• Aucun résultat trouvé

LES RENDEZ-VOUS DE LOCHES

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "LES RENDEZ-VOUS DE LOCHES"

Copied!
20
0
0

Texte intégral

(1)
(2)

LES RENDEZ-VOUS DE LOCHES

*

(3)

OUVRAGES DU MÊME AUTEUR

LA MAUVAISE CONDUITE D'ARLETTE (1927).

AUX FONTAINES DE BARRÈS (1929). Éditions Bossard.

LA CHEVAUCHÉE SACRÉE (1932). Librairie Académique Perrin.

(Ouvrage couronné par l'Académie Française.) Prix Marcelin Guérin 1936.

ADORABLE TOURAINE (1935), Arrault et C éditeurs.

TROIS GRANDES DAMES DE PETITE VERTU (1936), Arrault et C éditeurs.

EN PAYS D'AUGE (1937), Arrault et C éditeurs.

LES AMOURS D'ALFRED DE VIGNY (1943), Arrault et C éditeurs.

LE SONGE D'UNE NUIT D'HIVER (1943), Arrault et Cie, éditeurs.

En collaboration avec André HALLAYS et R.-E. ANDRÉ : CHANTELOUP (1928), Alfred Marne et fils.

En préparation : TROIS ÉDIFIANTES PÉCHERESSES

(4)

COLLECTION " ADORABLE TOURAINE "

ROLAND ENGERAND

RENDEZ-VOUS LES DE LOCHES

ILLUSTRATIONS DE FERDINAND DUBREUIL

SE TROUVE A TOURS CHEZ ARRAULT ET C

4 A 12, RUE DE LA PRÉFECTURE

19 4 6

(5)

IL A ÉTÉ TIRÉ DE CET OUVRAGE : DIX EXEMPLAIRES SUR VÉLIN PUR FIL, NUMÉROTÉS DE 1 A 10 ET DEUX EXEMPLAIRES SUR JAPON HORS COMMERCE NUMÉROTÉS I ET II

(6)

A MON FRÈRE, PRISONNIER DE GUERRE

EN ALLEMAGNE DE 1940 A 1945, JE DÉDIE CE LIVRE QUE LA CENSURE ALLEMANDE RETINT LUI AUSSI PRISONNIER,

D'AVRIL 1943 A SEPTEMBRE 1944, DANS LES ATELIERS

DE SON ÉDITEUR

(7)
(8)

AVANT-PROPOS

C

OMME elle est bien de Tour aine, cette molle et attirante cité dont le nom est celui d'une li- mace !... (1). Il est vraiment très indiqué qu'en cette province où tout a de l'esprit, les noms des villes soient eux-mêmes spirituels, et que les deux sous-préfectures de ce département d'Indre-et-Loire où le climat insuffle une aimable nonchalance et où l'on aime

(1) En Touraine... comme partout ailleurs... l'on désigne sous le nom de « loches » les petites limaces couleur de boue, qui sont la plaie des potagers. Après l'avoir constaté, l'épais Larousse ajoute

(9)

que ce mot a aussi le sens de « paresseux » et cite l'expression : « mou comme une loche ». Est-il besoin d'ajouter que ce n'est pas chez les gastéropodes qu'il faut rechercher l'origine du nom de la ville en laquelle ce livre a choisi son décor. Sur les sources de ce nom, les amateurs d'étymologie ne sont — comme par hasard — pas d'ac- cord. Les uns brandissent un mot grec λαχχoς, qui signifie une fosse. Les autres, un mot armoricain : loc'h (marais). D'autres encore, le mot latin lucca (prison). Pourquoi ne pas nous ranger derrière Stanislas Bellanger qui, dans sa Touraine, accommode Loches à l'ar- moricaine :

« En fait d'étymologie, la plus simple, à notre avis, doit être la meilleure. Il suffit de remarquer que Loches est bâti auprès des prairies, autrefois marécageuses, de l'Indre, pour rattacher son nom au celtique loc'h, d'où les Romains, par la suite, auraient fait castrum Luccæ, le camp du Marais. »

L'on peut remarquer aussi que les armes de la ville de Loches — reproduites dans l'un des culs-de-lampe de ce volume — sont « de sinople à cinq loches d'argent ». Ici la loche est un poisson, «poisson

(10)

téléostéen, — précise impitoyablement Larousse, — de la famille des cobitidés, caractérisé par sa forme allongée et ses barbillons »... Ce mot, pourtant peu usité, a décidément bien des ressources dans ses syllabes... Ces longs petits poissons, qui pullulent dans l'Indre, ne peuvent-ils revendiquer l'honneur d'avoir donné leur nom à l'humide cité qui se mire dans cette rivière ? « Ils lui ont fourni ses armes.

