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Le pin d'Alep et l'incendie - Sylviculture préventive

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Academic year: 2021

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Submitted on 6 Jun 2020

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Le pin d’Alep et l’incendie - Sylviculture préventive

Eric Rigolot, Louis Amandier, Yvon Duché, Bernard Prévosto, Christian Ripert, Rémi Savazzi

To cite this version:

Eric Rigolot, Louis Amandier, Yvon Duché, Bernard Prévosto, Christian Ripert, et al.. Le pin d’Alep et l’incendie - Sylviculture préventive. Le pin d’Alep en France : 17 fiches pour connaître et gérer, Editions Quae, 160 p., 2013, Guide Pratique (Quae), 978-2-7592-1972-8. �hal-02808815�

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III – Le pin d'Alep et l'incendie - Sylviculture préventive

Eric Rigolot1, Louis Amandier2, Yvon Duché3, Bernard Prévosto4, Christian Ripert4, Rémi Savazzi3

1INRA, Ecologie des Forêts Méditerranéennes (UR629), CS 40509, 84914 Avignon cedex 9

2CRPF-PACA, 7 impasse Ricard Digne, 13004 Marseille

3ONF, Direction Territoriale Méditerranée, pôle DFCI, 46 avenue Paul-Cézanne, CS 80411, 13097 Aix-en-Provence Cedex 2

4IRSTEA, Centre d'Aix-en-Provence, 3275 Route de Cézanne, CS 40061, 13182 Aix-en-Provence Cedex 5

La sylviculture préventive consiste à compléter les interventions sylvicoles traditionnelles par des mesures propres à rendre les peuplements moins sensibles au feu. L'objet de cette fiche est de définir les objectifs de la sylviculture préventive, et d'en décliner les caractéristiques et les

différentes modalités dans les peuplements de Pin d'Alep. Il s'agit aussi de déterminer les situations où les objectifs de la sylviculture préventive ne sauraient être atteints efficacement.

1. Coupure de combustible et sylviculture préventive : deux objectifs différents

Dans le domaine du traitement de la végétation pour la prévention des incendies de forêts, plusieurs modalités sont possibles qu'il convient préalablement de rappeler pour cerner ce que l'on retiendra dans cette fiche sous le terme de sylviculture préventive. La réalisation de coupures de combustible, voire le renforcement de l'efficacité d'une coupure de combustible par le traitement d'une parcelle limitrophe, sont des actions de prévention des incendies de forêt, dont on rappellera brièvement le principe, mais qui ne seront pas classées dans la sylviculture préventive, car l'objectif premier n'est pas sylvicole. En revanche, lorsque le principal objectif de gestion est sylvicole, et que le

peuplement doit être préservé du feu car il présente un intérêt qui le justifie, on met en œuvre des actions d'autoprotection que l'on qualifiera de sylviculture préventive.

1.1 Une coupure de combustible doit avant tout réduire la puissance du feu et favoriser la lutte

De manière générique, une coupure de combustible est un ouvrage sur lequel la végétation a été traitée pour réduire la puissance d'un front de feu qui la menacerait (Duché et Rigolot 2000). Les autres caractéristiques de l'ouvrage (équipements pour la lutte, implantation, dimensionnement, …) dépendent de l'un des trois objectifs opérationnels généralement assignés à l'ouvrage : 1) la

limitation des départs de feu, 2) la réduction des surfaces parcourues par les grands incendies et 3) l'atténuation des effets du passage du feu. La réalisation de ces objectifs nécessite le plus souvent une intervention adaptée des sapeurs-pompiers.

Les coupures de combustible répondant aux deux premiers objectifs ne relèvent clairement pas de la sylviculture préventive à proprement parler car la prévention prime largement sur la sylviculture, autrement dit l'intérêt du peuplement est subordonné à l'objectif DFCI. Les modalités de traitement recommandées pour chaque cas ont été détaillées par le Réseau Coupures de Combustible (Rigolot 2002). Par exemple, on rappellera pour mémoire qu'une coupure destinée à limiter les surfaces des incendies (coupures stratégiques, objectif 2) est de grande largeur, régulièrement débroussaillée, et avec de fortes discontinuités dans la strate arborée : écartement entre les arbres de l'ordre du diamètre du houppier le plus large (Photo 1).

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Photo 1 : Traitement des pins d'Alep sur une coupure de combustible stratégique (Photo INRA).

Les coupures de combustible destinées à limiter les effets des incendies (objectif 3) regroupent au moins trois cas assez contrastés : les bandes débroussaillées de sécurité (BDS) le long des axes de circulation, le débroussaillement autour des habitations et l'autoprotection des peuplements

forestiers. Chaque cas requiert des traitements adaptés de la végétation. Les deux premiers cas sont généralement régis par des arrêtés départementaux qui précisent les modalités strictes de traitement de la végétation.

