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LYCÉES : QUELLE

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our le SNES, l’organisa- tion du lycée doit être le moyen de répondre à l’objectif qui reste pertinent de démocratiser l’ac- cès au baccalauréat et de permettre à une pro- portion plus importante de la jeunesse d’obtenir un diplôme du supérieur. La diversification en trois voies de formation clairement identifiées et ouvrant toutes sur des études supérieures est, dans ce cadre, une nécessité.

Basée sur une Seconde générale et technolo- gique jouant mieux son rôle de classe de déter- mination, évitant les ségrégations, les trois séries de la voie générale doivent être confortées dans leur caractère généraliste. C’est cette exigence qui devrait guider par exemple toute réorganisation de la série L.

Sans doute, une meilleure prise en compte de l’ar- ticulation entre travail en classe et en dehors de la classe doit être recherchée. Des pistes exis- tent, qui imposent une meilleure explicitation de ce qui est attendu, qui interrogent les blo- cages didactiques au lieu de renvoyer le traite- ment de la difficulté scolaire à l’extérieur du temps scolaire, qui développent les compétences docu- mentaires, l’interdisciplinarité et qui laissent aux élèves du temps pour la recherche personnelle et celui de la rédaction d’un travail personnel indis-

L’US N° 666 •3/05/2008

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LYC É E S : Q U E L L E

Assez de manipulations ! Quelques données chiffrées (Toutes les données ci-dessous proviennent des « notes d’information » de la DEPP)

« Un bachelier sur deux échoue dans le supérieur »

FAUX(1)Les trois-quarts des bacheliers qui s’étaient inscrits dans une filière générale de l’Université après leur baccalauréat sortent du système éducatif avec un diplôme de l’enseignement supérieur.

Plus de 60 % ont obtenu un diplôme universitaire, 15 % un autre diplôme supérieur (BTS, DUT, etc.).

83 % des bacheliers généraux parvenus au bac « à l’heure » (18 ans) quittent l’Université diplômés.

Si près d’un quart des inscrits en DEUG sortent de l’enseignement supérieur sans aucun diplôme, les jeunes qui ont rejoint l’Université après une autre formation réussissent : 75 % obtiennent un diplôme universitaire.

(1) Note d’information 07-10 :

« les inscriptions à l’Université : quel bilan ? »

« Tout le monde veut aller à l’Université »

FAUX(2)

En fait seulement 40 % des bacheliers s’inscrivent en premiè année à l’Université en licence ou premier cycle d’études médicales ou pharmaceutiques : 80 % d’entre eux sont titula d’un bac général. Les filles sont largement majoritaires (62 % 7 % des bacheliers intègrent une classe préparatoire, 9 % un 19 % entrent en STS et 8 % intègrent d’autres formations.

Les bacheliers technologiques représentent 20 % des inscri l’Université, ils redoublent leur première année pour 32 % et réorientent vers des formations bac + 2 pour 52 %. 18 % arrê leurs études. Lorsqu’ils choisissent une formation à bac + 2 ( ou IUT), ils y restent à 90 % et seulement 1 sur 10 redouble.

(2) Note d’information 07-11 : « qui sont les bacheliers inscrits en licence à la rentrée 2006 ? » ; note d’information 05-19 : « ce deviennent les bacheliers deux ans après leur bac ».

U

ne des justifications fréquemment avan- cée par le ministère pour supprimer des emplois dans le second degré est son coût jugé excessif. C’est une fois de plus en s’appuyant sur des comparaisons internationales que la démonstration est tentée.

Les documents de l’OCDE se livrent à une com- paraison entre les différents pays concernant le coût par élève(1).

On peut noter d’abord que, si la France est au dessus de la moyenne des pays de l’OCDE, nombre de pays ont des dépenses par élève supérieures à la France dans le second degré.

Citons par exemple, sans être exhaustif, la Suisse, la Norvège, les États-Unis, l’Autriche.

Les comparaisons de l’OCDE ne portent que sur les coûts directement ou indirectement supportés par « les établissements d’enseigne- ments, tous services confondus ». Ainsi les dépenses engagées directement par les familles (autres que les frais versés aux établissements), comme celles engagées directement par les entreprises (formations en alternance par exemple) ne sont pas prises en compte.

Par ailleurs le post bac dans le second degré, lar- gement développé en France (CPGE, BTS), est en grande partie imputé en France au second degré, augmentant ainsi artificiellement le coût du second degré.

Enfin le financement de l’enseignement de cer-

LE SECOND DEGRÉ COÛTE-T-IL TROP CHER ?

LES PROPOSITIONS DU SNES

taines disciplines (EPS, enseignements artis- tiques...) n’est pas, dans certains pays, assuré directement ou indirectement par les établis- sements d’enseignement et n’entre donc pas dans le calcul du coût d’un élève du second degré dans ces pays.

