• Aucun résultat trouvé

Etude comparative de la photodissolution de l'argent dans les films minces de GeSex obtenus par évaporation flash et dépôt PECVD

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Etude comparative de la photodissolution de l'argent dans les films minces de GeSex obtenus par évaporation flash et dépôt PECVD"

Copied!
16
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00212543

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00212543

Submitted on 1 Jan 1990

HAL is a multi-disciplinary open access

archive for the deposit and dissemination of

sci-entific research documents, whether they are

pub-lished or not. The documents may come from

teaching and research institutions in France or

abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents

scientifiques de niveau recherche, publiés ou non,

émanant des établissements d’enseignement et de

recherche français ou étrangers, des laboratoires

publics ou privés.

Etude comparative de la photodissolution de l’argent

dans les films minces de GeSex obtenus par évaporation

flash et dépôt PECVD

J. Calas, R. El-Ghrandi, G. Galibert

To cite this version:

(2)

Etude

comparative

de

la

photodissolution

de

l’argent

dans les

films minces de

GeSex

obtenus par

évaporation

flash

et

dépôt

PECVD

J.

Calas,

R. El-Ghrandi et G. Galibert

Groupe

d’Etude des Semiconducteurs, Université des Sciences et

Techniques

du

Languedoc,

Place E. Bataillon, 34095

Montpellier Cedex,

France

(Reçu

le 18 mai 1990,

accepté

le 19

juillet 1990)

Résumé. 2014 Le but de ce travail est une étude

comparative

de la

photodissolution

de

l’Ag

dans le

GeSex

pour des échantillons obtenus par

évaporation

flash et des échantillons

déposés

par

PECVD

(Plasma

Enhanced Chemical

Vapor Deposition)

et ceci pour différentes valeurs de x

(3

x

5).

Cette étude porte sur la fabrication des différentes couches minces, leur caractérisa-tion

optique

et

électrique,

la mesure de la réflectivité

R(t)

en fonction du temps lors de la

photodissolution

de

l’argent

et la

comparaison

de ces mesures avec le modèle

théorique

proposé.

Les conclusions permettent alors d’affirmer que le

GeSe4

obtenu par

dépôt

PECVD, du fait de

son

homogénéité

pour de

grandes

dimensions et de la

cinétique

observée a le meilleur

profil

pour

une

application

en

microlithographie

industrielle.

Abstract. 2014 This work

compares the

Ag photodissolution

in the

GeSex glassy

thin films elaborated from flash

evaporation

and from Plasma Enhanced Chemical

Vapor Deposition

(PECVD) :

the

investigated composition

range x runs from 3 to 5.5. The

manufacturing

of these thin films and their

optical

and electrical caracterization are also

given.

Measurements of the

reflectivity

versus time

during photodissolution

are

compared

to the theoretical

« step-like »

multilayer

model. The

composition GeSe4

from PECVD technics seems to be the most suitable for the VLSI

microlithography.

Classification

Physics

Abstracts 81.20P -

81.15G - 81.40T

Introduction.

Les

progrès

observés en

microélectronique depuis

deux décennies se traduisent essentielle-ment par une miniaturisation

toujours plus poussée

des motifs

élémentaires,

entraînant une

complexité

accrue des

dispositifs

pour une surface totale sensiblement constante. L’améliora-tion

permanente

des circuits réalisés résulte en fait de l’évolution de la

lithographie.

L’utilisation des verres et des

chalcogénures

sensibilisés par

l’argent

dans des

systèmes

multicouches

permet

d’atteindre d’excellentes

performances

en résolution. Parmi tous les

systèmes

bicouches,

le

plus

étudié reste le

système GeSe x.

Les différentes méthodes utilisées dans nos travaux

précédents [1-3]

ont

permis

de caractériser le

GeSe3

et de mettre au

point

un modèle

théorique expliquant

la

photodissolu-tion de

l’Ag

dans ce matériau. Ces travaux ont été réalisés sur des couches minces de

GeSe3

obtenues par

évaporation

flash.

(3)

Le

présent

travail est conduit à la fois sur des couches élaborées par

évaporation

flash

et par

PECVD,

ceci pour comparer l’influence des

techniques

de fabrication sur les

propriétés

de

photodissolution

de

l’Ag

dans ces verres.

Les échantillons de

GeSe x

ont des

rapports

de concentration

sélénium/germanium

variant de 3 à

5,5.

L’épaisseur

des couches minces varie de 2 tm à

0,1

f.Lm. Les mesures de n et k vont

permettre

d’élaborer un modèle

théorique

basé sur les

phénomènes

interférentiels

qui

apparaissent

lors de la

photodissolution

de

l’Ag.

D’autre

part,

dans certains cas, une mesure

simultanée,

lors de la diffusion de

l’Ag,

de la réflectivité du

système

multicouche et de la variation de résistance

électrique

de la couche

d’Ag

restant sera réalisée.

Enfin,

sont

dégagées

les lois de la

cinétique

de la formation du P. R.

(Produit

de

Réaction),

ainsi que ses

rapports

avec les concentrations en

GeSe x

et

Ag.

