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VIENT DE PARAITRE : " HORS COLLECTION "

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Academic year: 2022

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VIENT DE PARAITRE :

" HORS COLLECTION "

de la DROGUE

de Charles Wighton Avec le concours d'Interpol, toutes les anecdotes dramatiques sur le trafic international de la Drogue.

Son chemin secret depuis le réseau aux U.S.A., en passant par la France et l'Italie. Ses moyens de transport secrets par auto. avion et bateau. Tous les trucs em- ployés par les trafiquants pour frauder la douane. Les milliardaires de la Drogue, ses courtiers, ses victimes.

L'histoire secrète des stupéfiants de Lucky Luciano au cas Angelvin...

ESPIONS AU TRAVAIL

— Les méthodes secrètes de l'espionnage moderne.

!

— La formation des agents secrets soviétiques dans des écoles reconstituant une ville américaine complète avec drug stores, banques, garages, terrains de base-bail.. — L'établissement de souricières pour l'enlèvement des savants atomiques à Berlin-Ouest. — L'affaire de l'espionne russe qui séduisit le comman- dant en chef des Services de Sécurité américain en Allemagne ; l'extraordinaire histoire des Espions de Portland qui vient de nécessiter la mobilisation de la population civile d'un port anglais. Tous les cas d'espion- nage les plus étranges de l'après-guerre, tous les moyens employés par les espions d'aujourd'hui.

DEJA PARUS :

" DÉTRUISEZ LES V2 "

(L'Espion de Peenemunde) de Don Betteridge

LE MYSTÈRE DES BAHAMAS

(Qui a tué Sir Harry ?) de G. Bocca

CRABB EST-IL VIVANT ?

(LA mystérieuse disparition de l'homme-grenouille !) de J.-B. Hutton

D'EXTRAORDINAIRES DOCUMENTS " V R A I S "

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COLLECTION POLICIÈRE INTERNATIONALE

" INTER POLICE "

Martin MEROY

MEURTRE SANS FILET

PRESSES INTERNATIONALES

4, Rue Berryer, PARIS (VI II

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UNE EDITION SPECIALE DE CETTE COLLECTION REALISEE SUR PAPIER LEGER

EST MISE GRACIEUSEMENT A VOTRE DISPOSITION PAR

AIR FRANCE

SUR SES LIGNES REGULIERES

COPYRIGHT by Editions des PRESSES INTERNATIONALES Tous droits de reproduction, traduction, adaptation

réservés pour tous pays, y compris l'U.R.S.S.

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Dès que j'arrivai en vue du cirque Wallace, qui avait planté son chapi- teau à la Porte d'Orléans, je compris qu'il s'y passait quelque chose d'anor- mal.

J'avais quitté si rapidement mon hôtel, à l'appel de mon ami le commissaire Blaise Château, de la Brigade Criminelle de la Police Judiciaire, que j'avais oublié mon bra- celet-montre, mais une horloge voisine m'indi- quait qu'il était neuf heures trente et, d'ordi- naire, à cette heure-là, l'espace délimité par des barrières métalliques amovibles protégeant la tente et les roulottes de la curiosité du pu- blic, grouille d'activités diverses.

Il faut donner à manger aux animaux, ba- layer les papiers gras, les débris de cacahuètes, les écorces d'oranges, les pelures de bananes dispersés par le public de la veille, vérifier les câbles et les cordages, réparer et repeindre le matériel, préparer le premier spectacle de l'après-midi.

Or, tout était étrangement désert.

J'engageai ma « Caravelle » sur le trottoir et la dirigeai vers l'entrée principale, indiquée par un arc de triomphe aussi pompeux que ridicule dont les lettres de néon éteintes affir- maient qu'il s'agissait du « plus grand cirque à piste unique du monde ». J'arrêtai le véhi- cule près de la roulotte-caisse, dont les guichets protégés par des barreaux d'acier préfiguraient

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déjà la ménagerie, et je regrettai instantané- ment, en sortant, d'avoir laissé également mon imperméable à l'hôtel. Je claquai la portière en frisonnant sous la morsure du vent d'au- tomne qui balayait des nuages gris dans un ciel maussade et me dirigeai sans hésiter vers l'agent frileusement enrobé dans sa lourde cape qui me considérait d'un œil morne. — Je suis...

— Je vous connais, M. Méroy, coupa-t-il en esquissant un sourire. Le commissaire Château vous attend. Vous le trouverez dans une rou- lotte qui se trouve derrière le chapiteau, tout à côté de l'entrée des artistes.