Pourquoi ne l'auraient-ils pas, en outre, baptisée ? » dira-t-on...

C'est oublier que ce sont, au contraite, les noms de villes qui ont fourni aux héraldistes prétexte à jeux de mots. Ainsi Tours a trois tours dans ses armes et ne dérive pas du turris. Ligueil contient un œil dans son blason et ne provient point d'oculus. Il faut tracer des limites à la formule « tout est dans tout ».

D'ailleurs, de ce « tout est dans tout » les étymologistes abusent parfois. Un spirituel avocat tourangeau de mes amis, exerçant son ironie envers les prospecteurs de sources linguistiques, déclarait, à ce sujet, d'un ton doctoral :

« Cheval vient d'équus. C'est bien simple. « E » s'est transformé tout naturellement en « che » et « quus » en « val ». »

(11)

« chiner » sans méchanceté son prochain (1), se nomment l'une Chinon et l'autre Loches...

Mais ce n'est pas seulement par le paresseux rappel de ses syllabes que Loches est spécifiquement tourangelle. C'est aussi, c'est surtout par le charme souriant qui s'exprime de son calme visage. Qui n'a été séduit par l'apparition, sur la route de Montrésor, de la silhouette dentelée de cette petite ville, dont la tour carrée du grand donjon se marie si heureusement à la tour ronde du petit donjon et aux tours pointues de l'ancienne collégiale (2), où les sveltes tourelles du Logis du Roi s'associent sans hiatus aux pyramides de l'église vouée à saint Ours et au campanile du beffroi dédié à saint Antoine ! Qui n'a été satisfait de se pencher, depuis la terrasse du château, sur le paysage de toits que de ce lieu l'on découvre ! De cet observatoire, l'on discerne un magistral reliquaire de pierre... « Loches est un chef-d'œuvre de ville,

— a écrit Maurice Bedel dans son adorable Touraine —.

Loches est la ville de France où l'on approche au plus près la grâce française. »

(1) Le Tourangeau emploie son esprit à se moquer du voisin... Quant à la fainéantise, elle est sublime en Touraine et admirablement exprimée par ce dicton populaire :

« Tourangeau, veux-tu de la soupe ?

— Oui.

— Apporte ton écuelle.

— Je n'ai plus faim. » BALZAC (L'Illustre Gaudissart.) (2) Ces quatre tours de Saint-Ours m'ont toujours semblé consti- tuer la plus aimable image d'une famille unie. A gauche, le père, massif et robuste ; à droite, la mère, plus élégante et fine. Entre eux leurs deux petits enfants.

(12)

Et il ajoute :

« Quand je reçois dans ma maison, à cinquante kilo- mètres de là, un étranger curieux des choses et des gens de chez nous, je le mène d'un trait aux terrasses du Logis Royal de Loches.

— Saluez, lui dis-je. C'est ici cette France que vous venez chercher des rivages de votre Baltique, des forêts de votre Nord.

Et je le laisse en tête-à-tête avec les toits de Loches. » Savourons, voulez-vous, ce délectable tête-à-tête.

Harmonieusement groupée au pied de son église collégiale et de son château, Loches allie au tendre sourire de la Tour aine une lourde gravité déjà berrichonne. Sur ses maisons de pierre blanche, la terne tuile se mêle à la luisante ardoise. Mais, de ses rues et de ses boulevards, s'exhale cette douceur de vivre qui est la marque indélébile du Jardin de la France. En les contemplant, ressuscite en notre mémoire une juste phrase du Lochois Alfred de Vigny :

« Si vous avez traversé la belle Tour aine, vous aurez regretté de ne pouvoir déterminer, entre ses rives enchan- teresses, celle où vous choisiriez votre demeure, pour y oublier les hommes auprès d'un être aimé. »

