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Les enjeux d’un type de discours pour l’ethos d’un homme politique

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Academic year: 2022

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l’ethos d’un homme politique

Nicoleta Loredana MOROSAN

Abstract: This article sets for itself to outline the profile of a politician, Mircea Geoana, as it comes into being during a TV show in an election campaign. The configuration of his political image has two constituents, which represent two important stages in the internal economy of the show. On the one hand, it comes out by means of the retrospective view brought up by one of the moderators when referring to the label commonly attached to the speech of the diplomat Mircea Geoana – a label that precedes the live moments that are about to unfold in front of the TV viewers ; on the other hand, his personality will disclose itself live, all throughout his speech during the show, confir- ming or denying the initially mentioned appreciation on the part of the electorate.

Termed as “stark, formal, diplomatic”, the discursive identity of the former diplomat Geoana is envisaged as defining for his political identity. Thus, his parliamentary candidature is perceived by the elec- torate as going against his identity of diplomat.

Are we in the presence of a discourse that betrays a devide between one’s vocation and one’s candidature ?

Il est assez courant que, pendant les émissions télé- visées lors d’une campagne électorale, les téléspectateurs suivent les candidats souhaitant occuper une certaine place à l’avènement de la nouvelle configuration politique, pré- senter leur programme, leur plate-forme électorale. Ainsi l’émission, genre de discours institué routinier, devient-elle

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orientée (du point de vue fonctionnel de l’activité langagière qu’elle occasionne), vers le pôle référentiel de l’acte com- municationnel engendré et entretenu par les sujets parlants1 – candidats. A ce sens, la fonction du sujet parlant qui a le statut de « modérateur » sera, en grande mesure, de per- mettre le déploiement de la fonction référentielle du langage du candidat.

Il est plutôt rare que les émissions revêtent une allure foncièrement métalinguistique, portant, voire reposant, sur l’analyse de l’ethos prédiscursif des candidats en question.

C’est pourtant le cas de l’émission à invité unique «Tu decizi»

(« La décision t’appartient »), présentée sur la chaîne « Rea- litatea », lors des élections présidentielles de 2004. Le candidat invité a été Mircea Geoana, ministre des Affaire Etrangères en date, potentiel premier ministre dans le cas où le parti qu’il représentait aurait gagné les élections.

L’émission, scène générique déployée autour d’une réflexion sur l’ethos du candidat, prend toute sa consistance justement dans la théorisation effectuée par le modérateur au sujet du discours de l’invité. Nous serons, donc, des deux côtés, en présence d’un discours institutionnalisé; il renverra au rôle assumé autant par le candidat – en tant que repré- sentant d’un certain parti politique, que par le modérateur – dans le discours duquel se montrera en filigrane une autre instance, l’électorat. Sur l’initiative du modérateur, le langage du candidat devient une langue-objet, entendue au sens de

1 Nous observons ici la distinction opérée par O. Ducrot entre le sujet parlant d’un énoncé, vu comme l’ « auteur empirique de l’énoncé, son producteur », le locuteur envisagé comme « un être qui, dans le sens même de son énoncé, est présenté comme son responsable » et l’énon- ciateur qui décide du point de vue d’où « les événements sont pré- sentés ». Oswald Ducrot, 1984, Le dire et le dit, Paris, Minuit, p.194, 193, 208.

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« langage qui est objet d’étude, par opposition au méta- langage qui est instrument d’étude »2 ; à première vue, ce traitement « de haut » du langage du candidat empiète sur son statut de langue-objet, syntagme pris dans l’acception de « langue qui désigne les objets du monde »3. A force de se pencher sur les signifiés langagiers, on peut courrir le risque d’éluder les signifiés mondains du langage d’un locuteur (en l’occurrence, l’agenda politique pour un sujet empirique qui vise le fauteuil de premier-ministre de l’Etat).

La toute première question lancée par le modérateur pour démarrer l’émission représente en fait une invite à l’adresse du candidat pour remettre en cause son ethos :

« Nous avons constaté que vous avez toujours le même langage diplomatique, sec, protocolaire, qui ne convient pas au combat politique. […] Avez-vous la force de changer de langage, voulez-vous ou ne voulez-vous pas le faire ? […]

Considérez-vous votre langage comme approprié à votre fonction dans le parti PSD ? » Et la question qui porte sur la composante langagière de la personnalité4 du candidat sera reformulée à plusieurs reprises durant l’émission : « Quand allez-vous changer de langage ? Quand allez-vous devenir un combattant sur la scène politique ? Aujourd’hui, ce soir, pendant cette campagne, à l’avenir ? »

2 Josette Rey-Debove, 1997 (rééd.), Le métalangage, Armand Colin, Paris, p.15.

3 Le métalangage est identifié par Tarski (1944) comme un langage second par rapport à un langage premier, envisagé comme « langage objet » : « le langage dans lequel nous parlons du premier langage et avec les termes duquel nous voulons construire la définition de la vérité pour le premier langage », Tarski cité dans op. cit., p.13.

