meilleur choix est souvent stable, d’où la vitesse.

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent I Rate les interactions

stables

(40)

Autres préférences

Intuition : les préférences typiquessont rapides

Initiativebest mate

I O(log(d))

,O(b), plus O(log(n))en

Poissonnien

I Qualitativement, le meilleur choix est souvent stable, d’où la vitesse.

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent I Rate les interactions

stables

(41)

Autres préférences

Intuition : les préférences typiquessont rapides

Initiativebest mate

I O(log(d))

,O(b), plus O(log(n))en

Poissonnien I Qualitativement, le

meilleur choix est souvent stable, d’où la vitesse.

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent I Rate les interactions

stables

0 20 40 60 80 100

0 10 20 30 40 50

Average degree d

Convergence time

m=G m=M m=RD m=RS

(42)

Autres préférences

Intuition : les préférences typiquessont rapides

Initiativebest mate

I O(log(d)),O(b)

, plus O(log(n))en

Poissonnien I Qualitativement, le

meilleur choix est souvent stable, d’où la vitesse.

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent I Rate les interactions

stables

0 20 40 60 80 100

0 10 20 30 40 50 60 70 80 90

Quota b

Convergence time m=G

m=M m=RD m=RS

(43)

Autres préférences

Intuition : les préférences typiquessont rapides

Initiativebest mate

I O(log(d)),O(b), plus O(log(n))en

Poissonnien

I Qualitativement, le meilleur choix est souvent stable, d’où la vitesse.

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent I Rate les interactions

stables

0 50 100 150 200 250 300

0 2 4 6 8 10 12 14 16 18

Number of peers

Convergence time m=Gm=M

m=RD m=RS

(44)

Autres préférences

Intuition : les préférences typiquessont rapides

Initiativebest mate

I O(log(d)),O(b), plus O(log(n))en

Poissonnien I Qualitativement, le

meilleur choix est souvent stable, d’où la vitesse.

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent I Rate les interactions

stables

(45)

Autres préférences

Intuition : les préférences typiquessont rapides

Initiativebest mate

I O(log(d)),O(b), plus O(log(n))en

Poissonnien I Qualitativement, le

meilleur choix est souvent stable, d’où la vitesse.

Initiative aléatoire

I Beaucoupplus lent I Rate les interactions

stables

(46)

Plan

Motivation Structure

Limite des structures explicites Auto-structure

Réseaux à préférences Le modèle

Grand théorème Classification Convergence

Préférences globales

Autres préférences acycliques La configuration stable

Stratification Petit-mondisation Conclusion et discussion

(47)

Principe

La configuration stable porte l’empreinte des préférences.

Des propriétés liées aux préférences peuvent apparaître.

Rappel : pas de contrôle

I Si la propriété est intéressante, tant mieux, I sinon mise en évidence de risques potentiels.

(48)

Stratification en préférences globales

On sait décrire la

configuration stable quandG est Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb>1, on a un système

que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : à une déviation exponentielle près, les pairs se connectent avec des pairs de même niveau (stratification).

Propriété : équité

(49)

Stratification en préférences globales

On sait décrire la

configuration stable quandG est Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb>1, on a un système

que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : à une déviation exponentielle près, les pairs se connectent avec des pairs de même niveau (stratification).

Propriété : équité

D(i,j)≈ pep(|j−i|)

(1−e−pmin(i,j)+ep|j−i|)2

(50)

Stratification en préférences globales

On sait décrire la

configuration stable quandG est Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb >1, on a un système

que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : à une déviation exponentielle près, les pairs se connectent avec des pairs de même niveau (stratification).

Propriété : équité

ySc(α, β) =

−dS1(α, β)Sb(β, α)sic=1,

−d[Sx(α, β)]cc−1Sb(β, α)sinon.

(51)

Stratification en préférences globales

On sait décrire la

configuration stable quandG est Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb >1, on a un système que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : à une déviation exponentielle près, les pairs se connectent avec des pairs de même niveau (stratification).

Propriété : équité

500 1000 1500 2000

0 0.2 0.4 0.6 0.8 1

j Sc(i,j)

S1 S2 S3 S

(52)

Stratification en préférences globales

On sait décrire la

configuration stable quandG est Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb >1, on a un système que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : à une déviation exponentielle près, les pairs se connectent avec des pairs de même niveau (stratification).

Propriété : équité

500 1000 1500 2000

0 1 2 3 4x 10−3

j

D(⌊Nα+1,j)

Mean field formula Fluid limit

(53)

Stratification en préférences globales

On sait décrire la

configuration stable quandG est Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb >1, on a un système que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : à une déviation exponentielle près, les pairs se connectent avec des pairs de même niveau (stratification).

