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A l'Exposition des Beaux-Arts du Parc des Eaux-Vives

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Academic year: 2021

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l i A T B I B P S E P B C E M E T B d n 1 8 | | 1 P T E I 8 B B E on les fourrageait). E t pour comble de m al­

chance, il semblé quo les conserves d e porc Üout on av a it amassé de grandes quantités, n ’o n t pas été préparées d an s les règles de l’a rt, si bien que le 30 % a u m oins des ap-' provisionnem ents constitués a d û être re ­ tiré de la consom m ation e t em ployé comme graisse de char.

-i Perspectives peu consolantes e t peu ré ­ jouissantes, en vérité.

La défense du Séreth

L'envoyé du Berliner Tageblatt- sur le iront âe Galicie télégraphie à son journal les noies suivantes concernant les derniers combats dans celte région.

L a résistance des Russes su r la rivière Séreth a pris un caractère trè s sérieux qui semble un ordre d u h a u t com m andem ent do ten ir avec énergie la dernière position dt> défenso sur territo ire galicien. Comme une simple défensive n ’aurait pas suffi, les Russes firent des contre-attaques qui, d u reste-, no présentèrent que peu de danger p our l’a r ­ mée combinée d u général bavarois comte Botlimer, mais qui lni donnèrent cependant du fil à, retordre. L a ténacité do cotte contre- offensive russo est d ’autant, plus grande quo la position d u Séreth est percée su r les deux flancs e t tournée au sud p a r l’armée Pflanzer e t au uord par l’arm ée Bœlnn- Ermolli. Dans la. partie d u sud qui est encla­ vée par lo D niester et la N ieslaw des troupes autrichiennes et. bosniaques priren t to u te la rontréo jusque devant Juriam pol e t Bowo- bowka. Des hauteurs rocheuses s’élèvent à. peu près à 130 m ètres au-dessus d u Séreth, maiB elles sont surplombées de 50 m ètres environ par 1e som m et de la m ontagne près dé Bowoliowka. Les m ontagnes d u uord sont encore on possession des Russes e t servent ■ï l’cnnemi comme position de flanc pour ses têtes de po n t posées sur la riv ière -et pour scs sorties qu’il opèro depuis là.

L a prem ière do ces tê te s de po n t est la ville do Czortkow qui, en tem p s de p a is , est une ville de commerce im portante de 12.000 âmes, m ais qui n ’a m aintenant plus qu’un millier d ’h abitants, presque to u s juifs. Les hauts viaduc3 do chemin de fer sur le Séret h e t ses affluents n ’existent plus. A l’est, dej B iala Czortkow ka, les parois do rocher des gorges d u B ialy sont une protection naturelle pour l’ennemi. C’est de là qu’il s’av an cait vers Buczacz avec les groupes voisins de Trem bow la e t de Tam opol. Cette ville, construite dan3 une gorge do la S try p a e t d o n t les maisons s’élèvent en terrasses a u ­ to u r de la place dn m arché e t sous les vieux arbres de laquelle fu t signée la p a ix entre les Turcs e t les Polonais, est protégée p a r une étendue d ’eau do l’Olehowic contre les attaques russes. Après qu’ils curent repoussé les attaques ennemies, les Im p éria u x ont fortifié les hauteurs do Seredny e t H orb. Vers Czoïtkow e t Trem bow la, l’ennem i a fortifié le couvent près de B udzauo e t les hauteurs de la ville cle Jau o v / entourée p ar le S éreth nt il a construit des fortifications dans la fo- cêt de Bueyna. P ar lo fa it do renforts co n ti­ nuels arrivés à Trem bow la e t opéran t contre le centre de Formée Bot limer, il a rem porté quelques succès m om entanés.

Le 8 septem bre, sa force sem blait brisée grâeo a l’intervention énergique de la G arde -prussienne quand arriv èren t do nouveaux renforts p our les Russes sur la ligne de che­ min do fer de Wlozezyslt. Ces renforts e n trè ­ ren t en action le 10 septem bre d ev an t T rem ­ bowla e t Tam opol e t ils repoussèrent les troupes allem andes e t austro-hongroises jusqu’a u x stcppe3 do Podliajca. Là, les alliés brisèrent toutes les attaq u es russes.

Le comba{ -éc déroula changeant e t s a n ­ glant devant la tê te j£cjjsn,t de .Tam opol, dc­ . vjm t laquelle so tro u v a it lo fossé n a tu re l du -Séfèth. Les a ttaq u es de rcn n ejû i à l’ouest n ’o n t pa9 encore perdn de lotir force. Les troupes allomand.es so tro u v aien t déjà à O strow , village situé su r les bords d u Séreth, au sud do Tam opol, lorsqu’elle» fu re n t a t t a ­ quées p a r des troupes num ériquem ent supé­ rieures. Lo 9: septem bre, les adversaires qui progressaient toujours fu ren t repoussés pria à’O strow e t refoulés de l’au tre coté de la ri- rière p e n d a n t quo dev an t la ville d ’autres bataillons allem ands so défendaient contre de fortes attaq u es ennemies. Le jour suivant, les Russes arrivèrent d ev a n t les positions alle­ mandes e t leur offensive sc brisa. Ils perdi­ ren t plusieurs centaines do m orts. Mais m al­ - gré cela, ils recom m encèrent leur a tta q u e e t réussirent à p én étrer dans nos positions. Un com bat à l’arm e blanche s’engagea dans nos tranchées. V oyant le danger, le com m andant allem and envoya des troupes s u r les flancs des ennemis. Lfts Russes se tro u v a n t en tre d eu x feux p riren t alors la fuite. Cependant, d ’autres forces russes avancèrent depuis le sud de T am opol pour prendre, à leur, tour, uos troupes p ar le flanc, mais elles fu ren t re­ poussées. ■

Plus au nord, l’arm ée de Bœhm -Erm olli Opère dans les bras d u M yodygory, dans les aays m ontagneux de K rem enetz. U n batail- on de chassenrs atteig n it, malgré le feu enne­ mi, à l’est du D oubno, la rive orientale do l’Ikw a. D evant R ow no, les com bats conti­ nuent su r la rivière Stoubel. L a cavalerie iiustro-hongroise netto ie la p artie sud d e la foliésie do tontes les patrouilles ennemies.

CHRONIQUE LOCALE

— A u Petit-Saconn ex.

D im anche, dans la cam pagne Bcrtliet-, grande fête populaire, organiséo p ar des m em bres de l’U nion foraine do la Suisse rom ande. Balançoires, tir, carrousel. Bal su r plancher couvert-.

