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Symposium international sur la science et les technologies, 24-28 octobre 2016, Ouagadougou, Burkina Faso Centre national de la recherche scientifique et technique

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Symposium international sur la science et les technologies, 24-28 octobre 2016,

Ouagadougou, Burkina Faso

Centre national de la recherche scientifique et technique

Programme Productivité agricole en Afrique de l’Ouest PPAAP/ WAAPP – Burkina Faso

CNS-FL et FCN

Titre : Agronomie et défense des cultures de la tomate et de l’oignon en Afrique de l’Ouest Résumé

Le rendement moyen en oignon en Afrique de l’Ouest est inférieur à la moyenne mondiale (9,2 t/ha vs. 19,4 t/ha) et celui de la tomate, très inférieur (7,1 t/ha vs. 34,6 t/ha) (FAO, 2013). Des progrès importants y sont donc possibles. L’exposé fait un point sur les contraintes, les principaux problèmes et identifient quelques priorités de recherches en agronomie sensu lato. Après avoir rappelé, les bases du raisonnement basé sur les composantes du rendement, les différents systèmes de culture sont décrits pour l’oignon et la tomate. L’adaptation à une « courte » longueur de jour (entre 11 et 13 h) et des conditions favorables plutôt en période sèche, conditionnent les choix variétaux et imposent une irrigation, totale ou partielle que ce soit en culture manuelle ou mécanisée. Les systèmes de culture de la tomate sont très variables du plein champ pluvial au sous abri hors-sol, mais avec une production toujours fortement saisonnalisée dans les périodes les plus favorables, donc plutôt en saison sèche. Les exportations en éléments minéraux de ces cultures étant déjà connues, les pratiques de fertilisation seront axées sur le maintien et la bonne gestion de la fertilité des sols aussi bien chimique et physique que biologique. Les principaux ennemis et parasites des cultures présents en Afrique de l’Ouest sont décrits avec l’état des connaissances sur les méthodes de lutte. Trois cas sont approfondis qui ne sont pas encore entièrement résolus : le flétrissement bactérien des Solanacées dû à Ralstonia solanacearum, la mineuse de la tomate, ravageur invasif, Tuta absoluta et l’aleurode Bemisia tabaci vecteur de géminivrus. Quelques priorités de recherche sont proposées pour la tomate : amélioration des plantes, méthodes de lutte contre les maladies et ravageurs cités précédemment, notamment avec la lutte biologique et les cultures sous abri. Pour l’oignon, des défis restent encore entiers en termes de mécanisation de la culture, de stockage des bulbes et des méthodes d’irrigation.

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