• Aucun résultat trouvé

Licence, master ou doctorat, pour quoi faire?

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Licence, master ou doctorat, pour quoi faire?"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

e

n 2002, la réforme licence/master/

doctorat (LMD) de Bologne a apporté des changements aux systèmes d’ensei- gnement supérieurs français, suisse et belge [1]. Cette réforme des trois cycles d’enseignement supérieur est principalement adossée au modèle anglo-saxon qui préconise des études universitaires (baccalauréat, maîtrise et doctorat). elle harmonise l’enseignement supérieur de pays comme la Grande-Bretagne, le Canada, les états-Unis et l’Australie. L’adaptation de l’en- seignement supérieur aux principes de la réforme LMD au sein des communautés française, suisse et belge répond à des besoins complémentaires comme la formation continue, l’amélioration de la qualité de l’enseignement supérieur et de la mobi- lité étudiante, surtout dans les pays européens, et à l’objectif de mieux placer les établissements d’enseignement supérieur dans la concurrence internationale [2].

en 2012, les formations en soins infirmiers n’avaient pas encore été modifiées dans tous les pays européens. Mais le processus de mise en conformité à la réforme LMD est en cours. Les organismes d’enseignement européens mettent en place les mesures préalables à un nouveau cur- sus. Idéalement, les diplômes en soins infirmiers devraient correspondre aux grades universitaires en sciences infirmières. en France, la licence en sciences infirmières est opérationnelle dans certaines régions. en revanche, les infirmières continuent d’étudier, en deuxième et troisième cycles, dans d’autres disciplines que les sciences infirmières : santé publique, psychologie, éduca- tion, sociologie…

La licence en soins infirmiers est délivrée au bout de trois ans. C’est un premier cycle d’études qui correspond à un niveau de qualification approprié pour l’insertion sur le marché du travail européen.

Roger PiLonProfesseur adjoint

Anne-Marise LavoieProfesseure titulaire

école des sciences infirmières de l’Université laurentienne

Le marché de l’emploi canadien en soins infirmiers est en plein essor. Trouver du travail n’est pas un problème pour ces professionnelles de santé, et ce dans de – très – nombreux domaines de compétences. L’universitarisation de la profession a, en outre, créé de nouvelles perspectives d’emploi.

Les débouchés possibles après les diplômes de baccalauréat, maîtrise et doctorat sont légion, et les infirmières canadiennes détentrices d’un baccalauréat ont toujours le choix d’entrer dans la vie professionnelle ou de poursuivre leurs études à un niveau supérieur : maîtrise et doctorat.

La formation universitaire supérieure ouvre la porte à une multitude de nouveaux emplois en pratique avancée.

Licence, master ou doctorat, pour quoi faire ?

L’UnIveRSITé LAURenTIenne

Fondée en 1960 et implantée à Sudbury (Ontario, Canada), cette université bilingue est le plus grand fournisseur de cours universitaires bilingues à distance au Canada.

explore@laurentienne.ca

DR

(2)

Licence, master ou doctorat

en France depuis 2009, dans certaines régions, les instituts de formation en soins infirmiers (Ifsi) ont transformé le diplôme d’état infirmier en un équivalent universitaire de licence. La coordi- nation pédagogique se fait conjointement entre l’université et les Ifsi. Il existe désormais une possibilité pour les infirmières françaises de poursuivre leurs études afin d’obtenir, à Paris, un master niveau 1 qui se concentre sur les principes fondamentaux des soins cliniques infirmiers, à Marseille, un master niveau 2 qui discute des soins en pratique avancée de cancérologie, de gérontologie et de gestion [3].

La filière licence/master/doctorat

La filière LMD en sciences infirmières est en marche en europe, mais qu’en est-il au Canada ? Suivre une formation de LMD en terre canadienne ouvre-t-il des portes à l’emploi ? Quels emplois occupent ces infirmières qui possèdent un tel bagage – scientifique et pratique – en sciences de la santé ?

Dans la francophonie canadienne, la licence – ou bachelor – est similaire au baccalauréat. Le master est équivalent à la maîtrise. Le doctorat obéit à des critères similaires que ceux en vigueur en europe.