4 Etant donné que l’ethos est une notion à part entière discursive, nous faisons appel au terme de personnalité pour sous-entendre l’image du sujet parlant qui inclut aussi ses attributs extérieurs à la parole.

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Par le recours à la modalité interrogative, le modérateur met en scène, selon les termes de C. Kerbrat - Orecchioni5, une réalisation indirecte conventionnelle d’un acte illocutoire directif, censé « faire faire des choses à autrui »6. De par leur position inaugurale dans la scénographie de l’émission, ces interrogations qui valent pour des tentatives pressantes de la part du modérateur pour influer sur son interlocuteur, relevant du langage métalinguistique, se douent d’une importance particulière. La scénographie de cette scène d’énonciation, dispositif de la parole qui « engendre le discours »7 tout en émergeant de ce discours-même, se pose en fait en une remise en question de l’ethos de l’énonciateur Mircea Geoana. Aussi sapera-t-elle, dans un premier temps, la légitimité de l’image que celui-ci s’est faite sur le rôle qu’il devait assumer par rapport à son parti, image que, par la suite, il s’était proposé de faire passer, à travers son dis- cours, aux électeurs. La composante langagière de sa per- sonnalité devient, dans le jugement évaluatif de dépréciation du modérateur, symptomatique pour une faille dans son identité politique ; pour l’électorat, elle trahit un tiraillement entre une vocation refoulée de diplomate8 et une apparte- nance feinte à un parti politique qui, en fait, n’est pas loin de narguer Mircea Geoana en tant que sujet empirique :

« Malgré tous vos efforts, pour nous, vous restez un diplo-

5 Catherine Kerbrat-Orecchioni, 2001, Les actes de langage dans le discours, Nathan, Paris, p. 39.

6 J. R. Searle cité dans Catherine Kerbrat-Orecchioni, op. cit., p. 20.

7 Charaudeau, Patrick; Maingueneau, Dominique, 2002, Diction- naire d’analyse du discours, Seuil, Paris, p. 516.

8 Avant de devenir membre du Parti Socialiste Démocrate, Mircea Geoana avait embrassé une carrière de diplomate, étant l’ambassadeur de la Roumanie aux Etats Unis.

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mate. », « Vous n’êtes qu’une façade pour PSD », statue le modérateur à plusieurs moments de l’émission.

Lors de l’acte d’énonciation où il sanctionne le langage du candidat comme « diplomate, sec, protocolaire », le mo- dérateur s’institue – à travers l’emploi du déictique person- nel, première personne du pluriel nous –, en porte-parole de l’électorat, devenant, de la sorte, un locuteur collectif9 qui s’avoue explicitement comme « source évaluative de l’as- sertion »10 : « nous avons constaté », « à notre avis », « loin de nous de vous imposer un modèle », « malgré vos efforts, pour nous vous restez un diplomate ».

Mais a priori le modérateur n’est pas le seul locuteur collectif dans cette situation de communication ; son inter- locuteur est présent à cette émission en tant que représentant de l’idéologie du parti dont il est membre. Nous nous trouvons donc en présence de deux binômes : le modérateur – représentant des attentes de l’électorat et le candidat Geoana – représentant de l’idéologie du Parti Socialiste Démocrate.

Dans la situation d’énonciation où le modérateur s’af- firme en tant qu’énonciateur au moyen d’un acte illocutoire asssertif11 (orientant, nous rappelons, « le point de vue d’où

9 Selon l’Ecole française d’analyse du discours, la notion de locuteur collectif réfère « aux auteurs des discours émanant de partis, syndicats ou autres groupes organisés » posés comme représentatifs pour les groupes en question (op. cit. p. 352).

10 Catherine Kerbrat-Orecchioni, rééd 2002, L’énonciation, Armand Colin, Paris, p. 80.

11 Les actes illocutoires assertifs ont pour but « d’engager la respons- abilité du locuteur (à des degrés divers) sur l’existence d’un état de choses, sur la vérité de la proposition exprimée ; leur direction d’adjust- ement va des mots au monde. » Catherine Kerbrat-Orecchioni, 2001, Les actes de langage dans le discours, Nathan, Paris, p. 20. En l’occur- rence, le recours à cette acte de la part du modérateur renchérit la

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les évènements sont présentés »),- autonymique à travers le pluriel de la première personne du pluriel « nous » (« Nous avons constaté que vous avez toujours le même langage diplomate, sec, protocolaire, qui ne convient pas au combat politique.), il arrête, dans un premier temps, l’existence pure et simple des deux binômes sus-mentionnés : nous et vous.

