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Progressions les plus connues

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Academic year: 2022

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Progressions les plus connues

La progression arithmétique

C’est une suite de nombres appelés termes tels que chacun d’eux est égal au précédent augmente d’un nombre constant que l’on appelle la raison.

Si la raison est positive les termes vont en augmentant ; on dit que la progression est croissante. ; Ex : 1, 3, 5, 7, 9, 11, 13, 15, (la raison est + 2)

Si la raison est négative les termes vont en diminuant ; on dit que la progression est décroissante ; Ex : 12, 10, 8, 6, 4, 2, …. (la raison est - 2)

La progression géométrique

C’est une suite de nombres appelés termes tels que chacun d’eux est égal au précédent multiplie par un nombre estime appelé raison

La plus connue est la progression géométrique croissante de raison + 2 Ex : 1, 2, 4, 8, 16, 32,

On l’appelle aussi grande martingale (voir plus bas).

Montantes en pertes

De très nombreux joueurs font appel à des méthodes basées sur une progression en perte. Ces méthodes prévoient toutes d’augmenter la mise après chaque perte et de la diminuer après chaque gain. Le principe de ces montantes est en fait la possibilité de toucher des sommes supérieures et d’en perdre des inférieures.

Les défenseurs de ces méthodes estiment qu’on ne perd pas indéfiniment.

Donc, en augmentant après chaque perte, dès le premier gain on encaissera une somme supérieure à celle perdue précédemment.

A l’inverse comme on ne gagne pas non plus indéfiniment, a la première perte suivant un ou plusieurs gains, la mise sera à son minimum.

La grande martingale

C’est la « méthode » la plus connue et malheureusement ((j’expliquerai pourquoi ultérieurement) la plus jouée par les néophytes et les débutants.

Le principe est simple ; il consiste à doubler sa mise après chaque perte. Dès que survient un coup gagnant la totalité du déficit antérieur se trouve résorbé et le bénéfice net se monte toujours à une unité de gain.

Exemple : 1 ; 2 ; 4 ; 8 ; 16 ; 32….

La martingale américaine

Même principe que la grande martingale à la différence près que l’on augmente d’une unité de mise après chaque perte. Comme cela, on gagne autant de pièces que le nombre de coups attaques aura durer.

Exemple : 1 ; 1 + 2 = 3 ; 3 + 4 = 7 ; 7 + 8 = 15 ; 15 + 16 = 31 ; 31 + 32 = 63 ; 63 + 64 = 127 ....

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La progression d’Alembert

Le principe de cette progression est qu’après un coup perdant on augmente d’une mise et après un gain, on diminue d’une mise jusqu’à l’obtention d’un bénéfice.

Cette progression est dangereuse car en cas de gros écarts les mises à poser s’amplifient.

Mais il existe des variantes a la d’Alembert avec en particulier la d’Alembert restreinte.

La d’Alembert restreinte

Le principe de base est le même ; mais la mise ne sera pas augmentée après chaque perte mais seulement après un écart 5, soit un déficit de 5 pièces.

De même la mise ne sera diminuée qu’après un écart de 5 en gain. Le jeu est stoppe dès le retour à l’équilibre.

Avec cette variante, une longue série de pertes en début de parties peut être supportée relativement facilement.

La progression Wells

Il s’agit d’une autre variante de la d’Alembert qui constitue une amélioration de cette dernière.

Elle consiste à commencer la partie avec une mise de 10 pièces, mise que l’on augmente d’une unité après chaque perte, mais sans dépasser l’écart 19. Cet écart atteint, on repart avec une mise de 10 pièces. En revanche après chaque gain la mise est diminuée d’une unité

Malgré l’amélioration apportée par cette montante, tout danger n’est pas écarté pour autant. En effet la mise la plus élevée (19 pièces) représente une mise totale de 154 pièces ( 10 + 11 + 12 + 13 + 14 + 15 + 16 + 17 + 18 + 19 = 154 ).

