Hôtel de Meaux actuellement Lycée Saint-Paul Forez

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Rhône-Alpes, Loire Montbrison

2 rue Saint-Pierre , 8 place Saint-Pierre , impasse Saint-Pierre , rue Montalembert , 13 rue du Collège , rue Claude- Henrys

Hôtel de Meaux actuellement Lycée Saint-Paul Forez

Références du dossier

Numéro de dossier : IA42001988 Date de l'enquête initiale : 2012 Date(s) de rédaction : 2012

Cadre de l'étude : inventaire topographique Degré d'étude : repéré

Désignation

Dénomination : hôtel

Appellation : Hôtel de Meaux Destinations successives : lycée

Parties constituantes non étudiées : cour, jardin, terrasse en terre-plein, maison

Compléments de localisation

Milieu d'implantation : en ville

Références cadastrales : 1809, E, 374 ; 1986, BK, 86

Historique

L´hôtel de Meaux est installé sur un site historique. La parcelle est bordée au nord-ouest par l´église Saint-Pierre du 13e siècle reconstruite au 19e siècle, à lést par le couvent des ursulines, lui-même bâti sur une partie de la 1ère enceinte castrale, au nord-est par la muraille et ses fossés du 13e siècle quíl longe entre les anciennes portes de lÁrchiprêtre et de la Barrière, et au sud par láncien bief comtal qui alimentait les fossés. La demeure, située entre une cour fermée et un jardin formé dúne terrasse en terre-plein, conserve plusieurs baies moulurées sur bases prismatiques, datables du 16e siècle, visibles dans un corps en pavillon sur jardin. De la 1ère moitié du 17e siècle subsistent, en sous-sol, une cave voûtée dárêtes reposant sur un pilier central et une cheminée monumentale incorporée qui intègre deux fours dans ses parois latérales. Datent aussi de cette époque : le grand-escalier rampe-sur-rampe, les chambranles de fenêtres ornés de fasces dans l´élévation sur jardin, la double baie cintrée sur cour, le portail monumental de la rue Saint-Pierre. Ce portail architecturé se compose dúne baie en plein cintre dont lémbrasure extérieure en pierre de taille présente un bossage à refends partiellement creusé dún semi de croissants. Cést probablement dans le 1er quart du 18e siècle que le portail est exhaussé dún couronnement aux armoiries de la famille de Meaux. Il pourrait ságir dúne surélévation faite par Etienne de Meaux, originaire du Beaujolais, installé en Forez par le fait de son mariage en 1724 avec Jeanne-Marie-Louise Puy du Périer. La perspective cavalière simplifiée de Montbrison de 1732 représente l´hôtel avec un corps de logis bordé dúne cour anglaise enjambée par deux ponceaux ; détail architectural qui pourrait dater du début du 18e siècle. La vue montre également la demeure dotée de deux grandes ailes en retour dans un jardin prolongé jusqu´à la fortification urbaine du 15e siècle. Ici, le dessin suggère un édifice cossu. A cette date la demeure est habitée par Etienne de Meaux, fils de Charles,

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Rhône-Alpes, Loire, Montbrison, 2 rue Saint-Pierre , 8 place Saint-Pierre , impasse Saint-Pierre , rue Montalembert , 13 rue du Collège , rue Claude- Henrys

Hôtel de Meaux actuellement Lycée Saint-Paul Forez IA42001988

à « 2 étages, moilons, bonne », láile de droite à « 3 étages, moilons, bonne » et une mention spéciale stipule « alignement donné par lássemblée des ponts et chaussées conformément à la lettre de M. de Cotte pour lán 1780 ». Le tracé prévoit dáligner l´hôtel sur la place Saint-Pierre en rognant une partie de láile droite et en détruisant les deux maisons voisines qui y sont adossées. Vers 1813, le plan parcellaire de Hyacinthe de Boisboissel montre toujours l´hôtel dégagé par une cour anglaise, mis en évidence par la couleur bleue ; y figure aussi le jardin en terrasse orné de trois parterres ainsi quún bâtiment rectangulaire isolé au sud et un édifice de plan irrégulier (les communs ?) à léxtrémité sud-est de la parcelle.

