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ÉVALUATION DES MESURES PRISES POUR REVALORISER LA SÉRIE LITTÉRAIRE AU LYCÉE

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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Note du secteur Lycées sur le rapport de Juillet 2006 de l'Inspection générale :

ÉVALUATION DES MESURES PRISES

POUR REVALORISER LA SÉRIE LITTÉRAIRE AU LYCÉE

(rapporteurs : Philippe FORSTMANN et Catherine BECCHETTI-BIZOT)

Le rapport peut être téléchargé : http://www.snes.edu/clet/IMG/pdf/Raapport-IG-seireL-2006.pdf.

Le rapport de l'Inspection générale, récemment rendu public, propose une réflexion d'ensemble sur la situation de la série littéraire. Construit en trois parties, il part d'une analyse du déclin de la série pour étudier les mesures prises depuis quinze ans pour la revaloriser ; constatant qu'elles n'ont pas réussi, le rapport propose plusieurs scénarios pour sortir de l'impasse.

Les rapporteurs vont plus loin qu'une analyse même prospective : ils prennent parti pour une refondation de la série L qui doit devenir une filière de réussite. Dans le déclin du littéraire, les rapporteurs voient la menace de disparition d'un pan essentiel de notre tradition et de notre culture, « d'un mode d'expression original de l'expérience humaine » dont la place au lycée est pleinement justifiée par les compétences qu'elle peut faire acquérir : maîtrise de la langue et du discours argumenté, capacité à débattre, connaissance des grands repères culturels, mise en relation des savoirs, etc.

Le rapport, refusant une uniformisation illusoire et pernicieuse, prône une offre diversifiée de formation et s'inscrit dans une réflexion sur l'égale dignité des voies et des séries en cherchant les moyens de la réaliser effectivement. Il veut promouvoir autour d'un nombre limité de pôles une formation généraliste qui n'empêche pas une première familiarisation avec un champ professionnel : « contextualiser » la formation pour préparer les choix professionnels sans pour autant la professionnaliser. (p. 94)

I Un déclin régulier

Le rapport rappelle les chiffres indiquant le déclin régulier des effectifs de la série littéraire depuis 40 ans, qu'il analyse comme une tendance de long terme. La proportion des bacheliers A passe de 45 % à 25 % des lauréats d'un bac général de 1970 à 1980, et la réforme de 1992 n'a pas réussi à enrayer la baisse puisque le nombre de lauréats baisse de 30,8 % de 1995 à 2004.

Plusieurs facteurs sont soulignés, assez classiquement, qu'il faudrait nuancer :

 un changement de société qui mise sur la science et la technique plus que sur les humanités, qui valorise le rentable et l'utilitaire plus que le « gratuit » ;

 les résultats scolaires médiocres qui contribuent à dégrader l'image de la série ;

 l'orientation en L qui est de moins en moins souvent le résultat d'un choix délibéré ;

 l'accès à l'enseignement supérieur, plus difficile pour les bacheliers L qui y réussissent moins bien ;

 les perspectives d'insertion professionnelle plus limitées pour les L.

Mais la partie la plus intéressante du diagnostic porte sur l'organisation du lycée, défavorable dans sa structure à la série littéraire :

par rapport à la S, véritable série générale réputée ouvrir toutes les portes ;

par rapport à la série ES, plus équilibrée et identifiée à un champ économique et social plus porteur ;

et même par rapport à des séries technologiques rénovées qui affichent des débouchés clairs.

La série littéraire est aussi pénalisée par l'organisation de la Seconde qui ne propose pas d'enseignement de détermination d'appel « fléchant » vers la L, à la différence de la série ES qui bénéficie comme les séries techno d'un effet de pré-orientation.

La spécialité des enseignements dispensés en L est difficile à identifier : vu la constitution du tronc commun, on perçoit mal ce qui fait sa «valeur ajoutée, la philosophie exerçant souvent un rôle plutôt dissuasif pour les élèves de Seconde (matière encore inconnue, abordée seulement en Terminale, notant plutôt sec).

La faible visibilité des débouchés porte préjudice à la série, qui n'apparaît plus comme la meilleure voie d'accès aux parcours d'excellence même traditionnellement littéraires.

Pour les rapporteurs, l'image de la série a précipité son déclin : celle d'une série sympathique, où l'on a du temps pour soi, peuplée pour l’essentiel de jeunes filles généralement fâchées avec les mathématiques, et qui ne mènerait à rien hormis, pour les meilleurs, au métier d’enseignant.» (p. 25) Seul un contexte familial et personnel très spécifique peut conduire à faire de la L un choix positif de réussite : c’est la réputation de la série L de n'accueillir plus que des élèves médiocres pour des études à faible niveau d'exigence qui est devenue un des principaux facteurs de son déclin. (p. 62)

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II Évaluation des mesures prises

Chaque ministre a proclamé son intention de restaurer l'égale dignité des séries et des voies : or les politiques menées depuis quinze ans ont parfois accéléré le déclin de la série L.

