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Tous aux urnes dimanche, aidez trois jeunes lions patriotes à gagner!

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Academic year: 2022

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Tous aux urnes dimanche, aidez trois jeunes lions patriotes à gagner !

TOUS AUX URNES DIMANCHE 15 mars 2020

NOS JEUNES LIONS & LIONNES VOUS ATTENDENT de PIED FERME

C’est une jeunesse d’horizons divers, mais elle s’implique à

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fond. Qu’elle vienne du monde ouvrier, artisan ou col blanc, elle est prête à monter au combat seule en tête de liste ou, comme à Carpentras, avec un général qui bouscule la torpeur des notables bedonnants en donnant un coup de jeune à la politique locale. Cette jeunesse ne cherche pas à faire carrière comme les énarques ou les petits-bourgeois qui s’agitent à Paris, mais elle veut SERVIR. Servir la France et servir ses concitoyens.

Ces jeunes savent que l’enjeu des élections est de rassembler à droite, conquérir le maximum de municipalités, créer un maillage local, installer des bases fortes dans des villes françaises qui le plus souvent ont perdu de leur vitalité.

Les municipalités de gauche ont toutes pratiqué l’étalement urbain qui a eu pour conséquence la désertification des centres-villes. Des centres commerciaux s’étalent en périphérie des villes et dévorent désormais des paysages ruraux. Et des zones pavillonnaires se construisent en pleins champs et rattrapent les zones commerciales.

Où est l’écologie dans tout cela ? : des terres agricoles perdues, des distances plus grandes à parcourir, un enlaidissement des zones rurales, sans oublier la perte de lien social dans ces déserts semi-urbains où toute vie culturelle est inexistante.

Les grands centres commerciaux sont amenés à réduire la voilure du fait de l’e-commerce.

Alors préparons demain, revenons à l’humain, à l’histoire, à notre architecture d’antan toujours fascinante. Il est temps de redonner vie aux bâtiments, aux cafés et restaurants typiques ou boutiques à taille humaine, artistiques et créatives qui jalonnent les ruelles de nos communes, bourgs, bourgades et centres urbains délaissés.

Redonnons vie aux cœurs de nos villes dont la beauté époustouflante fait encore et toujours l’étonnement des

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visiteurs.

DEMAIN BAT dans le CŒUR de NOS VILLES.

NOS JEUNES LIONS & LIONNES pour la FRANCE sont PRÊTS à AGIR.

Nancy VERDIER

Jean-Yves LEANDRI présente : Coline HOUSSAYS, la conquérante

« Force et Fidélité »

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Bercée en été par le chant des cigales, frileuse en hiver sous le souffle du mistral, Lorgues aurait pu inspirer Marcel Pagnol, mais c’est Émile Zola qui campera son roman, dans « La fortune des Rougon-Macquart », dans cette bourgade de Haute- Provence au riche passé historique, nichée aux pieds de la colline Saint-Ferréol.

C’est Lorgues qu’a choisi Coline Houssays pour voir le jour il y a un peu plus de vingt ans. Un sourire doux comme les fleurs de mimosa, un regard assuré et une attitude volontaire traduisent le tempérament vif de cette brillante étudiante en troisième année de Sciences politiques, management public et gouvernance territoriale

Elle a 14 ans lorsqu’elle assiste pour la première fois à un meeting politique. C’est celui de Nicolas Sarkozy qui tente d’enchaîner sur un second mandat. D’abord séduite par le discours du personnage, elle analyse l’écart que marque son parcours présidentiel au regard de ses engagements pris devant les Français. Comment peut-on proclamer « La France forte » alors que l’on se soumet aux diktats de l’UE et que l’on demeure passif devant l’émiettement de la Nation ?

L’âme forte, emplie de l’amour de la France, Coline Houssays ne peut accepter d’assister à cette dilution progressive de notre pays. Elle porte en elle une part de l’héritage de Lorgues, village fondé par les Ligures, puis les Romains, qui a vu s’installer une commanderie templière au XIIe siècle, qui a résisté à l’assaut des Sarrasins, qui a connu les affrontements en razats et carcistes lors des guerres de religion. Lorgues, fidèle au comté de Provence au XIVe siècle et à Napoléon III, décorée de la croix de guerre pour son comportement au cours de la Deuxième Guerre mondiale.