On voit bien que tout cela relativise considéra- blement la pertinence des écarts affichés dans les documents de l’OCDE et qui sont largement instrumentalisés aujourd’hui.

Daniel Robin 1. Le tableau et les graphiques sont consultables par le lien http://ocde.p4.siteinternet.com/

publications/doifiles/962007052P1G10.xlsou http://dx.doi.org/10.1787/071335405381

Le SNES est fortement attaché aux trois voies de formation (générale, technologique et professionnelle) pour conjuguer diversité et égalité :

• diversité des choix de disciplines dominantes et des options facultatives ;

• diversité des approches pédagogiques selon les voies ;

• diversité des activités proposées ;

• diversité des programmes disciplinaires selon les voies de formation.

La classe de Seconde générale et technologique, classe de tous les espoirs et de tous les dangers est la plus mal traitée en ce qui concerne les effectifs. Son architecture doit être repensée pour en faire vraiment une classe de détermination, où le temps soit donné pour une meilleure appropriation des

disciplines qui y sont poursuivies, et une place importante accordée aux enseignements nouveaux et aux pratiques construisant une meilleure autonomie, en tenant compte de la diversité des élèves qui y accèdent.

La série L est la série de la voie généralequi doit être revalorisée en priorité.

Nous affirmons qu’elle a un avenir pour peu que la réflexion sur sa construction, ses débouchés post-bac soit menée.

L’autonomie des établissements ne peut concerner les horaires ou les programmes (voir sondage SNES-CSA). Elle doit permettre l’autonomie des équipes pédagogiques dans les dispositifs de prise en charge individuelle des élèves, la conduite des projets, l’organisation du temps scolaire dans l’établissement.

©Daniel Maunoury ©Daniel Maunoury

©DR

Alors que l’ensemble de la communauté éducative est engagé dans un mouvement de refus des suppressions de postes prévues pour la rentrée 2008, pour toute réponse le ministre annonce une réforme du lycée, après celle de la voie professionnelle. Réponse pédagogique aux réels problèmes que rencontre le second degré,

pensable à l’appropriation et au réinvestisse- ment. Elles sont à l’opposé d’une conception du travail scolaire découpé en un temps réduit de cours, recentré sur des formes de transmissions plus ou moins frontales des savoirs, et un temps d’aide aux devoirs, de soutien, d’accompagne- ment éducatif déconnecté de l’activité de classe et confié à des personnels plus ou moins pré- caires ou extérieurs à l’Éducation nationale.

La forte demande d’aide formulée par les lycéens doit être prise en compte. Mais, ils le savent, l’au- tonomie cela s’apprend, cela se conquiert. Il ne suffit pas d’augmenter le temps de travail pour la construire. C’est dans la classe que se construisent les stratégies d’aide et de soutien, non dans le couple cours-rattrapage dont l’efficacité reste limitée ! Encore faudrait-il sortir d’un discours caricatural sur les effectifs de classe dont la limi- tation reste un des leviers les plus sûrs pour amé- liorer les conditions du travail en classes.

Les options, souvent plus coûteuses que les ensei- gnements obligatoires, assurent un double rôle : celui de l’ouverture, souvent du plaisir d’ap- prendre (consolidé ou (re)découvert) pour le jeune, et celui du maintien dans notre système éducatif de disciplines dont l’existence est mena- cée par toute forme d’unification des séries.

Roland Hubert, Mireille Breton

TROP D’HEURES AU LYCÉE ?

L

es élèves de Seconde ont actuellement de 27 heures à 29 heures hebdomadaires obligatoires auxquelles peut s’ajouter une option, donc entre 30 heures et 32 heures. Sur la base de 36 semaines, cela conduirait à un horaire annuel sans options de 972 heures à 1 152 heures, en sachant que plus l’horaire est chargé, plus la partie organisée en groupes allégés est importante. L’audit lycée de 2006 propose un plafond de 900 heures annuelles.

En Première et Terminale, le plafond serait à 950 heures.

Il est de 1 050 à 1 386 heures actuellement : de 23,5 heures à 27,5 heures hebdo en Terminale L, 27/28 heures en ES et S.

Sur quoi se ferait la coupe, sur les modules, l’horaire dédoublé ? Ou les heures de cours ? Les options ? Selon l’audit par exemple, les horaires de français en Seconde passeraient à 100 heures, c’est-à-dire de 4 h 30 hebdo à moins de 3 heures, ceux de LV1 à 70 heures annuelles, soit de 3 heures hebdo à moins de 2 heures... à moins qu’on ne supprime carrément des disciplines.

Dans les séries technologiques rénovées, les initiateurs de la réforme se félicitent déjà des 5 % de réduction du temps d’enseignement en STG et 10 % en SMS (ST2S). En attendant les STI ?

