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Conseil syndical de la ržgion de QuŽbec (CSRQ-CSQ) 1401, boul. St-Joseph, QuŽbec, Qc - G2K 1G5 TŽlŽphone: (418) TŽlŽcopieur: (418)

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Texte intégral

(1)

SOLUTIONS DES JEUNES AU SEXISME (7¬/$9,2/(1&(

2003

C

onseil syndical de la rŽgion de QuŽbec (CSRQ-CSQ) 1401, boul. St-Joseph, QuŽbec, Qc - G2K 1G5 TŽlŽphone: (418) 622-8383 - TŽlŽcopieur: (418) 622-3654

Laurence Richard

ƒcole des Petits-Cheminots - 1reannŽe Diane Laflamme, enseignante

(2)

LISTE DES ƒCOLES PARTICIPANTES 6\QGLFDWGHO·HQVHLJQHPHQWGH&KDUOHYRL[

ƒcole Beau-Soleil ƒcole Laure-Gaudreault

6\QGLFDWGHO·HQVHLJQHPHQWGHOD&KDXGLqUH ƒcole Jouvence

6FROHO·$UF-en-Ciel

6\QGLFDWGHO·HQVHLJQHPHQWGHV'HX[5LYHV ƒcole des Petits-Cheminots

ƒcole La Caravelle de Joly ƒcole La Mennais ƒcole Notre-Dame-6·(WFKHPLQ ƒcole secondaire Les Etchemins 6\QGLFDWGHO·HQVHLJQHPHQWGH3RUWQHXI

ƒcole La Riveraine

6\QGLFDWGHO·HQVHLJQHPHQWGHODUpJLRQ de QuŽbec :

6FROHGHO·$SSUHQWL-Sage 6FROHGHO·$UF-en-Ciel

ƒcole de St-Laurent ƒcole du Ch‰telet ƒcole du Parc-OrlŽans

ƒcole du Vignoble ƒcole St-Bernard ƒcole St-Fid•le

(3)

'HSXLVPDLQWHQDQWDQVGHVHQVHLJQDQWHVHWHQVHLJQDQWVSURSRVHQWjOHXUVpOqYHVO·DFWLYLWpG·pFULWXUH6 Solutions des jeunes au sexisme et ˆ6ODYLROHQFHª/HVVLWXDWLRQVG·pFULWXUHSURSRVpHVDX[pOqYHV proviennent des prŽoccupations des jeunes et visent un travail de rŽflexion positive tout en fournissant aux HQVHLJQDQWHVHWHQVHLJQDQWVGHVVXMHWVG·pFULWXUHSRXUOHXUVpOqYHVTXLUHVSHFWHQWles valeurs vŽhiculŽes par OHXUV\QGLFDWGHO·HQVHLJQHPHQW

Les textes contenus dans ce recueil ont ŽtŽ produits par des Žl•ves du primaire et du secondaire et O·LOOXVWUDWLRQGHODFRXYHUWXUHHVWO·RHXYUHG·XQHpOqYHGXSULPDLUH&HWWHDFWLYLWpV·HVWGproulŽe dans les Žtablissements du 25 mars au 1ermai et a entra”nŽ la participation de plus de 500 Žl•ves rŽpartis dans 18 Žtablissements.

Ce recueil sans prŽtention se veut une collection des plus beaux textes soumis cette annŽe. Nous tenons ˆ remercier toutes les participantes et tous les participants, Žl•ves comme adultes, pour leur contribution ˆ cette activitŽ et nous souhaitons que les instants de rŽflexion inspirŽs par les situations aient des

retombŽes positives.

Claire BŽlanger et Martin DubŽ pour le Conseil syndical de la rŽgion de QuŽbec

(4)

/·pTXLSHGH correction tient ˆ mentionner

la qualitŽ des textes produits par les Žl•ves

de Mme Sonia Lachance, 6e annŽe de 6·pFROH

6H/·$UF-en-Ciel de la Commission scolaire

de la Capitale.

$XGLUHGHO·pTXLSHGHFRUUHFWLRQWRXV les textes Žtaient tr•s beaux et leur choix a ŽtŽGLIILFLOHELHQTX·DJUpDEOH

Jacques Boucher, vice-prŽsident SERQ

(5)

Pour faire la paix ˆ la rŽcrŽation, il ne faut pas dire des paroles violentes.

Yoann Coulombe

ƒcole St-Bernard - 1reannŽe LŽona BŽlanger, enseignante

hhhhhh

Je pense ˆ ce que je dois dire.

Samuel Harvey

ƒcole Notre-'DPHG·(WFKHPLQ- 1reannŽe CŽline Chamberland, enseignante

(6)

SITUATION A

Le 3e mardi de septembre, on tient dans les Žcoles la minute de silence pour la paix. On te demande de composer un message qui sera lu dans toutes les classes pour inviter les Žl•ves ˆ rŽflŽchir ˆ la paix. De quelle paix leur parleras-tu? De celle que tu souhaites dans chaque famille? De celle qu'il 6DXGUDLWGDQVODFRXUGHUpFUpDWLRQ"'HFHOOHTX·RQDSHUGXHGDQVOHVSD\VHQJXHUUH"&RPSRVHWRQ message.

MINUTE DE SILENCE POUR LA PAIX

(7)

Pourquoi les armes? Pourquoi ne pas laisser pousser les roses? Pourquoi ne pas jeter les armes mais pas O·DPRXU"3RXUTXRLQHSDVDUUrWHUODJXHUUHHWODLVVHUHQWUHUO·DPRXUODSDL[ODVpUpQLWp"3RXUTXRLWLUHUVXU le monde? Pourquoi ne pas rester ˆ la maison et se reposer?

Jean-Fran•ois Fafard

ƒcole de la Caravelle de Joly - 3e annŽe Sylvie Perreault, enseignante

hhhhhh

(8)

La colombe et la rose.

Il y a une colombe qui tourne et qui virevolte dans le ciel. Dans la colombe qui tourne et qui virevolte dans le ciel, il y a de la paix. Dans la paix, il y a de la joie. Dans la joie, il y a du bonheur. Dans le bonheur, il y a de ODJHQWLOOHVVH'DQVODJHQWLOOHVVHLO\DGHO·DPLWLp'DQVO·DPLWLpLO\DGHX[DPLHVTXLV·DPXVHQW'DQVOD FRORPEHLO\DODSOXVEHOOHFKRVHTX·LO\DGDQVOHPRQGH

StŽphanie C™tŽ

ƒcole de la Caravelle de Joly - 3eannŽe Sylvie Perreault, enseignante

(9)

-HFURLVTX¶RQDGHVVHQWLPHQWVQRXVDXVVL2QDLPHOHVHQIDQWV

Je SHQVHTXHFHQ¶HVWSDVSDUFHTX¶RQHVWGHVJDUoRQVTX¶RQQ¶HVWSDVFDSDEOHVGHJDUGHUGHVHQIDQWV

Je crois que nous aussi on est capables de changer des couches.

-HWURXYHTXHYRXVrWHVMDORXVHVSDUFHTX¶RQYDVHIDLUHGHO¶DUJHQW

Je crois que quand on va •tre grands, on sera fiers de garder nos enfants si on va en avoir.

/HVJDUoRQVDXVVLVRQWFDSDEOHVGHJDUGHUGHVHQIDQWVDYHFEHDXFRXSG¶DPRXU

Fran•ois Lavoie

ƒcole La Mennais - 5eannŽe Isabelle St-Denis, enseignante

(10)

Premi•rement, tout le monde a le droit de garder; les gars comme les filles. Ils ont le droit de garder; ils peuvent •tre VHQVLEOHVRXELHQDLPHUOHVHQIDQWV,OVQHVRQWSDVGHVSRXOHVPRXLOOpHVLOVRQWpWpFDSDEOHVGHGpPRQWUHUOHXUVWDOHQWVGH©

baby-sitter ª-HP¶HQIRXVPRLTX¶LOVJDUGHQWSDUFHTXHV¶LOVVRQWPDOSULVFRPPHV¶LOVDYDLHQWXQSetit fr•re ou une petite VRHXUHWTX¶LOVVRQWWRXWVHXOVLOVYRQWSRXYRLUV¶HQVRUWLUVDQVOHXUVSDUHQWV-HWURXYHTX¶LOVYRQWSRXYRLUPRQWUHUjOHXUV SDUHQWVTX¶LOVSHXYHQWVHGpEURXLOOHUVHXOV0RLHQWRXWFDVF¶HVWPRQRSLQLRQHWF¶HVWFHTXHM¶HQpense aussi!

Jessica Guay

ƒcole La Mennais - 5eannŽe Isabelle St-Denis, enseignante

(11)

%RQMRXUMHP¶DSSHOOH6DUDK-ÊYH$XMRXUG¶KXLMHYDLVYRXVSDUOHUGHODSDL[GDQVOHPRQGH3UHPLqUHPHQWLOQHIDXWSDV faire la guerre pour ne pas se blesser.

'HX[LqPHPHQWLOIDXWpYLWHUGHIDLUHGHVJHVWHVLUUHVSHFWXHX[jG¶DXWUHVSHUVRQQHV

Troisi•mement, il faut respecter les r•gles que nous donnent nos parents ou nos professeurs.

Quatri•mement, il faut rŽgler nos conflits de fa•on tr•s respectueuse.

Finalement, il faut •tre poli(e) envers ses amis(es).

Sarah-ËYH3RWYLQ

ƒcole du Vignoble -3eannŽe Denyse Lavoie, enseignante

(12)

ƒcoutez-moi bien tout le monde! La guerre tue des personnes innocentes. Elle dŽtruit des pays soit

pauvres, soit riches. Nous sommes bien chanceux nous au Canada, la paix existe dans notre pays. Pour

O·instant faites silence et rŽflŽchissez ˆ ce que je vous ai dit. Merci et commencez ˆ faire des petits gestes

qui font la paix autour de vous.