La progression Wells en différentiel

La différentielle consiste à miser fictivement sur deux chances opposées en appliquant une progression choisie mais en ne posant sur le tapis que la différence des mises de ces deux jeux fictifs. La progression Wells en différentiel est nettement plus avantageuse que la Wells normale car elle demande des mises moins importantes.

La progression belge

C’est encore une variante de la d’Alembert.

Elle s’applique de la même façon que cette dernière ;

Augmentation d’une unité de mise après une perte et diminution d’une unité de mise après un gain.

Mais à cette différence près : après chaque coup gagnant on tente le paroli (voir plus loin) sur le coup suivant.

S’il est gagnant mais que l’on n’est pas encore bénéficiaire, on continue la progression avec diminution de la mise d’une unité. S’il est perdant la mise est augmentée d’une pièce.

Les montantes à paliers

Les montantes a paliers sont des progressions très lentes qui consistent à conserver la même mise durant un certain nombre de coups après lesquels elles sont augmentées d’une unité.

Exemple :

1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1. 7 coups de mise à 1 unité de mise. Si pas de bénéfice on continue 7 coups a 2 unités de mise.

2 ; 2 ; 2 ; 2 ; 2 ; 2 ; 2. Si pas de bénéfice on continue 7 coups a 3 unités de mise. Etc…

On peut décliner ce système de plusieurs façons.

Par exemple :

1 ; 2 ; 2 ; 3 ; 3 ; 3 ; 4 ; 4 ; 4 ; 4 ; 5 ; 5 ; 5 ; 5 ; 5 ; 6 ; 6 ; 6 ; 6 ; 6 ; 6 ; 7 ; 7 ; 7 ; 7 ; 7 ; 7 ;7.

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La montante américaine

Cette méthode est basée sur un principe simple et a première vue séduisant : l’annulation de deux coups de pertes par un seul coup de gains.

De plus, elle permet au joueur de décider du nombre de pièces qu’il désire gagner en une partie.

Si l’on recherche un gain de 6 pièces, on note sur un carnet les chiffres suivants : 1 ; 2 ; 3 (car 1 + 2 + 3 = 6).

Ensuite, on mise sur la chance choisie la somme du premier et du dernier chiffre inscrit. Ici : 1 + 3, soit 4 unités de mise.

En cas de gain, on barre les chiffre 1 et 3 et on recommence

Avec le chiffre restant, à savoir le 2. Si le gain se produit à cet instant, le bénéfice net est bien de 6 pièces.

En cas de perte, on note a la dernière place la mise perdue et on recommence le principe jusqu’à épuisement des chiffres inscrits.

Mais, attention, cette montante est dangereuse en cas de gros écarts ...

La progression Fibonacci

La technique de cette montante est très simple et son application peut produire de bons résultats.

Néanmoins la prudence recommande (et ce conseil est valable dans la pratique de toutes les progressions en perte) de ne jouer que durant un temps relativement restreint.

En effet toutes les méthodes basées sur le principe de l’augmentation des enjeux après une perte

produisent régulièrement de petits gains, puis, lorsque les écarts s’amplifient, le déficit qu’ils provoquent est sans comparaison aucune avec les légers bénéfices précédemment obtenus.

Principe de la progression Fibonacci : on mise 1 pièce ; en cas de gain on encaisse. Sinon, on mise 2 pièces. En cas de nouvelles pertes, on mise la somme des deux dernières mises perdues. A savoir ici 1 + 2

= 3.

Voici les premiers termes successifs de la montante : 1 ; 2 ; 3 ; 5 ; 8 ; 13 ; 21 ; 34 ; 55 ; 89 ; 144 …

On le voit de suite les mises augmentent de façon rapide ; on stoppe la partie des qu’un bénéfice apparait.

Les parolis

Le paroli est le contraire de la martingale dans ce sens que le joueur ne double sa mise qu’après un coup gagnant.

Ici, c’est le joueur qui force l’opérateur de jeu à employer une martingale contre lui.

Il est bien évident que ce passage avec l’argent de l’opérateur de jeu est avantageux quand le joueur tombe sur la série qu’il cherche ou sur plusieurs coups de gains suivis.