Et il ajouta, avec un accent de fierté :

— Vous ne pensez tout de même pas que je vous aurais laissé rouler, comme ça, sur un trottoir, si je ne vous avais pas reconnu. Avec votre barbe et vos cheveux roux coupés en brosse, vous passez difficilement inaperçu.

Je le remerciai et franchis le portillon qu'il venait d'ouvrir pour moi. Je fus un instant tenté de pénétrer sous la tente afin d'en émer- ger par l'entrée des artistes, qui, traditionnel- lement, est diamétralement opposée à l'accès principal, mais je renonçai à ce raccourci en constatant que le chapiteau était interdit par un panneau de toile forte maintenu dans des ergots à l'aide d'une série de cadenas. On ne pouvait même pas voir ce qui se passait à l'in- térieur.

Je soupirai, et entrepris de contourner la tente. Je relevai le col de mon veston, en re- trouvant les deux éléments qui appartiennent inévitablement à un cirque : l'odeur des fauves et la boue. Même en pleine sécheresse, le cirque fabrique une boue très spéciale, en inondant inévitablement la terre (transformée en pous- sière par des piétinements incessants et les pneus du matériel roulant), des milliers de mètres cubes d'eau utilisés journellement pour les nettoyages de la tente, des roulottes et les

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bains, au jet, des animaux. En baissant machi- nalement la tête, lorsqu'un câble ou un cordage surgissaient devant moi, je me remémorais le coup de téléphone que Château m'avait adressé le matin même au « Royal Elysée ». La sonne- rie m'avait obligé à émerger d'un sommeil pro- fond et j'avais décroché, avec un grognement de colère, tandis que Virginia Phels enfouissait sous l'oreiller son beau visage d'un ovale par- fait qui évoquait, avec ses cheveux noirs coupés à la Jeanne d'Arc, une belle Chinoise.

Elle dormait nue et les draps que j'avais fait glisser en cherchant à atteindre le récepteur, venaient de révéler des épaules délicates, un dos harmonieux, marqué à la hauteur des reins par deux profondes fossettes. Je posai la main sur les hanches d'une courbe parfaite et la glissai sur la peau tiède. Elle poussa un petit grognement de plaisir. — Allô, Martin ? Je reconnus instantanément la voix de Château.

— Bonjour, Blaise, murmurai-je en étouffant un bâillement. Quelle heure est-il ?

Il y eut un court silence au bout de la ligne.

Château n'ignorait pas que je détestais être réveillé de bonne heure. — Je m'excuse, Martin, dit-il, il est huit heures trente, mais je pensais que ça vous intéresserait.

— Rien ne m'intéresse à urie heure pareille.

— Si, si, vous verrez. Ça vous passionnera, venez me rejoindre, je suis au cirque Wallace, Porte d'Orléans.

— Le... cirque ?

Ce fut ce mot, beaucoup plus que la promesse sous-entendue d'une affaire hors-série qui me décida. J'avais lu dans un journal du soir, le placard annonçant l'arrivée du Cirque Wallace et j'étais désolé de ne pouvoir assister à la première représentation qui coïncidait avec l'heure de mon départ pour New York où j'ha-

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bite et où une affaire de vols de bijoux m'atten- dait. Nos places, à Virginia et à moi, étaient réservées a bord du Boeing 707 d'Air France.

Et voilà que le coup de téléphone de Château remettait tout en question. A défaut de repré- sentation, j'allais pouvoir me promener dans le Cirque, décor que j'ai toujours apprécié depuis ma plus tendre enfance. Je demandai à Château une demi-heure et raccrochai. Je fonçai vers la salle de bains et m'habillai rapidement. Virginia n'ouvrit un œil que lorsque, la main sur la porte de la chambre, je m'apprêtais à sortir.

— Où vas-tu ? fit-elle d'une voix rauque et qu'elle tenta d'éclaircir avec une petite toux. — Ah, bon ! — Au Cirque.

Elle repiqua une tête vers son oreiller. Ma réponse étant finalement parvenue à son cer- veau, elle se redressa à nouveau avec un petit cri :

— Au Cirque ?

Je lui expédiai un baiser du bout des doigts.

— Oui, mais c'est sûrement pour une repré- sentation spéciale. On doit y montrer, si j'ai bien compris, le cadavre le plus frais de Paris.

Dors, je te téléphonerai tout à l'heure.

