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TOUTES LES CAUSES NOBLES

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Academic year: 2022

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TOUTES

LES CAUSES NOBLES

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ous savions bien que nous ne le garderions pas toujours. Il avait atteint un grand âge. Nous n'y pensions que pour nous émerveiller de toutes les qualités qui faisaient de lui un homme unique. Nous sommes désemparés par sa mort soudaine. Il nous manque et nous manquera plus encore dans l'avenir. Nous res- sentons son absence comme une perte irréparable. Pour tous ses proches — ils sont, avec sa famille, des milliers — le monde ne sera plus comme avant.

Il avait subi, ces dernières années, de graves défaillances physiques. Il voyait la lumière, mais non les objets. Il entendait mal sans un appareil discrètement dissimulé derrière une oreille.

Il ne parlait jamais de ces infirmités, dont je sais qu'il souffrait beaucoup. Mais on ne s'en rendait pas compte, car i l avait gardé toute sa vigueur intellectuelle et morale, toute sa présence phy- sique. Une grande maigreur, un teint devenu presque diaphane, faisaient ressortir davantage son intellectualité. Il émanait de lui, de son regard un peu voilé, une sorte de lumière, plus vive encore lorsqu'il prenait la parole. On ne pouvait le qualifier qu'en employant des superlatifs d'admiration, de respect, d'affec- tion, dont je vais essayer de me passer, car i l faudrait d'autres mots pour caractériser cet être d'exception.

L'intelligence, l'énergie, la bonté, étaient trois de ses qua- lités majeures, développées au plus haut point. Il suffit, pour s'en rendre compte, de lire ses derniers ouvrages, consacrés, les uns à ses souvenirs (l'Honneur de vivre, Ce que je crois), un autre à des vues d'ensemble sur la médecine moderne : Venir au monde (la vie cachée de la fécondation à la naissance).

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TOUTES LES CAUSES NOBLES 531 L'honneur de vivre, quel beau titre, un peu énigmatique, et qu'explique le contenu du livre. On y trouve ses mémoires, ses impressions, ses opinions, sans indulgence pour lui-même, sans sévérité pour les autres. Un livre d'histoire de la pensée, de la société, de la médecine, qui se reflète dans son histoire person- nelle depuis 1900, et qu'on lit avec passion. Un ouvrage riche, organisé comme l'était son esprit : bien qu'il suive l'ordre chro- nologique, i l est divisé en chapitres qui groupent des événements, des souvenirs rassemblés d'une manière cohérente, comme par exemple : Un petit monde d'autrefois, l'Alsace retrouvée, la Pé- diatrie prise à bras le corps, la Résistance, la Réforme hospita- lière et universitaire, la Santé publique... et, pour terminer : Vers soi-même. Quelques titres pris au hasard parmi 41 chapitres, intenses par leur densité, leur vérité, leur puissance d'évocation, leur style. Si j'ai un peu insisté sur cet ouvrage, c'est qu'on y trouve toute la personne et la personnalité de son auteur.

Quelle émotion ne ressent-on pas à le relire aujourd'hui ! Et quel honneur j'éprouve d'avoir été pressenti par Robert Debré lui-même pour en faire, dès sa parution, l'analyse dans cette revue ! Tout est à relire, tout serait à citer dans cet ouvrage qui atteint souvent au pathétique. Avec Ce que je crois, ce sont des réflexions encore plus intimes, des professions de foi, presque des confessions, qu'il nous livre. Nous y retrouvons l'un des côtés les plus marquants de l'auteur : sa grande loyauté, son incroyance, raisonnée mais non sectaire, sa compréhension et sa tolérance à l'égard des opinions, des croyances des autres. En quoi i l se rencontrait avec d'autres grands esprits, tel Ernest Renan, qu'il admirait beaucoup et qui avait affirmé que, pour être incroyant, on doit avoir beaucoup espéré, beaucoup hésité, beaucoup médité.

L'honneur de vivre, c'est de pouvoir faire, dans son existence, quelque chose d'utile ou d'exemplaire pour autrui. A cet égard, Robert Debré a bien mérité de l'humanité.

Je ne parlerai pas de l'œuvre médicale de celui qui fut un grand maître, et qui fut le type exemplaire du « patron ». Je voudrais seulement souligner que, dans ses derniers articles et ouvrages généraux sur la médecine, à l'intention d'un grand public, i l a montré tout l'intérêt de l'association du laboratoire et de la clinique, des techniques les plus modernes de la Science, des analyses délicates, de la recherche approfondie. D était au courant de tout ce qui se publiait et se pratiquait en science et

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en clinique. Ayant prévu l'orientation de la médecine, i l avait pris le grand tournant et montré l'exemple dans son service hospitalier.

