• Aucun résultat trouvé

Configurations de dislocations dans un cristal d'aluminium en fonction de la température

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Configurations de dislocations dans un cristal d'aluminium en fonction de la température"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00206868

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206868

Submitted on 1 Jan 1969

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Configurations de dislocations dans un cristal d’aluminium en fonction de la température

B. Baudelet, G. Champier

To cite this version:

B. Baudelet, G. Champier. Configurations de dislocations dans un cristal d’aluminium en fonction de

la température. Journal de Physique, 1969, 30 (11-12), pp.999-1003. �10.1051/jphys:019690030011-

12099900�. �jpa-00206868�

(2)

CONFIGURATIONS DE DISLOCATIONS

DANS

UN

CRISTAL

D’ALUMINIUM EN FONCTION DE LA

TEMPÉRATURE (1)

Par B. BAUDELET et G.

CHAMPIER,

Laboratoire de Physique du Solide, E.N.S.M.I.M., Nancy.

(Reçu

le 15

septembre 1969.)

Résumé. - La

topographie

aux rayons X montre

l’apparition d’alignements

de boucles

de dislocations dans les cristaux d’aluminium, initialement sans dislocation, refroidis

depuis

345°C à différentes

températures.

Il semble que ces boucles sont émises par des sources de

Bardeen-Herring.

Elles croissent par élimination des lacunes retenues en sursaturation au cours

du refroidissement ; elles évoluent ensuite vers une

configuration

de dislocations

réparties

au

hasard.

Abstract. 2014 X-ray

topography

shows the appearance of rows of dislocation

loops

in

aluminium

crystals, initially

dislocation free, cooled from 345°C to different

temperatures.

Thèse

loops

seem to be emitted from

Bardeen-Herring

sources.

They

grow

by

the elimination of the vacancies retained under

supersaturation during

the

cooling ;

then

they develop

into a

random dislocation

configuration.

1. Introduction. - L’observation des dislocations dans les cristaux d’aluminium par

topographie

aux

rayons X par transmission a

g6n6ralement

ete faite

jusqu’ici

a la

temperature

ordinaire

[1-6].

Peu d’obser-

vations ont ete faites a

temperature plus

6lev6e. Nost

et al.

[7-9]

ont 6tudi6 sur des

topographies

de section

1’evolution des dislocations au cours de variations de

temperature

entre 218 et 374 °C. Dans un

precedent

travail

[10],

nous avons observe sur une

topographie

de translation une

configuration particuli6re

de dislo-

cations au cours d’une evolution

après

une descente

rapide

de

temperature depuis

420 °C. Les resultats

rapport6s

dans le

present

travail concernent 1’evolution des dislocations dans un cristal d’aluminium refroidi

rapidement depuis

345 OC

jusqu’a

trois

temperatures

differentes.

2.

Dispositif expérimental.

- Le cristal d’aluminium

a ete

prepare

par la m6thode

d’écrouissage

et recuit

[6].

Ses dimensions sont

respectivement 0,8,

5 et 10 mm;

son orientation est

reperee

sur la

projection st6r6ogra- phique

de la

figure

1. La densite de dislocations mesur6e a la

temperature

ordinaire dans le cristal brut de

preparation

est de l’ordre de 1 000

cm/cm-3. Lorsque

le cristal est chauff6 a 345 °C

pendant plusieurs heures,

FiG. 1. -

Projection stéréographique repr6sentant

l’orien- tation, par

rapport

a la normale N a la face du cristal 6tudi6, des axes

cristallographiques principaux,

et les

plans (111)

et

(111)

sur

lesquels glissent

les boucles situ6es initialement dans un

plan (110).

la densite de dislocations diminue et devient

6gale

à

quelques

dizaines de dislocations par centimetre carr6

( fig. 2).

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019690030011-12099900

(3)

1000

FIG. 2. -

Topogramme (111)

du monocristal d’aluminium

apr6s

5 heures de maintien a 345°C. Les taches blan- ches sont dues à des

particules d’oxyde

de cuivre

d6pos6es

au cours du

chauffage

sur les fenetres de

beryllium

du four

(X25).

FIG. 3. -

Cycles thermiques

realises sur le monocristal d’aluminium.

