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Appareil pour la réception des signaux horaires radiotélégraphiques a bord des batiments

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00241436

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241436

Submitted on 1 Jan 1909

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Appareil pour la réception des signaux horaires radiotélégraphiques a bord des batiments

C. Tissot, Félix Pellin, P. Lugol

To cite this version:

C. Tissot, Félix Pellin, P. Lugol. Appareil pour la réception des signaux horaires radiotélé- graphiques a bord des batiments. J. Phys. Theor. Appl., 1909, 8 (1), pp.117-120.

�10.1051/jphystap:019090080011701�. �jpa-00241436�

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a fait intervenir récemment les phénomènes d’osmose électrique qui

se passent à la surface externe des fils plus ou moins modifiés et plongés dans un électrolyte. Peut-on admettre que les phénomènes

d’ionisation aient lieu même dans l’air ? Cela peut paraître soulever

des difficultés; mais on pourrait peut-être trouver làl’idée directrice

qui a fait défaut jusqu’ici dans l’étude des phénomènes que je viens

de décrire.

APPAREIL POUR LA RÉCEPTION DES SIGNAUX HORAIRES RADIOTÉLÉGRAPHIQUES

A BORD DES BATIMENTS ;

Par MM. C. TISSOT et FÉLIX PELLIN.

Dans les expériences qui ont été exécutées par l’un de nous, en

décembre 1907, pour rechercher le degré d’approximation qu’on pouvait obtenir dans la détermination de l’état absolu d’un chrono- mètre par l’observation de signaux horaires radiotélégraphiques

émis par le poste de la tour Eiffel, nous avons employé avec succès

un modèle simplifié de récepteur électrolytique que nous avons pré-

senté au Bureau des Longitudes dans sa séance du 22 janvier 1908.

A la suite de ces expériences, nous avons été amenés à apporter à

ce modèle quelques perfectionnements de détails susceptibles d’en

rendre l’usage plus commode pour les bâtiments de commerce.

Une première simplification résulte du fait qu’il s’agitlen l’espèce)

de recevoir non toute une gamme de longueur d’ondes différente,

mais des ondes de longueur parfaitement déterminée et toujours la

même (nous avons supposé, en principe, que ce sont des ondes émises par la tour Eiffel).

Le dispositif d’accord a donc été simplement établi de manière à

permettre d’accorder sur la longueur d’onde de la tour, soit 1800 mètres environ, une antenne à branche horizontale (à un seul,

ou à deux conducteurs parallèles), d’une longueur totale de 50 à

100 mètres, c’est-à-dire telle qu’on pourra toujours l’obtenir aisé-

ment sur les différents bâtiments.

,

Le couplage a pu ètre choisi assez serré : l’établissement d’un ser-

vice de signaux horaires suppose, en effet, en principe, qu’il y ait eu

une entente préalable entre les différentes stations capables de venir

les troubler. Bien qu’on ait prévu l’emploi possible de l’électroly-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019090080011701

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tique (sous la forme d’électrode it 1a lVollaston qui se trouvait réali- sée dans l’appareil présenté au Bureau des Longitudes et rend

l’anode à peu près inusable), le détecteur utilisé est l’un des délec- teurs thermo-électr’iques que nous avons signalés récemment.

L’emploi de pareils détecteurs apporte une grande simplification

au récepteur par la suppression de la pile et du réducteur de poten-

tiel destiné au réglage de la force électromotrice. L’appareil per- met d’ailleurs de faire usage soit de détecteurs à faible résistance, soit ’de détecteurs de résistance notable. Avec les détecteurs de faible résistance (tellure-métal par exemple), le montage se trouve encore

simplifié, puisqu’il suffit de disposer le détecteur à un ventre de cou-

rant et d’intercaler une self convenable dans l’antenne pour obtenir l’accord.

Il parait toutefois préférable de se servir de détecteurs de résis- tance élevée à pyrite de cuivre ou à chalcosine, dont la sensibilité est en général plus grande, et de conserver le solénoïde secondaire

d’accord, de manière à placer le détecteur à un ventre de tension.

Un dispositif très simple assure la protection complète du détecteur

en le mettant en court-circuit quand on ne s’en sert pas.

L’appareil peut, bien entendu, être utilisé avec un chronomètre

ou un compteur quelconque. Il est clair toutefois qu’il ne saurait présenter un réel intérêt au point de vue économique que si son em-

ploi permet de suppléer à l’achat d’un chronomètre coûteux. Si l’on observe que l’usage d’un appareil suppose l’existence d’un service

régulier de signaux horaires permettant d’opérer toutes les vingt- quatre heures au moins la détermination de l’heure du méridien

fondamental, il doit siiffire, à un bâtiment muni du dispositif de réception radiotéléjraphique, de posséder une bonne montre pour atterrir en toute sécurité. On a donc adjoint àl’appareil récepteur un chronographe Le Roy, qui t’acilite l’observation des comparaisons et

donne toute sécurité comme garde-temps journalier.