— M arie Chassevant et son oeuvre

Les anciens élèves do M ie C hassevant, ses collègues d u Conservatoire e t to u s ceux qui o n t eu le privilègo de connaître cette femme de comr e t d ’esprit apprendront avec plaisir que IIm e F allcr-K naus fera uno c a u ­ serie sur sa vie e t Son œ uvre. Cette causerie sera donnée d ans la grande sallo d u Conser­ v atoire, mercredi soir, à 8 h.

Cordiale in v ita tio n à tous.

— Cours d’ élèves de P U n io n instrum entale.

L 'U nion instrum entale genevoise donnera, sous la direction de M. A uguste Teissicïy un coure d ’-élèves (solfège e t tous les in s­ tru m en ts de cuivro), q u i commencer?/ le ven­ dredi 1er octobre. Inscriptions les lundis et m ercredis, do S à 9 h. d u soir, au local, Ecole do M alagnou, e t tous les jours chez M. Louis, B ron, concierge de l’Ecole, rue d ’Italie, 13.

— O n naturalise.

Le G rand Conseil bernois vient d ’a d ­ m ettre a la n atu ralisatio n , Mme B erth e­ M athilde J a s s a ; M. F ern an d Jassa, B erli­ nois,- domiciliés à G enève; M. A ron-E rnest A dler, à G enève; M. von B a u tz e n ,-m onteur, à Genève.

—• Exp o s itio n des produits eaux-viviens.

D im anche (Jeû n e Fédéral), l 'Exposition des produits eaux-viviens e t des beaux-arts sera ouverte to u te la journée jusqu’à 10 heu- l ’cs d u soir. E n tré e 0,25 centim es d o n n an t d ro it a u tirag e do la

tombola-La guerre dans les airs

Les deux avions français, aperçu de Bûlc, ù leur retour lundi matin, vers dm heures, se sont hasardés jusqu'à V iüingtn. U n négociant suisse, en tournée cliez ses clients de, la Forêl- Noire, raconte comme su it daii3 la Nouvelle Gazette de Zurich Vattaque, d u train dans lequel il se trouvait : "

H é ta it se p t heures e t demie, lorsque dans la contréo do K lingnau, doux avions a p p a ru ­ ren t. Nous fûm es effrayés lorsquo, arrivés à h au teu r des fenêtres, les av iateu rs so m i­ r e n t à tire r sn r nous à courte distance avec leu rs mitrailleuses. L a p lu p art des voyageurs se cachèrent sous les banquettes e t cela n ’a u ­ ra it pas m anqué d ’être comique si les cir­ constances n ’av aie n t été si terribles. P o u r m on compte,_ je me renfonçai dans un coin e t jo pouvais encore voir les m onstres aériens p ar la portière. A plusieurs reprises les a v ia ­ teu rs changèrent do position, afin d ’asperger lo train des d eu x côtés. Les projectiles e n ­ tra ie n t dans le com partim ent p a r les fenê­ tres e t à trav ers les parois, e t d éjà lo sang soûlait. A ce m om ent j o u e m e sen tis plus en sûreté dans mon coin e t je q u itta i lo tr a in , ce qui mo fu t d ’a n ta n t plus faoilo quo le m éca­ nicien a v a it ralen ti l’allure, so it p a r réflexion so it p ar suito d ’une blessure. Les aviateurs, gênés sans douto p a r cette allure tro p 'le n te n e tardèrent- pas à disparaître e t jo rejoignis a pied lo convoi à Vfllfngen, où l ’on sc pro­ d iguait déjà au to u r des blessés. ‘

Un enfant a u ra it été tu é e t n eu f personnes blessées. P our faire usage de leur mitrailleuse, les aviateurs o n t d û descendre ju sq u ’à, la h au teu r des arbres do la forêt voisine.

A D onauesehingcn, lions apprîm es que n u it bombes av aie n t été lancées s u r la ville. Uno seule d ’e n tre elles occasionna do sérieux dégâts en to m b an t su r une maison d ’h a b ita ­ tion d o n t les plafonds fu ren t traversés de p art en p a rt. Un com m encem ent d ’incendie qui s é ta it déclaré, fu t prom ptem ent éteint, les locataires é ta n t absents, il n ’y a pas en l ’accident de personnes... » ‘

IL Y A J J N A N

. 1 8 septembre

Lo front allem and e st renforcé par l’a rr i­ vée de troupes prélevées on Lorraino.

Les Russes pren n en t Sandom ir.

A Imposition des Beaux-Arts

flti Parc des Eaux-Vives

- 1 ■ )

' 1 ■ j

Le 2 septem bre s’est ouverte l’Exposition des B eaux-A rts a u bénéfice des rouvres de bienfaisance do la. comm une des Eaux-V ives.

Trois salles d u . château ont été mises- à la disposition des organisateurs' qui ont réalisé un; ensem ble trè s réussi en nous p ré­ sen tan t des œuvres 'd’tm groupe d ’artistes des Eaux-V ives.

D aus le salon principal, les toiles heureuse­ m ent disposées su r une étoffe discrète s’h a r­ m onisent avec des coussins e t paravents.

H odler expose tro is belles toiles.

Le portrait- dn commissaire V ibert et deux paysages do Montagne, quo lo public a eu e t a u ra l’occasion cf.’adm irer gran d e­ m ent.

D ans la même salle, au-dessus de la che­ minée, une a u tre belle toile de Maurice B a u d ,. l’a rtiste qui v ien t do disparaître en nous laissant quelques œ uvres de même v aleur que ce Jardin de. Rodin e t les deux gravures de Menn e t de Beethoven.

D ’A lexandre Cingria, nous avons rem ar­ qué deux projets de v itra u x d ’une belle ordonnance e t d ’u n coloris saisissant e t nous espérons avoir b ien tô t lo plaisir de les voir exécutés, comme les nouveaux v i­ tra u x de N o tre-D am e,. que nou3 avons eu déjà l’occasion d ’adm irer s u r place.

P uis, d u môme peintre, une composition trè s synthétique, Le Château des Alliés. P a r sa faculté d ’im agination, c e t a rtiste occupe une place à p a rt parm i les peintres do chez nous.

A. Cacheux a envoyé trois toiles des plus intéressantes, le p e tit p o rtra it, entre autres, arrête particulièrem ent l’a tte n tio n d u visi­ teur. ...

_ P lu s loin, un groupe d ’aquarelles d ’un jeune peintre, J . G raz, a u teu r des affiches placardées su r les m urs de no tre ville.

A. Sandos expose u n Calvaire de Ca­ m argue, d o n t la coloration un peu violente révèle cependant le caractère réel de ce coin de Provence, si près des tonalités italiennes ; deux au tres petites toiles, dont l’une spécialem ent, Les Dahlias e st pleine de charm e.