Carolanne Bilodeau

ƒcole Laure-Gaudreault - 4e annŽe JosŽe Tremblay, enseignante

(13)

GARDIENS AVERTIS

SITUATION G

6HUJHHW7KRPDVVRQWOHVVHXOVpOqYHVPDVFXOLQVGHO·pcole qui suivent le cours de gardiennage avec 26 6LOOHV'qVODSUHPLqUHUHQFRQWUH.DULQHVHPRTXHG·HX[©4XHIDLWHV-vous lˆ? Un gars ne pourra 6DPDLVFKDQJHUOHVFRXFKHVHWFRQVROHUXQEpEpª©9R\RQVUHSUHQG6DUDKWXVDLVELHQTXH6HUJH et Tho6 DVVRQWGHVILOOHVPDQTXpHVª/HOHQGHPDLQGHVJDUVGHODFODVVHLQIRUPpVGHODVLWXDWLRQ 6HQWHQWGHOHVULGLFXOLVHU©4XHIDLVLH]-6RXVOj"ª7XSUHQGVODSDUROH

hhhhhh

(14)

6LOHWD[DJHQ¶DSDVFRPPHQFpLOVHUDpYLGHQWTXHFHVHUDSOXVIDFLOHGHO¶pYLWHU3RXUGLPLQXHUOes chances de se faire taxer, LOIDXWVHWHQLUDYHFG¶DXWUHVSHUVRQQHVGHVDPLVHWpYLWHUG¶rWUHVHXO/HWD[DJHHVWXQHIRUPHG¶LQWLPLGDWLRQHWLOIDXW HPSrFKHUOHVDXWUHVG¶rWUHWD[HXUVSDUFHTXHoDSHXWPHQHUjODYLROHQFH/HWD[DJHSHXWDXVVLrWUHune violence verbale.

-¶HVSqUHTXHYRXVDYH]DSSUpFLpPRQWH[WHHWTXHYRXVHQFRQQDLVVH]SOXVVXUOHWD[DJH

Marie-Pier Lapointe

ƒcole de St-Laurent - 6eannŽe Bernard Croteau, enseignant

hhhhhh

(15)

Bonjour,

-HGLVTXHOHPRQGHQ¶HVWSDVOHPRQGHWDQWTX¶LOQ¶\DXUDSDVODSDL[/RUVTXHFHPRQGH aura la paix, il sera formidable, il sera aussi le meilleur de tous les mondes. Aidez-nous ˆ arr•ter la souffrance, la mort, la pauvretŽ. Toutes ces familles brisŽes, toutes ces vies perdues pour cette raison. Tout cela me brise le coeur et je sais que•a ne brise pas que le mien.

Toutes ces choses doivent arr•ter et surtout jamais recommencer. Pensez-y vraiment. Pensez ˆ toutes ces mis•res si dures ˆ endurer. Personne ne peut survivre ˆ ce massacre. Moi je dis non ˆ la guerre! Nous disons non ˆ la guerre! Je ne suis pas capable de vivre vraiment tant que le monde ne sera pas en paix. Que ce mot reste dans ma t•te pour toujours. PAIX

Maryse Fortin-Dupuis

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 4eannŽe Dianne Breton, enseignante

(16)

DŽlivrons les colombes!

Bonjour tout le monde!

$XMRXUG·KXLQRXVDOORQVYRXVSDUOHUGHO·LPSRUWDQFHGHODSDL[GDQVOHPRQGH6DYLH]-vous que la terre est la PqUHGHODSDL[HWQRQGHODJXHUUH"3RXUTXRLVHEDWWUHSRXUXQWHUULWRLUHSRXUO·eau potable ou pour le SpWUROHTXDQGRQSHXWOHVSDUWDJHU"3RXUTXRLV·pORLJQHUGHODSDL[TXDQGRQSHXWV·HQDSSURFKHU",OIDXW arr•ter de dessiner les colombes en rouge et de les noircir par la violence.

Alors travaillons ensemble pour dŽvelopper la paix!

Collectif par les Žl•ves de 4e annŽe ƒcole du Ch‰telet

Sylvie Gosselin, enseignante

(17)

'DQVFHWH[WHMHYDLVSDUOHUG¶XQSUREOqPHTXLHVWOHWD[DJH-¶HVSqUHTXHYRXVDOOH]DSSUpFLHUPRQWH[WH

Les personnes victimes de taxage doivent immŽdiatement aller en parler ˆ une personne de confiance et dŽnoncer les taxeurs.

Les victimes se sentent souvent renfermŽes et inutiles.

/HVWD[HXUVYRQWSOXVVRXYHQWV¶DWWDTXHUjGHVSHUVRQQHVVHXOHVRXjGHQRXYHOOHVSHUVRQQHVTXLYLHQQHQWG¶DUULYHUHWTXLQH FRQQDLVVHQWSDVELHQO¶HQGURLW/HVWD[HXUVQHVRQWpas nŽcessairement mieux que les victimes car ils ont besoin de voler O¶DUJHQWGHVDXWUHVSRXUHX[

6LRQFRPPHQFHjrWUHWD[pLOIDXWGLUHQRQHWDOOHUGpQRQFHUOHWD[HXUPDLVODSOXSDUWGXWHPSVFHQ¶HVWSDVVLIDFLOHSDUFH que nous avons peur de ceu[TXLQRXVWD[HQWSDUFHTX¶LOVVRQWVRLWSOXVIRUWVSOXVJUDQGVRXSOXVYLHX[6LOHWD[DJH V¶LPSRVHFKH]XQHSHUVRQQHLOYDpYROXHUUDSLGHPHQW8QHMRXUQpHLOVSHXYHQWWD[HUGHO¶DUJHQWO¶DXWUHMRXUQpHGHV v•tements et une autre journŽe des objets de valeur.

Ch•re Brigitte,

%RQMRXUMHP¶DSSHOOH6DEULQDHWMHVXLVPRLQVWLPLGHTXHWRL-¶DLDSSULVTXHWXW¶pWDLVIDLWWD[HUHWM¶DXUDLVXQSHWLWFRQVHLOj te donner.

0RLVLM¶DYDLVXQFRQVHLOjWHGRQQHUFHVHUDLWGHQHSDVWHODLVVHUIDLUHGLUHFHTXHWXSHQVHVIUDQFKHPHQWHWVXUWRXWQHODLVVH pas ta peur prendre le dessus sur toi! Si tu le peux, trouve-WRLG¶DXWUHVDPLVPDLVGHVDPLVTXLQHWHFDXVHURQWDXFXQ

probl•me de taxage.

Aie confiance en toi et ne laisse pas ta peur te dominer. Fais ce qui sera bon pour ta vie future.

Sabrina Faucher-Picard ƒcole Jouvence - 5eannŽe Catherine Gigu•re, enseignante

(18)

-HYDLVYRXVSDUOHUGHOD3$,;-¶DLFKRLVLOD3$,;FDUMHWURXYHTXHF¶HVWWUqVLPSRUWDQWGDQVOHPRQGH

/D3$,;F¶HVWWUqVLPSRUWDQWFDUV¶LOQ¶\DYDLWSDVGH3$,;oDVHUDLWODJXHUUHHWODJXHUUHFHQ¶HVWSDVFRUUHFW-HWURXYH TX¶RQHQYRLWDVVH]jODWpOpYLVLRQGDQVOHVUpFUpDWLons, dans les cours des Žcoles et surtout en ce moment en Irak et aux ƒtats-8QLV0RLM¶DLPHEHDXFRXSODWHUUHHWMHQHYRXGUDLVVXUWRXWSDVTXHjFDXVHGHODJXHUUHWRXWFHTX¶RQDGHSOXVFKHU comme la famille et les amies, meure ˆ cause de la guerre. Voici des petits trucs pour pas faire la guerre : Te tenir loin des SHUVRQQHVTXLQHW¶DLPHQWSDVHWHVVDLHGHQHSDVIDLUHGHFKLFDQHV

-HVRXKDLWHUDLVTX¶LOQ¶\DLWSOXVGHJXHUUHHWDXVVLTX¶RQYLYHGDQVXQPRQGHHQ3$,;

Gabrielle Goulet

ƒcole de St-Laurent - 5eannŽe Jovette Desch•nes, enseignante

hhhhhh

(19)

/DSDL[F·HVWYDODEOHSRXUWRXV&RPPHQRXVOHVDYRQVODJXHUUHIUDSSHVRXYHQWGHVSD\VSDXYUHV&·HVW SRXUTXRLODSDL[F·HVWYDODEOHSRXUWRXV6DQVSDL[OHPRQGHVHUDLWLQYLYDEOH­WRXVOHVWURLVLqPHVPDUGLV GHVHSWHPEUHRQDFFRUGHGDQVWRXWHVOHVpFROHVXQHPLQXWHGHVLOHQFHSRXUODSDL[5pVXPHUODSDL[F·HVW GLUHTX·HOOHHVWHVVHQWLHOOH6LQRXVSRXYLRQVIDLUHFRPSUHQGUHjFHX[TXLGpFOHQFKHQWODJXHUUHG·DUUrWer, de cacher les armes, de dŽtruire leurs affreuses bombes atomiques, le monde souffrirait moins et ferait PRLQVVRXIIULUVHVKDELWDQWV6·LOYRXVSODvWIDLWHVXQHIIRUWSRXUTXHGHPDLQODPHUYHLOOHXVHSODQqWHVXU ODTXHOOHRQYLWVRLWG·KLHUjDXMRXUG·KXLXQPRQGHPHLOOHXUHWSOXVKDUPRQLHX[

Genevi•ve Morneau-Vaillancourt eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 5eannŽe Norbert LŽvesque, enseignant

(20)

Ch•re Brigitte,

/HPHLOOHXUFRQVHLOTXHMHSRXUUDLVWHGRQQHUF¶HVWGHQHSDVDFFHSWHUVDGHPDQGH Si elle est venue te demander cette SURSRVLWLRQF¶HVWSRXUVHIDLUHGHO¶DUJHQWQRQSRXUrWUHWRQDPLH7RXWOHPRQGHSHXWVHIDLUHGHVDPLVGHVYUDLVDPLV /¶DPLWLpoDQHV¶DFKqWHSDVFHQ¶HVWSDVDYHFGHO¶DUJHQWTX¶RQREWLHQWGHVDPLVYpULWDEOHV Tu peux te faire des copains qui QHWHFR€WHURQWULHQMXVWHGHO¶DPLWLpHWGXWHPSVSRXUHX[3OXVLHXUVSHUVRQQHVRQWOHPrPHSUREOqPHTXHWRL6LWXYHX[HQ savoir plus, parles-HQYLWHjTXHOTX¶XQGHFRQILDQFHOXLDXVVLW¶DLGHUD

JosŽe-Anne C™tŽ

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 5eannŽe Isabelle Journault, enseignante

(21)

Bonjour, je vais vous raconter une histoire sur le taxage et ensuite, je vais vous donner des conseils sur le taxage.