En 1857, les deux maisons mitoyennes cadastrées sous les numéros E 372 et 373 sont démolies pour servir à la « voie publique », tandis qu´en 1869 les matrices cadastrales inscrivent à la parcelle E 374 une « augmentation de construction

» suite à une « démolition ». Il ságit là de la transformation de láile droite de l´hôtel de Meaux, après le reculement de façade imposé par la municipalité, pour la création de la place Saint-Pierre ; le plan de 1872 dressé par lárchitecte voyer Remonter montre léxécution du projet. L´hôtel appartient alors au vicomte Marie-Camille-Alfred de Meaux, sénateur de la Loire, ministre de lÁgriculture et du Commerce sous le gouvernement Mac Mahon, qui épouse en 1858 Elisabeth, fille du célèbre théoricien du catholicisme libéral Charles de Montalembert. Cést vraisemblablement Elisabeth de Meaux qui fait installer dans le milieu du 19e siècle, sur l´élévation antérieure de sa demeure, une niche abritant la statue de sainte Elisabeth de Hongrie, sa protectrice, et celle de saint François Régis ( ?), missionnaire jésuite du Vivarais, Forez et Velay, saint remis à l´honneur à cette époque. Cést aussi au cours de cette période que l´hôtel reçoit de nombreux aménagements intérieurs, notamment la bibliothèque dans le cabinet de travail du 1er étage et le plafond à caissons dans le 1er repos du grand-escalier, la mise en place de deux escaliers secondaires installés dans les ailes latérales ainsi que la rénovation de la maison isolée contre le jardin en terre-plein (cf. sous-dossier). En 1956 la famille de Meaux donne sa propriété au diocèse de Lyon. L´édifice devient alors un établissement scolaire - annexe de lÍnstitution Victor de Laprade - appelé Lycée privé Montalembert puis, à partir de 1994, Lycée Saint-Paul Forez. Dímportantes transformations sont entreprises dans le corps de logis au cours de la 2e moitié du 20e siècle, notamment dans les ouvertures de baies, les enduits de façades et la distribution intérieure. Plusieurs bâtiments scolaires sont ajoutés dans la partie sud-est du jardin, sur lémplacement des anciens communs.

Période(s) principale(s) : 16e siècle, 1ère moitié 17e siècle, 18e siècle, milieu 19e siècle, 2e moitié 20e siècle Personne(s) liée(s) à l'histoire de l'oeuvre : Meaux Marie-Camille-Alfred, vicomte de (habitant célèbre)

Description

L´hôtel de Meaux et ses dépendances constituent un îlot délimité par les rues du Collège, Claude Henry et Montalembert ainsi que par les rues, impasse et place Saint-Pierre qui débouchent sur la Grande Rue, l´actuelle rue Martin-Bernard.

L´habitation occupe la partie nord-ouest de la parcelle. Au sud-est, des bâtiments récents (non étudiés) remplacent les anciens communs. Au sud, contre le jardin en terrasse en terre-plein sádosse une maison de plan rectangulaire (cf. sous- dossier). L´hôtel possède des élévations sur rues très détériorées par un épais crépi qui masque les embrasures de baies pour la plupart agrandies. Subsistent dans l´élévation principale sur cour une porte-fenêtre en arc segmentaire avec balconnet garni dún garde-corps en ferronnerie et une double baie cintrée qui conduit vers léscalier intérieur. L´élévation du corps de logis sur jardin contient des fenêtres aux chambranles de granite formés de fasces et, dans lúne des tours carrées latérales, des baies moulurées sur bases prismatiques. L´hôtel présente un plan en U avec un corps de logis flanqué de deux ailes en retour sur cour, longeant la rue Saint-Pierre. A lárrière, côté jardin, le logis est également flanqué de deux tours carrées en pavillon. La cour est fermée par un mur de clôture dans lequel a été ménagé le portail monumental. Láile droite, triangulaire, se raccorde au mur de clôture dans son angle le plus aigu ; sa forme est le résultat du reculement de façade imposé par le plan dálignement. La déclivité du sol dést en ouest impose un étage de soubassement en direction de la place Saint-Pierre. Le rez-de-chaussée surélevé est accessible du côté du jardin par trois ponceaux qui enjambent la cour anglaise (fossé, voir annexe 1). L´étage carré et l´étage en surcroît sont de hauteurs différentes selon les corps de bâtiment. Les toitures en tuiles creuses mécaniques sont à longs pans avec des versants aux pentes inégales terminés par des avant-toits ; les deux tours carrées aux toitures en pavillon sont couvertes de tuiles plates. Sur jardin, le corps de logis présente une élévation à huit travées couronnée par une corniche en brique ornée dún rang de denticules et modillons, motifs qui se retrouvent dans les corniches des tours latérales. L´étage de soubassement est accessible par un escalier en pierre, en équerre, qui débouche dans une vaste salle voûtée dárêtes reposant sur un pilier central. Cette salle, láncienne cuisine, contient une cheminée monumentale incorporée dans le mur du fond ; elle est dotée dún four à pain dans ses parois latérales. Les autres murs conservent un placard mural dont un à couvrement cintré ; le mur latéral gauche est partiellement éclairé par des baies jumelées ouvrant sur la cour anglaise. Dans le mur antérieur, une porte, au couvrement