Ce que nous voulions aussi signaler to u t spécialem ent, c’est l’ensemble de Mme Lassieur-Sandoz. C ette a rtiste ’ m et sa sen­ sibilité trè s particulière dans des œuvres d ’a r t de caractère assez différent : brode rie, huile, pastel. Quelques coussins, dont d eu x to u t à fa it réussis, a ttire n t to u t de suito l’atten tio n . D ans ceux-ci, les formes e t couleurs d ’une qualité rare sont ingénieu sèm ent disposées su r les surfaces mômes qu’elles ont. à décorer. Cs mémo souci se retrouve dans lo p arav en t, d o n t les trois panneaux, brodés d ans une gam m e do rose e t do v e rt, affirm ent e t enrichissent l’ar- cliitccture d u meuble. N ous voyons les mêmes qualités décoratives dans les pastels

exposés. '

Le second salon, que nous appellerons le <i Salon gris », nous m ontre les envois de G. de Beaumont-, quelques toiles heureuse­ m ent colorées cependont, de M. M ettaiû, plusieurs autres toiles do n t la richesse des cadres s’impose e t quelques jolies images aquarellées de M. Elzingre.

Il nous reste à parler encore de quelques œ uvres de sculpture. Une Rêverie de M, Polier e t su rto u t des envois im p o rtan ts de Mme M ettain-G illiard, qui expose trois grandes figures d ’une architecture très

rem arquable. ■

C ette exposition ferm era ses portes à la fin de septem bre ; elle mérite une visite a tte n ­ tive.

B . A .

Association des maraîchers de Genève

L ’assem blée-esposition a été fréquentée p a r de nom breux visiteurs. L a grande salle do la Brasserie des Acacias prÔ3 d u po n t d ’A rve, é ta it om ée do superbes collections de légumes d o n t la b eauté e t la qualité surpassent tous les légumes qui nous vien­ n e n t d u dehors. Nos m araîchers o n t accom­ pli depuis quelques années de grands p ro ­ grès dans leurs cultures e t le choix des v a ­ riétés. L ’Ecole d ’horticulture de Châtelaine a p p o rta it d eu x - nouveautés inédites et m éritantes : L a to m a te « des Alliés n e t la to m ate « J o ffre », qui o n t été très rem ar­ quées.. M. H enri Gevey, à A rare, présen tait 58 variétés de prem ier choix e t 30 variétés de fruits. M. Léon P alluat, à la Rippaî; près Cologny, 30 variétés m éritantes. Citons e n ­ core les lots de M. Joseph Dechevilly, au x Charmilles, Eugène Blondin, à Bardonnex, F rançais fc'axoud, & Saconnex-d’Arve, etc.

11 e st passé à la lecture du ra p p o rt de la réunion des Sociétés d ’horticulture do la Suisse rom ande, à L ausanne, ot M. Edouard R ey présente le ra p p o rt d u ju ry pour le g ran d concours m araîcher du 6 septem bre d ernier, d ans les comm unes do P)an-Ics- O uates, B ardonnex e t Perly-Certoux, il com­ p ren ait 27 jardins, d ’imo superficie totale de 168.000 m ètres carrés.

Voici les résu ltats do cct im p o rtan t con­ cours » Jard in p situés à Plan-lcs-Ouates, A rare e t Perly-C ertoux.

Première catégorie spéciale ; Jard in s de 10.000 à 21.000 m ètres carrés. Maximum des points : 20.

J u r y ; MM. A ndré Carrel, à la Praillc, E douard R ey, à Genève, Charles B ertrand, à la Prnille, e t Eugène D éperraz, à Carouge.

O n t obtenu : MM. François Chappuis, m araîcher, à A rare, points ; 20, aveo félicita­ tions du ju r y ; Jean -P ierre D ubouehot, à Plan-les-Ouatcs, p. 18; Louis M athieu, à Certoux, p. 17; H enri Ccvoy, à A rare,

p. 10 1/2. J

Deuxième catégorie : Ja rd in s au-dessous de 10.000 m ètres carrés. JIM. P. Magnin, à Arare, points : 13; Jolin G enccand, p. 12 */2 ; E tie n n * Degprez, à Pfem-les-Ouates, p. 12;

François Cowr, p. 10; C. Blanc, à Arare,. p. 0 y 2; Charles Charbonnier, p. 0 y 2; Joseph H ottelicr, à Perly, p. 8 A lbert H otte-- lier, à Certoux, p. 8 ; Marc Charbonnier, p. 7; Duehosal, à C ertoux, p. 7 ; Soudan, à Cer- toux, p. G.

Ja rd in s situés à Saconnex-d’Arve, Croîx- de-Rozon, B ardonnex e t Landccy.

J u r y : MM. F rançois D elavy, au G rand- Laney, Joseph D echevilly, a u x Charmilles, F rançois Chaffard, a u P etit-L an ey e t Mosco K atzarkoff, a u x Acacias.

O nt obtenu : 3IM. Jean Moriaud, à Sa-. connex-d’Avve, p o in ts : 12; Joseph Fontaine, p. 11; M aurice V achous, à C harrot, p. 10 Paum e, à Croix-de-Rozon, p. 10; François Saxoud, à Saeonnes-d’Arve, p. 10; P h ilib ert Thabuis, p. 0 yz ; H u m b ert M armet, p. 9 ; E ugène Blondin., à Charrot-, p. 8 % ; E. Bar-! th assat, p. 8 ; Alfred B arth assat, à Land.e-' ey, p. 7; F rançois L acrsz, à Saconnex-d’Ar- ve, p. 6 ; François D u rci, à B ardoünex, p. 4. Lo ju ry a constaté la grande proproté dés jardins, la culture en grand de légumes n o u ­ veaux, endives, fenouil, etc., d’im portantes cultures do poireaux, d ’artich au ts e t de chônx-fleurs. Il recom m ande a u x cultiva­ teurs l’emploi des petites m achinés agricoles e t dc3 engrais chim iques e t do ne pas négli­ ger la culture des porte-graines de légumes qu’il fa u t récolter e t sélectionner p our o b te­ n ir des produits supérieurs, acclim atés à n o ­ tre sol. Les con<ÉPur.s de jardins o n t lo grand avantage do pouvoir co n stater les progrès accomplis depuis quelques années e t la sélec­ tion des variétés cultivées. C’est le seul m oyen pratiq u e d ’encourager la culture m a­ raîchère de n o tre pays.