1. Méthodes

expérimentales.

1.l PRÉPARATION DES ÉCHANTILLONS. - La méthode

d’évaporation

flash a

déjà

été décrite

[1, 3].

Notons toutefois que les couches minces obtenues ont une

composition comprise

entre

GeSe2,8

et

GeSes,s.

Par contre, il est utile

d’expliquer

en

quelques lignes

la réalisation des couches minces

déposées

par PECVD. Les films de verre de

chalcogénure GeSe x

sont

déposés

dans un réacteur à

plasma

à

parois

chaudes

[4].

Les gaz réactifs sont le germane et

l’hydrogène

sélénié. Ils sont

mélangés

à de l’azote avant

l’injection

dans le réacteur. Les débits ont été calculés pour obtenir du

GeSe3

et du

GeSes.

Les

dépôts

effectués à 100 °C sont suivis d’un recuit in situ sous azote à la même

température pendant

une heure. Dans les deux

types

de

préparation

les

épaisseurs

varient de

0,1

ktm à 2 ktm pour des surfaces de

(20

x

70 mm).

1.2 ANALYSE DES ÉCHANTILLONS.

1.2.1

Techniques

utilisées. - Ont été utilisés soit la sonde

ionique

à

balayage

soit le

microscope

électronique

à

balayage (S.E.M.).

La

première technique

donne une bonne

précision

sur la

composition

mais nécessite malheureusement des échantillons d’une

épaisseur

égale

ou

supérieure

à 1 jim. La

seconde,

moins

adaptée

à la mesure des concentrations

peut

s’utiliser avec des couches

plus

minces mais nécessite au

préalable

le

dépôt

d’une couche de carbone ou de métal. La

précision

sur x ainsi obtenue est de l’ordre de 0.2

(x

±

0.2)

pour le

SEM et 0.1

(x :± 0.1)

pour la sonde

ionique

à

balayage.

1.2.2 Résultats. - Les résultats sont donnés dans le tableau 1. On

peut

constater que d’une manière

générale

les concentrations mesurées sur des couches tant en PECVD

qu’en

évaporation

flash sont

légèrement

inférieures aux

prévisions.

Cela semble dû à la forte volatilité du sélénium pour T z:. 220 °C. Pour

chaque plaquette

étudiée,

l’écart de

concentra-tion d’un

point

à un autre est inférieur à la

précision

de deux

systèmes d’analyse.

On

peut

aussi obtenir en S.E.M. à

balayage

une vue en surface des couches

fabriquées

ainsi

qu’une

vue latérale.

1.3 MESURE DES ÉPAISSEURS. - La mesure a été effectuée à

partir

de 3 méthodes. La

première

citée

ci-dessus,

consiste à utiliser le

microscope

S.E.M. : la

précision

obtenue est de l’ordre de 4 à 5 %. La deuxième méthode utilise les mesures de réflexion et de transmission de la couche en fonction de la

longueur

d’onde dans le domaine

infrarouge

où l’échantillon est

transparent.

La mesure de n étant obtenue à

partir

des

interférences,

on accède ainsi à la mesure de

l’épaisseur

à

partir

des maxima de la réflectivité. La troisième méthode utilise

(4)

Tableau 1. - Caractérisation du

GeSex

obtenu par

évaporation

flash

et PECVD pour x variant

de 3 à

5,5.

Appareillage

utilisé : sonde

ionique « CAMEBAX » ;

microscope

électronique

à

balayage

(Stéroscan

SEM).

[SEM (Stereoscan)

and

microprobe (CAMEBAX) analysis for GeSex

elaborated

by flash

evaporation

and

by

PECVD

technique.]

mesurer que des hauteurs de marche et nécessite donc un bon niveau de référence

(verre

sur

lequel

est fait le

dépôt).

Les

épaisseurs

obtenues sont inférieures à 2 ktm en PECVD comme en

évaporation

flash. La

comparaison

des résultats obtenus par les 3 méthodes montre que ceux-ci sont

identiques

dans la marge des erreurs

expérimentales.

Par contre l’obtention de couches

d’épaisseur

constante sur toute la surface de la

plaquette

de verre

(20

x 20 mm en

évaporation

flash ou 20 x 70 mm en

dépôt PECVD)

est difficilement réalisable. En effet en

évaporation

flash,

l’inhomogénéité

en

épaisseur

est due à la structure

quasi ponctuelle

du creuset alors

qu’en

dépôt

par PECVD

l’inhomogénéité

est liée aux effets de turbulence des gaz au

voisinage

des bords de la

plaquette

de verre fixée sur l’électrode de silicium. Il faut toutefois remarquer

qu’en

l’absence de cette

plaquette

une électrode de silicium de 10 cm de diamètre

présente

un

dépôt

de

GeSe x d’homogénéité parfaite

tant en

épaisseur

qu’en

composition.

2. Caractérisation

optique

des films minces.

2.1 MÉTHODE. - La méthode a

déjà

été décrite

[2, 3].