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gauche. Ainsi au 1er étage, le cabinet de travail installé dans le corps central est réuni à la chambre, située dans l´aile gauche, par un passage dissimulé par un lambris de hauteur.

Eléments descriptifs

Matériau(x) du gros-oeuvre, mise en oeuvre et revêtement : enduit ; moellon Matériau(x) de couverture : tuile creuse mécanique, tuile plate

Plan : plan régulier en U

Étage(s) ou vaisseau(x) : étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage en surcroît Couvrements : voûte d'arêtes ; voûte en berceau

Élévations extérieures : élévation à travées

Type(s) de couverture : toit à longs pans ; toit en pavillon ; noue

Escaliers : escalier intérieur : escalier tournant à retours sans jour, en maçonnerie ; escalier intérieur : escalier tournant à retours avec jour, en charpente, suspendu

Typologies et état de conservation État de conservation : bon état, remanié Décor

Techniques : sculpture

Représentations : sainte Elisabeth ; saint ; armoiries Précision sur les représentations :

Sainte Elisabeth de Hongrie, protectrice dÉlisabeth de Meaux, est représentée dans une niche aux côtés de saint François Régis ( ?), évangélisateur du Forez. Ici la sainte a revêtu l´habit royal plutôt que l'habituel vêtement de franciscaine ; elle porte en attributs le pain qui nourrit le mendiant agenouillé à ses pieds et la maquette de l´église de la Marburg. En choisissant cette iconographie Elisabeth de Meaux évoque ses oeuvres charitables mais aussi son engagement pour la reconstruction de l´église paroissiale Saint-Pierre. L´église Saint-Pierre de Montbrison conserve dáilleurs une copie en plâtre de cette même statue (cf dossier). La représentation du saint au côté de sainte Elisabeth de Hongrie pourrait être celle de saint François Régis remis à l´honneur au 19e siècle ; il tient, ici, un chapelet et présente un catéchisme au lieu du traditionnel crucifix. Sur le portail d'entrée sont sculptées les armoiries de la famille de Meaux : dázur au chevron d

´or accompagné de deux étoiles et d´un trèfle du même.

Statut, intérêt et protection

Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine

Références documentaires

Documents d'archive

• AD Loire. Série 3P 1059 à 3P 1064 et 3P 1072 à 3P 1073. Etat des sections et matrices cadastrales AD Loire. Série 3P 1059 à 3P 1064 et 3P 1072 à 3P 1073. Etat des sections et matrices cadastrales de Montbrison

Documents figurés

• [Vue cavalière simplifiée... Plan de Montbrison et de Moingt]. Anonyme, 1732. Bibl. Diana.

[Vue cavalière simplifiée réalisée à l'occasion d'un procès soutenu par le chapitre de Montbrison. Plan de Montbrison et de Moingt]. Anonyme, 1732. Papier, encre sépia, lavis jaune, rouge, bleu. Ss éch., 60,5 x 101 cm. Ss éch., 60,5 x 101 cm. Lég., tampon. Texte en marge. (A. Diana, Montbrison)

B Diana Montbrison

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devant Généralité de Lyon est partagée en deux routes dans le nouveau ; la 1ère de St Etienne à Montbrison 2e classe n° 2 et la 2me de Roanne à Montbrison 3e classe n°1. Et la route de Lyon en Auvergne n°8 de l'ancien itinéraire se trouve actuellement sous le n° 5 de la 2me classe et sous le nom de route de Clermont à Lyon par Ambert et Montbrison. À Montbrison le 23 nivôse an 7 [12 janvier 1799]. L'ingénieur en chef du département de la Loire. [signature illisible]. Nota. La route a été ouverte dans cette partie [.] de l'axe prolongée de la rue St Jean. C'est sans doute [.] d'après des projets approuvés depuis l'année 1780 V.S. [vieux style]. [.] ils ne sont pas à la disposition de l'ingénieur en chef [.] département de la Loire. (A. Diana, Montbrison : série C géo 143, feuilles A à O, photocopies)

• Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. Canton de Montbrison. Commune de Montbrison.

Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. Canton de Montbrison. Commune de Montbrison. Parcellaire de 1809. Section E dite de la ville. Reboul, géomètre, Montbrison, 1809. Papier, encre brune, lavis bleu. Ech. 1/1250e. (AC Montbrison)

• Plan parcellaire de la ville de Montbrison... , par Hyacinthe de Boisboissel. 1813-1815.

Plan parcellaire de la ville de Montbrison, chef-lieu du département de la Loire. Dédié à Monsieur Silvestre de la Noërie, maire de la dite ville, par Hyacinthe de Boisboissel, ingénieur vérificateur du cadastre. [1813-1815]. Papier, encre, gouache. Ech. 1/1250e. (A. Diana, Montbrison, cote 119 F, document numérisé, original disparu)

B Diana Montbrison : 119 F

• Plan général de la ville de Montbrison et de ses faubourgs. Remontet, architecte-voyer, 1872.

Plan général de la ville de Montbrison et de ses faubourgs. Remontet, architecte-voyer, 1872. Calque, encre de chine noire, rouge, verte, lavis gris, vert, bleu, jaune. Ech. 1/500e, 194 x 138 cm. Présenté avec les Projets d'Alignements/ proposés par le Conseil Municipal,/ conformément à la loi du 16 7bre 1807 et à l'Instruction de M. Le Ministre de l'Intérieur en date du 2 8bre 1815/ Levé et dressé en 1819 par l'Architecte- Voyer Trabucco/ Vu par le Maire de Montbrison le 1er mars 1820 signé Le Chevalier Dumoncel Maire./ Les alignements en rouge ont été approuvés par ordonnance royale du 20 décembre 1820./ Dressé par l'Architecte- Voyer conformément aux indications contenues dans la délibération/ du conseil municipal des 5 et 19 janvier 1872 en ce qui concerne les alignements verts proposés./ Montbrison le 10 février 1872/ signé : Remontet/ Vu et approuvé St Etienne le 18 avril 1872. Le Préfet signé : Ducros/ 2 nov. 1876/ L'Architecte-voyer : Carrez/ vu par le Maire [.]/ Montbrison le [ ] novembre 1876. (AC Montbrison)

• AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du rez-de-chaussée, n°1. L.

AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du rez-de-chaussée, n°1. L. Brassart, architecte, 3 rue Tupinerie, Montbrison (42), 1978. Papier, tirage. Ech. 1/50e, 123 x 69,4 cm. Plan coté (AP Lycée Saint-Paul Forez)

• AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du 1er étage, n°2. L. Brassart, AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du 1er étage, n°2. L. Brassart, architecte, 3 rue Tupinerie, Montbrison (42), 1978. Papier, tirage. Ech. 1/50e, 129 x 109 cm. Plan coté (AP Lycée Saint-Paul Forez)

• AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du 2e étage, n°3. L. Brassart,

AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du 2e étage, n°3. L. Brassart, architecte, 3 rue Tupinerie, Montbrison (42), 1978. Papier, tirage. Ech. 1/50e, 122 x 69,7 cm. Plan coté (AP Lycée Saint-

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DREVET, Pierre. Montbrison. Deux cents ans de découvertes au quartier du Calvaire. [sans date], 13 p. [en ligne]. Accès Internet : URL : http ://www.patrimoine-montbrison.eu/files/96625/

PierreDrevetFouillesEtDecouvertesXIX-XX.pdf

• FOURNIER-NEEL, M. Montbrison coeur du Forez. 2001.

FOURNIER-NEEL, Marguerite. Montbrison coeur du Forez. Son passé, ses monuments, ses rues.

Montbrison : impr. I.P.M., rééd. 2001.

p. 84

• LATTA, Claude. Histoire de Montbrison. 1994.

