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Trois amendes requises contre le directeur de l'abattoir d'alès épinglé par L214

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11 février 2019

Trois amendes requises contre le directeur de l'abattoir d'Alès épinglé par L214

Cet homme est poursuivi après la diffusion d'une vidéo de l'association L214 qui a eu un retentisse- ment national en octobre 2015. Le jugement est mis en délibéré au 8 avril.

La vidéo avait eu un retentissement national en octobre 2015. Trois amendes de 750 euros ont été requises, lundi 11 février, devant le tribunal de police d'Alès (Gard), contre le directeur de l'abattoir de la ville. Jack Pagès est poursuivi après la diffu- sion d'une vidéo de l'association L214. Le procureur de la République d'Alès, François Schneider, a assuré que seules trois in- fractions, sur les 175 relevées au cours de l'enquête, avaient pu être poursuivies. Cela s'explique par le fait que les images n'ont pu être datées et que la prescription s'appliquait alors à la plupart des infractions, notamment pour les maltraitances et les actes de cruauté.

"La montagne a accouché d'une souris : c'est possible mais c'est le droit", a souligné le procureur, en reprenant l'une des cri- tiques acerbes des avocats des associations de défense des animaux qui se sont portées parties civiles. "Aujourd'hui, cela tient carrément du miracle qu'une audience se tienne avec ces trois contraventions de quatrième classe", pour "des infra- ctions qui ont perduré jusqu'au dépôt de plainte", a-t-il souligné. Il a requis "le maximum prévu" dans ce cadre contre Jack Pagès.

"Des images d'une violence absolue"

Caroline Lanty, avocate de l'association L214, a dénoncé dans sa plaidoirie "la cure d'amaigrissement spectaculaire" de la procédure, estimant que huit personnes auraient pu être poursuivies pour 175 infractions. Sur les contraventions repro- chées, elle a insisté sur le fait que la non-conformité des installations avaient provoqué "des souffrances inutiles" aux ani- maux abattus de cette manière.

Pour l'Alliance anticorrida, l'avocat Lionel Marzials a parlé "d'images d'une violence absolue" avec "des animaux découpés vi- vants" dans "des états de souffrance extrêmement conséquents". C'est avec ces images clandestines dans l'abattoir municipal d'Alès qu'avait débuté la dénonciation d'une série de scandales sur les pratiques d'abattage en France.

"Pas de preuves matérielles"

Pour la défense du directeur de l'abattoir, l'avocate Isabelle Mimran a demandé la relaxe sur les trois infractions, estimant notamment que les vidéos n'avaient "jamais pu être datées" et n'avaient jamais "fait l'objet d'expertise". "On n'a pas de ga- rantie de la sincérité des images qui sont présentées", a-t-elle estimé. "Quand ces vidéos ont été diffusées ça a été un choc national... Il y a des séquelles économiques très importantes", a-t-elle souligné. Mais il n'existe selon elle pas de "preuves ma- térielles" des infractions.

Jack Pagès, carrure solide et ton assuré, ancien boucher abatteur, et directeur de l'abattoir municipal depuis 1997, a, lui, nié à la barre les trois infractions, estimant que les installations étaient conformes. "On est en permanence sous contrôle des ser- vices de l'Etat, on ne fait pas n'importe quoi", a conclu le directeur de l'abattoir. La présidente du tribunal a mis sa décision en délibéré au 8 avril.

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L’Écho de l’Alliance Anticorrida — N°64 — Avril 2019

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Grand débat national: et la cause animale dans tout ça ?

Publié le : Mardi 19 Février 2019 - 17:11

Le grand débat national est une occasion pour se saisir de la question de la cause animale.

©Loïc Venance/AFP

Le sujet de la cause animale est une préoccupation majeure des Français, qui sont plus de trois sur quatre à esti- mer qu'Emmanuel Macron et le gouvernement ne se soucient pas assez du bien-être des animaux. Estelle Derrien, avocate titulaire du diplôme universitaire en droit animalier de l'université de Limoges, explique dans France-Soir que le grand débat national est une occasion pour se saisir de cette question et rappelle que des propositions d'avancées existent sur ce sujet.