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J. RAY. E3Q. - Sur un phénomène qui se produit en dehors de l’angle limite (Bengal Natioîîal College,

L’auteur ayant collaboré aux expériences faites par J.-C. Bose sur la réflexion totale des ondes électriques a eu l’idée de rechercher s’il

ne serait pas possible d’observer dans le cas des ondes lumineuses des phénomènes analogues à ceux qu’avait étudiés Bose.

Il remarque que Newton, puis F’resnel, puis-récemment Quincke,

ont constaté que, dans certains cas, comme par exemple dans le cas

de lames d’air comprises entre deux lamelles de verre, la lumière

pouvait être transmise en dehors de l’angle limite.

Appliquant au problème le principe du « moindre temps », M. Raz-

établit quelle doit être la forme de la surface d’onde, et trouve le chemin suivi par les rayons incidents, réfléchis et réfractés, en tenant compte des modifications apportées au trajet de la lumière par le voi- sinage de la surface de séparation des milieux différemment réfrin-

geants. Dans le phénomène de la réfraction totale, il faut tenir compte

non seulement de la réfraction, mais encore des interférences ; la loi

de Descartes doit ainsi être remplacée par une loi plus compliquée

qu donne l’auteur. Toutes les particularités observées se trouvent parfaitement expliqués avec les hypothèses admises.

CI, de TI_BJLLEIIACHE. - Unités électriques (Dunod et Phi.-d .

L’auteur expose très clairement les principes généraux relatifs à la

mesure de grandeur et particulièrement ceux relatifs à l’établisse- ment d’un sy stème d’unités électriques; il donne des renseignements

exacts et précis sur les étalons métriques et fournit ainsi le moyen

de se rendre compte de l’état d’avancement des recherches qui se poursuivent actuellement dans les différents pays au sujet de la réa-

lisation des étalons électriques internationaux.

A l’exemple de Rüchert, il a eu soin de rétablir les coefficients K et p, constante électrique et perméabilité mag nétique que l’on sup-

prime conventionnellement dans l’exposé habituel des systèmes

absolus d’unités électriques. Il montre comment le maintien de ces

coefficients conduit à une conception naturelle et simple des rapports

des systèmes électrostatique et électromagnétique.

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F. LEDER.- Ueber die absolute Intensitqts verteilung i111 Kontinuierlicl;en Grund der Alkalimetallspektren, Über die Strahlung des Hefnerlampe und des

Osmiums (Sur la distribution de l’intensité absolue dans le fond continu du spectre des métaux alcalins, sur le rayonnement de la lampe d’Hefner et de

l’osmium). - deo Physique, t. XXIY. p. 305-323: i00 i (Extrait d’une dissertation de Kiel).

Résultats, donnés sous forme de tableaux et de graphiques, pour

Na, K, Rb et Cs, de mesures spectrophotométriques faites dans toute l’étendue du fond continu ; ils confirment les vues de Lenard, d’après qui ce fond est à un élargissement considérable et à la formation de halos des raies des séries secondaires. L’auteur a été

amené, chemin faisant, à comparer la lampe d’Hefner au corps noir,

, et a retrouvé les résultats d’Angstrom, représentant l’énergie en

fonction de la longueur d’onde par :

Il a également comparé la lampe d’Hefner à une lampe à osmium

de 25 bougies et 40 volts, fonctionnant sous 36 volts et 1,21 ampères ;

des résultats de la comparaison il déduit une formule d’après laquelle

la température vraie de la lampe serait au moins de 2.195"; il en dé- duit également que le pouvoir émissif de l’osmium est notablement

plus grand que celui de l’or et de l’argent, et peut-être supérieur

encore à celui du platine.

P. LUGOL.

ANNALEN DER PHYSIK ;

T. XXIV, 11: 1907.

E. WARBURG, G. LEITHAUSER et ED. JOIIA.NSEN. - Uber das Vakuu111bolo- meter (Boloii-iètre dans le vide).

-

P. 25-43.

1. L’intensité du courant dans le réseau de BVheatstone est assez

faible pour qu’on puisse appliquer la loi du refroidissement de Newton, et négliger la conduction de la bande bolométridue : celle-

ci est noire sur les deux faces et le gaz assez raréfié pour permettre

de négliger les courants de convection.

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