Dès l’âge de 15 ans, Coline prend conscience que la jeunesse française a le devoir de se mobiliser et de s’engager au service de la France, de sauvegarder son identité, de lui

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rendre sa grandeur et un rôle de premier plan sur la scène internationale. Elle fait l’amer constat que la classe politique, parisianiste, accaparée par ses luttes intestines, a délaissé les jeunes patriotes, juste bons à être utilisés l’espace d’une campagne électorale et aussitôt oubliés. C’est après avoir assisté à une réunion du Front National à Marseille qu’elle décide d’adhérer à ce parti qui s’ouvre aux jeunes patriotes et prend en considération leurs attentes.

Dès lors, Coline Houssays s’implique dans toutes les campagnes électorales qui s’enchaînent et, au 16e congrès du parti à Lille, elle est élue au conseil national du RN, tout juste âgée de 19 ans.

Ce cheminement tambour battant conduit naturellement cette combattante infatigable à se lancer dans la conquête de la mairie de sa ville natale. Sa personnalité intéresse plusieurs candidats dont elle décline les sollicitations. Elle choisit de défendre ses convictions et de constituer sa liste qu’elle intitule : « Lorgues, nouvelle génération ».

Son programme, frappé au coin du bon sens, se veut pragmatique, tourné vers le renouveau de la vie politique locale, privilégiant la préférence locale, permettant à la jeunesse lorguaise de trouver sa place dans sa ville natale.

Elle propose bien sûr de favoriser la dynamique de l’emploi, de mettre en place des projets d’animations au cœur de la ville favorisant la culture et le divertissement, de relancer l’attractivité du centre-ville, de mettre en valeur les ressources végétales de la commune, de créer une coopération avec les parents d’élèves et les établissements scolaires pour mettre fin au harcèlement.

Bien sûr, comme tous les jeunes de sa génération, Coline Houssays est soucieuse de l’avenir de la planète, mais n’est pas pour autant une activiste sectaire. Elle prône une proximité auprès des administrés et notamment des jeunes pour

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développer un comportement « éco-citoyen » qui pourrait être motivé par des dispositifs contractuels telle qu’une aide à l’obtention du Bafa ou du permis de conduire.

Vingt ans ! Il y a du Bonaparte dans la personnalité de cette jeune femme. Souhaitons à Lorgues de se doter d’un maire de cette qualité.

Dorian SERVAT, le Chevau-léger

« Unitas fortitudo, dissentio fragilitas »

« L’union fait la force, la désunion nous affaiblit ». Telle est la devise de Carpentras, capitale historique du Comtat Venaissin où le pape Clément établit sa curie en 1313 avant d’être emporté par la malédiction du grand maître des templiers.

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Forte de 28 000 habitants, s’étalant sous le soleil aux pieds du mont Ventoux, Carpentras est la deuxième ville du Vaucluse.

C’est ici que vit Dorian Servat, diplômé d’une licence en droit et sciences politiques, ainsi que d’un M2 conseil en expertise en action publique de l’IEP de Toulouse.

Militant depuis 7 ans à l’UMP, devenue Les Républicains, Dorian s’est totalement impliqué dans la campagne du général Bertrand Houitte de la Chesnais. Cet ancien parachutiste et adjoint du patron de l’armée de Terre, âgé de 62 ans, s’est lancé à la conquête de la mairie avec toute la fougue légendaire des saint-cyriens : « Casoar et gants blancs » ! Depuis septembre dernier, Dorian Servat s’est engagé bénévolement et à temps plein dans la campagne municipale général de la Chesnais. Il gère toutes les tâches possibles : collage, tractage, boîtage, organisation logistique, rédaction de notes, de rapports, de fiches techniques pour le candidat.

Passionné depuis toujours par l’action politique, mais davantage encore par sa ville, Dorian apporte un regard neuf sur les stratégies à mettre en œuvre et permet, par son expérience et sa jeunesse, d’ouvrir la campagne sur d’autres moyens de communication, tels que les réseaux sociaux, les réunions dans des cyber-cafés… Disponible sans rechigner, sa force de travail lui permet d’alterner ainsi toutes les actions militantes, les plus gratifiantes comme les plus ingrates.

Pour Dorian, cette campagne revêt une valeur initiatique qui lui permettra, à l’issue du scrutin, d’accéder à la politique active par la plus belle des portes : être au service de ses concitoyens de Carpentras.

Fidèle à la devise de la ville, Bertrand de la Chesnais a intitulé sa liste : « Union pour Carpentras ». De fait, sa personnalité et son passé chargé de gloire ont su créer une dynamique d’union puisque sa liste est soutenue par le Parti

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chrétien-démocrate, le Centre national des indépendants, Les Républicains et le Rassemblement National.

