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BRGM. risque de chute de rochers à Rognaix (73) examen du 12 février 1993 BRGM

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(1)

risque de chute de rochers à Rognaix (73)

examen du 12 février 1993

J.C. BARFETY*

février1993 R 36860RHA 4S 93

BRGM Service géologique national

Départementcartes et

synthèses géologiques Direction régionale Centre-Est

risque de chute de rochers à Rognaix (73)

examen du 12 février 1993

J.C. BARFETY*

février1993 R 36860RHA 4S 93

BRGM

Service géologique national

Départementcartes et

synthèses géologiques

Direction régionale Centre-Est

(2)

RESUME

Alertée par la Commune de Rognaix qui craignait un nouvel eboulement au lieu-dit "Les Iles", la Direction Départementale de la Protection Civile

de la Savoie a demandé au BRGM d'effectuer une reconnaissance du site.

L'examen a eu lieu le 12 février 1993 en compagnie de M. Brunod, employé communal. Une observation plus détaillée - nécessitant l'intervention

d'un guide

de montagne

(entreprise

CITEM, à

la

demande de

la Mairie) étant

donné

les conditions d'accès difficiles -

a

été

exécutée

le

16

février.

Il convient de rappeler qu'un eboulement important s'était produit le 22

février 1988 au même point (rapport BRGM cité).

Il existe un bloc de 60-80 m^ en équilibre précaire, au sommet de la falaise dominant le cône d'éboulis des Iles. Situé à l'arrière du pan rocheux éboulé en 1988, il ne correspond cependant pas à un désordre résiduel, car la purge naturelle avait été totale (l'éboulement s'étant produit à la faveur d'une fissure ancienne et bien continue). Par contre, les eaux de ruissellement ayant pour origine des sources situées juste à l'aplomb, favorisent le décollement de l'écaille repérée.

Si cette masse se libère, il n'est pas certain que le merlon de protec¬

tion construit au pied du cône d'éboulis en 1989-90 garantisse la sécurité de la maison Rey, malgré son importance. Cet aléa est lié au volume et à la forme du bloc, à l'existence sur le parement amont de

l'ouvrage de protection d'une grosse dalle rocheuse dénudée pouvant favoriser les rebonds.

Il est recommandé de détruire ce bloc.

MODALITES ADMINISTilATIVES : Convention Département de la Savoie/BRGM.

I I

I

R.36860.RHA.4S.93

RESUME

Alertée par la Commune de Rognaix qui craignait un nouvel eboulement au lieu-dit "Les Iles", la Direction Départementale de la Protection Civile

de la Savoie a demandé au BRGM d'effectuer une reconnaissance du site.

L'examen a eu lieu le 12 février 1993 en compagnie de M. Brunod, employé communal. Une observation plus détaillée - nécessitant l'intervention

d'un guide

de montagne

(entreprise

CITEM, à

la

demande de

la Mairie) étant

donné

les conditions d'accès difficiles -

a

été

exécutée

le

16

février.

Il convient de rappeler qu'un eboulement important s'était produit le 22

février 1988 au même point (rapport BRGM cité).

Il existe un bloc de 60-80 m^ en équilibre précaire, au sommet de la falaise dominant le cône d'éboulis des Iles. Situé à l'arrière du pan rocheux éboulé en 1988, il ne correspond cependant pas à un désordre résiduel, car la purge naturelle avait été totale (l'éboulement s'étant produit à la faveur d'une fissure ancienne et bien continue). Par contre, les eaux de ruissellement ayant pour origine des sources situées juste à l'aplomb, favorisent le décollement de l'écaille repérée.

Si cette masse se libère, il n'est pas certain que le merlon de protec¬

tion construit au pied du cône d'éboulis en 1989-90 garantisse la sécurité de la maison Rey, malgré son importance. Cet aléa est lié au volume et à la forme du bloc, à l'existence sur le parement amont de

l'ouvrage de protection d'une grosse dalle rocheuse dénudée pouvant favoriser les rebonds.

Il est recommandé de détruire ce bloc.