Le cas particulier de l'autoprotection des peuplements forestiers a été rattaché par souci

d'exhaustivité à la typologie des coupures de combustible, mais relève avant tout de la sylviculture et incarne ce que l'on entend ici par sylviculture préventive. Il s'agit donc de l'objet principal de cette fiche et ses modalités de mise en œuvre sont détaillées plus loin.

1.1.2 Objectif d'appui à une coupure de combustible

Dans ce cas, le peuplement traité est limitrophe d'un ouvrage de DFCI et la sylviculture préventive vise à renforcer l'effet de la coupure de combustible. S'il s'agit d'une coupure stratégique destinée à limiter les surfaces brûlées par une intervention des sapeurs pompiers, tout traitement diminuant la biomasse combustible permettra de diminuer la puissance du feu abordant la coupure.

Il s'agit d'un cas de figure intermédiaire de renforcement de l'efficacité d'une coupure par la sylviculture préventive dans les peuplements avoisinants sans l'exigence de fréquence et qualité d'intervention rendue nécessaire par l'obligation de résultat qui est attendues soit sur un ouvrage DFCI, soit dans un peuplement en autoprotection.

1.2 La sylviculture préventive doit avant tout favoriser l’autoprotection du peuplement

La sylviculture préventive sensu stricto doit faire en sorte que le peuplement subisse le moins de dommages possibles suite au passage d'un éventuel incendie, sans intervention des sapeurs

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pompiers. Concrètement, les efforts consentis ne sont justifiés que si la pérennité du peuplement dans son ensemble est garantie, même si quelques mortalités d'arbres sont prévisibles.

Quelles sont les modalités de mise en œuvre de la sylviculture préventive dans les peuplements de pin d'Alep et quelles en sont les limites ?

2. Sylviculture préventive dans les peuplements de pin d'Alep

Compte tenu de la forte sensibilité au feu du pin d'Alep (Pimont et al. 2012), une autoprotection de la pinède nécessite une structure régulière, un âge avancé, un couvert suffisant, géré par des

éclaircies de faible intensité combinées au broyage complet du sous bois et des rémanents

d’éclaircie. Si les moyens le permettent, un élagage complémentaire est conseillé pour augmenter la discontinuité verticale entre la végétation basse et le feuillage des arbres. Dans le cas favorable où le sous bois initial n'est pas important, le maintien d'un couvert dense permet de contrôler le développement des strates basses et ne nécessite pas de débroussaillement supplémentaire entre deux éclaircies.

Attention, les éclaircies de faible intensité sont en général des éclaircies « par le bas » (arbres dominés ou codominants) qui n'ouvrent pas le couvert. Elles concernent en général un tiers des arbres, et n’atteignent pas forcément les 50 à 60 m3/ha, requis pour assurer la rentabilité

économique de l'opération dans le contexte économique actuel.

Il convient de souligner que le broyage ou l'enlèvement des seuls rémanents ne suffit pas.

L'ensemble de la biomasse de sous bois (arbustes, rémanents, …) doit être broyée, brûlée (si possible) ou exportée. Le sylvopastoralisme peut apporter une contribution intéressante à cet objectif.

Ces opérations sont coûteuses et à réserver aux peuplements remarquables (peuplement porte graine, arboretum, accueil du public, …). Un développement de la filière biomasse dans l’avenir pourrait permettre d’abaisser les coûts et d’étendre les interventions à une plus large gamme de peuplements. Nonobstant, cette approche n'est pas possible dans tous les types de peuplement de pin d'Alep ; elle doit être déclinée selon les situations initiales.

2.1 Des types de peuplements contrastés

Une demi-douzaine de peuplements types ont été identifiés ; ils reprennent la typologie d'Alvarez, et al. (2012) et sont schématisés sur la figure 2. Ils sont essentiellement définis par le recouvrement des strates hautes (canopée) et basses (arbustes et végétation au sol) formant la continuité

horizontale du combustible et par les dimensions des arbres et arbustes définissant la continuité verticale. Le peuplement est d’autant plus sensible au feu que les continuités horizontale et verticale sont élevées. Différentes combinaisons de recouvrement sont possibles et définissent les types suivants (voir aussi tableau 1) :

1. Pinède ouverte avec une proportion variable de grands pins mais en très faible densité (80 à 120 tiges/ha). C'est le cas de pinèdes spontanées, à faible densité (par exemple sur

mauvaises stations) ou dégradées. C’est aussi le cas des pinèdes en phase terminale de régénération (coupe d’ensemencement).