LATTA, Claude. Histoire de Montbrison. Lyon : Horvath, 2e éd., 1994.

p. 143, 237

• PAUL, Georges. Armorial général du Velay et des enclaves de l'Auvergne, du Gévaudan, du Vivarais et PAUL, Georges. Armorial général du Velay et des enclaves de l'Auvergne, du Gévaudan, du Vivarais et du Forez formant le département de la Haute-Loire. Paris, 1912. Marseille : Laffite Reprints, 2002 p. 475

• SALOMON, E. Les châteaux historiques... du Forez. 1916.

SALOMON, Emile. Les châteaux historiques : manoirs, maisons fortes, gentilhommières, anciens fiefs du Forez et des enclaves du Lyonnais, du Beaujolais et du Macônnais qui ont formé le département de la Loire ; ill. par le Vicomte Gaston de Jourda de Vaux et Henry Gonnard. Réimpression de l'édition de Hennebont de 1916, 1922, 1926. Marseille : Laffitte, 1979. 3 Vol. (446-464-361 p.) : ill.; 30 cm

t. 1, p. 259-260, 288-290.

Annexe 1

Deux documents iconographiques, lún de 1732, láutre de 1813, attirent láttention par leur manière de figurer l´hôtel de Meaux. Malgré des objectifs différents ces deux représentations mettent en valeur léxistence dún même détail architectural : une cour anglaise placée contre le corps de logis, coté jardin.

La perspective simplifiée de Montbrison réalisée en 1732, à lóccasion dún procès soutenu par les chanoines du chapitre de Notre-Dame, illustre la ville dans sa globalité et met láccent sur la plupart des monuments majeurs qui parsèment la cité. Etonnement l´hôtel de Meaux est choisi pour faire parti de ceux-ci ; il est reproduit avec une cour anglaise enjambée par deux ponceaux. La mise en valeur de ce fossé pourrait être liée au caractère novateur de ce dispositif architectural, unique à Montbrison.

Le plan parcellaire de Hyacinthe de Boisboissel, exécuté vers 1813, désigne le zonage communal par la couleur bleue qui correspond aux espaces bâtis et non bâtis entretenus ou nettoyés par la municipalité. Sont ainsi tracés les fragments de fortifications, les édifices cultuels et les anciens couvents, devenus bâtiments de l´administration communale à partir de 1793, mais aussi les fossés, la rivière du Vizézy, les venelles latrinales implantées dans les îlots Légouvé et Précomtal.

Curieusement le plan de Boisboissel aquarelle aussi en bleu la cour anglaise de l´Hôtel de Meaux. On peut se demander pourquoi ?

La parcelle sise sur un sol à forte déclivité nécessite la construction d´un bâtiment en soubassement et la réalisation d

ún jardin en terre-plein. Cette parcelle remblayée se trouve aussi sur un secteur archéologique. En effet des fouilles, réalisées à la fin du 19e siècle dans les parcelles limitrophes, lors des travaux de terrassement entrepris dans láncien couvent des ursulines, devenu séminaire, et sur le site de église Saint-Pierre, ont mis au jour des caves, des puits, les anciens fossés comblés, le béal souterrain. Il est permis de penser que l´hôtel de Meaux, au centre de ce secteur archéologique, se situe sur un sol de même type, dáilleurs l´étage de soubassement doté au nord-est de deux étroits

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Illustrations

Détail de la perspective cavalière de Montbrison, 1732.

Vue de l'hôtel de Meaux.

Phot. Didier Gourbin IVR82_20134202017NUCA

Extrait du plan de la Traversée de Montbrison en 1780.

plan de 1780, photocopie B Diana Montbrison. C Géo 143

Phot. Eric Dessert IVR82_20084200304NUC

Extrait du plan cadastral de 1809, parcelle E 374.

Dess. Simone Hartmann-Nussbaum IVR82_20124202559NUD

Détail du plan parcellaire de Hyacinthe de Boisboissel, vers 1813. Vue de l'hôtel situé

entre l'église Saint-Pierre et l'ancien couvent des Ursulines.

Phot. La Diana IVR82_20104200319NUCA

Vue partielle du plan d'alignement dressé par l'architecte- voyer Remonter, 1872.

Phot. Eric Dessert, Autr. Remonter IVR82_20084200790NUCA

Plan du rez-de-chaussée, L. Brassart, 1978 (AP Lycée Saint-Paul Forez).