Et pour s'affirmer encore plus résolument tourangelle, Loches compose au bord de l'Indre une synthèse de ces châ- teaux de la Loire qui sont l'orgueil et la parure des cités

(13)

d'Indre-et-Loire. Dans son beffroi, d'une noblesse et d'une distinction suprême — qui est, si je ne me trompe, le seul monument de ce genre existant dans la France centrale — se retrouvent les grâces fleuries des lanternes de Chambord et des couronnements de la Gatienne. Les jolies inflexions des façades d'Ussé, les charmantes lignes et les heureuses proportions d'Azay ou de Chenonceau s'intègrent dans le Logis du Roi ou dans l'hôtel de ville voisin. Le donjon de Montbazon retrouve son frère en cette ville où résida son père. Les tours à chapeau pointu, orgueil de Luynes, se reflètent dans la tour où gît Agnès Sorel. Et la porte d'entrée du château de Langeais se répète avec bonheur dans la porte d'entrée du château de Loches... Cette ville est un suave bouquet où s'assemblent toutes les fleurs du Jardin de la France...

Pas une n'y manque... même le savoureux œillet poivré que constitue la « blague » — cette bouture de l'esprit sur un plant de rire — si chère au pays de Rabelais. A l'automne de 1941, en des mois où l'amer goût de la défaite et la dureté des restrictions alimentaires accablaient de fiel toutes les pensées dans les diverses provinces de France, je remarquai, en traversant Loches, à la devanture d'un mar- chand d'articles de pêche, un écriteau où étaient tracés à la plume ces mots :

VIANDE SANS TICKETS : Asticots.

Voilà bien la façon virile et sereine — de tradition bien française, d'ailleurs — avec laquelle il faut accepter le malheur... tout en se préparant à en triompher et à

(14)

prouver que le vaincu d'aujourd'hui peut vaincre demain son vainqueur d'hier... A l'un de ses amis, la prin- cesse Mathilde disait un jour : « Il y a quelque chose d'aussi fécond en illusions que l'espérance... Ce sont les regrets... »

Pour composer un beau bouquet, il ne suffit pas d'y associer de jolies fleurs, il faut surtout les disposer avec art. Il ne suffit pas à Loches d'être belle ; elle sait admirablement présenter ses beautés — et cela encore est très tourangeau —. Il est des villes — Poitiers par exemple — fort riches en trésors d'art, en édifices de choix, qui ont enterré sous une laideur ambiante, dans des quartiers hideux, les perles de leur cou- ronne. Ces maladroites agglomérations rappellent ces visages dont les jolis yeux et le beau front sont poignardés par un navrant chapeau à la mode du temps présent. (La mode ne constitue pas plus une excuse pour un crime de lèse-beauté, que l'ivresse n'en constitue une pour un crime tout court.) En Tour aine, de telles profanations sont rares... Les monu- ments y sont parfois négligés, mais très rarement mal entourés.

Les crachats du mercantilisme ne peuvent s'incruster en ce sol. Par exemple, il y a quelques années, les puissantes agences de cette publicité murale que j'ai jadis baptisée

« la lèpre des routes », et dont j'ai longuement combattu les néfastes excès, avaient osé badigeonner, en l'honneur de quelques malfaisants apéritifs, les murs de certaines maisons entourant le château de Loches et constituant des valeurs essentielles dans le panorama qui s'offre aux yeux sur ses terrasses. Cet outrage, accepté en tant d'autres lieux, ne fut point toléré ici. En classant monuments

(15)

historiques les maisons intéressées, on obtint le lessivage des ordures qui les souillaient... Voilà comment une ville sait défendre son âme.