— Mais, Martin, et l'avion ?

— D'ici ce soir, nous avons le temps.

Sans écouter ses nouvelles protestations, je refermai la porte, je m'engouffrai dans l'ascen- seur, traversai le hall complètement désert de.

l'hôtel et sautai dans la « Caravelle » qui ar- borait sur son pare-brise la petite contraven- tion quotidienne.

...Je m'arrêtai pour retrousser le bas de mes pantalons afin de les protéger de la boue et poursuivis ma progression. Je repérai im- médiatement la roulotte cernée par une véri- table marée humaine. Tout le personnel du Cirque et les artistes étaient là. Certains même avaient endossé, pour se protéger du froid, le

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manteau rouge à boutons dorés qui leur servait d'uniforme de parade. Un brigadier, galonné d'argent, sortit de la foule. Il considéra un court instant mes deux mètres (ou presque, 1 m. 97) et ma carrure de bûcheron, puis il décréta :

— Vous êtes Martin Méroy.

— On ne peut rien vous cacher, murmurai-je.

Sans rien dire il fit signe à deux agents qui étaient apparus comme par enchantement et tous trois me frayèrent, avec beaucoup de dif- ficultés, un chemin dans la foule. Je dévisageai avec intérêt les visages qui défilaient devant moi. Tous étaient tendus à l'extrême et je lus même dans plusieurs regards, une sourde colère, laquelle fit s'évanouir, d'un coup, le charme qui s'était emparé de moi en arrivant au Cirque.

Je compris brusquement la portée du drame.

Quelqu'un avait transgressé la loi immuable des gens du voyage : le respect d'autrui. Image, bien usée, de la grande famille du Cirque, mais très réelle. Il existe parmi ces gens-là un esprit de coopération ainsi qu'une estime mu- tuelle, qui fait que le moindre garçon de piste a autant de valeur que le dompteur. Personne ne peut se passer de personne dans un cirque et quelle que soit l'importance du numéro de la vedette, elle sait toujours rester humble et humaine ; elle habite d'ailleurs une roulotte très peu différente de celle utilisée par le per- sonnel le plus mal payé. C'est pour cela, d ail- leurs, que de très grands noms du music-hall, où l'on s'entre-déchire à plaisir, n'ont pu s'ha- bituer aux traditions du cirque.

Certes, je n'en doutais pas un instant, une brebis galeuse s'était glissée dans le troupeau et un crime avait été commis. Château, au téléphone, n'avait donné aucun détail, mais je me doutais bien qu'il ne s'agissait pas d'un constat d'adultère. La tension qui régnait au milieu du groupe que je traversais m'indiquait également que la victime avait dû jouir, de son vivant, d'une estime peu commune.

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Le brigadier s'arrêta devant l'entrée de la roulotte et m'indiqua le petit escalier de bois qui permettait d'y accéder. C'était un véhicule de dimensions généreuses, fraîchement peint de jaune et de vert, arborant en noir le nom « Wallace » et réhaussé de pneus à flancs blancs qui lui donnaient un aspect très coquet.

Je gravis les marches et m'apprêtai à frapper lorsque je remarquai que la vitre dépolie qui ornait une des portières rouges avaient été bri- sée. Je poussai le battant du bout des doigts et pénétrai à l'intérieur. Mes deux mètres s'ac- commodaient mal du plafond que le sommet de mon crâne frôlait désagréablement. Je décidai immédiatement que les constructeurs des rou- lottes pour cirque avaient beaucoup à appren- dre des spécialités en « caravanes » qui par- viennent à faire tenir un dortoir à quatre lits, une salle à manger, une cuisine et une salle d'eau dans un mouchoir de poche. Rien n'était construit intelligemment.

Le miroir sur pied qui se trouvait au pied du lit devait constituer un danger permanent, lorsque la roulotte évoluait sur une route, et la table qui devait servir aussi bien au maquil- lage qu'à la correspondance ou à la restaura- tion, si l'on jugeait par l'ensemble hétéroclite qui l'encombrait, n'était même pas arrimée à la paroi. Elle occupait tout le côté gauche, avec une penderie pratiquée dans la structure même de la roulotte et qui possédait des portes cou- lissantes, tandis que le lit, très étroit, acca- parait la section de droite. Un passage exiguë, encombré de deux chaises cannées, permettait de traverser la roulotte pour atteindre deux por- tes qui donnaient, l'une sur une minuscule cuisine, l'autre sur une salle d'eau équipée d'une douche. Le commissaire Chateau sortit de la cuisine et se dirigea vers moi, la main droite tendue, tandis que, de l'autre, il déposait en passant, une tasse de café fumant sur la petite table.