La réforme de 92, en resserrant et compactant les parcours, a renforcé les hiérarchies : retarder les choix aboutirait à exclure. Les modules (d'ailleurs vite supprimés) n'ont pas suffi à enrayer cette dérive.

L'ancienne diversité des parcours, A1, A2, A3, permettait de ratisser plus large qu'une série construite autour des Lettres – alors qu'en S, le compactage a évolué dans le sens d'une plus grande diversification des disciplines. Les rapporteurs soulignent la faiblesse de la réflexion sur le rôle de chaque série dans la formation de l'esprit.

Les réformes de 92-93 et 1999-2000 ont centré la série sur le Français, notamment par l'introduction des lettres en Terminale. Or le Français est une discipline fondamentale en crise du fait de la massification, et affaiblie par les controverses.

La valse-hésitation sur l'option Maths a précipité la chute sans que la réintroduction ne la compense.

L'enseignement des sciences s'est vu cantonner en Première sur un horaire réduit.

La série L s'est ainsi spécialisée alors que les autres séries, notamment la S, restaient polyvalentes.

Plusieurs mesures prises n'ont pas eu les effets escomptés :

le développement des LV ne favorise pas la série littéraire : ni horaire particulier, ni pédagogie spécifique ;

l'action en faveur des Langues anciennes a plutôt profité aux autres séries ;

les TPE n'auraient pas porté leurs fruits en L autant que dans les autres séries (pas d'analyse bien étayée) ;

la diversification des options artistiques a rendu la série plus attractive sans restaurer son image ; elle attire des élèves de « moins bonne réputation » et à l'inverse, la mauvaise image de la série décolorerait les matières artistiques elles-mêmes ;

les nouveaux débouchés d'excellence (écoles de commerce, de journalisme, IEP) ne profitent que de façon marginale aux bacheliers L ;

absence de politiques académiques pour relayer les volontés nationales ;

des initiatives d'établissement prouvent a contrario qu'une politique dynamique en faveur de la L est possible, en offrant aux élèves des enseignements qu'ils ne trouvent pas ailleurs : options artistiques attractives (cinéma-audiovisuel, histoire des arts), philosophie en Première : Dès lors que la réputation de ces classes est assurée, les réticences des familles à laisser leurs enfants s'engager dans la voie littéraire s'atténuent. (p. 62) Mais ces initiatives ne concernent que quelques lycées par académie.

En même temps, les polémiques sur les programmes, en Français comme en Philosophie, auraient fait avancer les esprits ; la réécriture des programmes de mathématiques et de sciences, dans le sens d'un enseignement scientifique s'adressant aux futurs citoyens, montre les voies d'une rénovation pédagogique :

Ce qui manque encore aujourd’hui pour faire aboutir ces réflexions, menées à l’intérieur de chaque discipline, c’est une véritable impulsion politique et un projet global qui permette de réunir l’ensemble des enseignements à dominante littéraire autour d’une « épine dorsale » qui la caractérise et qui puisse la rendre lisible en termes de débouchés. (p.65)

III Évolutions envisageables

Principes

Les rapporteurs examinent une logique de spécialisation accrue (détermination claire des études supérieures préparées, renforcement des horaires et coefficients des disciplines qui caractérisent la série, création d'options nouvelles en Seconde pour préfigurer le choix de la série) : elle n'aurait de chance de réussir qu'à condition de faire entrer les deux autres séries dans la même spécialisation, la S (re)devenant purement scientifique.

Une telle spécialisation est rejetée par les rapporteurs : elle supposerait une réforme complète du lycée ; elle rapprocherait trop les séries générales des séries technologiques et serait perçue comme un retour en arrière ; elle conduirait à une orientation irréversible à la fin de la Seconde contraire aux demandes des familles qui souhaitent retarder les choix décisifs.

Le rapport préconise à l'inverse de réaffirmer la dimension généraliste des études littéraires, de restaurer la lisibilité de la série et sa cohérence pédagogique :

en développant les compétences transversales par une approche culturelle et interdisciplinaire des savoirs, passant notamment par l'introduction de la philosophie en Première (qui deviendrait par ailleurs enseignement de spécialité possible en Terminale) ;

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en restructurant les options autour de dominantes identifiables en termes de débouchés. Il conviendra donc, dans cette perspective, de structurer les enseignements optionnels autour de ces « pôles » étroitement liés aux poursuites d’études. Chacun d'eux sera caractérisé par une option « majeure » ou

« dominante », complétée par une ou plusieurs options « mineures », permettant d’approfondir ou de compléter la « majeure » (p. 72) ;

en recherchant un équilibre entre théorie, méthodologie et pratique pour les dominantes, à l'image des programmes des options Arts.