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e n'ai connu le professeur Debré que tard dans sa vie, i l y a une vingtaine d'années. Je sais qu'il avait été un patron autoritaire, exigeant, parfois dur envers les autres comme i l l'était envers lui-même. Mais cette tendance de son caractère était tem- pérée par une grande bonté. C'est sous ce seul aspect que je l'ai connu. Il arrive souvent que, chez les hommes de grande enver- gure, l'âge apporte un apaisement à leur véhémence. Certes i l était toujours passionné de vérité, de justice, de progrès. Mais i l apportait à toutes ses paroles, à toutes ses actions, une mesure, une pondération, une douceur, qui le faisaient écouter avec res- pect et admiration. Il se dévouait à tous ceux qui étaient dans la peine, à toutes les causes nobles.

Son intelligence, sa mémoire, son éloquence, sa faculté de convaincre, étaient intactes. Elles étaient exceptionnelles. Ses interventions dans nos assemblées, dans nos académies, étaien^

attendues avec impatience, écoutées avec une attention passion- née. C'était hier encore. Elles étaient d'autant plus émouvantes qu'il devait parler sans aucune note, uniquement de mémoire.

Sur les sujets les plus variés, les plus spéciaux, i l avait une docu- mentation précise ; i l apportait aux questions qu'il traitait des solutions de bon sens, d'une clarté lumineuse, d'une originalité parfois audacieuse. L a dernière fois qu'il prononça un discours en s'aidant de notes, ce fut en 1971 à l'Académie de médecine, où i l prononça l'éloge nécrologique de son ami Pasteur Vallery Radot, grand patron comme lui. Depuis lors, i l se fiait unique- ment à sa mémoire, et l'on ne percevait aucune différence dans ses exposés, toujours parfaits, sans aucune hésitation, sans aucune rature.

L a dernière fois qu'il nous fut donné de l'entendre, ce fut le 10 février, sous la Coupole, où l'on célébrait le centenaire de Claude Bernard, le grand précurseur de la physiologie et de la médecine contemporaines, pour lequel i l avait un culte parti- culier. Tous ceux qui assistèrent à cette séance en garderont un souvenir bouleversant. Relevant à peine de maladie, cet homme visiblement affaibli physiquement resta debout pendant une heure

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TOUTES LES CAUSES NOBLES 533 et tint l'auditoire sous le charme en brossant un tableau vivant et pittoresque de la vie de Claude Bernard. Les témoins de cette prodigieuse réussite retenaient leur souffle, craignant qu'il n'eût

une faiblesse ou qu'il ne manquât un enchaînement à son discours.

Il parla avec son aisance coutumière, d'une voix forte et bien articulée, sans se reprendre à aucun moment.

Après cet effort presque surhumain, i l dut regagner sa cham- bre. Puis i l espéra beaucoup d'un séjour à la campagne, dans sa résidence préférée des Madères, non loin de Vouvray. C'est là qu'une chute malencontreuse eut raison de sa résistance déjà affaiblie.

C'est là, dans le village de Vernoux, qu'il aimait recevoir sa famille, ses amis. Je me rappelle la joie qu'il avait eue de nous montrer, après un congrès à Amboise, cette demeure noble et belle. Située sur une terrasse qui domine la vallée de la Loire, elle n'est pas un château ; elle n'en a ni la pompe ni la raideur.

Elle a de la grandeur dans sa simplicité. Robert Debré aimait s'y retirer pour méditer, pour travailler, pour rédiger ou dicter ses pensées. De la longue esplanade bordée d'arbres qui la pro- longe, on voit au loin s'étendre les prairies, les bosquets, les étangs, les rivières. Du côté opposé au panorama, une falaisr abrupte, percée de cavernes, creusées dans la même pierre chaude dont sont faites les maisons. L a douceur harmonieuse du pays de Touraine convenait à son travail comme à son repos. C'est là que se sont réunis hier des centaines d'amis, de disciples, de confrères, tous unis dans une même peine autour de ses enfants, de ses petits-enfants et arrière petits-enfants, accablés de chagrin et ne réalisant pas encore complètement leur malheur. L a pré- sence, la chaleur humaine, l'irradiation de cet homme étaient telles qu'elles ne s'éteignent pas avec la mort.

T e professeur Debré avait eu tous les succès, les titres, les

•LJ décorations, les honneurs qui peuvent échoir à un homme.

A quoi bon les énumérer ? A cette hauteur, ils ne comptent pas à la mesure de sa grandeur. L a réussite de ses enfants (1) cou- ronnait sa gloire et le remplissait de fierté. Il retrouvait dans tous ses descendants les qualités qui distinguent sa lignée.

(1) Michel Debré, premier ministre du général de Gaulle, Olivier Debré, peintre de grande notoriété, Mme le Docteur Claude Monod-Broca...