Phot. Thierry_ Leroy, Autr. Ludovic Brassart IVR82_20134202601NUCA

Plan du 1er étage, L. Brassart, 1978 (AP Lycée Saint-Paul Forez).

Phot. Thierry_ Leroy,

Plan du 2e étage, L. Brassart, 1978 (AP Lycée Saint-Paul Forez).

Phot. Thierry_ Leroy, Autr. Ludovic Brassart

Plan partiel du sous-sol, 2013.

Dess. André Céréza

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Coupe schématique, 2013.

Dess. André Céréza IVR82_20134203002NUD

MONTBRISON.-Hôtel de Meaux. Carte postale, [tampon

1908] ; (coll. Part. L. Tissier).

Phot. Eric (reproduction) Dessert

IVR82_20054201652NUCB Vue générale de l'hôtel de Meaux, détail de la vue aérienne de Montbrison, 4e quart 20e siècle (Coll.

studio d'Urfé, ville de Montbrison).

Phot. François Portet IVR82_20134202016NUCA

Vue générale.

Phot. Simone Hartmann-Nussbaum

IVR82_20124202560NUCA Portail monumental aux armoiries de la famille de Meaux, 17e et 18e siècles.

Phot. Didier Gourbin IVR82_20064202531NUCA

Vue partielle de trois- quarts droit depuis le parvis

de l'église Saint-Pierre.

Phot. Simone Hartmann-Nussbaum IVR82_20124202561NUCA

Vue partielle de trois-quarts gauche depuis le parvis de l'église Saint-Pierre.

Vue partielle depuis la rue Claude Henrys.

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Détail des statues : saint François Régis et sainte Elisabeth de Hongrie.

Phot. Thierry_ Leroy IVR82_20134202611NUCA

Détail de la cour, double baies cintrées ouvrant sur l'escalier intérieur, 17e siècle.

Vue partielle de la cage d'escalier depuis la cour : double baies cintrées

et fenêtres éclairant le 1er repos.

Vue partielle de l'élévation sur jardin.

Vue partielle de trois-quarts droit, élévation sur jardin flanquée d'un pavillon à droite.

Pavillon de droite, détail des baies moulurées sur bases

prismatiques, 16e siècle.

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Elévation latérale du pavillon de droite, détail d'une baie moulurée sur bases prismatiques, 16e siècle.

Elévation principale sur jardin, détail des travées.

Elévation sur jardin, porte piétonne accessible par un ponceau

enjambant la cour anglaise.

Cour anglaise longeant l'élévation sur jardin. Ponceau donnant

accès à la porte piétonne.

Vue partielle de la cour anglaise munie de deux ponceaux reconstruits.

Vue partielle du mur de soutènement de la cour anglaise

constituant un dégagement devant l'étage de soubassement.

Cour anglaise, sorte de cour étroite qui dégage et donne

jour et accès au sous-sol.

Fenêtres ouvrant sur la cour anglaise et éclairant les anciennes cuisines en sous-sol.

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IVR82_20124202609NUCA

Embrasure à mouluration plate, détail d'un piedroit de fenêtre.

Porte d'accès au sous- sol depuis la cour.

Etage de soubassement : porte à linteau chanfreiné

et montants adoucis.

Sous-sol : porte avec couvrement d'arc surbaissé donnant sur un couloir longeant la cour anglaise.

Sous-sol : ancienne cuisine voûtée d'arêtes portées par un pilier central,

éclairée par les baies jumelées ouvrant sur la cour anglaise.

Four ménagé dans la paroie latérale droite de la cheminée incorporée, ancienne cuisine.

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Couvrement d'arc du placard mural de l'ancienne cuisine.

Escalier intérieur : 1ère volée conduisant vers le rez-de-chaussée surélevé.

Grand-escalier rampe-sur-rampe, volée conduisant à l'étage, 17e siècle.

Détail, escalier à mur- noyau et volée droite.

Repos éclairé par des fenêtres placées à mi-étage.

Plafond à caissons ornant le 1er palier, 19e siècle.

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Départ de l'escalier secondaire logé dans l'aile nord-est du bâtiment, 19e siècle.

Escalier secondaire tournant à retours avec jour, en menuiserie, 19e siècle.