Puisque cette cité affirme si résolument son caractère tou- rangeau, ne nous étonnons point de constater qu'elle pré- sente à son visiteur de multiples et royales évocations du passé de notre patrie. C'est un lieu commun de souligner qu'en Tour aine l'on retrouve, à chaque tournant de rue ou de route, une page d'Histoire de France, que l'on y res- pire, plus que partout ailleurs, le parfum des siècles qui nous précédèrent. Loches ne manque pas à cette règle. « Loches

— a écrit Onésime Reclus — fait vivre mille ans en un jour. » Chacun de ses monuments perpétue le souvenir d'un de ses illustres hôtes. Son donjon — l'un des trois ou quatre plus beaux de France —, c'est Foulques Nerra, grand spécialiste en cet ordre, qui le lui a offert. Le fils de ce fameux « Faucon Noir », Geoffroy Grise-Gonelle (un autre de ces comtes d'Anjou qui furent, durant trois siècles, les maîtres de la cité) lui a bâti sa collégiale Saint-Ours, qui constitue un ensemble unique dans l'histoire de l'archi- tecture. L'enceinte de son château — dont les tours à bec furent une révolution dans la fortification — c'est Philippe- Auguste qui les a dressées, après avoir poursuivi, toute une année, le siège de cette coquette citadelle et l'avoir enfin conquise « au bout de l'an ». Son charmant Logis du Roi, c'est surtout (1) Charles VII — l'un des plus grands amou-

(1) Je dis « surtout » car, si Charles VII a fait bâtir la partie méri- dionale du château, en la rehaussant de gracieuses tourelles crénelées,

(16)

reux de Loches, où il venait fréquemment séjourner — qui le créa et y logea — dit-on — sa bien-aimée Agnès Sorel.

Et, afin de verrouiller la beauté de la Dame de Beauté, il enferma ce logis derrière une muraille percée de superbes portes fortifiées, dont quatre subsistent encore. Devant leurs pierres l'on s'exclame avec admiration :

« La belle ceinture de chasteté !... »

Et continuant de promener nos regards sur cette corbeille de mariage, l'on peut poursuivre, de la terrasse du château, cette énumération dans laquelle l'Histoire de France s'évoque avec une intensité singulière, dans un cadre médiéval demeuré prodigieusement intact... Ce ravissant hôtel de ville, c'est François I qui en a fait cadeau à Loches, peu après être venu ici avec sa cour, pour y rencontrer son vieil adversaire Charles-Quint et s'être jeté avec effusion dans ses bras.

Laissons aux mauvaises langues le soin de citer, à ce propos, le vers de Britannicus :

J'embrasse mon rival, mais c'est pour l'étouffer.

Cet étonnant Hôtel de la Chancellerie, qui se dresse à quelques mètres de l'hôtel municipal, c'est un autre don royal où se retrouvent conjugués l'amant de la Belle Ferronnière et l'amant de Diane de Poitiers. François I le commença.

Henri II le termina et y fit graver l'édifiante devise qu'il s'était choisie et qu'il mérita si peu :

Justicia regno. Prudentia nutrisco.

«Injusticia regno. Diana nutrisco» eût été plus exact...

c'est au règne de Louis XII que l'on doit la partie septentrionale, plus paisiblement décorée et couronnée de lucarnes fleuronnées.

(17)

Ah ! j'oubliais Louis XI ! Cet avare homme aimait les cadeaux pratiques. Aussi fournit-il à Loches sa prison... Agissant, comme il sied, toujours à rebours de son père, il vint rarement dans cette cité pour laquelle l' auteur de ses jours avait éprouvé une si grande dilection. Il ne s'y rendit guère que pour y retrouver sa laide épouse, Charlotte de Savoie, qui habitait ce lieu :

« Il allait l'y voir quelquefois — note Mézeray — plus pour désir d'avoir lignée que pour plaisir qu'il prît avec elle. » On ne saurait mieux exprimer le sens utilitaire de ces rapprochements conjugaux. Mais, s'il ne logea guère en cette ville, Louis XI en fit le séjour obligé de ses ennemis...

et Dieu sait s'il en multipliait le nombre !... Pour contenir cette foule, il bâtit à Loches un nouveau donjon : la Tour Ronde. Il agrémenta ce présent de maints bracelets et colliers de fer. Car s'il redoutait fort, pour lui-même, la souffrance et la mort, il ne détestait pas les infliger aux autres. Sa devise, à lui, aurait pu être : « Plutôt faire mourir que mourir. » Mais voici que se lit, sur un autre mur du château, la devise contraire. La douce Anne de Bretagne — dont Loches fut le séjour de prédilection et qui y séjourna avec ses deux souverains époux Charles VIII et Louis XII — offrit à cette cité un charmant oratoire, à la fenêtre duquel se lit encore cette noble phrase dont elle avait fait sa profession de foi :

Potius mori quam fœdari.