Rappelons

brièvement le

principe :

un

spectromètre

Beckman travaillant dans l’I.R. et le visible

permet

de tracer les

spectres

de réflectivité et de transmission en fonction de la

longueur

d’onde pour le

système

multicouche formé par le

GeSex

et le substrat de verre

baignant

dans l’air. Les

longueurs

d’onde utilisées

comparativement

à

l’épaisseur

du

dépôt

permettent

de mettre en évidence des

figures

d’interférences dues à la couche de

GeSe x

Le verre

d’épaisseur

0,5

mm ne

participe

pas à ce

phénomène,

mais modifie

cependant

la réflexion et la transmission de l’ensemble multicouche par sa propre réflexion. Le

problème

a été traité par une méthode

numérique qui prend

en

compte

l’effet interférentiel du

dépôt

et annule celui du substrat tout en tenant

compte

de son

(5)

d’isoréflexion R et d’isotransmission T dans le

plan (n, k ) (k

indice

d’extinction, n

indice de

réfraction).

L’intersection de ces courbes donne suivant la valeur de

dl À

un ou

plusieurs couples

de solution n et k. Le choix de la bonne valeur s’effectue par continuité en

partant

de

l’infrarouge

où k est voisin de zéro et où n est déterminé exactement à

partir

des oscillations

R(À)

et de la mesure des

épaisseurs

à

l’Alphastep.

Cette méthode n’a

qu’un

inconvénient mineur : les calculs réalisés sur ordinateur de

type

PC AT sont assez

longs (quelques

minutes par

longueur d’onde)

suivant le pas de calcul choisi.

2.2 RÉSULTATS. - Les résultats

qui

se traduisent par le tracé n et k en fonction de

l’énergie

pour différentes valeurs de x sont donnés sur les

figures

1 et 2. A cet

effet,

il faut remarquer

que l’écriture

(GeSe x P.R.)

par

exemple correspond

à du

produit

réactif,

c’est-à-dire au corps obtenu

lorsque l’Ag

a totalement diffusé dans le

GeSe x.

Deux

types

de diffusion ont été

étudiés,

la diffusion en

profondeur

et la diffusion latérale. Cette dernière est due au fait que les

dépôts d’Ag

ont une surface inférieure à celle du

GeSe x.

Aussi en éclairant assez

longtemps après

une

rapide

diffusion en

profondeur

la diffusion latérale

apparaît.

L’analyse

des courbes tracées

(Figs.

1 et

2)

permet

de tirer les conclusions suivantes : Pour la fabrication par PECVD en fonction de x

(Fig. 1)

on constate que dans la gamme

Fig. 1.

Fig.

2.

Fig.

1. - Variation du coefficient d’extinction k et de l’indice de réfraction n pour

GeSe x

obtenu par

dépôt

PECVD en fonction de

l’énergie.

[Extinction

k and reflexion n indexes versus energy for

GeSex

elaborated

by PECVD.]

Fig.

2. - Variation du coefficient d’extinction k et de l’indice de réfraction n pour du

GeSe,

obtenu par

évaporation flash,

en fonction de

l’énergie.

(6)

0,5-2,5 eV,

l’indice n, aux erreurs

expérimentales près,

est

indépendant

de x alors que k

augmente

lorsque

x croît.

D’autre

part,

le

produit

réactif

(P.R.)

présente

à x constant un indice et un coefficient d’extinction

toujours supérieur

au

GeSex

qui

lui a donné naissance.

Pour la fabrication flash

(Fig. 2)

le

comportement

de n et k est

identique

à celui observé pour la fabrication par PECVD.

Enfin si l’on compare les deux

procédés

de

fabrication,

les résultats sont

identiques

aux erreurs

expérimentales près.

En

conclusion,

au niveau

optique macroscopique,

on

peut

affirmer que :

1) k

augmente

avec la valeur

de x ;

2)

à x constant le P.R. a un coefficient d’extinction nettement

supérieur

au

GeSex ;

3)

les deux fabrications flash et PECVD donnent des résultats

semblables ;

4)

l’indice de réfraction n croît

légèrement

avec x et à x constant l’indice du P.R. est

toujours supérieur

à celui du matériau de base.

3. Photodissolution de

Ag

dans

GeSex

élaboré par PECVD et par

évaporation

flash. 3.1 MÉTHODES EXPÉRIMENTALES UTILISÉES. - L’étude

porte

sur 39 couches dont 31 élaborées par

évaporation

flash. Les concentrations x obtenues pour ces dernières sont

respectivement

3 ; 4,4

et

5,3.

Pour les mesures

optiques,

le

dépôt

de la couche

d’argent

a été fait tantôt avant celui du

GeSe x

tantôt

après,

le second

dépôt

occupant

généralement

la moitié de la surface de la

plaquette.

Il a été utilisé une

évaporation thermique d’Ag.

Pour les mesures

électriques, l’argent

a été

déposé

sous forme de bandes de 1 mm de

largeur

sur ou sous la couche de

GeSe x [1].

