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Rêves et réalités des Pays Scandinaves

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Submitted on 22 Oct 2021

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Rêves et réalités des Pays Scandinaves

Henning Hamilton

To cite this version:

Henning Hamilton. Rêves et réalités des Pays Scandinaves. Revue forestière française, AgroParisTech,

1972, 24 (6), pp.472-477. �10.4267/2042/20652�. �hal-03395783�

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chronique internationale

RÊVES ET RÉALITÉS DES PAYS SCANDINAVES *

Les

industries du bois des

pays scandinaves connaissent

une expansion rapide, mais ont maintenant atteint un niveau critique

pour leur

approvisionnement en matières premières.

Les Pays scandinaves ont pendant longtemps été considérés comme la grande réserve de bois de l'Europe et, jusqu'à une époque récente, les Européens pensaient que leurs ressources forestières étaient pratiquement inépuisables . Mais cette opinion s'est trouvée sérieusement remise en cause du fait de l'augmentation très considérable de la consommation de produits forestiers qui est intervenue durant le dernier demi-siècle.

Le problème présente aussi un grand intérêt pour les Pays scandinaves eux-mêmes car il devient de plus en plus clair qu'il existe, pour eux aussi, et en dépit de tous leurs efforts, des limites physiques à une augmentation continue de la production forestière ; l'époque des appréciations fantaisistes est révolue, et il faut maintenant s'en tenir à des considérations pratiques moins optimistes.

Développement des industries forestières

Après 100 ans d'exploitation industrielle, les peuplements vierges des immenses forêts nor- diques sont maintenant presque tous exploités et la sylviculture de l'avenir doit concerner des peuplements qui, d'une manière ou d'une autre, ont été produits ou, à tout le moins, influencés par l'homme ; les grandes réserves ont disparu – l'époque des économies est arrivée.

Les forêts de Dalécarlie, au sud de la Suède, qui s'étendent sur 7 millions d'hectares de forêt productive, ont leur propre histoire : durant le XIX• siècle apparurent, dans cette région au sol rocheux, de petits fermiers qui commencèrent à défricher ; progressivement, la forêt disparut et, au milieu du siècle, la majeure partie du sud de la Suède était vouée à l'agriculture . Mais l'industrie moderne commença à se développer aussi dans cette partie du pays ; l'agriculture se rationalisa et les sols les plus mauvais et les plus rocheux furent abandonnés et rapidement reboisés ; à la même époque, un nouveau et puissant intérêt apparut pour la sylviculture et pour les repeuplements artificiels, et une nouvelle loi forestière fût votée en 1903 ; mais 30 à 40 ans sont nécessaires pour qu'un nouveau peuplement devienne productif ; sans attendre ce délai, l'industrie forestière suédoise commença à se déplacer vers le Sud, d'abord sous la forme de scieries, puis sous la forme d'industries papetières plus lourdes.

Comme 80 % des forêts du sud de la Suède sont des forêts privées, ce sont les Associations de propriétaires forestiers qui prirent la tête de ce mouvement en se transformant pour la première fois en promoteurs industriels.

Cet article est une traduction intégrale d'un article publié dans World Wood, en mai 1972, et que cette excellente revue internationale nous a autorisé à reprendre dans la Revue forestière française.

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Chronique internationale

La situation actuelle de l'industrie des produits forestiers en Suède est fortement marquée par le fait que son centre de gravité se déplace du nord et du milieu du pays vers le sud.

Expansion rapide dans le sud de la Suède

Les industries scandinaves des produits forestiers sont et ont toujours été très sensibles aux changements qui interviennent dans les cycles économiques, car elles sont fortement orientées vers l'exportation ; même l'augmentation à long terme de la capacité de production a été fortement influencée par ces cycles avec des périodes de stagnation, suivies d'autres d'expansion rapide.

Une telle période d'expansion se produit actuellement dans le sud de la Suède ; en particulier, de nombreux projets de création ou d'agrandissement, principalement dans les usines de pâtes mécaniques et de pâtes au sulfate, ont été annoncés durant le e boom » temporaire qui a marqué l'année 1970 ; à cela, on doit également ajouter un essor encore très rapide des scieries qui étaient cependant déjà bien développées dans le sud du pays ; durant la fin de la dernière décennie, le taux d'expansion a été d'environ 5 % par an, et les prévisions jusqu'en

1975 sont basées sur le maintien de ce taux.

Outre les perspectives favorables du marché à long terme et un approvisionnement en ma- tières premières qui, jusqu'à présent, reste bon, une raison importante de cette expansion réside dans le besoin croissant d'une meilleure rationalisation de l'industrie ; les industries forestières scandinaves subissent durement la concurrence des producteurs américains et canadiens et sont, de ce fait, plus que d'autres obligées d'accroître leur efficacité grâce à une production de masse.