MODALITES ADMINISTilATIVES : Convention Département de la Savoie/BRGM.

I I

I

R.36860.RHA.4S.93

(3)

TABLE DES MATIERES

1. RAPPEL DES FAITS 1

2.EXAMEN DES LIEUX 2

2.1. Repérage des

masse

instables

2

2. 2. Sécurité apportée par le merlon de protection 3

3.

TRAVAUX RECOMMANDES 4

4.

CONCLUSIONS 4

FIGURES :

Fig. 1 - Carte de situation à 1/25.000

ANNEXE

2 planches photographiques

I I

I

TABLE DES MATIERES

1. RAPPEL DES FAITS 1

2.EXAMEN DES LIEUX 2

2.1. Repérage des

masse

instables

2

2. 2. Sécurité apportée par le merlon de protection 3

3.

TRAVAUX RECOMMANDES 4

4.

CONCLUSIONS 4

FIGURES :

Fig. 1 - Carte de situation à 1/25.000

ANNEXE

2 planches photographiques

I I

I

(4)

RISQUE DE CHOTE DE ROCHERS A ROGNAIX

(SAVOIE)

HAMEAU DES

ILES

-

Examen

du

12

février 1993 -

1.

RAPPEL DES

FAITS

A Rognaix, au lieu-dit Les Iles, un important eboulement s'est produit le 22 février 1988. Trois à quatre mille mètres cubes s'étaient détachés des parois dominant le cône d'éboulis au droit des habitations. Un très gros bloc de plus de deux mille mètres cubes avait glissé sur la pente, pour s'arrêter à une trentaine de mètres de la maison de la famille Rey.

A l'époque, l'expertise géologique demandée au BRGM par la Direction Départementale de la Protection Civile de la Savoie (rapport 88 SGN 172 GEQ/RHA) avait conclu à la permanence d'un risque d'éboulement et la nécessité de confectionner, en bas de pente, un piège à blocs.

Une étude détaillée des falaises ainsi que le dimensionnement d'un ouvrage de protection ont donc été réalisés en 1988 par le BRGM à la demande du Groupement d'Entreprises Sécurité 88. En même temps, un projet d'exploitation des éboulis pour enrochements a vu le jour, et le

BRGM a pu proposer un plan d'extraction (rapport SGN 809 RHA) compatible avec la mise en sécurité du site.

En fait, si le merlon de protection correspondant à la phase travaux a bien été réalisé, l'exploitation de cette pseudo-carrière a été de courte durée, ce qui n'a pas permis de modeler le versant d'éboulis selon une géométrie conforme aux recommandations émises pour la protec¬

tion définitive du site. En particulier, aucune extraction significative n'a été menée en tête de 1'éboulis ou en pied de falaises. Le cône d'éboulis a donc gardé à peu près son profil et sa hauteur d'origine, une rampe d'accès en partie haute a toutefois été tracée sur son flanc.

R.36860.RHA.4S.93

RISQUE DE CHOTE DE ROCHERS A ROGNAIX

(SAVOIE)

HAMEAU DES

ILES

-

Examen

du

12

février 1993 -

1.

RAPPEL DES

FAITS

A Rognaix, au lieu-dit Les Iles, un important eboulement s'est produit le 22 février 1988. Trois à quatre mille mètres cubes s'étaient détachés des parois dominant le cône d'éboulis au droit des habitations. Un très gros bloc de plus de deux mille mètres cubes avait glissé sur la pente, pour s'arrêter à une trentaine de mètres de la maison de la famille Rey.

A l'époque, l'expertise géologique demandée au BRGM par la Direction Départementale de la Protection Civile de la Savoie (rapport 88 SGN 172 GEQ/RHA) avait conclu à la permanence d'un risque d'éboulement et la nécessité de confectionner, en bas de pente, un piège à blocs.

Une étude détaillée des falaises ainsi que le dimensionnement d'un ouvrage de protection ont donc été réalisés en 1988 par le BRGM à la demande du Groupement d'Entreprises Sécurité 88. En même temps, un projet d'exploitation des éboulis pour enrochements a vu le jour, et le

BRGM a pu proposer un plan d'extraction (rapport SGN 809 RHA) compatible avec la mise en sécurité du site.