Mais une opposition d’homogénéité s’y dresse aussitôt, une opposition en termes de l’état du lien que le modérateur – énonciateur pose comme sous-tendant les deux binômes à l’intérieur. Si le modérateur, lors de son énonciation, se pré- sente comme remplissant avec succès sa tâche de locuteur collectif – il est la voix qui synthétise par son assertion l’avis de l’électorat –, Geoana, l’allocutaire, est décrié, par là-même, pour son langage qui semble trahirun grave man- quement au rôle qu’il est censé jouer au sein du PSD.

L’enjeu, pour la part du modérateur, de cette approche métalinguistique de l’ethos du candidat s’avère résider dans l’intention de confronter l’image que l’homme politique a de lui-même – en tant que représentant du PSD –, à la perception de son identité discursive pour la part des télé- spectateurs ; cela faisant, le modérateur accuse un clivage manifeste : « Après la défaite aux élections pour la mairie de Bucarest, vous avez affirmé que vous vous étiez retrouvé avec des cicatrices, que vous aviez reçu le baptême […] A notre avis, cela n’a pas eu lieu. »

Cette confrontation se constitue dans une situation de communication12 qui met face à face l’ethos préalable (ou

délégation du modérateur en tant que locuteur collectif pour la part de l’électorat.

12 Nous envisageons la « situation de communication » dans l’oppo- sition « situation de communication » / « situation d’énonciation » où, par rapport au deuxième terme à caractère abstrait qui se définit comme système de « trois positions fondamentales d’énonciateur, de co-énon-

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prédiscursif) du candidat, « image préexistante du locu- teur »13, celle que l’électorat paraît s’être construite suite à la prestation discursive de Geoana lors d’une campagne électorale antérieure (où il avait postulé pour la fonction de maire de la capitale) et l’image préconstruite que entretient l’électorat à propos du « comment » devrait être un repré- sentant du Parti Social Démocrate : « dans le domaine poli- tique […] les énonciateurs, qui occupent constamment la scène médiatique, sont associés à un ethos que chaque énonciation peut confirmer ou infirmer »14. L’ethos préalable acquiert un pareil poids dans cette situation de communi- cation, que l’acte de l’énonciation en train de se produire s’en trouve conditionné et régi. Ainsi l’image de Geoana apparaît-elle comme une image figée, développée le long temps dans l’esprit de l’électorat, et dont le candidat n’arrive pas à se départir. Par conséquent, les trois termes à valeur axiologique “le même langage diplomatique, sec, protocolaire”

ciateur et de non-personne » (cf. Maingueneau, Dominique, 2004, Le discours littéraire, Paratopie et Scène d’énonciation, Armand Colin, Paris, p.190), la « situation de communication » devient « socialement descriptible », y œuvrant « l’identité des partenaires et la place qu’ils occupent dans l’échange (en termes psychosociaux) », en l’occurrence, un candidat politique et un modérateur, « la finalité qui les relie (en termes de visées) », en l’occurrence, une occasion pour le candidat de se faire connaître par l’électorat, « le propos qui peut être convoqué (en termes de macro-thème, celui, global, qui est l’objet de l’échange », en l’occurrence, la remise en cause de l’identité politique du candidat, et « les circonstances dans lesquelles elle se réalise (en termes de don- nées matérielles qui interviennent dans l’échange) », en l’occurrence, le cadre institutionnel d’une émission de télévision qui se déroule selon le schéma : question de la part du modérateur, réponse de la part du can- didat. (Patrick Charaudeau; Dominique Maingueneau, op. cit., p. 535).

13 Ruth Amossy (sous la direction de), 1999, Images de soi dans le discours, Delachaux et Niestlé S.A., Lausanne - Paris, p.154.

14 Ruth Amossy, op. cit., p.78.

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s’instituent dans une étiquette langagière communément accolée au diplomate qui le présente comme constant à lui- même, mais enfreignant les règles imposées par l’univers d’attente de l’électorat.

La cause qui donne lieu à cet affrontement consiste dans la pratique du stéréotypage, « opération qui consiste à penser le réel à travers une représentation culturelle préexis- tante, un schème collectif figé. Un individu concret est ainsi perçu et évalué en fonction du modèle préconstruit que diffuse la communauté de la catégorie dans laquelle elle le range. »15. C’est en raison du stéréotypage qui impose des

« modes de raisonnement propres à un groupe »16, qu’il est loisible à un modérateur de se légitimer au moment où il s’érige en porte-parole de l’électorat, tandis que l’ethos d’un politicien peut contrer les espérances et/ou certitudes de l’électorat (qui, en règle générale, vote aussi, à travers lui, un parti politique).