Le grand débat national organisé par le président de la République en France a pour objectif de débattre de ques- tions dites "essentielles pour les Français"[1]. Plus particulièrement, ces derniers sont invités entre le 15 janvier et le 15 mars 2019, à se prononcer sur quatre questions principales que sont la transition écologique, la fiscalité et les dé- penses publiques, la démocratie et la citoyenneté, ainsi que l’organisation de l’Etat et des services publics.

Si la question de la cause animale ou plus généralement celle de la protection et du respect du Vivant, n’apparait pas comme un thème à part entière proposé dans le cadre du grand débat national, il n’en demeure pas moins qu’il y trouve toute sa place, et ce dans le cadre de chacun des quatre sujets susvisés.

Plusieurs associations n’ont pas manqué de le relever, tel que la LPO qui a mis à disposition une "Proposition de contributions en faveur de la biodiversité pour le Grand Débat National"[2]. De la même manière, l’Alliance Anticorrida en partenariat avec la Confédération nationale de défense de l'animal et l'œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs, associations qui ont récemment été rejointes par Éducation Éthique Animale et TERPTA, ont d’une part proposé des idées afin de "faire émerger la condition animale dans le cadre des thèmes imposés"[3] et d’autre part organisé deux débats, l’un à Nîmes le 16 février et l’autre à Antony le 22 février[4]. Ces initiatives se multiplient, tel que, pour ne citer que ces exemples, dans le cadre d’un débat organisé le 20 février à la Mairie du 13e arrondissement de Paris et intitulé "la condition animale" dans le but "de réunir les personnes intéressées par les animaux afin de dégager un ensemble de propositions pour améliorer leurs conditions. Cela concerne aussi bien les animaux domestiques (de compagnie, d'élevage ou libres), que les animaux sauvages"[5], ou encore le 24 février suivant dans le 2e arrondisse- ment de la capitale pour un débat intitulé quant à lui "la cause animale écartée du grand débat national"[6].

Il appartient donc à chacun d’échanger et de partager ses propositions dans le cadre du grand débat national quant à la cause animale. A titre d’exemples, preuves que chacune des quatre questions touche à la condition animale, les idées suivantes ont été avancées et pourraient être réitérées:

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L’Écho de l’Alliance Anticorrida — N°64 — Avril 2019 22 mars 2019

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Abattoir d'Alès : trois amendes de 400 euros pour le directeur

10h11, le 08 avril 2019 , modifié à 10h41, le 08 avril 2019

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L’Écho de l’Alliance Anticorrida — N°65 — Décembre 2019

Polémique : anticorridas et subventions

Société, Toulouse

Publié le 07/06/2019 à 07:29

Décidément, la campagne d’affichage récente en faveur de la culture taurine, placardée sur les murs toulousains par l’association des villes taurines de France n’en finit pas d’alimenter la polémique entre pro et anticorridas.

André Viard, président de l’Observatoire de la culture taurine, expliquait dans un article récent que le spectacle taurin était le seul à ne pas être subventionné par les pouvoirs publics, rapportant même de l’argent aux villes dans lesquelles il était organisé, répon- dant aux accusations selon laquelle la tauromachie bénéficierait d’aides européennes, nationales ou locales.

Des propos qui ont fait réagir l’Alliance Anticorrida : «Rien n’est plus faux», affirme Claire Starozinski, présidente de l’Alliance Anticorrida, documents et preuves à l’appui, tout en ajoutant : « Contrairement à ce que prétend A.Viard, la tauromachie ne peut pas survivre sans aides publiques ». Et la militante anticorrida d’évoquer diverses subven- tions votées par la ville de Bayonne, par exemple, pour équilibrer le budget des fêtes tauromachiques (110 000 € sur le budget principal en 2017), 10 000 € en 2015 à Aire- sur-Adour pour couvrir un déficit de la novillada et de la corrida, ou une aide annuelle de 23 000 € de la ville de Nîmes à l’école de tauromachie et à divers clubs taurins…

Pour André Viard, ces aides ne financent pas directement la corrida mais des frais an- nexes divers (personnel, etc.).

