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Ce que j'aimerais vous

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Merci pour vos questions !

Vous étiez très nombreux à réagir à mes messages concernant le COVID-19.

95% de vos réactions ont été très positives et constructives. Vous trouverez vos questions et remarques ci-dessous avec mes réponses un peu plus élaborées et documentées - j'ai fait beaucoup de recherches dans la littérature médicale pour être plus pertinent.

Le texte suivant est long et demande un peu de concentration. Mais vous ne serez pas déçus !

Questions-réponses COVID-19

Peur, tristesse et sentiment d'impuissance

Dans vos messages vous m'avez fait part de vos sentiments face à cette crise sanitaire et sociétale. D'abord la peur. La peur d'être contaminé(e), malade et même de mourir. Mais aussi la peur de voir notre société abîmée par des mesures non-cohérentes et souvent liberticides. Et la peur de l'après-COVID-19 (misère sociale, chômage...).

La peur est une des quatre émotions fondamentales (tristesse, colère, peur, joie) de l'être humain. Comme les trois autres émotions la peur est 'produite' dans notre cerveau dans le système limbique. La 'production' de la peur est un

Ce que j'aimerais vous dire. ..

Dr Frank Oehlenschläger

Heilpraktiker et Docteur en Biochimie

www.heilpraktiker-en-bretagne.de

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processus inconscient et automatique. Est-ce que vous savez qu'ils existent des substances chimiques qui, une fois injectées en vous, créent une peur sans précédent ?

C'est bien la preuve que, dans la réalité, la peur n'existe pas, c'est une création de notre cerveau.

Peut-être cela vous aide déjà ? De savoir que la peur n'existe pas vraiment ? Le seul moyen de réduire la peur dans notre vie quotidienne est la pleine conscience: Etre conscient, à chaque moment de ce que nous faisons pensons et sentons.

Se rendre compte que "Là, je suis en colère", "Là, j'ai peur"... Cette conscience, qu'on peut développer et travailler (ex: méditation MBSR), va petit à petit diminuer notre peur. La pleine conscience nous amène vers un état d'équanimité face aux événements de notre vie.

Quel est l'origine du COVID-19 ?

Nous entendons souvent que l'origine du virus est la ville de Wuhan en Chine et plus précisément un marché dans cette ville. On sait que ce virus est

probablement un virus présent dans la chauve-souris qui a franchi la barrière des espèces et qui est devenu contagieux pour l'homme. Il n'est pas sûr que le virus a été transmis directement de la chauve-souris à l'homme. Une autre intermediaire est probable (pangolin à queue courte, Manis pentadactyla).

Selon une étude récente (1) déjà en 2013 le virus a peut-être franchi la barrière animal-homme. Dans les années suivantes le virus aurait muté et serait devenu dangereux en 2019.

Est-ce qu'on aura plus de virus de ce type dans l'avenir ?

La réponse est clairement OUI. L'être humain est en train de réduire l'espace de vie de beaucoup d'animaux, entre autre celle des chauves-souris. Cette destruction de l'environnement induit une plus grande densité d'animaux ce qui favorise la propagation de toutes sortes de virus entre les différentes espèces d'animaux.

Il existe une étude intéressante concernant le virus d'Ebola, un virus mortel (oui, lui il est vraiment mortel !) en Afrique qui prouve un lien direct entre la destruction de l'environnement (destruction des forêts où nichent les chauves- souris) et l'apparition des épidémies d'Ebola (2). Avec notre façon de vivre (notre hyperconsommation) nous sommes directement responsables des futures épidémies.

Les images d'horreur de l'Italie du Nord

Souvenez-vous des images venant de l'Italie du Nord au début de l'épidémie ? Des cercueils en masse, des services de réanimation débordés, des patients soignés sur des parkings... La panique totale.