Au Canada, le baccalauréat est la porte d’entrée de la profession infirmière dans toutes les pro- vinces, à l’exception du Québec, depuis 2000 [4]. Ce baccalauréat en sciences infirmières est devenu incontournable pour des raisons multiples et convergentes : complexité des problèmes de santé des nouvelles procédures

scientifiques, équipements de haute technologie…

L’infirmière qui possède un bacca- lauréat est mieux armée pour faire face aux situations humaines com- plexes, problématiques, singulières et imprévisibles. elle est mieux pré- parée à détecter les manifestations

de santé vécues par une personne, une famille ou un groupe, et ce à tous les âges de la vie. Ce niveau de formation est plus approprié dès lors qu’il s’agit d’aider la personne, la famille ou le groupe à déterminer leurs besoins de soins et à y répondre à l’intérieur d’une relation interper- sonnelle, dans une perspective de promotion de la santé et conjointement avec les autres profes- sionnels de santé.

Qui plus est, en se fondant sur des données pro- bantes, l’infirmière bachelière a acquis les com- pétences nécessaires à une lecture performante d’articles de recherche. elle est en mesure de les

interpréter et de les évaluer pour sa pratique [5]. elle peut identifier des situations problématiques exigeant d’être enquêtées, recueillir les données nécessaires à l’amélioration des aspects cliniques de son champ de travail. In fine, elle est en situa-

tion d’appliquer les résultats de recherche à sa pratique infirmière et à les partager (avec ses collègues infirmiers, avec les autres profession- nels de santé…).

Où exercent-elles ?

Après avoir terminé sa formation de baccalauréat en sciences infirmières et s’être inscrite au tableau de l’ordre des infirmières et infirmiers de la province où elle envisage d’exercer, l’infir- mière travaille majoritairement en institution de soins, la plupart du temps l’hôpital public. À sa sortie de l’université, elle occupe généralement

Les programmes de maîtrise forment les infirmières cliniciennes spécialisées, les infirmières praticiennes et les infirmières en pratique avancée dans toutes sortes de domaines d’expertise.

RevUe hospitaLière De FRAnCe # 559 Juillet - Août 2014 21

w w w . r e v u e - h o s p i t A l i e r e . f r

(3)

un poste d’infirmière « au chevet »1 et prodigue ses soins aux patients.

La carrière d’une infirmière peut aussi débuter ou se poursuivre au sein de la communauté, en cliniques de soins et de planification familiale, bureaux médicaux, écoles en santé scolaire, milieu ambulatoire, dans les agences de services sociaux, dans l’industrie en santé préventive en milieu de travail, au sein d’agences d’assurance médicale, de soins à domicile, en centres de prévention des intoxications, dans l’industrie pharmaceutique, et en centres de réadaptation et établissements pour malades souffrant du vIH [6].

Les programmes de maîtrise

Les programmes de maîtrise forment les infir- mières cliniciennes spécialisées, les infirmières praticiennes et les infirmières en pratique avancée

dans toutes sortes de domaines d’expertise.

Deux compétences infirmières en pratique avan- cée sont officiellement reconnues au Canada : l’infirmière praticienne et l’infirmière clinicienne spécialisée [7]. Avec leurs compétences avancées, ces infirmières jouent un rôle essentiel dans la

prestation des soins directs. elles assurent la gestion des soins de l’équipe, développent des directives et protocoles, promeuvent l’utilisation de recherche pour modifier la pratique, assurent des consultations spécialisées, enseignent aux collè- gues de nouvelles techniques de soin, contribuent aux évolutions du système et, in fine, améliorent la qualité des soins [7].

De façon générale, l’infirmière titulaire d’une maîtrise est à même d’analyser des situations complexes et de concevoir des solutions suscep- tibles d’accroître l’efficience ou l’efficacité des soins en milieux cliniques et communautaires. elle conseille sur les « habiletés » (tâches) à transférer, communique et applique les connaissances scien- tifiques. elle influence ainsi la pratique infirmière.

