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Etude hydrodynamique de la couche du sol superficielle en conditions naturelles

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Academic year: 2022

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(1)

Recherche agronomique (1998), 2. 27 - "^6

INRAA

Etude hydrodynamique de la couche du sol superficielle

en conditions naturelles

A. Boulasse!* et F. Sellam**

*/i\RAA. 2. nie des frères Oiiaddek. Hassen Badi, B.P. 200 El-Harrach 16200. Algérie

**EN.-\S.A (ex. iNA). Dpt Génie Rural. El-Harrach 16200, Algérie.

Résumé - La dynamique de l'eau dans la zone non saturée du sol est un phénomène très com plexe dépendant des propriétés du système eau-sol-plante-coniinuum. Elle constitue l'élément de hase pour toute étude ou modélisation du système agricole ou hydrologique, car les proces sus d'infiltration, redistribution, drainage, évaporation et évapotranspiration sont des élé ments de hase pour toute application agricole (irrigation), ainsi que la contribution des préci pita; ions dans la recon.sfitution de la réserve hydrique du sol et sur les flux de surface.

Cette étude consiste à une caractérisai ion de l'état hydrique d'un sol nu .ArgHo-Umoneux sou mis à dts conditions naturelles à l'aide d'un suivi permanent de l'évolution de l'humidité du .sol par deux méthodes de me.sure: gravimétrique et neutronique.

Les résultats obtenus montrent que l'assèchement le plus important est obsen'é .sur la coitche 0-25 cm. On a constaté également que les faibles hauteurs de pluies n 'affectent que les couches supérieures (0-10 cm) et sont évaporées rapidement sans affecter l'évolution générale du pro

cessus d'assèchement du soi

Mots dés :Dyn(tmt'(/iie de reatt/profils hydruptes/ étalonnage/sol nu/ assèchement.

Abstrttct - The water dynamic in insaturated soil area is a very complicated phenomenon. it dépends on soil-water-continuum .sy.stem proprities and constitutes the hasis element for every siudv or either hydrologie and agriculcural .system modélisation, because every agricultiiral application (irrigation) is based on : infiltration, redistribution, drainage and évaporation processus, as well as the précipitation contribution in the soil hydric reserve reconstitution and

on the surface flow.

This sfuilv constitutes a caracterisation of mudy-clayey naked soil hydric .stat. submited to a permanant keep track of the soil moi.sture évolution by the use of two mea.surement méthodes:

gravimétrie and neutronic.

The results ofour study show that 0-25 cm laver is caracterised by the more important drying.

li e have noted also. that the weak rain amounts affect the upper laver (0-10 cm) only and are rapidiv evaporated wiihoui affect the général évolution ofsoil drying process.

Keys H'ords : wuter dymtmic/ hydric profiles/sUmilardizatUm/ tutked soil/ dryiiig.

21

(2)

INTRODUCTION

La plupart des processus de

circulation de l'eau dans le sol et dans la zone radiculaire se déroulent dans des conditions de sol non satu ré (Hillel, 1984;Koch et al., 1987).

Les processus de circulation

de l'eau dans le sol sont en général

très complexes et difficiles à décrire

quantitativement à cause de la va

riabilité spatiale de l'état et de la teneur en eau du sol pendant récoulement (Nielsen et al., 1973:

Warrick et al., 1981: Hillel, 1984:

Aidaoui, 1985).

Durant ces dernières années, la circulation de l'eau en milieu poreux non saturé est devenue l'un

des sujets les plus importants. Dans

ce contexte, les hydrologues et les hydrogéologues n'ont jamais caché leur soucis à trouver les modèles, les méthodes de mesure et de calcul pour arriver à mieux connaître les

différents termes du bilan hydrique qui présente les gains et les pertes d'eau du système sol-eau.

Afin d'étudier l'incidence des

précipitations et son influence sur l'évolution de la réserve hydrique du sol. les techniques d'apprécia

tion de la teneur en eau du sol sont

en pleine évolution; en effet, la

sonde à neutrons trouve sa justifi

cation dans la diversité des problè

mes d'estimation de l'humidité in

situ, quoique son inconvénient ma jeur reste dans ses limites d'utilisa tion pour les horizons superficiels

(sphère d'influence).

Notre travail consiste à ca ractériser réta,t hydrique d'un sol nu soumis à des conditions naturelles à l'aide d'un suivi permanent des

profils hydriques. Nous procédons à

des contrôles gravimétriques dans la couche superficielle (0-20 cm) non

disponible à la sonde à neutrons, dans un but comparatif avec

l'intégration rectangulaire jusqu ici utilisée pour le calcul du stock

d'eau.