2. Forte proportion de gros pins (>85%) formant une strate unique et une faible continuité verticale. Faible densité des pins (400 à 600 tiges/ha) de continuité horizontale

intermédiaire. C'est le cas des peuplements réguliers et âgés.

3. Trois groupes de structures forestières avec forte continuité horizontale et/ou verticale : (a) structure avec faible continuité verticale (>85 % de pins élancés) mais forte continuité

horizontale (densité > 1300 tiges/ha). C'est le cas de futaies jeunes et denses.

(b) structure avec deux strates et une continuité verticale modérée (60 à 85 % de grands

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arbres et un sous-étage fourni). Continuité horizontale modérée à élevée (densité > 600 tiges/ha). Il s'agit typiquement des peuplements mélangés de pins d'Alep et de chênes ; (c) structure avec forte continuité verticale (< 60 % de grands pins), mais avec une

continuité horizontale faible à intermédiaire (densité < 600 tiges / ha). Il peut s’agir de peuplements irréguliers ou de peuplements réguliers mais peu denses.

4. Faible proportion de grands arbres (< 60%) avec forte continuité verticale. Forte densité (>

1300 tiges/ha) avec forte continuité horizontale du combustible. C'est le cas typique d'une régénération après incendie au stade gaulis (4a) ou perchis/jeune futaie (4b).

Figure 2 : Présentation schématique de la typologie des peuplements de pins d'Alep en fonction de leur sensibilité au feu (dessins de Bruno Teissier du Cros adapté d'Alvarez et al., 2012). Pinède ouverte (1), pinède régulière et âgée (2), futaie jeune et dense (3a), peuplement mélangé de pins d'Alep et de chênes (3b), pinède irrégulière ou régulière mais peu dense (3c), régénération au stade gaulis (4a), régénération au stade perchis/jeune futaie (4b)

2.2 Quels traitements préventifs selon les situations ?

Le type 1, ne peut supporter une sylviculture d'autoprotection du peuplement. On se limitera

éventuellement à renforcer l'effet d'une coupure de combustible par un broyage en plein, additionné d'un élagage, si les possibilités financières le permettent. Sinon on ne conseillera pas d'intervenir en sylviculture préventive.

Le type 2 est en revanche le moins sensible au feu en raison d’une forte discontinuité verticale, d’un sous-bois réduit et d’arbres de fort diamètre susceptibles de résister assez bien au feu grâce à leur écorce épaisse (Pimont et al., 2012). Les éclaircies (s’il y en a) seront peu nombreuses, par le bas et

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de faible intensité afin limiter l’ouverture du couvert susceptible de redynamiser la croissance du sous-bois.

Les structures des types 3a et 3c favorisent les feux de cime destructeurs du peuplement en place.

Une sylviculture préventive dans la situation 3a, qui compte beaucoup de grands pins, devrait permettre de passer à la structure 2 garantissant une meilleure survie du peuplement en cas de passage du feu.

En revanche, une éclaircie de la même intensité dans la structure 3c, moins bien pourvue en grands pins, aboutit à un peuplement plus ouvert, où le sous bois est encore plus favorisé. Dans ce cas, des débroussaillements intermédiaires entre deux éclaircies seront sans doute nécessaires pour garantir l'autoprotection du peuplement. C'est pourquoi, afin de réduire les coûts, l'alternative dans ce cas est de ne pas réaliser d'éclaircies proprement dite, mais de se limiter à des débroussaillements pouvant le cas échéant broyer les arbres de faible diamètre.

Le type 3b, très vulnérable, correspond aux peuplements mélangés de pins et de chênes, où

l'objectif est le plus souvent d'évoluer vers la chênaie ou le maintien du mélange (Chandioux 2010).

Cette structure multi stratifiée est très sensible aux feux de cime mais ne supporte aucune intervention avant que la strate de chênes ne soit structurée et assez haute pour permettre un broyage mécanique du sous bois. Cette intervention ne pourrait avoir lieu que dans le dernier tiers de la vie du peuplement. En conséquence, cet objectif de gestion comprend un risque de destruction du peuplement par le feu pendant une très longue période pendant laquelle le propriétaire n'en retirera aucun revenu. En effet, à ce stade, les coupes de bois de chauffage sont à éviter, car elles favorisent les rejets qui augmentent la sensibilité au feu. Le cas échéant, le sylviculteur pourra enlever les pins qui surplombent les chênes les plus vigoureux, en évitant de grosses trouées, pour que ceux-ci passent le plus vite possible dans la strate haute.