Maintenant on sait pourquoi l'Italie du Nord a été frappée si durement et aussi pourquoi ce scénario n'était pas probable en France. Il y a plusieurs raisons:

La première a été l'emploi massif des dizaines de milliers de chinois qui travaillent dans les industries de l'Italie du Nord. Leurs conditions de travail sont inhumaines, ils vivent dans des logement insalubres avec des conditions sanitaires catastrophiques. Donc des conditions idéales pour la propagation du

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virus.

Une deuxième raison est encore plus pertinente: La pollution d'air avec les particules fines. La région de l'Italie du Nord est une des régions les plus touchées au monde par ce type de pollution. Des publications récentes démontrent un lien direct entre les particules fines et les cas graves d'infections respiratoires. Ces particules dans les poumons impactent directement le système immunitaire local: Inactivation des lymphocytes T, macrophages et cellules NK. Le système immunitaire local ne peut plus faire face aux virus et le virus peut donc proliférer plus facilement dans les muqueuses du système respiratoire (3).

Tous les ans environ 84.000 Italiens meurent suite à la pollution de l'air, cette pollution est un lit idéal pour le développement des maladies respiratoires de toutes sortes. Dans le monde entier environ 7 millions de personnes meurent à cause de la pollution d'e l'air, en Europe entre 300 et 600.000 par an.

Autres raisons de la situation catastrophique en Italie du Nord: Un système de santé défaillant (8,6 lits en réanimation pour 100.000 habitants en Italie contre 34 en Allemagne et 22 en France) et une pollution d'eau avec le virus (stations d'épuration inexistantes ou défaillantes). En regardant ces différents éléments on a du mal à imaginer un tel scénario en France ou en Allemagne !

Les chiffres COVID-19 dans le contexte d'autres infections

Actuellement environ 44.000 personnes sont mortes du COVID-19 en France et 11.000 en Allemagne. Ou plutôt: Pour lesquelles le test COVID a été positif....

Chaque personne décédée de ce virus est une de trop, chaque famille impactée par le COVID-19 mérite notre compassion et notre soutien.

Quelle est la mortalité pour les autres maladies infectieuses de notre époque ?:

Influenza (grippe saisonière) (Allemagne): 2018: 25.000 morts, 2017:

23.000, 2015: 22.000, 2013: 21.000, 2009: 19.000 (4)

Tous les ans environ 290.000 - 650.000 personnes meurent d'influenza dans le monde (OMS)

80.000 morts de l'influenza aux US en 2018

Pneumonie (Allemagne): Environ 40.000 morts par an

Pneumonie dans le monde 2017: 2,6 - 4 M morts par an (800.000 enfants

!)

La grande différence entre le COVID-19 et influenza/ pneumonie est que ces deux autres infections sont bien plus dangereuses pour les enfants que le COVID-19. La mortalité des enfants (< 12 ans) à cause de la pneumonie est par exemple autour de 3% (5). Le COVID ne fait presque aucune victime parmi les enfants. Pour la virologue Prof. Dr. Ulrike Protzer de l'Université de Munich la mortalité du COVID-19 et de l'influenza sont similaires. (6)

Pourquoi tant d'importance pour le COVID-19 ?

Quand on regarde les chiffres des autres infections respiratoires, on se demande pourquoi on accepte tous les ans 40.000 morts de pneumonies et 20-30.000 morts d'influenza (Allemagne) sans aucune action des autorités sanitaires. Et pourquoi sur l'autre côté on prend des mesures drastiques contre le COVID-19 ?

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On ne fait pas de dépistage de masse pour identifier les porteurs d'influenza et des virus/ bactéries pour la pneumonie. Par contre on dépense des milliards pour identifier les personnes contaminées (pas infectées !) avec le COVID-19 (environ 80 € par test PCR, environ 18 millions de tests réalisés = 1,5 Mrd. € en France). Ces questions restent sans réponse de la part des autorités.

Combien de morts COVID-19 acceptons-nous ?