Porte intérieure avec embrasure à cavet, pavillon de droite.

Placards muraux à panneaux chantournés, 19e siècle.

Parquet en marquetterie, seuil menant au cabinet de travail du 1er étage.

Vue du cabinet de travail depuis l'entrée.

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IVR82_20124202629NUCA

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Oeuvre(s) contenue(s) : Oeuvre(s) en rapport :

Ville de Montbrison (IA42001310) Rhône-Alpes, Loire, Montbrison

Maison (IA42003212) Montbrison, 13 rue du Collège , impasse Montalembert Auteur(s) du dossier : Simone Hartmann-Nussbaum

Copyright(s) : © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel ; © Conseil général de la Loire

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Détail de la perspective cavalière de Montbrison, 1732. Vue de l'hôtel de Meaux.

IVR82_20134202017NUCA

Auteur de l'illustration : Didier Gourbin Date de prise de vue : 2010

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Extrait du plan de la Traversée de Montbrison en 1780. plan de 1780, photocopie B Diana Montbrison. C Géo 143

IVR82_20084200304NUC

Auteur de l'illustration : Eric Dessert Échelle : sans éch.

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Extrait du plan cadastral de 1809, parcelle E 374.

IVR82_20124202559NUD

Auteur de l'illustration : Simone Hartmann-Nussbaum Technique de relevé : reprise de fond ; Échelle : 1/1250e

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Détail du plan parcellaire de Hyacinthe de Boisboissel, vers 1813. Vue de l'hôtel situé entre l'église Saint-Pierre et l'ancien couvent des Ursulines.

IVR82_20104200319NUCA Auteur de l'illustration : La Diana Date de prise de vue : 2006

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Vue partielle du plan d'alignement dressé par l'architecte-voyer Remonter, 1872.

IVR82_20084200790NUCA Auteur de l'illustration : Eric Dessert Auteur du document reproduit : Remonter Échelle : éch. 1/500e

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Plan du rez-de-chaussée, L. Brassart, 1978 (AP Lycée Saint-Paul Forez).

Référence du document reproduit :

• AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du rez-de-chaussée, n°1. L.

AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du rez-de-chaussée, n°1. L. Brassart, architecte, 3 rue Tupinerie, Montbrison (42), 1978. Papier, tirage. Ech. 1/50e, 123 x 69,4 cm. Plan coté (AP Lycée Saint-Paul Forez)

IVR82_20134202601NUCA

Auteur de l'illustration : Thierry_ Leroy

Auteur du document reproduit : Ludovic Brassart Échelle : 1/50e

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Plan du 1er étage, L. Brassart, 1978 (AP Lycée Saint-Paul Forez).

• AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du 1er étage, n°2. L. Brassart, AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du 1er étage, n°2. L. Brassart, architecte, 3 rue Tupinerie, Montbrison (42), 1978. Papier, tirage. Ech. 1/50e, 129 x 109 cm. Plan coté (AP Lycée Saint-Paul Forez)

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Plan du 2e étage, L. Brassart, 1978 (AP Lycée Saint-Paul Forez).

• AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du 2e étage, n°3. L. Brassart,

AEP Montbrison. Immeuble rue Saint-Pierre. Etat des lieux. Plan du 2e étage, n°3. L. Brassart, architecte, 3 rue Tupinerie, Montbrison (42), 1978. Papier, tirage. Ech. 1/50e, 122 x 69,7 cm. Plan coté (AP Lycée Saint- Paul Forez)

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(22)

Plan partiel du sous-sol, 2013.

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Auteur de l'illustration : André Céréza

Technique de relevé : relevé manuel ; Échelle : 1/500e

(23)

Coupe schématique, 2013.

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Auteur de l'illustration : André Céréza

Technique de relevé : relevé manuel ; Échelle : 1/500e

(24)

MONTBRISON.-Hôtel de Meaux. Carte postale, [tampon 1908] ; (coll. Part. L. Tissier).

• MONTBRISON.-Hôtel de Meaux. Carte postale. Edition Perroton, Montbrison [tampon 1908].

MONTBRISON.-Hôtel de Meaux. Carte postale. Edition Perroton, Montbrison [tampon 1908].

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Auteur de l'illustration : Eric (reproduction) Dessert

(25)

Vue générale de l'hôtel de Meaux, détail de la vue aérienne de Montbrison, 4e quart 20e siècle (Coll. studio d'Urfé, ville de Montbrison).