Les types 4a et 4b, correspondant aux stades jeunes, ne peuvent faire l'objet d'une sylviculture préventive car la discontinuité verticale recherchée ne sera pas obtenue avant que le peuplement ait atteint le stade de jeune futaie régulière fermée. On appliquera à ces stades jeunes une sylviculture classique permettant de réduire autant que possible la durée de ce stade pendant lequel la pinède reste très sensible au feu. Les interventions sylvicoles pendant cette période devront autant que possible contribuer à régulariser la structure du peuplement pour limiter sa sensibilité au feu.

Tableau 1 : Typologie des formations à pin d'Alep et sensibilité au feu

Cas Type Sous-

bois Type de

feu Inflammabilité Combustibilité Risque

global Dommage

subi Sylviculture préventive 1 Vieille pinède

claire ouverte Dense Feu courant ou feu de cime localisés

5 4 9 Mortalité

faible à moyenne

Limitée à l'appui aux coupures

2 Pinède mature peu dense mais fermée

Faible Courant 2 2 4 Faible

mortalité

Auto protection en place 3a Pinède jeune

dense fermée Faible Cime 1 4 5 Mortalité

moyenne à forte

Auto protection possible : éclaircie vers le bas, traitement si possible des rémanents et de la végétation basse 3b Peuplement

mixte pin/chêne

Moyen Cime 3 4 7 Mortalité

totale Pas d'auto protection possible, avant

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un stade très avancé 3c Pinède

irrégulière claire

embroussaillée

Dense Cime 5 5 10 Mortalité

totale Auto protection possible au prix de

débroussaillem ents réguliers 4 Fourré, gaulis

(4a), perchis (4b)

Faible Cime 4 5 9 Mortalité

totale Sylviculture classique jusqu'à rejoindre le cas 2

NB1 : inflammabilité et combustibilité sont évaluées sur une échelle en 5 niveaux (valeurs purement qualitatives)

NB2 : un feu courant est un feu ne concernant que le sous bois. Un feu de cime est un feu total concernant toutes les strates.

2.3 Un stade délicat : la régénération

Dans le contexte des changements climatiques, où on attend des feux plus sévères et plus fréquents, il convient de réfléchir à la mise en place d'îlots de sauvegarde pour préserver des semenciers. Ces îlots d'un quart à un demi hectare seraient à distribuer tous les 10 à 100 ha en des lieux bien choisis sur le plan topographique (petite dépression au milieu du massif), ou éventuellement en appui de coupures de combustible, voire de cultures à gibier. Après une première intervention lourde (éclaircie et broyage), les entretiens suivants pourraient se faire par brûlage dirigé. Cette opération aurait pour but de favoriser la régénération après incendie en maintenant dans le paysage des îlots de gros arbres favorables à une certaine diversité structurelle.

La rapidité des changements qui s'annoncent ne permet pas d'attendre les résultats

d'expérimentations qu'il faudrait mettre en place aujourd'hui. Dans un esprit de recherche action, des opérations pilotes peuvent d'ores et déjà être lancées et réajustées au fur et à mesure des retours d'expériences qu'il conviendra de réaliser systématiquement.

Conclusion

La sylviculture préventive au sens strict, c'est à dire visant à l'autoprotection des pinèdes à pin d'Alep, n'est envisageable que dans quelques situations de structure de peuplements et d'âges favorables. L'obligation de résultat à laquelle elle est associée, nécessite souvent des interventions coûteuses (traitements des rémanents, élagages), elle est donc à réserver à des peuplements de forte valeur économique, écologique ou sociale.

En revanche, en situation d'appui de coupures de combustible, une sylviculture préventive plus souple peut être mise en œuvre, à la mesure des moyens techniques et économiques disponibles.

Références

Alvarez A, Gracia M, Vayreda J, Retana J. 2012. Patterns of fuel types and crown fire potential in Pinus halepensis forests in the Western Mediterranean Basin. Forest Ecology and Management 270: 282-290.

Chandioux O. 2010. La sylviculture à objectif DFCI. Analyse critique à dires d’experts appliquée à une pinède à pin d’Alep (Bouches-du-Rhône). Forêt Méditerranéenne XXXI: 287-298.

Duché Y, Rigolot E. 2000. Introduction. Mises au point préliminaires. In: Rigolot E, Costa M, eds.

Conception des coupures de combustible. Réseau Coupures de Combustible RCC N°4: La Cardère, Morières, France, 17-19.

Pimont F, Dupuy J-luc, Rigolot E, Duché Y. 2012. Les effets du passage d’un feu dans un peuplement arboré : synthèse des connaissances et applications pour le gestionnaire forestier  

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méditerranéen. RDV techniques 35: 3-15.

Rigolot E. 2002. Du plan départemental à la coupure de combustible : guide méthodologique et pratique. Réseau Coupures de Combustible RCC n°6 - Editions de la Cardère, Morières, France.

Références

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