En fait, si le merlon de protection correspondant à la phase travaux a bien été réalisé, l'exploitation de cette pseudo-carrière a été de courte durée, ce qui n'a pas permis de modeler le versant d'éboulis selon une géométrie conforme aux recommandations émises pour la protec¬

tion définitive du site. En particulier, aucune extraction significative n'a été menée en tête de 1'éboulis ou en pied de falaises. Le cône d'éboulis a donc gardé à peu près son profil et sa hauteur d'origine, une rampe d'accès en partie haute a toutefois été tracée sur son flanc.

R.36860.RHA.4S.93

(5)

L'automne 1992 a été très pluvieux et les eaux de ruissellement, extrê¬

mement abondantes, ont pu raviner le cône en entraînant des blocs jusque dans le piège à cailloux.

Un autre fait a inquiété les riverains, il s'agit de la présence de fissures dans la paroi dominant 1'éboulis, à quelque 200 mètres (environ 230) des habitations. Elles sc seraient "élargies" et des blocs se seraient détachés vers la mi-janvier.

2.

EXAMEN DES

LIEUX

2.1. Repérage des masses instables

Dans les deux rapports géologiques cités plus haut, les caractéristiques de la falaise, soit de l'éperon bordant la rive gauche du cône d'éboulis, soit de la falaise à regard nord, origine de l'éboulement de 1988, sont décrites de façon détaillée. La géologie du site ne sera donc pas reprise ici.

L'intervention du 12 février avait pour objectif de constater une éventuelle évolution concernant une lame rocheuse, bien visible depuis

la vallée.

La structure du rocher découpe la falaise (exposée nord) en grandes lames verticales orientées perpendiculairement à l'axe de la vallée.

Cette disposition fait paraître certaines fissures plus "ouvertes" que d'autres, cependant pour qu'une masse rocheuse soit instable, il est nécessaire qu'elle soit également découpée à l'arrière et à sa base.

L'automne 1992 a été très pluvieux et les eaux de ruissellement, extrê¬

mement abondantes, ont pu raviner le cône en entraînant des blocs jusque dans le piège à cailloux.

Un autre fait a inquiété les riverains, il s'agit de la présence de fissures dans la paroi dominant 1'éboulis, à quelque 200 mètres (environ 230) des habitations. Elles sc seraient "élargies" et des blocs se seraient détachés vers la mi-janvier.

2.

EXAMEN DES

LIEUX

2.1. Repérage des masses instables

Dans les deux rapports géologiques cités plus haut, les caractéristiques de la falaise, soit de l'éperon bordant la rive gauche du cône d'éboulis, soit de la falaise à regard nord, origine de l'éboulement de 1988, sont décrites de façon détaillée. La géologie du site ne sera donc pas reprise ici.

L'intervention du 12 février avait pour objectif de constater une éventuelle évolution concernant une lame rocheuse, bien visible depuis

la vallée.

La structure du rocher découpe la falaise (exposée nord) en grandes lames verticales orientées perpendiculairement à l'axe de la vallée.

Cette disposition fait paraître certaines fissures plus "ouvertes" que d'autres, cependant pour qu'une masse rocheuse soit instable, il est nécessaire qu'elle soit également découpée à l'arrière et à sa base.

(6)

défavorable. En effet, en toutes saisons, l'eau sort en abondance par des fissures de la roche au sommet de la falaise, ruisselle sur les dalles et pénètre localement entre les écailles. De plus, en cas d'ora¬

ges ou de pluies continues, le thalweg principal, drainant sur une grande hauteur le versant, dirige sur la paroi dominant 1'éboulis de

grandes quantités d'eau. Tout ces éléments favorisent le décollement des rochers.