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— Martin, s'exclama-t-il, c'est très gentil à vous d'être venu.

Je serrai la main du petit homme dont les cheveux noirs, séparés par une raie impeccable et la moustache à la Charlot l'eussent fait pas- ser pour un commerçant aisé, plutôt qu'un policier. Je serrai la main de mon ami en prenant garde à ne pas l'écraser. un peu pour moi ? cessé de m'en confectionner depuis que je suis entré ici vers 6 heures 30 du matin. Je com- Mon regard se posa sur la tasse de café. — Bonjour, Blaise, murmurai-je, il en reste — Elle est pour vous, répondit-il, je n'ai pas

mence même à le regretter ; le café me porte sur les nerfs. Mais, que voulez-vous, il faisait si froid que je me suis laissé tenter. Et puis, sans transition, avec un geste du menton vers le lit, il ajouta : — Qu'est-ce que vous en pensez ?

J'avais remarqué le cadavre en pénétrant dans la roulotte. La beauté du visage de la jeune femme, une blonde naturelle, m'avait frappé. Les sourcils, au-dessus des yeux clos, (probablement par les soins du commissaire) étaient d'une courbe irréprochable, le nez légè- rement retroussé, les lèvres pleines et bien des- sinées. Le menton était volontaire et deux fos- settes apparaissaient dans les joues pleines, presqu'enfantines. Même dans la pâleur que la mort avait apportée, les traits conservaient un charme indéniable. Un léger filet de sang avait coulé à la commissure des lèvres et le haut du crâne était pratiquement en bouillie. — Gloria Suzin, trapéziste, présenta Château d'un ton las, elle défiait la mort pratiquement tous les soirs et c'est dans son lit que c'est arrivé.

Je fronçai les sourcils et m'approchai du corps.

— Un coup sur la tête ? demandai-je.

Château secoua négativement la tête.

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— Non, une balle de revolver, mais le résul- tat est à peu près le même. La balle, qui est entrée au sommet du crâne a fait du vilain travail. Le médecin légiste sort d'ici. Le projec- tile a traversé le cou et est allé se loger dans l'estomac.

— Drôle de trajectoire, murmurai-je. Château haussa les épaules.

— Quelqu'un est arrivé par derrière et l'a descendue à bout portant, alors qu'elle était allongée sur son lit. — On a retrouvé l'arme ? Château acquiesça et sortit de sa poche un petit revolver à barillet à canon très court qu'il avait placé dans une enveloppe de plas- tique. — Colt « cobra », calibre 38, murmurai-je, c'est un tout petit revolver, mais il fait un dégât terrible. — Où était-il ?

— Sur le plancher, à quelques centimètres de la main droite de la victime. Quelqu'un est assez stupide pour essayer de nous faire croire qu'elle s'est suicidée. Non, mais, vous vous rendez compte ? Vous la voyez en train de s'appuyer le canon de l'arme sur le sommet du crâne pour obtenir une telle trajectoire ? On nous prend vraiment pour des imbéciles. — L'heure de la mort ?

— Le médecin légiste dit : « entre onze heu- res trente et deux heures du matin ». Cepen- dant, comme des employés du cirque l'ont vue à minuit quarante-cinq, sous le chapiteau, on peut réduire cette approximation et la situer entre minuit cinquante, le temps de rencon- trer son assassin dans la roulotte) et deux heures.

Je haussai les épaules.

— Dans ce cas, c'est une affaire toute sim- ple, Blaise et, en comparant les alibis des sus- pects éventuels vous...

Château m'interrompit d'un geste de la main.

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Le chef d'Orchestre du cirque Wallace leva sa baguette.

Le roulement de tambour qui devait accompagner l'exercice le plus risqué du trapéziste, retentit, brisant un silence lugubre. Le batteur s'interrompit pres- qu'aussitôt... Incrédule, le détective français de New-York, Martin Méroy, fixa le trapèze vide, qui se balançait imperceptiblement dans le cercle des projecteurs. Le corps

au même instant toucha la piste avec un bruit mat, ne rebondis-

sant qu'une seule fois.

COLLECTION

POLICIERE INTERNATIONALE Les meilleurs romans inédits des plus grands auteurs Français et Étrangers

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