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L'une d'elles était l'énergie et, dans ces dernières années, le stoïcisme. Il allait toujours à pied de son domicile de la rue de l'Université à l'Institut. Il ne souffrait pas qu'on l'aidât, malgré les dangers auxquels l'exposait sa quasi-cécité. Il y a quelques mois à peine, je le rencontrai au bas de l'escalier qui conduit à la salle des séances de l'Académie des Sciences. « Nous prenons l'ascenseur, lui dis-je. — Y pensez-vous ? me répondit-il. Je ne suis pas encore assez chancelant pour cela. » Nous montâmes à pied au deuxième étage. (J'avoue, en aparté, que, depuis ce jour, je n'ai plus osé prendre l'ascenseur.) Il rompait des lances en faveur des grandes causes, des réformes les plus hardies ; d'autre part, il s'opposait avec force à toute innovation qui lui semblait nui- sible.

Deux exemples. C'est grâce à lui que fut votée la loi dite

« loi Debré », qui réformait les études et la carrière médicales, rompant avec des traditions inébranlables. On sait à quelles résis- tances i l eut à faire front, quelles critiques il suscita, mais aussi quels appuis enthousiastes i l se concilia, quels ralliements i l sut gagner. En bref, i l s'agissait d'orienter les médecins les plus aptes vers l'hôpital, la recherche clinique ou scientifique. Pour eux fut créé la première fois en France le « plein temps » qui leur permet de consacrer toute leur activité à l'hôpital ou au labora- toire, moyennant le privilège d'échapper en grande partie à l'assu- jettissement de la clientèle. Ils conservent toutefois la possibilité de pratiquer « la grande consultation », en dehors des exigences de leur principale fonction. On voit actuellement les bienfaits d'une telle réforme, que reconnaissent la plupart des praticiens, et qui a profondément transformé l'esprit de la médecine fran- çaise.

Deuxième exemple, mais dans le sens du refus. En 1968- 1969, Robert Debré fut le seul des grands universitaires qui, au Conseil de l'enseignement supérieur, exposa avec force les dangers de la loi dite d'orientation, dont il avait discerné d'em- blée quelles pourraient être les conséquences sur la vie des univer- sités. Il ne fut pas suivi, malgré la force de ses arguments et la persuasion de son discours. L a suite montra combien i l avait vu juste.

Il avait une règle rigoureuse de travail et de vie — ce qui lui permettait d'abattre une besogne énorme. Il était présent par- tout où i l pouvait être utile, où i l pouvait se dévouer. Je ne parle

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TOUTES LES CAUSES NOBLES 535 que pour mémoire de ses services de guerre, qui ont été éminents, aussi bien dans l'armée combattante que dans le service de santé.

Il fut présent sur le front au plus fort de la mêlée pendant la guerre de 1914-1918, i l participa à la Résistance active au cours de la guerre de 1940-1945.

Animé d'un idéal généreux et démocratique, i l avait subi l'in- fluence de Charles Péguy, qui l'avait marqué de manière défm- tive. Il en parlait souvent dans ses discours et dans ses livres.

A son tour i l montrait l'exemple aux jeunes, dont i l comprenait les aspirations. Son influence a été considérable sur plusieurs générations de médecins, dont i l fut l'un des maîtres. Il laisse un grand souvenir aux enfants qu'il a traités, à leurs familles, à de nombreux disciples en France et à l'étranger, à tous ceux à qui il a enseigné la pratique médicale, la science sur laquelle elle s'appuie, à qui i l a inculqué l'exemple de sa conduite dans la médecine et dans la vie. Il faisait confiance à tous ceux qui l'approchaient, ne voyait jamais la mesquinerie ou la malveil- lance. Avec une certaine naïveté toute à son honneur, i l n'y croyait pas. Il voyait les grandes choses, non les petites. Le besoin de la présence des autres, que de plus en plus i l ressentait, le ren- dait plus touchant, plus humain. Un être exemplaire, un apôtre, un grand esprit.

J

e terminerai cette trop courte évocation par un passage de son grand livre. Je voudrais en citer des pages entières. Voici quelques lignes qui dépeignent l'homme, sa foi en la jeunesse, en l'avenir :

« Parvenu à la fin de ce long témoignage, voici qu'il est temps de prendre sur une planchette de cette biblio- thèque où il se trouve depuis cinquante ans à la portée de ma main, mon exemplaire des Pensées de Marc Aurèle.

Ne faut-il pas se tourner vers soi-même — *« éowTov — et imiter l'empereur philosophe qui commence par rendre hommage à ses parents, à ses grands-parents, à celles et ceux avec qui il vécut, à ses maîtres, à ses amis. Il les remercie de lui avoir transmis, grâce à la bienveillance des dieux, les qualités qui lui faisaient honneur et la ma- nière d'arrêter les mauvaises tendances et de favoriser les bonnes.