€ ® î * i * e $ p o n d a m : e

A propos de M . Gustave A d o r

. Meudon (S.-et-Oise), 12 sep1. . Monsieur le rédacteur,

A a lecture de l’article que la Tribune de Genève a consacré à la retraite de mon ém inent am i, M. G ustave Ador, article si justem ent élogieux, grande a é té m a surprise de le voir représenté comm e ..on « politicien p ru d en t e t hâbrle ?, e rreu r de plum e ou fau te do copiste sans d oute, car cette dénom ination de politicien est, pour l’heure, m dm s mie ap probation qu’u n blâme: Le term e lui-même n ’est, en aucune m a ­ nière, français, e t seul le m alheur des tem ps l’a in tro d u it dans la. langue courante. Poli ticien s ’en ten d de l’homm e qui a moins le souci des affaires publiques que des siennes propres, subordonnant, sans cesse l’in térêt gé­ néral à l’in té rê t particulier. Vous convien drez, M onsieur lo rédacteur, que to u te la vie de M. G ustave A dor est la négation même d u politicien. Aussi me perm ettrez-vous d ’écrire que M. G ustave Ador est l’un des politiques les plus p rudents e t les plus h a b i­ les non seulem ent de Genève, m ais de la Suisse, e t d ’exprim er lo souhait que p a r­ to u t les politiciens deviennent des politiques.

Veuillez croire, cte.

M F rank P U A U X

Cinquième Edition

5 heures

— Instruction publique.

L? D épartem ent de l’in stru c tio n p u b li­ que fait savoir que les inscriptions a u x cours professionnels, com m erciaux e t " industriels d u soir seront encore reçues de 6 à 8 heures le lundi 20 septembre, pour les jeunes filles et le m ardi 21 septem bre pour les jeunes gens.

— Tro is bons postes. ,

LTno inscription e st ouverte a u D ép arte­ m ent de l’in té rie u r e t de l’A griculture d u 18 au 30 septem bre pour les fonctions suivantes :

A rchitecte-hygiéniste, tra ite m e n t annuel : 0000 francs, g

T echnicien-architecte, tra ite m e n t annuel : 3200-3800 francs.

Technicien-ingénieur, tra ite m e n t annuel : 3200-3800 francs.

Les cahiers des charges peuvent être con­ sultés a u Service d ’Hygiène, quai de l’Ecole- de-Médecine, to u s les jours de 11 h. à midi.

Les inscriptions sont reçues par lettre adressée à M. le Conseiller d ’Etat. chargé du D épartem ent de l’in té rie u r, Hôtel-de-Ville.

— Catéchisme de Plainpalais.

On nous prie d ’inform er nos lecteurs que 10 catéchism e d u tem ple de Plainpalais (past-, Poulin) a u ra lieu dim anche 19 septem bre, à 11 h. l / l

— Eglise américaine

Les réparations de l’église anglaise n ’é t î n t pas term inées, cclle-ci ve s e r a pns ouverto pour le dim anche 19 comme il a v a it élé a n ­ noncé, mais, sauf nouvel avis, pour le d i­ m anche 26 courant.

— U ne nouvelle école de musique.

3ous lo nom d ’Ecole de musique de Genève, une nouvelle école pour renseignem ent d u ch a n t, solfège, piano, violon, violoncelle, flû ­ te , sera, ouverte le 1er octobre.

S’adresser à Mme M Epplé, directrice, 7, R ond-P oint do Plainpalais, oîi les inscrip­ tions sont reçues de 9 heures à midi e t do 3 heures à 5 heures.

— Société Zoologiqu e de Genève

Séance m ardi soir à 8 h. % précises, nu local, am p h ith éâtre do l’Ecole d ’Horlogerie, rue Neclcer : L ecture du procès-verbal, p ré­ sen tatio n du b ulletin; M. R . Poney : « Les m igrations des oiseaux d ’A m érique, d ’après W. C'ooke. »

— O n a arrêté ■.

Irénée C., boulanger qui a v a it frappé à coup do pied sa logeuse, Mme Vic.torine R ohrbasser, m o de Coutance, 28, e t H enri C., fribourgeois, qui dem andait l’aum ône au x p assants à Malagnou.

do to u t, c’e st qu'on fait du to r t à Genève en dim inuant notre vieux lac.

Lamouille. — A lo rs .te voilà d ’accord avec ces messieurs î .

T rim o ltU — Ouï, bien pour ça. E t même je suis plus catégorique. P as t a n t de platine, bien sû r. On n ’est pas dans les universités. Mais... '

Lamouille. — Allons, accouche.

Trimolet. — E h bien, là. je n ’approuve pas to u te s leurs idées, Ainsi, ils proposent quel­ que chose comme lo Creux-de-Genthod. Je dis quo ça no colle pas. On n ’im ite p a s le Creux. Lo Creùx, c’est le Creux. SI je te u x lo voir, jo vais le tro u v e r là où il est. Ça me chif­ fonnerait d ’en avoir une contrefaçon au x Eaux-V ives. Ça no. serait jam ais que de la cam elote. T u rigoles î

Lamouille. — T u v eu x que je pleure ? Trimolet. — E st-ce que j ’ai raison, oui ou non ? Voyons, toi qui es à la h au teu r ? . Lamouille. — Il y a d u vrai dans co que t u dis. Comme ça, t u votes contre lo projet ? 11

Trimolet.— Aussi n e t quo jo suis là. Seu­ lem ent, j’ai une peur.

Lamouiïïe. — De quoi ? . Trimolet. Que la politique s’en mêle. Lamouille. — Les p artis laissent to u te li­ b erté à leurs mem bres.

Trimolet. — J ’ai peu r quand même. Qui te dit qu’ils ne donneront p as le m ot d ’ordre en dessous. C’est tou jo u rs comme ça. Le r e ­ grettable, c’est d ’avoir mêlé’ la politique à cette affaire. Mais on la fourre p a rto u t. On sera bien avancé quand on n’au ra plus de lac.

Lamouille. — T u te fais de là bile p o u r rien. Qui est-oo qui parle do supprim er le lac ?

Trimolet. — On l’a déjà rétréci. Cent m è­ tres au jo u rd ’hui, cent m ètres dom ain, o t au bo u t d u com pte, on n ’a plu3 qu’un n a n t.

Lamouille. — T ’écroule p a s,'v ieu x . J e to dis quo le populo ne se laissera pas faire.

Trimolet. —- On verre ça dim anche. A re ­ voir. A propos, t u votes contre ?

Lamouille. — N atu r... Mais je suis pour une p etite prom enade, à l’abri des teufs-teufs.

Trimolet. — Accordé. P as tro p large, hein ? Lamouille. — On te d ira ça la prochaine fois. A revoir.

. - , L . D.

. -,

U n « citoyen do Genève, loin do Genève » nous écrit. :

« Citoyen, de Genève, avi’-nt de v o ler, re­ tourne une fois encore au bord, de ton lac, L la P rom enade dos Ma-ronniers. C’est là que ton vote p eu t susciter... a quelque chose de g ran d la . ’

Mais .va t o u t piès-de l’eau, écoute le bruit de l’eau, regarde sa couleur, m onte su r la d i­ gue jolim ent incurvée que fit. construire Charbonnet dans un m om ent d ’inspiration.