De manière plus précise, cette infirmière inves- tigue et analyse les situations de santé chez la

personne et sa famille. elle assure la surveillance des médicaments et des traitements d’un groupe de personnes qui pose problème. elle reformule des problèmes de pra- tique infirmière pour trouver des solutions en utilisant des connais- sances et méthodes scientifiques [5]. elle améliore la qualité et la pertinence de la recherche en sciences infirmières en apportant son expertise à des problèmes cliniques [5]. elle facilite les enquêtes en milieu clinique et accom- pagne les autres infirmières dans l’application des connaissances scientifiques en sciences infirmières [5].

infirmières spécialistes

Leur formation de maîtrise achevée, les infirmières spécialistes occupent des postes de choix dans différents secteurs : éducation, gestion, santé com- munautaire, santé mentale, soins aux personnes âgées, prévention et contrôle des infections, pré- vention et contrôle des plaies, administration des soins de santé [8].

nombreux sont les postes auxquels elles sont en mesure de prétendre en milieu intra ou extrahos- pitalier : chef d’équipe, assistante infirmière-chef, infirmière-chef, coordonnatrice des soins et d’as- sistance, coordonnatrice à la dotation en soins infirmiers, coordonnatrice au recrutement en soins infirmiers, cadre-conseil en soins infir- miers, consultante en soins infirmiers, chef des programmes, directrice des soins infirmiers ou des services à la clientèle, directrice des services à domicile et vice-présidente des soins profes- sionnels et infirmiers.

Les infirmières spécialistes bénéficient d’un vaste champ de possibilités

professionnelles, dans le secteur de la recherche notamment.

© C. Moissière - DR

(4)

Licence, master ou doctorat

Ces infirmières spécialistes bénéficient d’un vaste champ de possibilités professionnelles, dans le secteur de la recherche notamment où elles sont capables de mener avec rigueur des travaux, de participer à des développements sanitaires et de communiquer avec clarté les résultats d’un travail scientifique [8]. Les postes pour ce type d’infirmières spécialistes sont légion : assistante de recherche en sciences infirmières, agente de recherche en santé, attachée de recherche en soins infirmiers, chargée de recherche en sciences infirmières et responsable d’un projet de recherche en santé.

infirmières praticiennes

Au Canada, les diplômées qui ont choisi un pro- gramme avec cursus de praticienne peuvent obtenir le titre d’infirmière praticienne après la certification. Leur exercice couvre alors plusieurs domaines d’expertise, que ce soit en cardiologie, néonatalogie, néphrologie, en soins de première ligne, en médecine familiale et soins primaires, en centre de santé communautaire ou encore en soins tertiaires de santé et en soins de longue durée et en soins à domicile. en Ontario, les infirmières praticiennes ont la possibilité de se spécialiser en soins de santé primaire, en soins aux adultes, en soins aux enfants et en anesthésiologie.

Les infirmières praticiennes prodiguent des soins directs, un accent étant mis sur la promotion de la santé et le traitement de plusieurs états de santé [8,4]. elles procèdent à des évaluations avan- cées, sollicitent des tests diagnostiques, posent le diagnostic et interviennent si la situation de santé de leur patient intègre leur champ de pratique ; elles soignent par exemple les maladies commu- nément répandues et prescrivent des traitements appropriés [9]. elles travaillent principalement en équipe et dans un esprit interdisciplinaire. en outre, les infirmières praticiennes orientent la personne soignée en matière de promotion de la santé et de prévention de la maladie. S’il y a lieu, elles réalisent une analyse critique de la littérature scientifique à la lumière de leur exercice et mettent en pratique les résultats probants issus des recherches [8].

Doctorat en sciences infirmières

Ce programme prépare l’infirmière spécialiste aux fonctions de chercheure autonome ou de professeure-chercheure au sein d’un corps professoral, et ce dans l’enseignement univer- sitaire, les instituts ou centres de recherche, les établissements de santé et organismes natio- naux ou internationaux requérant la participation

d’experts-conseils et de chefs de file en sciences infirmières. Le programme permet de surcroît d’acquérir une solide connaissance des assises théoriques en sciences infirmières, ainsi que des méthodes de recherche appliquée au domaine.

Au terme du programme, les infirmières auront développé l’autonomie nécessaire à la poursuite de recherches originales. elles seront en mesure d’en communiquer les résultats au monde entier.

Leur doctorat en poche, leurs champs de recherche en soins infirmiers contribuent à améliorer la pratique et à approfondir le savoir infirmier. elles confrontent la profession au développement de la théorie et de la recherche en formant à ces approches les prochaines générations d’infirmières [10]. en bref : l’infirmière docteure travaille principalement en enseignement et recherche.

1. en orthopédie, cardiologie, urgence, neurologie, gériatrie, maternité, pédiatrie, oncologie, soins intensifs, salle d’opération et de réveil, psychiatrie et soins palliatifs.