Quoique le taux de croissance des scieries soit impressionnant, il est dépassé de beaucoup par celui de l'industrie papetière ; alors que précédemment elle n'utilisait qu'une part mineure de la matière première disponible, l'industrie des pâtes s'est développée au point de consommer, aux environs de 1970, la moitié du volume total abattu dans la Suède méridio- nale ; à cela s'ajoutent les déchets des scieries.

Les prévisions de croissance de l'industrie papetière sont basées sur une augmentation de sa consommation de bois ronds d'environ 60 % durant les années 1970 à 1974, alors que celle des scieries ne devrait être que de 20 % ; à en juger par les plans actuels, un schéma semblable s'appliquera à la dernière moitié de la décennie.

Une situation nouvelle

La question se pose immédiatement de savoir si la ressource en matières premières sera suffisante pour supporter tous ces projets d'expansion ; d'après les inventaires officiels basés sur un certain nombre d'hypothèses optimistes, le volume de bois abattu sera suffisant pour assurer l'approvisionnement des nouvelles capacités de production prévues jusque vers 1975 ; en supposant que l'on s'en tienne à un aménagement des forêts basé sur le rendement soutenu, il n'existera en revanche aucune matière première disponible pour les développe-

ments suivants ; une alternative serait naturellement de couper temporairement à un taux supérieur à celui correspondant au rendement soutenu, d'où il résulterait la nécessité de réduire ultérieurement le volume exploité, et de fermer alors corrélativement un certain

nombre d'usines.

La sagesse d'une telle politique du point de vue de l'économie nationale est sérieusement mise en doute dans la plupart des régions ; en outre, il est probable que les propriétaires forestiers privés, qui possèdent la majeure partie des forêts de la Suède méridionale, ne souscriraient pas volontairement à une telle surexploitation, à la fois pour des raisons fiscales et pour des raisons de sauvegarde de leur pouvoir d'achat.

En résumé, un développement rapide des industries forestières se produira en Suède du sud durant les cinq prochaines années, mais au-delà l'allure de l'expansion devra être fortement réduite, car les réserves de matières premières seront entièrement exploitées.

La Suède dans son ensemble

En Suède moyenne, il y avait en 1970 un équilibre approximatif entre l'approvisionnement en matières premières et la consommation de l'industrie ; dans le nord du pays, il existait un déficit en bois ronds ; ceci est da en partie au fait qu'il s'agit de régions presque inaccessibles,

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en terrain montagneux, ne comportant qu'un faible volume à l'hectare et qui, en raison de coûts de production croissants, ont cessé d'être économiquement rentables.

Malgré cette situation difficile au point de vue approvisionnement, des plans d'expansion industrielle ont été annoncés, à la fois en Suède moyenne et en Suède septentrionale ; l'industrie se trouve dans une situation telle qu'elle tombe de Charybde en Scylla ; bien qu'étant pleinement consciente de l'ampleur limitée des réserves en matières premières, elle est simultanément poussée à accroître sa production sur une large échelle afin de lutter contre des coûts de fabrication croissants.

Un bilan des réserves de bois de la Suède en 1970 montre une disponibilité d'environ 6 millions de m 3 ; si toutes les augmentations de production qui ont déjà été annoncées se réalisent, ce surplus fera place vers 1975 à un déficit d'environ 8 millions de m 3 ; si les plans d'expansion ultérieurs sont en fait réalisés durant la deuxième décennie, le déficit augmentera de 10 millions de m 3 supplémentaires ; de toute évidence, une expansion sur une telle échelle peut difficilement se poursuivre.

Finlande

La situation en Finlande est semblable à celle de la Suède méridionale, à la différence que les Finlandais ont une avance d'environ 10 ans sur les Suédois . De 1950 à 1969, l'industrie finlandaise des produits forestiers s'est développée rapidement, à un point tel qu'elle a dépassé considérablement les ressources propres en matières premières du pays ; après avoir été exportatrice de bois ronds sur une large échelle, la Finlande a, au cours des dernières années, été obligée d'importer plusieurs millions de m 3 par an, principalement d'U .R .S .S . et de Suède méridionale ; ces deux fournisseurs ont annoncé des difficultés croissantes pour satisfaire les besoins finlandais en bois ronds, et il y a peu de chance pour qu'à l'avenir les importations en provenance de Suède du sud ne se limitent pas à des volumes extrêmement faibles ; mais les ressources forestières de la Russie d'Europe sont limitées et la consom- mation intérieure des produits forestiers y augmente rapidement.