De

plus lorsque l’Ag

a été

déposé

en

premier, l’évaporation

de

GeSe x

a été faite tantôt sur substrat refroidi à 77 K tantôt à la

température

ambiante. La

première

méthode a pour but de

bloquer

l’effet

thermique

de

l’évaporation

sur le

démarrage

de la

photodissolution.

Toutefois la méthode consistant à

évaporer l’Ag

sur du

GeSe x

a dû être abandonnée car le

rayonnement

émis par le creuset suffit à entraîner la

photodissolution

de

l’Ag.

Pour les 8 couches PECVD obtenues à

partir

de 4

manipulations

différentes,

les concentrations obtenues sont

respectivement

2,6 ; 3 ; 4,9.

Le

dépôt d’Ag

a été fait à

température

ambiante sur la moitié de la surface de la

plaquette.

La mesure de l’effet du

rayonnement

sur la

photodissolution

de

l’Ag

a été faite en utilisant tantôt une source U.V. à

large

spectre

(lampe

au deutérium :

0,1

à

0,5

ktm)

tantôt un laser ILT 5000 délivrant 8

longueurs

d’onde entre

0,488

et

0,514

ktm. La

puissance

de ce dernier est modulable de 0 à 50 mW.

3.1.1 Mesures

électriques.

- Le

principe

décrit par Goldschmidt a été

employé [5] :

on mesure la variation au cours du

temps

de la résistance de bandes

d’Ag (2 x 10 mm)

sous l’influence du

rayonnement

extérieur. Cet éclairement

peut

se faire côté

GeSe x

ou côté

Ag

si

cette dernière couche est assez mince. Cette

méthode,

qui

ne nécessite

qu’un

bon multimètre et une source

lumineuse,

présente

les inconvénients suivants :

1)

la variation de résistance est faible dans la

phase

de

photodissolution.

Cette variation ne devient

importante

que lors de la fin de la

photodissolution lorsque apparaît

le

phénomène

(7)

3.1.2 Méthode

optique.

- Pour remédier à l’inconvénient

ci-dessus,

il a été

adopté

une méthode

optique qui

consiste à mesurer la réflectivité

(en

fonction du

temps)

de la couche

d’Ag

éclairée à travers le

GeSe r

Au cours de la

photodissolution,

il

apparaît

un

système

multicouche formé par

GeSex,

le

produit

de

photodissolution (P.R.)

et une couche

d’Ag

déposé

en

quantité

suffisante.

L’épaisseur

de

GeSe x

restant et du P.R. variant de manière

opposée,

la réflectivité de l’ensemble varie. On doit s’attendre à trouver pour celle-ci des

figures

d’interférences

plus

ou moins

perturbées

par deux

phénomènes :

- la

présence

de 2 couches minces

qui

donne des

phénomènes

« de

battement » ;

- le caractère

plus

ou moins

abrupt

de l’interface

GeSe x P. R.

L’analyse

des courbes obtenues devrait

permettre

de déduire la vitesse de

déplacement

de

cet

interface,

à condition de connaître la loi de

composition

des

épaisseurs

et les indices

respectifs n

et k du

GeSe x

et du

produit

réactif

correspondant.

En

plus,

on

peut

en considérant le

temps

mis pour atteindre la

configuration

définitive

(R = Cte )

connaître la vitesse moyenne de la

photodissolution.

3.1.3 Mesures de concentration.

- L’analyse

en S.E.M. des concentrations en

Ag

des zones

photodopées

a été faite pour la « diffusion » latérale et pour la « diffusion » en

profondeur.

Enfin,

des mesures

mécaniques d’épaisseur

et de hauteur de marche ont été faites à

l’Alphastep

pour trouver la loi de

composition

des

épaisseurs,

c’est-à-dire connaître

l’épaisseur

du

produit

entièrement

photodopé (saturation)

en fonction des

épaisseurs initiales

d’Ag

et de

GeSex.

3.2 RÉSULTATS OBTENUS.

3.2.1 Mesures

électriques.

- Les mesures pour le

composé GeSe3

ont

déjà

été

publiées [1].

Les mesures faites avec

GeSe4,4

et

GeSeS,3

obtenus par

évaporation

flash,

ont entraîné la vérification des résultats du

GeSe 3.

La réalisation de

GeSe x

par PECVD ne

permettant

pas l’utilisation de cette méthode nous nous bornerons à

rappeler

que :

- la vitesse de

photodissolution

augmente

avec l’intensité lumineuse ou avec la diminution de

longueur

d’onde et ce pour des éclairements côté

Ag

et côté

GeSe x ;

- la

quantité d’Ag photodissoute

varie de la même

manière ;

- la

période

d’induction citée par

[5]

et que l’on trouve dans la littérature pour d’autres corps que

GeSe x

ne semble pas exister pour ce matériau. Par contre le

phénomène

d’apparition

d’îlots

d’Ag

en fin de

photodissolution

est

confirmé ;

- la

photosensibilité

de

GeSe x

est telle que la réaction de

photodissolution

est induite par

l’éclairement créé par le creuset lors de la fabrication. Cette réaction ne

peut

plus

être arrêtée dès lors

qu’elle

a commencé.