© Delphine Vaisset / Cocktail San

RevUe hospitaLière De FRAnCe # 559 Juillet - Août 2014 23

w w w . r e v u e - h o s p i t A l i e r e . f r

(5)

Association Française des Directeurs des Soins

05 49 78 24 50 - afds.secretariat@ch-niort.fr - www.directeurdessoins-af ds.com

12 Journées AFDS Nancy 2014

L’EVOLUTION DES PARCOURS DE SOINS : CONSTATS ET PERSPECTIVES

L’optimisation du parcours : un enjeu démographique, socio-économique au service de la satisfaction de l’usager.

Quelles organisations, quels partenariats, quelles missions, quels périmètres, quels acteurs, ... ?

DU PARCOURS DE SANTE AU PARCOURS DE VIE : DES EXPERIENCES INNOVANTES

Hors du champ sanitaire, d’autres organisations gèrent des flux au profit de la production et de la satisfaction du client.

Quelles transférabilités, quelles innovations possibles pour un parcours de vie sans rupture ?

LE DIRECTEUR DES SOINS : UN « META MANAGER » AU SEIN DE L’ORGANISATION DES PARCOURS DE VIE

Une vision systémique s’impose pour une coordination efficiente des parcours et le développement des compétences nécessaires.

En quoi, l’expertise du Directeur des Soins se révèle incontournable pour “optimiser” le parcours de vie ?

Mercredi 1 jeudi 2 vendredi 3 octobre 2014 Centre Prouvé Nancy

DE L’HÔPITAL AU TERRITOIRE...

POUR UN

PARCOURS DE VIE

Gestion des participations Espace Événementiel - sarah@espace-evenementiel.com - 01 42 71 34 02

(6)

Licence, master ou doctorat

Le premier emploi qu’une infirmière docteure obtient est celui de professeure dans les éta- blissements d’enseignement universitaires. Son expérience de la recherche participe à l’obtention de soutiens financiers pour le déve-

loppement de programmes. elle cumule publications et communica- tions scientifiques, compétences en enseignement et travail en équipe, ainsi qu’une propension à colla- borer avec les milieux cliniques.

elle délivre son enseignement dans

les différents programmes que propose l’école, développe la recherche dans son domaine d’ex- pertise, encadre des étudiantes en maîtrise et doctorat. elle participe aux activités facultaires, universitaires et professionnelles, forme les futures infirmières, stimule l’enseignement et la recherche [6]. elle est en mesure d’intervenir à tous les échelons d’un cursus, plus particulièrement aux deuxièmes et troisièmes cycles universitaires.

Ces docteures en sciences infirmières sont recherchées dans tous les secteurs d’enseigne- ment comme dans les établissements de soins.

À titre d’exemple, elles occuperont des postes de chercheure en sciences infirmières à l’hôpital et au sein de centres de recherche (directrice d’institut de centre de recherche, d’un établis- sement de santé ou d’un organisme national en santé), d’expert-conseil auprès d’organismes internationaux de santé, de rédactrice en chef d’une revue savante, de coordonnatrice d’une équipe de recherche au sein d’un organisme gou- vernemental, de professionnelle de la recherche en services communautaires ou hospitaliers et de coordonnatrice de la recherche en centre hospitalier ou communautaire.

L’

économie du savoir en santé commande des diplômées des cycles supérieurs en sciences infirmières. Les organismes de soins canadiens exigent un savoir infirmier avancé – diplômes de cycle supérieur, et tout particulièrement la maîtrise – dans la mesure où celles-ci postulent à un poste important au sein du système hospitalier ou communautaire de santé.

La maîtrise n’est plus seulement perçue comme un parcours menant au doctorat : elle permet l’acquisition d’un emploi de catégorie supérieure dans le domaine de la santé. Ce diplôme suscite une demande accrue sur le marché du travail.

Dès la fin de leurs études de maîtrise, 80 % des diplômées infirmières ont connu une promotion dans leur emploi [11].

nos systèmes de santé sont face à un très fort besoin d’experts infirmiers en clinique, édu- cation, administration et science. Ces experts contribuent au développement de la pratique en

sciences infirmières autant qu’à la gestion de ces systèmes. Forts de leur expertise, ils ont ainsi l’opportunité de se doter de moyens novateurs, à même de mieux répondre aux besoins et d’aider

à relever les défis. n

Le doctorat en sciences infirmières prépare l’infirmière spécialiste aux fonctions de chercheure autonome ou de professeure-

chercheure au sein d’un corps professoral.