« P eu t-être penseras-tu comme le Gene­ vois qui t ’éerit qu’il est plus beau de voir ainsi le lac en face d ans to u te sa grencieur qu’en tam é p ar im quai ou vu do biais depuis ce quai. E t tu diras : '< Oui, il fau t faire g rand, mais c’est le lac qu’il fa u t fajro grand. Ne le rétrécissons pas e t respectons cette courbe de la côte qui perm et rie voir dans to u te sa gran d eu r cc quo nous avons de plus beau à

Genève. » .

A v a n t la votation

Le Conseil d ’E ta t a fixé à 31.062, dont 0238 pour la Ville, 9625 pour la rive droite e t 15.199 p o u r la rive gauche, le to ta l des électeurs autorisés à participer a u scruitn d ’au jo u rd ’hui.

On com pte notam m ent 3812 électeurs dans l’arrondissem ent 1, 2426 dans l'arrondisse­ m ent 1 bis, 2115 dans l'arrondissem ent 2, 2643 dans l’arrondissem ent 3 de la Ville ; 220 au G rand-Saconncx ; 2079 d ans l’a r ­ rondissem ent 1 e t 469 d ans l’arrondisse- m ejit 2 du Petit-Saconnex ; 2201 dans l’a- rondissem ent 1 o t 268 dans l’arrondisse­ m ent 2 de V ernier ; 398 à Versoix ; 1263 à Carouge ; 513 à Chêne-Bougeries ; 300 à Chêne-Bourg ; 3076 au x E aux-V ives 249 dans l’arrondissem ent 1 e t 417 dans l’arrondissem ent 2 de L aney ; 5994 à -P la in ­ palais e t 218 à Veyrier.

54me chasseur?,' m ort au cham p d ’hon- ncur lo 20 juillet, dans sa 40mc année. — Jcan-B aptiste Clerc, tom bé a u cham p d ’honneur, le 13 juillet 1915, dans lo Pas- de-Calais

M I L I T A I R E

Les bataillons genevois sont démobilisés

A:nsi que nous l’avons annoncé, la remise des d rap eau x du régim ent 4 s’est effectuée dans la cour de la caserne, alors que su r la plaine de Plainpalais des centaines de curieux a tte n d a ie n t depuis 10 heures du m atin.

A 11 h. 30 seulem ent, les bataillons 10 e t 13 se faisaient face dans la oour do la, caserne.

Les com m andants Bolcslas e t Rilliet- firen t exécuter quelques « portez arm e ! » puis les deux po rte-d rap eau x q u ittè re n t les rangs p en d an t que les musiques jouaient A u drapeau.

Les eniblêmes sacrés furent salués du sabre par les chefs de bataillons, puis par le lieutenant-colonel t’o Loriol, p our être ensuite rem is r,u licutenant-eoloncl Grivel, directeur de l’ai-gcnal. •

D eu x com m andem ents de « rom pez vos rangs ! a salués ô’o form idables claineaès re te n tire n t e t les fusiliers d ’élite do Genève étaien t rendus à la vie civile.

Nos soldats com ptent actuellem ent dix mois do service.

Après la conférence sur le Quai

(Dialogue authentique).

D eux auditeurs, que nous nommerons «La- mouille et Trimolet, se rencontrent devant le local.

Trimolet. Tiens, Lam ouille ! S alu t, m a vieille.

Lamouille. — J e te la serre, T u viens aussi

de... ? ,

Trimolet. — Oui, je me suis d it : D fau t voir ça. E t comme c ’est à deux pas de la boîte, tu com prends..*.' '

. . . .

Lamouille. — P ard i ! E t qu’en penses-tu ? Trimolet. — Ecoute. Le p ro jet a d u bon, m ais on ne p eu t pas l’accepter te l que. C’est pas ça, quoi !

Lamouille. — Alors ces messieurs do la con­ férence t ’o n t convaincu ?

T rim o le t..— Ah ! il n ’y a pas, ils o n t bien parlé. Ils ont l’air d ’avoir d u cœ ur. Ça m ’a

a it plaisir. Mais...

Lamouille. — Mais quoi ?

Trimolet. — J e no suis pas to u t à fa it do leur avis. P o u r co qui est de principe, d ’ac­ cord. On v eu t tro p réduire. Cent m ètres ! Est-ce qu’on est fou ? Qu’est-co qui fait la b eauté do Genèvo ? Est-ce le lac ou quoi î

Lamouille. — Pour sû r que o’est pa3 la ruo Lissignol.

Trimolet. — T u vois ! Alors, jo 110 com ­ prends pas pourquoi ils s’o bstinent à nous en couper un pareil bout. Qu’on élargisso la route, passe encore. Mais qu’on ne nous... f...te pas un quai-prom enado de cctto la r­ geur. Cc n ’est pas raisonnable. Tiens, je ne m’occupe pas do la question finance, qui a p o u rta n t sa valeur. Jo ne parlo pas non plus d u m om ent, qui no convient pas ; cette fiohue guerre nous m ange d éjà assez les sangs. L ’es- eatie) u ’est pas là ; le fond et l’arrièrc-îond

P a s s a g e d e s g r a n d s b l e s s é s

A U G R A N D T H E A T R E

Représentation de la Comédie-Française R u y -B la s

L a troisièm e série do représentations quo to Comédie-Française a données à Ge­ nève s’est term inée su r un nouveau trio m ­ phe. Aprè3 Andromaquc. resté si v iv an t e t si hum ain, défiant les siècles, Ruy-Blas, commo Hernanij p a ra ît un peu artificiel e t grandilo­ quent, m ais les vers so n t si beaux, si solide­ m en t frappés e t l’action si adroitem ent conduite malgré son invraisem blance quo l’au d iteu r saisi est em porté p a r le d ram a­ turge e t le s u it jusqu’au bout à trav ers le tourbillon do ses im ages e t la redondance de ses antithèses.

Sans être uno d a te littéraire comme La première ii'H e rm n i, la prem ière do R uy- Blas qui e u t lieu Trait ans plus ta r d en 1838, fu t aussi un événem ent. Le dram e no tin t cependant l’affiche qu’uno tren tain e de fois e t il lui fallut a tten d re jusqu’en 1872 p our commencer la série suivante. Dès lors il a été constam m ent joué e t il le sera v rai­ sem blablem ent longtem ps encore, ta n t qu’il y a u ra des artistes capables de sc passionner pour les beaux vers e t sachant les dire.