Propriété : équité

(54)

Autres préférences

On sait là aussi décrire la stable quandGest Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb>1, on a un système

que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : distribution à aile lourde

I La plupart des voisins stables sont haut dans mes préférences, I Mais il y a des voisins

stables très éloignés

(55)

Autres préférences

On sait là aussi décrire la stable quandGest Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb>1, on a un système

que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : distribution à aile lourde

I La plupart des voisins stables sont haut dans mes préférences, I Mais il y a des voisins

stables très éloignés

SR(K)≈ 1 p(K −1) +1

(56)

Autres préférences

On sait là aussi décrire la stable quandGest Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb >1, on a un système

que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : distribution à aile lourde

I La plupart des voisins stables sont haut dans mes préférences, I Mais il y a des voisins

stables très éloignés

R,c= −dSR,1SR,b sic=1,

−d(SR,c− SR,c−1)SR,bsic >1,

(57)

Autres préférences

On sait là aussi décrire la stable quandGest Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb >1, on a un système que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : distribution à aile lourde

I La plupart des voisins stables sont haut dans mes préférences, I Mais il y a des voisins

stables très éloignés

100 101 102 103

10−3 10−2 10−1 100

Absolute RankK SR,c(K)

SR,1(K) SR,2(K) SR,3(K) SR(K)

(58)

Autres préférences

On sait là aussi décrire la stable quandGest Erdös-Rényi.

Pour le couplage simple (b=1), on a une

« approximation exacte »

Pourb >1, on a un système que l’on peut résoudre numériquement

À retenir : distribution à aile lourde

I La plupart des voisins stables sont haut dans mes préférences, I Mais il y a des voisins

stables très éloignés

100 101 102 103

10−3 10−2 10−1 100

Absolute RankK SR,c(K)

SR,1(K) SR,2(K) SR,3(K) SR(K)

(59)

Petit-mondisation ?

Rappel : petit monde = clustering + diamètre

Préférences globales→clustering

Préférences aléatoires (acycliques)→diamètre

Préférences issues de distances→les deux !

Interprétation : les réseaux à préférences transforment des distances en petit-monde.

(60)

Dimension au sens des préférences

Clustering et diamètre dépendent de la dimension

On peut extraire des valeurs de référence de structures simples (tores)

On peut ainsi estimer la dimension d’un système par ses préférences

Exemple : la dimension d’Internet est 3

(au sens des préférences)

Préf. PCCM Clust.

1-tore 7.4 0.055

2-tore 6.7 0.043

Meridian 6.1 0.031

3-tore 5.9 0.033

4-tore 5.1 0.027

Random 5 0.0043

(61)

Plan

Motivation Structure

Limite des structures explicites Auto-structure

Réseaux à préférences Le modèle

Grand théorème Classification Convergence

Préférences globales

Autres préférences acycliques La configuration stable

Stratification Petit-mondisation Conclusion et discussion

(62)

Conclusion

Réseau à préférences

I Auto-structure

I Simple à modéliser (parfois) I Propriétés intéressantes

Pour aller plus loin,http://gang.inria.fr/

~fmathieu/publications/topic.html

Merci beaucoup !

Des questions ?

(63)

Conclusion

Réseau à préférences

I Auto-structure

I Simple à modéliser (parfois) I Propriétés intéressantes

Pour aller plus loin,http://gang.inria.fr/

~fmathieu/publications/topic.html

Merci beaucoup !

Des questions ?

(64)

Conclusion

Réseau à préférences

I Auto-structure

I Simple à modéliser (parfois)

I Propriétés intéressantes

Pour aller plus loin,http://gang.inria.fr/

~fmathieu/publications/topic.html

Merci beaucoup !

Des questions ?

(65)

Conclusion

Réseau à préférences

I Auto-structure

I Simple à modéliser (parfois) I Propriétés intéressantes

Pour aller plus loin,http://gang.inria.fr/

~fmathieu/publications/topic.html

Merci beaucoup !

Des questions ?

(66)

Conclusion

Réseau à préférences

I Auto-structure

I Simple à modéliser (parfois) I Propriétés intéressantes

Pour aller plus loin,http://gang.inria.fr/

~fmathieu/publications/topic.html

Merci beaucoup !

Des questions ?

(67)

Conclusion

Réseau à préférences

I Auto-structure

I Simple à modéliser (parfois) I Propriétés intéressantes

Pour aller plus loin,http://gang.inria.fr/

~fmathieu/publications/topic.html

Merci beaucoup !

Des questions ?

(68)

Conclusion

Réseau à préférences

I Auto-structure

I Simple à modéliser (parfois) I Propriétés intéressantes

Pour aller plus loin,http://gang.inria.fr/

~fmathieu/publications/topic.html

Merci beaucoup !

Des questions ?

Références

Documents relatifs

C’est le contexte dans lequel nous soignons les gens, et nos patients ajoutent à cela leur vécu et leur espoir que nous les accompagnerons sur le chemin de la santé.. Le

Fidèles à cette vision, à cette créativité et à cette volonté de s’adapter avec le temps, 58 ans plus tard, le CMFC et la médecine familiale ont

„ Des systèmes et des méthodes standardisées de sélection des donneurs, de collecte, de traitement, de dépistage, de conservation et de transport du sang afin que la

En complément de ces gestes, porter un masque quand la distance d’un mètre ne peut pas être

En complément de ces gestes, porter un masque quand la distance d’un mètre ne peut pas être respectée. et en présence d’élèves pour les personnels Se

Objectif(s) : Connaître et reformuler avec ses mots la trame narrative de l’histoire.. Comprendre une histoire et la

L’accès aux archives de la revue « Nouvelles annales de mathématiques » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation ( http://www.numdam.org/conditions )..

Caractères analogues ; ce sont des caractères qui se ressemblent « par hasard », ou le plus souvent parce qu’ils correspondent à une même nécessité ; exemple de l’aile