RéFéRenCeS

[1] Jospin L., Lang J., Fabius L., Guigou E., Richard A., Gayssot J.-C., Tasca C., Patriat F., Buffet M.-G., Schwartzenber R.-G., Kouchner B., Pierret C., décret n° 2002-480 du 8 avril 2002 modifiant le décret n° 99-747 du 30 août 1999 relatif à la création du grade de mastaire et le décret n° 2001-295 du 4 avril 2001 portant création de la commission d’évaluation des formations et diplômes de gestion, gouvernement français, 2002.

Jospin L., Lang J., Fabius L., Guigou E., Vaillant D., Richard A., Gayssot J.-C., Tasca C., Patriat F., Buffet M.-G., Schwartzenber R.-G., Kouchner B., Pierret C., Paul C., décret n° 2002-481 du 8 avril 2002 relatif aux grades et titres universitaires et aux diplômes nationaux, gouvernement français, 2002.

[2] Jospin L., Lang J., Fabius L., Guigou E., Vaillant D., Richard A., Gayssot J.-C., Tasca C., Patriat F., Buffet M.-G., Schwartzenber R.-G., Kouchner B., Pierret C., Paul C., décret n° 2002-482 du 8 avril 2002 portant application au système français d’enseignement supérieur de la construction de l’Espace européen de l’enseignement supérieur, gouvernement français, 2002.

[3] Infirmiers.com. Ouverture d’un master de pratiques avancées en soins infirmiers http://www.infirmiers.com/actualites/actualites/ouverture-d-un- master-de-pratiques-avancees-en-soins-infirmiers.html le 14 mars 2013.

[4] Association des infirmières et infirmiers du Canada, Cadre de pratique des infirmières et infirmiers au Canada, 2007. http://www2.cna-aiic.ca/CNA/

documents/pdf/publications/RN_Framework_Practice_2007_f.pdf [5] Houser J., “Nursing Research: Reading, Using and Creating Evidence”, Jones and Bartlett Publishers, Inc., 2008.

[6] Gaslin T.C., “Nursing faculty recruitment: the impact of applicant characteristics and job facets on applicant rating of the job”, Dissertation.

University of Kentucky, 2007.

[7] Association des infirmières et infirmiers du Canada, Pratique infirmière avancée : un cadre national, AIIC document, 2008. http://www2.cna-aiic.ca/CNA/

documents/pdf/publications/ANP_National_Framework_f.pdf

[8] Kozier B., Erb G., Berman A., Snyder S., Soins infirmiers : théorie et pratique, Saint-Laurent, QC, Éditions du Renouveau pédagogique, 2010.

[9] Ordre des infirmières et infirmiers de l’Ontario (OIIO), Normes d’exercice.

Infirmière praticienne, 2011.

[10] Radzyminski S., “Advances in gradu ate nursing education: Beyond the avanced practice nurse.”, Journal of Professional Nursing, 21, 2, 119–125, 2005.

[11] Drennen J., “Professional and academic destination of masters in nursing graduates: A national survey”, Nurse Education Today, 2008, 28, 751–759.

RevUe hospitaLière De FRAnCe # 559 Juillet - Août 2014 25

w w w . r e v u e - h o s p i t A l i e r e . f r

Références

Documents relatifs

[r]

Plus l’organisation est centralisée et plus les décisions sont prises à des niveaux élevés Plus l’organisation est centralisée et plus les. décisions sont prises à des

Les étudiant-e-s formulent deux questions de recherche précises (selon la méthode PICO/PICo), effectuent une recherche d’articles dans des bases de données

Une fois que vous aurez sélectionné les usagers qui vous inté- ressent, il vous suffit de cliquer sur le bouton « Suivre  », et vous pourrez commencer à lire leurs gazouillis dans

Les infirmières praticiennes peuvent aussi se pencher sur l’expé- rience acquise au cours de la démarche de recherche ou dans le cadre de leur pratique clinique pour ensuite publier

Les normes de pratique et les com- pétences des infirmières généralistes, spécialisées et de pratique avancée de l’Association canadienne des infirmières en oncologie

Certains mentorés ont poursuivi des objectifs particuliers comme l’acqui- sition de compétences en recherche et en communication afin de faire des présentations dans des congrès

Si des difficultés attachées à l’usage de nouvelles méthodes de recherche se posent, c’est que les juristes n’y sont pas formés, mais que la tension de