C 'est lo cas des artistes do la Comédie- Prançaiso qui o n t la tradition du vers em panaché cher au poète e t sa v e n t le dire avec assez de conviction e t de feu pour en sauver les côtés contestables e t passés de mode.

Les bravos o n t accueilli tous les artistes e t les o n t suivis ri’aote en acte, mais ils ont plus spécialem ent distingué ceux auxquels le poète a confié les plus belles tirades.

Du cô.é masculin A lb e rt, L am bert est g rand lavori. N ul ne dit- le vers avec plus d ’a m e u r e t de g randeur épique. Il a ram assé le panache de Cyrano.

Don César do B azan est silhouetté avec un pittoresque e t une Iruculence. superbes p ar M. P aul Monnet, lui aussi une dos étoiles

de la constellation. .

M. Duflos a donné to u te sa valeur au rôle in g rat do don Salluste qu’il d i f en grand sei­ gneur e t do n t iM oS e les effets en artiste.

M. D claim ay, la. conscience- même, joue don G uritan comme si c 'é ta it u n personnage do prem ier plan, oc qui n e veut pas dire qu’il cherche à lui donner plus de valeur que n ’en a voulu lui laisser ld poète. Même observation p our M. Ealconnier (Ubilla).

L a reine c’é tait Mme B artet. C’est to u t dire. On ne sau rait tro p adm irer la souplesse de ce ta le n t extraordinaire, aussi à son aise sous le voile d’A ndrom aque e t sous la cou rönne de Marie de Neubourg que dans la conversation spirituelle e t fam ilière du Caprice de Musset. P a rto u t elle est parfaite.

Mme Fayolle, qui n ’a v a it que cc rôle dans la présente série, jo u ait la Cam erera m ayor et- a su s’y faire rem arquer.

MM. H iéronim us, Paupelix, Bagrat-ide, M. L uguet, Mlles L herbay, C am ey et Maxa ten aien t dignem ent les p etits emplois.

T out é ta it en place e t de n atu re à satisfaire les plus difficiles, même les belles voix eirj.n ta n t. dan', la coulisse.

N otre palm arès ne serait pas com plet si nous négligions de m entionner les nom s des com m erçants qui, vu le b u t de bienfaisance, o nt fourni gracieusem ent les meubles e t ten tu res, M. W. Ju lliard , les objets d ’a rt. M. Dimier, l’orfèvrerie. MM. R enaud e t Cler- m ont, e t les ta p is, M. Chavan.

Aprè3 le deuxièm e acte, au foyer des a r ­ tistes, unq très m odeste réception a réuni les m agistrats présents e t les artistes de la Comédie. M. Rosier, président du Conseil d ’E tftt, a d it la joie des Genevois d ’applau d ir la Comédie e t la belle leçon de langue qu’elle nous donne ot l’a rem erciée d ’asso­ cier les œuvres suisses a u x œuvres fra n ­ çaises. M. Duflos a aim ablem ent to asté à la Saiske hospitalière, a u x blessés f r a n ­ çais.

E t voici, nous voulons l’espérer, une trad itio n établie. Chaquo année, Genève au ra ses soirées de la Coméd'e-Pran- naise. C 'est co s u r quoi com ptent les amis de n o tre scène e t les am ateu rs de b eau th é â ­

tre. .

n t m t iE s , çiUiCEHis.

etc

.

Au K ursaal.

A 8 h. y2, L a Revue.

Les représentations de la revue du K ursaal sont m aintenant comptées. Ce beau spectacle sera irrévocablem ent joué pour la dernière fois jeudi de la sem aine prochaine.

*** A la Comédie.

O uverture an début d ’octobre. *** A l’Apollo.

Le nouveau spectacle qui rem porte un gros succès. M atinée d'm auçhe.

Casino-Théâtre.

O uverture prochaincmcpft

*** •

G rand Ciném a, rue du R hône, 42.

A :nsl quo nous l’avons annoncé, le pas sage des grands ble-ëés v a recom m encer la, sem aine prochaino avec Phorarro s

van t. : .

Mardi 21 septem bre, à 4 h. du m atin, blessés fran çais; pas do blessés allem ands lo soir. — Vendredi 24, le m atin; blessés fran çais; le soir, blessés allem ands. — L undi 27, de même. — Jeudi 30, blessés français seulem ent. — 3 octobre, train ad libitum .

Le com ité do la Section genevoiso de la Croix Rouge recevra avec reconnaissanc les dons tels que : chocolat, tab ac , fruits, biscuits, cannes, mouchoirs, etc. ; prière de los ap p o rter, comme précédem m ent, à l’ancien buffet de la gare au x jours e t heures su iv an ts : L undi 20 septem bre, jeu d i 23, sam edi 25 e t m ercredi 29, de 2 h. à 6 h.

Vu l’heure m atinale des train s do blessés français, le com ité serait reconnaissant au public de no plus ap p o rte r do dons le m atin m êm e, m ais de les rem ettre au x jours e t heures indiqués ci-dessus. Les dons en espèces, mémo les plus m odestes, seront reçus avec reconnaissance p a r lo trésorier, M. Louis Goetz, Corraterie, 2 6 ,. o n p ar chèque postal, No X 904.' • Urto collecte sera faite a u passage d u prem ier tra in p ar les E claireurs. • . . . ' -

T o u te correspondance accom pagnant les dons en n a tu re e s t absolum ent in terd ite.

( £ < û > W i a ' î m ’* ® SAM EDI

Sous une tente. — 8 h. 30, angle de la rue de l’A ubép'ne e t de la rue Ver.o, Ro-eraio, conférence p a r MM. Emile Leno.r e t S. De- la ttre . Sujet : « L ’évangile de Jé.->us-Christ.

DIM A NCHE

E xposition permanente. — 10 à 6 heures, Athénée. • :

Exposition des Eaux-Vives. — 10 h. à midi, e t 2 à 10 h.

Exposition du Lum inaire. — 10 à 9 h., rue du R hône, 34,- éclairage à traver.- le> âges.

Musées carlographiÿ ae, èpigraphiqve, t.iüe Am i-Lullin, 1 à 4 h., b âtim en t do la b i­ bliothèque.

M usée de VEcole d'Horlogerie. — 1 à 4 h., m o Necker.

M usée ethnographique. — 10 h. à midi, ot 2 à 5 heures, parc Mon-Repo--.

Sous une tente. — 8 h. 30, angle de la rue de l’A ubépine e t de la rue V erte, Ro-eraic, conférence p ar MM. J . Joseph e t S. D clattre. S u je t; « L ’Evangile do Jésus-C hrist.'» •

COLONIE ÉTRANGÈRE

F R A N C E

Encoro quolques nom s do vaillants sol­ d a ts tom bés pour la p atrie.