Dans le même temps, l’accompagnement éducatif arrive au lycée encadré par ... des personnels en HS ou non

fonctionnaires. CQFD M. B.

P 04-05 (Enjeux) 30/04/08 20:05 Page 4

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L’US N° 666 •3/05/2008 5

L E S R É F O R M E S ?

ersité » ?

n première udes ont titulaires

res (62 %).

e, 9 % un IUT, ations.

des inscrits à r 32 % et se 18 % arrêtent

bac + 2 (STS edouble.

inscrits 19 : « ce que

« Supposons que dans les classes

de 35 élèves,on soit partout 30 à la rentrée prochaine, vous pensez que tout sera réglé ? Que le lycée sera sauvé ? »(Xavier Darcos) Dans l’enseignement public, 74,6 % des classes de Seconde ont 30 élèves et plus, 18 % en ont 35 et plus !(3)

« Sauvera-t-on le lycée » en donnant moins d’heures de cours dans des classes toujours plus chargées ?

(3) Repères et références statistiques 2007.

L

e ministre prévoyait une réforme de la voie professionnelle mettant les trois voies de formation du lycée « à égale dignité ». Avec le bac en trois ans au lieu de quatre, l’appétit des lycéens de la voie professionnelle pour la pour- suite d’études devait augmenter, notamment en BTS(1). Enfin le ministre y voyait un des moyens d’impliquer le MEN dans le processus de révision générale des politiques publiques (RGPP), et donc de réaliser des économies faciles.

Les lycéens n’ont pas admis ce « vol » une année de formation. Avec les enseignants ils ont expliqué et défendu qu’il faut du temps pour apprendre un métier, que cet appren- tissage doit se faire par étape : deux années pour le BEP puis deux années pour le bac pro.

Il est inadmissible d’enlever aux lycéens sou-

vent les plus en difficultés un quart du temps de formation.

Les employeurs de certaines branches pro- fessionnelles (hôtellerie-restauration, BTP...) ont mis en garde le ministre : l’essentiel des recrutements de leur secteur se fait au niveau V, c’est à dire au BEP. Généraliser le bac pro en 3 ans constituerait un frein à l’emploi ou une déqualification encore plus importante des jeunes diplômés.

En terme de budget, certains font remar- quer que si l’on conduit les 200 000 jeunes qui entrent au lycée professionnel jusqu’au bac, cela risque de coûter plus cher que la structure actuelle.

Pour les centres de formation d’apprentis (CFA) dont la plupart des formations sont au

Un objectif de 50 % diplômés du supérieur ?

OÙ EN EST-ON ? Les données varient selon les publications du ministère.

Globalement le nombre de licenciés sur une génération se situe entre 26 et 28 %. Les autres diplômés du supérieur, essentiellement bac + 2 (BTS et DUT) représentent environ 12-13 %. C’est donc environ 40 % des 25-34 ans aujourd’hui qui ont obtenu un diplôme du supérieur (la moyenne de l’OCDE est à 32 %).

Non, il n’y a pas trop d’étudiants en France.

À partir d’une réalité inquiétante sur certains points, le ministère et le gouvernement développent un discours catastrophiste sur les résultats du second degré. Faisant référence à des comparaisons internationales sur les coûts, comparaisons qui mériteraient pour le moins débat, ils assènent à longueur de journée que notre système serait un des moins performants de l’OCDE. Signalons qu’en fait il n’existe aucune étude comparative sur le niveau des élèves après 15 ans, c’est-à-dire sur ce que produirait le lycée !

FEUILLE DE ROUTE ?

BACS PROFESSIONNELS : ACCUMULATION DE COUACS

E N T R E T I E N A V E C

FLORIAN LECOULTRE, Président de l’UNL L’US :Pouvez-vous nous

préciser comment vous aborderez les discussions sur la réforme du lycée dans ce contexte de suppressions massives de postes et de poursuite de la mobilisation ? Florian Lecoultre :Nous avons

répété clairement au ministre lors de nos rencontres qu’une réforme du lycée était nécessaire, mais qu’elle ne pouvait avoir comme préalable les suppressions mas- sives de postes et de moyens que l’on connaît actuellement. Celles-ci risquent en effet de dégrader les conditions d’étude des lycéens avec des classes surchargées, des disparitions d’options, etc. Si les lycéens continuent à se mobiliser aujourd’hui, c’est parce que le ministère prend le problème à l’envers en obéissant à des impératifs comp- tables. C’est au contraire le budget qui doit être au service de l’Éducation.