Cette question a été posés à une membre du comité national d'éthique allemand (Deutscher Ethikrat), Mme Graumann (7). La question concrète a été:

"Pourquoi nous acceptons 25.000 morts d'influenza et 30.000 morts liés à la cigarette tous les ans et pourquoi nous n'acceptons pas les 11.000 morts COVID-19".

Mme Graumann n'a pas donné de réponse.... Pourtant c'est une question cruciale pour notre société ! Nous acceptons 200.000 morts liés au cancer par an, 12.000 suicides, 30.-40.000 morts liés aux effets secondaires des

médicaments, 20.000 morts à cause des infections nosocomiales (hôpital), des dizaines de morts à cause de l'alcool... la liste est sans fin.

Pourquoi cet acharnement pour combattre le COVID-19 ? Pourquoi ne portons- nous pas notre intérêt aux autres causes de décès qui seraient évitables avec une vrai politique de santé ? Nos autorités sont-elles vraiment intéressées par notre santé ?

L'immunité cellulaire oubliée

On nous dit qu'il faudrait une immunité dans la population entre 60-80% pour que le virus ne se répande plus, donc il faudrait une vaccination de masse. D'où vient ce chiffre et est-il exact ? Des récentes simulations décrivent une

immunité de 43% dans la population comme suffisante pour protéger le reste de la population contre le virus. Cette simulation a été publiée dans la

prestigieuse revue Science (8). Dans cet article les auteurs pensent même que les 43% pourraient être trop haut et qu'un seuil inférieur de 43% serait peut- être suffisant.

Quand on parle d'immunité il faut distinguer deux types d'immunités: (1) L'immunité humorale (anticorps) et l'immunité cellulaire liée aux lymphocytes T.

La vaccination va aider notre corps à produire des anticorps contre le virus (immunité humorale). Mais on oublie souvent le 2ème type d'immunité, qui serait responsable pour l'évolution asymptomatique de la grande majorité des infections COVID-19.

Dans une publication dans le journal Cell, l'équipe des chercheurs a testé la capacité des lymphocytes T prélevés en 2015 (!) pour combattre le COVID-19 (9): 50% des échantillons ont montré une activité importante, une immunité cellulaire. Une autre publication dans Nature (le top journal scientifique) en 2020 donne une explication (10): Grâce à des contacts avec autres virus du type Corona dans le passé, l'être humain a développé une immunité cellulaire contre COVID-19.

Le COVID-19 - un virus 'systémique'

Pour nous faire peur, les autorités soulignent que COVID-19 serait un virus mutli-organes. Après une infection respiratoire, il resterait des séquelles cardiaques et neurologiques graves. Ce serait la spécificité de ce virus et une

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raison de plus pour sa dangerosité. En effet, après une infection COVID-19 il peut rester des séquelles, mais ça n'a rien d'extraordinaire. Après beaucoup d'infections (bactériennes ou virales) il reste des séquelles dans notre corps.

Une étude démontre que la pneumonie peut avoir des effets néfastes sur les enfants, surtout des séquelles neurologiques graves (11). L'influenza peut également induire des séquelles graves en niveau neurologique chez les enfants < 18 mois: Epilepsie, encéphalites (12).

Vous avez vu: Sans le sous-estimer, le COVID-19 est un pathogène comme les autres: Il peut être mortel (surtout pour les personnes avec un système immunitaire déprimé/ défaillant) et il peut laisser des séquelles. Notre corps possède des outils pour se défendre, surtout en niveau immunité cellulaire (lymphocytes T). Il est fort dommage que les autorités ne mettent pas en place des tests pour analyser ce type d'immunité crucial. Elles favorisent un test PCR, qui ne veut pas dire grand chose (voir ma lettre précédente). Peut-être les autorités ont peur de découvrir qu'une grande partie de la population soit déjà immunisée contre COVID-19 via les lymphocytes T ?