P au l Pellet, caporal a u 230mo régim ent d ’infanterie, tom bé a u cham p d ’honneur lo 25 juin. — A uguste L ugrin, soldat au...m o chasseurs alpins, tom bé a u cham p d ’hon­ neur, e n Alsace, lo 29 juillet 1915. — J o ­ seph D claunay, caporal au ...m o bataillon do chasseurs alpins, tu é à l’ennem i lo 20 ju illet 1915, au com bat d u Lingelcopf. — Louis M ugnier, sergent au ...m e chasseurs, to m b é au cham p d ’honneur lo 20 juillet, en H aute-A lsace. — C onstant' Charvier, décédé à l’hôpital , do Saintc-M cnehould le 22 ju illet, des suites de blessures reçues à Souchez. — Léon Ram bosson, soldat au mo chasseurs alpins, to m b é glorieuse­ m ent pour la France au x com bats d u Lin- gokopf (Al?ace). — H enri Gai, eoldat a u 1

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v RIVE DROITE

" • « a I2;-8epfemflrc 1915J Naissances : Charlcs-Albcrt di Micco, I t a ­ lie. —• -Louis-Charles-Albert C hatton, F ri­ bourg. — Roger-Léon Foiurnet, France. — Robcrt-D aniel-Charles Fehlm ann, Argovie. — G eorges-François-Pierre G aillard, Valais.

Décès : C harlcs-G ottlob M ünch, veuf, 77 an3, Genève. — H enri-A lexandrc Vassaux, 40 ans, m arié, V aud. — A lessandro-R enato C antini, 15 ans, Italie. — Charles L afon­ tain e, m arié, 77 ans, France.

Club athlétique /

Dim anche 22 courant-, sn r son excellent terrain de Châtelaine, entraînem ent géné­ ral. D eux jolies rencontres so n t inscrites au program m e : A 2 h. 1/2, Charmilles I contre AtM étiquc m ix te; à 4 heures, U rania F . C. 1 contre A thlétique IL

Charmilles m e ttra en ligue une excellente équipe qui a déjà fait ses preuves cette saison, do son côté A thlétique profitera do cette oc­ casion pour essayer des nouvelles recrues, retô u r du service m ilitaire. C’est donc en perspective une belle p artie d o n t le résu ltat est très incertain. - " ;

L a deuxièm e rencontre n e éèdera en rien comme in té rê t à la prem ière . U rania qui dem ande son' admission à l’A. S. F . e t qui fit une si belle saison 1015, donnera la, réplique à la seconde des rouges e t n o irs e t fera l’im ­ possible pour triom pher; N.ul doute que do nom breux sp o rtsm en n e prennent-la direction de Châtelaine. A joutons que les m atchs com m enceront à l’heure précise e t que pour se rendre su r le ground Géagiste on p ren d le tra m à C hantepoulet à 2 heures 10 e t toutes les 30 minutes.

Forw a rd de Morges contre Servette

D im anche après-m idi, au P arc des Sports des Charmilles, Servette I I recevra la visite du F o rw ard F. C. do Morges. Le 'm atch comm encera à 2 heures 45. Equipe d e-S er­ v ette I I R itte l, U ctw yler, T em p ia I ; Nar- bel, Besson, B au d ; O fterdiugér,Bard, R ents- chniclr, A ngelim , Gédouret. A rbitre, M. Heck (Servette F . C.) ‘ ■

Servette I I I jouera de suite après contre B ritannia I nvce l’équipe suivante :. X ; Passos, E lliô tt; C-aclrn, Tem pia I I , R iza; F ia n ç a , Degiorgi, Soimex, Casanova, D é­ saules.

Servette IV jouera contre B ritan n ia I I à 2 h. 45 su r lo te rra in de R ugby.

I N F O R M A T I O N S F I N A N C I E R E S Genève, - sam edi. On reçoit quelques renseignem ents a u s u je t de l'em p ru n t franco-anglais a u x E ta ts- Unis. Une dépêche a annoncé q u ’une pire-» m ière conférence a v a it -.réuni les délégués européens e t -les banquiers do N ew-York en un e séance qui n ’a v a it pas du ré m oins de hu it heures. U ne an tre dépêche d it :qne l ’em prunt sera, émis au ta u x de 8 % o t sera garanti p a r le seul crédit do la F rance e t de l’Angleterre. Cela e st im p o rta n t car, jusqu’ici, les Américains se sont toujours refusés à p rê te r do l’argent a u x belligé­ ra n ts au trem en t quo sn r une g aran tie d ’or ou do titre s américains déposés à. New- York. C’est évidem m ent parce que a u ­ cune g arantie de ce genre n ’e s t : exigée que l’on a fixé le ta u x d ’in té rê t à un niveau aussi élevé. H u it pour cent su r u n .e m p ru n t qui jo u it de la double garantie de la Franco e t de l’A ngleterre ! C’est inouï.

Mais la question la plus intéressante est celle de l’effet quo va avoir la conclusion do-»cet em p ru n t (s’il sc fa it) su r les antres fonds d ’E ta ts d éjà ex istan ts.

Il fa u t bien ad m ettre que cet em prunt doublem ent g aran ti v au t commo sécurité au moins a u ta n t que tous lc3 fonds d.’E ta t français ou anglais. Si donc ce nouvel em ­ p ru n t sc capitalise à 8 % les au tres fonds doivent s o . capitaliser à a u m oins a u ta n t. Or, su r cette base, le 3 % F ran çais qui v a u t actuellem ent 67,50 d o it s’étab lir à 38 e n ­ viron, les Consolidés Anglais 2 y2 % ,. qui co ten t 65, doivent tom ber à près do .30 environ, le dernier em p ru n t de guerre an glais 4 'Ys % <1™ eoto in a in te n a u t 98 ne do it p lu s valoir que 60 environ e t le s em ­ p ru n ts de guerre allemands- 5 % qui srém et- te n t à 96 doivent ^in scrire à 65. On voit quelle xléba-elo générale une pareille baisse en tra în e ra it. Mstîs on ne voit guère com m ent cette baisf-e p en t être évitée, "car il e s t évi­ d en t qu’on 110 p e n t em pêcher les d é te n ­ teu rs des fonds ri’E ta ts européens actuels d e v e n d re leurs titre s pour souscrire an nouvel em prunt 8 % émis cil A m érique. E t lo nivelago se ferait, autom atiquem ent

A joutez à célà' que le nouvel' em prunt a u ra it encore l ’av an ta g e evêtro exem pt

d ’im pôt.

-Cette question de la répercussion sur les fonds ex istan ts a d û ê tre prise en consi­ dération p a r les délégués financiers. I l sera intéressant do voir com m ent ils com ptent to u rn er cette grosse difficulté.