8QHILOOHGXQRPGH%ULJLWWHVHIDLWGLUHSDUXQHpOqYHGHVDFODVVHTXLV¶DSSHOOH$PpOLH©'DQVPDJDQJRQDFFHSWHOHV nouvelles, mais elles doivent payer 2 $ d•s le lendemain matinª

M aintenant, je vais vous donner des conseils sur le taxage.

Reste calme, calme car les taxeurs aiment souvent les rŽactions que les autres ont. Parles-HQjXQDGXOWHTXLYDV€UHPHQWWH protŽger. Ne montre pas ˆ tout le monde ton argent ou des objets qui ont beaucoup de valeur.

Si •a va trop loin, parles-en ˆ un policier et dŽcris-lui la personne pour que le policier puisse la retrouver.

Si tout le monde suivait mes conseils, les taxeurs seraient moins nombreux.

Marie-Claude RhŽaume

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 5eannŽe Norbert LŽvesque, enseignant

(22)

La guerre, est-ce rŽel?

Tous ces gens qui sont malades, tous les gens qui se suicident, qui ne se respectent pas, Est-ce rŽel?

/¶HDXOHVYpJpWDX[OHVPLQpUDX[OHVDQLPDX[

Est-ce rŽel?

La vie, Est-ce rŽel?

/¶,UDNOHVeWDWV-Unis, Est-ce rŽel?

La paix, le respect, Est-ce rŽel?

Non /HVJHQVQHV¶pFRXWHQWSOXVQHVHUHVSHFWHQWSOXV 1HV¶DLPHQWSOXV

M ais nous devrions arr•ter, Le monde serait merveilleux 7HOTX¶XQSDUDGLVVDQVJXHUUH Serait la paix

Peut-elle exister?

Oui, le respect aussi.

Il faut agir maintenant

‚a commence par soi-m•me.

Pensez-y!

Julie Huard-Marois

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 5eannŽe Isabelle Journault, enseignante

(23)

/DSDL[HVWLPSRUWDQWH&·HVWSRXUTXRLLOIDXWODJDUGHUO·DPpOLRUHUODUHQGUHSOXVEHOOHpour enfin Žvoluer.

Puisse cette paix vous Žclairer lorsque toutes les autres lumi•res seront Žteintes. Garder espoir et

UHJDUGHUjO·DYDQW3HQVHUHWDJLUVDXYHUHWFRQWLQXHU3UHQGUHFRQVFLHQFHUpIOpFKLUDWWHQGUHHWJXpULU Punir, non, conseillerHWWURXYHU8QLUHWJUDQGLUYRLOjFHTX·LOQRXVIDXWSRXUREWHQLUXQPRQGHSOXVEHDX Vive la paix!

Audrey B. Portelance ƒcole La Riveraine - 6eannŽe Nathalie C™tŽ, enseignante

(24)

Bonjour,

0RLM¶DLFKRLVLGHSDUOHUGXWD[DJHSDUFHTXHMHWURXYHTXHF¶HVWLPSRUWDQWGHGRQQHUGHVtrucs aux autres qui se font taxer SRXUTX¶LOVQHVHIDVVHQWSOXVWD[HU0RLVLMHPHIDLVDLVWD[HUM¶DXUDLVPRLDXVVLDLPpDYRLUGHVWUXFV

4XHOTXHVWUXFVTXHMHGRQQHUDLVj%ULJLWWHF¶HVWGHQHSDVHPEDUTXHUGDQVGHVJDQJVFRPPHFHOOHG¶$PpOLH&HX[qui GHPDQGHQWGHO¶DUJHQWF¶HVWFRPPHV¶LOVDFKHWDLHQWODSHUVRQQHHWDFKHWHUXQHDPLHoDQHVHIDLWSDVXQHDPLHoDQ¶DSDVGH prix.

%ULJLWWHQHGHYUDLWSDVHPPHQHUG¶DUJHQWjO¶pFROH(OOHGHYUDLWSOXW{WH[SOLTXHUj$PpOLHTXHGHVDPLHVoDQHV¶DFKqte pas et TX¶HOOHGHYUDLWjODSODFHrWUHJHQWLOOHDYHFOHVDXWUHVSRXUVHIDLUHGHVDPLHV

-¶HVSqUHHWMHVRXKDLWHj%ULJLWWHGHUpXVVLUjFRQYDLQFUH$PpOLHTX¶DFKHWHUGHVDPLHVFHQ¶HVWSDVFRUUHFW-HOXLVRXKDLWH aussi de se faire des amies pas avec O¶DUJHQWPDLVO¶DPLWLp

Au revoir!

Caroline Boily

ƒcole de St-Laurent - 5eannŽe Jovette Desch•nes, enseignante

(25)

,OQHIDXWSDVTXHWXWHIDVVHVLQIOXHQFHUSDUWDQRXYHOOHJDQJ-HVDLVTXHF¶HVWGXUSRXUWRLGHte faire accepter dans cette pFROH0DLVLO\DWRXMRXUVTXHOTX¶XQTXLHVVDLHGHWHPDQLSXOHUDYHFGHVJHVWHVLOOpJDX[$ORUVVLWXSHQVHVTXHOHVDXWUHV HVVDLHQWGHWHKDUFHOHUQ¶KpVLWHSDVjDYHUWLUODGLUHFWLRQGHO¶pFROH3DUFHTXHFHTX¶LOVIRQWFHQ¶HVWSDVFRUUHFWRQDSSHOOH oDGX© TAXAGE ª6LWXODLVVHVIDLUHoDLOVOHIHURQWjG¶DXWUHVHWEHDXFRXSG¶DXWUHVpOqYHVQHYRXGURQWSOXVDOOHUjO¶pFROH

StŽphan Thivierge

ƒcole Beau-Soleil - 2ecycle Jeanine Pelletier, enseignante

hhhhhh

(26)

'DQVFHWH[WHMHYDLVYRXVSDUOHUGHODSDL[HWGHODJXHUUH-¶HVSqUHTXHYRXVDSSUHQGUH]GHVFKRses.

/DSDL[HVWHVVHQWLHOOHjODYLH,PDJLQH]VLHOOHQ¶pWDLWSDVOj/DJXHUUHUpJQHUDLWVXUWRXWHODSODQqWH7(55(/HFKDRV WRWDOGHVERPEHVGHWRXWHVOHVVRUWHVWRPEHUDLHQWSDUWRXWO¶DUJHQWJDVSLOOpSRXUGHVDUPHVOHFKHIGHFKDTXHQDWLRQ nŽglLJHUDLWVRQSHXSOHULVTXHUVDYLHSRXUDOOHUjO¶pSLFHULHHWF(VW-FHTXHF¶HVWoDTXHYRXVYRXOH]"-¶HVSqUHTXHQRQ M aintenant parlons de la paix.

Savez-YRXVDXPRLQVFHTX¶HVWODSDL["

Paix :

1. 6LWXDWLRQG¶XQSD\VTXLQ¶HVWSDVHQJXHUUH

2. Cessation des hostilitŽs; traitŽ mettant fin ˆ la guerre.

3. eWDWGHFRQFRUGHG¶DFFRUGHQWUHOHVPHPEUHVG¶XQJURXSHG¶XQHQDWLRQ 4. 7UDQTXLOOLWpTXLpWXGHH[HPSWHGHEUXLWG¶DJLWDWLRQGHGpVRUGUH 5. 7UDQTXLOOLWpVpUpQLWpGHO¶HVSULW

9RXVYR\H]ODSDL[F¶est beaucoup de choses et on en est gagnant.

&HWWHWUDQTXLOOLWpQRXVGRQQHEHDXFRXSODOLEHUWpOHGURLWGHYLYUHVDQVPHQDFHG¶H[SOLTXHUGHFRPSUHQGUHGH V¶H[SULPHUHWF$ORUVMHYRXVGHPDQGHGHQHSDVHQFRXUDJHUODJXHUUHQLGHODIDLUHSXLVTX¶HOOHODLVVHSOXVLHXUVWUDFHV -¶HVSqUHTXHYRXVFRPSUHQH]TXHODJXHUUHQ¶HVWSDVXQHVROXWLRQHWTXHODSDL[DUDLVRQ

MŽlanie Dufour

ƒcole de St-Laurent - 6eannŽe Bernard Croteau, enseignant

Salut Brigitte,

­ODSODFHGHGRQQHUOHJDUGH-le et va le dire ˆ un adulte. Tu pourrais aussi les Žviter pendant les SURFKDLQHVKHXUHV3RXUW·DLGHUWURXYHG·DXWUHVDPLV7XSHX[DXVVLIDLUHXQHHQWHQWHDYHFHX[

Alors, prends une solution et merci de nous en avoir parlŽ.