Anti et pro s’affrontent. / DDM JAG.

7 juin 2019

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21 août 2019

L’avocat de l’Alliance anti-corrida n’avait pu rentrer dans l’hôtel de ville de Nîmes pour y dé- poser une pétition. Sa plainte n’a pas abouti. Une autre plainte est déposée.

La pétition, portée par l’actrice Pamela Anderson, avait selon le constat d’huissier dressé à la demande de l’Alliance anti-corrida, réuni 600 000 signatures. Sans avoir pris de rendez- vous, l’actrice avait seulement souhaité, ce 18 mai 2018, la déposer au secrétariat du maire.

Elle était accompagnée de Claire Starozinski, présidente de l’Alliance Anticorrida et de l’avocat de cette association Maître Marzials.

L’accès à la mairie était refusé aux médias présents mais également à l’avocat alésien. Ce dernier, le 11 septembre 2018 portait plainte contre le maire de Nîmes pour entrave à l’exercice de sa profession.

Onze mois plus tard, sans qu’aucune suite n’ait encore été donnée, c’est Maître Phung, avo- cat montpelliérain qui dépose une nouvelle plainte avec constitution de partie civile devant le doyen des juges d’instruction du TGI de Nîmes afin qu’une enquête soit diligentée. Pour le Montpelliérain, "il s’agit d’une entrave au mandat de l’avocat, par le fait d’empêcher phy- siquement l’accès à la maison communale à un citoyen, qui plus est dans l’exercice de son mandat professionnel en dehors de tout trouble ou risque de trouble à l’ordre public".

EDITH LEFRANC

Maître Phung porte plainte à son tour. Archives / Midi Libre - Archives / Midi Libre

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L’Écho de l’Alliance Anticorrida — N°65 — Décembre 2019

Les Sables-d’Olonne. La corrida, évoquée en cours d’espagnol, finit devant les juges

4 juillet 2019

L es Sables-d’Olonne. La présidente de

l’association anti-corrida ne sera pas condamnée

En octobre 2018, une association anti-corrida avait lancé une cyber action, accusant une professeure d’espa- gnol des Sables-d’Olonne d’avoir promu la corrida, ce que contestaient la majorité des élèves. Le point de départ ? Une mère d’élève du lycée avait alerté l’Alliance anti-corrida car, selon elle, la professeure de son enfant aurait promu la corrida lors d’un cours.

Très vite, les réseaux sociaux s’étaient enflammés suite au message posté sur la page Facebook de l’association, forte de près de 30 000 membres, et appelant à lancer « une grande cyber action ». Tout aurait commencé par une avalanche d’e-mails et de messages (150 environ), accompagnés d’injures selon l’avocat de la victime.

Sauf que sur place, de nombreux élèves étaient montés au créneau pour défendre leur professeure, assurant qu’elle n’avait « pas employé les termes utilisés par l’association ». Une plainte avait été déposée pour diffamation.

Jeudi, à la barre du tribunal, la professeure, très émue, a livré un témoignage poignant : « J’enseigne depuis 23 ans, et 18 ans dans ce lycée. J’ai toujours fait ce métier avec beaucoup de conviction. Est-ce qu’on va me voler mon métier ? Je me suis posé la question de savoir si je devais continuer. Mon cœur dit oui, ma raison dit non ». Elle a souligné qu’elle avait été soutenue par sa hiérarchie. Elle continue aujourd’hui ses cours sans savoir de qui tout cela vient. Son avocat a demandé 150 000 € de préjudice et la condamnation aux dépens.