Le paroli peut être de deux, trois, quatre, cinq termes, ou plus.

Bien entendu, moins longtemps on « laisse porter » sa mise, plus la chance est grande de gagner et de retirer un bénéfice avec la mise initiale.

Il est plus facile de trouver un paroli de deux termes (coup de deux) et coup de deux et plus (deux sorties ou plus favorables) qu’un paroli de six et plus (six sorties ou plus favorables) .

Mais le paroli ne se joue pas uniquement sur la série et on peut chercher par exemple plusieurs coups de gains suivis sur

L’intermittence, l’avant dernière ou toute autre attaque.

Il y a trois sortes de parolis :

Le paroli simple qui consiste après un gain a laisser porter jusqu’au bénéfice que l’on s’est fixe.

Le paroli masse en avant qui consiste à doubler la mise initiale après le premier coup de gain. Exemple : après une mise de 50 € gagnée le joueur pose sur le tapis, pour le second coup, son gain de 50 € (sa mise initiale de 50 € + son gain de 50 € (jeu sur chance simple à la roulette) et une seconde mise de 100 €, ce qui fait au total 200 € misés.

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Le paroli masse en arrière qui consiste à retirer sa mise après le paiement et à laisser porter seulement le bénéfice.

Les montantes en gains

Le principe des montantes en gain est séduisant : il consiste en quelque sorte à forcer la banque (le bookmaker) a jouer la martingale choisie par le joueur.

Comment ? C’est simple.

Une montante en perte produit généralement de petits gains réguliers. Puis survient la série contraire et c’est le saut.

En quelques coups, le bénéfice accumule en plusieurs jours s’évapore souvent accompagne d’un capital non négligeable.

Le joueur de martingale qui insiste sur rouge alors qu’il se trouve devant une longue série de noir se verra rapidement ruine ou, même si son capital est suffisant pour lui permettre de doubler ses enjeux, se trouvera arrête par le plafond impose. D’où des pertes importantes et irrécupérables.

Les montantes en gain tentent de faire jouer ce rôle de « pigeon » a l’opérateur de jeu lui-même.

Pourquoi ?

Parce que si les progressions en perte produisent habituellement de petits bénéfices réguliers, ;

notamment à chaque retour à l’équilibre, comme dans la d’Alembert, elles finissent tôt ou tard par une perte importantes des que survient la mauvaise série ; les montantes en gain au contraire entrainent de nombreuses petites pertes régulières jusqu’à l’apparition d’une série portant sur la couleur jouée.

Ce sera alors la banque (le bookmaker) elle-même, se conduisant comme un joueur de martingale, qui s’acharnera contre une suite défavorable.

La montante en gain sur paroli

Cette méthode a pour but d’améliorer le rendement d’un paroli réussi.

Prenons le cas d’un paroli de quatre réussi. Sur une chance simple de la roulette, les gains seront consécutivement de 1 , 2 , 4 et 8 unités, soit 16 unités, donc un bénéfice net de + 15.

La montante en gain sur paroli consiste simplement à ajouter une pièce à chaque mise.

Cette méthode présente l’avantage de pouvoir en quelque sorte gagner un terme sur le paroli normal Exemple avec des cotes de 1.91 (pari sportif ou hippique, par exemple)

Paroli normal : mise 1 gain = 1.91 mise 1.91 gain = 3.65 mise 3.65 gain = 6.97 mise 6.97 gain = 13.31

Paroli avec montante en gain : Mise 1 gain = 1.91

Mise 1.91 + 1 gain = 5.56 mise 5.56+1 gain = 12.53 mise 12.53+1 gain = 25.84

Certains bookmakers proposent des cotes sur les under/over avec des cotes de 1.96/1.96 ce qui est très intéressant

Dans ce cas voici les rapports : Mise 1 gain = 1.96

1.96 gain = 3.84 3.84 gain = 7.52 7.52 gain = 14.73

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Ou sinon avec la montante en gain : Mise 1 gain = 1.96

1.96+1 gain = 5.80 5.80+1 gain = 13.32 13.32+1 gain = 28.06

La progression contre d’Alembert

Le mécanisme de cette progression est exactement l’inverse de celui de la d’Alembert normale.