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Auteur de l'illustration : François Portet

(26)

Vue générale.

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Auteur de l'illustration : Simone Hartmann-Nussbaum Date de prise de vue : 2011

(27)

Portail monumental aux armoiries de la famille de Meaux, 17e et 18e siècles.

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Auteur de l'illustration : Didier Gourbin

(28)

Vue partielle de trois-quarts droit depuis le parvis de l'église Saint-Pierre.

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(29)

Vue partielle de trois-quarts gauche depuis le parvis de l'église Saint-Pierre.

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(30)

Vue partielle depuis la rue Claude Henrys.

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(31)

Niche abritant les statues de saint François Régis et sainte Elisabeth de Hongrie.

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Auteur de l'illustration : Simone Hartmann-Nussbaum

(32)

Détail des statues : saint François Régis et sainte Elisabeth de Hongrie.

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(33)

Détail de la cour, double baies cintrées ouvrant sur l'escalier intérieur, 17e siècle.

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(34)

Vue partielle de la cage d'escalier depuis la cour : double baies cintrées et fenêtres éclairant le 1er repos.

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(35)

Vue partielle de l'élévation sur jardin.

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(36)

Vue partielle de trois-quarts droit, élévation sur jardin flanquée d'un pavillon à droite.

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(37)

Pavillon de droite, détail des baies moulurées sur bases prismatiques, 16e siècle.

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(38)

Elévation latérale du pavillon de droite, détail d'une baie moulurée sur bases prismatiques, 16e siècle.

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(39)

Elévation principale sur jardin, détail des travées.

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(40)

Elévation sur jardin, porte piétonne accessible par un ponceau enjambant la cour anglaise.

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(41)

Cour anglaise longeant l'élévation sur jardin. Ponceau donnant accès à la porte piétonne.

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(42)

Vue partielle de la cour anglaise munie de deux ponceaux reconstruits.

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(43)

Vue partielle du mur de soutènement de la cour anglaise constituant un dégagement devant l'étage de soubassement.

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(44)

Cour anglaise, sorte de cour étroite qui dégage et donne jour et accès au sous-sol.

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(45)

Fenêtres ouvrant sur la cour anglaise et éclairant les anciennes cuisines en sous-sol.

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(46)

Elévation sur jardin, fenêtre à mouluration plate au 1er étage, 17e siècle.

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(47)

Embrasure à mouluration plate, détail d'un piedroit de fenêtre.

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(48)

Porte d'accès au sous-sol depuis la cour.

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(49)

Etage de soubassement : porte à linteau chanfreiné et montants adoucis.

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(50)

Sous-sol : porte avec couvrement d'arc surbaissé donnant sur un couloir longeant la cour anglaise.

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(51)

Sous-sol : ancienne cuisine voûtée d'arêtes portées par un pilier central, éclairée par les baies jumelées ouvrant sur la cour anglaise.

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(52)

Four ménagé dans la paroie latérale droite de la cheminée incorporée, ancienne cuisine.

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(53)

Couvrement d'arc du placard mural de l'ancienne cuisine.

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(54)

Escalier intérieur : 1ère volée conduisant vers le rez-de-chaussée surélevé.

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(55)

Grand-escalier rampe-sur-rampe, volée conduisant à l'étage, 17e siècle.

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(56)

Détail, escalier à mur-noyau et volée droite.

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(57)

Repos éclairé par des fenêtres placées à mi-étage.

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(58)

Plafond à caissons ornant le 1er palier, 19e siècle.

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(59)

Départ de l'escalier secondaire logé dans l'aile nord-est du bâtiment, 19e siècle.

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(60)

Escalier secondaire tournant à retours avec jour, en menuiserie, 19e siècle.

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(61)

Porte intérieure avec embrasure à cavet, pavillon de droite.

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(62)

Placards muraux à panneaux chantournés, 19e siècle.

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(63)

Parquet en marquetterie, seuil menant au cabinet de travail du 1er étage.

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(64)

Vue du cabinet de travail depuis l'entrée.

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(65)

Vue partielle du cabinet de travail entouré d'une bibliothèque vitrée, 2e moitié 19e siècle.

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(66)

Cheminée engagée du cabinet de travail, 2e moitié 19e siècle.

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