Un examen rapproché du haut de la falaise a permis de repérer à l'aplomb des résurgences, une écaille de 5 à 6 mètres de hauteur, 4 à 5 mètres de profondeur et 2,5 à 3 mètres d'épaisseur, soumise à des infiltrations permanentes et présentant une menace importante. Elle est disposée sur un plan incliné à 30-35" vers la vallée et séparée à l'arrière du versant par une fissure verticale où l'eau pénètre.

Apparemment il n'y a pas d'indices de mouvement en cours ou très récent, mais ces caractéristiques traduisent un équilibre fragile et pouvant être rompu à très court terme. Son volume est estimé égal à 60-80 m^ et son poids compris entre 200 et 250 tonnes. Par sa disposition et sa forme, ce bloc compact peut, s'il se libère, soit se coucher dans la pente d'éboulis en tombant, soit rebondir et rouler "de chant". Dans ce dernier cas, l'énergie du bloc est grande et il peut parcourir toute la surface du cône suivant une trajectoire très rectiligne.

2. 2. Sécurité apportée par le raerlon de protection

L'ouvrage dimensionné en 1988 devait permettre d'arrêter des blocs de un à plusieurs dizaines de mètres cubes. En fait, l'ouvrage existant est bien exécuté selon la géométrie préconisée (la hauteur du merlon est supérieure à cinq mètres). Par contre le talus amont, côté éboulis, comporte en surface des rochers apparents de plusieurs dizaines de mètres carrés de superficie. Ces dalles rigides se situent au droit de la maison Rey et pourraient, en cas d'impact, faire rebondir un éventuel bloc au-dessus du merlon, donc vers la maison.

Cette particularité de l'ouvrage, la taille et la forme du rocher risquant (à très court terme) de se libérer, ne permettent pas aujour¬

d'hui de garantir totalement la sécurité des riverains.

R.36860.RHA.4S.93 . 3

défavorable. En effet, en toutes saisons, l'eau sort en abondance par des fissures de la roche au sommet de la falaise, ruisselle sur les dalles et pénètre localement entre les écailles. De plus, en cas d'ora¬

ges ou de pluies continues, le thalweg principal, drainant sur une grande hauteur le versant, dirige sur la paroi dominant 1'éboulis de

grandes quantités d'eau. Tout ces éléments favorisent le décollement des rochers.

Un examen rapproché du haut de la falaise a permis de repérer à l'aplomb des résurgences, une écaille de 5 à 6 mètres de hauteur, 4 à 5 mètres de profondeur et 2,5 à 3 mètres d'épaisseur, soumise à des infiltrations permanentes et présentant une menace importante. Elle est disposée sur un plan incliné à 30-35" vers la vallée et séparée à l'arrière du versant par une fissure verticale où l'eau pénètre.

Apparemment il n'y a pas d'indices de mouvement en cours ou très récent, mais ces caractéristiques traduisent un équilibre fragile et pouvant être rompu à très court terme. Son volume est estimé égal à 60-80 m^ et son poids compris entre 200 et 250 tonnes. Par sa disposition et sa forme, ce bloc compact peut, s'il se libère, soit se coucher dans la pente d'éboulis en tombant, soit rebondir et rouler "de chant". Dans ce dernier cas, l'énergie du bloc est grande et il peut parcourir toute la surface du cône suivant une trajectoire très rectiligne.

2. 2. Sécurité apportée par le raerlon de protection

L'ouvrage dimensionné en 1988 devait permettre d'arrêter des blocs de un à plusieurs dizaines de mètres cubes. En fait, l'ouvrage existant est bien exécuté selon la géométrie préconisée (la hauteur du merlon est supérieure à cinq mètres). Par contre le talus amont, côté éboulis, comporte en surface des rochers apparents de plusieurs dizaines de mètres carrés de superficie. Ces dalles rigides se situent au droit de la maison Rey et pourraient, en cas d'impact, faire rebondir un éventuel bloc au-dessus du merlon, donc vers la maison.

Cette particularité de l'ouvrage, la taille et la forme du rocher risquant (à très court terme) de se libérer, ne permettent pas aujour¬

d'hui de garantir totalement la sécurité des riverains.