Est-ce tout ? Mais non... Sur les murs de Loches, sur les murailles de son château « qui — affirme l'auteur des Antiquités des Villes de France — n'avait point son pareil

(18)

en tout le royaume », les deux fils de Charles Martel, les seigneurs de Blois et de Saumur, Richard Cœur de Lion, les ducs d'York et de Clarence ont serti jadis leurs boulets...

C'est par de tels présents que les militaires ont coutume de faire la cour à une ville qu'ils convoitent... Dans cette forteresse, l'une des plus réputées de l'ancienne France, notre saint Louis — qui fut seigneur de Loches et de Châ- tillon — vint passer trois journées. Philippe le Bel, deux semaines. Jean le Bon, quelques mois. Henri II, François II et Catherine de Médicis y réalisèrent une pompeuse entrée...

Henri III y campa avant la bataille de Moncontour. Henri IV et Charles IX y apparurent pour signifier à Loches l'adieu de la Couronne. Car les Bourbons n'entendaient pas s'ins- taller dans les meubles des Valois. La Seine détrônera désor- mais la Loire, l'Indre ou la Vienne. Et Loches, délaissée, s'endormira pour cinq siècles, en rêvant à son lourd passé...

Semblable à ces jolies femmes qui, dans leur vieillesse, con- templent à leurs doigts, avec une tendre mélancolie, les bijoux offerts à leur radieuse jeunesse par de fastueux amants, cette petite ville conserve pieusement, aujourd'hui, dans ses murs, les précieux cadeaux dont nos rois l'ont comblée...

Penché sur elle, respirons le parfum de la splendide gerbe de lys que tient entre ses bras cette Belle au Bois-Dormant.

A qui sait rêver, chaque ville inconnue propose d'enivrants rendez-vous, qui éveillent en toute âme bien née les mille orchestres du désir. Barrès l'a dit avec éloquence :

« Certaines villes sont des jeunes femmes. On se hâte vers

(19)

Prix : 140 fr.

(20)

Participant d’une démarche de transmission de fictions ou de savoirs rendus difficiles d’accès par le temps, cette édition numérique redonne vie à une œuvre existant jusqu’alors uniquement

sur un support imprimé, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l’exploitation des Livres Indisponibles du XXe siècle.

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

Elle peut donc reproduire, au-delà du texte lui-même, des éléments propres à l’exemplaire qui a servi à la numérisation.

Cette édition numérique a été fabriquée par la société FeniXX au format PDF.

La couverture reproduit celle du livre original conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

*

La société FeniXX diffuse cette édition numérique en vertu d’une licence confiée par la Sofia

‒ Société Française des Intérêts des Auteurs de l’Écrit ‒ dans le cadre de la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012.

Références

Documents relatifs

Le 14 juin 2016, le Conseil économique social et environnemental (CESE) présentait son rapport phare, le Rapport annuel sur l’état de la France 2016, remis au Gouvernement.. Pour

Bien que 74,2 % des participants considèrent que la DREAL participe à l’aboutissement rapide des projets, la suggestion d’amélioration qui ressort prioritaire est la réduction

D/ Présentez trois autres exemples de forteresses, de citadelles ou de villes fortifiées construites par le marquis de Vauban (date, lieu, architecture…)

Partager des informations et confronter des expériences qui ont déjà démontré leur pertinence, tels sont les objectifs de la ren- contre régionale «Coopération internationale dans

En vue d'assurer aux représentants des Etats membres auprès des organes principaux et subsidiaires, et des Commissions spécialisées de l'Organisation de l'Unité Africaine et

In order to secure, for the representatives of Members to the principal and subsidiary institutions as well as to Specialized Commission of the Organization of African Unity and

Aussi, malgré le silence de l’histoire sur ce point, et bien que Foulque Réchin, à la chronique duquel nous n’ajoutons foi que sous réserves [8] , ne nomme point Loches parmi les

➢ Annulation partielle pour toute réservation de 15 chambres ou plus et privatisation survenant à plus de 120 jours de la date d'arrivée prévue : l’hôtel conserve l’acompte