Vaccination suite

Nous avons vu que l'immunité cellulaire (contact avec autres virus du type Corona) peut nous protéger contre COVID-19. Seulement des personnes avec un système immunitaire faible (diabète, obésité, âge) risquent de ne pas être protégées suffisamment. Pour eux une vaccination semblerait être utile.

Le développement d'un vaccin dure des années normalement (phase I à III), jusqu'à 10 ans. Pour le COVID-19 les autorités accordent des dérogations, elles souhaitent un vaccin en 12 mois. Même le pro-vaccin d'excellence Bill Gates a admis qu'il y aura des risques de sécurité avec un vaccin développé en si peu de temps (BBC, 12/4/2020). Les sociétés pharmaceutiques sont bien conscientes de ces risques et ont conclu des contrats avec les états et l'UE, pour que les états prennent en charge l'indemnisation des victimes des possibles effets secondaires et séquelles du vaccin anti-COVID-19.

Le nouveau type de vaccin, un vaccin génétique

Il est fort probable que la course au vaccin soit remportée par un tout nouveau type de vaccin: Le vaccin génétique (sociétés BioNTech, Moderna). Une partie de l'ARN du virus sera introduit dans nos cellules via des nanoparticules et liposomes. Une fois dans nos cellules une protéine de l'enveloppe du virus sera produite et exprimée à la surface de nos cellules. Notre système immunitaire va reconnaître ces protéines virales et produira des anticorps.

La mise au point de ce nouveau type de vaccin en si peu de temps est un grand succès pour la recherche pharmaceutique, des prix Nobel vont certainement suivre. Par contre, quels sont les risques et quelle sera son efficacité ?

Ce type de vaccin sera le 1er vaccin génétique utilisé contre une maladie infectieuse. Il serait donc essentiel de prendre le temps pour exclure tous les effets secondaires possibles (réactions auto-immunes par exemple) et pour confirmer une efficacité sur la durée lors d'une vraie phase III. Ce n'est pas voulu par les autorités.

Le monde scientifique s'accorde à dire que les risques d'un vaccin basé sur une partie de l'ARN du virus ne sont pas importants. Il y a beaucoup d'incertitudes sur l'efficacité de ce type de vaccin sur le long terme - vu les

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mutations permanentes du virus (comme nous le voyons tous les ans avec l'influenza).

J'ai adoré la réponse d'une professeur de chimie biologique de l'Université de Jérusalem, quand on lui a demandé si le vaccin était sûr et si elle allait se faire vacciner: "Oui, il n'y a pas de doutes que le vaccin sera sûr, mais je préfère attendre un an pour me faire vacciner pour avoir du recul"....(13)

Quoi faire alors ?

Vous voyez il y a beaucoup de zones d'ombres en ce qui concerne l'épidémie COVID-19: L'origine du virus, des articles et reportages non-sérieux et exagérés dans la presse, les autres infections respiratoires mises à côté, des tests PCR non-pertinents, l'immunité cellulaire ignorée, une vaccination qui pose beaucoup de questions etc.

En écrivant cet article je suis arrivé à la conclusion suivante: OUI, le virus est un virus dangereux, comme beaucoup d'autres pathogènes. NON, je ne crois pas que cette dangerosité justifie toutes les mesures prises par les autorités, des mesures qui sont souvent liberticides et qui risquent de créer une importante misère sociale.

Vous êtes très nombreux à partager mon avis. Mais quoi faire ?.... Je me suis rendu compte qu'il n'est pas utile de vouloir convaincre et persuader notre entourage. La majorité des personnes se trouvent dans un tunnel de peur et ne vont pas sortir de là. Nous pouvons continuer à faire circuler toutes sortes d'informations critiques (comme par exemple l'appel de centaines d'avocats qui demandent une suspension des mesures liberticides, 14), mais nous n'allons pas changer les autres, ni l'attitude de nos autorités.

Même un appel de la 'Kassenärztlichen Vereiningung' (une association qui représente la majorité des 400.000 médecins en Allemagne) et qui demande de réévaluer les mesures prises et de tenir compte de leurs conséquences sociales (15) n'a rien changé - le gouvernement Merkel ne bouge pas un millimètre.