Il est à noter que la

plupart

de ces mesures ont été faites sur des couches minces

d’Ag

avec un éclairement côté

Ag.

La

principale

difficulté de la méthode vient de la validité de la formule

qui

donne la résistivité de

l’Ag

en couche mince. En

effet,

l’épaisseur

restante

dAg

de

Ag

se déduit de la résistance mesurée de la bande

d’argent

P Ag(d).

Cette fonction est très difficile à obtenir avec

précision.

Les mesures lors de la

phase d’apparition

des îlots

d’argent

sont très affectées par la valeur du

champ électrique appliqué.

Les

problèmes

d’analyse

et de

précision

sur la mesure des

épaisseurs

nous ont donc amené à travailler avec des

épaisseurs d’Ag plus importantes

et de ce fait à éclairer du côté

GeSe x

3.2.2 Mesures

optiques.

(8)

GeSe 4,4

et un du

type

GeSe 5,3

et sur 2 échantillons

(obtenus

par

dépôt PECVD)

de

type

GeSe 3.

Il n’a été retenu que les échantillons

présentant

des oscillations au sens

large

du terme pour

R(t).

Les autres échantillons

présentent

des variations monotones de

R(t).

Cela est sans doute dû au fait que, durant le

temps

nécessaire à la sortie de l’échantillon de la cloche à

évaporation

et au

montage

sur le bâti de mesure, la

photodissolution

s’est

déjà

réalisée en

partie.

Pour le

GeSe 3

de

type

flash les résultats sont

reportés

sur la

figure

3. Le

temps

de

photodissolution

est donné en fonction du

rapport a

=

dGeSe3/ d Ag.

Les échantillons de

type

II

ont été éclairés par le laser

Argon (50

mW

max.)

alors que ceux de

type

1 ne l’étaient pas. Les mesures sont faites au laser rouge

(P 0,2 mW).

Il

apparaît

clairement que :

le

temps

de

photodissolution

considéré comme le

temps

nécessaire pour obtenir un état

d’équilibre

varie comme le

rapport

a et tend pour les fortes valeurs de a vers une limite de l’ordre de 100 min pour les échantillons non éclairés.

Lorsqu’on

éclaire au laser vert à travers

GeSe 3

on obtient le même

comportement

en fonction de a mais les

temps

sont

beaucoup plus

brefs,

la limite atteinte

(75 min) dépendant

évidemment de l’intensité lumineuse et de

l’épaisseur

de

GeSeg.

Fig.

3. -

Variation du temps de

photodissolution

en fonction du rapport a =

dG,,S,3 Idg.

Les échantillons du type I n’ont pas été éclairés. Les échantillons de type II ont été éclairés par un laser

argon de 50 mW.

[Photodissolution

time versus a =

dGeSe3/ d Ag.

Type

I

samples

weren’t illuminated.

Type

II

samples

were

illuminated

by

an Ar laser

(Pmax

=

50 mW).]

On notera que pour des échantillons de

GeSe3

ayant

même

épaisseur

mais des

épaisseurs

d’Ag

différentes les

temps

de

photodissolution

sont d’autant

plus longs

que

l’épaisseur

de

Ag

est

petite.

Les autres échantillons de

type

flash ont été étudiés sans éclairement autre que la lumière ambiante. Ils

permettent

de mettre en évidence des

types

d’oscillations

identiques

entre eux et de vérifier encore que le

temps

de

photodissolution

varie comme a.

Toutefois les

temps

observés sont

plus

faibles pour

GeSe4,4

et

plus importants

sur

GeSes,3.

Ceci tendrait à prouver que la

composition

GeSe4,4

est la

plus adaptée

à la

microlithographie.

La

composition

GeSes

donne des

temps

excessivement

longs

pouvant

être

(9)

Les deux échantillons de

GeSe3

obtenus par

dépôt

PECVD n’ont pas montré de

comportement

significativement

différent avec les échantillons de

type

flash. Les

temps

de

photodissolution

sont sensiblement

identiques

et obéissent à la même loi en fonction de a.

3.2.2.2

Caractérisation

optique

du P.R. - Il a été effectué des mesures de R et T en fonction de la

longueur

d’onde

(0,4

um A

2,5

ktm)

sur la zone de diffusion latérale ou

lorsque

c’était

possible

sur la zone de diffusion en

profondeur après suppression

du film résiduel

d’Ag.

Les résultats pour le

P.R.,

obtenus à

partir

de

GeSe3,

sont donnés

figures

1 et 2. Le coefficient n est

légèrement supérieur

à celui du

GeSe3

pur : par contre le coefficient d’extinction k du P.R. est nettement

plus grand

dans le domaine du visible. Pour le P.R. formé à

partir

du

GeSe5,3

l’indice n est sensiblement le même que celui du

GeSe5,3

pur.

Le coefficient k est encore

plus grand

que pour le P.R. obtenu à

partir

du

GeSe3.

On

peut

encore,

puisque

le

comportement

des échantillons est sensiblement

identique,

en déduire que les deux

types

de fabrication donnent des résultats semblables.

3.2.3 Mesures diverses.

3.2.3.1 Loi de

composition

des

épaisseurs.