Cinq dominantes sont proposées : Littératures et Civilisation (pôle littéraire ouvert sur les les langues vivantes et anciennes, et l'international, notamment l’Europe), Arts et Culture (approches historiques, sociales, esthétiques, avec une pratique créative et l’approfondissemnt d’un art, préparant à des études tant dans le domaine du patrimoine que celui de la création, notamment à tous les débouchés ouverts par la décentralisation), Communication et maîtrise des langages (bien différenciée de la communication en STG, étudiant le monde de la communication dans toutes ses composantes), Sciences humaines (avec une composante mathématique et une composante philosophique fortes, destinant à des études supérieures politiques et commerciales), Institutions et droit (fléchant les débouchés juridiques pour les littéraires).

L'évolution proposée suppose de revoir la procédure d'orientation, d'élargir le champ des études ouvertes aux L (réorganisation des premiers cycles universitaires, construction de passerelles, proposition de remises à niveau). Le rapport recommande aussi un pilotage fort, l'inscription dans le projet d'établissement, un gros effort de communication.

Scénarios

Trois sont envisagés qui pourraient s'adapter aux principes ci-dessus, les rapporteurs privilégiant le troisième...

Fusionner les trois séries générales en une seule, la modulation se faisant sur les options et les coefficients. Ce scénario risque soit de se traduire par des mécanismes de sélection si la part des enseignements communs est prédominante, soit de voir chaque option fonctionner comme une série réelle avec possibilité de retomber dans une logique de spécialisation en tuyaux d'orgue.

Fusionner les séries ES et L (série Lettres, économie et sciences sociales, « LES ») en conservant deux groupes d'options différenciées : c'est l'idée « d'humanités modernes », selon laquelle « l’honnête homme » du XXIe siècle doit maîtriser les fondamentaux de l’économie et des sciences sociales en même temps que les outils de la communication verbale et des points de repère culturels, historiques et philosophiques.

(p.89) Une telle hypothèse permettrait de développer des parcours d'excellence, de faciliter le choix entre la série générale et la série technologique. Mais les rapporteurs redoutent l'absorption des humanités par les sciences sociales et l'opposition des littéraires.

Maintenir les trois séries actuelles pour prendre en compte l'hétérogénéité des élèves, leurs aptitudes et leurs goûts. La nouvelle série « littéraire », rebaptisée « LSH » (Lettres et sciences humaines) voit, dans ce scénario, sa dimension de formation générale fortement réaffirmée ; les enseignements communs sont diversifiés et rééquilibrés, tout en se distinguant sensiblement de ceux dispensés dans les deux autres séries, tant dans leur finalité que dans la pédagogie mise en oeuvre. Les aptitudes intellectuelles utiles aux études littéraires – capacité à problématiser, à mettre en perspective historique et culturelle, à transposer et à traduire, ainsi que la sensibilité sont cultivées et valorisées. (p.90)

Classe de Seconde

Dans ce dernier scénario, les enseignements de détermination de Seconde ne sont en aucun cas conçus comme des spécialisations anticipées mais au contraire comme le croisement de plusieurs champs disciplinaires et l’occasion, pour l’élève, de découvrir une variété de processus intellectuels et de méthodes d’acquisition du savoir et de construction des compétences. (p. 91)

Les rapporteurs appellent à repenser les enseignements de détermination actuels : « puisque la classe de Seconde doit permettre de mûrir le choix entre la voie générale et la voie technologique, qui constitue une véritable « orientation », il importe que les enseignements optionnels aident les élèves à découvrir des domaines susceptibles de concerner des poursuites d’études dans les deux voies et leur permettent de découvrir les approches pédagogiques spécifiques de la voie technologique (ce que font assez bien les options MPI et ISI mais aussi artistiques aujourd’hui). »

Les enseignements de détermination seraient renommés options de découverte, et construits là encore sur un cahier des charges plutôt que sur un programme figé. La LV2 étant intégrée au tronc commun, deux options seraient proposées à chaque élève, ce qui permettrait d'étendre le choix de l'option SES ou d'une option artistique.