Cycle

1 : maintien a 345°C; refroidis- sement

jusqu’a

182 °C a la vitesse de 400 °C par heure ; maintien a 182 °C

pendant

48 heures.

Cycle

2 : main-

tien a 345°C; refroidissement

jusqu’a

212 °C a la

vitesse de 400 °C par heure ; maintien a 212°C pen- dant 24 heures ; montee lente a 25 °C par heure

jusqu’a

285°C; maintien a 285°C

pendant

72 heures.

Cycle

3 : maintien a 345°C; refroidissement

jus- qu’a

260 °C a la vitesse de 400 °C par heure ; maintien a 260°C

pendant

24 heures.

Les différentes variations de

temperature auxquelles

le cristal a ete soumis sont sch6matis6es a la

figure

3.

Le cristal est 6tudi6 par

topographie

aux rayons X par transmission

(Lang [11]).

Un four monte sur la chambre

permet

de faire varier la

temperature

du

cristal

depuis

la

temperature ordinaire jusqu’a

450 OC.

La

géométrie

de 1’ensemble du montage ne permet l’observation que pour une seule reflexion s6lective.

Nous avons utilise la reflexion

(111)

avec le rayonne- ment

Ka1,

du

molybd6ne.

Afin de suivre 1’evolution des

dislocations,

soit a

temperature

constante, soit au

cours de variations de la

temperature,

en fonction du

temps,

le cristal et la

plaque photographique

sont

translates d’un mouvement lent a la vitesse de 1 mm

par heure sans retour; il est ainsi

possible d’indiquer

sur les

topogrammes

une abscisse temps et

temperature.

Les dislocations

mobiles

dont la vitesse de

d6place-

ment est

plus grande

que la vitesse de translation du cristal ne donnent pas

d’image

sur la

plaque photo- graphique

et celles

qui

se

d6placent

avec une vitesse

comparable apparaissent

floues.

3. Rdsultats

expérimentaux.

- Pendant la descente de

temperature,

au cours du

cycle 1,

nous avons

observe

I’apparition

et la croissance

d’alignements

de

boucles coaxiales. Ils ont pour

direction 110 >,

le

vecteur de

Burgers

des boucles est

parall6le

a la direc-

tion de leur axe. Le

long

d’une

ligne,

le diametre des boucles et la distance entre boucles sont

pratiquement

constants. Pour une meme

direction

110

>,

le dia-

metre semble d’autant

plus grand

que

1’alignement

est

plus long

et que cet

alignement

est apparu a une

temp6-

rature

plus

6lev6e au cours du refroidissement : il peut atteindre 200

microns, 1’alignement

de boucles

peut

s’étendre d’une face a 1’autre du cristal. La distance

entre boucles varie d’une

ligne a

1’autre de 20 a 50 mi-

crons. La

longueur

des

rang6es

de boucles dans les six

directions 110 >

est environ 1 000

cm/cm-3.

Le calcul

montre que le nombre de lacunes n6cessaires a la croissance des boucles observ6es est du meme ordre de

grandeur

que la difference des concentrations de lacunes a

1’equilibre thermodynamique

a la

temperature

ini-

tiale et a la

temperature

finale.

W G. 4. - Boucles de dislocations vues par la tranche

(a)

et boucles de dislocations inclinees par

deplacement

sur leur

cylindre

de

glissement (b)

observ6es dans le cristal d’aluminium maintenu 5 et 40 heures a 182 °C.

Topogramme (111) (X35).

(4)

Au cours du maintien a 182

OC,

la

configuration

des

alignements

de boucles 6volue tres peu en 48 heures : les boucles

qui

6taient

perpendiculaires

a la direction de leur

alignement ( fig.

4

a)

tendent a s’incliner par

deplacement

sur leur

cylindre

de

glissement ( f ig.

4

b).

Pendant la descente de

temperature,

au cours du

cycle 2,

nous avons obtenu la meme

configuration d’alignements

de boucles coaxiales que celle observ6e

precedemment;

les

alignements

sont en meme

position,

leur

longueur,

leur

densite,

le diametre des boucles et

la distance entre boucles 6tant sensiblement

69aux.

Le

topogramme obtenu au d6but de ce

cycle

est

reproduit

a la

figure

5.