L a sem aine clôture à n o tre B ourse en tendance ferme, m ais aveo des affaires res- tre ntes. L a cote des valeurs nous signale 25 cours cotés a u x obligations et. 6 a u x actions contre 28 e t 8 réciproquem ent la veille.

A u x obligations : Fédéral 4 V* 1915, 962,50 (+ 0 ,5 0 ) Chemins fédéraux fermes à 774, Genevois 1S90, 790 (-J- 2), Genevois 1914, 508 (-[- 1), Lom bardes anciennes, 105, F ra n ­ co-Canadien, 331, Grenobloise 5 % , 440. A u x actions : B anque Fédérale, 595, Bank­ verein ferm e à 578, Comptoir d ’É scom pte 769 (-|- 2), U nion F inancière, 380, G irod, en hausse de fr. 25 à 325 A uto-Place 125

Lém an 690. .

'A u x changes, P aris reperd 0,25 e n tre 91.90 e t 92,10, l’ita lie n le su it en tre 83,10 et 85,30. Londres, de 25.05 à 25,15 (— 0,02) Allemagne 109,20 à 109,35 (-{- 0,30), Vienne 70,80 Ü 79,90 C-l- 0,10) N ew -Y ork, 5,28 5, 5,38.(->- 0,03) , : ; '- J . k i f W i ï ï

. . . ,

Compagnie des Docks de San/os : Los re­ cettes do coite compagnio so so n t élevées en ao û t 1915, à 1500 contos, com parative­ m ent à 1250 contos en juillet 1915, e t à 1062 contos en a o û t 1914.

M R U T Z S C H O O l

«PASMI K5 U0HÎ0

S C H O O L

LA N G U ES M O D E R N E S

Traductions-en tontes langues!

COU RS DU S O IR V S francs par mois S ociété française, direction gén€*af< ä Paris.

LISTE des SERVICES RELIGIEUX

J E U N E F É D É R A X i

D im an ch e 19 S e p te m b r e

s e r v i c e s E g l i s e n a t i o n a l e | > r o t e s t a n t o E n la n g u e fr a n ç a ise . C h a n ts : C a n tiq u e 5. — C a n tiq u e 211. r. L a l e t t r e C in d iq u e u n s e r v ic e d e C o m m u n ia * e t l’a s té r is q u e O , l’e m p lo i d e s c o u p e s i n d i î S d u e lle s , .- - ” S n ln t-P ie rre . — 10 b . M. G a m p e rt. S e rm o n . S t-G erv n is. — 10 h . M .D e n k in g e r. s e r m o n . F u s te r ie . — 10 11. H . G otli. S e rm o n .

— I l h . 1/4. M. G o th . S erv ice, d e liaptêO M ei P ô q u is. — 10 li. M. Ch. M u lle r. S e rm o n . - 7 C a ro u g e . - 10 li. W.' P o r r e t . C*. P la in p a la is . — ifr h . M. E . R o c h o t. S e rm o a » J o n c tio n . — 10 h . M. D u c k e r t. S e rm o n . H ô p ital C a n to n a l. — 9 h. M. M e rc ie r. . s E a u x - V i v e s . 9 ln M. J. M a rtin . C a ié c h is n i^ ' — 10 b , — M. M o ttu . S e rm o n .

; i - i ÿ ■ ' lin langue allem an de

A u d ito ire . — 10 ii. M. W a l t e r . C o m m u n io n .

' S ervices de la cam pagn e

A n iè rc s . — 9 li. 1/4. M. D a rd e 1. A v u lly . — 10 li. M. M ajal. B e m é x . — 3 li. M. P a s d e s e rv ic e . C a rtig n y . — 10 h. M. C h. M a rtin . C é lig n y . — 10 Ii. M. O liv e t. C.' C h n n c y . — 9 Ii. 30. M. S c h o r c r . C. C h ê n e . — 10 h . M. A. R c e h r ie h .. C o lle x . — 2 h . 1/2. M. G. B e rg u e r. • C o lo g n y . —.10 li. M. Ena.' C h r is te n . ,- C h n ra b é s y (C h a p e lle d u Cornilloiï).* —. f f l b M. le p a s t e u r P o u lin . D a r d n g u j. — 10 h . D. D e lê tr a . tîe n th o rt. — 10 h. M. G. B e rg u e r. Gy. — 8 h . 1/2. — M. F r e u n d le r , p r o p t. G ra iid -L tin e y . — 10 h . M. K o liîe r. > . J u s sy . — 10 iî. M. F r e u n d le r , p r o p t. c O n c s . - r M. C o rn ev o n . . P re g n y -G il-S iic o m iex . — 10 li. M .C ü . D e lé tifa t K u s s ln .— P a s d e s e rv ic e . ’ S u e tjn n e x . — 10 I I M. M e lz g e r. . S u tig n y . — ftli. M. E rn . C h ris te n . C,

S e r v e tte . — 10 h . M .-B o is so rm a s,' V a n d œ u v re s . — 10 h. M. B r e t. ' V e r n ie r . — 10 h . 1/4. M. E rn . C h ris te n . . V e rs o ix . — 10 h . 11. G e n e q u a n d . V ésem iz. — 10 h . 1/2. M. H a rd e l. V e y r ie r . — 9-h. 1J2. M. N a rd i. E g l i s e c a t h o l i q u e r i m i n l n e N o tre -D a m e . — 6, 7 ,8 , 9,1 1 h . 30, m e s s e s lia ss e s » ’ 10 h . g i-ah d ’m e s s e .8 , 9,10, i l h . 30 s e r m o n s .' S a ç r é - C œ tïr .— 0J 7 ,8, 11-h. 15 m e s s e s b a s s e s » 1 9 h . 45 g r a n d ’m e s se , 8,9,45, 11 h . 15. s e r m o n s S t-.lo sep li.— 6, 7, 7,45, 8,30, i l h . m e s s e s basse?»

9 li. 30 g r a n d ’m e s s e , 8,30, 0,30, 11 h. s e rm o n s . S t-F ra n ç o is . — 6, 7, 8,11 h . m e s se s b a s s e s , 9 h . 30 ■ g r n n d ’m e s se , 8, 9,30, 11 h . s e rm o n s . S t-A n to in e : —(i,30, 7,15,8,15,11 h .s o m e s s e s b a s s ^ 10 h . g r a n d ’m e s se , 8,15,10,11 li. 30 s e rm o n s . S te -C lo tiid e .— 6,30, 8, I l h . 30 m e s s e s basses» — -10 h . g r a n d ’m e s s e , 8,10,11 h . 30 s e rm o n s . S t-B o n im c e , r u e C a lv in , G (s e rv ic e allem and)» 9 h . m e s s e . S e rm o n . Office.

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