Cette situation a conduit les Finlandais à investir, à partir de 1965, des sommes très importantes dans un programme étendu de développement forestier – MERA – dans le but d'augmenter considérablement le rendement soutenu futur de la forêt ; une part importante de la population du pays et une proportion considérable des capitaux disponibles sont engagées dans ce programme ; des résultats impressionnants ont déjà été obtenus, mais l'opinion courante en Finlande est que les objectifs initiaux très ambitieux pourront difficilement être atteints ; le volume limité des capitaux et des ressources en main-d'oeuvre disponible doit être investi en priorité dans les zones où leur amortissement sera le plus rapide.

Ainsi, l'extension du programme forestier est devenu une question politique ; le contrôle strict sur les nouveaux investissements de l'industrie des produits forestiers, exercé par la Banque d'Etat finlandaise, traduit une vision du futur nouvelle et plus réaliste.

Norvège

Alors que la Finlande et la Suède ont des surfaces de forêts de 20 millions et de 22 millions d'hectares respectivement, celle de la Norvège n'est que de 7 millions d'hectares ; de la sorte, le capital forestier de la Norvège et la possibilité annuelle de ses forêts ne représentent qu'environ le 1/10° du total des Pays scandinaves.

L'industrie des produits forestiers s'est développée très tôt en Norvège grâce à de vieilles traditions commerçantes, à de bonnes liaisons maritimes avec les Iles britanniques, à un réseau de rivières disponibles pour le flottage des bois satisfaisant et à des peuplements forestiers de haute qualité ; elle bénéficiait également d'un approvisionnement en électricité abondant et bon marché qui favorisait particulièrement la production de pâtes mécaniques.

II résulte de tout ceci que la Norvège se trouve en état de déficit au point de vue approvision- nement en bois depuis plusieurs années ; environ 2 millions de m 3 sont importés chaque année, principalement de la Suède méridionale qui peut être considérée comme une zone d'approvisionnement normale pour les usines côtières norvégiennes.

Les Norvégiens ont annoncé qu'il leur serait nécessaire d'augmenter leurs importations de bois, mais la situation en Suède méridionale est telle qu'il leur sera même difficile de maintenir le niveau de leurs achats actuels ; cependant, le commerce est libre entre les pays

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Chronique internationale

scandinaves et la situation évoluera seulement en fonction de la loi de l'offre et de la demande ; de ce point de vue, l'industrie norvégienne a de bonnes chances de pouvoir se montrer compétitive sur le marché suédois du bois.

Perspectives futures

Nombre de facteurs positifs peuvent être avancés en faveur d'une augmentation à long terme de la production forestière ; il a été clairement montré par toute une série d'expériences que la production des peuplements artificiels est notablement plus élevée que celle des peuplements produits par régénération naturelle ; l'emploi de semences améliorées peut jouer un rôle important, de même que la proportion ' plus élevée de forêts issues de reboisement . Les plantations artificielles d'Epicéa en Grande-Bretagne fournissent en la matière des exemples brillants ; la surface de forêt peut aussi être considérablement augmentée par le reboisement d'anciennes terres agricoles ; il est prévu qu'en Suède 800 000 à 2 millions d'hectares de terres agricoles cesseront d'être exploités entre 1950 et 1985 ; la plus grande partie de celles- ci le seront en Suède moyenne et méridionale ; cependant, seulement 25 % des terres aban- données jusqu'ici ont été effectivement reboisées.

Les Pays scandinaves renferment de vastes étendues – plusieurs millions d'hectares – de tourbières sur lesquelles aucune forêt ne pousse actuellement ; des essais ont montré que, si celles-ci étaient drainées et fertilisées, une production forestière étonnamment satisfaisan- te pourrait être obtenue.

De très bons résultats ont aussi été atteints dans tous les Pays scandinaves grâce à l'emploi d'engrais sur des sols typiquement forestiers ; des augmentations temporaires de rendement d'environ 50 % ont été observés grâce à une fertilisation azotée modérée ; par opposition à d'autres techniques sylvicoles, la fertilisation procure une augmentation immédiate de pro- duction, ce qui la rend particulièrement populaire auprès des compagnies industrielles qui possèdent leurs propres forêts et qui prévoient une pénurie dans leur approvisionnement en matières premières.

De nombreux facteurs négatifs doivent malheureusement aussi être mentionnés ; beaucoup de mesures proposées pour augmenter la production peuvent difficilement être considérées comme rentables, même si l'on tient compte de tous les effets positifs sur l'économie nationale prise dans son ensemble . Or, il convient de raisonner en terme de s profit » puisqu'une écrasante majorité de forêts scandinaves appartiennent à des propriétaires parti- culiers.