- Les mesures ont été réalisées à

l’Alphastep,

successivement sur les couches de

Ag, GeSe x

et de P.R. Les résultats sont donnés sur la

figure

4 dans le cas du

GeSe3

par

évaporation

flash et concernent à la fois la diffusion latérale et la diffusion en

profondeur.

Pour le

GeSe5,3

fabriqué

par

flash,

la loi est encore vérifiée. Pour les échantillons élaborés par PECVD les résultats obtenus sur

GeSe3

montrent un

comportement

identique

à celui obtenu sur des fabrications flash. Il se confirme donc que lors de la

photodissolution :

Fig.

4. - Loi de

composition

des

épaisseurs.

Mesure de

l’épaisseur

du P.R. obtenu en fin de

photodissolution,

pour une diffusion latérale et pour une diffusion en

profondeur,

en fonction de la somme des

épaisseurs

initiales du

GeSex

et de

l’Ag.

Ces mesures ont été effectuées sur du

GeSex

« flash » et « PECVD ».

[Final photodoped

material thickness versus the sum of the

starting Ag

and

GeSe3

thicknesses for both lateral and in

depth photodissolution

in PECVD and flash elaborated

samples.]

3.2.3.2 Profil et concentration en

Ag

sur le P.R. obtenu en diffusion latérale. - Les mesures

(10)

Fig.

5. - Profil de concentration en

Ag

sur du P.R. obtenu par diffusion latérale. Les échantillons

GeSe3

et

GeSes

sont de type flash.

[Ag

concentration

profile

for lateral

photodoped region

in

GeSe3

and

GeSes

films elaborated

by

flash

evaporation.]

Fig.

6. - Variation de la concentration en

Ag,

CAg,

dans

le P.R.

obtenu par diffusion latérale et en

profondeur

dans du

GeSex

de type flash et PECVD.

[Ag

concentration in

GeSe x photodoped

film versus x for both flash and PEVCD

materials.]

fonction de x. On constate que la concentration

d’Ag

est

proportionnelle

à la concentration en sélénium du

produit

initial. Ceci amène à penser que la fixation

d’Ag

se fait

plutôt

sur le sélénium.

D’autre

part,

des mesures à

l’Alphastep

permettent

de

positionner

le front du P.R. latéral par

rapport

au

GeSex.

La résolution maximale est de l’ordre de

10 itm.

On observe une marche

physique

entre P.R. et

GeSe x (loi

de

composition

des

épaisseurs).

La

largeur

de cette marche est inférieure à la résolution de

l’appareil.

Des mesures semblables sur des échantillons élaborés

depuis

un an montrent que cette marche

s’estompe

en

s’élargissant

au

(11)

4. Modélisation et

comparaison

avec les résultats obtenus pour la réflectivité en fonction du

temps.

4.1 MODÈLE

THÉORIQUE.

RÉSULTATS EXPÉRIMENTAUX. - Un modèle de

système

multi-couche a été réalisé

(Ag,

P.R.,

GeSe x’ air)

avec des interfaces variables en

position

au cours du

temps.

Le programme

complet

du calcul de la réflectivité est donné dans

[7].

La loi de

composition

des

épaisseurs

utilisée est :

loi

qui

a été établie

expérimentalement

précédemment (voir Fig. 4).

D’autre

part,

la variation de

l’épaisseur

en fonction du

temps

est décrite par un

paramètre

WS

qui

peut

représenter

le

temps

à la

puissance s (voir [3]).

La couche

d’argent qui

sert de réflecteur à l’arrière du

système

multicouche a une

épaisseur

suffisante pour être considérée comme infinie. Un schéma de

principe

est donné sur la

figure

7. Les coeffïcients n et k du

GeSex

et du P.R.

correspondant

ont été donnés

respectivement

au

paragraphe

2.2 et ci-dessus. Il faut toutefois noter la difficulté rencontrée pour

ajuster

exactement les résultats

expérimentaux

avec le modèle

proposé.

En

effet,

nous

disposons

de

cinq quantités (n l,

n2,

kl, k2 et do)

avec une

Fig.

7. - Variation

expérimentale

du coefficient de réflection en fonction du temps pour du

GeSe3

type

flash lors de la

photodissolution

de

Ag : 1)

état initial avant

photodissolution ;

2)

état final.

(12)

Fig.

8. -

8a)

Tracé

expérimental

de la variation du coefficient de réflection R du

système

Ag/GeSe3/Verre

éclairé côté

GeSe3

en fonction du temps lors de la

photodissolution

de

l’Ag :

Puissance du Laser Ar = 3 mW ;

épaisseur

du

GeSe3

=

do

= 1,1IJ.m;

épaisseur d’Ag

= 0,45 IJ.m.

8b)

Réflectivité calculée du

système GeSe3 (milieu

d’indice

1)/P.R.