Il consiste à augmenter sa mise d’une unité après chaque gain et à la diminuer d’autant après chaque perte.

L’application de cette méthode sera bien sur favorable lors d’un écart positif en faveur de la chance jouée, surtout lorsque des répétitions de cette même chance se produisent.

En cas de l’égalité des chances, le résultat dépendra de l’ordre de sortie de ces dernières.

En fait, l’expérience montre que cette progression entraine de petites pertes régulières. Mais après une série favorable, les gains générés prendront rapidement de l’importance.

Elle permet également de résister en limitant les dégâts causés par une longue série adverse.

La progression contre labouchère (ou contre américaine)

Cette méthode fut mise en pratique par un nomme Norman Leigh (treize contre la banque). Il s’est rendu compte qu’en misant sur une seule chance simple pendant douze heures par jour, un joueur perdait en moyenne pendant cinq jours avant de rencontrer une série gagnante.

Il en déduisit que lorsque 6 joueurs misaient simultanément sur les 6 chances simples, une fois par jour un de ces joueurs devait tomber sur une forte série produisant un bénéfice autrement plus important que les pertes cumulées par ses cinq compagnons. Il recruta alors une équipe de douze personnes qui couvraient, par rotations de six heures chacune, les six chances simples à une même table. Ce « syndicat

» gagna au siècle dernier, plus de 800 000 francs au casino municipal de Nice.

La direction leur interdit alors l’accès à la salle de jeux.

La montante contre américaine applique les même bases que l’américaine normale (on mise la somme des deux chiffres extrêmes).

Mais cet enjeu est place après chaque coup gagnant tandis qu’après une perte on biffe ces deux chiffres extrêmes et l’on joue les suivants figurant sur la feuille de jeu.

On commence par placer une unité sur la chance choisie et l’on joue a masse égale jusqu’à l'apparition du premier gain.

On ne comptabilise pas les quelques pièces éventuellement perdues durant cette première phase.

La progression contre Wells

On l’aura deviné, il s’agit du jeu contraire à la montante Wells : augmentation de la mise d’une unité après un gain, diminution d’une unité après une perte. Une différence cependant, on démarre avec 5 unités et on ne dépasse pas 9 pièces après un gain.

Cette progression présente quelque danger et que seul un important écart en faveur de la chance jouée produira un bénéfice, lequel sera alors relativement élevé.

La contre Wells présente moins de risques, mais son rendement est un peu inférieur à la montante Wells normale.

La progression contre Wells en différentiel

Cette montante pourtant fort peu usitée offre la possibilité de réaliser parfois d’importants bénéfices.

Elle s’applique de la même façon que la Wells en différentiel.

On imagine deux joueurs fictifs qui joueraient la contre Wells, l’un basant son attaque sur rouge, l’autre sur noir.

Leur mise de départ cependant serait de 10 unités (comme dans la Wells normale) et non pas de 5

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(comme dans la contre Wells).

Cette montante recherche avant tout le déséquilibre, plus l’écart entre les deux chances choisies

augmente, plus important devient le gain. Pour cette raison on ne prolongera pas le jeu indéfiniment, car un retour vers l’équilibre, après un écart important, diminuera d’autant le bénéfice ou même pourra entrainer une perte.

Le jeu sera donc clos après l’obtention d’un gain que l’on aura préalablement déterminé.

Cette liste de montante en gains est non exhaustive. Il y a encore d’autres montante ou d’autre façons de miser mais j’ai voulu ici rassembler les plus connus et les plus performantes.

Leur utilisation doit tenir compte des cotes jouées. Il n’est pas conseillé d’utiliser les montantes avec des cotes inferieures a 1.8 ou 2.0.

Leur objectif ne serait pas respecter du fait des rapports.

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