La chose la plus importante

Au vu de ce constat, il reste une seule chose à faire pour nous: Travailler sur nous-mêmes, prendre toute cette hystérie autour de la pandémie comme une exercice pour grandir, pour nous détacher de cette société malade (pas malade du COVID-19 mais malade de peur, méfiance, violence, racisme...).

Essayez de rester à l'écart des médias et essayez de soutenir les personnes qui en ont besoin - par contre restez à l'écart de personnes qui vous tirent vers le bas. Concentrez-vous sur votre santé, votre hygiène de vie, boostez votre système immunitaire avec une alimentation saine et une activité sportive. Mais surtout éviter la peur ! La peur, via une production excessive de cortisol (hormone de stress) déprimera votre système immunitaire.

Infos pratiques

Vous avez reçu ce document, donc vous êtes dans ma liste de diffusion. Pour ne plus recevoir mes messages, vous pouvez vous désinscrire ci-dessous.

N'hésitez pas à diffuser ce document. Si vous connaissez des personnes qui

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seraient intéressées par mes articles, vous pourriez leur dire de me communiquer leurs emails. Je les inclurerai dans ma liste de diffusion.

Pour vos commentaires, voici mon email: f.oehlenschlager@gmail.com

Ma prochaine lettre concernera la vie de Peace Pilgrim et ses enseignements pour atteindre une paix intérieure. La lettre suivante discutera des

nouvelles thérapies contre le cancer

Littérature:

1: Brintnell et al., Detailed phylogenetic analysis of SARS-CoV-2 reveals latent capacity to bind to human ACE2 receptor, BioRix, 2.7.2020. www.biorix.org 2: Olivero et al., Recent loss of closed forests is associated with Ebola virus disease outbreaks, Scientific Reports, Vol. 7, 14291.

3: Walach et al., Coronavirus - Ausbreitung durch Feinstaubbelastung beschleunigt ? Zackack 21.3.2020 et Feng et al., Impact of ambient fine particulate matter exposure on the risk of influenza like illness, Environmental health, Vol. 15, 17, 2020

4: Influenza-assoziierte Übersterblichkeit in Deutschland für die Saisons 1986- 2019; de.statistika.com

5: Ferreira et al., Lethality by pneumonia and factors associated to death, Hournal de Pediatria, Vol. 90, I

6: RTL: Haben sich die Experten beim Coronavirus geirrt ? Immunologe Beda Stadler: Es sind mehr Menschen immun, als Virologen denken. RTL Gesundheit vom 24.6.2020

7: Ethikraetin-Graumann-zu-Massnahmen, TAZ, 15.11.2020

8: Britton et al., A mathematical model reveals the influence of population heterogeneity on herd immunity to Sars-CoV-2, Science, 23.6.2020 9: Grifoni et al., Targets of T cell responses to SARS-CoV-2 coronavirus in humans with COVID-19 disease and unexposed individuals, Cell, 14.5.2020 10: Sette et al., Pre-existing immunity to Sars-CoV-é, Nature Reviews, 20, P. 457- 458

11: Grimwood et al., Long-term effects of pneumonia in young children, Pneumonia, Vol. 6, p. 101-114 (2015)

12: Surtees et al., Influenza virus associated encephalopathy, Archives of Disease in Childood, Vol. 91, 6 (2006)

13: https://www.jpost.com/health-science/could-an-mrna-vaccine-be- dangerous-in-the-long-term-649253

14: https://www.lejdd.fr/Societe/Justice/tribune-200-avocats-et-juristes- appellent-au-deconfinement-et-a-defendre-la-vie-sous-tous-ses-aspects- 4003339

15: https://www.kbv.de/media/sp/KBV-

Positionspapier_Wissenschaft_Aerzteschaft_COVID-19.pdf

© 2020 Frank Oehlenschlager

Références

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