(milieu

d’indice

2)

avec n, = 2,8 ;

ki

= 1 E - 2 ; n2 = 3,2 ;

k2

= 8 E - 2. Le

paramètre s

défini par d =

do(1 - ws)

est

égal

à 0,5. Le rapport

dp.R. IdG,, S’3

est

égal

à

4/3. 8c)

idem 8b mais avec

dp.R. Idc,, S"3

égal à 5/4. 8d)

idem 8b mais avec

dP.R.

/dG,,S"13

égal

à 1.

[(a)

The

experimental reflectivity R

of the

multilayer

system

Ag/GeSe3/glass

versus time with

light

on

the

GeSe3

side. Ar laser power was 3 mW. Thickness of

GeSe3

and

Ag layers

was

respectively 1. 1 itm

and 0.45 ktm.

(b)

The theoretical

reflectivity

of the

multilayer GeSe3 (medium 1)/P.R. (medium 2)

versus the w parameter

given

in the formula d =

do(1 - WS)

with n

= 2.8 ;

ki

= 1 E - 2 ; n2 = 3.2 ;

k2

= 8 E - 2 ; s = 0.5 ;

do

= 1.1 um and

dp.R. Ido

=

4/3. (c)

Idem

(8b)

but

dP.R./do

=

5/4. (d)

Idem

(8b)

(13)

Fig.

8

(suite).

précision

modeste. On arrive ainsi à obtenir l’allure des courbes

expérimentales

mais les

amplitudes

ne coïncident pas

parfaitement,

la moindre variation d’un des

cinq paramètres

entraînant des

changements importants

dans la courbe

R(t).

Une autre raison de la difficulté

d’ajustement

peut

être liée au

phénomène

de

propagation

du front du P.R. lors de la

photodissolution.

La diffusion

d’Ag pourrait

se faire à

partir

de

points particuliers

(défauts

de

structure ou autres,

etc.)

et se

développerait

d’une manière

préférentielle.

On n’obtiendrait

pas une frontière localement

plane

entre P.R. et

GeSex [8].

La

figure

8 montre pour un échantillon de

GeSe3

la courbe

expérimentale (8a)

et les courbes calculées à

partir

des

(14)

On notera que la

figure

8d ne

correspond

pas du tout à la

figure

expérimentale.

On confirme bien par la simulation que la

photodissolution

s’accompagne

d’une

expansion

du

GeSe3.

D’autres auteurs ont trouvé sur d’autres

chalcogénures

des tracés

expérimentaux

sembla-bles

(voir [9-11]).

L’ajustement

le meilleur est obtenu pour une

épaisseur

finale

égale

à

4/3 do,

ce

qui

correspond

bien à la dissolution de 30 % environ

d’argent

dans le

GeSe3.

Le

temps

séparant

deux extrema dans la courbe

expérimentale

augmente

régulièrement

au cours de la

photodissolution,

ce

qui correspond

à une

épaisseur

variant comme

do(1 - w’). L’exposant

s =

1/2

donne une bonne

correspondance

entre la

position

des minima de la courbe

expérimentale

et ceux des courbes

théoriques.

De

plus,

on constate que la courbe réelle

présente

des oscillations

beaucoup

plus

amorties que ne le sont celles des courbes

théoriques.

Cela confirme que l’interface entre les divers matériaux n’est pas

parfaitement abrupt

et

qu’il apparaît

une zone interfaciale mal définie soit à cause d’un

gradient

de concentration soit à cause d’une croissance

préférentielle

à

partir

de certains

points.

4.2 COMPARAISON DES MESURES

ÉLECTRIQUES

ET OPTIQUES. - Il a été effectué

sur un échantillon de

GeSe3

des mesures simultanées de la résistance de la bande

d’Ag déposée

préalablement

sur

GeSe3

et de sa réflectivité au cours de la

photodissolution

pour un éclairement à travers

GeSe3.

Les résultats sont donnés sur la

figure

9. Il

apparaît

clairement que la

période

dite d’induction

qui

est liée à la

partie

basse de la courbe de résistance

électrique correspond

en fait à la

quasi

totalité des

phénomènes

de

photodissolution.

Lorsque

Fig.

9. - Réflectivité du

système

multicouche en fonction du temps durant la

photodissolution (1).

La résistance

électrique

en fonction du temps est aussi donnée dans les mêmes conditions

(2).

La source

lumineuse utilisée a

respectivement

une

puissance

et une

longueur

d’onde de 0,22

mW/cm2

et 0,632 itm.

[Reflectivity

of the

multilayer

system versus time

during

the

photodissolution (1).

Electrical resistance

versus time is also

given

under the same conditions

(2).

The used

light

power and the

wavelength

are

(15)

apparaît

la variation

brusque

de

résistance,

la

photodissolution

est dans sa

phase

finale,

il ne reste alors

qu’un

mécanisme de conduction par des îlots

d’argent.

La conduction devient très sensible au

champ électrique appliqué

et la réflectivité reste constante.