L'importance accrue de la mécanisation en forêt rend également plus difficile l'exploitation intégrale de toute la capacité de production qui est biologiquement possible ; ceci est particu- lièrement vrai pour les éclaircies ; durant les années 1950, plus de la moitié du volume total du bois extrait en Suède provenait d'éclaircies, mais cette proportion est tombée aux environs de 30 % à la fin des années 1960 ; en 1970 et 1971, les éclaircies n'ont pas représenté plus de 25 % du volume total et, pour des raisons à la fois économiques et techniques, on pense qu'il est peu vraisemblable que cette proportion augmente notablement à l'avenir ; dans les forêts les plus septentrionales, des plans existent d'ores et déjà pour la suppression totale des éclaircies.

Une menace sérieuse pèse sur les ressources forestières : du fait de la mécanisation et de la pratique du stockage des grumes non écorcées, on assiste à une augmentation des dom- mages causés aux peuplements forestiers par divers insectes ; des experts ont estimé que la perte annuelle de croissance qui en résulte se chiffre, en Suède seulement, à plusieurs millions de m'.

Durant les dernières années, on a également beaucoup discuté sur le volume croissant d'anhydride sulfureux rejeté dans l'atmosphère, principalement à partir des vastes zones industrielles de République Fédérale Allemande et du Royaume-Uni ; cette pollution a pour effet de rendre le sol acide, ce qui à son tour provoque une réduction des taux de croissance ; une diminution de production d'environ 15 % d'ici la fin du siècle a été mentionnée par les experts pour la Suède méridionale et la Norvège.

Même si une augmentation générale de la production semble réellement possible à long terme, les facteurs négatifs énumérés ci-dessus rendent nécessaires une certaine prudence dans les prévisions futures ; un signe de mauvais augure est que le Service national de l'inventaire suédois, qui avait précédemment toujours fait ressortir une augmentation du taux de croissance pour la totalité des peuplements sur pied, a dans son dernier rapport publié un résultat qui traduit une stagnation, ou peut-être même une légère diminution de celui-ci.

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Balance européenne du bois

Les Pays scandinaves ont depuis plusieurs siècles été une réserve naturelle de bois pour les pays de l ' Europe occidentale ; avec l'augmentation continue de la consommation des produits forestiers en Europe, cette réserve aura bientôt été entièrement exploitée, et de nombreux signes indiquent que ce point sera atteint durant les toutes prochaines années.

Pour couvrir une nouvelle augmentation de sa consommation, l'Europe sera alors obligée de se tourner vers des zones forestières plus lointaines ; cette nouvelle situation signifie aussi que tous les pays européens ont de bonnes raisons de travailler de façon plus consciente à une augmentation de leurs propres productions forestières à long terme.

Ces objectifs, qui ont déjà été pris en considération dans quelques pays, comme en particulier la Grande-Bretagne, prendront une importance bien supérieure à celle qui leur est généralement donnée actuellement par les opinions publiques.

La balance à long terme du bois pour l'Europe, récemment publiée par la F .A .O . résume de façon convenable cette situation ; on doit noter cependant que les prévisions faites par la F .A.O . sur l'approvisionnement des industries du bois ne pourront se réaliser qu'au prix d'un grand effort ; ces estimations représentent apparemment les possibilités «techniques et biolo- giques» (voir tableau n° 3) ; si les réalisations ne s'écartent pas sensiblement de ce schéma, des ressources bien plus importantes que par le passé devront, dans un proche avenir, être consacrées au développement des forêts européennes .

H . HAMILTON "

(traduction de H . POLGE)

• Henning HAMILTON est un des responsables du Service forestier de l'Association des propriétaires de Suède méridionale .

ANNEXES

Tableau n° 1 Distribution des espèces (en %)

Suède Finlande Norvège

Epicéa commun 45 38 52

Pin sylvestre 40 43 31

Bouleau 1 1 17 1 1

Autres feuillus 4 2 6

100 100 100

Tableau n° 2 Balance prévue pour l'approvisionnement en bois (en millions de m') en fonction des plans d'expansion actuels

1970 1975 1980

Suède méridionale + 6 - 3 - 12

Suède septentrionale 0 - 5 - 6

Finlande - 2 - 3 - 3

Norvège - 3 - 4 - 4

1 - 15 - 25

Ce tableau fait apparaître un net déficit entre le volume potentiel disponible (en fonction des rendements soutenus) et la somme des plans actuels de développement pour la consom- mation du bois dans l'industrie en 1975 et 1980.

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Chronique internationale

Tendances et perspectives européennes du bois (en millions de m 3 ) . - F .A .O . - 1969

Année Consommation Approvisionnement

de l'industrie du bois

Importations nettes

1970 329 289 40

1975 378 324 54

1980 431 364 67

1990 550 420-455 130-95

2000 680 460-550 220-130

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