« Il a le sens des responsabilités. C’est un homme de valeur.

Il a le courage de vouloir bouger les lignes en lançant une liste de rassemblement des droites. Sa candidature est une vraie chance d’alternative », confie Thierry Mariani. Pour Robert Ménard, maire de Béziers, « c’est un homme intègre et courageux qui incarne l’union des droites. Il rassemble toutes nos sensibilités dans son projet. Il demeure fidèle à ses engagements et à la ville de Carpentras. C’est quelqu’un proche des Carpentrassiens. Il fera tout pour eux ».

Un tel chef de file ne peut que motiver les jeunes patriotes à se mobiliser pour défendre les valeurs de notre nation, notamment dans les communes rurales qui ne comptent pas d’université ou d’établissement d’enseignement supérieur.

Le souhait de Dorian Servat est que les jeunes se mobilisent, s’engagent, s’impliquent dans l’action politique locale ou, au moins, soutiennent ceux qui font cette démarche. On peut aisément le comprendre lorsque l’on observe que les caciques des différents partis au pouvoir, professionnels de la politique politicienne, ne s’intéressent aux jeunes que pour les utiliser dans les tâches ingrates, le temps d’une campagne électorale quand les promesses ne coûtent rien.

Alors, pour le bien-être de Carpentras et de ses habitants, espérons que ceux-ci sauront faire le bon choix dès le 15 mars.

Kévin DIEBOLD, le lion fidèle Rassembler Erstein

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Erstein est une ville de 10 000 habitants située dans la plaine d’Alsace à 10 kilomètres du Rhin, donc de la frontière allemande. Cette cité, naguère place-forte romaine, puis disputée par les Francs et les Alamans, divise les historiens sur l’origine de son nom. « Pierre de la noble dame » pour les uns, « Pierre d’honneur » ou « Pierre en mémoire des anciens » pour d’autres.

Erstein est aussi la ville natale de Kévin Diebold, 25 ans, qui exerce la profession d’électricien mais également souhaite

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bouter hors de la mairie le maire DVG converti au macronisme qu’il désigne comme responsable de l’agonie de la ville.

Kévin est doté d’un caractère affirmé, de convictions patriotiques assumées et de cette franchise caractéristique des Alsaciens pure souche. Il est reconnu pour être fidèle comme un lion à ses amis, à sa ville, à ses convictions patriotiques. Fidèle à ce qu’il est, à sa famille, à son univers professionnel et à ceux qui lui font confiance.

Préoccupé par l’avenir de sa ville, particulièrement par celui des jeunes, Kévin Diebold a décidé de donner toute son énergie à Erstein et c’est dans cette perspective qu’il a constitué sa liste : « Rassembler Erstein ! ». Toutes les générations, toutes les professions, toutes les sensibilités sont mobilisées sur cette liste qui respire le volontarisme et le dynamisme.

« Rassembler Erstein » propose de restaurer la sécurité – quand on apprend que trois braquages ont été commis en moins de cinq mois – notamment en protégeant les abords des écoles, de lutter contre le fléau de la saleté (le centre-ville est parsemé de déchets), de végétaliser et moderniser les aires de jeux pour les enfants, de créer une maison de la Nature au Ried nord (ried : zone plate et marécageuse typique de l’Alsace), de créer des crèches familiales.

Kévin Diebold veut redynamiser cette cité sucrière (la sucrerie a été créée en 1893) autour de son identité, créer un marché couvert pour activer la production locale, restaurer le carnaval pour attiser l’économie de la ville, relancer le pouvoir d’achat, développer la proximité avec les habitants en instaurant le principe d’un référendum local pour les projets majeurs qui engagent toute la population.

Sans oublier nos amis les animaux, l’idée d’une mutuelle animalière permettrait d’améliorer la condition animale dans la ville.

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Le 15 mars, Kévin et son équipe affronteront deux listes prétendues « centristes » dont nul ne sait de quel côté elles tourneront à un moment où un autre.

Si les habitants d’Erstein ont envie de sortir leur ville de l’ornière, de garantir l’avenir de leurs jeunes, de retrouver le dynamisme économique indispensable à la renaissance de leur cité afin qu’à nouveau il y fasse bon vivre, ils feront confiance à Kévin Diebold.

Jean-Yves LEANDRI

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