(27)

Myrko Robert-Paradis

ƒcole St-Fid•le - 5eet 6eannŽe Marie Verrier, enseignante

hhhhhh

(28)

%ULJLWWHPRLMHWHFRQVHLOOHGHQHSDVDFFHSWHUOHXURIIUH3DUFHTXHV€UHPHQWTXHFHQHVHUDSDVGHVERQVDPLV,OVSHXYHQW IDLUHGHVPDXYDLVFRXSV&¶HVWFRPPHVLWXSD\DLVWHVDPLV-HWHGLVDXVVLG¶DWWHQGUHTXHOTXHVMRXUVHWWXYDVYRLUWXDXUDV quelques amis. Demande ˆ une personne si tu peux jouer avec elle. Si elle dit non, trouve une autre personne et demande-le OXL0RLMHGLUDLVQRQ9RLFLPHVFRQVHLOV/DGpFLVLRQW¶DSSDUWLHQW

FrŽdŽric Lord

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 4eannŽe Dianne Breton, enseignante

hhhhhh

(29)

AMOUR PATERNEL

SITUATION B

6 XHOTXHVDPLVGHWDFODVVHUHJDUGHQWO·pPLVVLRQGHWpOp© 6HV6LPSVRQª/HOHQGHPDLQLOVULJROHQWHQ 6HUDFRQWDQWOHVPDXYDLVFRXSVGH%DUWHWOHVUpDFWLRQVGHVRQSqUHTXLUHJUHWWHGHO·DYRLUPLVDX 6 RQGH5pFHPPHQWHQOLVDQWOHMRXUQDOWRQSqUHW·DSS6HQGTXHO·KRPPHTXLUpDOLVHO·pPLVVLRQQH permet pas ˆ son fils de 12 ans de la regarder. Selon toi, pourquoi cet homme refuse-t-il ˆ son fils 6HUHJDUGHUO·pPLVVLRQ©/HV6LPSVRQª"7XpFULVDX[SDUHQWVGHVpOqYHVSRXUOHXUGRQQHUFRQVHLO

hhhhhh

(30)

'LWHVjYRVHQIDQWVG·DUUrWHUG·pFRXWHUGHVILOPVYLROHQWVSDUFHTXHYRVHQIDQWVSHXYHQWIDLUHGHODYLROHQFH envers un autre enfant.

Beno”t Langlois-Allard

ƒcole de St-Laurent - 2eannŽe Christine Roussel, enseignante

hhhhhh

Son p•re ne veut pas qu·LOpFRXWHOHV6LPSVRQSDUFHTXHF¶HVWWURSYLROHQW,O\DGXYDQGDOLVPH,OVQHVRQW pas polis.

Audrey Fortier

ƒcole de St-Laurent - 3eannŽe HŽl•ne Blouin, enseignante

hhhhhh

(31)

Brigitte,

7XYHX[GHVFRQVHLOVOLVFHWH[WHHWWXHQWURXYHUDV-HWURXYHTXHOHWD[DJHDO¶air de faire peur. Quand je regarde la tŽlŽ et TXHMHYRLVOHVSHUVRQQHVVHIDLUHWD[HUMHPHVHQVWULVWHSRXUWRXVFHVJHQV4XDQGMHQHP¶HQGRUVSDVMHSHQVHjWRXWHVOHV VROXWLRQVTXLH[LVWHQWSRXUTX¶LOQ¶\DLWSOXVGHWD[DJH : comme aller voir un adulte, nos parents ou un professeur, mais SDUIRLVoDQHIDLWTXHFRQWLQXHULOVPHQDFHQWGHWHIDLUHGXPDOVLWXQHOHXUGRQQHVSDVO¶DUJHQWRXWHIDLUHGXPDOVLWXGLV TXRLTXHFHVRLWG¶HX[$ORUVDYHUWLVODSROLFHPDLVoDF¶HVWjODILQGHWRXVWHVautres moyens. ƒvidemment, Brigitte, tu SHX[WHQLUFRPSWHGHWRXVFHVFRQVHLOV0DLVTXRLTX¶LODUULYHQHGRQQHSDVWRQGHX[GROODUVFDUFHVHUDLWGHO¶DPLWLpDFKHWpH

ƒrika St-Hilaire

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 4eannŽe Marjolaine Moisan, enseignante

(32)

Ch•re Brigitte,

-HP¶DSSHOOH6WHYHQ0DKHX[MHGHPHXUHj6WH-AurŽlieHWM¶DLDQV-¶DLVXWRQSUREOqPHjSURSRVG¶$PpOLH0DLQWHQDQW que je me suis prŽsentŽ, je vais te donner quelques conseils qui rŽsoudront ton probl•me.

M on premier conseil est impose-toi, ne te laisse pas faire. Dis ce que tu en penses et si elle te force, tu le dis ˆ tes parents SRXUTX¶LOVDLOOHQWYRLUOHGLUHFWHXUSRXUUHQFRQWUHUVHVSDUHQWV$SUqVFHWWHUHQFRQWUHOHVSDUHQWVG¶$PpOLHOXLSDUOHURQWHWOXL diront peut-rWUHG¶DUUrWHUGHWD[HUOHVQRXYHOOHVpOqYHV6LFHODQHPDUFKHSDVYRLFLXn autre conseil qui marchera : tu lui dis :

©3DVGHQLGHWD[DJHªHWVRLVFRQYDLQFDQWHGHFHTXHWXGLV9RLOjXQGHUQLHUFRQVHLOWXOXLRIIUHVXQHVRLUpHFLQpPDHW allez voir un film tr•s triste. Peut-rWUHTX¶DSUqVFHILOPHOOHVHUDJHQWLOOH

6DOXWMHVXLVFRQWHQWG¶DYRLUSXWHGRQQHUGHVLGpHVHWERQQHFKDQFH Steven Maheux

ƒcole Jouvence - 4eannŽe Catherine Gigu•re, enseignante

(33)

Chers parents,

-HYRXVFRQVHLOOHUDLVGHQHSDVODLVVHUYRWUHHQIDQWUHJDUGHU©/HV6LPSVRQª9RLFi pourquoi : peut-•tre bien que votre HQIDQWDLPH©/HV6LPSVRQªPDLVGLWHV-YRXVTXH©/HV6LPSVRQªGRQQHQWXQHPDXYDLVHLQIOXHQFHjYRWUHHQIDQW'HSOXV

© Les Simpson ªFRPSRUWHQWGHODYLROHQFHHWEHDXFRXSGHYXOJDULWpV(QG¶DXWUHVWHUPHVF¶HVWune Žmission idiote. Je SHQVHTXHFHWWHpPLVVLRQQHGHYUDLWPrPHSDVH[LVWHU$XMRXUG¶KXLFHWWHpPLVVLRQHVWFRQVDFUpHDX[DQVHWSOXV

Audrey Marquis-Drolet ƒcole du Vignoble - 3eannŽe Denyse Lavoie, enseignante

hhhhhh

(34)

Un p•UHTXLFUpHO·pPLVVLRQ©/HV6LPSVRQ ªQHYHXWSDVTXHVRQILOVODUHJDUGH-HYDLVYRXVH[SOLTXHU SRXUTXRL0RLSHUVRQQHOOHPHQWMHQ·DLSDVOHGURLWG·pFRXWHUFHWWHpPLVVLRQ0HVSDUHQWVWURXYHQWTXHF·HVW YLROHQWYLROHQWYHUEDOHPHQWDXVVL&HQ·HVWSDVODPHLOOHXUHpPLVVLRQDXPRQGHjpFRXWHU&·HVWPLHX[

G·pFRXWHUGHVpPLVVLRQVpGXFDWLYHVTXHGHVpPLVVLRQVFRPPH©/HV6LPSVRQª&HWWHpPLVVLRQFRPSRUWH aussi beaucoup de sexisme.

Marie-Pier Normand

ƒcole de St-Laurent - 4eannŽe Claire Arsenault, enseignante

(35)

Bonjour Brigitte,

Brigitte est une nouvelle dans la classe. ElOHGHPDQGHGHUHQWUHUGDQVODJDQJPDLVHOOHGRLWSD\HU9RLFLFHTXHM¶HQ pense.

0RLMHFURLVTXHSRXUUHQWUHUGDQVXQHJDQJLOQHIDXWSDVSD\HU3RXUUpJOHUFHFRQIOLWVL%ULJLWWHDPqQHjO¶pFROHOH PRQWDQWG¶DUJHQWYDPRQWHUHWHOOHQHVHUDV€UHPHQWSDVHPEDUTXpH4XRLIDLUH"&¶HVWWUqVVLPSOH%ULJLWWHGRLWVHXOHPHQW HQSDUOHUDYHFTXHOTX¶XQjTXLHOOHIDLWFRQILDQFH

Jean-FrŽdŽric Montreuil-Moreau ƒcole de St-Laurent - 4eannŽe Claire Arsenault, enseignante

hhhhhh

(36)

Bonjour,

6LM¶pWDLVjWDSODFHMHQHOHXUGRQQHUDLVSDVOHFDUFHTX¶LOVWHIRQWF¶HVWGXWD[DJH'HSOXVV¶LOVWHIRQWoDF¶HVWTX¶LOVQH peuvent pas •tre des bons amis. Choisis plut™t une gang qui dŽsire seulement ton amitiŽ. Si tu choisis les personnes qui te fontSD\HULOVULVTXHQWGHWHWD[HUSOXVG¶XQHIRLV6LWXFKRLVLVFHX[TXLQHWHIRQWSDVSD\HUWXWHVHQWLUDVSOXVHQVpFXULWp -¶HVSqUHTXHPHVFRQVHLOVVDXURQWW¶DLGHU

Gabriel Choini•re

eFROH/·$UF-en-Ciel (St-Narcisse) - 4eannŽe Suzanne Lemelin, enseignante

hhhhhh

(37)

Chers parents,

Je trouve que cette Žmission est dŽconseillŽe aux enfants parce que Bart fait de mauvais coups ˆ chaque Žmission et donne de PDXYDLVH[HPSOHVDX[MHXQHV6RQSqUH2PHUHVWWRXMRXUVHQWUDLQGHO¶pWUDQJOHULOIDLWWRXMRXUVOHGpELOHHWIDLWGHVFKRVHV bizarres. Ce personnage a tr•s mauvaise influence sur les enfants. Au travail, il met la vie des autres en danger avec ses gaffes. De plus, il y a Barney qui ne cesse de prendre de la bi•re et faire de gros rots devant tout le monde.