Au cours du maintien a 212 OC

pendant

24

heures,

la

configuration

des

alignements

de boucles de dislo- cations 6volue de

façon plus marquee :

1’inclinaison des boucles est

plus importante

et les interactions entre

FIG. 5. -

Topogramme (111)

du cristal d’aluminium refroidi de 345°C

jusqu’a

212°C a 400°C par heure et maintenu a 212°C

(X25).

boucles inclin6es et entre boucles

d’alignements

voisins

conduisent a des

lignes

de dislocations

grossierement hélicoidales fig.

6 a et 6

b).

FIG. 6. - Boucles de dislocations inclin6es

(a)

et

lignes

de dislocation

grossierement

helicoidales

(b)

observ6es

dans un cristal d’aluminium maintenu 10 et 16 heures a 212°C.

Topogramme (111) (X35).

Au cours de la montee en

temperature

de 212 °C

a 285

OC, puis

au cours du maintien a cette

temp6ra- ture, l’evolution

de la

configuration

est acc6l6r6e : les

lignes

de dislocations

grossierement

h6licoldales s’6ta- lent et s’enchevetrent en donnant un reseau dense

( fig. 7);

les dislocations continuent a se

d6placer, interagissent

entre elles et certaines

disparaissent

a la

surface. La densite des dislocations d6croit et elle n’est

plus

que de 1 000

cm/cm-3

au bout de 90 heures.

A 212

OC,

nous avons pu suivre 1’evolution de boucles

align6es

dans la direction

[110] :

elles

passent

du

plan (110)

au

plan (101)

et dans ce nouveau

plan,

deux cotes sont

paralleles

a la direction

[121]

et les

deux autres ont une direction voisine de

[111] ( fig.

6

a).

11 semble que les grosses boucles observ6es a la

temp6-

rature ordinaire par Fremiot et al.

[6]

dans des cristaux d’aluminium

proviennent

d’une evolution du meme

type.

Les

topogrammes

obtenus au cours du

cycle

3 ont

la meme allure que ceux realises a 285 °C : la

temp6-

rature

finale,

260

OC,

est suffisamment 6lev6e pour donner lieu a une evolution

rapide

des

configurations

de dislocations.

Cette evolution confirme ce que nous avons observe a 345 OC : la densite des dislocations diminue

lorsque

le

cristal est chauff6 a

temperature

6lev6e

pendant plu-

sieurs heures

( fig. 2).

4. Discussion. - Les resultats

expérimentaux pr6-

cedents

peuvent

etre

compris

de la

façon

suivante :

au cours du

refroidissement,

des sources non identi- fi6es 6mettent des boucles

prismatiques align6es

dans

les

directions

110

>.

Ces boucles

grossissent

sous 1’effet

de la sursaturation de

lacunes;

leur diametre final est

d’autant

plus grand

et il est atteint d’autant

plus rapi-

(5)

1002

FIG. 7. -

Topogrammes (111)

du cristal d’aluminium maintenu a 285°C:

(a)

28 heures environ

apr6s

le

d6but du

cycle

2,

(b)

environ 90 heures

(X25).

dement que

1’alignement

est apparu a une

temp6ra-

ture

plus

6lev6e. A

temperature

constante

( fig.

4 et

6),

les boucles

align6es

se

d6placent

d’abord sur leur

cylindre

de

glissement puis,

par

montée,

certaines

tendent vers la

configuration

des grosses boucles dans

un

plan

du

type {110},

a 300 de la direction de leur vecteur de

Burgers,

cette montee reduit la lon- gueur de dislocations des boucles et, par

consequent,

leur

energie;

elles ont deux cotes

opposes paralleles

à

l’une des deux

directions 112 >

de leur

plan;

ces

directions sont

plac6es

a 1’intersection de ce

plan

avec

les deux

plans {111} qui

leur sont

perpendiculaires.

Enfin,

par

interaction,

ces boucles tendent vers une

configuration

de

lignes

de dislocations distribuées au

hasard de densite d6croissante. Cette evolution est

d’autant

plus rapide

que le cristal est maintenu a une

temperature plus

6lev6e.

Deux

interpretations

ont ete donn6es sur

l’origine

des

alignements

de boucles : Authier et al.

[3]

ont

sugg6r6

que ces

alignements

r6sultaient de la montee

en h6lice de dislocations-vis au cours du refroidisse- ment ; Nost ei al.