R.36860.RHA.4S.93 . 3

(7)

3.

TRAVAUX RECOMMANDES

La surveillance du bloc décollé est ici difficile à engager (conditions d'accès et surtout risque de rupture fragile, sans préavis suffisant).

La mesure la plus efficace à mettre en oeuvre, si l'on veut garantir la sécurité des riverains, est la destruction. Celle-ci, compte tenu de la vulnérabilité du site, devra être réalisée dans des conditions bien précises (confinement, élinguage, fragmentation) qui devront être définies à l'entreprise qui exécutera les travaux.

4.

CONCLUSIONS

La reconnaissance effectuée sur la falaise dominant le quartier des Iles, à Rognaix, a permis de repérer une grosse dalle en équilibre instable.

C'est un rocher de forme allongée, de 80 m^ environ, pouvant parcourir tout le cône d'éboulis jusqu'au merlon de protection. Ce dernier, bien que dimensionné correctement, ne garantit pas totalement la maison d'habitation Rey et ses dépendances, ou même la voie communale. Il a

d'une part été construit pour assurer une sécurité du site en phase travaux, et d'autre part possède un parement amont localement rocheux susceptible de favoriser les rebonds.

C'est pourquoi il paraît opportun de détruire le bloc instable en som.met de falaise.

Il est de plus recommandé d'organiser le lit des ruisseaux parcourant le cône d'éboulis, car la dispersion actuelle des eaux favorise l'érosion des talus du merlon de protection.

Cette opération devra être exécutée selon un cahier des charges très strict (élinguage, f ragm.entation, confinement, surveillance, constat fin de travaux).

3.

TRAVAUX RECOMMANDES

La surveillance du bloc décollé est ici difficile à engager (conditions d'accès et surtout risque de rupture fragile, sans préavis suffisant).

La mesure la plus efficace à mettre en oeuvre, si l'on veut garantir la sécurité des riverains, est la destruction. Celle-ci, compte tenu de la vulnérabilité du site, devra être réalisée dans des conditions bien précises (confinement, élinguage, fragmentation) qui devront être définies à l'entreprise qui exécutera les travaux.

4.

CONCLUSIONS

La reconnaissance effectuée sur la falaise dominant le quartier des Iles, à Rognaix, a permis de repérer une grosse dalle en équilibre instable.

C'est un rocher de forme allongée, de 80 m^ environ, pouvant parcourir tout le cône d'éboulis jusqu'au merlon de protection. Ce dernier, bien que dimensionné correctement, ne garantit pas totalement la maison d'habitation Rey et ses dépendances, ou même la voie communale. Il a

d'une part été construit pour assurer une sécurité du site en phase travaux, et d'autre part possède un parement amont localement rocheux susceptible de favoriser les rebonds.

C'est pourquoi il paraît opportun de détruire le bloc instable en som.met de falaise.

Il est de plus recommandé d'organiser le lit des ruisseaux parcourant le cône d'éboulis, car la dispersion actuelle des eaux favorise l'érosion des talus du merlon de protection.

Cette opération devra être exécutée selon un cahier des charges très strict (élinguage, f ragm.entation, confinement, surveillance, constat fin de travaux).

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RISQUE DE CHUTE DE ROCHERS A ROGNAIX (73), HAMEAU DES ILES EXAMEN DU 12 FEVRIER 1993

CARTE DE SITUATION

Echelle 1/25 000

(9)

Vue du sommet du cône d'éboulis VUE DU BLOC INSTABLE (EN 1)

R 36860 RHA 4S 93

RISQUE DE CHUTE DE ROCHERS A ROGNAIX (73), HAMEAU DES ILES

(10)

Merlon de protection (à l'arrière gros rocher dénudé)

Maison REY

1 : position du bloc instable

1 : maison REY

VUE DES ILES DEPUIS LE HAUT DE LA FALAISE

RISQUE DE CHUTE DE ROCHERS A ROGNAIX (73), HAMEAU DES ILES EXAMEN DU 12 FEVRIER 1993

PLANCHE PHOTOGRAPHIQUE

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