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En silence, comme lui, je remplis ce juste devoir...

Souvent j'ai relu les Pensées de ce disciple des stoï- ciens et me demande si dans ma vie professionnelle et publique — car il n'est point question de mon existence privée et intime — j'ai pu suivre cet exemple et obéir aux préceptes de ses maîtres. »

Le professeur Robert Debré peut être assuré qu'il n'a pas trahi son idéal. Et, tout à la fin de son livre, ces passages subli- mes, qui montrent sa constante préoccupation, celle de la jeu- nesse, de son avenir :

« Où donc nos enfants vont-ils conduire notre pays ? Comme il est difficile de porter un jugement collectif sur ceux de la génération nouvelle ! Beaucoup sont, comme les meilleurs de leurs aînés, détachés des questions d'argent et plus désireux de connaître les pays lointains que sou- cieux de leur confort.

J'aime qu'ils me parlent et je suis heureux quand ils le font avec une franche sincérité. Comme le faisait Dexia (2), je leur répète : « Je peux tout entendre. » //

me semble qu'ils le savent. Comme leurs aînés ils pren- nent volontiers le chemin de mon logis. Il m'appartient d'évoquer devant eux l'idéal poursuivi par ma génération et celle de leurs parents et de leur montrer combien est solide le sol sur lequel s'élève notre échelle des valeurs. Au sommet de celle-ci nous plaçons l'amour de la patrie, le devoir civique, le respect d'autrui, le désir de se battre pour de justes causes, la force du caractère, la capacité de jouir des bonheurs que la vie nous apporte, la fermeté d'âme dans le malheur et, par-dessus tout, le sens de l'hon- neur.

Celui qui tend ses forces pour supporter l'adversité et voudrait, gardant les élans de l'homme jeune, vieillir avec bonne grâce, songe à l'éternité. Notre éternité, c'est, issue des deux lignées, notre descendance.

A cette descendance, aux miens, mon témoignage apporte un souvenir. Pendant des années j'entendais à la

(2) Dexia, nom de Résistance de la deuxième épouse du professeur Robert Debré.

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TOUTES LES CAUSES NOBLES 537 fin de chaque jour la voix de Dexia. Elle disait : « Etes- vous fatigué ce soir ? » Je répondais : « Pas encore. » Maintenant que je ne l'entends plus, je suis las de porter l'honneur de vivre.

Pour ceux qui sont aujourd'hui entraînés par la fou- gue ardente de leur jeunesse, la vie, aux couleurs chan- geantes, trop vite s'écoulera. Qu'ils songent, quand l'heure passe, à la devise inscrite sur le cadran solaire des Ma- dères : « Chacune apporte une espérance. »

E T I E N N E W O L F F de l'Académie française

NOTRE AMI CLAUDE BELLANGER

C'est avec beaucoup de tristesse que j'ai appris la mort sou- daine de Claude Bellanger, p r é s i d e n t - d i r e c t e u r g é n é r a l d u Parisien libéré.

R é s i s t a n t de la p r e m i è r e heure, militant de l'Organisation civile et militaire, cofondateur de la F é d é r a t i o n de la presse clandes- tine avec Albert Bayet, p r é s i d e n t d u Syndicat de la presse pari- sienne, v i c e - p r é s i d e n t de la F é d é r a t i o n nationale et de la Mutuelle g é n é r a l e de la presse f r a n ç a i s e , membre du bureau de l'Institut f r a n ç a i s de la presse, v i c e - p r é s i d e n t de l'Agence France-Presse et de l'association « les Amis d'Albert Bayet », membre d u conseil d'administration de l'Alliance f r a n ç a i s e , fondateur et p r é s i d e n t de la F é d é r a t i o n internationale des é d i t e u r s de journaux, notre ami Claude Bellanger é t a i t , avant tout, un grand journaliste, d é f e n s e u r ombrageux de l ' i n d é p e n d a n c e et de l ' o b j e c t i v i t é dans le domaine de l'information et de la culture.

Les Nouvelles Chroniques interdites, les Bannis, la Presse des barbelés, la Presse clandestine, les Débuts d'Emile Zola dans la presse, l'Histoire générale de la presse française, montrent qu'il é t a i t non seulement u n publiciste fort au courant de tous les p r o b l è m e s journalistiques, mais aussi un é c r i v a i n et u n histo- rien de race, de p r e m i è r e ligne et de grande p r o b i t é .

La Revue, au sort de laquelle il s ' i n t é r e s s a i t beaucoup, tient à rendre hommage à un journaliste q u i sut toujours, dans le tohu-bohu de l ' a c t u a l i t é , s'en tenir aux valeurs essentielles et au combat courageux pour ses i d é e s et ce qu'il c o n s i d é r a i t d'inté- r ê t national.

J E A N J A U D E L

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