MATERIEL ET METHODES

Site expérimental :

Notre essai s'est déroulé à la statiori

' • de l'Institut National expérimentale ae

Agronomique d'El-harrach (INA) dans la partie basse de la Mitidja^

Ses coordonnées géographiques

sont:

- Altitude: 48 m

-Latitude: 36» 43'Nord

■^°"ï'ë2ai's'est'déroulé sur un

sol nu maintenu sans végétation

grâce au désherbage perntanent. La

Lerficie de la parcelle d essai est de 100 Elle est équipée de cinq

fublsd accès pour l'humidimètre.

servant à la détermination des pro

fils hydriques.

A proximité de la parcelle d'essai, nous avons installé un dis positif pour l'étalonnage de la

sonde. . . , .

Les caractéristiques physiques du sol sont résumées dans le

tableau 1.

28

(3)

Tableau I. caractéristiques physiques de la parcelle d'essai

Profondeur (cm) Argile (%) Limon (%) Sable (%) Densité ap parente

0-10 26.6 39.8 32.6 1.49

10-20 28.0 39.3 31.8 1.49

20-30 36.7 31.3 29.2 1.53

30-40 37.6 28.6 31.7 1.53

Le sol est de texture argile-

limoneuse selon la classification

Américaine (USDA) (Perrier et Salkini, 1991).

Conduite de l'expérimentation : Notre expérimentation s'est dérou lée dans des conditions agrométéo

rologiques naturelles. De ce fait, la

parcelle d'essai est soumise au seul apport naturel qui est la pluie. Les

mesures sont effectuées à des inter

valles de temps bien déterminés, à une fréquence de deux fois par se maine et en fonction des pluies en registrées.

Méthodes de mesure :

Pour la caractérisation de l'état hy drique du sol, nous avons utilisé deux méthodes, à savoir:

• La méthode gravimétrique: utili

sée pour caractériser la couche

superficielle de 0-20 cm. Le

principe de la méthode consiste à prélever des échantillons de sol à l'aide d'une tarière agronomique.

L'humidité est calculée après

double pesée et passage à l'étuve

à 105°C pendant 24h.

• La méthode neutronique: nous

avons utilisé une sonde à neu

trons type SOLO 25 qui est

destinée à mesurer l'humidité du sol dans la couche 20-40 cm. Le procédé mis en œuvre utilise le ralentissement des neutrons ra

pides émis par une source radio active par les atomes d'Hydro gène présents dans l'eau du sol (Doudet et Vachaud, 1977; Ano

nyme, 1989).

Nous avons procédé à la dé termination du régime d'infiltration et de la perméabilité in situ en utili

sant la méthode du double anneau.

RESULTATS ET DISCUSSIONS Etalonnage de la sonde à neu

trons :

L'étalonnage de la sonde à neutrons

consiste à établir une relation entre le nombre de neutrons et la teneur en eau. Pour ce faire, il faut mesurer

simultanément l'humidité par gra

vimétrie et par dispersion neutroni

que dans le temps et dans l'espace.

29

(4)

La courbe d'étalonnage est une droite de régression de la forme

Hv = Hp.ba = a + b.(N/S} (!)

:

Hv: humidité volumétrique (%) Hp: humidité pondérale (%) Da: densité apparente du soi N; comptage neutronique

S: impulsion neutronique

Standard

a et b: coefficierus à

déterminer; constante et pente de la

droite de régression.

Le rapport N/S est donné en %.

Les résultats de Létalonnage de la sonde SOLO 25 sont récapitulés

dans le tableau II.

Tableau II. Résultats de l'étalonnage de la sonde SOLO 25

Horizon (cm) Constante « a » Pente « b » R au carré

20 8.53 0.58 0.87***

25 1.23 0.74 0.90=^=^*

30 -4.62 0.86 0,90***

35 -16,72 1.19 0 91 * * *

40 -14.17 1.09 0 90***

Evolution des profils hydriques :

Le profil hydrique est défini comme étant la fonction de répartition de la teneur en eau suivant une verticale

en fonction de la profondeur (Aidaoui. 1985).

fallure des profils hydriques

permet de distinguer deux horizons se comportant différemment du point de vue transfert hydrique:

• un premier horizon superficie!

allant de la surface du sol jusqu'à environ 20-25 cm. où il apparaît

une forte variation des teneurs en

eau. C'est la couche la plus

affectée par les processus de

dessèchement et de réhumec-

tation.