[9]

ont

propose

que

chaque aligne-

ment de boucles

provenait

de la montee en helices des

parties

vis d’une boucle de

glissement

ancr6e suivant le m6canisme decrit par Amelinckx et Bontinck

[12].

Nos resultats

expérimentaux

semblent infirmer la pre- miere

hypothèse :

les

alignements

de boucles ne tra- versent pas tout le cristal et ils sont en meme

position apr6s

les differentes descentes en

temperature.

L’an-

crage

suppose

par

[9]

n’est certainement pas suffisant pour

expliquer

nos

observations,

a savoir que les ali- gnements sont

toujours

en meme

position

et que les dislocations se d6sancrent facilement

quand

la

temp6-

rature augmente.

Au cours des

refroidissements,

des

microprécipités intermétalliques

ou

r6fractaires,

6ventuellement

pre-

sents dans la

matrice, pourraient

etre a

l’origine

des

boucles

align6es,

mais il devrait

s’agir

alors de boucles d’interstitiels

[13],

car les coefficients de dilatation de 1’aluminium sont

sup6rieurs

a ceux de ces

micropr6- cipites;

les boucles que nous avons obtenues sont de

type

lacunaire car elles croissent en

presence

d’une sur-

saturation de lacunes.

La montee des dislocations ancr6es a l’interface

matrice-précipité

par le m6canisme

propose

par Bar-

deen-Herring [14] permettrait

de rendre

compte

des

caractéristiques

des boucles obtenues. Ce m6canisme

a ete

6galement

retenu par

Embury

et Nicholson

[15]

qui

ont observe par

microscopie 6lectronique

par

transmission, apr6s

refroidissement d’un

alliage

d’alu-

minium,

des

alignements

de boucles de lacunes sem-

blables a celles que nous avons

obtenues,

leur diam6tre

est environ 300 fois

plus petit

et leurs cotes sont bien

parall6les

aux

directions

112

>.

La croissance des boucles des

alignements

est pro- duite par

l’absorption

des lacunes en sursaturation

retenues au cours du

refroidissement,

les seuls

puits

de lacunes 6tant en effet la surface ext6rieure et les boucles. Pour

rejoindre

la surface

ext6rieure,

les lacunes doivent effectuer en moyenne

ns,

sauts

(Blandin

et

Friedel

[16]) :

Z est le nombre de

coordinance;

a, le

parametre

cris-

tallin,

et e,

1’6paisseur

du cristal. Pour

rejoindre

les

boucles,

le nombre moyen

n b

de sauts n6cessaires est

difficile a

calculer;

on en obtient une valeur

approchee

en consid6rant les

alignements

comme des

cylindres,

de meme

longueur N, paralleles

entre eux,

r6partis

uniformément dans le

cristal,

R2

= 1,

N et de rayon y r

(6)

6gal

au rayon des

boucles;

le nombre moyen de

sauts nb

est alors donne par la relation

[16] :

La valeur de N conduit a un nombre de sauts

n b

pour

rejoindre

les boucles inf6rieur au nombre

ns

pour

rejoindre

la surface. Au cours du

refroidissement, juste

avant la formation des

boucles,

le nombre de sauts n

effectu6s par les lacunes est au

plus 6gal

a 5 X

1011, 1’6nergie

de

migration

6tant

prise 6gale

a

0,58

eV

(Wintenberger [17]);

la

comparaison

du nombre n et

du nombre

n s

montre que la

plupart

des lacunes ne

rejoignent

pas la surface ext6rieure. Ceci est confirm6 par le fait que la

quantite

de lacunes n6cessaires a la croissance des boucles observ6es est du meme ordre de

grandeur

que la difference de concentration de lacunes entre les

temperatures

initiale et finale. Les boucles sont d’autant

plus grandes

et elles croissent d’autant

plus rapidement qu’elles

sont apparues a une

temperature plus 6lev6e,

dans un domaine

thermique

ou les lacunes sont

plus

mobiles.

La

temperature

6lev6e

permet

aux dislocations de

se d6sancrer facilement sous 1’action de contraintes locales dues aux effets de surface ou aux autres disloca- tions. Elles

glissent

et montent, finissent par rencontrer la surface ext6rieure et

disparaissent.