L’US :Quels sont, pour vous, les princi- paux axes d’une réforme du lycée ? F. L. : Pour n’en citer que quelques-uns,

une vraie revalorisation de l’enseignement professionnel, avec le développement de passerelles entre les filières, est urgente. Il faut un vrai Service Public d’Orientation capable de dispenser à tous les élèves une information gratuite et de qualité, faire évoluer la pédagogie, notamment pour réduire l’actuel fossé entre les méthodes de travail du secondaire et celles du supérieur, ou encore promouvoir les lycées polyvalents, regroupant dans un même établissement à taille humaine voies professionnelle, générale et technologique. Nous sommes attachés à l’idée d’un Service Public d’Aide Scolaire afin d’éviter que des missions de l’école publique soient assurées par le privé, pour ceux qui en ont les moyens.

Enfin on ne pourra pas faire l’économie d’une réflexion sur les rythmes scolaires, très souvent en décalage avec les rythmes biologiques des lycéens avec tout ce que cela implique en termes de fatigue dans le travail.

Selon Xavier Darcos : « Les leaders lycéens entrent dans mon bureau, me demandent des moyens, je leur dis que je ne peux pas et que je ne veux pas et là, on commence à discuter de choses beau- coup plus intéressantes : la réforme du lycée ».

©DR ©Daniel Maunoury

ou redoutable moyen de justifier les budgets 2009 et suivants inscrits dans le cadre de la RGPP ? La réponse du président de la République, lors de son intervention télévisée du 24 avril a été claire : une réforme pour diminuer les moyens...

niveau V (CAP, BEP), très peu d’employeurs accepteront de signer un contrat d’appren- tissage de trois ans avec un jeune qui, sor- tant de Troisième, n’a pas de compétence professionnelle. Ils redoutent que l’appren- tissage se déplace vers le niveau supérieur, c’est à dire les BTS.

Les Régions prédisent, comme beaucoup, un échec massif en Seconde professionnelle, entraînant une déscolarisation importante et donc une augmentation importante de jeunes devant intégrer les dispositifs d’insertion finan- cés par les conseils régionaux.

Enfin personne ne voit comment ce dispositif de baccalauréat professionnel en 3 ans pour- rait diminuer les difficultés scolaires des lycées de la voie professionnelle.

Dès lors le ministre ne parle plus de générali- sation mais « d’extension de l’expérimenta- tion » qui ne concernerait que les « forma- tions professionnelles les plus générales ».

Dès la prochaine rentrée, dans les LP, de nom- breux parcours de bac pro 3 ans seront impo- sés aux jeunes, sans information, sans que les contenus et exigences de la seconde profes- sionnelle ne soient définis, sans que l’on sache ce que deviendra le BEP, sans réel référentiel.

L’improvisation devient la règle au ministère de l’éducation.

Thierry Reygades

1. Contribuant ainsi à atteindre les objectifs de Lisbonne : 50 % d’une classe d’âge diplômés du supérieur.

D

epuis des mois, le ministère distille ça et là des éléments de sa réflexion sur le lycée, mais en précisant toujours que « rien n’est bouclé ». Il a ainsi déclaré à l’AEF, le 21 avril :

« d’autres manières d’organiser le travail au lycée avec un renforcement de l’accompagnement éducatif et une aide à l’orientation pour que le lycée ne soit pas seulement “une machine à dis- tribuer des cours ” »puis « cette réforme exige des enseignants un “aggiornamento important” : une plus grande présence dans les établisse- ments, une aide à l’orientation et la mise en place d’études surveillées. Le métier enseignant doit s’adapter à la société : il faut qu’ils acceptent de devenir des éducateurs ».

Une chose par ailleurs semble incontournable : supprimer 17 000 postes à la rentrée 2009 ne pourra se faire à structure constante. Le ministre doit donc adapter le lycée, et en premier lieu la classe de Seconde générale et technologique, au budget dont les arbitrages sont discutés actuellement dans les bureaux de Bercy. La dif- ficulté réside probablement dans l’habillage pédagogique d’une réforme dont le fondement sera la diminution de l’offre de formation.

Les objectifs pédagogiques annoncés : – améliorer la transition second degré-Univer- sité, en particulier en favorisant l’autonomie des élèves au lycée ;

– rééquilibrer, en termes d’effectifs, les trois séries de la voie générale, ou les fusionner plus ou moins totalement ;

– améliorer le fonctionnement de la classe de Seconde GT qui connaît de forts taux de redoublement et joue mal son rôle de déter- mination.

Les moyens probables :

– diminuer le nombre d’heures de cours à tous les niveaux ;

– développer les dispositifs d’aide, l’individua- lisation ;

– accroître l’autonomie des établissements.

On retrouverait ainsi les principes mis en œuvre à l’école élémentaire avec la suppression des heures du samedi matin pour tous, transférées pour une partie des élèves dans des disposi- tifs d’aide, et le recentrage des enseignements sur « les fondamentaux ».

Roland Hubert P 04-05 (Enjeux) 30/04/08 20:06 Page 5

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