• Un deuxième horizon allant de

20-25 cm à 40 cm. pour lequeL

nous constatons plus ou moins, une stabilisation des profils hydriques qui s'enchevêtrent et deviennent difficileiTient inicrpiciables. Ceci est dû a la

présence d'une croûte de

battance à l'horizon 25-30 cm

qui se comporte comme un écran

freinant les transferts hydriques entre les couches supérieures et inférieures. Cette conclusion

rejoint celle de (Moulid, 1977:

Kebieche. 1989) sur révolution

des profils hydriques dans la

zone de 20-30 cm.

Pour la période allant du 04

au 10/03/1'590. nous observons un dessèchement net dans le temps

malgré une pluie de 10.3 mm. Puis les profils hydriques se stabilisent cl

l'humidité décroît lentement dans le

temps en profondeur (lig 1 ).

oO

(5)

0) 3 O*

1

0

>

•0)

3 1

30

28

26

24

22

20

18

16

14

10 15 20 25 30

Profondeur (cni)

►—04/03/1990 -Î2— 06/03/1990 10/03/1990

35 40

Fig 1. Evolution des profils hydriques (pluie cumulée = 10,3 mm)

Pour la période allant du

31/03 au 15/04/1990, nous notons

une variation très importante des profils hydriques, avec une aug mentation très nette de la teneur en eau dans le temps au niveau de rhorizon 20-40 cm, résultant d'un

apport d'eau assez important. Une pluie cumulée de 46.6 mm enregis trée le 10/04 a influencé considéra blement l'humidité du sol (fig 2).

15 20 25 30

Profondeur (cm)

35 40

31/03/1990 -{2— 03/04/1990 07/04/1990 15/04/1990

Fig 2. Evolution des profils hydriques (pluie cumulée = 46,6 mm)

(6)

l'analyse de l'évolution des pj\>rils hydriques dans le temps permet de conclure que:

• L.a couche supérieure 0-25 cm est la plus marquée par le dessè

chement accentué et les réhumecta-

tions résultants des apports d'eau

importants de pluies. Mais, les fai bles hauteurs de pluies ne semblent pas être capables de combler le dé ficit hydrique. Ceci est dû essen

tiellement:

- au pouvoir évaporatif ou

évaporant du sol par exposition di

recte au flux radiatif:

- à la percolation pour ali

menter les couches inférieures du sol (Vachaud et al.. 1981).

• Le dessèchement et les réhu- mectations sont moins importants

dans la couche 25-40 cm.

Daghari et al. (1989) ont con

seillé de maintenir le sol nu ou avec

une faible végétation pour qu'il n y

ait pas une influence sur le bilan

hydrique afin de garder le maxi

mum d'eau comme réserve dans le

sol et d'éviter les phénomènes de capillarité, source de salinisation surtout lorsque l'eau est chargée en

sels.

Evolution du stock d'eau :

Les profils hydriques permettent de

calculer la variation de 1 humidité

volumique du sol entre deux dates

dans le même endroit à une proton

deur déterminée et sans destruction

du sol. Ainsi, pour toute la période

d'essai, nous constatons que les fluctuations les plus importantes

sont observées pour la couche 0-10

cm où nous notons des variations

assez importantes des stocks d eau par rapport aux horizons inféiieurs pour lesquels, le stock d eau semble

se stabiliser (fig 3).

E E

3 ra a>

j*:

u o U)

0 10-fév

5 35

24-fév 10-mar

10 40

28-mar 15-avr

Dates

15 20

12-mai 26-mai

25 30

Fig 3. Hvolution du stock d'eau durant la période d'essai,

(7)

Une tentative de comparaison a été faite pour vérifier l'hypothèse

de la constante de l'humidité dans la couche 0-20 cm. en utilisant

l'intégration rectangulaire. Pour

cela, nous avons eu recours aux

contrôles gravimétriques afin de

caractériser la couche considérée du

point de vue réserve hydrique.

La procédure de comparaison

e.st faite comme suit:

- nous avons pris la somme

de tous les résultats de stock d'eau

obtenus aux différents horizons par

gravimétrie, représentant ainsi le stock d'eau dans la couche 0-20 cm;

- ensuite, nous avons fait correspondre chaque valeur calculée à la valeur du .stock d'eau calculée

par l'intégration rectangulaire pour

chaque mesure.