5. Conclusion. - Au cours de trois descentes de

temperature depuis

345

OC,

nous avons montre que, dans un cristal d’aluminium initialement sans disloca-

tions,

des

alignements

de boucles

apparaissent

et crois-

sent. Ils

proviennent

de sources fixes situ6es dans le volume du cristal. La sursaturation de lacunes au cours

du refroidissement fait croitre ces

boucles, lesquelles

6voluent et tendent vers une

configuration

de disloca-

tions distribuées au hasard de densite d6croissante au cours du

temps.

Les dislocations observ6es a la

temp6-

rature ambiante

apr6s

le recuit de

preparation

ont

pour

origine

le meme

m6canisme,

les

grandes

boucles

et les dislocations distribuées au hasard ayant une

configuration identique

a celle que nous avons obtenue

au cours du maintien a

temperature

constante

après

un refroidissement.

BIBLIOGRAPHIE

[1]

LANG

(A. R.)

et MEYRICK

(G.),

Phil.

Mag.,

1959, 4, 878.

[2]

BASU

(B. K.)

et ELBAUM

(C.),

Phil.

Mag.,

1964, 9,

553.

[3]

AUTHIER

(A.),

ROGERS

(C. B.)

et LANG

(A. R.),

Phil.

Mag.,

1965, 12, 547.

[4]

NØST

(B.),

Phil. Mag., 1965, 11, 183.

[5]

NES

(E.)

et NØST

(B.),

Phil.

Mag.,

1966, 13, 855.

[6]

FREMIOT

(M.)

et CHAMPIER

(G.),

C. R. Acad. Sci., 1967, 265, 1331.

[7]

NØST

(B.)

et SØRENSEN

(G.),

Phil.

Mag.,

1966, 13,

1075.

[8]

LOHNE

(O.)

et NØST

(B.),

Phil. Mag., 1967, 16, 341.

[9]

NØST

(B.),

SØRENSEN

(G.)

et NES

(E.), J.

Cryst.

Growth, 1967, 1, 149.

[10]

BAUDELET

(B.)

et CHAMPIER

(G.),

C. R. Acad. Sci., 1969, 268, 1194.

[11]

LANG

(A. R.),

Acta Cryst., 1959, 12, 249.

[12]

AMELINCKX

(S.)

et BONTINCK

(W.),

Acta Met., 1957, 5, 345.

[13]

BERTOCCI

(U.),

BERTOCCI

(C.)

et YOUNG

Jr (F. W.), J. Appl.

Phys., 1969, 40, 1674.

[14]

BARDEEN

(J.)

et HERRING

(C.), « Imperfections

in

nearly perfect crystals

»,

Wiley,

New York, 1952, 261.

[15]

EMBURY

(J. D.)

et NICHOLSON

(R. B.),

Acta Met., 1963, 11, 347.

[16]

BLANDIN

(A.)

et FRIEDEL

(J.),

Acta Met., 1960, 8, 384.

[17]

WINTENBERGER

(M.),

Thèse, Université de Paris, 1958.

Références

Documents relatifs

Il faudrait toutefois évaluer le nouvelles dépenses et recettes liées à l’exploitation de la machine dans l’autre service de l’entreprise et vérifier

changements très considérables dans les températures, l’excentricité de l’orbite terrestre donnerait naissance à diverses saisons. L’intermittence des jours et des

Exercice 4 : La combustion complète de 0.35 g d’un composé A de formule brute C x H y a donné 0,45 g d’eau. Déduire celui du carbone.. 2/ a- Sachant que la masse molaire de A est

marge brute – remise – prix d’achat net – prix de vente hors taxe – coût d’achat prix de vente toute taxe comprise – prix d’achat net – frais d’achat – prix

Mise en valeur du travail de création : Ronsard au gré des poèmes associe le mythe de Méduse à un autre mythe, complète et dépasse le mythe en attribuant à

Le soumissionnaire remet, comme pièce constitutive de son offre, un document par lequel il marque son engagement à mettre en œuvre

* Détermination de la graduation 100 : on plonge le réservoir du thermomètre dans de l’eau en ébullition sous la pression atmosphérique normale.. Le liquide dans le capillaire

3- Pour déterminer la composition centisémale de la substance (A) on réalise la combustion complète de l’échantillon précèdent, on remarque que la masse du dioxyde de