Samuel Guay

ƒcole Beau-Soleil - 2ecycle Jeanine Pelletier, enseignante

hhhhhh

(38)

Bonjour,

0RLMHVXLVG·DFFRUGjFHTXHFHUWDLQVSDUHQWVUHIXVHQWTXHOHXUVHQIDQWVUHJDUGHQWGHVpPLVVLRQVFRPPH©

/HV6LPSVRQª0DLVMHFURLVTXHV·LOVUHIXVHQWF·HVWSDUFHTXHFHVpmissions sont plus ou moins violentes ou YXOJDLUHV­ELHQ\SHQVHUOHVpPLVVLRQVFRPPH©/HV6LPSVRQª©+HQULSXLVVDJDQJªHWODFOLTXH

devraient toujours •tre interdites aux moins de treize ans par les parents. (Les parents devraient faire plus attention). Enfin, les Žmissions comme celles-FLSUpVHQWHQWGHVSUREOqPHVPDOFRPSULVF·HVWGU{OHj voir mais pas ˆ faire).

Christian Garcia-MŽnard

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 4eannŽe Dianne Breton, enseignante

(39)

ƒloigne-toi de cette personne-lˆ. Parles-en ˆ un adulte, ˆ ton p•re ou ta m•re ou ton professeur. Te laisse pas faire.

MŽlissa Coulombe

ƒcole de St-Laurent - 3eannŽe HŽl•ne Blouin, enseignante

hhhhhh

Ch•re Brigitte,

,OQHIDXWSDVTXHWXGRQQHVWRQGHX[GROODUVSDUFHTX·LOVYRQWW·HQGHPDQGHUHQFRUHSOXV,OIDXWHQSDUOHUj WHVSDUHQWVSDUFHTX·LOVYRQWFRQWLQXHUGHW·HQGHPDQGHU-RXHDYHFGHVDPLVSOXVJHQWLOV,OIDXWDXVVL ignorer ces personnes. Il faut en parler ˆ ton professeur, il va rŽgler •a.

ChloŽ SŽnŽchal

ƒcole du Vignoble - 3eannŽe Denyse Lavoie, enseignante

TAXAGE

SITUATION E

6ULJLWWHYLHQWG·6UULYHUGDQVWDFODVVHHQSOHLQPLOLHXG·DQQpH(OOHHVWWLPLGH$PpOLHXQHpOqYHGH ta classe, lui a parlŽ secr•tement hier. Elle lui a expliquŽ que sa gang acceptait les nouvelles Žl•ves 6 DLVTX·LOIDXGUDLWDSSRUWHU 6jO·pFROHGqVOHOHQGHPDLQPDWLn. Brigitte a peur et ne sait quoi faire.

Elle te demande conseil.

hhhhhh

(40)

Chers parents,

-HYDLVYRXVLQIRUPHUSRXUTXRLOHFUpDWHXUGHO¶pPLVVLRQ©/HV6LPSVRQªQHYHXWSDVTXHVRQILOVUHJDUGHFHWWHpPLVVLRQ '¶DSUqVPRLF¶HVWSDUFHTXHF¶HVWWUHL]HDQVHWSOXV0DLVF¶HVWWUHL]HDQVHWSOXVSDUFHTX¶LO\DWURSGHYLROHQFH9RXVOHV paUHQWVYRXVODLVVH]YRVHQIDQWVpFRXWHUFHWWHpPLVVLRQ&¶(6775239,2/(17$UUrWRQVG¶pFRXWHUFHWWHpPLVVLRQSRXU TXHOHVFRWHVG¶pFRXWHGHVFHQGHQW&RPPHoDLOYDIDOORLUTX¶LOVDUUrWHQWGHSDVVHUFHWWHpPLVVLRQjODWpOpYLVLRQ

M erci!

KŽven Jeffrey

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 5eannŽe Norbert LŽvesque, enseignant

hhhhhh

(41)

6LWHVQRQDX[©6,03621ª

Chers parents,

-HYRXVpFULVSRXUYRXVGLUHG·HPSrFKHUYRVHQIDQWVG·pFRXWHUGHVpPLVVLRQVYLROHQWHVFRPPH©/HV

Simpsonª6LYRus avez des jeunes qui ont 12 ans et moins, Žloignez-les de ces diffusions. Elles comportent des sc•nes de violence et il y a aussi des mots que nous ne devrions pas savoir. Couchez-les au moins avant neuf heures alors vous pouvez changer de poste autant pour les enfants que les parents. Avec des

pPLVVLRQVFRPPH©/HV6LPSVRQªOHVHQIDQWVSHQVHURQWHQFRUHSOXVjODYLROHQFHTX·HQFHPRPHQW0RL DXVVLM·DLpFRXWpFHWWHpPLVVLRQHWMHGRLVGLUHTXHMHQHVXLVSDVILqUHG·DYRLUIDLWFHOD$YHFoDLO\a des FRPEDWVTXLFRPPHQFHQWGHKRUVRXGDQVO·pFROH-·HVSqUHTXHPHVDUJXPHQWVYRXVRQWFRQYDLQFXV

Marjorie BhŽrer

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 5eannŽe Isabelle Journault, enseignante

hhhhhh

(42)

-HQHYHX[SDVTXHOH&DQDGDV¶HPEDUTXHGDQVFHWWHJXHUUHFDUMHQHYHX[SDVSUHQGUHOHULVTXHGHPe faire attaquer par les ,UDNLHQVHWMHYHX[PRQWUHUHWM¶HQVXLVILHUTXHOH&DQDGDHVWXQSD\V3$&,),48((WPRLSHUVRQQHOOHPHQWM¶DLWUqV SHXUGHODJXHUUH-¶DLPHUDLVTXHFHODFHVVHPDLQWHQDQWFDUEHDXFRXSG¶LQQRFHQWVRQWpWpWXpVHWVHURQWWXpV-¶DLPHUDLVTX¶LO

\DLWXQSHXGHSDL[GDQVOHPRQGH4XHVHXOHPHQWSHQGDQWXQHMRXUQpHRXSOXVTX¶DXFXQSD\VQHVHEDWWHTX¶LOQ¶\DLW pas de chicane, etc.

),1,/(6©&¶(67,187,/(ª

(QFRQFOXVLRQMHVXLVILHUTXH1286WRXVOHVHQIDQWVGX&$1$'$D\RQVSULV1275(SODFHHWTXHO¶RQVHVRLHQWDIILUPpV sur le dŽsir de ne pas faire rŽgner la guerre mais la PAIX!!!

0HVVLHXUVPHUFLG¶DYRLUSULVOHWHPSVGHOLUHFHWWHOHWWUHHWM¶(63Ê5(TX¶jO¶DYHQLUYRXVQHGLUH]SOXVMDPDLVTXHF¶HVW inutile ce que nous faisons dans la lutte contre la guerre.

M erci!!

Simon VŽzina

ƒcole de St-Laurent - 6eannŽe Bernard Croteau, enseignant

(43)

Bonjour messieurs Filion et Arthur,

-¶DLVXTXHYRXVGLVLH]TXHoDQHVHUYDLWjULHQG¶HQYR\HUGHVOHWWUHVjO¶+RQRUDEOHPRQVLHXU&KUpWLHQHWTXHO¶RQQ¶DYDLWSDV OHGURLWGHSUHQGUHSRVLWLRQGDQVFHWWHJXHUUH'DQVFHWWHOHWWUHMHYDLVHVVD\HUGHYRXVFRQYDLQFUHTXHFHQ¶HVWSDVXQHSHUWH GHWHPSVG¶HQYR\HUGHVFRORPEHVjO¶+RQRUDEOHPRQVLHXU&KUpWLHQHWTXHO¶RQDOHGURLWGHSUHQGUHSRVLWLRQGDQVFHWWH guerre!!!

DES LETTRES ET DES COLOM BES

3UHPLqUHPHQWYRXVGLWHVTXHoDQHVHUWjULHQG¶HQYR\HUGHVFRORPEHVjO¶+RQRUDEOHPRQVLHXU&KUptien!!!! Bien voyons donc!! Pourquoi pensez-YRXVTXHOH&DQDGDQ¶HVWSDVDOOpHQJXHUUH"3DUFHTX¶LODYXTXH7287(VDQDWLRQPDQLIHVWDLW contre la guerre et pour la paix, des personnes lui envoyaient des messages, etc.

M A POSITION

Deuxi•PHPHQWYRXVGLWHVTXHO¶RQQ¶DSDVOHGURLWGHSUHQGUH1275(SRVLWLRQGDQVFHWWHJXHUUH-HYRXGUDLVYRXVGLUHj TXHOSRLQWMHPHVHQVFRQFHUQpSDUFHWWHJXHUUHFDUF¶HVWQRWUHDYHQLUTXLHVWHQMHX1275($9(1,5

L

(44)

DIZAINE IDƒALE

SITUATION C

6HVLWH:HE© edupax.org 6HQDVVRFLDWLRQDYHFOD)pGpration des comitŽs de parents, propose aux Žl•ves de passer dix jours sans tŽlŽ, ni Žmission, ni vidŽo, ni jeu Žlectronique. Dix jours ˆ Žcran fermŽ. Savais-tu que dans les Žcoles o• on a relevŽ ce dŽfi, la violence a diminuŽ de moitiŽ? Quels seront les r6VXOWDWVGHFHWWHGL]DLQHLGpDOH"4X·HQSHQVHQWOHVSDUHQWV"&URLV-tu pouvoir relever un tel dŽfi avec les amis de ta classe? Par quoi remplacerais-tu la tŽlŽ?

hhhhhh

(45)

Bonjour,

-HYDLVSDUOHUGXGpIL©'L]DLQHLGpDOHªF·HVW-ˆ-GLUHSDVG·pcran pendant dix jours. Moi, je pourrais Žcouter la tŽlŽ des heures et des heures si on ne sortait pas dehors. Je prŽf•re jouer dehors que de UHVWHUDVVLVHVXUGHVFRXVVLQVGHGLYDQjpFRXWHUODWpOpYLVLRQ4XDVLPHQWWRXVOHVILOPVVRQWYLROHQWV6·LO Q·\DYDLWSDVGHWpOpMHMRXHUDLVGHKRUVMHIHUDLVGXEULFRODJHMHGDQVHUDLVMHVDXWHUDLVjODFRUGHHWSOHLQ G·DXWUHVFKRVHV/HVMHXQHVVRQWYLROHQWVjFDXVHGHVILOPVYLROHQWV-HYDLVHVVD\HUGHUHOHYHUFHGpILDYHF quelques personnes pour faire diminuer la violence. Je ne veux pas la violence et je ne suis pas la seule ˆ dire cela. Je veux la paix et je ne suis pas la seule ˆ la demander. Pendant dix jours sans tŽlŽ, plusieurs enfants vont se demander quoi faire, pas moi...