L'analyse des résultats obte nus montre une surestimation de la

réserve hydrique calculée par l'intégration rectangulaire (fig 4).

70

E E

Zi (0

<u T3

O

'4->

w

10- 17- 24- 04- IQî 17- 28- 03- 15- 05- 12- 19- 26- 02- fév fév fév mar mar mar mar avr avr mai mal mai mai jun

Dates

Gravimétrie Neutre me

Fig 4. Comparaison des stocks d'eau par gravimétrie et neutronie.

Néanmoins, le graphique cor respondant à la méthode gravimé- triquc montre de fortes variations,

traduisant le caractère destructif de

cette méthode qui présente alors une forte dispersion.

Evolution des variations du stock d*eau :

La variation du stock d'eau varie entre un maximum de perte de 12.47 mm et un apport de 13.86 mm (fig 5).

(8)

15

10

o 0

~ -10

-15

10- 17- 24- 04- 10- 17- 28- 03- 15- 05- 12- 19- 26- 02- fév fév fév mar mar mar mar avr avr mai mal mai mai jun

5 35

15

Dates

20 25 30

Fig 5. Evolution de la variation du stock d'eau durant la période d essai.

Infiltration et perméabilité :

L'infilti-ation est l'entrée (ou la pé

nétration) de l'eau dans le profil pédologique. Ce processus règle

essentiellement la quantité d'eau

pénétrant dans le sol, en tant qu'avancement ou récession de

l'écoulement (Anonyme, 1995).

Nous avons procédé à la dé termination de la vitesse d'infil

tration par la méthode du double

anneau « in situ ». Les résultats obtenus sont illustrés graphique

ment par la figure 6. Le régime

d'infiltration décroît dans le temps

jusqu'à sa stabilisation après satu

ration du sol. C'est le taux d'infiltration de base qui.représente

le régime d'infiltration relatif sta- tionnaire asymptotique à une droite

parallèle à l'axe du temps, il est de

l'ordre de 0.127 mm/min (fig 6).

Parmi le grand nombre de re lations mathématiques et de modè

les proposés pour décrire le proces

sus de l'infiltration, nous avons

utilisé la formule modifiée de Kos- tiakov-Lewis (Anonyme, 1995) qui

est de la forme:

z = at'' + Ibt (2)

z: infiltration cumulée (mm)

1^: régime d'infiltration de

base (mm/min)

t: temps d'arrivée (min) a et b: coefficients déterminés

empiriquement.

Les coefficients a et b sont déterminés après une transformation logarithmique. Les données ont un alignement acceptable et une droite

34

(9)

a été ajustée sur ces points, fonction dç l'infiltration s'écrit :

La

Z=0.7488t°"-*- + 0.127t (mm/min)....(3) La conductivité hydraulique saturée (Ksat) est estimée à partir de

cet essai, elle équivaut à 0.754 cm/h (Ksat = Ib). Cette perméabilité est

modérëe. caractérisant les

écoulements dans des sols limoneux

à tendance argileuse (Anonyme,

1995).

250

200

150

100

0 60 120 160 240 300 360 420 480 540

Tcmps (inimites)

Fig 6. Régime d'infiltration et infiltration cumulée.

CONCLUSION

La caractérisation de l'état

hydrique du sol est conditionnée par

les relations qui existent entre le climat, l'eau et le sol qui sont de

nature complexe, et font intervenir

de nombreux facteurs.

La détermination des profils hydriques par les deux méthodes

utilisées, à savoir, la méthode

gravimétrique et la diffusion neutronique montre d'une manière générale l'aspect suivant:

l'assèchement le plus

important est observé sur la couche

0-25 cm;

- une préstabilisation avec une légère diminution de l'humidité sur la couche 25-40 cm.

Après l'examen de l'évolution du stock d'eau dans le sol, il ressort

que la couche 0-10 cm est la plus marquée par les pertes en eau à la

suite de la demande atmosphérique.

Nous avons constaté que les faibles hauteurs de pluies n'affe ctent que les couches supérieures (0-10 cm) et sont évaporées

rapidement sans affecter l'évolution générale du processus d'assèche

ment du sol.

Des contrôles gravimétriques

dans la couche 0-20 cm non

disponible à la sonde à neutrons

sont indispensables pour réduire les

erreurs d'appréciation des stocks d'eau dans cette couche.

(10)

REFERENCES

BIBLIOGRAPHIQUES

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