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I.-K.-A. WERTHEIM SALOMONSON. — Les arcs chantants (Konink. Akad. Wetensch, Amsterdam, Versl. II, pp. 381-391 ; 25 octobre 1902)

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HAL Id: jpa-00240874

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240874

Submitted on 1 Jan 1904

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I.-K.-A. WERTHEIM SALOMONSON. - Les arcs chantants (Konink. Akad. Wetensch, Amsterdam, Versl.

II, pp. 381-391 ; 25 octobre 1902)

A. Gradenwitz

To cite this version:

A. Gradenwitz. I.-K.-A. WERTHEIM SALOMONSON. - Les arcs chantants (Konink. Akad. Weten-

sch, Amsterdam, Versl. II, pp. 381-391 ; 25 octobre 1902). J. Phys. Theor. Appl., 1904, 3 (1),

pp.254-255. �10.1051/jphystap:019040030025401�. �jpa-00240874�

(2)

254

la région bleue. La largeur de la fente et le peu d’étendue du spectre

rendent peu certaines les mesures de longueurs d’onde ; mais on voit de suite qu’il manque sur la plaque les deux raies très fortes du spectre

d’étincelle À 38415 et 03BB 36496. Il est donc clair que ces deux spectres

ne sont pas les mêmes, comme les auteurs étaient disposés à le croire,

en supposant que la lueur émise par le radium aux températures

ordinaires n’était pas une phosphorescence ou une fluorescence au sens ordinaire du mot, mais une radiation indépendante émise par

ces molécules actives dont l’instabilité interne est la source supposée

de tous les phénomènes de radioactivité.

En comparant ce nouveau spectre avec le spectre de bande de

l’azote, on voit que sept des raies les plus fortes coïncident non

seulement en position, mais aussi en intensité et aspect avec celles des trois bandes de l’azote qui se trouvent dans cette région

du spectre. La radiation ultra-violette tout entière paraît donc

venir de l’azote. A-t-on affaire à de l’azote enfermé dans le radium,

ou à de l’azote atmosphérique? Il semble prématuré de discuter

encore là-dessus. Le fait remarquable à noter maintenant, c’est que le radium est un corps qui émet à température ordinaire des radia-

tions semblables à celles que l’on n’a obtenues jusqu’ici qu’avec

l’étincelle électrique.

Cette note est accompagnée d’une planche donnant les deux

spectres du radium et celui de l’azote. J. BAILLAUD.

I.-K.-A. WERTHEIM SALOMONSON. 2014 Les arcs chantants

(Konink. Akad. Wetensch, Amsterdam, Versl. II, pp. 381-391 ; 25 octobre 1902).

,

L’auteur critique la méthode indiquée par différents expérimen-

tateurs pour mesurer les petites self-inductions au moyen de la hauteur du son émis par un arc chantant. Dans cette méthode, on admet que la fréquence des courants alternatifs engendrés, et par suite la hauteur du son elle-même, ne dépendent que de la résistance, de

la self-induction et de la capacité du conducteur à travers lequel les

charbons sont mis en court-circuit. L’auteur fait voir que l’intensité du courant continu alimentant l’arc joue un rôle prépondérant dans

ces phénomènes ; la fréquence du son rendu par l’arc prend en effet

des valeurs plusieurs fois plus grandes que la valeur initiale, lorsque

le courant s’élève par exemple à une valeur double de la valeur

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019040030025401

(3)

255 initiale. C’est ainsi que l’auteur réussit à atteindre des fréquences allant jusqu’à 270 000, dépassant de beaucoup la limite de perceptibi-

lité des sons. L’accroissement de la fréquence pour des intensités croissantes du courant continu est comparé à l’augmentation de la

hauteur du son observée sur les diapasons actionnés par 1 électricité ;

1’auteur croit probable que, pour les valeurs supérieures de l’inten- sité du courant, le système électrique, composé par la self-induction et une capacité, ne vibre plus de sa propre périod,e, laquelle ne

s’observerait que dans le cas des valeurs infiniment petites de la

capacité. A. GRADENWITZ.

H. NILSSON. 2014 Variations diurnes dans la conductivité de l’air atmosphérique (Oefvers Kongl. Vet. Akad., Stockholm Förh., 59, n° 7, p. 243-249 ; septembre 1902).

L’auteur a fait une série d’expériences sur les variations diurnes de la conductivité de l’air atmosphérique pendant les mois d’avril et de mai 1902 à l’institut de Physique d’Upsal, en se servant concur-

remment de l’appareil disperseur de MM. Elster et Geitel et de l’appa-

reil à aspiration construit par M. H. Ebert. Un maximum très notable

a été observé vers minuit, maximum d’autant plus marqué que le ciel était plus clair pendant et après le lever du soleil La vitesse de dé-

charge de l’électricité négative s’est montrée peu supérieure à la vi-

tesse correspondant de l’électricité positive. Les variations diurnes les plus grandes et les plus régulières ont été observées pendant un

temps typiquement anticyclonique. Dans le cas le ciel est clair, cet

accroissement commence quelque temps après le coucher du soleil

et continue jusqu’à minuit, pour prendre des valeurs à peu près

doubles de celles observées à midi; en général, ce maximum de la

conductivité est bien supérieur aux valeurs atteintes pendant la journée. Après le lever du soleil, elle s’accroît d’abord pendant quelque temps, en raison peut-être des courants d’air ascendants,

pour se maintenir pratiquement constante pendant le restant de la journée. Pendant ou immédiatement après le coucher du soieil,

l’auteur a fréquemment observé un léger minimum.

A. GRADENWITZ.

S. NAKAMURA. 2014 Ueber das Gesetz der Lichtgeschwindigkeit im Turmalin

(Sur la loi de propagation de la lumière dans la tourmaline). - Nachr. der k.

Gesellsch. der Wiss zu Göttingen, 1903, Heft 6.

Viola a trouvé que la surface des ondes diffère légèrement de la

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