La présidente de l’Alliance anti-corrida était poursuivie pour diffamation. Absente, elle était représentée par son avocate, qui s’en est tenue à la forme et à la rédaction de la procédure de citation. « Le fait diffamatoire doit être prouvé. Et il n’y a aucune preuve ». L’affaire a été mise en délibéré au 4 juillet.

Photo d’illustration. La corrida évoquée lors d’un cours d’espagnol aux Sables-d’Olonne avait enflammé les réseaux sociaux. | AFP

11 février 2019

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15 septembre 2019

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L’Écho de l’Alliance Anticorrida — N°65 — Décembre 2019 19 août 2019

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17 septembre 2019

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L’Écho de l’Alliance Anticorrida — N°65 — Décembre 2019 17 octobre 2019

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Présidente de l’Alliance anticorrida, fondée en 1994 à Nîmes, Claire Starozinski est montée au créneau après avoir vu le ministre de l’Agriculture Didier Guillaume, notamment, assister à une corrida :

« En janvier 2019, Didier Guillaume avait déclaré devant les ONG de défense des animaux qu’il allait “s’attaquer sans concession à la maltraitance animale”.

Or, quand on le voit aux arènes, quand on sait qu’il est un habitué des gradins pour ces spec- tacles, on peut s’inter- roger. Et trois jours plus tard, la secrétaire d’État Geneviève Darrieussecq préside une corrida à Dax ! C’est de la provocation.

Ou alors ils sont com- plètement hors-sol », déplorait-elle.

Avant, elle aussi, de recentrer le débat sur la question du bien-être animal : « C’est devenu mûr. On n’est plus en 2009. Le regard sur la corrida et la souffrance animale en général a changé.

On l’a vu avec les abat- toirs, les pesticides, les fermes-usines… La souffrance animale dans le cadre d’un spectacle, pour voir des actes de cruauté, en plus, ça semble gratuit.

On a changé d’époque et on ne pourra pas revenir en arrière. Et grâce à ces membres du gouvernement, on a encore fait un bond en avant. On progresse comme ça. Bond après bond. La corrida est condamnée. »

Maccarthysme et droits de l’enfant

Et d’estimer que, selon elle, « la mesure la plus urgente » à prendre res- tait donc « l’interdiction aux mineurs, c’est la grande priorité. Une interdiction aux moins de 16 ans, ou aux moins de 14 ans. Après 14 ans, ils peuvent faire leur propre choix.

Maintenant, j’attends de voir… »

Face à ce qu’elle dési- gna comme des attaques de « diverses associations et grou- puscules animalistes

radicaux », l’Union des villes taurines fran- çaises avait aussitôt tenu à rappeler que « la liberté culturelle est un droit fondamental et inaliénable » et que

« la culture taurine s’inscrit dans un cadre légal conforme à la Constitution fran- çaise ».

De son côté, l’Observatoire des cul- tures taurines stigmati- sait « l’intégrisme ani- maliste », estimant qu’« une culture et une tradition vivantes, déclarées légales en France, en Espagne, au Mexique et dans quatre

autres pays, ne peuvent être prohibées pour satisfaire les pulsions totalitaires d’une mino- rité, agissante et mani- pulatrice, dont le com- portement s’inspire du funeste maccar- thysme ».

Un Observatoire dont le président, André Viard, est lui aussi revenu sur la proposition d’Aurore Bergé d’interdiction la corrida aux mineurs.

Et qui pose, selon lui, la question de « la pri- vation de son autorité parentale pour une communauté culturelle, c’est le fond du problème !

Cela équivaudrait à ouvrir une boîte de pan- dore dont on peut ima- giner les effets dévasta- teurs dans de nombreux domaines. Ça, ce sont les régimes autoritaires qui habituellement le mettent en place ! » Car pour l’ancien torero, une mesure de ce type irait « à l’encon- tre de la Déclaration universelle des droits de l’enfant, dont la France est signataire, qui lui garantit de pouvoir être élevé dans la culture de sa communauté et de sa famille ».