Emma B•ty

ƒFROHO·$UF-en-Ciel (St-Narcisse) - 3eannŽe Claire Ouellet, enseignante

(46)

-HQHVXLVSDVG¶accord. Les enfants ont eux aussi le droit de savoir ce qui se passe dans le monde. Ils ont le droit de V¶LQIRUPHU,OVSHXYHQWDSSUHQGUHjPLHX[UpJOHUOHXUVFRQIOLWVjQHSDVVHEDWWUH,OVYRQWVDYRLUTXHODJXHUUHoDQHVHUWj rien et que •a causeELHQGHVGRPPDJHV/HVHQIDQWVHQDSSUHQQHQWSOXVVXUODUpDOLWp'DQVOHVILOPVODJXHUUHF¶HVW DPXVDQWPDLVGDQVODYUDLHYLHoDQHFDXVHTXHGHVHQQXLV,OVYRQWDSSUHQGUHTXHF¶HVWPLHX[GHIDLUHOD3$,;

Marie-Christine Therrien

eFROHGHO·Arc-en-Ciel (St-Narcisse) - 6eannŽe Nicole Breton, enseignante

(47)

6DLVVH]OHVHQIDQWVV·H[SULPHU!

&KHUDQLPDWHXUODJXHUUHHVWLPSRUWDQWHHWWUqVJUDYH3RXUYRXVOHSURXYHUM·DLpFULWXQSRqPHTXL expliquerait le droit de parole aux enfants.

n La guerre est dŽjˆ commencŽe.

1RXVFKHUFKRQVXQPR\HQSRXUO·HPSrFKHU La plupart des jeunes se sentent concernŽs, 0DLVLOVQ·RQWSDVOHGURLWGHSDUOHU

n /HVHXOPR\HQTX·LOVRQWWURXYp 6·HPSULVRQQHUVDQVGLUHOHXUVLGpHV

Vous qui voulez faire la guerre pour les libŽrer, En faisant la guerre, vous allez les tuer!

n /HVHQIDQWVRQWEHDXFRXSG·LPDJLQDWLRQ

%LHQV€UYRXVQHOHVDYLH]SDVFDU Vous ne les laissez pas parler!

Maintenant que la guerre est commencŽe nous ne pouvons rien y faire, mais s.v.p. reposez-vous sur ce sujet HWM·HVSqUHTXHFHODYDFKDQJHU

Emanuelle Brousseau

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 5eannŽe Isabelle Journault, enseignante

(48)

%RQMRXUMHP¶DSSHOOH/pRQLH-HYDLVUpSRQGUHDX[TXHVWLRQVGH©GL]DLQHLGpDOHª0RLMHSHQVHTXHOHVUpVXOWDWVGHFH projet seront bons. Premi•rement, les enfants vont •tre plus respectueux envers les gens qui les entourent. Deuxi•mement, ils seront moins violents. Troisi•mement, ils vont avoir plus envie de faire de la lecture et ils seront plus actifs, car ils joueront plus souvent dehors. Quatri•mement, ils passeront plus de temps en famille. Les parents seront plus heureux. Je SHQVHTXHMHVHUDLVFDSDEOHGHUHOHYHUFHGpIL¬ODSODFHM¶LUDLVMRXHUGHKRUVHWSDUOHUHQ famille.

Bye, Bye!

LŽonie Durand

ƒcole du Vignoble - 3eannŽe Denyse Lavoie, enseignante

hhhhhh

(49)

Bonjour, je vais vous parler de la dizaine idŽale.

Moi, je crois que priver les enfants de tŽlŽ pendant dix jours, •a pourrait les inciter ˆ faire du taxage. Vu TX·LOVQ·RQWULHQjIDLUH

M•me si je suis contre la dizaine idŽale, je crois que les parents seraient pour. Parce que quoi de mieux que GL[MRXUVVDQVWpOpSRXUIDLUHGHO·H[HUFLFHVHUDSSURFKHUGHVDIDPLOOHVLOHVPHPEUHVQHVRnt pas

proches.

Moi je remplacerais la tŽlŽ par : jouer dehors, jouer avec mon chat, Žcouter de la musique, jouer avec mes lapins et mon cheval, etc. Apr•s les dix jours, les enfants reviendraient ˆ leur quotidien.

Alexandra Duclos

eFROHO·Arc-en-Ciel (St-Narcisse) - 4eannŽe Claire Ouellet, enseignante

(50)

Nous avons des opinions nous aussi!

Les missiles qui passent au-dessus de notre t•te iront-ils assez loin?

Des personnes qui perdent des proches.

Et si nos p•res Žtaient invitŽs ˆ faire la guerre.

4X¶LOVQHUHYLHQQHQWMDPDLVQRXVDXULRQVQRWUHPRWjGLUH

$OOHUjODJXHUUHF¶HVWFRPPHODJXHXOHGXORXSTXDQGWXHVGHGDQVF¶HVWUDUHTXHWXHQVRUWHVDYHFWRXVWHVPRUFHDX[

&¶HVWGDQJHUHX[F¶HVWPRUWHOHWoDQHPqQHjULHQGHERQ Alors avant de faire la guerre, rŽflŽchissez-y!

Audrey Lapointe

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 5eannŽe Norbert LŽvesque, enseignant

(51)

-¶DLGpFLGpGHSDUOHUGXGURLWGHSDUROHDX[HQIDQWVSDUFHTXHMHWURXYHTXHF¶HVWLPSRUWDQWTXHQRXVOHVHQIDQWVQRXV parlions de la guerre. Parfois les enfants ont peur de la guerre et en parler •a fait du bien, •a nous met en sŽcuritŽ.

Je dis •a parce que chez moi on en parle et •a me sŽcurise et •DIDLWGXELHQG¶HQSDUOHU-¶DLPHVDYRLUFHTXLVHSDVVHVXUPD plan•te.

-HVRXKDLWHTXHWRXWHVOHVSHUVRQQHVGXPRQGHSXLVVHQWSDUOHUGHFHTX¶HOOHVYHXOHQWTXDQGHOOHVYHXOHQWOHWHPSVTX¶HOOHV veulent.

ƒlŽonora Arseneau

ƒcole de St-Laurent - 5eannŽe Jovette Desch•nes, enseignante

hhhhhh

(52)

-¶DLPHUDLVELHQUHOHYHUOHGpILG¶©HGXSD[RUJª, dix jours sans tŽlŽ, ni Žmission, ni vidŽo, ni jeu Žlectronique. Pour passer le temps on pourrait jouer ˆ des jeux de sociŽtŽ, faire un tournoi de soccer, jouer au hockey dans la rue, se baigner, faire du vŽlo HWMRXHUDXEDVHEDOO-¶HVSqUHTX¶XQMRXU toutes les Žcoles feront dix jours ˆ Žcran fermŽ. Pourquoi? Parce que si la violence GLPLQXHGDQVOHVpFROHVFHVHUDLWVXSHU$XVVLMRXHUGHKRUVF¶HVWELHQPLHX[TXHG¶pFRXWHUODWpOpjO¶LQWpULHXU9RXV voudriez-vous relever ce dŽfi? Pensez-y, moinVGHYLROHQFHHWSOXVGHVSRUWVQ¶HVW-ce pas super?

Richard Laflamme

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 4eannŽe Marjolaine Moisan, enseignante

hhhhhh

(53)

2QDODQFpXQGpILGDQVOHVpFROHV/HGpILF·HVWTXHWXGRLVSDVVHUGL[MRXUVVDQVWpOpQLpmission, ni vidŽo et sans jeu Žlectronique. Voici par quoi je remplacerais la tŽlŽ.

3RXUSDVVHUOHWHPSVWXSRXUUDLVOLUHDOOHUMRXHUGHKRUVIDLUHGHO·H[HUFLFH7XSHX[IDLUHSOHLQGHFKRVHV sans regarder la tŽlŽ. Je pense que ce petit dŽfi est gŽnial. Je crois que cela va faire diminuer la violence dans les Žcoles. Je crois que les parents vont beaucoup encourager leurs enfants dans le dŽfi. Le site WEB

© HGXSD[RUJªDHXXQHLGpHJpQLDOH

Marie-Pierre Doyon

ƒcole de St-Laurent - 4eannŽe Claire Arsenault, enseignante

(54)

Cher animateur,

Nous nous sentons concernŽVSDUODJXHUUHHQ,UDNSDUFHTXHFHODFR€WHUDGHVPLOOLDUGVGHGROODUV6DQVSDUOHUGHWRXWHVFHV SHUVRQQHVPRUWHVSHQGDQWOHVERPEDUGHPHQWV,O\DDXVVLSOHLQG¶HPSORLVSHUGXVEHDXFRXSGHIDPLOOHVQ¶RQWSOXVG¶DEULHW RQWG€TXLWWHUOHXUSD\V7RXWFHODHQWUDvQHGHVPDODGLHVHWLOVQ¶RQWSOXVVXIILVDPPHQWGHPpGLFDPHQWV,OVQ¶RQWSOXVGH QRXUULWXUHQLG¶HDXSRWDEOH,OVQ¶RQWSDVODFKDQFHTXHQRXVDYRQVGHWRXWDYRLUWUDYDLOPDLVRQQRXUULWXUHHDXHWF/HV responsables de cette guerre sont ULFKHVHWVHFDFKHQWSRXUQHSDVrWUHSULV6LWRXWOHPRQGHVHSDUODLWHWV¶HQWHQGDLW HQVHPEOHLOQ¶\DXUDLWSOXVGHJXHUUH&HVRQWOHVHQIDQWVG¶DXMRXUG¶KXLTXLIHURQWOHPRQGHGHGHPDLQ