5. Conclusion.

L’étude de la

photodissolution

de

l’Ag

dans les verres

GeSe x

a été faite à

partir

des couches élaborées par

évaporation

flash et par PECVD. La caractérisation

optique

de ces couches a fait

apparaître

les résultats suivants :

- l’indice de réfraction est

peu sensible à la valeur de x et passe de

2,8

à 3

quand

la

longueur

d’onde varie de

2,5

à

0,5

J.Lm ;

- l’indice d’extinction k

qui présente

une forte croissance pour des

énergies

de l’ordre du gap

augmente

légèrement quand x

croît à À =

Cte ;

- il

n’y

a pas de différence mesurable pour n et k entre les matériaux élaborés par les deux

techniques.

En ce

qui

concerne la

photodissolution

de

Ag,

nous avons mis clairement en évidence les résultats suivants :

- la vitesse de

photodissolution

augmente

quand

on diminue la

longueur

d’onde d’éclairement ou

lorsqu’on

augmente

l’intensité lumineuse

quelle

que soit la valeur de x ;

- le

temps

pour

photodissoudre

une couche

d’Ag d’épaisseur

dAg

dans une couche de

GeSex d’épaisseur

dGesex

varie comme le

rapport

dGese x IdA g et

présente

pour les fortes valeurs de ce

rapport

une limite

qui

est fonction de l’éclairement comme

indiqué

ci-dessus ;

- la localisation du

phénomène

semble se situer à l’interface entre le

GeSe x

et le

produit

réactif

quelle

que soit la valeur de x ;

- les

temps

de

photodissolution

sont les

plus

brefs,

toutes choses étant

égales

par

ailleurs,

pour la

composition

GeSe4,4.

Ceci

pourrait

être dû à la structure

particulière

de cette

composition ;

- l’interface entre le P.R. et le

GeSe x

si elle est en moyenne bien définie

(abrupte)

n’en demeure pas moins à l’échelle

microscopique,

assez

tourmentée,

à cause

peut-être

de la

présence

de zones à

composition hétérogène (démiction

ou

autre).

Ceci

explique

les difficultés rencontrées pour

ajuster

les courbes

expérimentalés

de la réflectivité en fonction du

temps ;

- le

phénomène

d’induction n’existe pas. La

photodissolution

commence dès l’éclaire-ment. Ceci

proscrit

a

priori

les

techniques d’évaporation qui

par la lumière et la chaleur

émise,

induisent le

déplacement

des ions

Ag ;

,

- il se forme lors de la

photodissolution

un

produit

réactif dont

l’épaisseur

est donnée par la somme des

épaisseurs

de

Ag

et de

GeSe x

et ceci

quel

que soit x et

quel

que soit le mode de

fabrication ;

- la marche

observée,

tant dans le

profil

de concentration de

Ag

que sur le relief de la couche en diffusion

latérale,

reste inférieure à la résolution des

appareils

utilisés à savoir

quelques

jan.

(16)

de structure sur une

grande

surface,

font que la PECVD

présente

un réel intérêt pour un processus industriel.

Bibliographie

[1]

KONAN K., GALIBERT G. and CALAS J.,

Phys.

Status Solidi

(a)

107

(1988)

273.

[2]

GALIBERT G., KONAN K., EL GHRANDI R., CALAS J. and MARTIN J. L., Mater. Sci.

Eng.

B 5 (1989) 37.

[3]

KONAN K., EL GHRANDI R., GALIBERT G. and CALAS J., J. Non

Crystal.

Solids 116

(1990)

63.

[4]

CROS B., CAMON H., BROCHETON Y., GONCHOND J. P., TISSIER A., BALLADORE J. L. et RIBES M., J.

Phys. Colloq.

France 50

(1989)

C5-343.

[5]

GOLDSCHMIDT D. and RUDMAN P. S., J. Non

Crystal.

Solids 20

(1976)

131.

[6]

ONG E., TAI K. L., VADINSKY R. G., KEMMERER C. T., BRIDENBAUGH P. M., SPIE 539

(1985)

52.

[7]

KONAN K., Thèse de Doctorat, GES, USTL,

Montpellier,

France

(1989).

[8]

ELLIOT S., Jesus

College, Cambridge, Grande-Bretagne,

Communication

privée.

[9]

FIRTH A. P., EWEN P. J. S. and OWEN A. E., J. Non

Cryst.

Solids 77

(1985)

1153.

[10]

EWEN P. J. S., ZAKERY A., FIRTH A. P. and OWEN A. E., J. Non

Cryst.

Solids 97

(1987)

1127.

Références

Documents relatifs

Une voiture roule pendant 30 min à la vitesse moyenne de 84 km/h. Quelle

Pour quel nombre les deux programmes donnent-ils le même résultat?..

Pour quel nombre les deux programmes donnent-ils le même résultat?..

Pour quel nombre les deux programmes donnent-ils le même résultat?..

Pour quel nombre les deux programmes donnent-ils le même résultat?..

Ainsi, l'ajout d'un excAs de bore dans la solution source par rapport h la composition de l'oxyde L12B407 Permet de limiter voire d'41iminer totalement la formation de la seconde

Quelques propriétés magnétiques, électriques et optiques des films obtenus par électrolyse et par

Quelle est la proportion de garc¸ons sportifs parmi les ´el `eves de l’ ´ecole?. La proportion est `a exprimer en fraction et