RECUEILLI PAR V. C.

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L’Écho de l’Alliance Anticorrida — N°65 — Décembre 2019

« Jeu stupide » : condamné pour avoir décapité un coq, le récit de l’audience

Me Kiet Nguyen défendait hier Bixente Larralde, poursuivi pour « acte de cruauté envers un animal ». © PHOTO FRANCE 3 EUSKAL HERRI

Le jeune Basque, qui a décapité un coq avec ses dents fin juin à Hasparren (64), doit effectuer 80 heures de TIG.

Les associations de défense animale lui réclament 8 600 euros.

B

ixente Larralde encourait deux ans de prison et 30 000 euros d’amende pour « acte de cruauté envers un animal domestique ». Hier, au tribunal de Bayonne, le joueur de pelote basque a accepté la peine proposée par le procu- reur : 80 heures de travail d’intérêt général (TIG) à exécuter dans un délai de 18 mois. « Une peine légère au regard du geste de ce jeune homme de 20 ans », selon la Fondation Brigitte-Bardot et l’Alliance Anticorrida, deux des cinq asso- ciations de défense animale, qui se sont constituées parties civiles dans cette affaire qui a défrayé la chronique estivale.

À l’origine, un repas arrosé entre amis dans le cadre des fêtes d’Hasparren fin juin. Natif de la commune, Bixente Larralde y est filmé par un convive en train d’arracher la tête d’un coq vivant avec ses dents. La vidéo circule sur les réseaux sociaux et tombe, en août, sous les yeux de Daniel Raposo, délégué de la fondation Brigitte-Bardot dans les Pyrénées-Atlantiques.

La toile s’embrase et la scène, violente, est visionnée 200 000 fois sur Twitter, et fait le tour du monde. Une pétition est lancée pour que le champion de pelote à main nue soit radié de l’équipe de France. Le 13 août, le Parquet de Bayonne annonce poursuivre le jeune homme.

La procédure a abouti à cette comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC). Avant et après Bixente Larralde, d’autres prévenus acceptent des peines de prison ferme ou avec sursis pour avoir cultivé du cannabis, conduit un véhicule sans assurance ou avec de l’alcool. Dans l’indifférence et l’anonymat.

« La place de l’animal »

C’est bien le cas du jeune pilotari croqueur de coq vif qui intéresse micros et caméras. « C’est un acte qui a eu un certain impact médiatique avec un prévenu lui-même victime de la tyrannie numérique » commente le juge, avant d’homologuer les 80 heures de TIG côté action publique.

Pour la Société protectrice des animaux (SPA), Me Agnès Hauciarce-Rey demande 2 000 euros de dommages et intérêts.

« De l’autre côté de la barre, on va tenter de réduire ce dossier à la bêtise humaine. Selon la SPA, si on arrive à ça, c’est que la place de l’animal se situe tellement bas dans la vision ordinaire de l’homme qu’on se permet tout et n’importe quoi.

Il faut que soit enfin intégré le message qu’on ne peut pas librement disposer de la vie animale ».

Selon Me Alain Larrea, avocat de la Fondation Brigitte Bardot et de l’association Animal Cross, c’est autant « ce jeu stupide

» que le statut du prévenu, « un sportif connu », dont on attend une certaine « exemplarité » qui « a enclenché le pilori des temps modernes où on juge beaucoup plus rapidement et durement qu’ici ».

Cette dernière association a mandaté un vétérinaire pour analyser la vidéo et confirmer que le coq était bien conscient au moment de sa décapitation, « avec un cou redressé, tonique, qui essaie de battre des ailes pour échapper à la douleur ».

« J’espère que cette audience sera utile pour faire comprendre que des actes qui étaient acceptés et tolérés ne le sont plus » reprend Me Larrea. « Une grande partie de la société ne le supporte plus ». Ne se limitant donc pas aux taureaux de combat, l’alliance Anti-Corrida demande 1 300 euros.

26 octobre 2019

Références

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