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Quelques observations

Le rapport ne contrevient pas à certains grands mandats du SNES : sur la démocratisation, sur la culture commune, sur la diversification et sur la conception générale de la classe de Seconde. Il propose une réflexion ambitieuse et construite, qui retrace vingt ans d'évolutions et trace des perspectives, à partir de nombreuses analyses intéressantes rejoignant parfois celles du SNES, notamment sur l'excessive spécialisation de la série littéraire ou la place de la philosophie. L'idée d'une refondation de la série peut paraître pertinente, la définition de l'apport d’une L retrouvant un caractère général à la formation des élèves est convaincante : le rapport clarifie incontestablement certains des grands enjeux. S'il manifeste à plusieurs reprises son respect de l'esprit de la loi d'orientation, il n'en constitue pas totalement un prolongement.

Le point de débat essentiel porte sur l'ouverture à d'autres enseignements, déjà évoquée à plusieurs occasions dans le SNES : les pôles que propose le rapport, anticipant sur les poursuites d'étude, peuvent-ils être approuvés ? Il serait certainement hâtif de rejeter droit ou communication au nom de « l'authenticité littéraire » des enseignements : car pourra-t-on relancer la série littéraire sans proposer des enseignements nouveaux ? La proposition d'une série « LSH » (Lettres et sciences huamines) élargirait considérablement les débouchés : la nouvelle série doit pouvoir préparer des élèves aux études de droit, de science politique, de communication aussi bien qu’aux enseignements des Lettres, des Arts, des Langues vivantes ou des Sciences humaines.

Le problème est ainsi posé de l’articulation entre la série L et la série ES. Les rapporteurs rejetant le scénario de la fusion partagent le champ des « humanités modernes » entre une série économique et sociale et une série plus axée sur les grands repères culturels, sans exclure des enseignements optionnels communs. Faut-il craindre une nouvelle concurrence entre les deux séries ? Peut-on concevoir une intervention des SES, sur d’autres modalités pédagogiques et d’autres objets d’études comme la sociologie de la culture, dans cette série LSH ?

Le rapport reste prudent sur la mise en musique de sa refondation de la série L : il manifeste le souci de réformer sans trop coûter, et ne propose aucune grille horaire précise. Une citation significative sur la Seconde : Même dans ce cas, il reste possible de proposer aux élèves de choisir deux options de découverte, en principe de 3 heures chacune, ce qui, toutes choses égales par ailleurs se traduirait par un volume horaire global très proche de celui d’aujourd’hui, voire inférieur pour la plupart des élèves. La rédaction du rapport précède l'audit de Bercy sur les horaires des lycéens dont il ne partage pas le diagnostic à la hache ni la volonté de couper tout ce qui coûte.

Ce flou volontaire laisse planer de nombreuses incertitudes sur les disciplines, dont on voit parfois mal si elles s’inscrivent dans les dominantes ou les mineures. C’est le cas de l’Histoire-géographie, dont l’intervention est soulignée dans le pôle Sciences humaines mais qui devrait être présente dans plusieurs mineures. Les Langues anciennes semblent surtout cantonnées dans le pôle Littératures et civilisations, alors qu’elles pourraient apporter dans les autres un contenu culturel riche et formateur. La problématique est la même pour les enseignements artistiques dont seul le rôle dans le pôle Arts et Culture semble vraiment prévu. Sur les Langues vivantes, les regrets des rapporteurs sur le peu d’intérêt qu’il y a aujourd’hui à aller en L pour apprendre les langues devraient se traduire en termes de pédagogie et d’horaire !

Dans l'esprit des rapporteurs, les cinq pôles proposés ne pourraient pas l'être par tous les établissements : n'est- ce pas entrer dans une logique de bassin dont on sait qu'elle ouvre la voie à des fermetures dont la décision échappe aux établissements ? Peut-on cependant demander que tous les lycées les proposent tous ?

La rénovation pédagogique appelée va au-delà de la série L : réécriture des programmes, fonctionnement par cahier des charges, transversalité, travaux interdisciplinaires ont constitué des thèmes de débat parmi les professeurs des lycées. Voilà qui incite à reprendre la discussion avec la profession dont on sait qu'elle est divisée sur ces approches – même si l'IG considère que les polémiques passées ont finalement fait bouger les esprits.

À la différence d'un précédent rapport de l'IG de Lettres, qui transformait la série L pour en faire quasiment une série technologique directement identifiée à des professions proches de la communication, ce rapport peut constituer un point d'appui pour nos propositions et nos initiatives... Vu l'urgence de la situation, il est sûrement nécessaire de relancer le travail syndical en mettant en débat ses analyses et ses propositions, dans la profession et même en direction de l’opinion, et d’interpeller le Ministère sur le rôle qu’il entend lui faire jouer.

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