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Jessica Hunter-Orange MD CCFP DipPDerm

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Academic year: 2022

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The Faces of Family Medicine | Les visages de la médecine familiale

O

n the day she received h e r C e r t i f i c a t i o n i n family medicine, back in June 2007, Dr Jessica Hunter-Orange says she had “grand plans to be an awesome family doctor.”

She says she “loved” her locum at the Byron Family Medical Centre in London, Ont. Next, she joined a

“busy and rewarding” practice with a good friend from medical school, Dr Julie Tripp. And she’ll “never give up” her half-day a week with the family planning clinic operated by the Middlesex-London Health Unit.

B u t s o m e t h i n g u n f o r e s e e n happened. “I liked doing minor surgery and my mentor at Byron encouraged me to do some postgrad work in dermatology,” says Dr Hunter-Orange.

So she took an intensive 1-year

course with Cardiff University in Wales—“I was really surprised how much I learned”—eventually earning a Diploma of Practical Dermatology.

“Julie and I set up a little dermatology clinic on the side, mostly for friends and colleagues, and we were astounded by the response,” says Dr Hunter-Orange.

“There were only 5 dermatologists in all of London and only 1 in nearby Sarnia.

The wait time to get in and see one was up to 9 months.”

Today, she, Dr Tripp, and a new associate, Dr Jennifer Andrade, operate the London Skin Disorders Clinic. That means she sees a lot of acne, psoriasis, and eczema. She also performs “a ton of biopsies” for skin cancer, as well as precancer screening and full-body skin examinations, looking for the warning signs of carcinogenic sun damage.

“It’s the fastest growing cancer in all of Canada and a huge part of our practice. About half the patients I see every day are worried about, have, or have had skin cancer,”

Dr Hunter-Orange says. Skin cancer doesn’t discriminate on the basis of age or sex or where it might frst appear on the body. In the past year, she’s seen both a 16-year-old girl and a 90-year- old man diagnosed with malignant melanoma.

“I did not set out to be what I am.

This was not the plan,” she shakes her head. “But over the last almost 4 years we have built a huge and successful clinic. I’m very happy and I love my patients. We’re very proud to be, frst and foremost, family physicians, with a focused practice in dermatology.”

Jessica Hunter-Orange MD CCFP DipPDerm

Dr Hunter Orange is a family physician with a GP focused practice designation in dermatology working at the London Skin Disorders Clinic and the Middlesex London Health Unit in London, Ont.

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re

Hunter Orange est médecin de famille dont la pratique générale est ciblée en dermatologie.

Elle travaille à la London Skin Disorders Clinic et à la Middlesex London Health Unit à London, en Ontario.

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e jour où elle a reçu sa C e r t i f i c a t i o n e n m é d e - cine familiale, en juin 2007, Dre Jessica Hunter-Orange avait comme grand projet de devenir «une fantastique médecin de famille».

Elle dit avoir «adoré» son poste de remplaçante au Byron Family Medical Centre à London, en Ontario.

Par la suite, elle s’est jointe à une pratique «achalandée et satisfaisante»

en compagnie d’une bonne amie de l’époque de la faculté de médecine, Dre Julie Tripp. Et elle «n’abandonnera jamais» sa demi-journée par semaine à la clinique de planifcation familiale qu’offre l’unité de santé de Middlesex-London.

Quelque chose d’imprévu s’est produit. «J’aimais faire des chirurgies mineures et mon mentor au Byron m’a encouragée à faire un peu de travail postdoctoral en dermatologie», explique Dre Hunter-Orange. Elle a alors suivi un cours intensif de 1 an à

la Cardiff University au Pays de Galle.

«J’ai été vraiment surprise de tout ce que j’ai appris.» Elle a éventuellement obtenu un diplôme en dermatologie pratique.

«Julie et moi avons organisé une petite clinique de dermatologie en aparté, surtout pour des amis et des collègues, et nous avons été étonnées par la réponse, poursuit Dre Hunter-Orange. Il n’y avait que 5 dermatologues dans tout London et 1 seul près de Sarnia. Les délais d’attente pour en voir un pouvaient aller jusqu’à 9 mois.»

Aujourd’hui, elle, Dre Tripp et une nouvelle associée, Dre Jennifer Andrade, dirigent la London Skin Disorders Clinic.

Elle voit donc beaucoup de cas d’acné, de psoriasis et d’eczéma. Elle fait aussi des «tonnes de biopsies» pour détecter des cancers de la peau, ainsi que du dépistage précancéreux et des examens de la peau sur tout le corps à la recherche de signes précurseurs de dommages carcinogènes du soleil.

«C’est le cancer dont la croissance est la plus rapide partout au Canada et qui occupe une immense partie de notre pratique. Près de la moitié des patients que je vois chaque jour s’inquiètent d’un cancer de la peau, en souffrent ou en ont souffert, déclare Dre Hunter-Orange.

Le cancer de la peau ne fait pas de discrimination en raison de l’âge ou du sexe ou encore de l’endroit où il se manifeste sur le corps. L’an dernier, j’ai vu un diagnostic de mélanome cancéreux à la fois chez une flle de 16 ans et chez un homme de 90 ans.»

«Je n’avais pas prévu être ce que je suis devenue. Ce n’était pas ce que j’avais planifé, dit-elle en secouant la tête. Mais, depuis presque 4 ans, nous avons bâti une immense clinique prospère. Je suis très heureuse et j’aime mes patients. Nous sommes très fères d’être, d’abord et avant tout, des médecins de famille, ayant une pratique ciblée en dermatologie.»

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Canadian Family Physician  Le Médecin de famille canadien

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I did not set out to be what I am

Je n’avais pas prévu être ce

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Dr Jessica Hunter-Orange

PHOTOS: Dr Hunter-Orange enjoying some of her favourite activities, running and reading, and (left) with her daughter, Sydney Orange (taken by her husband, Derek Orange).

PHOTOS: Dre Hunter-Orange s’adonnant à ses activités favorites, la course et la lecture et (à gauche) en compagnie de sa flle, Sydney Orange (dans les bras de son conjoint, Derek Orange).

PHOTOS: Laura Bombier, Toronto, Ont STORY/TEXTE: William M. Glenn, Toronto, Ont

THE COVER PROJECT Canadian Family Physician has embarked on a project to assemble the portrait of family medicine in Canada. Each cover of the journal features a family physician chosen at random from our membership list, along with a short essay—a brief glimpse of the person and the practice. Over time, the randomness will become representative and the differences, taken together, will define what it is that all family physicians have in common.

LE PROJET DE LA PAGE COUVERTURE Le Médecin de famille canadien a entrepris un projet visant à tracer le portrait de la médecine familiale au Canada. La page couverture de la revue met en vedette un médecin de famille choisi au hasard dans notre liste de membres. Un court texte donne un bref aperçu de la personne et de sa pratique. Avec le temps, cette sélection aléatoire deviendra représentative, car les différences, rassemblées, feront ressortir ce que tous les médecins de famille ont en commun.

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