Steve St-Pierre

ƒcole Beau-Soleil - 2ecycle Jeanine Pelletier, enseignante

(55)

Bonjour cher animateur,

-¶DLHQWHQGXjODUDGLRTXHYRXVQ¶DLPLH] pas •a que nous, les Žl•ves en classe, nous parlions de la guerre. Bien moi, je ne VXLVSDVG¶DFFRUGFDUFKDTXHHQIDQWDOHGURLWG¶rWUHpGXTXpGDQVXQHVSULWGHSDL[HWGHIUDWHUQLWpHWG¶rWUHSURWpJpFRQWUH WRXWHIRUPHGHGLVFULPLQDWLRQ-¶DLOXFHFLGDQVOHUpVXPpGHODGpFODUDWLRQGHVGURLWVGHO¶HQIDQFH$ORUVQRXVDYRQVOHGURLW de savoir les vraies choses qui se passent dans le monde. Pas des mensonges que vous les animateurs de radio vous nous dites sur la guerre. Vous transformez •a en blaguH0DLVODJXHUUHFHQ¶HVWSDVGHVEODJXHV&¶HVWUpHO

Marie-Pier Bourdon

eFROHO·$UF-en-Ciel (St-Narcisse) - 5eannŽe Suzanne Lemelin, enseignante

hhhhhh

(56)

-¶DLFKRLVLGHSDUOHUGXVLWHZHETXHOD)pGpUDWLRQGHVFRPLWpVGHSDUHQWVSURSRVHSDUFHTXHMHWURXYHTX¶LO\DXUDPRLQVGH violence.

/HVSDUHQWVWURXYHQWTXHF¶HVWXQHERQQHLGpHSDUFHTXHOHVpOqYHVVHUDLHQWSOXVFDOPHVHWTX¶LOVVRUWLUDLHQWSOXVVRXYHQW dehors. Alors, ils commencent le dŽfi. Apr•s huit jours les Žl•ves se chicanent beaucoup moins et ne pensent plus aux jeux YLGpRHWjODWpOpYLVLRQ/HVSDUHQWVVRQWFRQWHQWVHWLOVRQWO¶LPSUHVVLRQTXHF¶HVWXQPLUDFOH'L[LqPHMRXUOHVHQIDQWVIRQW du sport et sont super gentils.

Je trouve que tous les enfants devraient faire ce dŽfi de dix jours sans jeux vidŽo et tŽlŽvision. Je le conseille m•me aux DGXOWHVHWPRLDXVVLM¶DLIDLWOHGpIL

Alexandrine Delisle

ƒcole de St-Laurent - 5eannŽe Jovette Desch•nes, enseignante

(57)

/DGL]DLQHLGpDOHF·HVWXQVXSHUEHSURMHWSOHLQGHYpULWpHWGHERQVHQV&HQ·HVWSDVXQHpSUHXYH

mortelle, mes grands-SDUHQWVQ·HQDYDLHQWSDVUpVXOWDWLOVVRQWSOXVHQIRUPHTXHPRL-HVXLVDEVROXPHQW LQGLJQpHQRXVOHVFDQDGLHQVV·DVVH\RQVEHDXFRXSWURSVRXYHQt devant ce monstre hypnotiseur ˆ un oeil, la tŽlŽvision. Mais je me suis, moi aussi, faite avoir, je passe de une ˆ trois heures devant le monstre

pOHFWURQLTXHSDUMRXU7RXWOHPRQGHDXUDLWEHVRLQGHFHWWH©FXUHGHGpVLQWR[LFDWLRQªF·HVWSRXUTXRLMe jure solennellement sur la tombe de mon grand-SqUHPRUWHQIRUPHG·DSSX\HUHWGHUpDOLVHUFHVXSHUEH projet.

AndrŽanne DŽry

eFROHGHO·$SSUHQWL-Sage - 5eannŽe Norbert LŽvesque, enseignant

hhhhhh

(58)

/HVHQIDQWVGHO¶,UDNVRQWREOLJpVGHVXELUOHVPrPHVFRQVpTXHQFHVTXHOHVDGXOWHVHWF¶HVWSRXUTXRL on en parle.

$XGpEXWGHO¶DQQpHM¶DLHQYR\pXQHOHWWUHj0*HRUJHV%XVKSRXUDUUrWHUODJXHUUHHWGHSXLVoDMHPHWLHQVDXFRXUDQW 0RLMHSHQVHTXHF¶HVWLPSRUWDQWTX¶RQSDUOHGHO¶,UDNFDUPRLMHUqJOHPHVFRQIOLWVSDFLILTXHPHQWHWHQ,UDNF¶est la guerre.

-HYRXGUDLVODSDL[GDQVOHPRQGHHWO¶,UDNVHUDLWFDSDEOHGHODIDLUH

-¶DLPHUDLVEHDXFRXSPHPHWWUHjODSODFHG¶XQHQIDQWSRXUVDYRLUTXHOOHHVWODVRXIIUDQFH

&¶HVWSRXUTXRLMHYRXVSDUOHGHODJXHUUHHWMHYRXVPHWVDXFRXUDQWTXHF¶est important pour moi.

Cindy CamirŽ

eFROHO·$UF-en-Ciel (St-Narcisse) - 5eannŽe Nicole Breton, enseignante

hhhhhh

(59)

&KHUDQLPDWHXUM¶DLHQWHQGXGLUHTXHYRXVGLVLH]TXHSDUOHUGHODJXHUUHjO¶pFROHF¶HVWGXWHPSVSerdu. M oi je crois que non, car nous les enfants nous nous sentons concernŽs par la guerre entre les ƒtats-8QLVHWO¶,UDN(QWRXWFDVPRLMHQHYRXGUDLV SDVODJXHUUHDX&DQDGD-HFURLVTXHF¶HVWYRXVTXLSHUGH]YRWUHWHPSVjGLUHTXHSDUOHUGHODJXHUUHjO¶pFROHF¶HVWXQHSHUWH GHWHPSV$ORUVV¶LOYRXVSODvWFHVVH]GHOHGLUH0HUFL

Francesca Turmel

eFROHO·$UF-en-Ciel (St-Narcisse) - 4eannŽe Suzanne Lemelin, enseignante

(60)

-HQHVDYDLVSDVTX·LOH[LVWDLWXQHVROXWLRQSRXUGLPLQXHUODYLROHQFHPDLVMHVDYDLVTXHFHW\SHG·DFWH existait. Je pense que si le monde Žcoutait maximum une demi-heure de tŽlŽ par jour il y aurait peut-•tre PRLQVGHJXHUUH0HVSDUHQWVWURXYHQWTXHF·HVWXQHLGpHLQWpUHssante, car elle affecterait la conscience des jeunes, donc, ils seraient moins violents. Moi je serais capable de rester dix jours sans tŽlŽ parce que MHQHO·pFRXWHSDVEHDXFRXSPDLVSDUFRQWUHSOXVLHXUVpOqYHVGHPDFODVVHQHOHUpXVVLUDLHQWSDVFDUils font presque •a ˆ longueur de journŽe. Je remplacerais le temps de la tŽlŽvision par de la lecture, des jeux de VRFLpWpIDLUHGXVSRUWHWF&·HVWSRXUTXRLQRXVGHYRQVUpGXLUHODGXUpHG·pFRXWHGHFHSDVVH-temps.

Charlotte Desbiens

eFROHGHO·Apprenti-Sage - 5eannŽe Isabelle Journault, enseignante

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'L[MRXUVVDQVRUGLQDWHXUMHX[YLGpRHWWpOpYLVLRQTXHOGpILSRXUOHVMHXQHVG·DXMRXUG·KXL3RXUPDSDUWMH crois que je serais capable de rŽussir cet exploit. Il y a tellement mieux ˆ faire que de rester toute la MRXUQpHGHYDQWXQpFUDQ-·DLWHOOHPHQWG·DXWUHVDFWLYLWpVLQWpUHVVDQWHVjIDLUHSDUH[HPSOHPHVGHYRLUV jouer dehors, faire de la bicyclette, jouer une partie de soccer, jardiner et regarder la nature.

Alors, ce projet de 10 jouUVVDQVFHVDSSDUHLOVpOHFWURQLTXHVDXUDFRPPHHIIHWG·DPpOLRUHUOHFRPSRUWHPHQW et la santŽ des jeunes. La tŽlŽvision, les ordinateurs et les jeux vidŽo contiennent beaucoup de violence. En Žcoutant les scŽnarios de plus en plus meurtriers prŽsentŽs ˆ la tŽlŽvision, en visitant des sites Internet ˆ O·RUGLQDWHXUHWHQSDVVDQWEHDXFRXSGHWHPSVjMRXHUjGHVMHX[YLGpRVDQJODQWVFHODLQFLWHOHVMHXQHVj rWUHDJUHVVLIV$XVVLHQUHVWDQWLQDFWLIVGHVKHXUHVGHYDQWFHVpFUDQVRQQHIDLWSDVEHDXFRXSG·H[HUFices, F·HVWSHXW-rWUHSRXUTXRLOHVMHXQHVG·DXMRXUG·KXLRQWXQH[FqVGHSRLGV&HODDSRXUHIIHWTXHOHVMHXQHVVRQW moins en santŽ.