A l’égard de l’électorat, il y a donc rupture au sein de la désignation « le candidat PSD Mircea Geoana » : l’univers d’attente concernant le candidat idéal - représentant du PSD et l’ethos préalable du candidat Geoana ne se recoupent point, d’où matière de confrontation. L’entrechoquement a lieu, dans un premier temps, au niveau de la représentation langagière que l’électorat s’est faite par rapport au candidat,

« langage diplomate, sec, protocolaire », mais dans un deu- xième temps, ce langage est perçu de même comme laissant entendre des caractéristiques qui se prolongent au niveau factuel. Dans la logique du modérateur – locuteur collectif, l’homme politique n’arrive pas à s’approprier le langage propre au combat politique, et par conséquent, puisqu’il

15 Ruth Amossy, op. cit., p.135.

16 Idem.

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n’est pas dans le « dire » requis, il ne peut pas, non plus, être dans le « faire » convenable.

De ce fait, les attentes heurtées, érigées en norme, à travers la voix du modérateur, vont dénicher et dénoncer en fait dans cette configuration langagière, qui leur est étran- gère, une identité autre que celle avancée et prônée par Geoana. Ainsi est-il que les traits qui reviennent à son identité langagière sont envisagés par le modérateur comme définitoires et révélateurs pour une identité diplomatique refoulée. De cette manière, le langage est appréhendé comme le lieu où devient manifeste une incongruité essen- tielle, emblématique pour sa personnalité politique, et qui, intime le modérateur, ne saurait plus durer ; d’où l’urgence du changement posée par le modérateur au moyen d’un but illlocutoire fortement marqué dans l’acte directif accompli par ses énonciations le long de l’émission : « Avez-vous la force de changer de langage, voulez-vous ou ne voulez-vous pas le faire ? […] Considérez-vous votre langage comme approprié à votre fonction dans le parti PSD ? » « Quand allez-vous changer de langage ? Quand allez-vous devenir un combattant sur la scène politique ? Aujourd’hui, ce soir, pendant cette campagne, à l’avenir ? » Les déictiques tem- porels énoncés selon une échelle graduelle témoignent autant de l’écart entre l’image stéréotypée de l’électorat et l’ethos prédiscursif et discursif du candidat que de la néces- sité d’y remédier sans délai. Les trois questions posées d’affilée impliquent, à leur tour, un glissement au niveau de l’interprétation de la nature du « changement », de la struc- ture de surface vers la structure de profondeur, dans le cas du premier énoncé : le syntagme « devenir un combattant », renvoyant à une image mondaine, posé à la suite de «changer de langage », mise en demeure de modifier son ethos,

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éclaire d’un jour nouveau l’injonction métalinguistique. Il ne s’agit pas de changer uniquement de techniques discursives.

Cette prise en charge du langage du candidat par le modérateur se fait en vue d’une régulation de ce qui apparaît comme une divergence par rapport à une norme du langage d’un candidat PSD. La norme se dévoile en deux volets lors de l’activité énonciative du modérateur dans la fonction métalinguistique de la langue, à travers des termes méta- linguistiques autonymes « langage » et « approche », des noms d’unité, signes de multisigne « dont le signifiant et le signifié sont des variables solidaires. » 17

D’une part, la norme se construit dans les antonymes des mots neutres : « langage sec, protocolaire, diplomatique».

D’autre part, elle est présentée explicitement, toujours à travers de mots neutres: « approche tranchante, dure », mais cette fois-ci par l’intermédiaire d’un acte illocutoire assertif, bien que le modérateur feigne de ne pas suivre forcément un but perlocutoire: «…or nous venons de constater que pour le combat politique il faut un autre type d’approche : tranchante, dure. Loin de nous de vous imposer un modèle, mais il faut qu’il y ait ce type d’approche.». La norme langagière s’avère receler une norme transphrastique, le terme « approche » signifiant au-delà de la manière dont le sujet parlant s’approprie la langue, l’appropriation d’un certain comportement.

Bibliographie

Ruth Amossy (sous la direction de), Images de soi dans le discours, Delachaux et Niestlé S.A., Lausanne – Paris, 1999.

Patrick Charaudeau; Dominique Maingueneau, Dictionnaire d’analyse du discours, Seuil, Paris, 2002.

17 Josette Rey-Debove, op. cit., p. 36.

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Josette Rey-Debove, Le métalangage, Armand Colin, Paris, 1997 (rééd.).

Oswald Ducrot, Le dire et le dit, Paris, Minuit, 1984.

Catherine Kerbrat-Orecchioni, Les actes de langage dans le discours, Nathan, Paris, 2001.

Catherine Kerbrat-Orecchioni, L’énonciation, Armand Colin, Paris, 2002.

Dominique Maingueneau, Analyser les textes de communication, Dunaud, Paris, 1998.

Dominique Maingueneau, Le discours littéraire, Paratopie et Scène d’énonciation, Armand Colin, Paris, 2004.

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