0DLVLOQ·\DSDVTXHGHVGpIDXWVjFHVLQVWUXPHQWV3UHQRQVO·RUGLQDWHXUTXLSHXWGHYHQLUXQH[FHOOHQW moyen de communiFDWLRQORUVTX·RQO·XWLOLVHHQFHVHQV,OHVWpJDOHPHQWXQRXWLOGHWUDYDLOUHPDUTXDEOHHW efficace. Et les jeux vidŽo! Ils sont souvent en anglais, ce qui am•ne les jeunes ˆ apprendre cette langue SRXUFRPSUHQGUHOHXUVMHX[&·HVWDXVVLXQPR\HQGHGpWHQWHHWGHGpIRXOHPHQW7DQWTX·jOD

(62)

%RQMRXUPRQVLHXUO·DQLPDWHXUPRQVXMHWHVWGURLWGHSDUROHDX[HQIDQWV

La guerre •a ne sert ˆ rien, car il y a des dangers de guerre mondiale. Il y a des personnes en otage, de la YLROHQFHHWGHVPRUWV'HSOXVMHQHYRXGUDLVSDVTXHPRQSqUHDLOOHjODJXHUUH&·HVWEHDXFRXSSOXVEHDXOD SDL[GDQVOHPRQGH0RLM·DLPHUDLVDUUrWHUODJXHUUH

Francis Verreault

ƒcole du Vignoble - 3eannŽe Denyse Lavoie, enseignante

(63)

Nous les enfants, on a le droit de parler de la paix. On souhaite la paix parce que quand il y a la guerre, cela WXHOHVSHUVRQQHVHWOHVHQIDQWVQ·RQWSOXVOHXUVSDUHQWV

Estelle LŽvesque

ƒcole de St-Laurent - 2eannŽe Christine Roussel, enseignante

hhhhhh

Moi je ne veux pas de guerre parce que •a me fait peur.

Maude Malo

ƒcole du Parc-OrlŽans - 2eannŽe Guylaine Charest, enseignante

hhhhhh

(64)

WpOpYLVLRQF·HVWXQERQPR\HQG·apprentissage qui nous tient au courant des derniers ŽvŽnements importants GDQVOHPRQGHHQWLHU(OOHHVWDXVVLXQORLVLUTXLQRXVSHUPHWG·DSSUpFLHUOHVpPLVVLRQVpGXFDWLYHVHWOHV histoires du cinŽma.

-HFURLVTXHOHVHIIHWVGHODWpOpYLVLRQGHO·ordinateur et des jeux vidŽo sur la personnalitŽ des enfants SHXYHQWrWUHGLIIpUHQWVG·XQMHXQHjO·DXWUH&HUWDLQVMHXQHVLQIOXHQoDEOHVGHYLHQGURQWYLROHQWVWDQGLVTXH G·DXWUHVQHFKDQJHURQWSDV

En tant que jeunes, il faut bien doser nos pŽriodes de jeux et de loisirs avec ces appareils Žlectroniques. Il QHIDXWSDVPHWWUHSOXVGHWHPSVjrWUHGHYDQWQRVpFUDQVTXHGHKRUVSRXUSUHQGUHO·DLU,OIDXWSHQVHUj QRWUHVDQWpHWMHFURLVTXHF·HVWjQRXVGHOHIDLUHFHQ·HVWSDVVHXOHPHQWOHWHPSVTX·LOIDXWUHJDUGHUF·HVW LPSRUWDQWGHIDLUHOHVERQVFKRL[G·pPLVVLRQVGHMHX[HWGHVLWHVSRXUQHSDVrWUHDWWLUpVSDUODYLROHQFH 2QHVWFDSDEOHVGHV·DPXVHUVDQVDJUHVVLYLWp

Charline Leclerc

eFROHO·$UF-en-Ciel - 6eannŽe Sonia Lachance, enseignante

(65)

EQWUHOHVGHX[PRQFRHXUEDODQFHPRQRSLQLRQVXUODWpOpYLVLRQQ·HVWSDVWUqVpOHYpH3DUFRQWUHM·DLXQ SHWLWIDLEOHSRXUOHVMHX[G·RUGLQDWHXUPDLVTXLSRXUUDLWrWUHIDFLOHPHQWUHPSODFp-·DLPHMRXHUGHKRUVHW PHEDLJQHUWRXWOHORQJGHO·pWp/·KLver, une activitŽ qui me pla”t beaucoup est de se lancer du haut du toit HWG·DWWHUULUGDQVXQEDQFGHQHLJH$ORUVSRXUTXRLDWWHQGUHMHVXLVWRXWHSUrWHjUHOHYHUOHGpIL/·XQHGHV activitŽs que je dŽteste faire est justement de ne rien faire. Ce qui inclut regarder la tŽlŽvision.

-HWURXYHTXHOHVMHXQHVG·DXMRXUG·KXLVHUHWURXYHQWWRXMRXUVGHYDQWODWpOpYLVLRQO·RUGLQDWHXURXODFRQVROH YLGpR,OV\GpSHQVHQWWRXWOHXUDUJHQWVXUGHVMHX[GHV&'G·ordinateur ou en locations de films. Cela ne me laisse pas indiffŽrente. Le printemps est commencŽ, donc les balades en vŽlo devraient devenir

courantes. Le basket, le volley, le skate et plusieurs autres jeux de ballons devraient faire leur apparition et ainsi inciter les jeunes ˆ sortir de la maison.

(66)

DROIT DE PAROLE AUX ENFANTS

SITUATION D

6QDQLPDWHXUGHUDGLRWUqVFRQQXV·RSSRVHjFHTXHOHVpOqYHVGHVpFROHVGX4XpEHFSUHQQHQW 6RVLWLRQHQFODVVHVXUODPHQDFHGHJXHUUHTXLSqVHVXUO·6UDN,OWURXYHTXHF·HVWXQHSHUWHGH temps. Tu lui Žcris pour lui expliquer pourquoi les enfants du QuŽbec se sentent concernŽs par la paix dans le monde.

hhhhhh

(67)

Mais peut-rWUHTX·HOOHQHUpXVVLUDSDV"6DYH]-vous pourquoi je ne demande pas ˆ mon p•re de faire cette pSUHXYHF·HVWSDUFHTX·LOIDXWTX·LOUHJDUGHODPpWpR

-·DLOXjTXHOTXHSDUWTXHGDQVOHVpFROHVRLOVRQWIDLWO·DFWLYLWpODYLROHQFHDGLPLQXpGHPRLWLp0DLVDSUqV 10 jours peut-rWUHTXHM·DXUDLVEHDXFRXSFKDQJpHTXLVDLW"

Maintenant que je vous ai dit tout ce que je pensais faire et ce que je pensais que mes parents diraient, M·HVSqUHTXHYRXVIHUH]FHWWHDFWLYLWpHWTXHYRXVUpXVVLUH]

Magalie GuŽrard

ƒcole de St-Laurent - 6eannŽe Bernard Croteau, enseignant

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Personnellement, je crois que les parents devraient •tre un peu plus stricts sur le temps passŽ devant

O·RUGLQDWHXUODFRQVROHYLGpRHWODWpOpYLVLRQ&HODPHGpVROHGHYRLUWRXWFHEHDXPRQGHTXLQHIDLWSDVJUDQG effort physique et qui devient essoufflŽ bien trop rapidement. Je crois que ce devrait •tre important de PDLQWHQLUVDIRUPHHWVRQFRHXUHWjO·KDELWXHUDX[HIIRUWV

AmŽlie Rochette

eFROHO·$UF-en-Ciel - 6eannŽe Sonia Lachance, enseignante

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Les scientifiques croient que si nous regardions moins la tŽlŽvision cela diminuerait la violence de moitiŽ.

Suis-MHG·DFFRUG"2XLFDUODWpOpQRXVSURMHWWHWHOOHPHQWGHYLROHQFHDXWDQWYHUEDOHTXHSK\VLTXH,O\D aussi les jeux violents des ordinateurs et jeux Nintendo.

Il y a de la violence partout. Mais m•me sans Žlectronique il y a de la violence, dans le journal et m•me dans QRVOLYUHV4X·HVW-FHTX·RQSHXWIDLUHSRXUDQpDQWLUFHWWHYLROHQFH"2QSHXWSUHPLqUHPHQWIDLUHG·DXWUHV activitŽs que dHUHVWHUSODQWpVGHYDQWODWpOpRXO·RUGLQDWHXU2QSHXWMRXHUGHKRUVIDLUHGXVSRUWOLUH (sans violence) et m•me dormir. Je pense que sans Žlectronique le monde serait bien meilleur, mais je ne SRXUUDLVP·HQSDVVHU

/HVSDUHQWVWURXYHQWTX·LOHVWSOXVHQULFKLVVDQWG·pFRXWHUOHVQRXYHOOHVTXHOHVGHVVLQVDQLPpVFHQ·HVWSDV enti•rement vrai, car il y a cent fois plus de violence dans les informations que dans les comiques. La m•me chose pour la lecture.

3RXUFRQFOXUHMHSHQVHTX·DYHFQRWUHMXJHPHQWnous sommes capables de dŽterminer les Žmissions non violentes ˆ la tŽlŽvision.

Simon-Pierre Lafond

eFROHO·$UF-en-Ciel - 6eannŽe Sonia Lachance, enseignante

$XMRXUG·KXLQRXVDYRQVUHoXXQGpILGHSDVVHUMRXUVVDQVWpOpYLVLRQ-HVXLVV€UHGHSRXYRLUUpXVVLUFHWWH Žpreuve. Alors, je vais vous dire ce que je pense faire.

&HWWHpSUHXYHHVWIDFLOHLOIDXWVHXOHPHQWPHWWUHXQSHXGHFRHXU6LM·HQSDUODLVjPDPqUH, je suis FHUWDLQHTX·HOOHGLUDLWTXHF·HVWXQHWUqVERQQHLGpH(WPRQSqUHMHQ·DLDXFXQHLGpHGHFHTX·LOGLUDLW

(WPDLQWHQDQWFHTXHMHIHUDLV-·DLGHUDLVVXUWRXWPRQSqUHjODFDEDQHHWjODIHUPHMHIHUDLVGHVWkFKHV PpQDJqUHVM·pWXGLHUDLVSOXVORQJWHPSVMHMRXHUDLVGHKRUVHWG·DXWUHVFKRVHVFRPPHFHOD'DQVO·DQFLHQ WHPSVLOVQ·DYDLHQWSDVGHWpOpYLVLRQHWLOVYpFXUHQWTXDQGPrPHXQHEHOOHYLH0DLQWHQDQWUHYHQRQVjQRWUH Žpoque. Si je demandais ˆ ma m•re de faire cette activitŽ avec moi, est-FHTX·DSUqVHOOHUHJDUGHUDPRLQVOD tŽlŽvision?

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